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[RP] Bureau du secrétaire d'Etat-Annonces Royales

Anne_blanche

_________________
Ingeburge
Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, par la volonté de la Reine et du Grand Maître de France, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir que nous prenons acte de l'annonce du Haut Conseil de l’Ordre Royal de la Licorne datée du vingt-septième jour de novembre de la courante année quant à l'avenir d'Alethea de Saint-Yriex au sein du dit ordre, annonce qui ne nous est parvenue que parce que nous nous étions inquiétée de l'absence de ladite Alethea, aussi connue sous le nom de Licorne et ainsi membre de la Hérauderie de France que nous dirigeons, annonce seulement remise par le Grand Ecuyer de France répondant à nos alarmes et conséquemment, attendu que selon les coutumes et lois héraldiques en vigueur, le héraut d'armes d'un Ordre royal de chevalerie doit être membre dudit ordre, révoquons la sus-nommée Alethea de Saint-Yriex de sa charge de Héraut d'armes royal et décrétons la marche de la Licorne vacante, étant entendu que le temps de la vacance, les demandes héraldiques devront être transmises à Alençon, Maréchal d'Armes de tutelle, soit dame Tsampa d'Eusébius.


      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le douzième jour de décembre de l'an de grâce MCDLIX.





Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, par la volonté de la Reine et du Grand Maître de France, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir que nous prenons acte de la démission de dame Nynaeve de Gaudemar, vicomtesse de Clermont-en-Trièves, baronne du Glaizil et de Mornant, dame d'Anthon, de ses fonctions de Maréchal d'Armes royal et de son retrait total de la Hérauderie de France. Nous tenions à remercier celle qui durant des années fut Dauphiné pour son implication, son assiduité, son abnégation, son érudition, son désir de transmettre et de former ceux intéressés par l'héraldique, sa volonté d'aller au bout de ses actions et enfin, sa passion pour l'histoire et les terres du Lyonnais-Dauphiné comme nous la remercions d'avoir prolongé son séjour parmi nous en demeurant active et disponible malgré son retrait. La Couronne de France perd là l'une de ses plus fidèles servantes et la Hérauderie de France l'un de ses précieux membres. Conséquemment, la marche Dauphiné est décrétée vacante à compter de ce jour et se verra ouverte à candidature lors de la prochaine session d'examen. Le temps de la vacance, l'intérim sera assuré, comme c'est déjà le cas depuis le vingt-neuvième jour de novembre de l'année courante, par Sépulcre, Héraut d'Armes royal et ainsi envoyé en tant que plénipotentiaire en Lyonnais-Dauphiné.


      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le treizième jour de décembre de l'an de grâce MCDLIX.





Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, par la volonté de la Reine et du Grand Maître de France, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir que nous reconnaissons avoir fait erreur en publiant, en sus de notre annonce datée du douzième jour de décembre dernier portant sur la révocation d'Alethea de Saint-Yriex, l'annonce du Haut Conseil de l'Ordre Royal de l'Ordre Royal de la Licorne faisant état du départ de ladite Alethea de ses rangs et pour ce manquement qui n'était en rien volontaire, nous souhaitons nous excuser. Conséquemment, nous ordonnons que toutes les copies de l'annonce ainsi divulguée soit arrachées sans délai.


      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le quinzième jour de décembre de l'an de grâce MCDLIX.





Citation:

    A Karl-Heinz de Dampierre, comte de Flandre,

      De par Montjoie, Roi d'Armes de France.


    Votre Grandeur,

    Je n'ai, jusque lors, réagi à la déclaration dans laquelle vous avez indiqué que vous ne reconnaissiez pas la destitution de Malycia, alors vicomtesse de Renaix, édictée par la Hérauderie de France en date du vingt-cinquième jour d'octobre de l'année courante, rappels ayant été formulés au Conseil des Grands Feudataires. Las, il semblerait que vous vous entêtiez dans votre erreur puisque vous exigez du Héraut de Flandre de bailler des clés à ladite Malycia afin qu'elle puisse siéger à la Haute Cour Flamande, assemblée nobiliaire locale.

    Puisque ce qui vous a été dit ne semble point être parvenu jusqu'à votre esprit, lisez maintenant.

    Malycia n'est plus vicomtesse de Renaix et ne saurait être reconnue comme telle, ni par vous, ni par qui que ce soit; elle a été réduite à l'état de roture et nul acte n'est venu casser une déclaration prise sur le fondement d'un édit royal. Malycia, en portant les armes contre le Domaine Royal, possession de Sa Très Aristotélicienne Majesté la Reine de France, a méconnu ses devoirs nobiliaires et a violé l'édit royal sus-cité. Je sais qu'il est de bon ton et que cela donne un petit air savant de déclarer que la décision de Sa Majesté est illégale mais d'aucuns oublient que l'acte de destitution a été contresigné par un Roi d'Armes de France, qui, selon les lois héraldiques royales si chères à ceux qui font fort de se réfugier derrière elles afin d'oublier qu'il y a eu faute notable, a le droit de justice. Justice fut exercée et avec clarté. Si cela n'a su agréer à l'ex-vicomtesse, il y avait moyen de saisir la Très Noble Assemblée des Pairs de France.

    Voilà pour notre exorde, passons donc à votre déclaration en elle-même.

    Nous avons appris avec grand intérêt qu'elle fait suite à la saisine du Parlement flamand et que l'opportunité de reconnaître à la déclaration de destitution de Malycia par la Hérauderie Royale a été débattue devant cette institution flamande, qui, nous citons " est un organe législatif du Comté de Flandre, au même titre que le Conseil ". Organe législatif, organe chargé de rédiger des lois ou d'en voter, organe chargé de l'élaboration, de la révision ou de l'abrogation du Corpus législatif flamand. Nous trouvons pour le moins significatif qu'une personne, telle que vous, qui se pique de légalité et de légitimité ne se soit pas émue de ce qu'un organe législatif se soit saisi d'un acte émanant d'un Grand Office Royal. Nous trouvons pour le moins étrange que le chantre du respect des textes que vous êtes ait non seulement permis cette mascarade mais ait aussi suivi la recommandation d'une institution qui est donc incompétente, selon vos propres lois, pour juger de la validité d'un acte héraldique. Nous trouvons enfin des plus surprenants qu'une institution dont on sait qu'elle ne sort jamais du cadre de ses compétences édictées par la loi flamande dont vous êtes censé être le garant se soit permis pour cette affaire-là de sortir de son domaine de compétences.

