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[RP] Bureau du secrétaire d'Etat-Annonces Royales

Magalona_eufrasia
Avant de rentrer prendre un repos bien mérité, je vins afficher les dernières annonces.

Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir qu'afin de pallier la désaffection impromptue et injustifiée de maître Stannis de Xaintray, Héraut d'Armes royal du Poitou, nous choisissons de dépêcher et dépêchons auprès de la noblesse poitevine dame Mathilde de Vaucanson Joncheray, Héraut d'Armes royal connu sous le nom de Mnémosyne. Icelle sera chargée de la gestion courante de la marche poitevine et aura toute autorité pour ce faire, le temps que nous éclaircissions ce qu'il est advenu de Poitou et que nous décidions de l'avenir d'icelui au sein de la Hérauderie de France.


      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le dix-huitième jour de décembre de l'an de grâce MCDLX.





Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir que nous avons été informée de la situation que connaît actuellement la marche héraldique dauphinoise. Notre étonnement est grand d'avoir appris que nombre d'affaires étaient en souffrance et depuis quelques jours maintenant, nous prenons la mesure du retard accumulé, posant des questions, compulsant les minutes ayant trait à ladite marche et sollicitant des réponses de Dauphiné. C'est ainsi qu'en ce jour, nous assurons solennellement à la noblesse dauphinoise que nous ne l'oublions pas et que nous promettons à icelle que tout sera mis en œuvre pour que la spirale négative soit inversée et que les questions sans réponse, les demandes en attente et les anoblissements validés par le Collège héraldique soient traités. Déjà Champagne, Maréchal d'Armes royal de tutelle, s'est mise à l'ouvrage et nous en la remercions. De notre côté, nous écrirons personnellement à chaque anobli de mérite et de retraite et à chaque noble ayant fait connaître par le passé son désir d'octroyer – que ceux qui ne recevront rien ce jour d'hui n'hésitent pas à nous adresser une missive. Enfin, et ceci fera l'objet d'une requête particulière, nous faisons expression de notre souhait de rencontrer en assemblée la noblesse dauphinoise et ce en compagnie de Champagne, afin d'une part de réitérer de vive-voix les engagements ainsi donnés et d'autre part régler définitivement les affaires qui auraient déjà dû l'être.

      Que le Très-Haut garde la noblesse du Lyonnais-Dauphiné.


      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le dix-septième jour de décembre de l'an de grâce MCDLX.




_________________
Maud
Et parce que le valet colleur d'affiche homme à tout faire de la secrétaire d'Etat devait dormir dans un coin ou se balader.. Maud envoya Alphonse afficher l'annonce Royale de la veille que tous les bourguignons et bourguignonnes devaient connaitre absolument.

Citation:
Pour et au nom de Sa Majesté Eusaias de Blanc Combaz, Roy de France,
De Nous, Sa Majesté Agnès de Saint Just, Reyne consort de France,

À nos sujets & à son peuple,
À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,

Salutations et Paix.

    Guidé par l'éternel souci de son peuple, de ses vassaux, de ses officiers, et désireux de préserver le Royaume des débris et des épaves sur la plage de l'Aristotélicité, avons manifesté le 19e de décembre nos bonnes dispositions au dialogue suite à la requête émanant de la Curie Romaine dès que la levée de notre excommunication sera effective.

    Au travers de cet acte, la Curie Romaine ouvrira de nouveau la porte du dialogue qu'elle a elle-même verrouillée, ce qui lui permettra de faire amende honorable en ce qu'elle outrepasse ses prérogatives en dirigeant l'excommunication contre la Couronne et ses vassaux.
    La France, qui ne saurait balayer la concorde du revers de la main, ne demande que des rétractations et des excuses chez ceux qui ont osé attenter à ses intérêts en se posant comme rivaux de son autorité et non comme alliés.

    Le Monarque n'est pas Roy par la volonté d'une poignée de Cardinaux qui souhaitent le soumettre par le chantage du Sacre, mais par la manifestation de Dieu s'exprimant via les urnes, et ce, quand bien même ce choix ne serait pas celui des hommes en pourpre, dont le pire des errements serait de vouloir se substituer au Très-Haut.

    Notre main restera tendue jusqu'au 26e de Décembre inclus.
    Faute de nouvelles, nous considèrerons que cette volonté de dialogue n'était qu'un voeu pieux, et poursuivrons dès lors les réformes et amendements liés à cette situation qui nous oblige.


Aux hommes la droiture et le devoir,
Et à Dieu seul la gloire.

Faict le 22e de décembre 1460.




_________________
Rouge_et_or
Comme il se devait l'homme en rouge et or avait été envoyé par la secrétaire d'état pour afficher les annonces qu'elle venait de lui remettre.

Citation:
De nous Akane Giffard – De Clairval, Duchesse de Cany et de Vernon, Vicomtesse de Bolbec, Vicomtesse douairière de Carentan, Grand Chambellan, à tous ceux qui liront, ou se feront lire, salut.





    En notre qualité de Grand Chambellan de France, nous annonçons ce jour,

    La nomination de Sa Grasce Anya De Puycharic - Giffard , au poste de médecin royal

    Nous lui souhaitons bonne chance dans sa nouvelle fonctions, et nous l’invitons à se rendre au plus vite dans les locaux de la Curia Regis.

    Que le Très-Haut veille sur toutes celles et tous ceux qui liront ou entendront la présente annonce.

    Faict et scellé de notre main,
    au Palais du Louvre, le vingt-deuxième jour du mois de décembre de l’an de grasce mil quatre cent soixante.








Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France
      À nos sujets & à son peuple,
      À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,



En ce jour du 20 décembre 1460 nous confirmons de notre scel l'annonce suivante :

Citation:

Pour et au nom de Sa Majesté Eusaias de Blanc Combaz, Roy de France,
De Nous, Sa Majesté Agnès de Saint Just, Reyne consort de France,

A Falco de Cartel, Capitaine de cavalerie du Coeur Navré, très estimé féal au Royaume,


Respect et royales salutations.

