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[RP] Bureau du secrétaire d'Etat-Annonces Royales

Anne_blanche
Citation:
    De Nous, Nebisa de Malemort, Reine de France .

    Aux sujets de notre Royaume de France qui prendront connaissance de la présente déclaration.

    Suite à leur candidature au sein de la Très Noble Assemblée des Pairs de France et en acceptation des avis de Nos conseillers Pairs de France, convaincue de leurs Mérites, Hauts Faits et Loyauté au service du Royaume de France, recevons ce jour au sein de la dicte Institution Royale :

    • Dame Bess Saincte Merveille-Rouben, Baronne de Saint Angel, Dame de Vignols et de Bellechassagne, Chevalier de l'Ordre Royal de la Licorne.


    • Messire Julien Giffard, dict Le Juste Duc de Lillebonne, Baron de Cambremer, Seigneur de Saint Michel des Loups et de Guibray.


    Que dés à présent, ils se présentent au Palais Royal ou leur seront remit les attributs de leur dignité nouvelle et qu'ils servent à nouveau le Royaume de France sans faillir ni trembler, Nous dispensant leurs conseils avisés et faisant honneur à leur coreligionnaires .


    Faict en l'enceinte du Palais Royal du Louvre le 21 d'Aoust 1459.




Citation:
    De Nous, Nebisa de Malemort, Reyne de France, en réponse à la mauvaise foi indigne d'Agnés de Saint Just,

    Au peuple de Guyenne et de France,

    Le temps est révolu ou la Couronne laissé dans le besoin et face au danger Ses sujets, le temps révolu ou la Couronne prenait à la légère Son devoir d'Assistance et de Justice, le temps est révolu ou il était de bon ton de laisser souffrir la Guyenne.

    Ceux qui ont, en toute connaissance de cause, porté au pouvoir un hérétique, ceux qui ont été frappé d’excommunication pour cela, n'ont jamais agit pour autre chose que leur carrière et leur intérêt, et se moquent bien, maintenant, de savoir quel sera l'avenir de la Guyenne, puisqu'ils ne songent à sauver la façade de leur réputation.

    Nous, en tant que Reine et Souveraine, avons le soucis du peuple et de sa protection alors qu'une armée hérétique prend en otage la population bordelaise, sous de fallacieux prétextes.

    Nous avons reçu les propositions de service du Baron Koyote, qui moins que Pair de France à surtout l'avantage d'être sujet de Guyenne et... entre un homme loyal, intègre et compétant et des excommuniés, hérétiques dépourvus d'honneur et de morale... le choix qui permet de mettre à l’abri la Guyenne, jusqu'à la tenue de nouvelles élections, d'une intervention étrangère ou d'un flottement périlleux... ce choix est vite fait .

    Pour finir, nous renouvelons Notre serment de défendre les intérêts de Nos sujets, de tous nos sujets, car c'est bien sur la France que nous régnons et pas seulement sur une population issue de Notre Domaine ou proche géographiquement. Aujourd'hui, tous nos peuples doivent pouvoir compter sur le soutien et la protection de la Couronne de France, que cela entre dans la tête de ceux qui tiraient profit de l'immobilisme Royal... Le temps n'est plus.

    Devant le manque d'étique et de loyauté de la Comtesse de Saint Just, Nous demandons, en outre, au Roy d'Armes de prendre les mesures qui s'imposent... Nous voyons assez mal comment une personne ne comprenant pas que ses actes entrainent des conséquences d'autant plus quand elle se place en opposition aux Lois de sa provinces et aux Ordres de la Reine pourrait prétendre à traiter la Justice Héraldique... ce serait exposer les Nobles de France à des périls mettant en cause l'impartialité et la neutralité attendu de Notre Institution.

    Rédigé de Notre main au Palais du Louvre le 22éme jour d'Aoust.






Citation:
    Nous, Nebisa de Malemort Armantia, Reyne de France,

    Dans le soucis de donner une dernière chance à la Paix, Nous avons reçu personnellement, les Régnants d'Anjou, d'Artois, de Berry, du Bourbonais et de l'Auvergne, de Bourgogne, du Poitou et de Touraine impliqués dans un conflit qui n'avait que trop duré.

    Nous avons écouté et fait entendre Nos volontés.

    Nous avons laissé jusqu'à minuit samedi pour que les Régnants concernés se soumettent à notre décision et volonté, que nous avons attendu toute la journée de Dimanche et jusqu'à ce Lundi afin de laisser un peu plus de chance à la Paix de venir d'elle même.

    Seules les Duchesses de Bourgogne et du Bourbonais-Auvergne ont fait acte dans les temps. Le Duc de Touraine ayant attendu le verdict des urnes pour confirmé son acceptation et le Comte du Poitou s'étant rendu à la raison et ayant fait le choix de l'honneur ce jour. En revanche les autres provinces, Anjou, Artois et Berry,
    sont demeurées opposées à l'idée d'agir concrètement pour la Paix.

    Nous considérons comme une offense le refus du Duc du Berry, du Régent Angevin et de la Comtesse d'Artois et comme une injure l'éventualité de pérenniser un flou n'ayant que trop duré en vue de lointaines et vagues discutions.

    Nous ne saurions Nous résoudre à compter les points dans une partie qui ne sert qu'à nuire à la France mais la preuve de la forfaiture de Nos vassaux nous a été apportée.

    Il y a deux jours, l'armée Bretonne, étrangère, présente sur Notre sol sans Notre autorisation, s'est portée sur le sol du Limousin et de la Marche, toujours sans Notre aval et sans celui du Comte Gueldnard, sous les murs de la bonne ville de Guéret, actuellement rançonnée par les troupes du bandit Thoros. Tout nous porte à
    croire que des échanges ont eut lieux, malgré les dénégations farouches du Ponant quant à l'indépendance de ces bandits là.

    Pour ces raisons, Nous sommes déchirée de devoir admettre que Nos vassaux nous ont menti et que, malgré leurs paroles, ils n'ont jamais cherché la Paix, qu'ils se considèrent dans les faits comme un État au sein du Royaume et n'entendent pas rompre leurs liens contre nature avec le Grand Duché de Bretagne.

    C'est pourquoi Nous nous résignons, déçue mais déterminée, à demander à Nos vassaux de prendre les armes afin de défendre la Souveraineté de Notre Royaume et de faire entendre à l'Alliance, dicte du "Ponant", que l'on ne peut se défier des Lois et Coutumes du Royaume de France sans
    encourir le juste courroux d'un peuple honorable qui a, trop longtemps, retenu sa colère face aux insultes et aux agressions qui lui étaient faites.

    Nos exigences demeurent les mêmes.

    Que les provinces françaises du Ponant rompent leurs liens contre nature avec le Grand Duché de Bretagne, qu'ils se plient à l'Autorité Royale et donnent les gages de leur loyauté.


    Que le Grand Duché de Bretagne retire ses troupes armées du sol du Royaume de France et se borne à respecter le Traité du Mont Saint Michel, qui couta trop de vies et de sang à nos deux Royaumes pour être ainsi désavoué.

    En retour, et dés que la félonie cédera le pas à la raison, Nous garantissons Notre clémence envers ceux qui auraient, par le passé, agi contrairement aux mœurs ou à l'honneur. Nous assurons, en outre, prohiber les actes de pillages ou de saccages, au sein des bonnes villes de France ou des infrastructures minières et maintenir
    vis à vis de Nos sujets, une attitude conforme à Nos devoirs de Souveraine et de Suzeraine.

    Dés que raison sera rendue et que Nos provinces vassales rentreront dans une conduite digne de celle que Nous attendons, dés que Nos sujets cesseront d'être des pions manipulés et élevés pour tourner le dos à leur Souveraine, Nous aurons le soulagement et le bonheur de signer la Paix... d'ici là et puisqu'ils l'auront voulu, Nous
    n'aurons pas peur de faire la guerre.

    En outre, devant l'acte de loyauté et de sagesse du Poitou, Nous assurons à Notre vassal la paix sur ses terres et lui faisons savoir que Nous lui demandons de Nous signaler la présence de toute armée étrangère qu'il apercevrait sur son sol et, en gage de bonne volonté et de Notre compréhension lui assurons que les troupes
    qu'il nous enverra ne seront affectées qu'à l'unique mission de mettre à bas l'armée du bandit et ennemi de la France, Thoros ainsi que de ses soudards et âmes damnées.

    La France n'est pas en guerre contre son voisin du Grand Duché de Bretagne mais considérera comme une agression toute armée supplémentaire passant les frontières de France, tout mouvement offensif de ses armées et troupes présentes à ce jour, sans Notre autorisation dans Notre Royaume.

    Fait de nostre blanche main
    ce funeste jour du 22 Aoust 1459 au Palais du Louvre.








*****************


    De Nous, Nebisa de Malemort, Reyne de France, Suzeraine des Ducs et Comtes de Berry, d'Anjou, du Bourbonnais Auvergne, de Bourgogne, du Poitou, d'Artois et de Guyenne présentement réunis devers Nous,

    Nous avons entendu et écouté avec attention les exigences de chacun.

    Dans un soucis d'arbitrage honnête et équitable, nous faisons savoir ce jour notre verdict.

    L'actuel conflit n'a plus de raison d'être et ordonnons sur le champ sa conclusion pacifique . Nous reconnaissons comme légitime, tant l'intervention de provinces féales dans le but de chasser un Félon du Trône que la Couronne lui refusait le droit d'occuper, que le juste courroux de celui qui l'y remplaça. Nous admettons le désir d'assistance de ceux venus se greffer sur le conflit afin d'aider leurs amis respectifs .

    Malgré ceci, à présent, plus aucune caution ne prêtée à l'égard de ceux et celles qui tendraient en maintenir un climat d'hostilité au Centre de Notre Royaume et Nous n'aurons plus la moindre tolérance envers ceux qui décideraient d'offenser Notre autorité en s'élevant contre Notre œuvre pacificatrice.

    • Concernant les souhaits du Poitou et de l'Anjou :

      Le nœud angevin entre Saumur et Chinon revient à son légitime possesseur, le Duché d'Anjou.


    • Concernant les souhaits du Berry :

      La reconnaissance, par la Couronne, établit sa légitimité sans que nul ne s'y puisse opposer. A ce sujet, la voix d'un Régnant, quel qu'il soit n'a pas voix au chapitre. Le Duc Alleaume est notre vassal, nous le reconnaissons comme tel et nous louons de cela.

      Le renforcement des armées cesse puisque nous ordonnons à chacun d'agir en conséquence de nos ordres exprimés si après.

      Nous ne pouvons ordonner à des provinces vassales de laisser passer sur ses terres qui elle souhaite refuser.

      La neutralité de la Couronne s'arrête là ou commence son devoir et quand Ses vassaux s’avèrent incapables d'agir avoir sagesse.


    • Concernant le souhait de la Bourgogne :

      Nous nous exprimons sur le point soulevé plus bas.


    • Concernant les souhaits de la Touraine :

      La Couronne n'a jamais donné aux sujets du Grand Duché de Bretagne la permission de circuler sur le sol de France, en armée, comme s'ils étaient en terres conquises. Il sera fait rappel aux autorités bretonnes de ce point.

      Les troupes engagées rentreront chez elle, et pour cela il faudra bien bouger mais... nous précisons nos volontés çi après.

      Concernant les brigands, nulle impunité existant, qu'une liste de noms et de faits soit établi et la justice royale supervisera les mesures à prendre avec le concours de provinces les ayant, hélas, sur leurs terres.


    • Concernant les souhaits du Bourbonais Auvergne :

      Il n'y a pas, en France, de droit d'asile pour les bandits. Toute province s'opposant à châtier ou voir châtier des auteurs de pillages notoires ne pourra invoquer son bon droit face aux sanctions que la Couronne est en droit de prendre envers cette dernière et des moyens qu'elle estimera juste pour rendre Sa Justice.


    En sus de cela, nous demandons à tous de reconnaitre les points suivants :

    • Renverser un félon d'un Trône que la Couronne lui refuse le droit d'occuper est un acte de loyauté louable. Charge, à l'avenir, à la Couronne de préciser dans Ses annonce si elle souhaite ou non l'intervention extérieure de ses vassaux pour faire accomplir Sa volonté.
    • Il n'est pas permis à des sujets d'un Royaume souverain de circuler en armée sur le sol de France sans en demander, au préalable, la permission à la Couronne de France.
    • Il n'est pas permit à des provinces vassales de la Couronne de France de conclure une Alliance avec un Royaume Souverain.
    • Une guerre privée ne saurait concerner la moitié du Royaume et des étrangers sans perdre sa définition de "privée".
    • Le Surintendant aux Finances étudiera les dommages subis par les mines dans chacune des provinces impliquées par le conflit et établira le cout que chaque province recevra en guise de réparation.


    Nous rappelons également pour qui l'ignore que :

    Les peuples de France sont encouragés à se regrouper et s'allier entre eux afin de favoriser leur économie ou défendre leurs sujets. C'est pour quoi nous reconnaissons l'existence du Ponant, Alliance regroupant les provinces vassales du Poitou, de l'Anjou, de l'Artois et de la Guyenne. En revanche, il n'est pas permit aux provinces de France de conclure une alliance avec un État souverain ou d'agir comme un État dans l’État. Nous signifions donc que toutes les Alliances existant sur le sol de France sont soumis aux restrictions suivantes : regrouper des provinces du Royaume de France, agir dans le respect des Lois Royales et de la Couronne, ne pas signer de traités au nom de leur Alliance, ne pas se doter d'Institutions visant à se substituer à celles de la Couronne.

    Et pour conclure nous ordonnons :

    • Que les armées engagées dans ce conflit soient dissoutes ou démobilisées sur le champ ou se placent sous l'autorité de la Couronne afin de partir châtier Thoros et L'Eldorado quitte à les prendre en chasse. Les armées "démobilisées" par leur province devant rentrer dans leur province d'origine sans la moindre halte et par le plus court chemin via des provinces leur ayant accordé le droit de passage.