    Nous sourions aussi quand nous lisons que la noblesse flamande est soumise à la Flandre et à son comte. Il conviendrait que le grand légiste que vous êtes ouvre un jour ce Codex Levan que vous estimez violé. Vous y apprendriez avec intérêt que la vassalité n'est pas le servage et que vous n'êtes pas plus délié des lois héraldiques que les autres. Vous y liriez également que non, le comte de Flandre, ou d'ailleurs, n'a pas d'autorité pour destituer, hormis les seigneurs de mérite. Il peut demander à ce qu'untel soit destitué mais c'est la Hérauderie de France qui tranche en dernier lieu. C'est ce qu'elle a fait ici, en regard de lois et de coutumes plus que connues et en regard d'un édit royal que vous vous faites fort de présenter comme étant la volonté inique de Sa Majesté. L'édit royal du dix-sept septembre dernier révoquant celui de Gien et précisant la nature de l'Autorité Royale s'appuie sur la coutume ayant toujours régi le Royaume de France et a été soumis, comme tout texte législatif royal, au jugement des Grands Feudataires du Royaume de France réunis en conseil. Nulle dissimulation donc mais il est bien plus aisé de clabauder et de faire feu de tout bois que de réfléchir avant de s'exprimer et de se renseigner a minima. Il y avait un comte de Flandre légitime au moment des discussions, si la noblesse flamande doit s'en prendre à quelqu'un, c'est à lui et à nul autre. Et il y avait tous les autres régnants légitimes à qui droit de parole et donc de suggestion et de contestation a été donné; là encore, s'en prendre à un édit qui a reçu l'assentiment des Grands Feudataires est la preuve d'une réflexion maladroite et inaboutie pour ne pas dire fallacieuse.

    Enfin, pour rappel, au cas où cela ne serait pas clair, Malycia n'est plus vicomtesse de Renaix et elle ne sera jamais plus convoqué à prêter allégeance. Vous vous faites fort d'en appeler à la primauté du codex héraldique, respectez donc les prérogatives que celui-ci prévoir pour la Hérauderie de France en matière d'organisation des hommages et allégeances. Vous vous permettez également d'en appeler à la féodalité pour justifier votre prise de position mais cessez de mettre de côté que Malycia fut faite vicomtesse de Renaix à l'issue d'un mandat de comtesse de Flandre, c'est-à-dire, au terme d'une période durant laquelle elle a été vassale de la Couronne de France. Il est facile de se tenir coi durant quelques semaines pour espérer pouvoir étrenner une couronne et d'oublier toutes ses bonnes résolutions et son serment une fois que cette couronne est effectivement étrennée.

    Pour conclure, nous entendons bien que ce n'est pas la Flandre mais bien vous qui vous vous entêtez à ne pas reconnaître la validité de l'acte de destitution. Fort bien. Certes, cette affirmation ne nous était guère nécessaire car c'est bien à vous et à vous seul que des comptes ont été demandés, comptes non honorés jusque lors et même pis puisque non content de ne point prendre vous-même la décision de demander la destitution de celle qui était alors votre vassale, vous avez osé contester l'institution qui a eu l'honneur et le bon sens, s'appuyant sur les lois et coutumes, de s'exécuter. Il existe un adage selon lequel " le vassal de mon vassal n'est pas mon vassal ". Certes, oui et cela, nous ne le dénions nullement. Mais il y en a autre qui stipule que le suzerain est solidaire des actes de son vassal et de celui-ci, comme du précédent, nous saurons nous souvenir en temps utiles.


    Donné le quinzième jour de décembre de l'an de grâce MCDLIX.






Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, par la volonté de la Reine et du Grand Maître de France, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir que la notice complémentaire à l'article 5 – prévoyant notamment les motifs d'exclusion définitive du collège héraldique – du Chapitre VII des lois héraldiques royales précisant la définition du manque d'assiduité en édictant des délais clairs et que messire Yann von Wittelsbach, dit Gascogne, Héraut d'Armes royal, ne s'étant pas présenté depuis la fin du mois d'août de la courante année en salle des caducées, nous révoquons conséquemment le sus-nommé Yann von Wittelsbach de sa charge de héraut et décrétons la marche de Gascogne vacante, étant entendu que le temps de la vacance, les demandes héraldiques devront être transmises au héraut plénipotentiaire envoyé sur place, Astrée, soit messire Paul Ooghe de Faucuwez.


      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le quinzième jour de décembre de l'an de grâce MCDLIX.




_________________
[Foutez-moi la paix.]
Ingeburge
Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, par la volonté de la Reine et du Grand Maître de France, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir que le retrait de dame Nynaeve de Gaudemar et notre nomination à la tête de la Hérauderie de France ayant éclairci les rangs du Collège des Maréchaux, après discussion avec les trois membres de celui-ci toujours en place, nous avons décidé de nommer deux nouveaux maréchaux en les personnes de Flandre, soit Ascalon Breydel, et Orléans, soir Lexhor d'Amahir.