    L'heure est venue pour le Royaume de s'armer de compagnies aptes à servir les intérêts de la France et de son Roy de manière exclusive, car Nous sommes bien décidés à nettoyer ce territoire de tous ses vagabonds, ses fainéants, ses imposteurs, et ses voleurs. Que chacun sache, chers amis, chers sujets, que les désœuvrés et les paresseux sont dans nos villes comme les bourdons devant une ruche, qui mangent le miel fait par les abeilles laborieuses.

    Parce que Notre intention est de venir en aide aux paysans, de laisser aux gentilshommes les privilèges auxquels l'accomplissement de leurs devoirs donnent droit, de récompenser les vertueux, et surtout de respecter la religion et les clercs fidèles au Roy qui les nourrit et les protège, accordons charge et devoir au Sieur Falco de Cartel et à sa Cavalerie du Coeur Navré de porter le fer en Notre nom chez Nos ennemis déclarés et de défendre nos domaines.

    Qu'une pleine aide et entière collaboration leur soit apportée dans l'exécution de leur mission auprès de tous ceux qui Nous honorent de leur loyauté.

    Bien évidemment, moyens leur seront alloués pour la juste exécution de la mission qu'il Nous plaît de leur bailler, sans que ne leur soit remboursé toute dépense inutile.

    Profitons de la présente pour nommer le Sieur Falco de Cartel, Mignon Royal. Qu'il se montre digne de l'honneur et de la charge que nous lui conférons.


    Que le Très-Haut vous guide et vous protège,
    Ainsi que les braves de votre renommée cavalerie.
    Et qu'après votre passage, caïmans et forbans souffrent le déluge !


Faict à Paris, le 14e de Décembre 1460.

Nota bene : S'il prenait subitement l'envie au Sieur de Cartel de porter atteinte à la personne de Sa Majesté le Roy de France, qu'il soit porté à sa connaissance que Nous, Agnès de Saint Just, Reyne consort de France, l'éviscèrerions au coutel de chasse rouillé et lui arracherions les yeux à la fourchette à fruit directement importée d'Italie
A chaque mignon suffit sa peine.

Qu'il en soit ainsi et heureusement.






Ainsi nous confirmons.















Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons qu'après requête formulée par la concernée et consultation du Collège des Maréchaux d'Armes royaux, dame Eleïce de Valten di Maggio, dit Touraine, Héraut d'Armes royal, en vertu des lois héraldiques royales est suspendue incontinent de ses fonctions héraldiques le temps que durera sa mandature de duchesse de Touraine. Les clés de la salle des caducées de la Chapelle Saint-Antoine-le-Petit lui sont ainsi ôtées; les affaires courantes de la marche seront gérées par nous-même puisque nous n'avons que cela à faire, n'est-ce pas.


      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le vingtième jour de décembre de l'an de grâce MCDLX.





Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

    • Savoir faisons à tous présents et à venir que les Hérauts et Maréchaux d'Armes royaux de France, réunis en collège, ont étudié les questionnaires envoyés suite à l'ouverte à candidatures des marches vacantes de la Hérauderie de France et ont débattu de ceux-ci, les auteurs desdits questionnaires ayant vu leur identité occultée dans le but que l'examen mené soit objectif et complet; que suite à cette étude, vote a été lancé afin que de départager les différents postulants et qu'après discussions et votations collectives, nous avons été amenée à réfléchir et à faire des choix; en voici le résultat.

      Sont nommés Hérauts d'Armes royaux :

      • Dame Cleopatre dePayns pour la marche Rouergue [Cleopatre2]
      • Dame Zoyah d'Aurel-Novotny pour la marche Guyenne [Zoyah]
      • Dame Tsampa d'Eusébius pour la marche Estampe [Tsampa]
      • Messire Lanfeust de Troy pour la marche Sylvestre [Lanfeust86]

      Est nommée Héraut d'Armes royal sous tutelle stricte du Roi d'Armes de France :

      • Dame Enduril de Noùmerchat pour la marche Languedoc [Enduril]

      Cela en précisant que les nommés ne pourront se prémunir des prérogatives liées à leur nouvelle charge qu'après avoir dûment prêté serment devant nous, la cérémonie d'intronisation devant se tenir en l'Hôtel Saint-Paul le vendredi 21 décembre de l'année courante, après l'office de tierce;


    • Savoir faisons que les marches Anjou, Artois, Béarn, Berry, Gascogne, Maine et Sépulcre demeureront vacantes, faute de candidats;


    • Savoir faisons que les marches Comminges, Astrée, Dicé, Gascogne et Toulouse demeureront vacantes faute de candidats possédant le niveau de connaissances requis : les postulants sont encouragés à persévérer, c'est pourquoi ils recevront début janvier une lettre détaillée de notre main;


    • Savoir faisons que discussions et réflexion seront menées en vue d'une nouvelle ouverture à candidatures des marches restées vacantes : tous ceux désireux de s'investir dans les marches en questions sont invités à joindre les maréchaux d'armes royaux concernés et que marches vacantes ne signifient pas marches abandonnées en ce que plénipotentiaires et maréchaux sont présents pour assurer aide et assistance auprès des noblesses provinciales;


    • Concluons en rappelant que seules les personnes notées aux registres de la Hérauderie de France sont officiers héraldiques royaux reconnus et légitimes et que toutes les autres se réclamant d'une charge dont ils ne sont pas les titulaires sont des usurpateurs : à cette fin, lesdits registres sont régulièrement mis à jour et consultables par tous en chapelle Saint-Antoine-le-Petit et en antichambre du Louvre.


      Que le Très-Haut garde la féale et loyale noblesse du Royaume de France et qu'Il guide ceux qui en sont les gardiens dévoués.



      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le vingtième jour de décembre de l'an de grâce MCDLX.





