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[RP] Cathédrale Saint Etienne de Limoges

Mahelya
L’Étincelle rayonnait, bien qu'émue d'être ainsi le centre de l'attention, la voix chevrotante, les joues rougissante et le teint palissant doucement mais surement, cette journée si particulière marquait son entrée dans la communauté Aristotélicienne certes mais également le début de sa vie d'adulte, car pour quiconque l'ignorait, c'était également le jour de son anniversaire, ses quatorze ans, sa majorité. Le jeune étincelle devenait une jeune flamme à qui l'on promettait le plus bel éclat.
Dans son dos, elle avait l'intuition d'avoir ses amis, sa famille présents avec elle.
Rassurée, assurée, la voix se fit plus forte et plus stable au moment du crédo, prenant et suivant le rythme de l'élocution imposé par Monseigneur Angelo.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.

Il a rejoint le Soleil où l'attendait
Aristote à la droite du Très-Haut.
Je crois en l'Action Divine;

En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine,
Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés En la Vie Éternelle.

AMEN


Sur un simple geste d'Angelo, la petite Flammèche toutes frêle fut bientôt rejointe par les silhouettes au port altier de son Parrain, son Altesse Cerberos d'Armantia- Malemort et de sa Marraine, La Vicomtesse, Sindanarie de Carsenac.
L'air de rien pour la petite Rousse, il était très rassurant de se retrouver ainsi si parfaitement entourée. Rien qu'à l'idée d'imaginer les regards de l'assistance se poser dans son dos alors qu'elle était encore seule devant l'autel, faisait blêmir le teint de perle et presque disparaitre les taches de rousseurs, peu habituée d'être ainsi dans la lumière. C'était elle la lumière qui éclairait les autres habituellement, et non celle qui se faisait éclairer.
L'Evêque lui demanda alors de renouveler son souhait devant témoin. Après un léger raclement de gorge, la voix cristalline raisonna contre la pierre.


- Oui Monseigneur, je renouvèle mon souhait de rejoindre la communauté des croyants en recevant ce jour le sacrement du baptême.


A peine le temps de finir sa phrase que la cérémonie fut interrompue, par un moine venu de nulle part et qui pourtant était arrivé juste devant Angelo de Montemayor. Les prunelles émeraudes restèrent écarquillées tandis que l'homme s'adressait à présent à elle. Dans sa tête se bousculaient des pensées peu aristotélicienne. "Qui c'est celui-là ? Il me veut quoi ? d'où il me connait ? Non mais en plus il interrompt mon baptême là ! Pour qui il se prend ? Non mais attends un peu que tout cela soit finit et tu vas voir de quel bois je me chauffe naméo !" Mais alors que toutes ses phrases se répétaient dans son Esprit, soudain elle se figea, paralysée, apeurée, il connaissait son véritable nom. Comment ? Pourquoi ?
Le temps sembla s'arrêter sur cette triste révélation.
Un filet de sueur perla dans le dos de la jeune fille tant l'angoisse s'emparait d'elle à présent. Bien envolée l'assurance d'il y a quelques instants. Ce ne fut qu'un filet de voix qui s'échappa des lèvres purpurines.


- Oui c'est ... c'est moi ... Comment ... Comment le savez-vous ?


Discrètement Harchi s'était approché de la petite scène, glissant sur le banc afin de se retrouver à proximité au moindre problème. Sans doute avait-il été alerté du malaise de sa Filia (*) quand l’infâme nom Penthièvre avait été prononcé.
Baissant les yeux la Rouquine n'ajouta pas un mot, se demandant quel reproche, punition, sanction apporterait ce nom qu'elle avait tant désirer oublier. Et la Honte tomba comme une masse sur ses épaules.


___________________
(*) Fille en latin.
_________________
Jean_cache_misere
Ca, ce n'était pas une série de réactions escomptées. L'air déconfit (pour employer un délicat euphémisme) de la jeune future baptisée et l'approche légère mais remarquable d'une sorte de cerbère derrière elle déstabilisèrent quelque peu notre homme, qui bredouilla :

Euh... J'ai... Hum.

