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[RP]Quand la bêtise s'installe.

Sidney0
"Calme toi ma Sam..."

Il la tenait dans ses bras, et il savait à peu près contre Qui elle en avait...
Sidney0
{De retour de voyage !}

Cela faisait longtemps qu'il n'était pas revenu chez Sam... Il y avait eu ce long voyage, qui lui avait fait un peu de bien, même si Borrico s'était encore perdu en route, mais bon, il commençait à croire que c'était son habitude !
Il arriva enfin en haut de la colline, il était malgré tout très fatigué par ce voyage... Il se mit au lit et s'endormit, rapidement...
Samsa
A peine rentrée que la Sam repartait.Il faut croire que la grossesse lui donnait des fourmis dans les jambes et la changeait radicalement niveau caractère.Déjà impulsive,lunatique,la Sam était pire dorénavant.Mais le truc qui poussait dans son ventre n'avait pas fait que ça en dégâts:il l'avait poussé à bout et voilà la Sam qui devenait blasée,lassée,de l'absence de Sid.Hé oui,ce n'était pas toujours facile à supporter...Mais bon,voyons les points positifs:la brune se rendait moins au cimetière,mais n'allez pas croire là que c'est parce qu'elle acceptait la mort de Zyg,nan nan!Elle ne l'accepterait jamais notre brunette.Seulement, elle ressentait moins le besoin d'aller la voir,lui parler...Et pourtant,diantre,qu'est-ce qu'elle pensait à elle!Et le couple de femme lui rappelait sans cesse...Sans doute était-ce pour cela qu'elle évitait tout sujet les concernant?Oui Sam pensait à Zyg,a son amour pour elle,et pourtant Sid était là.

Enfin presque.

Heureusement,la brune et le brun avait pu en parler un peu,et elle avait pu exprimer ce qu'elle ressentait.L'effort serait fait,mais une chose était sur:le Sid aimait la Sam,plus que n'importe quoi,et le savoir,en être sur,lui suffisait.Du moins je crois!

Et ce soir,route vers la Bretagne pour retrouver sa soeur.Route vers la Bretagne pour retrouver ses moitiés adorées qui lui manquaient terriblement,parce que ce sont ses moitiés et qu'elles ne sont pas près d'elle.Donc...Y'a un vide,bé vi.

L'Hidalgo harnaché,la Carotte attachée derrière,le Falko courant partout,le Garfield dans les bagages,l'écureuil et la marmotte également,et voilà le convoi partit,juste après un petit détour par le cimetière pour la brune...

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L_incarnation


[Je reviens chez nous...]

Voilà longtemps que la Cheffe n'avait pas fait appel à ses services,la Cheffe qui s'enfonçait toujours plus loin dans l'obscur,car c'était devenue là son seul moyen de substitution dans ce Monde.Et elle,L'Incarnation,elle ne pouvait que s'en réjouir et s'en inquiété.En effet,contrairement aux "autres",la Cheffe s'enfonçait un peu plus dans l'obscur chaque fois qu'elle se rapprochait de la Mort,et s'était bien là tout le danger...

L'Incarnation...

