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[RP] Lac de Joinville

Flinguette

Dans le silence de la forêt, elle entend ce qui ressemble à un clapotis. De l'eau ?

Guidée par le chant aquatique, là voilà qui découvre au détour d'un bosquet un magnifique lac.

Le lac est recouvert d'une brume légère. La beauté du lieu apaise la brunette mais la lumière qui s'appauvrit l'inquiète. Nul ne lui a jamais parlé de ce lac.
Elle décide d'en faire le tour. Il y aura bien quelque sentier quelque part.
La brunette sent la colère poindre au fond de ses tripes. Le sang la chauffe. Elle s'en veut terriblement. Parler à haute voix la rassure


Ah ça... pour rêvasser, et s'esbaudir et pipeletter, tu es la meilleure, Flinguette mais quand il s'agit d'être RAI-SON-NA-BLE il n'y a plus PER-SON-NE !!!!
Mais comment je vais retrouver le village ???
Pas un sentier qui vaille autour du lac...



Flinguette hâte le pas. Le jour baisse. Elle finit le tour presque en courant et doit bien le reconnaître... Une jeune fille, une forêt, un lac... une conclusion assez classique : elle est perdue.


– HE !!!!!!!!!!! HHHHHHOOOOOOOO !!!!!!!

Y A QUELQU'UN ????????????????

je suis perdue...


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Puri..
Puri qui après sa journée de travaille entre sa taverne et la rénovation de sa maison, était retourner aux lac , en passent comme a sont habitude , par les arbres , de branche e branche , il y arrivas vite. Puri s’assit sur une des branches et contempla se lac , la brume se levé , les oiseaux gazouiller et pour le reste , ces le calme , un de ses moment qu'il apprécier tan . Puis dans se moment parfait un crie , viens lui casse les oreilles . Puri chercher qui pouvait bien crie dans se moment de calme , et la il vis une silhouette qui courait. Puri la reconnue , c’était la nouvelle du village , dame Flinguette. Puri sautas a terre , s'appuyas contre le tronc de l'arbres et dit a la dame:


Alors ma petite dame, perdu , faut pas crié comme sa , vous aller faire peur aux oiseaux qui profite de la nuit tombante , pour se regrouper.

Lui sourit

Comment êtes vous arrivez ici? Il faut pas se promener dans les bois seul la nuit , ses dangereux .
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Flinguette
La Brunette aurait eu bien du mal à l'admettre mais c'est panique à bord !!! Toutes voiles dehors !!!

Un bruit ?

Elle se retourne.

Et reconnaît son ami Puri..


Puri.. !!!!!!! Sauvée!!!!

Peu encline aux effusions, roucoulades ou autres, spontanément – mais exceptionnellement – la brunette se lâche d'une brassée d'amitié et serre fort dans ses bras l'ami qui l'a trouvée.

Ahhh ! Puri.. Je suis bien contente que tu m'aies trouvée. J'ai voulu faire la fière en croyant que je me débrouillerais seule mais alors là... j'ai beau trouver ce lac magnifique, crois-moi, je commençais à avoir très peur..
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Puri..
Puri écoutas Flinguette et sourit. puis se dit:

A les jeunes de maintenant , il ont peur d'un petit rien, et ne savent pas survivre tous seul , dans un endroit inconnue. Moi qui avait a peine qu'elle que saison de plus qu'elle et qui guerroyer dans un autres pays, pfffff les jeunes.


Puri senti Flinguette , le prend dans ses bras en remerciement. Puri lui dit:

Ses bon, calme toi, tu tremble comme une feuille en automne. Viens suis moi , je vais te raccompagner aux village. Mais il faut promettre de ne plus venir aux lac, ou en foret seul, et surtout de nuit , il y a des bêtes , qui se ferais un plaisir de te croquer.