Un signe de croix. Aristote, qu'il est difficile de devoir expliquer comment un homme qui a voué, même dans l'ombre, sa vie au Créateur de toutes choses a conservé et fait fructifier, puisqu'il est là ce jour, les documents confiés par un religieux brûlé à Rome. Qu'il est plus difficile encore de le dire, en particulier quand on a l'impression que l'assistance commence à marcher sur des oeufs ! Les mots, pourtant, passèrent finalement les lèvres du Cache-Misère, pour s'articuler ainsi :

Pardonnez-moi, Monseigneur, de m'appuyer sur les documents conservés par un homme que l'on a jugé hérétique, mais qui fut auparavant mon maître. Il s'agit du Frère Horvy...

Une fois lancé, c'était bien plus simple. Jehan continua donc, tranquillement, prenant de plus en plus d'assurance alors qu'il continuait son exposé :

Le Frère Horvy, donc, avait eu, par aventure, des contacts avec un prêtre fort peu connu, Antoine de Liancourt. Il se trouve que cet homme lui a laissé quantité de documents, et que lui-même me les a laissés. Parmi eux, l'on trouve des certificats de mariage, des arbres généalogiques... Par recoupement, en les reprenant quand j'ai entendu parler de vous, j'ai compris que vous n'étiez pas une Penthièvre, comme vous sembliez le croire. Vous êtes la fille d'un homme nommé Théobald d'Elicahre et d'une femme nommée Irinushka Kierkegaard. Elle est morte lors d'une guerre privée entre un Angevin et un Tourangeau que servait Théobald, ainsi que deux de leurs trois enfants encore vivants. La dernière portait votre nom et a disparu. Dans le même temps, Olaf de Penthièvre adoptait une petite fille rousse, à peine née, et le confiait à un prisonnier devenu son serviteur à l'issue de cette guerre. Cette petite fille, c'était vous. La mémoire des hommes se perd, les écrits restent.

De sa besace, l'homme sortit une liasse de documents, pour beaucoup défraichis, dont la coloration des feuillets accusait l'âge. Treize ans, pour les plus récents, et bien plus pour les plus anciens. Presque cinquante ans pour certains... Un coup d'oeil à celui qui s'était avancé. Il n'avait pas l'air de vouloir lui sauter à la gorge... Aussi, sur sa lancée, le Cache-Misère acheva-t-il :

Toujours est-il, Monseigneur, Demoiselle, que sous le regard du Très-Haut et devant vous, je jure solennellement de prononcer enfin la vérité quant à cette filiation de celle qui est connue sous le surnom de Mahelya. Marie-Amelya, vous vous nommez Marie-Amelya d'Elicahre-Kierkegaard. Votre sang est Tourangeau pour moitié, Russe pour le reste. Vous êtes l'unique descendante vivante de Théobald d'Elicahre, et je suis ici pour vous remettre tous les documents relatifs à votre filiation et à votre famille. A ma connaissance, vous n'avez plus qu'un cousin en vie, du côté des Kierkegaard, qui a été prénommé Priam. Et du côté des Elicahre, vous n'avez plus qu'une cousine également, qui s'appelle Sindanarie. Ces documents sont vôtres.

La liasse fut tendue. Nulle doute qu'elle serait prise. Et, une fois prise, le messager du Très-Haut pourrait s'en retourner en paix en sa retraite.
Ilia
Plongé dans sa prière ... Et dans la contemplation de sa future moitié qui était déjà son quart. Enfin plutôt le huitième techniquement parlant voir le seizième suivant les avis mais était-ce bien là la question?
Enfin bref, Ilia faisait ce qu'il pouvait pour se concentrer sur deux sujets en même temps, acte délicat et ô combien dangereux pour un homme, blond de surcroit.

Arrivé au deuxième noeud du sac de ses pensées, un homme avait fait irruption dans la Cathédrale.
L'homme, hésitant, un peu plus avec la présence du compagnon de Mahelya, lançait ce qui semblait être des vérités inconnues. Ilia, en bon homme blond, ne comprenanit rien à ce qui se disait.