Une ombre disait-on,qui se montrait à ceux qu'elle voulait et non l'inverse.Une fumée qui ne laissait trace de son passage que par l'ambiance qui y régnait,lourde, électrique,tendue...Meurtrière.Une Incarnation,tout simplement,qui avait finit par devenir son appellation.Une Ombre qui avait finit par choisir son Chef,sa Cheffe:une brune damnée pour des milliards de vies,une brune au coeur existant et pourtant en si piètre état qu'il était difficile de dire s'il était mort à force d'être ainsi meurtri ou s'il battait encore,un peu plus faiblement chaque jours,simplement pour s'enivrer d'une douleur si puissante qu'elle finissait par être anesthésiante.La brune devenue sa Cheffe lui avait conter son histoire et L'Incarnation n'avait pu que noter ce mélange d'émotion pur et intense et ce détachement avec lequel elle parlait.Comme si elle aurait voulu oublier sans le vouloir,s'en détacher pour ne pas souffrir alors que cette souffrance lui était vitale.
Mais derrière ce coeur meurtri,L'Incarnation avait trouvé une brune de caractère qui n'avait pas peur d'assumer et de foncer,toujours à se fourrer dans les ennuis,et elle avait apprit à la respecter.Tant et si bien qu'elle était devenue sa Cheffe,et que tout comme la brune aimait à faire plaisir aux autres,L'Incarnation avait apprit à faire de même,mais uniquement pour elle.Elle avait apprit à faire comme sa Cheffe le faisait en veillant sur les autres,mais elle,elle ne veillait que sur elle,ayant trouvé l'âme agonisante mais encore ferme qu'elle avait sans doute du chercher inconsciemment toute son existence...Rester au chevet de cette brune torturée qui ne tiendrait plus des lustres,rester auprès de ce coeur faiblement secoué de spasmes douloureux,tenir la main de cette femme qui ne demandait que ça même si elle ne l'avouait pas,serrer fraternellement cette main qui lui rendait l'étreinte...Veiller à ce que ses derniers temps fussent ceux durant lesquels elle se serait dit:" là...J'ai trouvé même âme que moi...J'ai trouvé âme noire capable de me comprendre,un peu...J'ai trouvé réconfort dans ce qui me correspond vraiment:l'obscur".

Et L'Incarnation était devenue son Ombre.

Capée et encapuchonnée de noir,L'Incarnation arrivait sur un cheval noir également,caparaçonner de noir.Sa Cheffe lui avait demandé de passer à Bordeaux,voir si tout allait bien,voir si la maison était toujours en forme,la remettre en état dans le cas contraire.L'Incarnation n'avait jamais eu à pénétrer ainsi dans l'antre secret de la Cheffe,car elle savait que tout ce qui touchait de près ou de loin à feu L'élue de son Coeur lui était très précieux,et que n'y touchait pas qui veux.
Elle posa pied à terre dans l'herbe après avoir vérifier que nul ne l'avait vu et s'avança jusqu'à la bâtisse.Une maison en bois d'allure modeste,mais assez grande pour bien y vivre.L'Incarnation sortit la petite clé de sa poche et la glissa dans la serrure.En la tournant,elle se souvint des paroles de la Cheffe:"tu es libre de vérifier l'état de chaque pièce,d'allez où ta curiosité te mène,toutes les portes sont ouvertes...Mais ne pénètre pas dans la pièce dont la porte est fermée...Tu me peinerais autant que tu me mettrais en colère...".Ses mots avaient été dit avec un tel ton de supplication que L'Incarnation n'avait pu que promettre de respecter cette demande plus qu'un ordre.
Elle entra silencieusement et ses yeux noirs se baladèrent sur les murs.Des blasons,toujours les mêmes,des carottes,croisées la plupart du temps.L'Incarnation découvrait là le masque de la Cheffe.Tandis ce que certains connaissaient parfaitement le côté "bisounours" de la brune et bien peu le côté noir,elle,c'était l'inverse.L'Incarnation avançait lentement,continuant d'observer. Était-ce parce qu'elle savait la douleur de sa Cheffe qu'elle ressentait cette ambiance triste,endeuillée,qui pesait dans la maison?Ou bien y était-elle réellement?Les autres la sentaient-ils comme elle?Sans doute pas,sa Cheffe savait être bonne comédienne.Elle quitta ses réflexions pour saisir un plumeau de couleur orange et le passer un peu partout où elle passait.Elle savait que sa Cheffe n'aurait pas aimé que la maison soit poussiéreuse,que cette matière grise signe d'oubli enveloppe la demeure,les souvenirs.L'Incarnation monta les escaliers pour arriver à l'étage,continuant de jouer de son plumeau.Elle arriva devant la porte fermée,l'unique de la maison.S'arrêtant un instant,elle se demanda ce qu'il s'y trouvait derrière,si sa Cheffe y entrait,parfois,ne serait-ce que pour chasser la poussière d'oubli.Et puis elle se dit que derrière devait se trouvait tout ce qui maintenait sa Cheffe en vie...Tout ce à quoi elle se raccrochait dans ses derniers souffles agonisants.Tout?Non pas tout à fait.Cessant là ses réflexions,L'Incarnation passa tout de même un léger coup de plumeau sur la poignée et la porte avant d'aller ailleurs.Vint la chambre de sa Cheffe et le lit conjugal.L'Incarnation frémit en Les imaginant,car elle savait au travers des paroles de sa Cheffe qu'au fond,l'amour sonnait faux chez elle désormais.