      Les cinq charges étant désormais pourvues, s'ensuit une nouvelle répartition des tutelles, étant à noter que nous conservons nous-même quelques marches sous notre responsabilité directe, soit :


      • Montjoie :
        • Bourgogne
        • Ile-de-France
        • Languedoc
        • Mnémosyne
        • Phylogène
        • Sylvestre

      • Alençon :
        • Alençon
        • Artois
        • Champagne
        • Blanche
        • Licorne
        • Saint-Jean
        • Sépulcre

      • Estampe :
        • Béarn
        • Marche
        • Toulouse
        • Touraine
        • Estampe
        • Sigillant

      • Flandre :
        • Auvergne
        • Comminges
        • Dauphiné
        • Flandre
        • Guyenne
        • Poitou

      • Minerve :
        • Anjou
        • Rouergue
        • Astrée
        • Dicé
        • Minerve

      • Orléans :
        • Angoulême
        • Berry
        • Gascogne
        • Maine
        • Normandie
        • Orléans

      Cette répartition ne remet nullement en cause l'autorité et la légitimité des hérauts envoyés sur place en tant que plénipotentiaires.


      Pour rappel, en cas de requête à formuler à la Hérauderie de France, l'usage veut que l'on se tourne en premier lieu vers le héraut attaché à la marche concernée ou le plénipotentiaire y ayant été mandé; en deuxième lieu, vers le Maréchal d'Armes de tutelle; la sollicitation du Roi d'Armes de France devant intervenir en dernier recours.


      Enfin, les registres de la Hérauderie Royale les seuls à faire autorité et légitimité sont ceux rendus disponibles en chapelle Saint-Antoine-le-Petit et en antichambre du Louvre; toute personne se réclamant de notre noble institution n'y ayant pas son nom inscrit étant un usurpateur.



      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le quinzième jour de décembre de l'an de grâce MCDLIX.




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[Foutez-moi la paix.]
Ingeburge
Citation:
Nous, Montjoie, Roi d'Armes de France,
Minerve, Maréchal d'Armes royal en charge des joutes,
A tous ceux qui liront ou se feront lire,

Tenons à faire savoir que nous avons pris connaissance de l'entreprise de messire Rotule Baccard, seigneur de Clansaye, quand à la création d'un cercle de combat.
Si cela est un noble but nous nous devons d'y apporter quelques bémols.

Ainsi nous tenons à rappeler à la noblesse du Royaume de France que tous duel et joute sont réglementés et doivent être encadrés par la Hérauderie de France.

Que tout manquement à cela pourrait, dans certaines circonstances, engendrer des dérogeances au vivre noblement et donc des poursuites devant le tribunal héraldique.

Rappelons également que La Ligue des Joutes est à la disposition de la noblesse pour toute question et organisation de duel, de même que ledit sieur peut contacter la Ligue, via son Maréchal pour tout détail concernant les duels et affrontements de la noblesse.

Donné le douzième jour de décembre de l'an de grâce MCDLIX à la chapelle Saint Antoyne le Petit.



_________________
[Foutez-moi la paix.]
Ingeburge
Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, par la volonté de la Reine et du Grand Maître de France, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir que la volonté de la Hérauderie de France étant d'être présente et active sur l'ensemble du territoire du Royaume afin de veiller au mieux sur la noblesse de France et de sauvegarder les intérêts d'icelle, il a été décidé, après discussion et concertation avec les Maréchaux d'Armes royaux, de lancer une nouvelle session d'examen à l'entrée du Collège héraldique de France pour pourvoir l'ensemble des marches vacantes, hormis celle du Languedoc.
      Pour celle-ci, choix a été fait de l'exclure de la session à venir après les constats tirés de la rencontre de la noblesse que nous avions pris soin de réunir en assemblée, option qui avait d'ailleurs été présentée en cette occasion. La marche languedocienne demeure donc sous notre pleine et directe tutelle le temps que les problèmes constatés, à faut d'être définitivement réglés, soient contrecarrés. Nous y mettrons, pour sûr, toute notre énergie et toute notre détermination.


      Sont donc ouvertes à candidature les marches suivantes :


      • Anjou
      • Artois
      • Béarn
      • Berry
      • Bourgogne
      • Comminges
      • Gascogne
      • Guyenne
      • Dauphiné
      • Maine
      • Poitou
      • Rouergue
      • Toulouse
      • Dicé
      • Licorne


      Les candidatures sont :

      • ouvertes à tous les sujets du Royaume de France, tel que prévu par les lois héraldiques royales;
      • à adresser au Roi d'Armes de France, par missive privée uniquement*;
      • ouvertes jusqu'au vendredi 23 décembre, après complies. **


      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le dix-sepième jour de novembre de l'an de grâce MCDLIX.






[* mp forum I à adresser à Ingeburge
** complies = dernier office liturgique du soir et ici, ce sera jusqu'à 22h59, heure française, soit GMT +1]
_________________
[Foutez-moi la paix.]
Anne_blanche
Citation:

    A Karl-Heinz de Dampierre, comte de Flandre,

      De par Montjoie, Roi d'Armes de France.


    Votre Grandeur,

    Je n'ai, jusque lors, réagi à la déclaration dans laquelle vous avez indiqué que vous ne reconnaissiez pas la destitution de Malycia, alors vicomtesse de Renaix, édictée par la Hérauderie de France en date du vingt-cinquième jour d'octobre de l'année courante, rappels ayant été formulés au Conseil des Grands Feudataires. Las, il semblerait que vous vous entêtiez dans votre erreur puisque vous exigez du Héraut de Flandre de bailler des clés à ladite Malycia afin qu'elle puisse siéger à la Haute Cour Flamande, assemblée nobiliaire locale.

    Puisque ce qui vous a été dit ne semble point être parvenu jusqu'à votre esprit, lisez maintenant.