Mahelya n'était pas Mahelya. Enfin si mais non.
Ilia se gratta la tête.


- Je veux bien croire que je suis tarte mais là faudra m'expliquer, murmura-t-il.

Abandonnant tout espoir de comprendre par lui-même, Ilia regarda Mahelya et tenta de trouver des réponses dans son regard. Là encore, fallait pas lui en demander trop au blond.
Le jeune homme se contenta d'hausser les épaules en direction de sa belle en signe d'interrogation.

_________________
Mahelya
Avez-vous déjà vécu une avalanche de claques pour vous réveiller et ainsi vous extraire par la force d'un rêve dans lequel vous vous plaisiez ? C'était exactement ce que ressentait notre Petite Flamme en ce moment. L'angoisse qui avait remuée ses entrailles quelques instants auparavant avait laissé place tout d'abord à une extrême concentration. Les sourcils froncés, la Rousselotte avait écouté sans broncher ce que racontait le pauvre fou. Car l'Homme ne pouvait qu'être fou. Elle était une Penthièvre et elle avait déjà payé un lourd tribus pour avoir osé porter ce nom. Et voilà qu'un Moine sortit de nulle part lui disait que tout ceci n'était que Fable et Faribole. Un Fou vous dis-je.
Puis la Damoclès était tombée. Car aussi fou soit-il avait-il apporté avec lui une liasse de documents qui semblaient étayer ses propos.

L'expression de la Jeune fille était donc passée de septique à quelques chose que l'on aurait pu traduire par : Gné ? Russe ? c'est quoi ? On dit rousse Monsieur !
Timidement, la main tremblante, elle se saisit pourtant des multiples parchemins. Assommée par ce qu'elle pourrait y découvrir, complétement enfermée dans sa bulle, les yeux émeraudes n'avaient pas vu que le vieux Valet Harchi assit à coté d'elle un peu plus tôt, s'était levé, tendu, le souffle saccadé, le corps tendu. Non elle n'avait rien remarquée, trop occupée qu'elle était à fixer inlassablement tout ce vélin griffonné.

Le temps se suspendit dans la Cathédrale de Limoges et le silence tomba. Combien de temps la Flammèche resta-t-elle ainsi ? Elle n'aurait su le dire. Puis soudain, lentement elle releva les yeux, prenant enfin conscience du monde qui l'entourait. Ilia... *Oh Ilia tu es là ! Viens on part loin de tout ça.*... Non non. On reste là, et on se confronte à la réalité. Aldraien était présente également. Bizarrement, bien que la Rousse modèle médium lui en voulait terriblement de l'avoir abandonné pour la Licorne, elle était presque soulagée de voir le visage de sa Mère ici en cet instant. Puis, enfin, les sinoples se posèrent sur Sindanarie. Regard interrogatifs semblant dire : Dois-je regarder ? Est-ce toi la Sindanarie dont il a parlé ?

Longue inspiration.
Soupire.
Le palpitant chantait jusqu'aux oreilles de l’Étincelle.

Prenant enfin son courage à deux mains, la jeune fille se plongea dans la lecture des parchemins. Et plus sa lecture avançait et plus ses jambes se faisaient coton, menaçant de se dérober.


- Sindanarie ... je pense que vous devriez ... regar ...

Et sans finir sa phrase elle lui tendit quelques parchemin qui semblaient concerner la brune aux stries d'argent, apportant immédiatement son attention sur ceux qui la concernaient elle.

Citation:
Famille d’Elicahre



Blasonnement :
Devise familiale : /

Prime génération

1. feu Valerian d’Elicahre*
= époux feue Catherine de Céols*


Deuxième génération

1.1. feue Eloïse d’Elicahre* (1417 – 1435)
= époux feu Eleuthère Carsenac* (1412 – 1453)
Mariage célébré le 2 janvier 1434 en Berry par Antoine de Liancourt.

1.2. Théobald d’Elicahre* (1420 – disparu au combat), vassal d’un noble tourangeau
= époux feue Sylvine Kierkegaard* (1425 – 1447), Comtesse de Veliky Novgorod (Russie)
Mariage célébré le 3 mai 1437 en Touraine par le Père Antoine de Liancourt.