    Et nous assurons :

    • sa Majesté accepte une rencontre entre les différents dirigeants des provinces vassales du Ponant et de la Bretagne afin de mettre le traité de l’alliance du Ponant en conformité avec le Traité du Mont St Michel.


    Ceci représente, ne vous y trompez pas, un ultimatum. Quiconque s'opposerait à la volonté royale se rangerait sur le champ dans le camp des perturbateurs, avides de guerre et de chaos et signifierait par la même que la Couronne devrait se résoudre à prendre les mesures qui s'imposent.

    Faict en l'enceinte du Palais des Offices ce dix huitième jours d'Aoust 1459.






    Avec les assentiments reçus entre le 18 et le 22 d'Aoust 1459 :

    Pour la Bourgogne:

    Pour le Bourbonnais-Auvergne:

    Pour la Touraine:
    [img]http://img125.imageshack.us/img125/6659/sctourainejaqz8.gif [/img]
    Pour le Poitou:
    [img]http://img48.imageshack.us/img48/5589/poitouvxr9.png [/img]

_________________
Anne_blanche
Citation:
    De Nous, Nebisa de Malemort Armantia,

    Suite à l'insoumission de Nos vassaux d'Anjou, d'Artois et du Poitou, et parce qu'il ne convient pas d'excuser la déloyauté, c'est avec tristesse mais sans étonnement que Nous Nous résignons à frapper de félonie Kirke de Penthièvre, ancien Régent d'Anjou, Isabelle de Courbon Précieux dicte Zazaroyaume, ancienne Comtesse d'Artois, Jake de Valombre, ancien Comte du Poitou.

    De plus, Nous assurons aux Nobles de ces provinces la garantie de Notre protection en leur offrant de Nous confier leur serment de lige allégeance, promesse de servir la Couronne et leur Reyne rendant impossible les mesures de rétorsion et les pressions iniques visant à destituer les loyaux sujets de la Couronne de France.

    Du fait d'un geste en direction de la Couronne visant à revenir à une attitude digne d'un Vassal de la Couronne, Nous exemptons le Duc Alleaume de Niraco de cette mesure, le temps de voir se concrétiser la prise de contact par les actes attendus.

    Fait de Notre main agile dans l'enceinte du Palais Royal du Louvre
    ce jour du 24 Aoust 1459





Terwagne_mericourt a écrit:
A tous qui ces lignes liront ou se feront lire,


Nous, Terwagne Méricourt, Vicomtesse d'Orpierre et Dame de Taulignan, Présidente de la Cour d'Appel du Royaume de France, déclarons que :


La Cour d'Appel du Royaume de France recrute :

- Deux nouveaux Juges.
- Deux nouveaux Procureurs Adjoints.



Les candidats sont priés de déposer une candidature correctement présentée, et icelle doit s'apparenter à une lettre de motivations, dans laquelle nous demandons à ce que mention soit faite du parcours judiciaire de l'impétrant jusqu'à ce jour.

Ces candidatures doivent être remises par courrier :

- Pour les charges de Juges : à moi-même, Terwagne Méricourt (MP sur ce forum à Terwagne_mericourt), Présidente de la Cour d'Appel,

- Pour les charges de Procureurs Adjoints : au Procureur Général, le sieur Heimdal (MP sur ce forum à Heimdal),

et ce le plus rapidement possible, cet appel pouvant prendre fin à tout moment.

Rappelons que les candidats doivent avoir un casier judiciaire vierge, et ne doivent pas exercer dans l’instant une charge de justice, sauf si celle-ci devait prendre fin dans les jours prochains. (5 jours maximum)


Faict à Paris, ce vingt-quatrième jour de jaoût de l'an mil quatre cent cinquante neuf.

Terwagne Méricourt,
Présidente de la Cour d'Appel



Citation:
De la levée de ban

I Rappel héraldique

Tout noble directement vassal de la Couronne de France est tenu de donner réponse à la levée de ban et indiquer par réponse à cette missive la forme qu'il donnera à son service.

Qu'or donc, le noble se voit dans la possibilité

    - de venir de lui meme preter main forte aux armées royales
    - s'il se voyait dans l'impossibilité de remplir la mission qui lui serait assignée par la Connétablie de France, de proposer spontanément une alternative sous la forme de la levée de l'arrière ban constituant son ban propre
    - s'il se voyait dans l'impossibilité de remplir la mission qui lui serait assignée par la Connétablie de France, de proposer spontanément une alternative sous forme pécuniaire selon les modalités précisées ci-dessous.


Que si l'arrière ban venait à etre levé, les modalités concourantes à celui-ci seraient celles de la province avec les engagements de la province en matière de rétribution.
Que selon la réponse donnée, enregistrement de celle-ci aura lieu selon les lois et textes en vigueur quant à la levée de ban.

Rappelons de meme que tout noble est tenu de répondre à toute levée de ban de son suzerain.
Item que si 40 jours l'an sont à fournir à titre gracieux lors d'une levée hors les frais de bouche, au dela de ce délai, celui qui leve le ban doit pourvoir à la bouche et à la solde du noble.
Itemp que ce délai passé ne dispense pas le noble de son devoir d'auxilium.

II Modalités du présent ban

Personnes concernées :
    - les feudataires des provinces vassales
    - les nobles du Domaine Royal et d'Isle de France
    - les responsables des Ordres Royaux


Salle de coordination

Les nobles appartenant aux catégories sus-mentionnées sont invités à se présenter à la Connétablie Royale afin d'y recevoir leurs ordres de missions et point de ralliement précis en fonction de leur situation géographique. La réception de cette information tenant alors lieu de point de repère quant à la validité de la levée pour la province concernée, le noble concerné, vis à vis de ses devoirs vassaliques.
[Connétablie Royale : http://curiarr.forumactif.net]

Ralliement :
  • Pour les nobles déjà mobilisés :
    Voir avec la Connétablie directement pour l'ordre de mission en fonction de leur lieu de mobilisation. Le Ralliement étant pris en référence à partir du 25 aout.
  • Pour les nobles ayant fief en les provinces du Domaine Royal hors Ile de France :
    Pour le 25 aout.
      Normandie: Honfleur
      Alençon: Alençon
      Maine: Le Mans
      Orléans: Orléans
      Champagne: Sainte Ménéhould

  • Pour les nobles ayant fief en les provinces Hors du Domaine Royal :
    Selon le type de réponse retenu, se présenter en la Connétablie Royale ou contacter le Surintendant. Décision attendue au 25 aout de meme.

Dans tous les cas, ne pas oublier d'informer le héraut de la décision prise quant au type de réponse donnée.

Alternative pécuniaire :

La compensation attendue sera la suivante : 14 miches de pains et 7 sacs de maïs par semaine de levée et d'empechement du Noble.
C'est à dire que tout un Noble empêché devra fournir de quoi ravitailler 2 Nobles mobilisés durant 1 semaine, soit 105 écus par semaine, par semaine de levée et d'empechement
La préférence allant aux vivres. Les livraisons devront se faire au plus tot, selon les modalités que définira le Surintendant à l'organe de Coordination.

Rappelons que l’empêchement est celui du noble qui ne peut se déplacer pour rejoindre son ordre de mission, qu'il s'agisse d'impératif politique ou spirituel. Que la retraite spirituelle dispense de compensation pour les jours concernés.

Fait en les bureaux de la Curia à Paris, ce 23e d'Aout 1459



Citation:
En raison de l'annonce de Sa Majesté datée du 22 août 1459,

Convoquons les membres suivant de l'Ost Royal à nous rejoindre en notre office de la Connétablie de France, soit:

- les feudataires des provinces vassales
- leurs capitaines
- les nobles du Domaine Royal et d'Isle de France
- les responsables des Ordres Royaux
- le capitaine de la Garde Royale

Faict à Loches, le 23 août 1459


Citation:
Nous, Julien Giffard, Connétable de France,

Annonçons par la présente la révocation des Lieutenants d'Etat Major Royaux pour les Provinces du Centre.
Ceux ci, en dépit des évènements qui secouent le Royaume depuis plusieurs semaines, n'ont pas, semble-t-il, jugé bon de faire parvenir de rapports sur la situation.
Ouvrons donc, ce jour, les candidatures pour les charge de:
- Lieutenant d'Etat Major Royal pour la Touraine
- Lieutenant d'Etat Major Royal pour le Bourbonnais Auvergne
- Lieutenant d'Etat Major Royal pour le Limousin Marche
- Lieutenant d'Etat Major Royal pour le Poitou

Faict à Loches, le 24 août 1459




Citation:
Nous, Julien Giffard, Connétable de France,

En raison de la mobilisation engagée suite aux déclarations de Sa Majesté,

Nommons le Baron Ereon Surintendant de l'Ost Royal, charge à lui de nommer des intendants pour l'assister dans sa mission.

Nous l'invitons donc à se présenter à nostre office de la Connétablie de France.

Faict à Loches le 24 août 1459




Citation:

Nous, Perrinne de Gisors-Breuil, dicte "Montjoie", Roy d'Armes de France

révoquons Agnès de Saint Just de ses fonctions à la hérauderie Royale.

Fait en la Chapelle Saint Antoine ce 24 Aout 1459.


_________________
Anne_blanche
Citation:
Nous, Mc Legrand, chancelier de France,

A tous ceux qui liront ou se feront lire,

rappelons le point de jurisprudence suivant :

Un traité est une convention solennelle entre deux parties en vue de produire des effets juridiques.
Un concordat (du latin concordatum, « accord, traité ») n'est qu'un traité particulier signé entre le Saint-Siège et une province ou un royaume.

La rupture d'un traité étant une annulation unilatérale du dit traité, l'essence même d'une rupture étant justement d'être unilatérale,
attendu que l'on ne peut obliger une province ou un royaume de continuer à respecter un traité qui n'est pas en adéquation avec les volontés politiques,
déclarons que toute clause d'un traité, qui demande l'accord des deux parties pour la rupture du-dit traité, est nulle et non applicable. Par conséquent, toutes provinces peut clore un traité sans demander son accord à l'autre partie contractante, tout comme il lui est loisible de le rompre à l'amiable.

Ainsi nous validons toutes les décisions passées et futures concernant cette état de fait.
En revanche, rien n'empêche les parties contractantes de prévoir des sanctions concernant les ruptures unilatérales, dans le respect du droit royal, du droit local et du droit canon.



Fait à Vendôme le 17 aout 1459,


_________________
Anne_blanche
    De Nous, Nebisa de Malemort Armantia,

    Suite à l'insoumission de Nos vassaux d'Anjou, d'Artois et du Poitou, et parce qu'il ne convient pas d'excuser la déloyauté, c'est avec tristesse mais sans étonnement que Nous Nous résignons à frapper de félonie Kirke de Penthièvre, ancien Régent d'Anjou, Isabelle de Courbon Précieux dicte Zazaroyaume, ancienne Comtesse d'Artois, Jake de Valombre, ancien Comte du Poitou.

    Nous précisons qu'un Félon ne peut destituer un noble et que ceux et celles qui se trouveraient sous la menace plus ou moins voilés en sont, dés cet instant libérés.

    De plus, Nous assurons aux Nobles du Royaumeque sont impossibles toutes mesures de rétorsion et toutes pressions iniques visant à destituer ces loyaux sujets de la Couronne de France de leurs titres de noblesses.

    Du fait d'un geste en direction de la Couronne visant à revenir à une attitude digne d'un Vassal de la Couronne, Nous exemptons le Duc Alleaume de Niraco de cette mesure, le temps de voir se concrétiser la prise de contact par les actes attendus.

    Fait de Notre main agile dans l'enceinte du Palais Royal du Louvre
    ce jour du 24 Aoust 1459





    De Nous, Nebisa de Malemort Armantia,

    en complément de l'annonce précédente et devant le trahison de ce dernier, qui nous assurait hier au soir de sa soumission par les mots et agissait en traitre au matin, Alleaume de Niraco, ancien duc du Berry se voit également déclaré Félon au Royaume de France.

    La noblesse loyale du Berry passe sous Notre protection et Nos sujets berrichons également.

    De même, Nous prenons acte de la déclaration de guerre du Grand Duché de Bretagne qui laisse éclater au grand jour la volonté de ces traitres, faire de leur Ponant un Royaume gouverné par les Bretons, un destin tragique que ne sera pas celui de Nos sujets.

    Fait de Notre main agile dans l'enceinte du Palais Royal du Louvre
    ce jour du 25 Aoust 1459





    De Nous, Nebisa de Malemort Armantia

    A l'ensemble de Nos Officiers Royaux et des Nos sujets,

    Face à quelques comportements dissidents nuisant à l'image et au service de la Couronne, Nous tenons à rappeler les points suivants :

    Nous attendons de chacun des serviteurs du Royaume de France, qu'ils soient simples Officiers, Grands Officiers de la Couronne ou Pairs de France le même engagement sincère et loyal à faire passer le service de la France avant tout engagement de nature privé ou personnel. Nous ne pouvons que louer ceux et celles qui s'associent dans la conduite de leur province mais cela ne peut se faire au détriment des Devoirs d'un Officier Royal.

    Le premier de tous est le devoir de réserve. Cela implique que lorsqu'on attache à soit l'image de la Couronne, on ne lui nuise ni par ses actions, ni par ses propos.

    Le second est le devoir de confidentialité. Un Officier Royal, quelle que soit sa position, n'a pas à tirer profit des informations ou renseignements auxquels il a accès au sein de son Office pour en tirer profit ou pour les propager en des lieux ou au bénéfices de personnes autres.

    Le troisième de ces devoirs est la notion d'abnégation. Quand on choisit, librement et de son initiative, d'accéder à la position d'Officier Royal, on s'engage à ce que la Couronne de France soit son premier maitre. On ne peut, en suite, agir en contradiction avec Ses ordres ou recommandations, quand bien même cela implique de devoir perdre certaines libertés privées que possèdent les particuliers.

    Le quatrième et dernier point exigé de tous les Officiers Royaux sera la neutralité. En effet, les conflits dicts "privés" sont incompatibles avec la dignité attendu par un Officier Royal, il sera loisible à ceux concernés de servir autrement leur province mais la participation offensive à un conflit armé salit l'image de la Couronne et l'impartialité attendue de la part de ses serviteurs, la défense d'une province reste, bien entendu, possible et louable. Lors de conflits royaux, et puisqu'il s'agira de défendre la Couronne, les Officiers Royaux ne sauraient être empêchés.

