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[RP] On a perdu la trace de sainte lucie.... aidez nous!!!!

Aribe


Sainte Lucie, le Chemin de Lumière.

Lucie, vierge de Syracuse , alla sur la tombe de Sainte Agathe accompagnée de sa mère qui souffrait depuis quatre ans d'une perte de sang. Après avoir touché le tombeau elle guérit aussitôt de sa maladie. En guise de remerciements, Lucie distribua tous ses biens aux pauvres.

Cela irrita son fiancé, qui dénonça Lucie, lui reprocha d'être chrétienne et de violer les édits des Césars.

Comme le fiancé ne parvenait pas à oublier les beaux yeux de Lucie, elle s'arracha les yeux et les lui fit parvenir dans un plat. On la représente portant ses yeux d'une main et tenant dans l'autre la palme des martyrs.

Plus tard ses yeux sont réapparus à la suite de ce don et c'est ainsi que les tableaux la montrent.
Le consul Pascasius voulut l'emmener dans un lieu de débauche, mais mille hommes et mille paires de boeufs ne purent la faire bouger. Les amis du Consul finirent par enfoncer une épée dans la gorge de Lucie qui néanmoins ne perdit pas la parole: "Je vous annonce, dit-elle, que la paix est rendue à l'Eglise, car Maximilien vient de mourir aujourd'hui, et Dioclétien est chassé de son royaume : et de même que ma soeur Agathe a été établie la protectrice de la ville de Catane, de même j'ai été établie la gardienne de Syracuse". Elle ne mourut qu'en l'an 310.

Elle est considérée comme martyr et patronne protectrice des yeux. Elle est invoquée pour soigner les maladies des yeux.

Un coquillage s'appelant l'œil de Sainte Lucie, représenterait ses yeux.






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Psych0
Psy, écouta attentivement Aribe, mais cette histoire ne lui rappelle rien:

Hum, oui, surement. Mais sire, elle est considéré comme martyr dans la religions de Christos, pas dans celle d'Aristote. D'ailleurs Aristote, ne connait pas de Sainte Lucie. Ici Sainte lucie, est une Sainte Sarladaise, patronne de nos pécheurs.

Désolé, si je suis contradictoire, mais nous ne pouvons confondre les deux religions.




S'il vous plait, l'histoire de Sainte Lucie, je la connais, mais il s'agit de la sainte lucie Chrétienne, Or la réligion des RR, est la religion Aristotélicienne, aucun lien avec le Christianisme. Par avance merci.

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Ki_adi_mundi
Mundi retourna a la recherche de sainte lucie et surveilla que la dame ne si trouvé plus


Moi j'ai peut etre une autre piste.
Nann rien avoir a des cours de cuisine ou tout aux autres propos machiste.


Mundi souria, Il esperer que la dame n'etai pas la

Elle aurait accomplit un miracle alor que tous les villageois avait peu de s'aproché du lac.
Elle y serait allée se baigné nue.

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Mundi un deputé pas comme les autres qui vous veut du bien.
Madcat
Mad arrivait tranquillement, son chien sur les talons, le nez au vent et ne regardant même pas devant elle. Elle faillit entrer en collision avec Mundi, planté au milieu du chemin et qui faisait un discours quelque peu original.

Citation:
Elle aurait accomplit un miracle alor que tous les villageois avait peu de s'aproché du lac.
Elle y serait allée se baigné nue.


Mundi, ne reste pas au milieu du chemin...
Désolée, c'est de ma faute, je ne regardais pas devant moi!!
Mais que racontes-tu là? Baignée toute nue dans le lac?
Jamais!! Une femme se baignant toute nue dans le lac
aurait été brûlée comme sorcière par les Sarladais!!
Ils auraient dit qu'elle avait fait un pacte avec le sans-nom!!
Regarde plutôt ce que j'ai trouvé dans mes archives au bureau du tribun!!


A ces mots, Maddy sortit de sa besace un gros grimoire en piteux état, dont elle tourna délicatement les pages pour retrouver le passage qui avait attiré son attention.
Voilà, j'y suis...non, c'est plus loin... J'arriverai bien à retrouver cette maudite page!! Maddy s'impatientait. Elle poussa un petit cris de triomphe.

La voilà, c'est la bonne page, je savais bien...

Puis elle se mit à lire, d'une voix claire et assurée, comme si ce qu'elle lisait était la solution que tout le monde cherchait.