Cheffe,mais vous êtes folle...Dit-elle doucement en secouant la tête.

Elle passa le plumeau en silence avant de ressortir et de redescendre,évitant de laisser ses questions l'assaillir en passant devant la pièce fermée.Elle alla secouer le plumeau dehors et le remit en place avant de gagner la porte.Elle se retourna et observa une dernière fois l'antre de sa Cheffe avant de sortir et de refermer la porte à clé.
Elle regagna son cheval et l'enfourcha.A présent,elle avait une mission encore plus personnelle...
Samsa
[A force de cogiter,j'réponds moi-même à mes questions...]

Retour à Bordeaux,seule...Bien que ses moitiés soient là,Sam,elle,était revenue seule...Un brun laisser à Rieux chez les moines bretons,une absence de plus.Une absence de trop.Et la Sam en rentrant avait craqué,après 1 an auprès de son Sid,après 6 mois de galère qu'elle tentait de soutenir pour que rien ne coule,au rythme des absences,des silences,des quelques pigeons aux trois lignes,insouciants des soucis,des problèmes,des doutes.
L'hypocrisie installée depuis deux ans ayant disparu,les envies,les goûts d'antan étaient remontés.Les regrets jadis douloureux et omniprésent avaient finit par parler et révéler leur enseignement:"qu'attends-tu pour vivre ce que tu n'as pas vécu par le passé?".Il n'en avait pas fallu beaucoup plus que Sam bascule.

En attendant,retour à la maison.C'était étrange le pouvoir qu'avait cette maison:Sam aurait pu oublier Zyg pendant des années,rien qu'à sa vue,elle pensait à Elle.La brune attacha Hidalgo et ramena les deux Rouquines à la maison.Elle monta dans sa chambre et les coucha,redescendant ensuite pour mettre son âne au pré avec Carotte.


FALKOOOOOOOOOOO!!

Le beauceron accourut joyeusement et Sam lui sourit.Elle lui frotta gentiment la tête.

Rentre pardi,on repart demain.

Hé oui,nouveau départ pour nouveau voyage,moins long moins loin...
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L_incarnation


L'Incarnation était toujours là...Sa Maîtresse s'était apaisée,mais elle sentait que tout n'était pas fini...Les Ténèbres guettaient,patients.Une attitude devenue seconde nature également.Et malgré que la Cerbère soit plus en paix avec elle-même,l'Incarnation,son Ombre,restait près d'elle,fidèle...Elle n'avait pas démérité...Elle gardait le respect et l'estime de l'Incarnation.
Elle passa d'ailleurs devant le couvent de Bordeaux.Elle se souvenait encore des titres des gazettes sorties ce jour-là:"Une nonne sauvagement assassinée".Le meurtre n'avait jamais été élucidé.Personne ne savait qui avait eut la folie d'assassiner une représentante du Très-Haut.Mais l'Incarnation savait,elle...Elle savait que sa Maîtresse avait du sang sur les mains...


Tu as signé...Dit-elle doucement en se souvenant de l'état de sa Maîtresse à son retour,au matin.Entre égarement et impassibilité.