L'homme prit ensuite quelques annonces trop vieilles maintenant pour figurer encore sur le panneau. Il les apporterait à la secrétaire d'état qui les archiverait. Il afficha ensuite les autres parcheminsqui étaient arrivés le matin même par courrier expressément dépêché.

Citation:
Offices Royaux et Recrutement.

Connétablie de France
- Lieutenant d’Etat Major pour l’Anjou
- Lieutenant d’Etat Major pour l'Armagnac et Comminges
- Lieutenant d’Etat Major pour l’Artois
- Lieutenant d’Etat Major pour la Gascogne
- Lieutenant d’Etat Major pour le Limousin et Marche
- Lieutenant d’Etat Major pour le Lyonnais Dauphiné
- Lieutenant d’Etat Major pour le Périgord Angoumois
- Recrutement pour le régiment Royal "Ne craint que Dieu et son souverain"



Grande Prévôté
- Membres du Guet Royal : Maréchaux de la Cité de Paris
- Geoliers : Gardiens des prisons de la capitale


Grande Chambellance
- Enlumineur royal
- Huissiers royaux
- Dames et Gentilhommes de la Chambre
- Aide des Cérémonies

    Académie Royale de France :


Cabinet des Finances
- Intendant pour les Provinces du Nord
- Intendant pour les Provinces du Sud


Hérauderie de France
- Poursuivants : Anjou, Artois, Béarn, Berry, Blanche, Bourbonnais Auvergne, Bourgogne, Dicé, Estampe, Flandres, Guyenne, Languedoc, Limousin et Marche, Lyonnais Dauphiné, Mnemosyne, Normandie, Saint Jean, Sepulcre, Sigillant, Toulouse.
- Chevaucheurs : Anjou, Alençon, Armagnac et Comminges, Artois, Astrée, Berry, Blanche, Bourbonnais Auvergne, Bourgogne, Champagne, Dicé, Estampe, Flandres, Gascogne, Guyenne, Licorne, Limousin et Marche, Lyonnais Dauphiné, Maine, Minerve, Mnemosyne, Perigord Angoumois, Phylogène, Poitou, Rouergue, Sepulcre, Sigillant, Sylvestre, Toulouse, Touraine.

Grande Chancellerie
- Grand Audiencier
- Audienciers
- Juges


Secrétariat d'Etat



Ambassades Royales de France
- Tous les non cités dans l'annonce


Citation:
Pour et au nom de Sa Majesté Eusaias de Blanc Combaz, Roy de France,
De Nous, Sa Majesté Agnès de Saint Just, Reyne consort de France,

À nos sujets & à son peuple,
À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,

Salutations et Paix.

    Guidé par l'éternel souci de son peuple, de ses vassaux, de ses officiers, et désireux de préserver le Royaume des débris et des épaves sur la plage de l'Aristotélicité, avons manifesté le 19e de décembre nos bonnes dispositions au dialogue suite à la requête émanant de la Curie Romaine dès que la levée de notre excommunication sera effective.

    Au travers de cet acte, la Curie Romaine ouvrira de nouveau la porte du dialogue qu'elle a elle-même verrouillée, ce qui lui permettra de faire amende honorable en ce qu'elle outrepasse ses prérogatives en dirigeant l'excommunication contre la Couronne et ses vassaux.
    La France, qui ne saurait balayer la concorde du revers de la main, ne demande que des rétractations et des excuses chez ceux qui ont osé attenter à ses intérêts en se posant comme rivaux de son autorité et non comme alliés.

    Le Monarque n'est pas Roy par la volonté d'une poignée de Cardinaux qui souhaitent le soumettre par le chantage du Sacre, mais par la manifestation de Dieu s'exprimant via les urnes, et ce, quand bien même ce choix ne serait pas celui des hommes en pourpre, dont le pire des errements serait de vouloir se substituer au Très-Haut.

    Notre main restera tendue jusqu'au 26e de Décembre inclus.
    Faute de nouvelles, nous considèrerons que cette volonté de dialogue n'était qu'un voeu pieux, et poursuivrons dès lors les réformes et amendements liés à cette situation qui nous oblige.


Aux hommes la droiture et le devoir,
Et à Dieu seul la gloire.

Faict le 22e de décembre 1460.





Il soupira alors. Avec la nouvelle année à venir, un nouveau crieur serait bientôt embauché et notre homme en livrée pourrait vaquer à d'autres occupations plus en rapport avec son premier métier.

Une fois assuré que l'ouvrage était conforme aux attentes de la comtesse, du moins a priori, il repartit son bonhomme de chemin.
Rouge_et_or
Et encore des annonces à montrer au peuple.

Citation:
De nous, Anne-Blanche Cornedrue d'Ambroise-Culan, Premier Secrétaire d’Etat,
Au nom du Roy de France,
A tous ceux qui liront ou se feront lire,

Salutations,

Qu’il soit su que nous nommons :

    Agathe Caillavet à la charge de Secrétaire d’Etat ad interim près la Gascogne.

Dame Agathe remplacera Dame Rozenn jusqu'à la fin de son mandat ducal.

Faict à Craon,

Le vingt-huictiesme de décembre MCDLX,




Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir qu'Angoulême, soit Henry de Silly, et Sigillant, soit Renlie d'Evrecy, constituant respectivement plaignant et témoin à charge dans le cadre de la plainte déposée contre Sa Grâce Flex de la Mirandole, duc du Charolais, vicomte de Mussidan, tenant du douaire du vicomté de Ribérac, baron de Cruzy-le-Châtel, tenant du douaire de la baronnie de Beauregard, seigneur de Soirrans, lesdits Angoulême et Sigillant sont suspendus de leurs obligations héraldiques en ce qui concerne le procès ouvert suite à la plainte susdite. Ainsi, ils ne sont pas autorisés à participer aux débats se tenant entre les murs du Tribunal Héraldique pas plus qu'ils ne seront autorisés à participer au vote qui suivra et qui déterminera l'avis du Collège héraldique réuni en tribunal.