Puri , lui sourit, lui attrapas la main, et se dirigea vers le village .
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Puri..
Puri , avait dans la nuit pris le chemin du lac, cette endroit magnifique , qu'il avait crée avec ses frères , il y a bien longtemps maintenant, il y revenait souvent , a vrai dire presque tout les jours . Se lac étais d'un beaux surtout par une nuit comme se soir , qu’an la pleine lune, frapper le lac de sa splendeur , a se moment la ont pouvais apercevoir , quelle que poison dans l'eau . Puri s'assit contre un arbres et regardas l'horizons . derrière lui, Puri entendit quelle que chose approcher , il reconnue aux son , que cet-tais son loup qui arriver.
Puri le regardas . Le loup compris , que sont ami avait pas envie de parler cette nuit , alors il s’allongea a coter de lui.
Puri se mit a caresser le loup , sa présence , le ne gêner pas , cet-tais , même la seul personne qui pouvait caresser .
Il restèrent la un moment , puis Puri et le loup partir sur le chemin qui emmener chez lui, dans le fin fond de la foret.
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Polianna
Pantelante, respirant lentement, étendue dans l'herbe les bras en croix, Poli regardait le ciel à travers les feuillages qui lui faisant de l'ombre. Ses yeux clairs se perdaient dans l'azur, tandis que les oiseaux voletaient ici et là en chantant plus fort qu'à l'accoutumée.

La châtaine se redressa et elle suivit un nuage du regard, un petit nuage qui flottait, bien isolé, seule petite tâche blanche dans le ciel d'un bleu profond, uni et lumineux.


- ... Toi... tu as la forme d'une... de... euh... bah d'un nuage... Mais en tout cas, toi, tu as la forme !

Polianna passa un linge humide sur sa nuque et son visage, avant de se remettre à l'ouvrage.

La tisserande supportait très mal la chaleur, et Puri la prit en pitié, lui indiquant oralement un soir en taverne le chemin pour se rendre au lac, afin de s'y rafraîchir. L'étendue d'eau n'était pas grande, mais le murmure vif de la cascade et les clapotis plus doux sur les cailloux et les rochers polis, l'herbe fraîche et humide, et l'ombre des arbres immobiles rendaient ce lieu apaisant et tout à fait charmant et plaisant.
Poli s'y sentait bien. Elle en avait entendu parler, lorsqu'elle était revenue à Joinville il y a un peu plus d'un mois, mais elle n'avait pas cherché plus que cela. A dire vrai, c'était comme si elle avait attendu qu'on l'y invite, comme si elle considérait qu'elle ne mériterait pas d'y aller tant qu'on ne lui en parlerait pas.
Elle était heureuse, car le fait que Puri le lui a suggéré de lui-même était une preuve d'amitié et de confiance.

La châtaine avait opté pour une robe en lin, simple, gris clair, laissant passer la lumière et l'air, délacée au niveau de la poitrine à cause de la chaleur. Le tissu mouillé lui collait à la peau, car elle avait déjà plongé dans l'eau une ou deux fois avec sa tenue. Puri lui avait dit que personne n'y venait et qu'il n'y avait aucun risque si elle voulait se baigner nue, mais Poli était bien trop pudique pour se déshabiller en plein air, même sans personne autour.
Elle souffla sur ses mèches qui ne bougèrent pas, car ils étaient collés sur son front et sur son nez, s'appliquant consciencieusement sur les bottes qu'elle avait promis à Flinguette ce soir, et qu'elle voulait confectionner avec le plus de coeur et de soin possible.
Et finalement, elle se laissa retomber en arrière avec un petit soupir d'agacement.


- Chaud...

Poli fit une moue. Sa petite robe était déjà presque sèche. La jour promettait d'être brûlante, et l'on était au zénith du jour. Elle se releva et se traîna pour retourner dans l'eau, s'y immergeant avec délectation.
L'eau était froide, mais ça ne la dérangeait pas, bien au contraire. Le silence sous l'eau lorsque toute sa tête y fut la rassurait. En remontant à la surface, le vacarme des oiseaux et des remous de l'eau la frappa, mais elle souriait, rafraîchie et régénérée.
Entièrement trempée, tirant sur le tissu devenu lourd sur ses jambes et au niveau de ses épaules pour le réajuster, alors qu'il la dévoilait un peu, et torsadant ses cheveux pour enlever le trop plein d'eau, Poli revint vers son ouvrage, bien décidée à le terminer et à y mettre tout son coeur.

Ses pas s'arrêtèrent net. Elle cligna des yeux, les plissa.
Son coeur rata un battement.

Une botte avait disparu.