L'Incarnation gagna la maison.La Cerbère était encore partie en voyage.Et l'Ombre,fidèle,loyale,continuait de veiller sur elle.Bientôt,une nouvelle combine serait faite,elle le savait,elle le sentait...Et Cerbère retrouverait son côté obscur,l'espace d'un temps ne serait-ce,au nez et à la barbe de tous...

Elle s'éloigna et disparut...
L_incarnation


Sa Maîtresse n'est pas encore rentrée.Mais l'Incarnation sait qu'elle est en route.Dans quelques jours,elle sera de retour...L'Ombre s'avance vers la bâtisse de son pas glissant.A croire que la mort faisait des allers-retours incessants dans cette demeure.Elle entra à l'intérieur et de sa cape fit tomber la poussière présente sur les meubles et autres.Un coup de balai et on n'y voyait plus.
Bientôt elle serait de retour.L'Incarnation tourne la tête vers la fenêtre,observant le ciel.On lui courrait après,elle le savait...On la cherchait.Le crime de la nonne n'était pas oublié pour tout le monde.


Je veille sur toi...

Oui elle veillerait.Elle veillerait à brouiller les pistes.Et si,malgré tout,on la trouvait,l'Ombre veillerait sur Cerbère.Sa Maîtresse craquerait-elle?Il serait temps de le voir.De renouveler l'estime et le respect qu'elle avait mit en elle.Mais elle veillerait premièrement à ce que ce besoin n'arrive pas...
L_incarnation


Et un matin,c'est le corbeau qui joue l'oiseau de mauvais augure...On est prédestiné ou on ne l'est pas.L'Incarnation récupère l'oiseau sur son poignet,saisit la missive cachée sous son aile.Non,ce n'est pas Elle qui lui a écrite.Elle ne lui écrit pas.Jamais.Elle pense et murmure et l'Incarnation sait.Sur cette missive se trouve des runes qui ferait faire une crise cardiaque au Pape tant elles sont hérétiques,et l'Incarnation les déchiffre,gravées dans le papier.C'est inutile pourtant,elle sait déjà que sa Maîtresse est en mauvaise posture.Elle l'a su dès l'instant où les berrichons se plaçait en embuscade,où la flèche traîtresse lui massacrait l'épaule, entraînant la chute du haut de son destrier,lui brisant la jambe et l'épée.Elle savait dès l'instant où l'épée adverse s'abattit violemment sur son bouclier qui se brisa et...Quand il n'y eut plus rien.Heureusement qu'elle avait su,heureusement qu'elle avait eut la prescience.Et le Diable fut,sur ce coup,le défenseur de la Bordelaise qu'on surnommait par le nom du Gardien des Enfers.Les comptes avaient été réglés,mais les Deux resteraient liés,l'Incarnation le savait et jouait une sorte d'intermédiaire.
Elle enfourcha sa monture de nuit et se dirigea au grand trot vers la maison de sa Maîtresse.
Veiller.Il fallait veiller.

Elle s'arrêta à l'orée de la forêt non loin de la colline qui supportait la maison de bois.Elle l'observa longuement,comme guettant.

Veiller.Il fallait veiller.

Elle repartit pour monter la colline et s'abrita sous les quelques arbres groupés.Calée dans sa selle,elle ne bougea plus.