      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le vingt-huitième jour de décembre de l'an de grâce MCDLX.





Citation:

------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


      Aux sujets de France,
      A tous présents et à venir. Salut.

                                          Quartier Général de la Connétablie.
                                          29e de Décembre an 1460




    « Soldats Français, Chevaliers de France, ne refusez pas votre bonté aux humbles laboureurs et à ce brave peuple qui a tant de droits à notre sympathie. Ne conservons en nous aucun orgueil au cœur de nos succès. N'y voyons que la preuve fatale de cette justice divine qui punit l'ingrat et décapite le parjure. »


      PROCLAMATION DE L'OCCUPATION D'ANJOU



    Après la libération du Maine, de l'Orléanais, et de l'Alençon, l'Illustre Armée des Lys descend la Loire, conquiert les terres, hameaux, et mines d'Anjou, avant de poursuivre sa marche sur Angers, qui seule résiste. Or,les troupes royales y ont établi leurs quartiers et entendent bien faire capituler la ville sous deux jours, après avoir évacué la mauvaise graine qui s'y loge, et qui par sa mauvaise influence, gâte le tout.


    Soldats Français, Chevaliers de France, un mois après que l'ennemi passa la frontière du Domaine Royal pour y être défait, au même jour, à la même heure, nous sommes entrés en Anjou. Ses mercenaires, ses conscriptions en masse, ses remparts respectivement payés, mobilisées, créés par la rage impuissante des princes autoproclamés de la Maison Angevine, n'ont point soutenu la comparaison avec l'excellence des Lys. Les princes de la Maison Angevine ont abandonné leur province, non comme des combattants d'honneur qui cèdent aux circonstances et aux revers de la guerre, mais comme des parjures qui après avoir osé porter le fer sur nos familles, poursuivent leurs propres remords jusque dans leur sous-sol. En désertant leurs places fortes, en fuyant leur village, leurs adieux au peuple d'Anjou se sont soldés par le meurtre et l'incendie. Comme Médée, ils ont de leurs propres mains égorgé leurs enfants sur l'autel de leur inconséquence, pour ne pas avoir eu la sagesse d'ouvrir la porte à un dialogue apaisé.

    Soldats Français, Chevaliers de France, le peuple du Duché d'Anjou, délaissé, abandonné, veuf, sera l'objet de votre considération. Nous prenons dès à présent les bons habitants de cette terre sous Notre spéciale protection. Quant aux gredins turbulents et perfides, Nous en ferons une justice exemplaire, car le crime ne saurait rester impuni.

    Soldats Français, Chevaliers de France, ne refusez pas votre bonté aux humbles laboureurs et à ce brave peuple qui a tant de droits à notre sympathie. Ne conservons en nous aucun orgueil au cœur de nos succès. N'y voyons que la preuve fatale de cette justice divine qui punit l'ingrat et décapite le parjure.


    Nous exigeons des séditieux angevins:

    - Qu'ils reconnaissent leur défaite en ce qu'ils ont abandonné entre Nos mains les outils de leur prospérité.
    - Qu'ils formulent auprès de Nous une proposition de tribut décente qu’ils honoreront auprès de Notre Domaine outragé.
    - Qu'ils démobilisent et baissent les bannières de leurs armées, hormis celle de Calyce, pour que cessent les difficultés et le déshonneur qu'ils font endosser au peuple d’Anjou.

    Ces conditions remplies, en bon Monarque, Nous leur accorderons audience, si la délégation Nous plait, en notre Palais, afin de reprendre les discussions là où elles en étaient après la signature de l’Aventin. Ces conditions rejetées, nous prendrons acte de la volonté des séditieux de préférer à la paix des braves, la ruine intégrale de la province qu'ils prétendent diriger, en lui donnant mauvaise(s) mine(s).

    Nous leur laissons deux jours.


    Pour la France... Ainsi je Frappe !







Alphonse.
Elle est toujours pas là?
Non Alphonse
Et son grouillot là?
Non plus!
Mais Vicomtesse, c'est bien parce que c'est vous..


Et Alphonse d'aller afficher l'Annonce Royale


Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


      A La Bourgogne ma bien-aimée vassale,
      A Aryanah de Bourgogne,
      Au nouveau conseil mis en place,
      A tous les sujets bourguignons,
      A tous les sujets de France,
      Respect et royales salutations.


    C’est le cœur empli de fierté que nous prenons la plume ce jour afin de féliciter les très aristotéliciens bourguignons, qui sans trahir leur foi n'ont pas hésité à se dresser contre les agents étrangers qui les commandaient de se rebeller contre leur suzerain pour des intérêts de boutiquiers en voulant faire de l'honorable Bourgogne un socle pour leur croisade infâme. La noblesse de Bourgogne a su montrer par son courage et son caractère impavide qu’un fils de France gagnait à être à la fois un croyant empli de piété et un bon sujet, conscient des devoirs qu'appelle sa liberté et de la liberté à laquelle aspirent ses devoirs. Nous n'avons jamais douté qu'ils étaient à même de comprendre que le Roi parle bien d'un alliage de la Foi et de la Couronne, quand la Curie Romaine appelle à se prononcer pour l'un ou pour l'autre. Nous en prenons acte, et désormais, les fondations de l'Après Rome se préparent.

    C'est avec la plus vive considération que nous honorons les braves de Dijon, que par la présente nous tenons à louer aussi bien leur courage que leur clairvoyance pour ne pas avoir livré leur État aux mains d'une puissance étrangère hostile et belliqueuse.

    Nous invitons la Dame Aryanah à faire ce que son malheureux prédécesseur s'est vu interdire de faire par ses maîtres extérieurs à la France, et à venir nous prêter allégeance en salle du trône afin que son mandat, placé sous les hospices de Dieu et de la Couronne, soit riche et prospère.