1.3. Théophile d’Elicahre*

1.4. Iseult d’Elicahre*


Troisième génération

De l’union secrète et légitime d’Eloïse d’Elicahre et Eleuthère Carsenac

1.1.1. Sindanarie Carsenac d’Elicahre, Vicomtesse des Cars (fief de retraite, 34ème Comtesse du Limousin et de la Marche), Dame de Viam (Limousin et Marche, anoblie par Trokinas de Perpezac-le-Noir, alors Comte du Limousin et de la Marche), Dame du Freyssinet (Lyonnais-Dauphiné, anoblie par Sa Seigneurie Argael Devirieux, Vicomte de Monestier-de-Briançon)
= épouse feu Eliandre d’Eunomia-Erèbe*
Baptême et mariage célébrés le 26 janvier 1449 par Antoine de Liancourt, certificats perdus.
Baptisée de nouveau le 7 janvier 1455 par le diacre Khandagon en l'église de Guéret.

De l’union légitime de Théobald d’Elicahre et de Sylvine Kierkegaard

1.2.1. feu Lucius d’Elicahre-Kierkegaard* (1437 – 1447)
1.2.2. feue Christine d’Elicahre-Kierkegaard* (1438 – 1447)
1.2.3. et 1.2.4. jumelles siamoises mort-nées, purifiées par le feu (1440 – 1440)
1.2.5. Marie-Amelya d’Elicahre-Kierkegaard (1447)


Quarte génération

De l’union légitime de Sindanarie Carsenac d’Elicahre et Eliandre d’Eunomia-Erèbe

1.1.1.1. Eloïse-Prudence d’Eunomia-Erèbe


Chef de famille : Sindanarie Carsenac d’Elicahre
Héritier légitime : Eloïse-Prudence d’Eunomia-Erèbe


Citation:
Famille Kierkegaard



Blasonnement :
Devise familiale : /

Prime génération

1. feu Vladimir Kierkegaard*
= époux feue Anastasiya van Hof*


Deuxième génération

De l’union légitime de Vladimir Kierkegaard et Anastassia van Hof

1.1. feu Dmitri Kierkegaard*, chevalier de Moscovie
= époux feue Hannah de Novgorod*, Comtesse de Veliky Novgorod (Russie)
Mariage célébré le 24 décembre 1422 par le Père Anthon von Prank.


Tierce génération

De l’union légitime de Dmitri Kierkegaard et Hannah de Novgorod

1.1.1. feue Sylvine Kierkegaard*, Comtesse de Veliky Novgorod (1423 – 1447)
= épouse Théobald d’Elicahre*, vassal d’un noble tourangeau (né en 1420, disparu au combat en 1447)
Mariage célébré le 3 mai 1437 par le Père Antoine de Liancourt.

1.1.2. feu Nikolaï Kierkegaard*
= époux feue Helen Vadirowska*
Mariage célébré le 5 juillet 1439 par le Père Petrov Malenkov.


Quarte génération

De l’union légitime de Théobald d’Elicahre et de Sylvine Kierkegaard

1.1.1.1. feu Lucius d’Elicahre-Kierkegaard* (1437 – 1447)
1.1.1.2. feue Christine d’Elicahre-Kierkegaard* (1438 – 1447)
1.1.1.3. et 1.1.1.4. Jumelles siamoises mort-nées, purifiées par le feu (1440 – 1440)
1.1.1.5. Marie-Amelya d’Elicahre-Kierkegaard (1447), dite Mahelya, héritière du Comté de Veliky Novgorod

De l’union légitime de Nikolaï Kierkegaard et de Helen Vadirowska

1.1.2.1. Priam Kierkegaard


Chef de famille : Marie-Amelya d’Elicahre-Kierkegaard
Héritier légitime : /


- Je ... euh ...