Plaquant ses mains sur ses joues, horrifiée, la tisserande s'écria :


- Aaah !! Mais où es-tu passée petite botte ?!
Oula... non, non, du calme Poli, les bottes ne sont pas vivantes, ça ne sert à rien de leur parler, et elles ne détalent pas sans des pieds dedans, elles ne bougent pas du tout toute seule, réfléchis, réfléchis, réfléchis, tu as bien dû la poser quelque part avant de plonger... réfléchis, réfléchis...


Son attention fut attirée par des broussailles qui s'agitaient. Puis quelque chose en sortit, dans un mouvement rapide et fugace, et s'enfuit avec la botte manquante.
Ni une, ni deux, même sans avoir eu le temps d'identifier l'auteur du méfait, Poli s'élança pieds nus à sa poursuite.


- Ahhh ! Reviens petite botte ! Maman sera gentille, promis, elle t'a fait des gâteauuux !
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Polianna
Un cerf releva majestueusement la tête.
Les bois étaient si paisibles, sous cette chaleur qui prêtait à la somnolence. Des traits de lumière perçaient les feuillages, des traits dans lequel on voyait tourbillonner des petits moucherons et de la poussière, dansant sur les airs joués par d'autres insectes posés à l'ombre des troncs aux alentours, alors que les rongeurs et les oiseaux sommeillaient.
Tout était calme. Tout était serein.

Puis le cerf écarquilla les yeux et détala précipitamment, le ballet aérien des moucherons fut fendu et éparpillé, les écureuils tombèrent des arbres, les oiseaux s'envolèrent, paniqués.


- Reviiiiieeeeens ! Petiiite booootte !!! Reviens voir mamaaaan ! Promis elle te grondera paaas !

La forme sombre qui détenait la botte tourna encore brusquement, et Poli fit un dérapage sur les hautes herbes avec ses pieds nus, courbée en avant, avant d'agiter de nouveau les jambes pour repartir et tenter de ne pas perdre de vue le chapardeur.
La créature voleuse était rapide, et si la forêt n'était pas si accidentée, il y a longtemps qu'elle aurait semé la tisserande.
Finissant de resserrer les liens sur le devant de sa robe en lin tout en galopant, la châtaine s'impatientait de ne pas récupérer la botte de Flinguette plus rapidement, et maugréa des noms d'oiseaux entre ses lèvres :


- Canari !... Perroquet !... Moineau !... euh... canard !

Polianna se démenait, mais la créature était agile, elle bondissait entre les roches, se faufilait dans les fourrées, en ressortaient en évitant les arbres et les troncs coupés.

- ... me... me faire courir par cette chaleur ! Maman est pas contente, petite botte ! s'écria plaintivement la jeune bourguignonne qui arrivait à bout de souffle et sentait qu'elle ne pourrait pas continuer encore bien longtemps.

Puis Poli haussa un sourcil et ralentit le pas, jusqu'à s'arrêter complètement en prenant appui sur ses genoux, pantelante, regardant face et autour d'elle, suant à grosses gouttes.
Elle se rendit compte qu'ils étaient revenus au lac. Ils...
... Ils avaient tourné en rond.

La châtaine plissa ses yeux clairs et pencha la tête de côté.
Elle observait la mystérieuse créature qui se débattait, quatre pattes en l'air, la tête coincée dans la botte revancharde.
Polianna s'approcha prudemment, sur la pointe de ses pieds tâchés de vert et de terre. La bête n'était pas très grande, mais très velu, le poil à la fois dru et léger, marron, elle était trappue et atteignait tout de même le tiers d'une barrique. Et ses pattes semblaient énormes.


- Un... un ourson... chuchota-t-elle pour elle-même.

Avec frisson, Poli se rappela lorsque Puri lui avait raconté qu'un ours -dont elle a oublié le nom- très dangereux habitait cette forêt. Mais il n'était plus. Etait-il possible que les ours soient revenus ? Que sa petite famille, n'ayant pas de nouvelle, soit venue lui rendre visite ?
La jeune femme savait que les ours étaient dangereux. Ils étaient impressionnants, ils avaient toujours faim, ils pouvaient vous pister sur des lieues et des lieues, ils pouvaient vous trancher en cinq d'un coup de griffe, ils se curaient les dents avec les os de vos orteils. Aussi, lorsqu'elle en voyait un, elle déguerpissait en fifflotant, comme si de rien pour ne pas attirer leur attention.