    Prévenons que nous serons à l'écoute de tous nos enfants qui souhaiteront s'amender des tragiques erreurs qui les ont porté à vouloir vendre au Pape et à l'Empire ce qui a été si longuement et douloureusement bâti au fil des âges par la sueur et le sang des nobles fils de Bourgogne.

    Que tous comprennent en revanche que ceux qui s’attaqueront à elle ou ses vassaux seront implacablement placés en ennemi du royaume de France et perdront ainsi tous les honneurs et privilèges que la France leur baille. Notre coeur est si magnanime, qu'il n'y reste plus de place pour tolérer en France les traîtres, les séditieux et autres vils, qui ne rêvent que d'y semer le trouble et le chaos au détriment de la tempérance et de l'amour des peuples.

    A vous, sujets de France, que la Bourgogne vous indique comme il n’est délicat d’être bon aristotélicien et fidèle sujet du Roy. Gardez toujours à l'esprit que nul homme n'est légitime à vous imposer le choix entre votre foi et votre roi, et que ceux qui le feront se fourvoieront car il ne peut y avoir de conviction religieuse honnête et de loyauté sincère dans le chantage et la menace.

    Que seules les attaques verbales, physiques, appel à la sédition, ainsi que la volonté de porter atteinte à l'unité sacrée du Royaume ou de nuire au Souverain sont punissables en France dans ce cas présent pour ce que ces actes imposent notre sévérité dans la protection de ceux qui s'en trouveraient victimes. Mais on ne saurait commettre la folie et l'imprudence de mettre en prison un homme pour sa seule foy, en ce que cette folie porte le scel pestiféré des tyrans, ce que fils imprégné des saines valeurs de la Bourgogne et désormais Roy de France, jamais ne serons !

    Pour Dieu, pour la Couronne éternelle, pour la Bourgogne.
    Français, le Roy vous salue !







Chevalier.roland.d.ars
Citation:

    Aux Bourguignonnes et Bourguignons,
    A Aryanha Farnese,
    Aux Grands Feudataires de France,


    Par le présent édit, qu'il soit su et entendu que la Très Noble Assemblée des Pairs de France, conformément à ses prérogatives prévues par les coutumes et lois royales et confirmées par la Charte Fondamentale du Royaume de France datée du douze février mille quatre-cent soixante, valide la demande de dame Aryanha Farnese et reconnaît à icelle, à compter du onze janvier mille quatre cent soixante-et-un, la dignité de régente du duché de Bourgogne et ce, jusqu'à l'élection du prochain régnant.

    En ces temps troublés où plus que jamais, l'aristotélicien Royaume de France a besoin d'unité et de solidarité, la Très Noble Assemblée des Pairs de France espère vivement que le conseil de régence pourra gouverner dans la paix et la concorde et que l'ensemble des Bourguignons fera front pour traverser cette période difficile et mettra de côté les voix des séditieux.


    Donné le onzième jour de janvier de l'an de grâce MCDLXI.


    Pour la Très Noble Assemblée des Pairs de France,
    Le Primus Inter Pares.






    Pairs de France s'étant prononcés sur la saisine concernée : Actarius d'Euphor, Datan l'Epervier, Marie Alice de Meyrieux, Bourguignon de Sorel, Thibaud-Xavier de Ludgarès, Bess de Sainte-Merveille Rouben, Angélyque de la Mirandole, Lexhor d'Amahir, Ztneik du Ried, Pierre du Val de Loire, Koyote, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg


Chevalier.roland.d.ars
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


        Aux sujets de Bourgogne,
        Aux membres de l'armée "Deus Manum Ducit" commandée par Istar.333,
        À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.




    La Bourgogne une fois de plus connait un profond déchirement, mais le Bon Roi que nous sommes ne laissera pas sa vassale, sa terre mère, sombrer dans le chaos et la folie des hommes. Afin de protéger nos sujets, les sujets de Bourgogne, déclarons ce jour

    • Que le seul régnant légitime de Bourgogne est la régente Aryanah, dont la régence a été reconnue par la Très Noble Assemblée des Pairs et scellée par son allégeance à la Couronne.
      Qu'adoncques le seul gouvernement légitime de Bourgogne est donc celui mené par Dame Aryanha.

    • Que l'armée menée par Istar.333, battant oriflamme Franc Comtois, est une armée hostile au Royaume de France et à la Bourgogne.
      Que cette armée ne doit pas être aidée d'une manière ou d'une autre, seule sa destruction compte.
      Que tout sujet de Notre Royaume portant atteinte à la Bourgogne et à son gouvernement légitime sera déclaré traître à la Couronne et devra subir toute les conséquences, perte des charges, statuts et rangs, qui découleront de ce statut.

    • Que la Franche Comté, offrant son oriflamme à armée hostile à la Couronne de France et ses vassaux, ne saurait être considérée autrement qu'hostile si elle persiste à aider les ennemis de la France.

      Que nous porterons nos troupes partout où séditieux et traitres gangrènent le Royaume et commençons dès ce jour par la Bourgogne.


    Que Dieu éclaire les esprits chagrins,
    Que les traitres soient châtiés de ma main.



Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Fait au Louvre le 14 janvier 1461.




Chevalier.roland.d.ars
Citation:



Nous, Eusaias de Blanc Combaz, Roy de France par la volonté du peuple et la grâce de Dieu,
À vous, Clodeweck de Montfort-Toxandrie, cardinal-archevêque de Tours, Primat de Bretagne,
Mais aussi à tous ceux qui la présente liront ou se feront lire,


      « Un bateau ne peut naviguer sans capitaine à sa tête, et si le Très Haut le veut, je serais ce capitaine. »
      Saint Bonifacius, réorganisateur de l'Église corrompue et détruite.