Citation:
En ce temps là certains Sarladais cultivaient une variété de céréales appelée seigle et qui donne une farine légèrement grisâtre. Ces paysans étaient parmi les plus pauvres et ne subsistaient que grâce au produit de leurs terres. Ils broyaient eux-mêmes leur grain et en faisaient un pain grossier, certes, au goût un peu acide, mais pas désagréable. Quand ils le pouvaient ils en vendaient aux Sarladais plus aisés, qui l’appréciaient tartiné de beurre pour accompagner le produit de la pêche. Mais un jour un terrible fléau frappa Sarlat. Tout le monde vit dans ce fléau l’intervention du Sans Nom. Tout commença chez les producteurs de seigle par un beau jour de juillet. La famille de Jehan le Fort était réunie dans la salle commune, quand Jehan commença à se plaindre de brûlures intolérables dans les bras et les jambes. Il se leva soudain, renversant table et chaise, vociférant comme un possédé que la maison était en feu, que les démons venaient le chercher. Saisissant un tranchoir bien affûté il se jeta sur sa bru, hurlant qu’elle lui avait jeté un sort et essayant de lui trancher le cou. Ses trois fils, d’abord paralysés de stupeur se jetèrent sur lui et parvinrent à le maîtriser. Hurlant, bavant, gesticulant il fut ligoté sur son lit, où il agonisa pendant des jours et mourut dans d’atroces souffrances. Et le fléau se répandit, bientôt toutes les familles de producteurs de seigle furent affectées. On n’entendait que hurlements, jurons et cris d’agonie dans cette partie du village. Le bourgmestre avait ordonné que des feux fussent allumés autour du quartier pour empêcher les possédés de venir infecter le reste du village. Des hommes d’arme les entretenaient nuit et jour et veillaient à ce que nul ne franchît le cercle de feu. Mais un triste jour du mois d’août de la même année, une petite Isabeau, fille bienaimée d’un notable, se leva en pleine nuit de sa couche douillette et se rompit le cou en sautant dans le lavoir, pour, hurlait elle, éteindre le feu de l’enfer qui la dévorait. A partir de ce jour on ne compta plus les possédés de la « Maladie des Ardents », comme un vieux sage du village avait nommé le fléau. Sarlat courait à sa destruction totale, quand Dame Lucie, la rebouteuse du village…

Soudain Maddy poussa un cri de détresse et interrompit sa lecture.

Non ; regarde, Mundi, il manque des pages, qui a pu arracher les pages manquantes ??
Et moi qui croyais avoir trouvé la clef de l’énigme !! Je rentre chez moi, je suis trop déçue !!

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Psych0
Psy écouta Madcat attentivement:

Hum, hum. Oui effectivement, j'ai bien entendu parler de cette histoire. Dame Lucie, était donc quelqu'un d'exceptionnel. Puisque voici ce que j'ai trouver. C'est la suite de ce que tu as trouvé toi :

Citation:
Sarlat courait à sa destruction totale, quand Dame Lucie, la rebouteuse du village, pensant soigner les possédés, avec de l'eau de la source, alla chercher donc, une bouteille d'eau de cette source.

Elle arriva donc, dans le quartier des possédés, et fit boire un des malades. Plusieurs heures passèrent et toujours rien. Elle décida donc, d'aller chercher de l'eau au Lac, Lac où les poissons mourraient tous, et que la couleur était grisonnante, comme une eau polluée. Elle plongea sa main dans l'eau, avec sa bouteille,vide.

C'est alors qu'un miracle se produit. Les poissons ne remontaient plus les uns après les autres. Et l'eau redevint bleue, et claire. Elle remplit donc sa bouteille, et se rendit au chevet des malades.

Elle fit boire, l'un d'eux, et tout a coup, il était dépossédé de la maladie.

Dame Lucie, depuis ce jour est considérée comme une Sainte, par les Sarladais, qui avait découvert qu'elle avait aussi sauver la pêche. Elle devint pour eux, la Sainte Patronne, des Pécheurs.


Je crois que nous avons la clé de l'énigme. Reste a savoir, comment Dame Lucie, dit Sainte Lucie, est décédée.
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Madcat
Maddy hocha la tête quand Psycho eut terminé sa lecture et continua à feuilleter son grimoire. Soudain elle s'arrêta, poussa une exclamation de surprise et, fébrilement se mit à lire en tournant les pages à toute vitesse, au risque de déchirer un peu plus le fragile ouvrage. Enfin elle s'arrêta, poussa un grand soupir et dit d'une voix basse, comme émerveillée par ce qu'elle venait de découvrir.