    Tout Officier Royal se plaçant en opposition avec ces points ne devront compter sur aucune indulgence de la part de la Couronne, aucun passe droit ne sera accordé et aucune faiblesse ne viendra entacher les exigences d'intégrité et de loyauté attendus de tous.

    Fait de Notre main dans l'enceinte du Palais Royal du Louvre
    ce jour du 25 Aoust 1459.





    De Nous, Nebisa de Malemort Armantia, Reyne de France,

    Nous avons toujours eut le soucis de Notre diplomatie et avons à l'esprit l'importance primordiale de voir la France jouer son rôle sur la scène Européenne, devant la nécessité de doter la France d'une diplomatie internationale forte et active, Nous déclarons ce jour élever les Ambassades Royales de France au range de Grand Office de la Couronne.

    Ce résultat est le fruit d'un besoin pour le Royaume de France et la reconnaissance du travail et de l'investissement du Grand Ambassadeur Royal et de son équipe, mais aussi de ceux qui se sont succédé depuis la création de cet office, c'est pourquoi Nous saluons l’œuvre de Dame Arielle de Gilraen et de Messire Val1, anciens Grands Ambassadeurs de France et leur assurons les remerciements officiels et solennels du Royaume de France.

    Fait au Palais Royal du Louvre
    ce 25éme jours d'Aoust 1459







    Statut des Ambassades royales de France


    1. Du Statut

    Les Ambassades royales de France forment ensemble une institution au rang de Grand Office de la Couronne de France et sont dirigées par un Grand Ambassadeur Royal .

    Le Grand Ambassadeur est Grand Officier de la Couronne et siège à la Curia Regis. De part son statut il participe et s'implique dans les débats et travaux sis au Conseil du Domaine Royal.

    Les Offices sont sises à Paris.

    Le nombre d’ambassades est équivalent au nombre de royaumes étrangers reconnus par la Couronne de France.


    2. Des Fonctions

    Les Ambassadeurs royaux de France sont les représentants et les messagers de la Couronne et des institutions royales auprès des royaumes étrangers. Ils ont pour mission entretenir de bonnes relations et de propager l’image de la grandeur du Royaume de France auprès du reste de l’Europe. Ils assurent, en outre, la transmission des informations en provenance de l’Étranger jusqu'au Royaume de France et en servent les intérêts auprès des Cours étrangères selon les directives fixées par le Souverain.

    3. De la Composition

    3.1 Le Souverain de France

    Le Souverain du Royaume de France est le plus haut décideur des Ambassades royales, il possède le droit de révoquer qui bon lui semble et dispose du droit de veto pour tout ce qui concerne les Ambassades.
    Il peut également décider de prendre pleinement la direction des ambassades à la place du Grand Ambassadeur Royal, ainsi que procéder à sa révocation.

    3.2 Le Grand Maître de France

    Le Grand Maître de France peut demander aux Ambassadeurs royaux de transmettre un message ou de négocier avec les autorités étrangères au même titre que le Grand Ambassadeur Royal. Il devra toutefois attendre que celui ci appose le Sceau des Ambassades pour valider sa déclaration pour toute demande passant par ce service.

    3.3 Grand Ambassadeur Royal

    Il s’occupe du recrutement des Ambassadeurs royaux, de leurs attributions. Il peut également les révoquer.
    Il organise et ordonne les missions des Ambassadeurs royaux.
    Le Grand Ambassadeur est le gardien du Sceau des Ambassades de France, lui seul est autorisé à certifier les missives officielles en apposant le Sceau des Ambassades.

    Il soumet les traités au Souverain pour validation et s'entretient avec lui des questions de Diplomatie. Il est son représentant terrestre hors du Royaume.

    3.4 Le Vice Grand Ambassadeur de France

    Il est gardien du bureau parisien des Ambassades Royales et le suppléant du Grand Ambassadeur Royal de France en cas d'absence ou de vacance du poste.

    3.5 Les Ambassadeurs royaux

    Ils sont sous les ordres du Grand Ambassadeur Royal. Ils sont chargés de rédiger et/ou transmettre les missives officielles au nom de la Couronne de France.
    Les missives non scellées par le Grand Ambassadeur Royal n’ont aucune valeur officielle et ne seront pas reconnues comme émanant des Ambassades royales de France.
    Ils peuvent également être amenés à conduire des négociations avec des autorités étrangères sur autorisation et avec l’appui du Grand Ambassadeur Royal.
    Les Ambassadeurs royaux devront rendre compte régulièrement des nouvelles du pays dont ils ont la charge.

    3.6 les Ambassadeurs royaux adjoints

    Le Grand Ambassadeur Royal et les Ambassadeurs royaux peuvent être assistés dans leur travail par des Ambassadeurs royaux adjoints, sous réserve de l'approbation du Grand Ambassadeur Royal. Les fonctions spécifiques des Ambassadeurs royaux adjoints doivent être définies conjointement par le Grand Ambassadeur Royal et l'Ambassadeur royal concerné, avant leur nomination et selon les besoins de l'Ambassade royale visée.
    Leurs devoirs sont les mêmes que ceux des Ambassadeurs royaux.

    4. Charte de bonne conduite des Ambassadeurs royaux

    4.1 De la bonne conduite.

    Les Ambassadeurs royaux doivent avoir une conduite exemplaire même en dehors de leur fonction de représentation. Tout manquement aux lois ou aux règles de bonne conduite entraînera, au minimum, une destitution immédiate des responsabilités au sein des Ambassades royales.

    Ils doivent être au fait du protocole et de l'étiquette, des titres et appellations, tant de France que de leurs États d'Affectation.

    4.2 De la confidentialité

    Les Ambassadeurs sont amenés à traiter des informations confidentielles. Toute diffusion de ces informations sans autorisation expresse du Grand Ambassadeur Royal sera considéré comme crime de Haute Trahison.

    4.3 Du devoir de réserve

    En tant qu’officiers de la Couronne de France, les Ambassadeurs royaux ont un devoir de réserve. Ainsi, ils doivent, dans l’exercice comme en dehors de l’exercice de leurs fonctions, éviter tout ce qui pourrait porter atteinte à la dignité de leurs fonctions ou à leur capacité de les exercer, donner lieu à scandale ou compromettre les intérêts du service public.

    Ils sont représentants de la Couronne, et ne doivent jamais la mettre en péril par leurs actes ou leurs paroles.

    Ils sont tenus de se comporter avec dignité et civilité tant dans leurs rapports de service avec leurs supérieurs, collègues et subordonnés que dans leurs rapports avec les usagers de leur service qu’ils doivent traiter avec compréhension, prévenance et sans aucune discrimination


*********

    Des Ambassades Royales de France


    De la Distinction entre Diplomatie Royale et Diplomatie Provinciale.

    Avis aux Grands Feudataires de France.
    Avis aux Ambassades & Chancelleries de France.

    Qu'il soit su que les Ambassades Royales ont vocation à établir la Diplomatie du Royaume de France avec les Pays Étrangers.

    Qu'ainsi, si les provinces peuvent traiter avec des provinces étrangères, dans le but d'établir des relations amicales et/ou commerciales. Une province du Royaume de France ne saurait établir un traité directement avec un Royaume ou toute autre forme d’État souverain étranger.

    Que pour tout questionnement relatif à la politique étrangère du Royaume de France, une délégation provinciale peut être reçue aux Ambassades Royales, qu'une missive peut être envoyée au Grand Ambassadeur Royal de France, Son Excellence Keridil d'Amahir-Euphor (IG : Keridil).

    Qu'il soit entendu que tout traité signé par la Couronne de France & ses Ambassades engage chacune des provinces du Royaume à en respecter les termes. Que leur liste est consultable en notre Bibliothèque.

    Que chacun sache qu'aux fins d'aider les Ambassades Provinciales dans leurs relations avec l'étranger, les Ambassades Royales de France proposent leurs services. Ainsi, pour tout questionnement culturel, ou pour faits de traduction, les Ambassadeurs Royaux de France dont la liste est publique, sont à disposition des provinces demandeuses, dans la mesure de leurs possibilités, eu égard à leur tâche diplomatique courante.

    Rappelons à toutes fins utiles, qu'agir de façon contraire à la ligne Diplomatique du Royaume à l'égard des contrées étrangères, mettant en péril la paix, sera répréhensible.

    Rappelons de fait que tout traité signé entre une ou plusieurs provinces de France et un État souverain étranger est caduc.

    Faict en l'Ambassade Royale de France, le Vingt Troisième Jour du Huitième Mois de l'An de Grâce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf, & scellé d'Or par

    Son Excellence Keridil d'Amahir-Euphor, Grand Ambassadeur Royal de France

_________________
Theudbald
Citation:
Nous, Perrinne de Gisors-Breuil, Roy d'Armes,

A toutes et tous que la présente liront ou entendront,

Par la présente, après consultation du collège héraldique, faisons acte de la demande de Dame Lenada, quant à l'octroi d'un fief de retraite de qualité vicomtale sur les terres de Bourgogne ; comme les lois Héraldiques l'y autorisent.

Après recherches héraldiques dument entérinées, confirmons que le fief de Chamilly est bien fief du Duché de Bourgogne.

De même que l'écu se référant au dicte fief est de gueules à la fasce d'or, soit, après dessin :



Qu'afin que nul ne puisse contester la vigueur et l'autorité de la présente, apposons notre scel.

Faict le 24-ième jour du mois de ?? de l'An de Grasce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf.

_________________

Deutscher Ordens-Herold & Erster Botschafter
Héraut de l'Ordre & Premier Ambassadeur Teutonique
Anne_blanche
Citation:

    tous icelieu et à venir, qu'il plaise d'ouïr,

    Nous, Adeline de Courcy, Baronne de la Haye du Puits, en ma qualité de Rectrice Adjointe de l’Ostel-Dieu de Paris, annonçons que les inscriptions à la faculté de médecine de l’Ostel Dieu de Paris seront ouvertes à compter du 1er jours du mois de septembre de l’an de grâce MCDLIX.

    Nous invitons donc, à compter de cette date, toutes les personnes désirant suivre le cursus de médecine, à se rendre au secrétariat de la faculté de médecine de l’Ostel Dieu afin d’y retirer et déposer le dossier d’inscription.

    Fait à Paris, le 28ème jour d’aout de l’an de grâce MCDLIX





http://aumonerieroyale.forumpro.fr/f61-secretariat


Citation:
Nous, Keridil d'Amahir-Euphor, Grand Ambassadeur Royal de France,

A tous présents et à venir, faisons savoir, que pour asseoir les relations du Royaume de France hors de ses frontières, nous statuons et arrêtons ce qui s'ensuit :

- Qu'au vu des nouveaux Statuts des Ambassades Royales, et à des fins d'efficacité, Son Excellence Camille d'Anclair, Vice Grand Ambassadeur Royal de France, se voit retirer sa charge auprès de la Confédération Helvétique.

- Que Son Excellence Jack de Virloinval, Ambassadeur Royal Adjoint en les terres suscitées devient Ambassadeur Royal de France en icelles.

- Que suite à la suppression de son poste en notre Office, Son Excellence Karyaan, Attachée Diplomatique aux provinces de France, est invitée à contacter Sa Grandeur Alandrisse de Montbazon-Navailles, afin de trouver une équivalence à sa tâche en l'office du Secrétariat d’État.

Qu'aucun ne puisse enfreindre la page de notre concession, ou aller à son encontre par une audace téméraire. Si cependant quelqu'un osait le tenter, qu'il sache qu'il encourra l'indignation du Dieu tout-puissant et des bienheureux Aristote et Christos.

Que ce soit ferme chose et stable jusqu'à révocation des termes ce présent édit.

Keridil d'Amahir-Euphor, Grand Ambassadeur Royal de France, le Vingt Sixième Jour du Huitième Mois de l'An de Grâce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf,

_________________
Anne_blanche
Citation:


Par la présente, Nous, Adeline de Courcy, Vice-Grand Archiviste de France,
Au nom d’Antoine Leroy d'Arbalture, Grand Archiviste de France,
A tous ceux qui, le présent écrit, liront ou se feront lire,
Annonçons ce qui suit:

    Par décision du Conseil d'Administration, nous nommons :

    * Messire Arthur Dayne , actuel Archiviste Politique pour le Duché de Bourbonnais-Auvergne, à la charge de Chef de Région des Archives du Centre. Il aura en charge le recrutement et la bonne tenue de sa région.

    * Messire Messires , actuel Archiviste Judiciaire pour le Comté du Poitou, à la charge de Chef de Région des Archives de l’Ouest. Il aura en charge le recrutement et la bonne tenue de sa région.

    De plus, nous annonçons également les nominations de :

    * Messire Hugues Marcy à la charge d'Archiviste Judiciaire. Il aura en charge le Comté du Limousin et de la Marche.
    * Dame Caerellyn de Carpadant à la charge d'Archiviste Politique du Comté du Rouergue suite à son déménagement du Comté d'Armagnac et de Cominges.



Fait aux Archives Royales,
Le XXII du Mois d’Aout de l'An de Grâce MCDLIX


En témoignage et preuve de quoi, nous, Antoine Leroy d'Arbalture, dict Antoineleroy le Diplomate, Comte de Fontrailles, Baron des Termes d'Armagnac, Seigneur de Bonas,
Grand Archiviste de France,
Avons décidé d’apposer notre sceau à la présente lettre




En témoignage et preuve de quoi, nous, Adeline de Courcy dicte Deedee, Baronne de la Haye du Puits, Vice-grand archiviste de France y apposons notre signature.




Citation:


Par la présente, Nous, Adeline de Courcy, Vice-Grand Archiviste de France,
Au nom d’Antoine Leroy d'Arbalture, Grand Archiviste de France,
A tous ceux qui, le présent écrit, liront ou se feront lire,
Annonçons ce qui suit:

    Par décision du Conseil d'Administration, nous nommons :

    * Dame Brunnhilde à la charge d'Archiviste Judiciaire. Il aura en charge le Comté du Berry.