    Réaffirmons notre volonté de préserver tout sujet du Royaume de France, qu'il soit clerc ou laïc, des manœuvres de la Curie Romaine. Au-devant de cette dernière qui souhaite la mort de Nos gens pour ce qu'ils remplissent leur devoir envers le Royaume de France avons-Nous déjà déclaré vouloir tout mettre en œuvre pour contrecarrer leurs noirs desseins. Car s'il Nous déplaît d'être au cœur des manipulations Romaines, Nous déplaît plus encore l'idée que Notre peuple ait à en subir les conséquences. Mais Nous tenons le peuple Françoys pour ce qu'il est, à savoir un peuple fort dans l'épreuve et valeureux dans l'adversité, prenant en horreur le fait d'être menacé chez lui, en son propre sol, sans égard aucun à la considération qu'il mérite.

    Nous Nous voyons forcés en ce jour de couper toutes nos relations avec les prélats fictifs et les prêtres dissolus qui ne correspondent plus en rien à l'exemple des héros de la foy qui les ont précédés. Nous prions en ce jour pour qu'ils reviennent sur le chemin de les vertu et qu'ils se remémorent les justes paroles de Saint Trufaldini:

    « En nos temps incertains, quoi de plus rassurant pour le fidèle que de prendre exemple sur un homme dont la vie et la piété furent exemplaires ? Les saints sont là pour nous guider, ils nous permettent de nous rattacher à quelque chose, à une tradition, à une manière de vivre ; ils sont donc utiles à la foi, aux œuvres, à la vertu ... ils participent à l'Aristotélisation de notre terre. »

    Que tous les prêtres dont l'esprit est agité par la haine Romaine l'entendent s'ils ne souhaitent finir dans les griffes de Belial:

    • Le don de soi, est la faculté de se sacrifier au profit de la communauté aristotélicienne, abstraction faite de sa propre individualité. Elle est la conscience de faire partie d’un tout. Au don de soi s'oppose le vice de l’orgueil, qui est le sentiment de pouvoir vivre hors de la communauté, ou d’être capable d’atteindre le statut de divin.

    • La tempérance est la faculté de se modérer, de suivre la voie du juste milieu qu’exige sa condition de croyant, de faire preuve de compréhension à l’égard de ses semblables. A la tempérance s'oppose la colère, qui est le vice de celui qui s’abandonne à sa haine de l’autre, ou qui de toutes ses forces tente de lutter contre sa condition.

    • La justice est la faculté de l’être à faire preuve de magnanimité, à reconnaître la valeur de l’autre, à identifier l’intérêt d’autrui. A la justice s'oppose l’envie, qui est le vice de celui qui désire bénéficier des justes récompenses attribuées à autrui, ou de celui qui convoite les biens ou le bonheur de son semblable.

    • La conviction est l’espérance en un avenir plein de promesses. Elle est plus largement la conscience des besoins et des intérêts futurs de la communauté des croyants, des nécessités de la conservation de l’espèce. A la conviction s'oppose la luxure, qui est le vice de celui qui se complaît dans l’abus des choses de la chair et dans le nihilisme le plus total.


    Les cardinaux qui prennent en ce jour en otage le Royaume de France ont oublié les vertus qui faisaient d'eux des prêtres. À ces derniers qui appellent à une guerre guidée par l'orgueil, le Roy les rappelle à leurs devoirs de clercs. La Curie qui n'a jamais été l'Église ne se donne même plus l'effort d'être la foy. C'est la Couronne de France qu'elle veut sur sa tête, quitte à décapiter le Royaume. Roy de France et Lieutenant de Dieu en le Royaume, Nous assumerons nos responsabilités. Les lois temporelles et les forces séculières s'abattront sur les ennemis de la France, d'où qu'ils viennent.

    Nos actes seront assumés devant le Très-Haut, puisqu'en ce jour, Nous en sommes plus que jamais l'humble Serviteur. Les anathèmes lancés par la Curie Romaine n'ont plus aucune valeur légale au regard de la Couronne. Il apparaît aujourd'hui vital qu'ils n'aient plus non plus aucune valeur spirituelle. Votre Éminence, Nous vous chargeons de contacter les évêques de France et de réunir les prêtres qui ont encore le désir de remplir leur mission sans se mêler de féodalité et qui ont à cœur de mettre fin à la surenchère dérisoire dont des prélats imbus d'eux-mêmes se rendent coupables, afin de participer à un Concile qui déterminera avec Nous ce qu'il est juste qu'il advienne de l'Église sur l'étendue du Royaume et ce que Nous pourrons faire pour elle, en terme de garanties et d'avantage à l'aune de ce qu'elle pourra sacrifier aux fidèles du Royaume de France.

    Le terrorisme de conscience de la Curie ne saurait Nous empêcher de régner. Le Pape est alité, et au regard de ses dernières communications, Nous comprenons tout de suite pourquoi. Dans ces conditions, Nous vous demandons d'organiser notre Sacre qui se tiendra en la Cathédrale de Tours. L'hérésie des hommes en pourpre est aujourd'hui telle et si manifeste que s'ils Nous proposaient d'officier, nous ne le voudrions même pas, par respect pour le Royaume que Nous représentons et que de toute évidence, ces gens là méprisent.

    Éminence, c'est avec tous les clercs de France qui refusent de continuer à être instrumentalisés par une poignée que Nous corrigerons ceux qui se sont écartés des vertus cardinales de notre foy. Cette concorde qu'offre le Royaume Nous apparaît salvatrice et nécessaire pour préserver les fidèles de France de l'enfer auquel d'avance Nos accusateurs et Nos juges, se prenant pour le Divin, semblent les vouer.

    Que la Curie menace. Convoque à ses procès truqués. Ses paroles tournent à vide et ses visages livides ne prennent plus la lumière. Que Dieu pardonne la perversité de ces fols, qui de toute évidence, ne savent plus ce qu'ils font. De Notre main, ces infâmes fauteurs de trouble et d'hérésie seront justement châtiés. Autant de fois que la protection de Nos sujets le nécessitera.