Je crois que j'ai trouvé la fin de l'histoire,
voici un chapitre intitulé
La mort de Sainte Lucie


D'une voix de plus en plus assurée, Maddy reprit sa lecture.

Citation:
Elle fit boire, l'un d'eux, et tout a coup, il était dépossédé de la maladie.
Tout le monde poussa un soupir de soulagement quand le fléau fut vaincu. Dame Lucie vit sa notoriété s'étendre à la région tout entière. On venait de tous les coins du Périgord pour se faire examiner et soigner. Les onguents qu'elle préparait avec les simples de son herbarium, broyés et mélangés à de l'eau du lac, faisaient miracle dans les fermes et les riches demeures, aussi bien que dans les cabanes des pauvres hères. Par un beau mois d'Août, particulièrement sec et chaud, le fils du bourgmestre tomba malade. Celui-ci fit mander Dame Lucie, qui, aussitôt accourue, conseilla une infusion de thym préparée avec de l'eau du lac.
Elle se rendit sur la rive, suivie d'un grand nombre de Sarladais, qui la considéraient comme une Sainte Femme et n'hésitaient pas à se prosterner sur son passage pour baiser l'ourlet de sa robe. L'eau du lac était à son plus bas niveau. Il n'avait pas plu depuis des semaines, et elle dut marcher longtemps avant d'atteindre l'endroit où l'eau et la terre se rejoignaient. Ses admirateurs la suivaient à une distance respectueuse. Il la virent se pencher sur l'eau et remplir une aiguière du précieux liquide. Tout le monde suivait le moindre de ses gestes. Soudain un cri s'échappa de la bouche des spectateurs. Dame Lucie semblait s'enfoncer dans le sol, lentement, de façon presque imperceptible, ses jambes disparurent, elle agitait les bras, appelait au secours, mais nul n'osait s'approcher de la rive, craignant une intervention diabolique. Au bout de quelques minutes on ne vit plus que les cheveux gris de Dame Lucie dépasser de la boue noirâtre. On n'entendit plus rien quand même les cheveux disparurent. Pétrifiés sur place, les derniers Sarladaits présents ne virent plus que l'aiguière d'argent que Dame Lucie avait réussi à poser sur un coin de terre solide avant de disparaître dans le sol marécageux, comme mystérieusement avalée par un monstre inconnu.
L'un des serviteurs du bourgmestre alla récupérer l'aiguière et l'on prépara l'infusion de thym. Le fils du bourgmestre fut guérie. Le bourgmestre, éperdu de reconnaissance pour la Sainte Femme qui avait donné sa vie pour sauver son fils, fit construire une magnifique église que l'on nomma Sainte Lucie en son honneur.

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Psych0
Psy écouta, avec attention, la lecture de Mad. Il souriait, heureux d'approcher du dénouement de l'histoire de Sainte Lucie.


Hum, oui, je crois que tu a trouvé la fin de l'histoire. Je vais devoir recopier tout cela, dans l'ordre. Je le ferai dans la semaine.

Il reparti donc en direction du marché
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Psych0
Plusieurs jours passa et Psy avait enfin fini, la ré-écriture de l'histoire de Sainte Lucie.


Citation:
Sainte Lucie de Sarlat, Patronne des pécheurs


L'histoire de Sainte Lucie

En ce temps là certains Sarladais cultivaient une variété de céréales appelée seigle et qui donne une farine légèrement grisâtre. Ces paysans étaient parmi les plus pauvres et ne subsistaient que grâce au produit de leurs terres. Ils broyaient eux-mêmes leur grain et en faisaient un pain grossier, certes, au goût un peu acide, mais pas désagréable. Quand ils le pouvaient ils en vendaient aux Sarladais plus aisés, qui l’appréciaient tartiné de beurre pour accompagner le produit de la pêche. Mais un jour un terrible fléau frappa Sarlat. Tout le monde vit dans ce fléau l’intervention du Sans Nom. Tout commença chez les producteurs de seigle par un beau jour de juillet. La famille de Jehan le Fort était réunie dans la salle commune, quand Jehan commença à se plaindre de brûlures intolérables dans les bras et les jambes. Il se leva soudain, renversant table et chaise, vociférant comme un possédé que la maison était en feu, que les démons venaient le chercher. Saisissant un tranchoir bien affûté il se jeta sur sa bru, hurlant qu’elle lui avait jeté un sort et essayant de lui trancher le cou. Ses trois fils, d’abord paralysés de stupeur se jetèrent sur lui et parvinrent à le maîtriser. Hurlant, bavant, gesticulant il fut ligoté sur son lit, où il agonisa pendant des jours et mourut dans d’atroces souffrances. Et le fléau se répandit, bientôt toutes les familles de producteurs de seigle furent affectées. On n’entendait que hurlements, jurons et cris d’agonie dans cette partie du village. Le bourgmestre avait ordonné que des feux fussent allumés autour du quartier pour empêcher les possédés de venir infecter le reste du village. Des hommes d’arme les entretenaient nuit et jour et veillaient à ce que nul ne franchît le cercle de feu. Mais un triste jour du mois d’août de la même année, une petite Isabeau, fille bienaimée d’un notable, se leva en pleine nuit de sa couche douillette et se rompit le cou en sautant dans le lavoir, pour, hurlait elle, éteindre le feu de l’enfer qui la dévorait. A partir de ce jour on ne compta plus les possédés de la « Maladie des Ardents », comme un vieux sage du village avait nommé le fléau.