Fait aux Archives Royales,
Le XXVIII du Mois d’Aout de l'An de Grâce MCDLIX


En témoignage et preuve de quoi, nous, Antoine Leroy d'Arbalture, dict Antoineleroy le Diplomate, Comte de Fontrailles, Baron des Termes d'Armagnac, Seigneur de Bonas,
Grand Archiviste de France,
Avons décidé d’apposer notre sceau à la présente lettre




En témoignage et preuve de quoi, nous, Adeline de Courcy dicte Deedee, Baronne de la Haye du Puits, Vice-grand archiviste de France y apposons notre signature.



Citation:


De nous Perrinne de Gisors-Breuil, dicte "Montjoie", Roy d'Armes de France,
A tous ceux qui liront ou se feront lire,

Rappelons les éléments suivants faisant partie des coutumes du Royaume de France et usités durant le règne de Sa Majesté Levan :

Précision quant à l'article 2 du Chapitre II relatifs aux interruptions de mandat et droit à un fief de retraite.

Les précisions suivantes sont apportées, complétant l'article existant :

Il est considéré que
* si un mandat se voyait interrompu et que le feudataire subissant cette interruption reprend le pouvoir en sa province, nulle interruption ne sera prise en compte quant aux droits à un fief de retraite.
* si un mandat se voyait interrompu, il revient au régent légitime de statuer. Cependant que l'absence d'annonce officielle confirmant la légitimité du feudataire démis ne signifie pas que celui-ci demeure légitime.
* si nulle régence ne devait être légitimée, il revient au feudataire légitime suivant de statuer quant au droit au fief de retraite.

Ce rappel fait suite à discussions tenues en la Curia Regis et confirmation donnée par Sa Majesté Nebisa.
Fait en les bureaux de la Curia Regis, ce 2e de septembre 1459,



Citation:

De nous Perrinne de Gisors-Breuil, dicte "Montjoie", Roy d'Armes de France,
A tous ceux qui liront ou se feront lire,

Apportons informations et communication sur le point suivant :

Il s’avère que la période s'écoulant entre l'élection du conseil et la reconnaissance du nouveau régnant d'une province est sujet à diverses interprétations quant au tenant de la loi et la légitimité dans sa Province.
C'est pourquoi nous tenons à re-préciser les choses à ce sujet.

Après discussion et réflexion, les précisions suivantes sont donc apportées :

Précisions et compléments quant à l'article 3 du Chapitre I du Codex Héraldique et à l'article 2 du Chapitre II relatifs au système vassalique, aux fins de mandature politique et aux fiefs de retraite.

Il est considéré que le mandat politique d'un feudataire se termine lors de l'élection du nouveau conseil de sa province. Dès lors, c'est ce terme qui fait foi vis à vis des textes héraldiques en vigueur quant aux droits au fief de retraite.

Cependant, étant donné qu'il y a lieu qu'une autorité demeure à la tête de la province tant qu'un nouveau régnant n'est point élu par le conseil et confirmé comme vassal de la Couronne, indiquons que le dit feudataire sortant et légitime se voit confié la régence légitime de facto et de là, la gestion en bon père de famille de la dite province tandis que se déroule l'élection du nouveau feudataire, en vertu des textes définissant les régences.

Qu'une mauvaise gestion durant cette régence peut suspendre le droit à un fief de retraite.

De même, le feudataire une fois élu est considéré comme régent temporaire de sa province, et ne recevra les pleins pouvoirs ou la confirmation de sa régence qu'une fois son serment vassalique formulé et confirmé par la Couronne de France.

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La hérauderie a débattu,
La Curia a discuté,
Sa Majesté Nebisa de Malemort a confirmé

Ce 29e d'Aout 1459, en les bureaux de la Curia Regis,




Citation:

De nous Perrinne de Gisors-Breuil, dicte "Montjoie", Roy d'Armes de France,
A tous ceux qui liront ou se feront lire,

Apportons informations et communication sur le point suivant :

Précision quant à l'article 2 du chapitre II relatif à la qualité du fief de retraite.

Il apparait que diverses notions implicites reliées au nombre de mandats effectués et aux fiefs de retraite déjà en la possession d'un noble ne soit point des plus claires aux yeux de tous.
C'est pourquoi après discussions, nous apportons la précision suivante :

En vertu des règles du présent article, au terme d'un premier mandat, le feudataire se voit ou non ouvrir le droit à un fief de retraite sous réserve de confirmation par celui-ci.
Le rang de ce fief est par défaut une vicomté, s'il s'agit d'un règne sans discontinuité ou régence.
Au terme d'un autre mandat dans la même province, consécutif ou non, le régnant se voir ouvrir le droit à une élévation du rang du fief de retraite dont il a ouvert le droit.

De cela découle :
1/- Que si le régnant ou régent renonce explicitement à un fief de retraite lors de son premier mandat politique, l'ouverture au droit d'octroi est close. Que dès lors, le prochain mandat effectué dans cette province, il ne peut s'agir d'ouverture au droit d'élévation puisque ne peut être élevé qu'un fief dont on dispose au préalable, mais plutôt à nouveau d'une ouverture au droit.
Ainsi par exemple, dans le cas de mandats légitimes et sans interruptions, si un regnant venait à renoncer à son ouverture au droit, puis quelques mois plus tard refaisait un mandat, mais ne renoncerait pas cette fois là, il s'ouvrirait le droit à une vicomté de retraite et non pas de duché/comté, ayant renoncé à la comptabilisation de son premier mandat dans sa renonciation officielle.

2/- Que si un noble ayant fief de retraite venait à se dessaisir de son fief de retraite pour une province ( par renonciation ou transmission par exemple), celui ci ne possédant dès lors plus de fief de type "de retraite" pour cette même province, tout prochain mandat de régnant qu'il effectuerait, lui ouvrirait le droit à l'octroi d'un nouveau fief de retraite selon les termes sus-cités.
Ainsi par exemple, un noble qui renoncerait à un ou plusieurs de ses fiefs dont un fief de retraite au profit de ses héritiers puis referait un mandat de régnant légitime et sans interruption, s'ouvrirait le droit à un vicomté de retraite.

Ce qui conforte l'importance pour tout régnant d'informer la hérauderie explicitement et dans les modalités et délais impartis dans le codex héraldique quant à sa renonciation ou sa confirmation à l'ouverture au droit d'octroi d'un fief de retraite ou son élévation.

-----------------------------
La hérauderie a discuté,
La Curia a commenté,
Sa Majesté Nebisa de Malemort a visé

Ce 2e de septembre 1459, en les bureaux de la Curia Regis,




Citation:
Pour rappel, extrait du codex héraldique, Chapitre IV :

4 - Du cas particulier du Régnant d’une Province

    Doit porter le blason de sa Province dès que son serment auprès du Roy est accepté
    Faire son hommage au Roy dans les 4 jours qui suivent son élection
    Etre présent et actif à la cérémonie d'hommage
    Rendre justice aux nobles de sa Province
    Respecter ses engagements vassaliques (envers le Roy mais envers ses vassaux également)
    peut anoblir à discrétion dans les limites fixées par les types de fiefs liés au ban de sa Province à tout moment de son mandat.
    peut demander la destitution de membres de son ban, à la condition que ces demandes soient motivées par une dérogeance avérée, tout comme il peut choisir de fermer les yeux lorsqu’il y a dérogeance.
    Il peut demander la destitution d'un noble condamné pour crime contre la Couronne. Ce motif sera alors suffisant et non contestable.
    Doit répondre du ban de sa Province face au Roy
    il doit utiliser le scel de la Province et non son scel personnel pour sceller les documents liés à sa charge.
    il peut prétendre à un fief de retraite sous couvert qu'il effectue un mandat électoral complet


5 - Du cas particulier du Régent/Intendant d’une Province

Au contraire du Régnant, une Régence n’est point une charge liés à des droits de noblesse. Dès lors, à l’exception des décisions prises à l’encontre du fief de retraite de son prédécesseur, un Régent n’a aucun des droits précisés pour un Régnant. Il ne peut donc anoblir ou destituer, et donc pas demander de destitution si une dérogeance est relevée. De même qu’il ne peut utiliser les armes de la Province ou son scel, entre autres choses.
Ses obligations relèvent du serment de fidélité qu’il est tenu de présenter à Sa Majesté pour légitimer sa Régence.
Il a cependant le droit à un fief de retraite s’il entre dans les conditions liées à celui-ci.

_________________
Anne_blanche



Citation:

Au Peuple de France,

Nous, Melior de Lioure, au nom de la Chambre des Pairs,

Par la présente, signifions que les compte-rendus des travaux de la Noble Assemblée des Pairs avaient été interrompus à la suite d'absence de Primus Inter Pares, ce pourquoi nous présentons nos excuses.
La communication doit reprendre par ce biais, ainsi cette annonce se trouve-t-elle accompagnée d'un nouveau feuillet.

Qu'il en soit su et certifié.

Faict à Paris le cinquième jour du mois de septembre de l'an de Grâce 1459.













Citation:
Travaux de la Noble Assemblée des Pairs
Semaine du 30 août au 4 septembre 1459

Dossiers clos :
Dossiers liés au Royaume de France
  • Saisine de Philipusaficus concernant la Régence en Guyenne : Réponse a été apportée par Sa Majesté.


Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Saisines héraldiques
-

Candidatures à la Pairie
-

Réponses en cours de validation
Dossiers liés au Royaume de France
-

Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Saisines héraldiques
-

Débats en cours
Dossiers liés au Royaume de France
  • Discussion sur la Loi fondamentale sur sa validité, les modalités d'abrogation ou de modification.
  • Guerre contre la Bretagne
  • Saisine de Vroqu, Vicomtesse de Cornedrue-Angillon, Baronne d'Anay-le-vie concernant le Berry.
  • Saisines d'Ephyael à propos du Limousin.
  • Saisine d'Adenet concernant l'Armagnac.


Saisines héraldiques

-

Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Candidatures à la Pairie
-

Au nom de la Chambre des Pairs,
Faict à Paris le cinquième jour du mois de septembre de l'an de Grâce 1459.










    Au Grand Duché de Bretagne,
    à Elfyn de Montfort, Grand Duc de Bretagne démissionnaire ou pas selon les jours
    à Douchka, Duchesse de Bretagne qui demande au Grand Duc de rester ou pas selon les jours

    Nous accusons réception de votre déclaration de guerre officielle, laquelle fait suite à vos précédentes déclarations de guerre officieuses, et autres prières de ne pas comprendre votre mobilisation vers la guerre avant que vous n'ayez pu finir de vous y préparer, déclaration prouvant par là même que vous comptiez sciemment rompre le Traité du Mont Saint Michel. Ceci étant, dans les faits, la Bretagne a commencé à violer, une par une, chacune des clauses le constituant, et ce dès les premières semaines qui suivirent la ratification du dict Traité. A tout le moins peut-on vous reconnaître un soupçon d'honnêteté dans la marée de faux semblants que constituait votre conduite vis-à-vis de la Couronne de France.

    Nous tenons à signaler au Grand Duché de Bretagne que lorsque l'on se veut terre civilisée, d'abord on déclare la guerre, en suite on envoie ses armées ou ses bateaux... Or, témoignant à nouveau qu'en sus de soutenir les mouvements hérétiques, les alliances criminelles, la sorcellerie, la félonie et l'infamie, la Bretagne n'a pas jugé bon de s'en tenir aux immuables lois de l'honneur ou de la décence.

    Nous n'avons pas besoin d'entendre les raisons que vous vous donnez pour rallier un conflit que vous avez déclenché, Nous signalons seulement que la France refuse de voir la Bretagne s'inviter dans ses affaires internes.

    De même, Nous réaffirmons que Nous ne manquerons pas d'affronter vos sbires, qu'ils fussent bretons, brigands, sorciers ou anglois et que notre principal intérêt reste de mater et de châtier la félonie de Nos sujets. Nous n'avons que faire du désœuvrement breton et de son besoin de se sentir exister au travers de la France. Cela fait bien longtemps que Nous avons rompu Nos attaches avec la Bretagne et oublié la haine qui pouvait exister par le passé entre la France et la Bretagne. Libre à la Bretagne de vouloir ranimer de vieilles braises, Nous agirons en conséquences malgré Notre répugnance à voir une nouvelle guerre opposer la France à la Bretagne.

    C'est pourquoi, pour couper court aux rumeurs, et contre les avis de certains de Nos sujets et conseillers, déclarons à nouveau reconnaitre, admettre et approuver la souveraineté de la Bretagne et la légitimité de son indépendance, en conséquence de quoi le Grand Duché ne peut légitimement s'impliquer, s'ingérer dans la conduite du Royaume de France ou pousser les sujets de la Couronne vers la trahison et la félonie sans encourir Nos foudres.

    En revanche, Nous le disons tout net, la Bretagne peut enterrer ses envies de Royaume du Ponant à sa botte mais peut, en revanche, rapatrier les félons qui ont vendu à son profit l'Honneur de Nos provinces. Nous les libérerons de la forfaiture, de l'infamie, de la servilité que vous avez cru pouvoir instaurer, Nous ferons rendre gorge aux ennemis de la France et Nous ferons pénétrer dans les esprits de tous que la France est Souveraine en ses terres.

    A compter de ce jour, et jusqu'à ce que la Bretagne daigne se conduire avec la dignité attendue par Nous d'un État voisin, Nous interdisons à Nos sujets et provinces vassales le moindre contact, diplomatique, militaire ou autre . De même, nous ne reconnaissons plus la Noblesse Bretonne sur Nos terres .

    Vous souhaitant d'assumer pleinement le poids de votre folie et les conséquences de votre décision,

    Pour la France et pour les Français,
    Pour tous ceux qui donnent un sens au mot "Loyauté",








(Et la déclaration de guerre bretonne pour qui ne l'aurait pas aperçue !)



Citation:
De nous, Elfyn de Montfort, Grand Duc de Bretagne
De nous, Douchka, Duchesse élue du peuple breton,

A Sa Majesté Nébisa, Reyne de France.