Mais... Poli n'avait pas envie de déguerpir cette fois. Elle observait l'ourson, avec une moue attendrie.
Elle s'approcha à petits pas lents et parla d'une voix douce et apaisante.


- Là là... Tout va bien... Pauvre petite bête, tu ne voulais pas me voler la botte, tu t'es juste montrer trop curieuse et ton museau s'est retrouvé prisonnier ? fit-elle en approchant encore et en posant la main sur le flanc du jeune animal, qui cessa de remuer, à part son ventre qui se soulevait à rythme régulier sous sa respiration soutenue.

Après quelques caresses, Poli tira d'une coup sec sur la botte et libéra la tête de l'ourson. Et ce dernier se releva, se mit à courir joyeusement avant de plonger dans le lac et de barboter.
La châtaine rigola et rejoignit l'animal dans l'eau. Elle en avait bien besoin également.
Mais c'est alors qu'elle se rendit compte que le petit ourson, n'était pas un petit ourson.

L'animal se hissa sur la berge et battait sa longue queue touffue. L'eau du lac avait chassé la terre et la boue de son pelage, qui se révéla d'un noir sombre en majorité, avec des chaussettes couleur terre de sienne, les joues aussi, et un trait d'une blancheur étonnante allait du front pour rejoindre le museau de la même couleur, faisant écho à un ventre et un poitrail tout aussi blanc.
Pour autant qu'elle sache, aucun ourson n'était tricolore et n'avait pas de longue queue.

Polianna, immergée jusqu'à la hanche, contempla le chiot un moment, poussant un long gémissement attendri. Elle n'avait jamais vu de chien comme cela. Elle le trouvait... adorable, et avait envie de l'étouffer avec des câlins.


- Et bien alors, petit ?... Que fais-tu par ici tout seul ?... Tu t'es perdu ?

Elle fronça les sourcils, une pensée lui venant.

- Tu es tout seul ?... A qui appartiens-tu ? On va retrouver ton propriétaire si tu veux, il doit se morfondre et être perclu d'inquiétude...

Pour toute réponse, le chiot se leva et s'ébroua, avant d'aller prendre la botte de Flinguette et l'apporter à la jeune tisserande.
Et c'en fut fini de la châtaine. Poli fondit entièrement de tendresse pour ce petit animal, qui la regardait en poussant des tous petits jappements et en remuant la queue, sautillant sur place.

Puis elle vit le petit chiot prendre une de ses chausses dans sa gueule, et s'enfuir avec.

Polianna resta coïte un instant, immobile dans l'eau, clignant des yeux.
Puis elle se précipita hors de l'eau en maugréant et en se remettant à la poursuite de l'animal.


-Naaaan ! Reviens ici !!! Maman a besoin de sa chausse !... Poule d'eau !
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Polianna
Alors que la chaleur et le jour se retiraient peu à peu, que les martinets reprenaient vie en virevoltant dans le ciel en se croisant et se décroisant, que les écureuils montraient de nouveau le bout de leur nez, que la forêt se faisait plus sombre et intime, Polianna reprenait le chemin du retour en traînant des pieds, les bottes de Flinguette, enfin achevées, dans les mains.

La tisserande était épuisée, et ne savait au juste si sa venue au lac lui avait fait du bien ou pas. Elle souffla sur ses mèches en voyant que le petit bouvier bernois tournait autour d'elle en sautillant joyeusement, à la manière des chiots et de leurs démarches rigolotes. Apparemment, il était toujours en pleine forme, ce qui agaçait un peu la châtaine qui avait passé l'après-midi à le courser.
Elle poussa un petit soupir et s'accroupit vers lui. Le chiot se redressa aussitôt sur ses pattes arrières, prenant appui avec ses pattes avant sur les genoux de la jeune femme.
Ils penchèrent la tête de côté tous les deux.


- ... Tu vas continuer à me suivre, dis ?...

La petit bouvier bernois la regardait, semblant sourire, haletant la langue pendant de côté.
Poli sourit avec douceur et lui caressa la tête.


- En attendant, je ne peux pas laisser une petite boule de poils comme ça toute seule dans la forêt... Ce ne serait pas correct.