    À ceux qui convoitent le bien d'autrui, Saint Michel leur dirait:

    « Si ton œil droit t’attire vers ce qui ne t’es pas destiné, arrache le et brûle le, car mieux vaut qu’une partie de toi périsse, plutôt que d’attirer vers toi la colère de Dieu. »

    Et comme Barbare et Monique, face à leur fiel Nous leur disons:

    « Nous adorons le seul vrai Dieu et suivons nos uniques maîtres, Aristote et Christos. »

    L'assemblée de nos évêques respectueux des fidèles dont ils ont la charge et de l'autorité temporelle qui les protège et leur garantit leurs droits sera le roc de la paix Aristotélicienne qui s'étendra sur le Royaume sous Notre regard bienveillant. Cette paix qui s'étendra des Flandres aux Pyrénées, de la Bourgogne à la Normandie, Nous en serons le parrain, Nos clercs consciencieux en seront les acteurs. Ainsi seulement nous sauverons les âmes en rendant justice aux corps. Car protecteur des fidèles du Royaume, Nous Nous engageons à conforter les âmes sur le chemin de la vraie foy. Nous Nous engageons, à faire preuve envers Nos enfants de la clémence que Rome n'a pas. Nous Nous engageons à étendre les rameaux protecteurs du Lys sur tous ceux qui désirent vivre sur le territoire de France dans la vertu, l'harmonie, et la paix.

    Ainsi seulement nous serons tous libres d'aller à travers les prés et les bois en fredonnant ici un refrain, là une élégie, de nous désaltérer à l'eau cristalline d'un ruisseau gazouillant ou d'une rivière limpide. Les vergers nous donneront sans compter de leurs fruits juteux et savoureux, le chêne vert un tronc contre lequel nous reposer de nos fatigues ; le saule nous offrira son ombre ; les roses, leur parfum ; les vastes prairies, un tapis émaillé de milles couleurs champêtres ; l'air pur, sa fraîche haleine mentholée ; les astres et les étoiles, leur clarté dans la nuit ; les chants de Sylphaël , du plaisir ; les complaintes, de la joie ; l'Action Divine nous inspirera des vers et l'Amour Aristotélicien de si belles pensées que Nous autres Français seront célèbres et illustres jusque dans les siècles à venir.


Palais du Louvre, le 14e de Janvier 1461.





Citation:



------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


        À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.



    « De pire Empire »


    Par les caprices d'un Empereur, la longue entente entre la France et l'Empire a viré lof pour lof. Il prive ainsi les siens d'un soutien qui fut tant solidaire que sincère lorsque la France apporta son appui concret aux provinces impériales francophones dès lors qu'elles subissaient quelques difficultés. Qu'il en soit donc ainsi. La seule raison qui nous importe est la raison d'État et c'est le front haut que Nous affronterons tous ceux qui voudront la compromettre sur notre propre sol. Le Royaume de France est une terre Souveraine, subjuguée dans ses affaires temporelles par nul autre. Un Monarque qui se fait dicter sa ligne de conduite par un agent extérieur, fut-il Romain, n'est plus un Monarque. C'est un esclave qui reconnaît son maître. Ainsi, la raison de l'Empereur ne saurait être la nôtre car le Royaume de France ne saurait jamais se défaire des prérogatives qui fondent sa Souveraineté en les abandonnant librement à des agents étrangers sans porter atteinte à la liberté et à la dignité de ses peuples. Plaise alors aux populations de l'Empire de se satisfaire de voir leur représentant courber l'échine devant ses commanditaires, il ne Nous appartient pas d'en être juge. Nous remercions donc sincèrement l'Empereur pour les prières qu'il adresse à Notre endroit, mais l'honneur nous interdit de suivre l'exemple qui est le sien.

    De compassion n'avons besoin. Le peuple de France ne saurait que faire d'une compassion d'un Empereur qui n'a pour seul but que de l'asservir aux caprices d'intrigants. Si compassion il devait y avoir, c'est vers les peuples de l'Empire si mal représentés que la nôtre se dirigerait. Ont-ils seulement eu le choix, avec deux seuls candidats au trône ? Les carences de notre voisin s'éclairent alors sous un jour nouveau. C'est à la lueur de ces faits qu'à leur endroit, notre compassion s'anime.

    Ce que l'Empereur refuse de comprendre, c'est que les valeurs Aristotéliciennes et la Foi, nous les portons au cœur et à l'esprit. Christos et Aristote n'y sont point étrangers. C'est cependant parce que ces valeurs ne sont plus défendues ni incarnées par l'institution qui se met en tête d'asservir les Princes que nous ne cèderons pas aux mains de Rome notre autorité séculière, quand la mission originelle de l'Église est aujourd'hui si désertée. Le Roy de France n'a pas vocation à occuper les cures. Rome n'a pas vocation à recevoir les allégeances. Bien morose est l'époque dans laquelle nous évoluons et bien sombre y est l'état de la pensée, qui nous voit rappeler aux Princes ces évidences élémentaires qui font le socle de l'harmonie et de la tranquillité des États.

    Au sein du SRING, nous comprenons bien qu'un représentant de la foi soit sacré, et qu'à ce titre, il puisse se permettre de faire ce qui lui plaît avec la bénédiction de l'Empereur. Ce n'est pas un fait qui soit réellement de nature à nous étonner. En France, en revanche, un représentant de la foi tout sacré qu'il soit et qui viendrait à vouloir régner à la place du Roy, à décider de la validité des allégeances non selon des lois temporelles, mais selon son jugement propre, à menacer les vassaux de la Couronne, à faire commerce d'influence de l'arme excommunicatoire, ne saurait s'en tirer sans un bon coup de pied au cul afin de le ramener à plus d'humilité et de dignité, valeurs auxquelles devrait naturellement le contraindre sa charge plutôt que de l'en émanciper. Il Nous semble que Sa Sainteté avait une bonne expression à ce sujet, en ce qu'elle appelait cela une "saine médecine". Nous inviterions d'ailleurs fort volontiers l'Empereur à la table des négociations, afin de définir avec lui les modalités d'asile de tous les évêques et les cardinaux qui se déclareraient par leurs actes félons, traîtres, ou ennemis de la France, afin qu'ils puissent généreusement prospérer dans un cadre plus propice à leur épanouissement parasite, s'il n'était si affolé à l'idée de Nous rencontrer.