    En ce premier jour de septembre de l'an 1459, nous, représentants du Peuple de Breizh, faisons annonce officielle de notre entrée en Guerre contre le Royaume de France.

    Il nous est pénible de reconnaître que nous nous sommes vus contraints d'enfreindre le Traité du Mont Saint Michel, par l'intervention ce dernier samedi de nostre armée en offensive au côté de nos alliés contre le duché de Touraine, mais déclarons assumer ce choix par la présente déclaration.
    Il nous est insupportable d'avoir été amenés malgré notre volonté à choisir entre l'amitié de notre Peuple pour les Peuples amis de l'Alliance du Ponant, comprenant le Berry, et le bon plaisir d'une Reyne impatiente qui sans être même encore couronnée déploie une énergie fabuleuse pour oppresser ses sujets et asservir son peuple à ses caprices.

    Dès lors, notre choix est fait, et c'est le cœur en peine mais convaincus que nous nous engageons pour porter secours armé à nos alliés. Nos actions de guerres ne sont et seront pas des actions de conquête, mais bien des faits de défense des intérêts des Provinces du Ponant, Bretagne évidemment comprise.

    C'est dans le respect de deux traités qui nous sont chers, durement acquis pour l'un à l'issue d'un combat sanglant que beaucoup semblent à notre plus grand regret avoir oublié, que nous prenons aujourd'hui position.
    Dans le respect du Traité du Mont Saint Michel, nous nous sommes engagés à ne pas porter atteinte à l'intégrité du Royaume de France. La Bretagne a respecté cet engagement et a œuvré dans ce sens auprès des provinces alliées. Voilà désormais que le co-signataire de ce Traité s'organise pour porter atteinte à la souveraineté bretonne après avoir attenté à celle de ses partenaires. A l'heure actuelle, donc, si nous avons toujours très à cœur l'esprit du traité qui unit la Bretagne et le Royaume de France, il nous devient difficile d'en respecter la lettre.
    Dans le respect de l'Alliance du Ponant, nous venons en aide aux Provinces Françoises avec lesquelles nous avons tissé des liens fraternels dans leur combat pour une prospérité et une quiétude aujourd'hui menacées.
    Ce combat, c'est la défense du droit des peuples de France, de leurs provinces, à jouir d'un égal respect, de droits égaux, d'une autonomie réelle, par rapport au pouvoir royal. En défendant nos alliés, nous défendons le principe selon lequel le Royaume de France se compose du Domaine Royal et de provinces simplement liées à lui et à son régnant par un lien de vassalité. En nous engageant aux côtés de nos alliés, nous exprimons notre refus de la dérive d'un pouvoir personnel et arbitraire, du favoritisme politique et du déni des privilèges locaux tristement constatés depuis quelques temps.

    Ce combat est également une lutte pour la grandeur de la France. Nous sommes animés par la volonté farouche d'avoir pour voisin un monarque tourné vers la prospérité et la sécurité de son royaume, capable d'être respecté et admiré à l'extérieur comme à l'intérieur de ses frontières, un monarque qui sait aimer et respecter ses peuples pour recevoir amour et respect en retour, et non pas un monarque qui promeut la haine, cherche à s'imposer par la force, bloque les initiatives, favorise les conflits et semble ne pas souhaiter oeuvrer pour la paix.

    Ce jour, nous entrons en Guerre contre la France, mais pour la France; pour la France rayonnante, pacifique et pacifiée, respectueuse de sa diversité et de ses traditions. Pour cette France, soeur de la Bretagne, et pour le Peuple de France.

    E Naoned, d'ar Yaou 1 a viz Gwengolo 1459


Elfyn de Montfort,
Grand Duc de Bretagne




Douchka,
Duchesse de Bretagne

[/quote]
    De Nous, Nebisa de Malemort Armantia,
    Reyne de France

    Aux représentants des Primaties de France et de Bretagne,

    Nous présentons à Leurs Éminences nos regrets de n'avoir pu répondre plus tôt à leur communication, Nous déplorons, en effet, de n’avoir pas reçu votre déclaration, laquelle ne nous fut ni adressée, ni communiquée et dont nous avons eut connaissance par le bouche à oreilles, néanmoins, Nous ne vous en tenons pas rigueur, supputant que le messager de Leurs Éminences se sera égaré et ce point n'entache en rien Notre reconnaissance devant l'offre de discution présentée.

    Cependant, Nous doutons que l'appel à l'Honneur ou à la Paix puisse percer le cœur de ceux qui ont déjà renoncé à leur raison d'être en bafouant leur devoir, envers Nous, mais surtout envers les peuples qu'ils devaient servir, néanmoins, si un tel miracle devait être possible, il ne saurait l'être sans l'assistance de Notre Sainte Église, c'est pourquoi, en humble fidéle je remercie Leurs Éminences de leur proposition.

    Ceci étant, ayant reçu la preuve de l’invasion du Grand Duché de Bretagne, dont un des navires s’est rendu coupable d’une vile attaque sur la personne de Notre Surintendant, le Duc Keur, bien avant la déclaration, officielle, de guerre de la Bretagne, les précédentes devant être des déclarations officieuses, Nous ne pouvons ignorer que la Bretagne entend fouler aux pieds le Traité du Mont Saint Michel, que le Royaume de France a toujours scrupuleusement respecté.

    De même, le Ponant soutenant les mouvements hérétiques pour que l’Église combat avec la même fermeté que Nous devons avoir à combattre les félons. en admettant en son sein le trop renommée Sancte afin qu'il puisse perpétuer en Guyenne la nuisance que l'on connait et que l'on blâme nous ne pouvons présumer de l'intégrité morale de Nos ennemis .

    Pour finir, le Ponant ayant conclu une alliance contre nature avec divers bandits bien connu, allant jusqu'à offrir sa reconnaissance officielle, au travers d'un agrément offert au dict Thoros et son armée, Nous ne doutons pas que ces félons sans honneur soient prêt à tous, même à l'infâme pour perpétuer leur œuvre de destruction.

    Par conséquent, bien que Nous doutions de la moindre issue par la négociations avec des relaps ayant trahi leur serment, leurs sujets, leur Royaume au profit de leur arrivisme, si la parole des représentants de l’Eglise peut réussir là ou le simple sens de l’Honneur a échoué, Nous ne pourrons que Nous en féliciter.

    Les exigences de la France sont fermes et inchangées. Que le Ponant rompe avec ses attaches bretonnes, une Alliance ne peut exister entre des provinces vassales et un État souverain, tel que la Bretagne. Nous ne voulons plus la moindre ingérence bretonne dans les affaires françaises, néanmoins des liens économiques entre Nos provinces et le Grand Duché de Bretagne n’ont jamais été prohibées, avant la déclaration de guerre, et pourront être instaurés à nouveau dés lors que la Bretagne reviendra à une attitude décente et conforme à celle attendue par un voisin de Notre Royaume. En outre, et concernant les provinces félonnes qui, non contentes de s’être dressées contre leur Suzeraine, ont cru bon de songer à se prononcer sur une utopique indépendance, Nous entendons recevoir, en sus d’une totale reddition, l’humble repentance des Félons concernés et leur soumission aux sanctions que la Couronne jugera bon d’infliger, car lorsqu’on choisit librement de trahir, on ne peut songer à échapper aux funestes conclusions qui s’en suivront. En marge de quoi, et contrairement aux actes des Félons, Nous continuerons de garantir à Nos peuples Justice et Protection car tel est notre devoir et Notre raison d'être tel que le Très Haut, qui Nous a élevée à Notre charge royale l'a voulu.

    Le Royaume de France n’a jamais voulu la guerre mais ne laissera pas le chaos, l’ignominie et la félonie régner plus longtemps là ou Nous voulons l’harmonie et la pérennité pour Nos sujets, c'est pour cela et face à cette menace, que Nous avons résolu, le deuil au cœur mais l'âme apaisée par la certitude d'agir comme le Devoir l'exige, de prendre les armes, de faire se lever les bannières de la fleur de lys et de frapper Nos ennemis sans trembler.

    En conséquence, la participation de la France aux discutions demandées par les Primaties de France et de Bretagne ne pourront entrainer la moindre interruption du conflit parce que Nous ne doutons ni de la Félonie des meneurs de ce conflit, ni de leur malhonnêteté... ces derniers ont déjà recruté des brigands, des sorciers, des mercenaires... Nous ne prendrons pas le risque que quinze jours de "trêve" officielle ne serve qu'à leur donner le temps de faire venir d'autres ressources de Genève notamment puisque l'Hérésie ne rebute point les Félons dés lors qu'elle les sert .

    En conséquence, Nous rappelons au Poitou que Nous n'avons jamais demandé "l'infaisable" ou changé nos exigences d'un iota, si nous n'avons pas laissé passer trois semaines en vaines discutions c'est parce qu'au bout de trois jours ceux qui savaient ne pas se plier aux demandes de la Couronne n'aurait rien cherché d'autre que gagner du temps... la preuve en est l'agrément berrichon offert à une armée de bandit, qui prouve officiellement que le Ponant, en sus de recourir à des forces mercenariales, n'hésite pas à faire alliance avec des brigands, et demain, assurément avec Genève !

    La Paix oui, mais pas sur l'autel de l'intégrité du Royaume de France, le cessez le feu ne sera envisageable que lorsque le Ponant fera reddition, dans les conditions citée plus haut et que les forces armées étrangères seront dissoutes.

    Nous adressons à Leurs Éminences Verty et Clodewek Nous félicitations pour leur bonne santé recouvrée, Nous remercions Monseigneur Tibére de son association avec l’Église de Bretagne et Nous permettons de suggérer que le Grand Primat de France puisse rejoindre les concertations des son retour au monde.

    Fait ce jour de Notre royale main,
    le 04 Septembre 1459 au Palais Royal du Louvre







(Pour ceux ne l'ayant pas eut, la demande initiale)

Citation:




    Réaction commune des Primaties française et bretonne aux récents troubles.



    Aristote disait : « Le but de toute action doit être le bien. » et disant cela, il parlait de l'action politique, science qu'il plaçait au dessus de toutes les autres.

    A cela, le le Très Haut répondit à Oane :
    "Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes."




    A l'universalité des fidèles,
    Aux régnants de ce monde,
    A tous les hommes de bonne volonté,


    Aujourd'hui, à l'heure où le Royaume de France menace de se déchirer.
    Où nous assistons à une montée de violence, jamais encore atteinte.
    A l'heure où les roys, princes, ducs et comtes songent à envoyer leurs peuples l'un contre l'autre dans un affrontement sanguinaire.
    A l'heure où les régnants de ce monde ne sont plus capables de s'écouter.
    A l'heure où le serment de baptême semblent passer derrière les serments de vassalité.
    A l'heure où les vassaux préfèrent respecter le serment fait à un homme pour garder une illusoire propriété terrestre, plutôt que de respecter un serment fait à Dieu pour gagner une éternité de félicité.

    La Sainte Eglise constate avec frayeur et une infinie tristesse que des aristotéliciens sont prêts à faire couler le sang d'autres aristotéliciens.

    Aussi, c'est officiellement que les Eglises de France et de Bretagne lancent aux régnants de ce monde un appel à la raison, à l’intelligence, au calme, et à l'humanité.
    L'Eglise demande à toute personne responsable et douée de raison de surseoir aux actions guerrières pour une durée de quinze jours.
    Durant cette trêve, les Eglises de France et de Bretagne proposent leur médiation aux belligérants, afin que ceux-ci puissent s'asseoir à une table commune, comme jadis lors de la signature du Traité du Mont Saint-Michel.

    Qu'il soit su que l'Eglise, pour sa part, ne peut choisir qu'un camp : celui de la Paix, celui de l'amitié et de l'amour entre les hommes, créatures du Très-Haut.
    Rappellons-nous que Dieu n'a jamais demandé de soutenir un prince ou une terre, il a demandé d'aimer ses semblables.
    Tout acte fait contre un homme est donc fait contre Dieu lui même.

    Pace e bene.



    Faict à Rome, le XXVIII août de l'an de grâce MCDLVIX de notre Seigneur


    Pour la Primatie de France

    Tibère de Plantagenêt, dict Rehael,
    Archidiacre de Rome, Ancien Camerlingue, Cardinal Connétable suppléant, Vice-Chancelier de la Congrégation des Saintes Armées, Archevêque de Rouen, Seigneur de Sénas et Chevalier d'Isenduil, par la grâce de Dieu,




    Pour le Consistoire Pontifical Francophone

    Verty de Montfort-Toxandrie, cardinale archevêque de Bourges, cardinale électeur du consistoire pontifical francophone, Baronne de Bréal-Montfort, par la grace de Dieu



    Pour la Primatie de Bretagne

    Clodeweck de Montfort-Toxandrie, cardinal camerlingue, cardinal-archevêque de Tours, Cardinal Chancelier de la Congrégation de la Saincte Inquisition, duc de Montforzh, par la grace de Dieu





Citation:

    Aux sujets du Royaume de France,
    Salut!


    Vous savez déclamer? Rimer? Chanter?

    Vous avez un don pour le spectacle? La musique? La poésie?


    La Chambre Royale et l'Office des Cérémonies de France recrutent tous les artistes confirmés ou non, à être acteurs des réjouissances données à l'occasion du sacre de la nouvelle Reine de France, Sa Majesté Nebisa de Malemort Armantia.


    Toute personne est invitée à contacter Sa Grasce Cecilia avant le 7 septembre.



    Cecilia d'Amilly von Wittelsbach-Frayner, Première Dame de la Chambre.


    Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Grand Maître des Cérémonies de France.



Citation:
[center]Les notions de diplomatie interne et externe du Royaume de France[/center]

Afin que tous puissent comprendre la diplomatie Française, il est nécessaire de savoir à qui s’adresser selon sa demande et ses besoins.
Qu’à présent, la diplomatie interne au Royaume de France est dévolue uniquement au Premier Secrétaire d’Etat.
Que la diplomatie de la Couronne de France auprès des royaumes étrangers passe sous la tutelle du Grand Ambassadeur Royal de France.
Il est nécessaire d’affirmer une diplomatie française structurée, respectueuse et surtout applicable autant au sein de nos terres, qu’envers les autres terres exotiques.