Le chiot agita la queue plus vite.
Continuant à lui masser le haut de la tête, Polianna réfléchissait.
Est-ce que Alexandre serait d'accord pour accueillir un toutou chez lui ?
Où étaient ses vrais propriétaires ?
... Et... et s'il était orphelin, tout comme elle ?

Au fond d'elle, la châtaine avait toujours voulu un chien. Elle y pensait sans cesse à Bertincourt, lorsqu'elle promenait ses moutons. L'aide d'un chien n'aurait pas été de trop, tant les herbivores avaient tendance à se disperser n'importe comment.
Et puis, il était tellement mignon... Même si il l'avait fait tourner en rond autour du lac toute l'après-midi, elle l'aimait déjà. Sa bonne bouille, son caractère enjoué, joueur. Et il aimait l'eau, comme elle.
Mais... Avait-elle le droit d'adopter ce petit être ? N'était-ce pas du vol ? Il devait bien venir de quelque part...

Polianna se pencha encore un peu, essayant de capter le regard du canidé.


- Ecoute, voilà ce que je te propose... Voudrais-tu rester avec moi ? Juste le temps de retrouver tes véritables maîtres. Par contre, j'espère que tu aimes les moutons, parce que tu risques de les avoir comme principaux compagnons de jeu.

Voyant le visage de la jeune châtaine plus proche, le chiot agita la langue pour tenter de la laper plusieurs fois, provoquant un petit rire chez sa cible.

- Tu n'as pas l'air trop défavorable, dis !
On fait comme ça alors ? Allez, tope-là !
fit-elle en lui présentant la paume de sa main.

Le petit bouvier bernois fit un geste avec sa patte... Pis redescendit et happa une des bottes sur laquelle la tisserande avait moins de prise, et détala avec.

Poli resta coite un moment, la main levée. Elle cligna des yeux.
Puis...


- Aaaah naaan ! Reviieeens ! Euh... zut... comment je vais l'appeler ce chenapan, pfff ! fit-elle en se relevant précipitamment et en se remettant à sa poursuite.
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Puri..
Puri qui marcher dans la foret en direction du lac , pour aller se rafraîchir , et surtout faire sont tour de surveillance , comme tous les jour. Attendit des bruit de buissons arriver dans sa direction, puis un bottes avancer toute seul, sens humain a l’intérieure , mes voilas qu'une queue d'une petite créature a 4 pattes , se montras derrière la bottes.

Puri se cachas derrière un arbres , pour attendre la créature, quand la bottes arrivas a sa hauteur, Puri attrapas la créature . Puri regardas la créature, qui étais un chiens et dit:

Bonjour , toi, que fait tu avec cette bottes ? ou est ton maître ? a qui est cette bottes ? Je penser que tu étais peut être un louveteau , mes se n'est pas le cas.

Puri le caressa , tous en regardant autour de lui , voir si sont maître arriver.

Puri attendit aux loin des pas qui venait dans sa direction , mes cella avait l'air plus lourd, alors Puri restas la avec le chien dans ses bras, qui tenais toujours dans sa gueule la bottes .
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Polianna
Polianna chancelait à petits pas, prenant appui sur chaque arbre qu'elle croisait.
Cette fois, elle n'en pouvait vraiment plus. Ses jambes ne la portaient plus après avoir tant couru, et elle peinait à avancer.

Pourtant, après un tronc, elle releva la tête et sentit une vague de soulagement envahir tout son être. Malgré la pénombre naissante du soir, la châtaine reconnut Puri, ainsi que les bottes, et ce qu'il y avait au bout des bottes.


- Ah ! Dieu merci ! Tu l'as attrapé, Puri !

Poli retrouva de l'énergie et bondit vers eux, reprenant délicatement dans ses bras le petit chiot -et les bottes-, bien décidée à ne plus le laisser toucher le sol -ni les bottes- pour aujourd'hui.
Elle sourit à la bonne bouille du jeune toutou qui tenta de la laper à nouveau le visage, tout en agitant la queue.

- Ah lala, quelle fripouille celui-ci ! Merci, oh merci beaucoup Puri ! Sans toi, je ne sais pas comment j'aurais fait. Il m'a épuisée et j'étais bien en peine de me remettre à sa recherche à cette heure...
Et il aurait pu lui arriver n'importe quoi !

