Prudence_de_champlecy
Pour rappel, Poum était une berrichonne indépendantiste, vassale de George le Poilu elle aurait donné sa vie pour le servir (légèrement fanatique oui oui). frappée d'une schizophrénie héréditaire lors de sa vingtaine elle tenta de tuer une des filles de la Reyne en place, puis d'une seconde. Sa tête mise à prix par la couronne elle continua de participer aux combats de la guerre, au cour d'un combat elle perdit l'une de ses jambes, et des suite d'une vengeance l'un de ses yeux. Borgne, unijambiste, et folle sur la fin, elle ne pouvait sortir de ses terres sans entendre les enfants crier de peur, mais pas à tord. Les terres de Saint Denis de Jouhet avaient été laissées à l'abandon après les exécution paranoïaque du personnel, "Tous des espions de la Couronne !" avait-elle hurlé après avoir égorgé son dernier palefrenier...
Mais c'était bien avant sa mort, bien avant qu'elle ne devienne folle, bien avant qu'elle n'est retrouvé sa famille que se déroule notre histoire. Elle se savait Prudence de Champlecy mais elle ignorait les épines de la branche Rose Noire et pour tous elle ne s'appelait que "Poum". C'était il y a quatorze ans, soit douze ans avant qu'elle ne se fasse assassiner pour ses crimes. Prudence avait alors seize ans vivait à Bourges, elle était maintenant adulte et avait hérité de la maison qui avait appartenu à une vieille dame l'ayant élevée après la mort de sa mère.
Cet après midi là il y avait de l'action sur la grande place de la capitale berrichonne, les élections ducales approchaient et les joutes verbales animaient les rues de la ville. Pourquoi est-ce-que tous ces gens s'animaient autant pour de la politique ? Ses grands yeux noir brillait denthousiasme elle avait envie de participer mais elle ne connaissait pas les sujets, l'un parlait des mines effondrées quand l'autre des animaux et du prix de leurs vente... Soudain un grand blond portant le logo du FIER remballa avec force son adversaire sous les applaudissements des quelques présents, amour d'adolescence la jeune femme le fixait en applaudissant aussi fort qu'il lui était possible, il ne serait pas surprenant de voir un filet de bave couler le long de son menton. Mais la désillusion vint il ne lui accorda pas un regard, d'ailleurs il ne regardait jamais les femmes et qu'elles chances aurait-elle sous ses airs de gueuse ?
Dépitée elle prit le chemin de la taverne, peut-être qu'une bière lui ferait du bien ? Après tout avec cette chaleur il était fort probable que cette boisson la réconforte. Elle saura plus tard que le réconfort de cette boisson ainsi que toutes autre boisson alcoolisées lui aura apporté plus d'ennuis qu'autre chose.
La soirée ne fut pas des plus utile, c'est pour ça que je ne la raconterais pas, également parce-que j'ai grave la flemme. Toujours étant qu'elle fit un bond au détour d'une ruelle alors qu'elle rentrait chez elle, l'ombre d'un homme faisait fasse. Est-ce-que l'histoire du fantôme des marrais était vrai ? Et oui il fut un temps ou Prudence de Champlecy avait peur, un temps ou elle avait une conscience et même un cur.
Prenant tout de même son courage à une main et une dague dans l'autre elle savançât vers l'ombre, plus elle approchait plus celle ci devenait petite, il ne sagissait en fait que d'un garçon de treize ou quatorze ans à tout casser.
Qu'est-ce-que tu fout là bazin* ? T'as pas d'parents pour te dire de pas trainer ici quant-il fait nuit ? Les argousins** vont t'attraper et te jeter en touisme*** pour vagabondage, vient par là !
D'un signe de menton elle indiqua la porte de la maison au garçon et attendit une réaction de sa part.
Mais c'était bien avant sa mort, bien avant qu'elle ne devienne folle, bien avant qu'elle n'est retrouvé sa famille que se déroule notre histoire. Elle se savait Prudence de Champlecy mais elle ignorait les épines de la branche Rose Noire et pour tous elle ne s'appelait que "Poum". C'était il y a quatorze ans, soit douze ans avant qu'elle ne se fasse assassiner pour ses crimes. Prudence avait alors seize ans vivait à Bourges, elle était maintenant adulte et avait hérité de la maison qui avait appartenu à une vieille dame l'ayant élevée après la mort de sa mère.
Cet après midi là il y avait de l'action sur la grande place de la capitale berrichonne, les élections ducales approchaient et les joutes verbales animaient les rues de la ville. Pourquoi est-ce-que tous ces gens s'animaient autant pour de la politique ? Ses grands yeux noir brillait denthousiasme elle avait envie de participer mais elle ne connaissait pas les sujets, l'un parlait des mines effondrées quand l'autre des animaux et du prix de leurs vente... Soudain un grand blond portant le logo du FIER remballa avec force son adversaire sous les applaudissements des quelques présents, amour d'adolescence la jeune femme le fixait en applaudissant aussi fort qu'il lui était possible, il ne serait pas surprenant de voir un filet de bave couler le long de son menton. Mais la désillusion vint il ne lui accorda pas un regard, d'ailleurs il ne regardait jamais les femmes et qu'elles chances aurait-elle sous ses airs de gueuse ?
Dépitée elle prit le chemin de la taverne, peut-être qu'une bière lui ferait du bien ? Après tout avec cette chaleur il était fort probable que cette boisson la réconforte. Elle saura plus tard que le réconfort de cette boisson ainsi que toutes autre boisson alcoolisées lui aura apporté plus d'ennuis qu'autre chose.
La soirée ne fut pas des plus utile, c'est pour ça que je ne la raconterais pas, également parce-que j'ai grave la flemme. Toujours étant qu'elle fit un bond au détour d'une ruelle alors qu'elle rentrait chez elle, l'ombre d'un homme faisait fasse. Est-ce-que l'histoire du fantôme des marrais était vrai ? Et oui il fut un temps ou Prudence de Champlecy avait peur, un temps ou elle avait une conscience et même un cur.
Prenant tout de même son courage à une main et une dague dans l'autre elle savançât vers l'ombre, plus elle approchait plus celle ci devenait petite, il ne sagissait en fait que d'un garçon de treize ou quatorze ans à tout casser.
Qu'est-ce-que tu fout là bazin* ? T'as pas d'parents pour te dire de pas trainer ici quant-il fait nuit ? Les argousins** vont t'attraper et te jeter en touisme*** pour vagabondage, vient par là !
D'un signe de menton elle indiqua la porte de la maison au garçon et attendit une réaction de sa part.
* Bazin = idiot en berrichon
** Argousins = milices en berrichon
*** Touisme = prison en berrichon
édit : changement couleur de police pour plus de cohérence.
** Argousins = milices en berrichon
*** Touisme = prison en berrichon
édit : changement couleur de police pour plus de cohérence.