I)-La Diplomatie Interne

La diplomatie interne définit l’ensemble des provinces françaises. Ce processus permet d’assurer une politique diplomatique commune et conforme à la Couronne de France.

Il est à savoir que pour le Domaine Royal, le Premier Secrétaire d’Etat est là comme lien permanent avec la Curia Régis, en plus d’apporter une aide pour la communication et les relations autant intra que extra Domaine Royal.

Pour les Provinces vassales au monarque de France, celles-ci se doivent uniquement de respecter les axes diplomatiques de la Couronne de France, ainsi que les lois de notre Royaume. Il est laissé aux dites provinces de traiter avec ses voisins français.

De ce fait, le Premier Secrétaire d’Etat peut s’entretenir avec tous les représentants diplomatiques du Royaume de France pour s’assurer de cela. Autant que le Grand Ambassadeur Royal de France en matière de traité avec des entités étrangères.

Afin de faciliter les échanges, le Premier Secrétaire d’Etat aura un adjoint afin de l’aider dans ses tâches diplomatiques : l'Attaché Diplomatique aux Provinces de France.

Son rôle sera d’être le lien entre la diplomatie interne et externe. Il accompagnera les Secrétaires d’Etat auprès des représentants diplomatiques afin :
*De transmettre les informations des Ambassades Royales auprès des Chancelleries Provinciales,
*De recueillir les doléances des diplomates de provinces à propos des états étrangers.
*De rappeler les lois royales en matière de diplomatie,
*De transmettre des demandes éventuelles de traductions.
*D’Indiquer les axes diplomatiques du monarque.

Les missions confiées à l’Attaché diplomatique seront directement données par le Premier Secrétaire d’Etat.


II)-La Diplomatie Externe

Les Ambassades Royales ont pour vocation de gérer les relations de la Couronne de France avec les États étrangers. Elles traitent de Royaume à État Souverain, et si elles peuvent aiguiller les Ambassades de Province en ce qui concerne une province étrangère, elle n'ont pas pour qualification de traiter avec icelles.

Bien qu'elles ne soient pas là pour rédiger les traités des provinces Françaises liées aux provinces étrangères, les Ambassades Royales se proposent aux offices diplomatiques provinciaux en tant que soutien en matière de traductions, de communications ou encore d'informations.
Une province de France souhaitant s'ouvrir à des provinces étrangères peut prendre renseignement auprès de l'Ambassade Royale de France, aux fins de connaître le protocole et les coutumes desdites provinces étrangères.

Les Ambassades Royales de France, Grand Office Royal, traite au nom de la Couronne et de son porteur. Un Traité Royal, engageant un Royaume à un autre, est applicable par le Royaume de France dans son entier, ainsi, l'Antichambre Royale et les Secrétaires d’État ont pour rôle de relayer ces textes intégrant la Loi Royale.

De fait, il est conseiller aux Provinces Vassales et membres du Domaine Royal de saisir les Ambassades Royales en cas de litige ou pour toute demande concernant l'étranger, afin d'éviter tout malentendu pouvant placer la Couronne en position délicate vis-à-vis de ses voisins.
La Couronne devant protection à ses vassaux, il est entendu que l'Ambassade Royale défendra leurs intérêts, de même qu'elles ont pour mission, certes de protéger la paix entre les peuples, mais aussi de protéger la réputation, l'intégrité, et l'intérêt du Royaume de France auprès de ses homologues.

Rappelons que seul un Office Royal peut traiter avec un État Souverain et par conséquent un autre office Royal, qu'ainsi, les Provinces de France, si elles peuvent traiter avec des provinces étrangères, ne sont pas autorisées, sauf dérogation de Sa Majesté, à traiter avec les États et Couronnes Souveraines.



Aux fins de faire valoir le présent écrit, y apportons nos sceaux et signatures,

Keridil d'Amahir-Euphor, Grand Ambassadeur Royal de France,

Alandrisse de Montbazon-Navailles, Premier Secrétaire d'Etat,

Dotch de Cassel, Grand Maître de France,

Citation:
La lettre de la Cur’Ahiaa

l n’est jamais trop tard pour se mettre à jour …. Parait-il. Il était donc grand temps que la lettre reprenne du service. Car avouons-le, en ce moment c’est un peu le foutoir pour ceux qui n’ont rien suivi. On s’interroge, on se demande le pourquoi de la guerre, pourquoi il y a une levée de ban royal et surtout pourquoi personne ne fait de résumer pour réussir à comprendre le fin fond de l’histoire.

Alors oui cette missive s’adresse à vous, simple homme ou femme du peuple. Ceux, qui pour des raisons obscurs ne souhaitent pas s’enliser dans les délices amers de la politique et autre joyeuseté. Commençons donc le récit de tout cela…

Il n’y a pas si longtemps que cela, dans une contrée proche, très proche de nous…


Episode I
La menace fantôme


Le trouble régnait au sein de la France, en effet, l’Anjou venait d’être attaqué par Thoros, un brigand qui avait un goût prononcé pour les châteaux. Celui-ci avait d’ailleurs choisi de faire sien le castel d’Angers, éjectant de ce fait, Kirke, un jeune Duc fraichement nommé. Dans son désespoir, en quête d’une aide auprès de ses alliés proches, Kirke a usé du traité de l’alliance du Ponant*. Il a donc envoyé des pigeons auprès de la Bretagne. Dans un grand élan de générosité, les bretons ont pris leurs chevaux, boucliers et épées afin de reprendre le château d’Angers. Seulement, ils avaient oublié un détail de taille, l’Anjou est terre française. Ils n’avaient donc pas respecté le bon vieux traité du Mont Saint Michel. Un parchemin indiquant la paix et surtout comment la maintenir entre les deux royaumes, aucune ingérence étrangère n’était tolérée sans l’aval du monarque de l’autre royaume.

C’est donc ainsi que la Bretagne s’engagea dans un duel armée avec de vils brigands. Après échange de missives avec la régente de l’époque et ainsi éviter une guerre, il avait été convenu qu’après avoir remis le jeune Kirke sur le trône, la Bretagne devait se retirer. Malheureusement, la promesse ne fut pas respectée…


Episode II
L’Attaque des trônes


Alors que l’histoire avec la Bretagne préoccupait les esprits. La Touraine venait d’élire sur son trône Llyr, sans attendre celui-ci lança une attaque sur le Berry pour destituer Georges le Poilu de son siège ducal. Le Poilu, pour les intimes, avait été déclaré félon par feue SM Béatriz et oui quand on ne respecte pas les lois et le Royaume de France, forcément ça nous tombe sur le coin du nez . Après des années sur le fauteuil du Berry, le Poilu allait se faire bouter hors de ses braies de régnant. Comme tout le monde le sait, un berrichon s’est têtu. Alors vint en renfort, le Bourbonnais Auvergne, avec à sa tête, Tixlu, avec le même objectif que la Touraine, virer George de son trône.

A deux, ont-ils été assez forts ? Que nenni, le Poilu se fit d’abord poutrer, avant de quitter le trône par les voies électives. On constatera qu’une fois de plus, le Berry était bel et bien présent dans nos pensées. Secourir un peuple guidé par un félon, un magnifique titre de quête. Mais la morale était surtout que la loi est pour tous, alors pourquoi ne pas l’appliquer par tout ?


Episode III
La revanche des .....Euh Qui ?


Bien sûr, cela n’allait pas s’arrêter comme ça. Pourquoi faire simple quand on peu compliquer les choses ?
Cette attaque contre le Berry avait été interprétée comme un acte de guerre à l’encontre du Ponant. C’est donc ainsi que le terme « Guerre privée » fit son apparition. Et oui, si vous avez eu le loisir de lire le Droit institutionnel, il y a un charmant paragraphe qui pointe cela du doigt. En gros, si X se bat contre Y, alors c’est une guerre privée. Paris retourne dans ses pénates et compte les points. Ceux qui n’étaient pas au fait de ce détail, doivent avoir une bougie qui s’illumine dans un coin de sa caboche. En effet, je confirme, Paris ne favorisait personne, la loi était appliquée. De plus sans Reine avec un régent de France limité dans ses actions, disons que l’efficacité était grandement diminuée. Je vois mal un capitaine lancer des troupes dans un conflit externe à sa province sans l’aval de son régnant.

Forcement, quand on remet les faits dans le contexte, tout d’un coup, un bon nombre d’annonces ou plutôt des joutes verbales deviennent étrangement obsolètes. Mais concentrons-nous sur les guerres privées qui émergent un peu partout. Nous avons donc :
*Du Berry vs Bourbonnais Auvergne avec une touche de Bourgogne
*Du Touraine avec l’aide d’armées indépendantistes vs une touche de Berry, Anjou, un peu de Bretagne, d’Artois et de Poitou.

A noter, chers lecteurs que je résume fortement l’entrée en guerre des diverses provinces. Sinon, j’ai bien peur que ce résumé se transforme en pavé indigeste.
Entre temps avait lieu les élections royales…


Episode IV
Un nouvel espoir


Et oui alors que tous se battent, que les espoirs de paix s’envolent et que la bière ne coule plus à flot, une Reine vient d’être élue. Ce n’était pas sans déplaire au peuple français. Enfin, un berger pour aiguillonner mais surtout valider les requêtes des officiers parisiens.

La première décision fut d’ouvrir une salle des négociations pour la paix. Les protagonistes de la « guerre du centre » se sont réunis dans cette salle spécialement aménagée pour accueillir tous les régnants. Le temps que tout le monde annonce ses doléances, que ce parchemin soit mis au propre, des jours s’étaient écoulés. Puis vint l’ultimatum, ils avaient tous deux jours pour signer, sinon la plume céderait la place à la lame. Nous avions donc un beau registre des plaintes et des demandes de tous, dans la logique chacun y trouvait son compte. On proposait même d’aider à la réécriture de l’alliance du Ponant. Puis vint le fameux moment où les esprits s’échauffent et que la raison laisse place à l’emportement. Ayant eu l’occasion de voir cette réunion de l’intérieur, je puis assurer que par instant, il s’agissait davantage d’une crise entre deux enfants se disputant un morceau de pain. Que de régnants agissant pour le bien de leur province et surtout du Royaume.

La question que tout le monde se posait trottait dans les esprits français. Allait-il tous signer ?


Episode V
Le royaume contre attaque


Tout cela aurait pu être une histoire que l’on raconte aux enfants avant d’aller dormir. Mais non, tout était vrai, d’ailleurs le déclenchement de la guerre en étant la preuve. Bien entendu, toutes les provinces ne signèrent pas. Il y a même eu une des provinces signataires qui se rétracta. Normal, si mes amis ne le font pas, pourquoi le ferais-je ? Pour le bien de mon peuple, car je prône la paix, car la guerre ça occupe mais pas dans le bon sens. Que celui qui trouve la réponse me l’envoie par pigeon.

La Reine annonça la levée de ban royale, cela marchait comme une provinciale, version royaume entier. Ainsi tous les vassaux de Sa Majesté doivent apporter une aide pécuniaire ou humaine dans cette guerre. On lève des armées, on arme des hommes afin d’instaurer la paix. Les félons deviennent handicapant pour les provinces dont ils étaient à la tête, des rumeurs d’indépendance courent à travers le royaume. Que de folles histoires, qui ne vont pas encore se terminer.


Episode VI
Le retour du chandail


A présent, voilà où nous en sommes. Un vent glacial provenant des fronts Est et Nord s’engouffre dans notre bon vieux royaume. On ne sait comment se terminera cette guerre contre la félonie, car oui c’est bien cela de la félonie. Nous constaterons aussi que le seul problème est un manque de confiance entre les provinces ponantesques et la Couronne de France.

Nul ne peut nier que cette alliance pour le moment est illégale. Qu’une proposition a été faite pour la conduire dans cette légalité qui validerait une bonne fois cette alliance. Qu’il est grand temps de voir autrement que par des stigmatisations datant de l’empire. Nous ne sommes plus à l’époque de Levan, bienvenue dans une ère où tout devient accessible.

Alors courageux lecteurs, pensez bien que cette guerre peut se terminer facilement, il suffit d’avoir un régnant reconnu en tête de sa province et d’accepter la paix. Nous voulons tous regagner nos chaumières et retrouver notre chopine fétiche. Agissez pour le bien de la France, agissez pour votre bien.

Comme le disait mon viel ami Benjamin F. :
« Il n'y a jamais eu de bonne guerre, ni de mauvaise paix. »


Vous avez des questions ? Contacter nous par pigeon ou via votre Secrétaire d’Etat.

Faict à Saint Aignan,
Le 04 Septembre mil quatre cent cinquante neuf,




Citation:


Par la présente, Nous, Antoine Leroy d'Arbalture, Grand Archiviste de France,
A tous ceux qui, le présent écrit, liront ou se feront lire,
Annonçons ce qui suit:


    Nous acceptons, avec profond regret, la démission de l'Archiviste Politique pour le Comté du Poitou, Senhèr Datan l'Epervier. Notre office perd là une personne travailleuse et de qualité.
    Les Archives Royales la remercient pour son excellent travail réalisé lors de sa mandature et lui souhaite une excellente réussite pour la suite de ses engagements!

    Par décision du Conseil d'Administration, nous nommons :

    * Messire Phileasthelove à la charge d'Archiviste Judiciaire. Il aura en charge le Comté du Poitou.
    * Messire Babaorum à la charge d'Archiviste Judiciaire. Il aura en charge le Duché de Normandie.



    Nous vous rappelons que les Archives Royales recrutent en permanence. Pour savoir quelles sont les provinces ouvertes aux candidatures, il vous suffit de vous rendre aux Archives de France puis sur le panneau des effectifs. Nous recrutons en permanence si vous résidez dans la bonne province et nul besoin d'expérience minumum: juste un bon sens du travail et de l'écriture suffit. N'hésitez pas a nous poser des questions.