Ses prunelles s'étaient arrêtées sur les noms qui composaient la quarte génération. Pourquoi tout se finissait-il en 1447 ? Et c'était quoi cet arbre généalogique avec son prénom dessus ?
Tant de questions se bousculaient dans le l'esprit juvénile. La Rouquine en avait le tournis, la nausée pointait. Elle devait être livide. Doucement Harchi lui saisit les épaules et la fit s'assoir sur le banc pour continuer sa lecture. Abasourdie, la Flamme bien pâle n'avait pas constaté qu'Harchi devait être aussi blanc et livide qu'elle.
Les vélins défilaient dans ses mains. Certain étaient griffonné d'une écriture étrange mais une traduction en était faite.


Citation:
Certificat de mariage (scel malheureusement arraché du feuillet, traduction depuis le russe) :
Par le présent document, moi, Anthon von Prank, prêtre missionnaire aristotélicien chargé de répandre la Vraie Foi en terres de Moscovie, certifie avoir célébré selon le rite aristotélicien, le 24 décembre de l’an de grâce mil quatre cent vingt-deux, sous le regard du Très-Haut et celui des hommes, le mariage du Chevalier de Moscovie Dmitri Kierkegaard avec la Comtesse Hannah de Novgorod, tous deux baptisés au préalable dans notre religion.
Leurs témoins étaient Son Altesse princière Ivan III de Russie, pour le Chevalier, et la Damoiselle Anuskha van Hof, pour la Comtesse sa cousine, tous deux également baptisés dans la religion aristotélicienne.


Citation:
Certificat de mariage de Théobald d’Elicahre et Sylvine Kierkegaard,
Moi, Antoine de Liancourt, récemment ordonné prêtre aristotélicien, certifie avoir célébré le mariage aristotélicien de Théobald d’Elicahre, noble tourangeau, et Sylvine Kierkegaard, Comtesse de Veliky Novgorod, sous le regard du Très-Haut et des hommes. La cérémonie unissant les époux, tout deux baptisés auparavant dans la Sainte Religion Aristotélicienne et selon ses rites, a eu lieu le 3 mai 1438 en l’église de Loches. Les témoins respectifs des époux étaient en ce jour Elie de Nigre, suzerain de l’époux, et Evdokiya van Hof, cousine de l’épouse, tous deux également baptisés dans la religion aristotélicienne.


Citation:
Exemplaire des bans publiés pour le mariage de Théobald d’Elicahre et Sylvine Kierkegaard, conservé par le Père Horvy après la mort de son maître Antoine de Liancourt : Les Bans


Citation:
Exemplaire des bans publiés, traduit en français pour une relation française de la famille de Novgorod, traditionnellement versée dans les ambassades et la diplomatie, donné à Sylvine Kierkegaard à l’occasion de son mariage par ladite relation en mémoire de ses parents : Les bans


Et enfin une dernière annonce

Citation:
Annonce à la cour de la Moscovie, 20 mai 1419 (extrait, traduction depuis le russe) :

Aussi, dans Notre volonté de renforcer les liens de la Moscovie avec les territoires russes alentours, Nous, Ivan III de Russie, fils et héritier du prince Dimitri IV de Russie, proclamons ce qui suit :

Mariage avantageux sera conclu entre l’un des plus braves et fidèles de Nos valeureux soldats, en la personne du Chevalier de Moscovie Dmitri Kierkegaard, et l’héritière du Comté de Veliky Novgorod, Hannah de Novgorod.

Les noces auront lieu au mois de décembre de cette année, en la religion qui conviendra le mieux à Dmitri Kierkegaard, dont Nous savons l’attachement à la lointaine Eglise aristotélicienne de Rome.

Qu’il en aille de la sorte.


Incrédule, perdue, la jeune fille leva les yeux sur Sindanarie. Elle n'était pas la seule à dévisager ainsi la Vicomtesse des Cars. Harchi ne pouvait défaire ses opales de la femme brune. On aurait dit que c'était la première fois qu'il la voyait.
Doucement, la jeune fille tendit ses documents à sa tante et future Marraine.


- Je ... euh ... ça veut dire quoi ?

Mayday ! mayday ! Un bateau en difficulté, perdu dans la nuit a besoin d'un phare d'urgence !!!

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