    Malycia n'est plus vicomtesse de Renaix et ne saurait être reconnue comme telle, ni par vous, ni par qui que ce soit; elle a été réduite à l'état de roture et nul acte n'est venu casser une déclaration prise sur le fondement d'un édit royal. Malycia, en portant les armes contre le Domaine Royal, possession de Sa Très Aristotélicienne Majesté la Reine de France, a méconnu ses devoirs nobiliaires et a violé l'édit royal sus-cité. Je sais qu'il est de bon ton et que cela donne un petit air savant de déclarer que la décision de Sa Majesté est illégale mais d'aucuns oublient que l'acte de destitution a été contresigné par un Roi d'Armes de France, qui, selon les lois héraldiques royales si chères à ceux qui font fort de se réfugier derrière elles afin d'oublier qu'il y a eu faute notable, a le droit de justice. Justice fut exercée et avec clarté. Si cela n'a su agréer à l'ex-vicomtesse, il y avait moyen de saisir la Très Noble Assemblée des Pairs de France.

    Voilà pour notre exorde, passons donc à votre déclaration en elle-même.

    Nous avons appris avec grand intérêt qu'elle fait suite à la saisine du Parlement flamand et que l'opportunité de reconnaître à la déclaration de destitution de Malycia par la Hérauderie Royale a été débattue devant cette institution flamande, qui, nous citons " est un organe législatif du Comté de Flandre, au même titre que le Conseil ". Organe législatif, organe chargé de rédiger des lois ou d'en voter, organe chargé de l'élaboration, de la révision ou de l'abrogation du Corpus législatif flamand. Nous trouvons pour le moins significatif qu'une personne, telle que vous, qui se pique de légalité et de légitimité ne se soit pas émue de ce qu'un organe législatif se soit saisi d'un acte émanant d'un Grand Office Royal. Nous trouvons pour le moins étrange que le chantre du respect des textes que vous êtes ait non seulement permis cette mascarade mais ait aussi suivi la recommandation d'une institution qui est donc incompétente, selon vos propres lois, pour juger de la validité d'un acte héraldique. Nous trouvons enfin des plus surprenants qu'une institution dont on sait qu'elle ne sort jamais du cadre de ses compétences édictées par la loi flamande dont vous êtes censé être le garant se soit permis pour cette affaire-là de sortir de son domaine de compétences.

    Nous sourions aussi quand nous lisons que la noblesse flamande est soumise à la Flandre et à son comte. Il conviendrait que le grand légiste que vous êtes ouvre un jour ce Codex Levan que vous estimez violé. Vous y apprendriez avec intérêt que la vassalité n'est pas le servage et que vous n'êtes pas plus délié des lois héraldiques que les autres. Vous y liriez également que non, le comte de Flandre, ou d'ailleurs, n'a pas d'autorité pour destituer, hormis les seigneurs de mérite. Il peut demander à ce qu'untel soit destitué mais c'est la Hérauderie de France qui tranche en dernier lieu. C'est ce qu'elle a fait ici, en regard de lois et de coutumes plus que connues et en regard d'un édit royal que vous vous faites fort de présenter comme étant la volonté inique de Sa Majesté. L'édit royal du dix-sept septembre dernier révoquant celui de Gien et précisant la nature de l'Autorité Royale s'appuie sur la coutume ayant toujours régi le Royaume de France et a été soumis, comme tout texte législatif royal, au jugement des Grands Feudataires du Royaume de France réunis en conseil. Nulle dissimulation donc mais il est bien plus aisé de clabauder et de faire feu de tout bois que de réfléchir avant de s'exprimer et de se renseigner a minima. Il y avait un comte de Flandre légitime au moment des discussions, si la noblesse flamande doit s'en prendre à quelqu'un, c'est à lui et à nul autre. Et il y avait tous les autres régnants légitimes à qui droit de parole et donc de suggestion et de contestation a été donné; là encore, s'en prendre à un édit qui a reçu l'assentiment des Grands Feudataires est la preuve d'une réflexion maladroite et inaboutie pour ne pas dire fallacieuse.

    Enfin, pour rappel, au cas où cela ne serait pas clair, Malycia n'est plus vicomtesse de Renaix et elle ne sera jamais plus convoqué à prêter allégeance. Vous vous faites fort d'en appeler à la primauté du codex héraldique, respectez donc les prérogatives que celui-ci prévoir pour la Hérauderie de France en matière d'organisation des hommages et allégeances. Vous vous permettez également d'en appeler à la féodalité pour justifier votre prise de position mais cessez de mettre de côté que Malycia fut faite vicomtesse de Renaix à l'issue d'un mandat de comtesse de Flandre, c'est-à-dire, au terme d'une période durant laquelle elle a été vassale de la Couronne de France. Il est facile de se tenir coi durant quelques semaines pour espérer pouvoir étrenner une couronne et d'oublier toutes ses bonnes résolutions et son serment une fois que cette couronne est effectivement étrennée.

    Pour conclure, nous entendons bien que ce n'est pas la Flandre mais bien vous qui vous vous entêtez à ne pas reconnaître la validité de l'acte de destitution. Fort bien. Certes, cette affirmation ne nous était guère nécessaire car c'est bien à vous et à vous seul que des comptes ont été demandés, comptes non honorés jusque lors et même pis puisque non content de ne point prendre vous-même la décision de demander la destitution de celle qui était alors votre vassale, vous avez osé contester l'institution qui a eu l'honneur et le bon sens, s'appuyant sur les lois et coutumes, de s'exécuter. Il existe un adage selon lequel " le vassal de mon vassal n'est pas mon vassal ". Certes, oui et cela, nous ne le dénions nullement. Mais il y en a autre qui stipule que le suzerain est solidaire des actes de son vassal et de celui-ci, comme du précédent, nous saurons nous souvenir en temps utiles.


    Donné le quinzième jour de décembre de l'an de grâce MCDLIX.





Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, par la volonté de la Reine et du Grand Maître de France, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir que nous reconnaissons avoir fait erreur en publiant, en sus de notre annonce datée du douzième jour de décembre dernier portant sur la révocation d'Alethea de Saint-Yriex, l'annonce du Haut Conseil de l'Ordre Royal de l'Ordre Royal de la Licorne faisant état du départ de ladite Alethea de ses rangs et pour ce manquement qui n'était en rien volontaire, nous souhaitons nous excuser. Conséquemment, nous ordonnons que toutes les copies de l'annonce ainsi divulguée soit arrachées sans délai.