Veiller.Il fallait veiller.
Samsa
Sam était rentrée voilà quelques jours. Revenue de ses voyages, de ses escortes, de sa guerre. Une guerre contre les angevins qu'elle avait préparé avec minutie, le coeur vaillant et l'oeil flamboyant. Ah pardi, elle avait belle allure en quittant la capitale ! Montée sur un robuste destrier noir, cottes de maille, épée et bouclier étincelants, tabard blasonné, elle en avait jeté. Elle avait d'ailleurs grimpé les échelons à la vitesse d'un cheval au galop, passant de simple soldat à meneuse de lance, cheffe de section, sergente et enfin informatrice du chef de l'armée. Ah oui pardi, elle avait été reconnu à sa juste valeur ! Mais des angevins, il avait fallu se détourner. Tout était tombé, les villes, les soldats, terrassés par les combats ou la maladie. La maladie surtout. Le chef avait dévié l'armée vers le Berry, vers Thoros. Aaahh, la déception ! Alors que se préparait la guerre de Rome et du Roy, sans oublier Namaycush qui s'en était mêler, il avait fallu choisir un camp. Quel comble de constater que le chef de l'armée royaliste avait choisi Rome ! Quel comble de constater que l'informatrice qu'avait été Sam n'avait été prévenu que la nuit qu'il fallait vêtir son armure, elle qui avait passé la journée avec le chef ! Ah oui, quel comble de constater alors au lendemain le corps de la Bordelaise, la vaillante sergente sans peur, étendue au sol, mourante !
Sam avait depuis lors nourri un sentiment amer envers le chef de l'armée. Sa seule consolation n'avait été que de savoir que la plupart des soldats avaient freinés des quatre fers en apprenant vers où ils marchaient. L'armée, devenue impuissante, avait fini par se dissoudre. Et pourtant, elle avait lu dans l'AAP qu'il avait combattu pour Rome.

Coincée à Guéret, Sam avait du prendre son mal en patience, comptant les jours telle une prisonnière. Au fond, ne l'était-elle pas ? Loin de tout, de tous, avec pour seule compagnie un Thythy Tavernier et un grosminet Arry Stochat ? Au fil des jours, Sam était devenue irascible, associable. L'épée lui manquait et se sentir impotente lui était pénible. Elle avait eut le bonheur -malheur ?- cependant de gagner 1 000 écus. Comme ça, pof ! Et il avait fallu le ramener, cet argent ! Craignant les brigands, les nerfs s'étaient tendus plus encore. Heureusement, Anthy avait su prévoir le trajet au grand soulagement de la Bordelaise. Enfin ça, c'était jusqu'à ce qu'elle découvre que l'escorte s'arrêtait aux frontières du Limousin. Et voilà, on est reparti pour un tour ! Tallye à la rescousse, tayoooo ! Et les moitiés à Saintes, douces et tendres moitiés. Un steak à passer au grill. Le premier que Sam n'ai pas grillé, l'envoyant dans l'assiette à point nommé. Mais voilà un Asticot qui pense bien avoir vu un coin noir grillé. Et voilà tout le monde à l'étudier.
Et les chemins se séparent de nouveau, mais cette fois pas question de laisser la vie les éloigner si longtemps. Promesse est faite; pas 6 mois ! D'autres promesses aussi, celles de vengeances, de prudences, de prises de nouvelles. Promesses, ces paroles qui lient des vies à d'autres dans le sourire ou la gravité, mais toujours avec l'émotion dans la voix.

L'émotion. En ce mois de mars, il aurait du y en avoir, le 6 précisément, et même avant. Il n'y en avait eut que très peu avant, pas du tout le jour J. Le lendemain ? Réaction. Elle avait oublié. Ou-bli-é. Zappé. Du jamais vu, tout simplement. Inimaginable même. Sam en avait été choqué avant d'en subir la honte. Aujourd'hui encore, ce ressentis -certes plus bref- dormait encore en elle. Pourtant, elle ne pouvait s'empêcher de penser que c'était le temps qui faisait son oeuvre. Alors ils avaient raison ? Tous ? Lau en disant qu'elle guérirait, Zeph en disant que le chagrin se ferait plus léger, Cendre en disant que le temps était un allié fidèle ? Sam finissait par y croire, et la douleur, toujours présente, se faisait cependant plus légère.

Elle rentra donc en vue de sa maison au rythme nonchalant d'Hidalgo, son âne. Ses Rouquines étaient installées dans des paniers aux flancs de Carotte, la jeune ânesse. Falko traînait non loin autour. La colline fut franchie paresseusement et ils arrivèrent en haut. La Brune mit pied à terre et observa la maison d'un air de triste regret.


Je suis désolée Zyg pardi... Soupira-t-elle.
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