Fait aux Archives Royales,
Le II du Mois de Septembre de l'An de Grâce MCDLIX


En témoignage et preuve de quoi, nous, Antoine Leroy d'Arbalture, dict Antoineleroy le Diplomate, Comte de Fontrailles, Baron de Termes d'Armagnac, Seigneur de Bonas,
Grand Archiviste de France,
Avons décidé d’apposer notre sceau à la présente lettre




En témoignage et preuve de quoi, nous, Adeline de Courcy dicte Deedee, Baronne de la Haye du Puits, Vice-grand archiviste de France y apposons notre signature.



_________________
Anne_blanche
Citation:
A Dotch de Cassel, pour transmission à la Très Noble Assemblée des Pairs de France,

A tous ceux qui la présente liront ou se feront lire, salut ;


C'est avez une immense satisfaction que la Grande Prévosté aurait appliqué la décision de la Très Noble Assemblée des Pairs de France datée du 1er septembre et demandant que la mécréante Sadnezz Corléone et l'homme répondant au nom de l'Araignée, devaient être exécuté dans les plus brefs délais, mais il s'avère qu'il ne pourra y avoir execution publique car ces deux personnes ne sont d'ores et déjà plus de ce monde.

Pour mémoire, suite au meurtre de Sa Majesté la Reyne France, Béatrice de Castelmaure-Frayner, survenu dans l'après midi du 8 juillet 1459, un rapport des événements avait été rédigé par la Prévosté de Paris pour témoigner noir sur blanc des faits tels qu'ils ont été perçus par l'escouade du guet royal lorsqu'ils ont trouvé la Reyne et son escorte après l'embuscade qu'elles ont subies en la forêt de Fontainebleau.

L'enquête, rendue le 20 juillet, avait été ensuite approfondie pour confirmer qu'au regard de la notion d'infraction au droit royal, l'affaire tombait sous le coup de la Haute Cour de Justice, et que trois des complices qui avaient été identifiés en la personne de Sadnezz Corléone, de son compagnon l'Araignée, tous deux arrêtés et du dénommé Finn., qui avait pris la fuite, pouvaient y être jugés. Par ailleurs toute liberté avait été offerte au Prévost de Paris, Kalimalice d'Austrasie, et aux hommes du Grand Châtelet, geoliers comme membres du guet, pour traquer et arrêter tous les meurtriers, et procéder à leur interrogatoire par tous les moyens qu'ils jugeaient nécessaires pour obtenir leurs aveux.

Les deux vermines, Sadnezz Corléone et son compagnon l'Araignée, rapidement arrêtées et qui croupissaient depuis lors au fond des geôles insalubres du Grand Châtelet ont été vigoureusement interrogées par les officiers de la Prévosté de Paris pour obtenir les noms de leurs complices et éventuels commanditaires. Sadnezz était déjà gravement blessée à son arrivée mais les séances musclées n'ont permis d'obtenir que quelques bribes d'informations sans queue ni tête d'une personne alors divagante, et qui a fini par succomber à ses blessures, malgré les soins qui ont tenté de lui être apportés. Son compagnon n'a par la suite pas tardé à la rejoindre au plus profond des Enfers dans le Tartare, royaume d'Háidês.

Justice a donc déjà été rendue pour ces deux individus, mais il est peu probable désormais que nous puissions jamais mettre la main sur les autres complices de ce meurtre inqualifiable, et ce même si certains témoins des évenements, fortement choqués, n'ont pas encore été entendus.


Faict à Limoges, le 6ème jour de septembre MCDLIX,

Althiof de Marigny,
Grand Prévost de France



Citation:
Nous, Keridil d'Amahir-Euphor, Grand Ambassadeur Royal de France,

A tous présents et à venir, faisons savoir, que pour asseoir les relations du Royaume de France hors de ses frontières, nous statuons et arrêtons ce qui s'ensuit :

- Que considérant son absence, Son Excellence Marc de Montbazon Navailles est révoqué. Que de même, notant l'absence de réponse à nos avertissements, leurs Excellences Kimi32 et Natale subissent la même destitution de leurs fonctions d'Ambassadeurs Royaux.

- Qu'en conséquence, Nous recherchons activement un Ambassadeur Royal en Royaume d'Irlande.

- Rappelons que les postes en Russie, Empire Ottoman et terres Bulgares et Polonaises sont également vacantes.

Qu'aucun ne puisse enfreindre la page de notre concession, ou aller à son encontre par une audace téméraire. Si cependant quelqu'un osait le tenter, qu'il sache qu'il encourra l'indignation du Dieu tout-puissant et des bienheureux Aristote et Christos.

Que ce soit ferme chose et stable jusqu'à révocation des termes de ce présent édit.

Keridil d'Amahir-Euphor, Grand Ambassadeur Royal de France, le Septième Jour du Neuvième Mois de l'An de Grâce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf,

_________________
Anne_blanche


Citation:
De nous, Alandrisse de Montbazon-Navailles, Premier Secrétaire d’Etat,
A tous ceux qui liront ou se feront lire,

Salut,

Qu’il soit su que le Secrétaire d’Etat auprès de l’Anjou, Arnault d’Azayes a déposé sa démission auprès de nous. Nous le remercions pour le travail effectué au sein de notre office. Espérons sincèrement qu’il se remettra rapidement de cette maladie qui l’assaille.

De ce fait, cette charge est ouverte au recrutement, ainsi que les provinces d’Artois et du Poitou. Que les personnes motivées nous envoient une missive à notre attention.

Faict à Tours,
Le 09 Septembre mil quatre cent cinquante neuf,


Citation:
De nous, Alandrisse de Montbazon-Navailles, Premier Secrétaire d’Etat,
A tous ceux qui liront ou se feront lire,

Salutation,

Nommons ce jour au poste d’Attaché diplomatique Salvaire d'Irissarri.

Nous espérons que ce poste diplomatique permettra une étroite relation entre la couronne de France et les Chancelleries provinciales.

Faict à Tours,
Le 09 Septembre mil quatre cent cinquante neuf,

Citation:
Avis de recherche!

Oyez!Oyez!

Le Collège Saint Louis ré-ouvert ses portes le 5 septembre de l'année 1459. Pour enseigner à nos nobles enfants nous recherchons:

-Un professeur en joute
-Un professeur en étiquette et règles de vie

Les candidatures à ces postes seront à envoyer à Messire le recteur Gerault de Gaudemar (geronimo2751).

A vos plumes,

Damoiselle Hélène Blackney pour

Gerault de Gaudemar, Recteur du collège Saint Louis de France






Citation:

A Adenet,

Nous, Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France ne peut donner suite à sa saisine concernant Isabelle de Bourguon, dicte Lolafemina , Comtesse d'Armagnac & de Comminges.
Concernant les infractions aux lois locales, il n'est pas du ressort de cette Assemblée que de porter plainte auprès de la Grande Prévôté de France contre un Régnant, la plainte doit être adressée directement par le plaignant au Grand Prévôt, Althiof de Marigny.
La Noble Assemblée des Pairs de France étudiera le rapport de la Grande Prévôté lorsque celui-ci lui sera transmis et déterminera s'il y a motif ou non pour un procès en Haute Cour de Justice.
Concernant les infractions au vivre noblement, la plainte doit être déposée auprès de l'Hérauderie.

Faict à Paris le huitième jour du mois de septembre de l'an de Grâce 1459.






Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Valnor de Landemorte, Argael Devirieux, Thibaud-Xavier de Ludgarès, Oksana de Floret, Dotch de Cassel, Bess Saincte Merveille-Rouben.

_________________
Anne_blanche


Citation:

A Ephyael,

Nous, Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France ne peut donner suite à sa saisine concernant Gueldnard de Saint Viance, Comte du Limousin et de la Marche.
Il n'est pas du ressort de cette Assemblée que de porter plainte auprès de la Grande Prévôté de France contre un Régnant, la plainte doit être adressée directement par le plaignant au Grand Prévôt, Althiof de Marigny, démarche qui a été effectuée.
La Noble Assemblée des Pairs de France étudiera le rapport de la Grande Prévôté lorsque celui-ci lui sera transmis et déterminera s'il y a motif ou non pour un procès en Haute Cour de Justice.


Faict à Paris le onzième jour du mois de septembre de l'an de Grâce 1459.






Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Armoria de Mortain, Bess Saincte Merveille-Rouben, Oksana de Floret, Argael Devirieux, Dotch de Cassel, , Thibaud-Xavier de Ludgarès.



Citation:
Travaux de la Noble Assemblée des Pairs
Semaine du 5 au 11 septembre 1459

Dossiers clos :
Dossiers liés au Royaume de France


Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Saisines héraldiques
-

Candidatures à la Pairie
-

Réponses en cours de validation
Dossiers liés au Royaume de France
  • Saisine déposée par Adenet au sujet de l'application de l'édit d'Azincourt.


Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Saisines héraldiques
-

Débats en cours
Dossiers liés au Royaume de France
  • Discussion sur la Loi fondamentale sur sa validité, les modalités d'abrogation ou de modification.
  • Guerre contre la Bretagne.
  • Saisine Cedric92 à propos de son inéligibilité déclarée par le Collège de la Noblesse bourguignonne.
  • Projet de mécénat royal proposé par Sa Seigneurie Argael



Saisines héraldiques

-

Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Candidatures à la Pairie
-

Au nom de la Chambre des Pairs,
Faict à Paris le douzième jour du mois de septembre de l'an de Grâce 1459.








Citation:
De nous, Agnès de Carpadant, Dame de Causses et Grand Chambellan de France.

Faisons savoir ce jour que Sa Grasce Elianor de Vergy se voient retirer sa charge d’Intendante des Menus Plaisirs au vue de son retrait manifeste du Service des Menus Plaisirs.

Afin de pourvoir à son remplacement, nous ouvrons à candidatures, et ce pour une durée de sept jours, la charge d’Intendant aux Menus Plaisirs.

Nous invitons les personnes intéressées par cette charge à postuler par missive détaillant leur motivation, leur vision de la charge et d'éventuels projets concernant les Menus Plaisirs.

Pour information et aide tenons à rappeler que l’Intendant des Menus Plaisirs assure l’organisation des divertissements du Roy et l’entretien des lieux ou iceux sont donnés Pour ce faire il est amené à travailler avec les Cérémonies et la Chambre Royale.

Fait au Louvres en les bureaux de la Maison Royale

_________________
Ingeburge
Citation:

De nous, Perrinne de Gisors-Breuil, dicte "Montjoie", Roy d'Armes de France,

A ceux qui se feront lire ou liront,

Annoncons la nomination de 3 nouveaux maréchaux d'Armes en la hérauderie royale : Dauphiné, Minerve et Phylogène se voient ainsi transmettre la charge de maréchal sitot qu'elles auront preté serment.

Que suite à discussion, la tutelle des marches se répartira selon la liste ci-dessous. Mais tenons à rappeler que le système de remplacement mis en oeuvre durant la période estivale perdurera. Et que dès lors, à chaque maréchal reviendra la responsabilité de veiller à ce que les marches sous sa responsabilité soient pourvues d'un héraut temporaire ou gérées par elles-même.

La répartition des marches étant la suivante :
  • Alençon prendra en charge les marches de : Alençon / Champagne / Normandie / Orleans / Blanche / Saint Jean / Sépulcre / Licorne
  • Dauphiné prendra en charge les marches de : Dauphine / Marche / Angoulesmes / Artois / Berry / Gascogne / Guyenne / Poitou
  • Estampes prendra en charge les marches de : Béarn / Flandres / Toulouse / Touraine / Sigillant / Estampes
  • Minerve prendra en charge les marches de : Anjou / Auvergne / Comminges / Rouergue / Astrée / Dice / Minerve
  • Phylogène prendra en charge les marches de : Ile de France / Bourgogne / Languedoc / Maine / Phylogène / Sylvestre / Mnemosyne


Fait ce 12e de septembre 1459, en la Chapelle Saint Antoyne,



_________________
[Foutez-moi la paix.]
Anne_blanche


Citation:

A Arwel Chanvigny, dicte La Bienveillante,

Nous, Melior de Lioure, présentons nos excuses au nom de la Noble Assemblée des Pairs de France, quant au délai de réponse pour sa saisine.
La question de la validité de la Loi Fondamentale du Royaume, instaurée par feue Sa Majesté Béatrice de Castelmaure a été longuement débattue. Les éléments de sa saisine sont pris en compte dans le débat.

Sa Majesté Nebisa de Malemort Armantia fera part sous peu de Sa décision quant à la Loi Fondamentale, et des dispositions qui seront prises à la suite de cela.

Faict à Paris le quinzième jour du mois de septembre de l'an de Grâce 1459.






Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Armoria de Mortain, Actarius d'Euphor, Argael Devirieux, Dotch de Cassel, Oksana de Floret, Bess Saincte Merveille-Rouben, Thibaud-Xavier de Ludgarès.

Citation:
De nous, Agnès de Carpadant, Grand Chambellan de France,
A tous ceux qui liront ou se feront lire,

Salut,

Qu’il soit su que le Grand Maréchal des Logis, Messire Raphaël Kamps, Seigneur de Bonneval a acté sa démission auprès de nous. Nous le remercions pour le travail effectué au sein de notre office.

Informons donc de l'ouverture au recrutement de la charge de Grand Maréchal des Logis, rappelons également que nous recherchons des Maréchaux des Logis. Nous invitons les personnes intéressés à nous envoyer une missive présentant leur vision de la charge ainsi que d’éventuels projets pour le poste a pourvoir. Les candidatures seront reçus jusqu'au 21 septembre.

Pour information et aide ajoutons les présentations des charges en annexe.

Fait au Louvres en les bureaux de la Maison Royale
Ce XIVème jour du moy de Septembre 1459


Citation:
De la fonction de Grand Maréchal des Logis

Le Grand Maréchal des Logis est la référence de la Chambre Royale pour tout ce qui relève du logement dans les Demeures Royales, ainsi que lors des déplacements du Roi ou de la Reine et de sa Cour.

Le Grand Maréchal des Logis est chargé de recenser les Demeures Royales et les bâtiments institutionnels, de gérer l'acquisition ou la construction de nouvelles Demeures Royales avec l'accord du Grand Chambellan et de gérer l'attribution de ces Demeures Royales.