      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le quinzième jour de décembre de l'an de grâce MCDLIX.




Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, par la volonté de la Reine et du Grand Maître de France, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir que la notice complémentaire à l'article 5 – prévoyant notamment les motifs d'exclusion définitive du collège héraldique – du Chapitre VII des lois héraldiques royales précisant la définition du manque d'assiduité en édictant des délais clairs et que messire Yann von Wittelsbach, dit Gascogne, Héraut d'Armes royal, ne s'étant pas présenté depuis la fin du mois d'août de la courante année en salle des caducées, nous révoquons conséquemment le sus-nommé Yann von Wittelsbach de sa charge de héraut et décrétons la marche de Gascogne vacante, étant entendu que le temps de la vacance, les demandes héraldiques devront être transmises au héraut plénipotentiaire envoyé sur place, Astrée, soit messire Paul Ooghe de Faucuwez.


      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le quinzième jour de décembre de l'an de grâce MCDLIX.




Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, par la volonté de la Reine et du Grand Maître de France, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir que le retrait de dame Nynaeve de Gaudemar et notre nomination à la tête de la Hérauderie de France ayant éclairci les rangs du Collège des Maréchaux, après discussion avec les trois membres de celui-ci toujours en place, nous avons décidé de nommer deux nouveaux maréchaux en les personnes de Flandre, soit Ascalon Breydel, et Orléans, soir Lexhor d'Amahir.

      Les cinq charges étant désormais pourvues, s'ensuit une nouvelle répartition des tutelles, étant à noter que nous conservons nous-même quelques marches sous notre responsabilité directe, soit :


      • Montjoie :
        • Bourgogne
        • Ile-de-France
        • Languedoc
        • Mnémosyne
        • Phylogène
        • Sylvestre

      • Alençon :
        • Alençon
        • Artois
        • Champagne
        • Blanche
        • Licorne
        • Saint-Jean
        • Sépulcre

      • Estampe :
        • Béarn
        • Marche
        • Toulouse
        • Touraine
        • Estampe
        • Sigillant

      • Flandre :
        • Auvergne
        • Comminges
        • Dauphiné
        • Flandre
        • Guyenne
        • Poitou

      • Minerve :
        • Anjou
        • Rouergue
        • Astrée
        • Dicé
        • Minerve

      • Orléans :
        • Angoulême
        • Berry
        • Gascogne
        • Maine
        • Normandie
        • Orléans

      Cette répartition ne remet nullement en cause l'autorité et la légitimité des hérauts envoyés sur place en tant que plénipotentiaires.


      Pour rappel, en cas de requête à formuler à la Hérauderie de France, l'usage veut que l'on se tourne en premier lieu vers le héraut attaché à la marche concernée ou le plénipotentiaire y ayant été mandé; en deuxième lieu, vers le Maréchal d'Armes de tutelle; la sollicitation du Roi d'Armes de France devant intervenir en dernier recours.


      Enfin, les registres de la Hérauderie Royale les seuls à faire autorité et légitimité sont ceux rendus disponibles en chapelle Saint-Antoine-le-Petit et en antichambre du Louvre; toute personne se réclamant de notre noble institution n'y ayant pas son nom inscrit étant un usurpateur.



      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le quinzième jour de décembre de l'an de grâce MCDLIX.




_________________
Anne_blanche
Citation:
De Nous Dotch de Cassel, Grand Maître de France,
A tout ceux qui le présent écrit liront ou se feront lire,

Salutations.

Nous avons proposé à Sa Majesté Nebisa de Malemort, il y a quelques semaines le renvoie du Chancelier de France, Mc Legrand Vicomte de Montgommery.

Avec sagesse, et tolérance, Sa Majesté a souhaité offrir une nouvelle chance au Vicomte de Montgommery. Depuis, nous n'avons que peu de nouvelles du Chancelier. Or certaines affaires nécessitent la présence d'un Chancelier au plus vite.

C'est pourquoi ce jour, nous annonçons le renvoi de Mc Legrand Vicomte de Montgommery de sa charge de Chancelier de France.

Nous ouvrons dès à présent et ce jusqu'au 31 décembre mil quatre cent cinquante neuf, les candidatures pour la charge de Chancelier de France.

Qu'il en soit ainsi et heureusement,

Faict à Argentan, le dix huitième jour du douzième mois de l'an de Grâce mil quatre cent cinquant neuf.

Signé et scellé de notre main,




Dotch de Cassel,
Grand Maître de France.

Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, par la volonté de la Reine et du Grand Maître de France, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir que la volonté de la Hérauderie de France étant d'être présente et active sur l'ensemble du territoire du Royaume afin de veiller au mieux sur la noblesse de France et de sauvegarder les intérêts d'icelle, il a été décidé, après discussion et concertation avec les Maréchaux d'Armes royaux, de lancer une nouvelle session d'examen à l'entrée du Collège héraldique de France pour pourvoir l'ensemble des marches vacantes, hormis celle du Languedoc.
      Pour celle-ci, choix a été fait de l'exclure de la session à venir après les constats tirés de la rencontre de la noblesse que nous avions pris soin de réunir en assemblée, option qui avait d'ailleurs été présentée en cette occasion. La marche languedocienne demeure donc sous notre pleine et directe tutelle le temps que les problèmes constatés, à faut d'être définitivement réglés, soient contrecarrés. Nous y mettrons, pour sûr, toute notre énergie et toute notre détermination.


      Sont donc ouvertes à candidature les marches suivantes :


      • Anjou
      • Artois
      • Béarn
      • Berry
      • Bourgogne
      • Comminges
      • Gascogne
      • Guyenne
      • Dauphiné
      • Maine
      • Poitou
      • Rouergue
      • Toulouse
      • Dicé
      • Licorne


      Les candidatures sont :

      • ouvertes à tous les sujets du Royaume de France, tel que prévu par les lois héraldiques royales;
      • à adresser au Roi d'Armes de France, par missive privée uniquement*;
      • ouvertes jusqu'au vendredi 23 décembre, après complies. **


      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le dix-sepième jour de novembre de l'an de grâce MCDLIX.