Sarlat courait à sa destruction totale, quand Dame Lucie, la rebouteuse du village, pensant soigner les possédés, avec de l'eau de la source, alla chercher donc, une bouteille d'eau de cette source.

Elle arriva donc, dans le quartier des possédés, et fit boire un des malades. Plusieurs heures passèrent et toujours rien. Elle décida donc, d'aller chercher de l'eau au Lac, Lac où les poissons mourraient tous, et que la couleur était grisonnante, comme une eau polluée. Elle plongea sa main dans l'eau, avec sa bouteille,vide.

C'est alors qu'un miracle se produit. Les poissons ne remontaient plus les uns après les autres. Et l'eau redevint bleue, et claire. Elle remplit donc sa bouteille, et se rendit au chevet des malades.

Elle fit boire, l'un d'eux, et tout a coup, il était dépossédé de la maladie.

Dame Lucie, depuis ce jour est considérée comme une Sainte, par les Sarladais, qui avait découvert qu'elle avait aussi sauver la pêche. Elle devint pour eux, la Sainte Patronne, des Pécheurs.


La mort de Sainte Lucie :

Elle fit boire, l'un d'eux, et tout a coup, il était dépossédé de la maladie.
Tout le monde poussa un soupir de soulagement quand le fléau fut vaincu. Dame Lucie vit sa notoriété s'étendre à la région tout entière. On venait de tous les coins du Périgord pour se faire examiner et soigner. Les onguents qu'elle préparait avec les simples de son herbarium, broyés et mélangés à de l'eau du lac, faisaient miracle dans les fermes et les riches demeures, aussi bien que dans les cabanes des pauvres hères. Par un beau mois d'Août, particulièrement sec et chaud, le fils du bourgmestre tomba malade. Celui-ci fit mander Dame Lucie, qui, aussitôt accourue, conseilla une infusion de thym préparée avec de l'eau du lac.
Elle se rendit sur la rive, suivie d'un grand nombre de Sarladais, qui la considéraient comme une Sainte Femme et n'hésitaient pas à se prosterner sur son passage pour baiser l'ourlet de sa robe. L'eau du lac était à son plus bas niveau. Il n'avait pas plu depuis des semaines, et elle dut marcher longtemps avant d'atteindre l'endroit où l'eau et la terre se rejoignaient. Ses admirateurs la suivaient à une distance respectueuse. Il la virent se pencher sur l'eau et remplir une aiguière du précieux liquide. Tout le monde suivait le moindre de ses gestes. Soudain un cri s'échappa de la bouche des spectateurs. Dame Lucie semblait s'enfoncer dans le sol, lentement, de façon presque imperceptible, ses jambes disparurent, elle agitait les bras, appelait au secours, mais nul n'osait s'approcher de la rive, craignant une intervention diabolique. Au bout de quelques minutes on ne vit plus que les cheveux gris de Dame Lucie dépasser de la boue noirâtre. On n'entendit plus rien quand même les cheveux disparurent. Pétrifiés sur place, les derniers Sarladaits présents ne virent plus que l'aiguière d'argent que Dame Lucie avait réussi à poser sur un coin de terre solide avant de disparaître dans le sol marécageux, comme mystérieusement avalée par un monstre inconnu.
L'un des serviteurs du bourgmestre alla récupérer l'aiguière et l'on prépara l'infusion de thym. Le fils du bourgmestre fut guérie. Le bourgmestre, éperdu de reconnaissance pour la Sainte Femme qui avait donné sa vie pour sauver son fils, fit construire une magnifique église que l'on nomma Sainte Lucie en son honneur.


Puis il alla la déposer, en l'église, Sainte Lucie
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