La bergère serra le petit animal contre son coeur, heureuse d'avoir retrouvée le petit chiot -et les bottes-.
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Puri..
Puri voit Poli arriver épuisais vers lui, il lui rend le chien avec les bottes et lui répond:

Pas de problème Poli , se fut un plaisir de t'aider , sa a l'air d’être une sacrer fripouille celui la , tu pourrais l’appeler ainsi.

Puri sourit a Poli et rajoute:

Bon je doit aller aux lac et toi tu devrai rentrer chez toi avent qu'il fasse nuit .

Puri sourit, pause une biz sur le front de Poli et part en direction du lac, allume sa pipe et marche tranquillement vers le lac.
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Polianna
La châtaine se mit au garde-à-vous en claquant son talon dans l'herbe, le petit chiot sous le bras faisant un petit jappement de surprise.

- Chef, oui chef ! C'est bien ce qui était dans mes projets. Rentrer avant la nuit, et ne plus rien faire... Enfin, si la petite fripouille me le permet.

Polianna pouffa de rire, puis sourit à la bise que son ami lui apposa sur le front. Elle avait l'impression qu'elle recevait un charme de protection, pour traverser la forêt sans encombres, donné par celui qui y habitait et connaissait donc ces bois mieux que quiconque.
Elle resta un moment à agiter les doigts vers le vieil homme qui s'enfonçait entre les arbres, puis reprit le petit chiot entre ses deux mains, le plaçant juste en face de son visage, plissant les yeux d'un air interrogateur, penchant la tête de côté.

- ... Fripouille ? l'appela-t-elle pour essayer.

Le petit chiot poussa des petits gémissements à fendre l'âme et agita les pattes dans les airs.
La jeune châtaine sourit et le blottit tout doucement contre son épaule, lui caressant la nuque et posant sa tête sur la sienne, avant de reprendre sa marche.


- Oui, oui, oui, on va te trouver autre chose comme nom, pauvre petite chose, va.

Cheminant alors que le ciel prenaient des teintes douces et apaisées, Poli garda le petit animal tout contre elle, heureuse de cette rencontre. Jetant un coup d'oeil aux bottes de Flinguette, elle fit une petite grimace.
Il y avait un petit trou sur le montant de la botte, causé par la petite canine du chiot.

- ... Hum... j'espère qu'elle ne s'en apercevra jamais...
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Nathelyne
Il faisait lourd cette après midi là , et Nath ne rêvait que d'une chose ..... patauger ... faire trempette afin de se rafraîchir.
Ne connaissant personne à Joinville , elle ne savait trouver ce genre d'endroit.

Traînant dans les ruelles à la recherche d'un coin frais , le hasard qui parfois faisant bien les choses ,Nath rencontra Poli non loin du marché.

Des bises qui pleuvent , des échanges de banalités des taquineries qui mène Nath à parler de son envie de baignade .

La réponse de son amie fût immédiate
Suis moi !!!

Bien sur quand on connaissait les deux jeunes femmes ensembles , il fallait ce douter qu'elles n'allaient pas y aller tranquillement

Nath toujours prête à s'amuser proposa une course jusqu'au lac


On fait la course ??? si je gagne j'aurais le droit de t'appeler Dame popo d'accord ?

La pauvre Poli n'eue même pas le temps de répondre , que Nath était déjà partie...les rires fusèrent .... lestricheuses aussi .... deux fofolles en bien délires...

La ruse de Nath ne lui apporta aucun mérite , car ne connaissant pas la ville elle se perdit en route si bien que Poli ,certainement ,pour ne pas se faire appeler Dame Popo, ,se dépêcha de gagner la rive , de se déshabiller et de se jeter à l'eau en quatrième vitesse , si bien que Nath perdit la partie.

Elle éclatèrent de rire , puis l'une imita la baleine , l'autre l'hippocampe , des plongeons à tous va ... bref un joyeux moment , remplit de complicité .