[* mp forum I à adresser à Ingeburge
** complies = dernier office liturgique du soir et ici, ce sera jusqu'à 22h59, heure française, soit GMT +1]
Citation:
Nous, Montjoie, Roi d'Armes de France,
Minerve, Maréchal d'Armes royal en charge des joutes,
A tous ceux qui liront ou se feront lire,

Tenons à faire savoir que nous avons pris connaissance de l'entreprise de messire Rotule Baccard, seigneur de Clansaye, quand à la création d'un cercle de combat.
Si cela est un noble but nous nous devons d'y apporter quelques bémols.

Ainsi nous tenons à rappeler à la noblesse du Royaume de France que tous duel et joute sont réglementés et doivent être encadrés par la Hérauderie de France.

Que tout manquement à cela pourrait, dans certaines circonstances, engendrer des dérogeances au vivre noblement et donc des poursuites devant le tribunal héraldique.

Rappelons également que La Ligue des Joutes est à la disposition de la noblesse pour toute question et organisation de duel, de même que ledit sieur peut contacter la Ligue, via son Maréchal pour tout détail concernant les duels et affrontements de la noblesse.

Donné le douzième jour de décembre de l'an de grâce MCDLIX à la chapelle Saint Antoyne le Petit.



Citation:
Nous, Keridil d'Amahir-Euphor, Grand Ambassadeur Royal de France,

A tous présents et à venir, faisons savoir, que pour asseoir les relations du Royaume de France hors de ses frontières, nous statuons et arrêtons ce qui s'ensuit :

Puisque Son Excellence Jack de Virloinval, dit Jacklepetit, est pour l'heure inquiété dans une affaire de la Grande Prévôté, annonçons sa suspension de son poste en Confédération Helvétique.

Annonçons par la même, la révocation de Camille D'Anclair, suite aux conclusions concernant sa propre enquête.

Maintenons Son Excellence Ailvin Wolback suspendu jusqu'à nouvel ordre.

Le Très Haut soit témoin de ceci.

Keridil d'Amahir-Euphor, Grand Ambassadeur Royal de France, le Dix-Septième jour du Douzième mois de l'An de Grâce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf,



Citation:
Nous, Keridil d'Amahir-Euphor, Grand Ambassadeur Royal de France,

A tous présents et à venir, faisons savoir, que pour asseoir les relations du Royaume de France hors de ses frontières, nous statuons et arrêtons ce qui s'ensuit :

Après avoir prêté serment de fidélité au Royaume de France, acceptant les Statuts des Ambassades Royales, la personne ci-nommée est officiellement Ambassadeur Royal de France adjoint :

- Son Excellence Aiguemarine, auprès du Royaume de Lotharingie.

Elle sera ainsi sous tutelle de Son Excellence Cléopâtre.

Qu'aucun ne puisse enfreindre la page de notre concession, ou aller à son encontre par une audace téméraire. Si cependant quelqu'un osait le tenter, qu'il sache qu'il encourra l'indignation du Dieu tout-puissant et des bienheureux Aristote et Christos.

Que ce soit ferme chose et stable jusqu'à révocation des termes ce présent édit.

Keridil d'Amahir-Euphor, Grand Ambassadeur Royal de France, le Vingtième jour du Huitième mois de l'An de Grâce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf,


_________________
Ingeburge
Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, par la volonté de la Reine et du Grand Maître de France, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir que l'appel à candidatures en vue d'intégrer la Hérauderie de France est toujours ouvert et ce, jusqu'à vendredi soir, après complies. Les personnes désireuses de postuler sont donc invitées à se faire connaître.


      Sont ouvertes à candidature les marches suivantes :


      • Anjou
      • Artois
      • Béarn
      • Berry
      • Bourgogne
      • Comminges
      • Gascogne
      • Guyenne
      • Dauphiné
      • Maine
      • Poitou
      • Rouergue
      • Toulouse
      • Dicé
      • Licorne


      Les candidatures sont :

      • ouvertes à tous les sujets du Royaume de France, tel que prévu par les lois héraldiques royales;
      • à adresser au Roi d'Armes de France, par missive privée uniquement*;
      • ouvertes jusqu'au vendredi 23 décembre, après complies. **


      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le vingt-et-unième jour de novembre de l'an de grâce MCDLIX.






[* mp forum I à adresser à Ingeburge
** complies = dernier office liturgique du soir et ici, ce sera jusqu'à 22h59, heure française, soit GMT +1]
_________________
[Foutez-moi la paix.]
Anne_blanche


Citation:

A Elisabeth Stilton de Lasteyrie, Dame de Lusigny et avocat d'Altaiir Auditore da Firenze,
A Altaiir Auditore da Firenze,


Nous, Melior de Lioure signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France a débouté sa saisine portant plainte à l’encontre d’une décision héraldique de destitution de fiefs concernant Altaiir Auditore da Firenze datée du quinzième jour de novembre de l'an de Grâce 1459 .


Consultation du dossier lié au procès a été faite. Demande a été formulée auprès de Montjoie, Roi d'Armes de France pour éclaircir certains points.