Le Grand Maréchal des Logis est également chargé du logement du Roy, de la Reine et de la Cour Royale lors des déplacements.

Pour marquer sa charge, le Grand Maréchal des Logis porte deux marteaux d'armes d'argent.



De la fonction de Maréchal des Logis


Les Maréchaux des Logis s'occupent du recensement des Demeures Royales. Ils peuvent avec accord du Grand Maréchal des Logis et du Grand Chambellan en acquérir ou faire construire de nouvelles.

Les Maréchaux des Logis sont en charge du recensement de tous les lieux et bâtiments pouvant accueillir le Roy, la Reine, la famille Royale, la Cour lors de ses déplacements dans les différentes provinces.

Les Maréchaux des Logis sont en charge de proposer et d'attribuer sur demande des demeures aux Pairs, Grands Officiers de France ainsi que des invités royaux afin de leur rendre le plus agréable possible leur séjour à Paris avec l'approbation du Grand Maréchal des Logis.

Citation:

De nous, Perrinne de Gisors-Breuil, dicte "Montjoie", Roy d'Armes de France,

A ceux qui se feront lire ou liront,

Annoncons la nomination de 3 nouveaux maréchaux d'Armes en la hérauderie royale : Dauphiné, Minerve et Phylogène se voient ainsi transmettre la charge de maréchal sitot qu'elles auront preté serment.

Que suite à discussion, la tutelle des marches se répartira selon la liste ci-dessous. Mais tenons à rappeler que le système de remplacement mis en oeuvre durant la période estivale perdurera. Et que dès lors, à chaque maréchal reviendra la responsabilité de veiller à ce que les marches sous sa responsabilité soient pourvues d'un héraut temporaire ou gérées par elles-même.

La répartition des marches étant la suivante :
  • Alençon prendra en charge les marches de : Alençon / Champagne / Normandie / Orleans / Blanche / Saint Jean / Sépulcre / Licorne
  • Dauphiné prendra en charge les marches de : Dauphine / Marche / Angoulesmes / Artois / Berry / Gascogne / Guyenne / Poitou
  • Estampes prendra en charge les marches de : Béarn / Flandres / Toulouse / Touraine / Sigillant / Estampes
  • Minerve prendra en charge les marches de : Anjou / Auvergne / Comminges / Rouergue / Astrée / Dice / Minerve
  • Phylogène prendra en charge les marches de : Ile de France / Bourgogne / Languedoc / Maine / Phylogène / Sylvestre / Mnemosyne


Fait ce 12e de septembre 1459, en la Chapelle Saint Antoyne,



_________________
Anne_blanche
Citation:
De nous, Agnès de Carpadant, Grand Chambellan de France,
A tous ceux qui liront ou se feront lire,

Salut,

Qu’il soit su que le Premier Maitre d’Hôtel, Damoiselle Eillinn Melani, Vicomtesse d’Avize a acté de sa démission auprès de nous. Nous la remercions grandement pour le travail de qualité effectué au sein du Service de la Bouche Royale qui a prit son essor grâce à la Vicomtesse.

Informons donc de l'ouverture au recrutement de la charge de Premier Maitre d’Hôtel et invitons les personnes intéressées à nous envoyer une missive présentant leur vision de la charge ainsi que d’éventuels projets pour le poste à pourvoir. Les candidatures seront reçues jusqu'au 24 septembre.

Pour information et aide ajoutons une présentation de la charge en annexe.

Fait au Louvres en les bureaux de la Maison Royale
Ce XVIIème jour du moy de Septembre 1459

Citation:
Présentation

Le Service de la Bouche Royale, plus communément appelé la Bouche Royale, est dirigé par le Premier Maître d'Hôtel.

Fait également parti du Service de la Bouche Royale le Grand Echanson Royal qui répond de l'autorité du Premier Maître d'Hôtel.

Le Service de la Bouche Royale se divise en sept offices:

  • L'échansonnerie: en charge du service des vins, liqueurs et autres boissons à la table royale, ainsi qu'aux autres tables, sous la responsabilité du Grand Echanson de France.
  • Le gobelet : en charge de l'approvisionnement en vins, liqueurs et autres boissons, nécessaires aux cuisines royales, sous la responsabilité du Grand Echanson de France.
  • La cuisine-bouche: en charge des mets servis à la table royale, sous la responsabilité du Premier Maître d'Hôtel
  • La cuisine-commun: en charge des mets servis autres tables de la Cour, sous la responsabilité du Premier Maître d'Hôtel
  • La paneterie: en charge de tout ce qui a trait au pain, viennoiseries, brioches, sous la responsabilité du Premier Maître d'Hôtel
  • La fruiterie: en charge de l'approvisionnement en fruits et légumes nécessaires aux cuisines royales , sous la responsabilité du Premier Maître d'Hôtel
  • La fourrière: en charge des fournitures nécessaires aux cuisines royales (bois, linges...), sous la responsabilité du Premier Maître d'Hôtel


De la fonction de Premier Maître d'Hôtel

Le Premier Maître d'Hôtel est en charge de l'organisation, de la préparation et du service des mets proposés à la famille royale, où qu'elle puisse se trouver. Il est en charge de l'organisation, de la préparation et du service des mets proposés au Palais du Louvre et dans tout autre Demeures Royales où logerait la Cour, ainsi que lors des cérémonies.

Pour ce faire, il gère cinq des sous-offices du Service de la Bouche Royale et supervise la gestion des deux sous-offices par le Grand Echanson Royal.

En gage d'excellence, le Premier Maître d'Hôtel est en droit d'attribuer le statut de Fournisseur Royal à ces fournisseurs qu'il estimera les plus talentueux, avec l'accord du Grand Chambellan.



Citation:

A Cedric92,

Nous, Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France a débouté sa saisine concernant la déclaration d'inéligibilité faite à son encontre par le Collège de la Noblesse bourguignonne.
La Noble Assemblée des Pairs estime que cette inéligibilité ne correspond pas à une peine d'inéligibilité, soumise à trois mois, mais à une inéligibilité légale, ce que l'édit d'Azincourt distingue. Plus précisément, l'édit d'Azincourt stipule :

"Article 1 : Les causes légales :

Il appartient à chaque province du Royaume de France de définir les critères légaux pour être éligible, dans le but de prémunir ladite province contre des personnes dont il est avéré qu'elles mettront en péril les institutions municipales ainsi que ducales et comtales. Tout individu ne répondant pas à ces critères se verra refuser l'accès à un mandat électif et deviendra inéligible. Levée de l'inéligibilité peut être demandée auprès des autorités de la Province, qui restent décisionnaires. "

Il n'est pas inscrit qu'il faille des critères précis, mais que les Provinces définissent les critères légaux qu'elles estiment nécessaires. Ces critères sont fixés au niveau local et non au niveau royal.
Les critères en Bourgogne reposent sur l'acceptation de la candidature à un mandat électif par le Collège de la Noblesse bourguignonne, ainsi le veut la Coutume.
Le Collège de la Noblesse bourguignonne a estimé que le sieur Cedric92 pouvait mettre en péril "les institutions municipales ainsi que ducales et comtales"

La Noble Assemblée des Pairs rappelle qu'un dossier reçu en Cour d'Appel ne suspend que les peines d'inéligibilité, pas les inéligibilités légales.


Faict à Paris le dix-septième jour du mois de septembre de l'an de Grâce 1459.






Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Oksana de Floret, Argael Devirieux, Valnor de Landemorte, Thibaud-Xavier de Ludgarès, Bess Saincte Merveille-Rouben, Actarius d'Euphor.

    Edit Royal sur la révocation de l'Edit de Gien et la nature de l'Autorité Royale.



    De Nous, Nebisa de Malemort Armantia, Reyne de France.

    En ce jour et de par Notre volonté, eu égard aux attentes de Nos peuples et aux devoirs de Notre charge, pour le service et la protection du Royaume de France révoquons sur le champ l'Edict Royal dict de Gien.

    Face aux périls et aux dangers pouvant guetter Nos provinces et sujets nous décrétons :

    Art1 : Les frontières du Royaume de France sont inviolables. Leur passage par des armées ou des navires provenant de Royaumes étrangers est soumis à l'accord du Monarque ou de son représentant nommé, et non de l'accord unique du Régnant de la province concernée.

    Art2 : Le Domaine Royal, possession du Monarque, et les provinces vassales forment le Royaume de France dans son intégralité, elles ne sauraient, de l'initiative de quiconque, rompre le lien les unissant au Royaume de France sans l'acceptation du Monarque, selon la coutume séculaire en Nos terres de France.

    L'échange des serments d'Hommage et d'Allégeance incarnent l'union renouvelée entre le Monarque et ses Sujets et élève le représentant de la province au rang de Régnant/Régent et Feudataire du Royaume de France.

    Un Feudataire déclaré Félon à la Couronne de France perd dès la proclamation du Statut de Félon toutes les prérogatives d'un Régnant, ses décisions se voient sur le champ annulées et toute personne le boutant hors du Trône qu'il usurpe agirait dans le respect de l'Autorité Royale, dès lors que cette personne, sauf mandatement royal, est conforme aux lois locales définissant ce sujet.

    Art3 : Toute personne vivant au sein du Royaume de France se soumet naturellement à l'Autorité Royale, représentée par le Monarque, les Institutions et Officiers Royaux et les Lois du Royaume de France.

    Art4 : Le Domaine Royal est placé plus particulièrement sous la protection de la Couronne, toute attaque, tout acte d'hostilité à l'encontre des Bonnes Villes et populations du Domaine Royal sont actes de Trahison envers la Couronne de France.

    Art5 : Est traître à la Couronne tout sujet du Royaume de France se plaçant en opposition de l'Autorité Royale dans ses actes.

    Art 6 : Un traître à la Couronne ne pouvant prétendre à la Noblesse, la réduction à l'état de roture pour tout noble portant les armes contre le Domaine Royal est automatique sur ordre du Monarque.

    Art 7 : Tout acte hostile commis à l'encontre du Royaume de France et de ses peuples par une personne n'étant pas Sujet de la Couronne entraînera le statut d'Ennemi d’État ou Ennemi de la France. Les Ennemis de la France, qu'ils soient félons, traitres ou ennemis de la Couronne, pourront être pourchassés et traqués par les Institutions Royales ou provinciales dans le but d'obtenir Justice .


    Rédigé de Notre main royale
    Au Palais du Louvre
    Le 17éme jour de Septembre 1459





    De Nous, Nebisa de Malemort Armantia,
    Reyne de France,

    Faisons savoir ce jour l'abrogation des Lois dict Fondamentales, parues sous le dernier Règne au motif de leur illégitimité naturelle.

    Avec l'appui et le conseil de Nos vassaux, les Feudataires de la Couronne de France, décrétons les Lois Royales du Roy Levan à nouveau valides et ceux jusqu'à la prochaine promulgation d'une Charte Royale pour la France et ses sujets.

    Déclarons que cette Charte tirera sa légitimité, sa force et son intemporalité de la consultation de Nos Institutions et de Nos Feudataires et qu'ils auront le devoir d'en assurer la protection dans l'avenir.

    Aux Feudataires ayant fait usage de leur devoir de Conseil, Nous adressons Nos remerciements et profonde estime :

    Thibérian, Duc du Lyonnais et du Dauphiné
    Armoria, Duchesse de Bourgogne au début des discutions
    Asclépiade, Duc de Bourgogne à ce jour
    Pitt, Duc de Normandie
    Karyann, Comtesse du Maine
    Aurae, Duc d'Orléans
    Crysania, Comtesse du Rouergue
    Vonafred, Comte du Périgord et de l'Angoumois
    Llyr, Duc de Touraine
    Fred, Duc d'Alençon
    Skal, Comte des Flandres
    Koreldy, Duc de Gascogne

    Rédigé de Notre main royale
    Au Palais du Louvre
    Le 17éme jour de Septembre 1459[/b]




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Nathan_de_lavalliere
Une petite tête blonde, ça ne restait jamais sans rien faire, alors il s'occupait en visitant la ville et les différents endroits où les gens déposaient des affiches. Il aimait ça lire et puis ça lui faisait passer le temps. Plutôt alerte pour son âge, il ne manquait pas de toupet ni de tempérament au point d'avoir écrit à la Reyne en personne pour avoir réponse à ses questions existentielles.

Ce jour ci, il avait suivi une dame qui ne semblait pas très âgée, même si de loin elle pouvait le paraitre à ses yeux, les mains remplis de papiers divers et d'annonces ou traités tamponnés, signés, scellés et tout ce qui suit pour les afficher sur un grand tableau d'affichage. Une vaine pour le jeune homme, la taille de la femme lui permettait de ne pas avoir à sauter pour lire une affiche placardée trop haut pour lui. Il parcourut les différentes affiches, puis sourit en voyant qu'il y avait quelque chose à faire près de la Reyne ! Une occasion en or ! Ni une ni deux, il se mit à courir jusque chez lui pour trouver parchemin et plume, puis se mit à écrire une lettre qu'il adressa à la dame accrocheuse de bonnes nouvelles.




Citation:
Bonjour madame l'accrocheuse.

Moi je m'appelle Nathan de Lavallière et pis j'ai vu que madame la Reyne et bah elle cherchait un Premier Maistre d'Hotel ! Moi j'y ai bien lu tout ce qui faut faire et pis je veux donner ma candidature. Moi j'ai huit ans et pis je fais ma cuisine tout seul en attendant de partir chez maman ! Je suis un grand et pis je sais aussi me servir de ma fronde pour que les gens de la Reyne et bah ils travaillent plus vite !

Mais moi j'y ai pas vu où c'est que faut écrire pour être Premier Maistre d'Hotel parce que c'est pas écrit dans l'annonce ! Mais peut être vous savez vous c'est où puisque c'est vous qui accrochez les annonces !

Bisous madame.
Nathan de Lavallière.


Enroulant le parchemin bien soigneusement, il l'attacha sur le ventre d'un de ses pigeons grassouillets puis lui susurra deux ou trois mots à l'oreille, enfin au niveau de sa tête surtout, avant de le laisser s'envoler.
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