Mais déjà il fallait penser à rentrer , remettre les braies poussèrent à nouveau les jeunes femmes à rire, car mettre des vêtement quand on est mouillé rien de très facile

la journée se termina chez Poli ... le temps était passé beaucoup trop vite mais elle se promirent de recommencer très vite
Farnou
Arrivée tôt ce matin à Joinville, très tôt même, Farnou avait fait le tour de la ville, s'était présenté à la tour de garde et c'était même payer le luxe de se taper l'incruste dans le jeu de la phrase mystère. Ses pas l'avaient mené à l'extérieur de la ville et au fur et à mesure qu'elle avançait s'émerveilla devant le spectacle qui s'offrait à ses yeux. Une magnifique étendue d'eau se dévoilait petit à petit et les odeurs d'humidité qui s'y dégageaient la firent retourner en enfance dans son Piémont natal. Elle sourit intérieurement, heureuse enfin d'en être loin.

Le voyage n'avait pas été facile mais elle n'avait pas fait de mauvaise rencontre, fort heureusement. En cours de route elle avait eu le plaisir d'avoir un accompagnateur qui l'avait suivi partout sans jamais posé de questions, même quand elle s'endormait devant le feu de camp, oubliant par là même de se déplacer.
Éricrobert était très discret et elle appréciait cela. Elle n'avait pas vraiment besoin de compagnie la rouquine, juste de quelqu'un qui serait présent à ses côtés le temps du voyage. Elle ne savait pas encore s'il accepterait de la suivre, mais pour l'heure il fallait qu'ils attendent encore un peu.

Elle se posta devant la berge et regarda longuement l'eau d'un bleu somptueux, mais la regardait-elle vraiment. Elle était plutôt dans ses pensées. Elle avait dû quitter l'homme dont elle avait été amoureuse et qu'elle avait rencontré à Bazas, pour sa propre sécurité, le poussant ainsi dans les bras de son amie. Elle était consciente de l'avoir perdu mais finalement heureuse que ce soit vers elle qu'il se soit retourné.

Elle n'avait pas ressenti depuis bien longtemps cette perception d'être suivie. Elle l'avait peut-être semé finalement ce mari cruel qu'elle fuyait maintenant depuis plus de six mois. Heureusement, il y avait son Insupportable avec qui elle échangeait de longues discussions. Il l'avait aidé ce cher Aymerick à passer ce cap et aujourd'hui elle pouvait dire que c'était grâce à lui qu'elle en était là.

L'appel de l'eau se fit fort et c'est tout naturellement qu'elle enleva ses bottes, releva ses jupes et alla faire tremper ses pieds nus dans l'eau. Elle ne savait toujours pas nager, mais elle apprendrait avec son Insupportable, enfin peut-être un jour.

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Marcus..
Vous allez voir ce qu'il en coûte de dérober le bien d'autrui. Surtout lorsque l'autrui en question. C'est moi !

Un énorme plouf suivit immédiatement ces dures paroles provenant d'une voix masculine puissante. Cet homme devait être grand pour porter de la sorte.
En effet, au bord du lac, contre sa rive même, trois hommes sont postés contre sa rive même. L'un est debout, il est grand, très grand même. Les deux autres sont agenouillés à ses pieds. De ses bras musclés, et poilus, le géant, penché sur eux, les tient chacun par la nuque et les force à boire la tasse.
Après de trop longues minutes, les deux « victimes » émergent soudainement leurs têtes hors de l'eau pour respirer à plein poumon l'air qui commençait à leur manquer mortellement.



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Hhhheuuuuuuu !!!!!

C'est bon....hhh... mon seigneur,... nous avons compris ...hhh...la leçon.... pff hh herg !...

Le malheureux tousse de l'eau pour en libérer sa gorge...

Toussss... toussss... toussss.... Je vous en prie... hhhh... Laissez nous partiiiir....


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Le grand costaud, toujours penché sur ses victimes parait insensible à leurs suppliques. Il refuse.

Seulement quand j'en aurai fini avec vous ! Et que vous m'aurez avoué enfin où vous avez caché ce putin de coffre ?

Sur ces mots, les deux têtes disparaissent à nouveau sous l'eau troublée du lac. Cette belle et grande étendue d'eau d'ordinaire calme est évidement impassible au drame qui se déroule en son sein.
Pour un étranger passant innocemment par là, cette sinistre scène devait sembler être le théâtre d'un meurtre orchestré juste sous ses yeux.

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Seigneur de Fay du Bosc Hubert
Vassal de Tatou de La Calonne, Duc de Conches en Ouche
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