Concernant les interventions de Felix Barrauld de Cosnac, dict Felian, héraut de Touraine, Montjoie a assuré que son avis a été écarté, tant lors des débats que lors du vote.
Concernant la lettre du Vicomte Pierre-Louis de Villefort, celle-ci a été retirée du dossier d'accusation sur demande du Vicomte. Elle était d'ordre privé et ne peut être divulguée sans son accord.
Concernant la missive de Son Eminence Clodeweck Montfort-Toxandrie, cardinal-archevêque de Tours, Cardinal Chancelier de la Congrégation de la Saincte Inquisition, Duc de Montforzh, non retenue par le Tribunal héraldique car parvenue hors des délais établis par la procédure, celle-ci ne peut être non plus retenue par la Noble Assemblée des Pairs de France, en vertu du chapitre V, partie 2 du Codex Levan :


Citation:
L'Hérauderie est une institution royale de même titre que la Cour d'Appel, et un juge local ne peut retirer des titres de noblesse, et qu’il n'est donc point dans les attributions de la Cour d'Appel de traiter des destitutions et réhabilitations des titres de noblesse. C’est pourquoi, afin de préserver la possibilité des Nobles de faire appel exceptionnellement des sanctions les plus importantes que pourraient prendre le Collège Héraldique (rétrogradation d'un rang de noblesse, réduction à l'état de roture et réduction à l'état de roture assortie d'un délai avant tout nouvel anoblissement) seule la Pairie, par délégation de l'autorité Royale, est habilitée à recevoir ces demandes et la HCJ à traiter ces demandes d’appel. Si un noble souhaite contester la peine retenue par le Collège Héraldique, il peut donc saisir la Pairie pour y faire appel.


En effet la Noble Assemblée des Pairs de France étudie la recevabilité d'appel sur le verdict et non sur la procédure héraldique. Elle ne peut donc s'appuyer sur d'autres pièces que celles composant le dossier soumis au jugement du collège héraldique.
Dans ces pièces, il apparaît que la volonté de nuire au suzerain retenue par le Tribunal Héraldique est établie par le témoignage de Naudeas La Barillère, Curé de Rieux, qui dit :

"Je ne connaissais pas les tenants et les aboutissants, il m�a demandé comment agir contre un Duc qui ne respectait pas le concordat de la Touraine, alors je lui ai expliqué comment faire, déposer une plainte à la Congrégation de la Sainte Inquisition à la salle des lamentations."

La Noble Assemblée des Pairs de France tient également à ajouter que lorsqu'elle examine la recevabilité d'un appel, cet examen n'est en rien suspensif de la peine décidée par le Tribunal Héraldique, conformément au préambule du chapitre V du Codex Levan :


Citation:
Appel et peines :
L’appel d’une décision de justice héraldique, quelle qu’elle soit, est suspensif de la peine décidée à partir du moment où il est accepté par l’instance où il se fait.
Tout appel doit être fait endéans les 15 jours qui suivent la décision pour être considéré comme valide et légal par la Hérauderie.


L'appel n'est suspensif qu'à partir du moment où la Noble Assemblée des Pairs de France y a apporté une réponse favorable, ce qui n'est pas le cas ici.

Qu'il en soit su et certifié.

Faict à Paris le dix-huitième jour du mois de décembre de l'an de Grâce 1459.






Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Bess Saincte Merveille-Rouben, Armoria de Mortain, Actarius d'Euphor,Valnor de Landemorte, Dotch de Cassel, Oksana de Floret, Argael Devirieux, Martymcfly de Montfort-Balmyr, Ztneik du Ried.
Citation:
Citation:






Citation:
Travaux de la Noble Assemblée des Pairs
Semaine du 13 au 18 décembre 1459

Dossiers clos :
Dossiers liés au Royaume de France
-

Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Saisines héraldiques


Candidatures à la Pairie
-

Réponses en cours de validation
Dossiers liés au Royaume de France
-

Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Saisines héraldiques
-

Débats en cours
Dossiers liés au Royaume de France
  • Travail sur l'élaboration d'une Charte Royale.
  • Trêve avec le Ponant.
  • Projet de mécénat royal proposé par Sa Seigneurie Argael


Saisines héraldiques



Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Candidatures à la Pairie
-

Au nom de la Chambre des Pairs,
Faict à Paris le dix-neuvième jour du mois de décembre de l'an de Grâce 1459.
































_________________
Anne_blanche
Citation:

    Par la présente, Nous, Adeline de Courcy, Grand Archiviste de France,
    Et nous, Eléïce de Valten dicte Linoa, Vice Grand Archiviste de France,

    Annonçons que par décision du Conseil d'Administration,


      * Sieur Guilllaume est nommé à la charge d'Archiviste Politique du Comté du Maine.


    Fait aux Archives Royales,
    Le XXII du Mois de Décembre de l'An de Grâce MCDLIX

Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, par la volonté de la Reine et du Grand Maître de France, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir que l'appel à candidatures en vue d'intégrer la Hérauderie de France est toujours ouvert et ce, jusqu'à vendredi soir, après complies. Les personnes désireuses de postuler sont donc invitées à se faire connaître.


      Sont ouvertes à candidature les marches suivantes :


      • Anjou
      • Artois
      • Béarn
      • Berry
      • Bourgogne
      • Comminges
      • Gascogne
      • Guyenne
      • Dauphiné
      • Maine
      • Poitou
      • Rouergue
      • Toulouse
      • Dicé
      • Licorne


      Les candidatures sont :

      • ouvertes à tous les sujets du Royaume de France, tel que prévu par les lois héraldiques royales;
      • à adresser au Roi d'Armes de France, par missive privée uniquement*;
      • ouvertes jusqu'au vendredi 23 décembre, après complies. **


      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le vingt-et-unième jour de novembre de l'an de grâce MCDLIX.






[* mp forum I à adresser à Ingeburge
** complies = dernier office liturgique du soir et ici, ce sera jusqu'à 22h59, heure française, soit GMT +1]
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Ingeburge
Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, par la volonté de la Reine et du Grand Maître de France, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir que l'appel à candidatures en vue d'intégrer la Hérauderie de France est désormais fermé et que suite à cette fermeture des inscriptions, le questionnaire de la session de décembre 1459 a été envoyé à tous les candidats. A ceux-là, nous souhaitons bon courage et réponses inspirées. Nous tenions aussi à remercier les Grand Ecuyer de France, le Collège des Maréchaux et Normandie qui nous ont été d'un grand secours dans l'élaboration de ce questionnaire.

      Enfin, nous souhaitons rappeler que malgré la fin de cet appel, la Hérauderie de France recrute, encore et toujours, et ce, pour bon nombre de marches, qu'elles soient provinciales ou de spécialité. Toutes les personnes intéressées par une charge de poursuivant ou de chevaucheur sont donc invitées à se faire connaître auprès des hérauts et maréchaux d'armes royaux qui sauront les renseigner et les orienter.


      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le vingt-troisième jour de novembre de l'an de grâce MCDLIX.




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[Foutez-moi la paix.]
Anne_blanche
    A nos feudataires,
    A nos vassaux et vavassaux,
    A nos vaillants soldats et volontaires,
    A notre bon peuple de France,

    Cette annonce n'est pas celle à laquelle nous nous étions préparés.

    Nous aurions voulu pouvoir vous souhaiter à tous et toutes de bonnes fêtes, et ce, dans la joie et la paix. Paix que nous voulons ardemment et qui explique que nous soyons demeuré tant de jours à Rome pour négocier avec les émissaires du Ponant. Paix dont nous pensions la volonté partagée malgré quelques libertés de part et d'autres avec les conditions de la trêve.

    Las, le Ponant se joue de nous, changeant au gré de ses humeurs ses représentants qui, s'ils ne sont pas muets, tiennent des discours différents.

    Voila deux jours, les représentants de l’Église ont proposé un traité de paix synthétisant les discussions menées jusqu'à présent. Dans ses grandes lignes, et les plus importantes, nous avons accepté ce traité pour le bien de la Couronne, des ses sujets, et dans un esprit de réconciliation du Royaume.

    Si jusqu'à présent nous avons œuvré dans un esprit de réconciliation du Royaume et de clarification juridique de l'Alliance du Ponant, leurs dernières réactions nous laissent à penser que nous ne nous sommes pas assis autour de la table des négociations avec les mêmes buts.

    Qu'il soit su que le Royaume est un et indivisible.

    Que par conséquent nous ne reconnaitrons nulle indépendance auto-proclamée ni un nouveau Royaume formé autour de la Bretagne.

    Que nous laissons jusqu'au 2 janvier 1460 au Ponant pour signer le traité proposé par l’Église ou proposer des amendements conformes aux discussions que nous avons eu, faute de quoi, et c'est la mort dans l'âme que nous prenons cette décision, la guerre devra reprendre ses droits.

    Que passé le délais des dix jours, si certaines provinces affiliées au Ponant le souhaitent, nous serons disposés à discuter avec elles et la trêve se poursuivra entre le Royaume et ladite/lesdites provinces.

    Son Altesse Royale Argael Devirieux
    Dauphin de France






_________________
Anne_blanche
Citation:

    Par la présente, Nous, Adeline de Courcy, Grand Archiviste de France,
    Et nous, Eléïce de Valten dicte Linoa, Vice Grand Archiviste de France,

    Acceptons la démission de Messire Flily de sa charge d'Archiviste Judiciaire pour le duché d’Alençon et celle de messire Theoze de sa charge d’Archiviste Judiciaire pour le comté de Toulouse. Nous les remercions pour leur travail effectué au sein de notre Office.

    Nous annonçons également, par décision du Conseil d'Administration, du fait de leur inactivité et de par leur trop longue absence au sein de notre institutions que,


      *Dame Lissandril est destitué de sa charge d'Archiviste Judiciaire du Duché d’Orléans .
      * Messire Mariodenos est destitué de sa charge d'Archiviste Judiciaire du Comté du Périgord-Angoumois
      * Messire Philios est destitué de sa charge d'Archiviste Judiciaire du Comté de Béarn
      * Messire Percius est destitué de sa charge d'Archiviste Politique du Duché de Gascogne
      * Messire jorocket est destitué de sa charge d'Archiviste Politique du Comté du Languedoc


    Fait aux Archives Royales,
    Le XXIII du Mois de Décembre de l'An de Grâce MCDLIX



Citation:
A Valdy, capitaine de la nave génoise Le Visconti
Aux Chefs de ports du Royaume de France,
Aux Régnants du Royaume de France,

De l'Amirale de France, Harpège d'Orkney, Baronne de Laguiole,

Au nom de la Reyne et du Connetable de France, suite à l'attaque que le Visconti a mené contre un navire marchand, le Rougeur du matin, capitaine Kunibert_kuners, et dégradé ce faisant l'image de la France à létranger, nous vous déclarons pirate et ennemi du Royaume de France.

Nul port du Royaume ne pourra vous accueillir sans que vous ne soyez traduit devant les tribunaux du Royaume pour Haute Trahison. Tous ceux qui vous aideront d'une façon ou d'une autre seront traduits en justice pour Haute Trahison.

Lettre de marque sera confié à tout Capitaine en mesure de couler le Visconti, qui pourra garder 90% du contenu de l'épave.

Faict à Fécamp, le 26 décembre 1459

Harpège d'Orkney
Baronne de Laguiole,
Amirale de France
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Estampe_Varenne/harpegejaune.png [/img]

Citation:
Nous, Keridil d'Amahir-Euphor, Grand Ambassadeur Royal de France,

A tous présents et à venir, faisons savoir, que pour asseoir les relations du Royaume de France hors de ses frontières, nous statuons et arrêtons ce qui s'ensuit :

Que Son Excellence Jack de Virloinval, dit Jacklepetit, réintègre les Ambassades Royales de France.

Annonçons par la même, la révocation d'Aalys Auditore de Firenze, suite à ses absences.

Maintenons Son Excellence Ailvin Wolback suspendu jusqu'à nouvel ordre.

Le Très Haut soit témoin de ceci.

Keridil d'Amahir-Euphor, Grand Ambassadeur Royal de France, le Vingt-Sixième jour du Douzième mois de l'An de Grâce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf,


_________________
Ingeburge

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[Foutez-moi la paix.]
Ingeburge




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