    Cependant, parce que Nous sommes quelqu'un d'assez tempéré et de plutôt raisonnable, et combien même jugerions-Nous les manières de Sa Majesté Impériale infantiles et cavalières, Nous lui assurons que Nous le reconnaissons toujours dans sa dignité, sans qu'il n'aille un instant s'imaginer que Nous souhaiterions passer des vacances sous son hospitalité. Si Sa Majesté Impériale était au fait des convenances de son rang, elle saurait qu'il est de l'usage d'un Monarque de ne jamais quitter son Royaume de sa propre volonté, item de sa famille. Et s'il devait le faire, ce ne serait sans doute pas pour se rendre en Empire. Nous espérons qu'il n'y voit pas là un affront. De même lui assurons que si jamais son cœur était à de nouveau guidé par des sentiments plus distingués et raisonnables à Notre endroit, c'est avec grand plaisir que nous recevrions ses émissaires diplomatiques, et les traiterons avec tous les égards que la cordialité impose.

    Sa Majesté Impériale se plaît à exprimer la tempérance, la dignité, la raison, la sagesse, et l'honneur comme une petite fille enfile des perles. Cela en est touchant, et à cette candeur une tendre affection nous invite. Seulement, ces mots recouvrent des réalités auxquelles il faut savoir rendre hommage par des faits. Il est aisé de tresser des lauriers de mérite et de se les poser sur la tête. Il l'est bien moins de les honorer. Car jusque là, nous ne pouvons qu'observer d'un œil bienveillant que Sa Majesté Impériale se fait le plus remuant acteur de la mascarade qu'il lui plaît d'alimenter comme le dernier des ânes et ce, en dehors de toute considération des vertus qu'il s'attribue. Nous avons pris note cependant de l'outrage qui était le sien et Nous en sommes sincèrement navré. Aussi jugeons-nous intéressant de bien vouloir lui laisser la possibilité de venir le réparer à la frontière, sur la base d'un duel en lice. D'homme à homme. De Souverain à Souverain. Pour qu'il montre à la France et à son peuple d'Empire à quelle hauteur peut monter l'honneur et la dignité dont il se revendique. Qu'il Nous montre qu'il est à même de soutenir par l'épée les arrogances juvéniles qu'il s'octroie par la plume, et qu'il constate par l'ordalie de quel côté se range le Très-Haut dans les différends qui nous opposent, lui qui se dit si convaincu d'en être accompagné.

    Il Nous appartient en tous les cas de rappeler que nulle malveillance n'anime le cœur du Roy, et malhonnête est celui qui fait passer la seule défense du peuple Françoys pour telle.

    Nous n'avons jamais contraint nos sujets à choisir entre leur foy et leur roy.
    La Curie et le Pape ont osé le faire.
    Nous n'avons jamais pris tout un royaume en otage en nous ingérant par la menace en des prérogatives qui n'étaient pas nôtres.
    La Curie et le Pape ont osé le faire.
    Ne se prend pas pour Dieu le Roy qui défend les intérêts et l'intégrité des sujets de France contre tous ceux qui chercheraient à leur nuire, d'une façon ou d'une autre, car nous n'avions jamais imaginé remettre en cause le bon ordre des choses voulues par Dieu.
    La Curie et le Pape ont osé le faire.

    Dès lors, il appartient au Roy de remettre bon ordre en ces errements qui par Nos sujets & Vassaux ne peuvent plus être ni tolérables ni tolérés.
    Dès lors, il appartient au Roy de remettre Sa Sainteté à sa place quand celle-ci se fait pourvoyeur d'un message de haine dans ses notes de Service visant spécifiquement notre État.
    Dès lors, il appartient au Roy de prendre acte que les visées de la Curie ne sont point la paix, mais le pouvoir, ne sont point la concorde, mais la rupture, ne sont point l'harmonie, mais l'intimidation et l'appel à la guerre.

    Notre tolérance est aujourd'hui arrivée à son terme.
    À celui qui se plaît à croire que nous ne sommes plus à même de gouverner, envers et contre tout, avec nos vassaux, avec nos officiers, avec nos sujets unifiés dans leur lutte pour la dignité, lui démontrerons le contraire. Aux orgueilleux qui nous morguent, bien des surprises les attendent. Car la Royauté est. Si elle dépendait de la petite sensibilité de Sa Majesté Impériale du SRING, cela serait chose connue. Lorsqu'un Prince est capable de se poser en médiateur d'un conflit auquel il a déjà pris parti en condamnant les actions de l'un et en ralliant les positions de l'autre, et de s'offusquer à ce que l'on en fasse la remarque, il Nous semble que le sommet de la bêtise est largement atteint. Le SRING peut avoir ses propres coutumes en matière d'arbitrage, mais le Royaume de France n'a pas l'habitude de choisir pour médiateur impartial les avocats de ses accusés. On ne sait pas d'où ça vient, mais jusque là, cela nous paraissait presque évident. Tout comme il Nous apparaissait évident que l'arrivée sur le territoire de l'une de nos provinces vassales d'une armée de soldats Teutoniques aux ordres du Souverain Pontife sous agrément étranger à la demande d'un régnant non reconnu ne semblait pas relever d'un élan particulièrement amical et de bonne volonté propre à encourager une telle médiation.

    Mais les prétextes de Sa Majesté Impériale sont décidément impénétrables.
    La colère gronde aux frontières du SRING. Elle gronde également aux nôtres.
    Comme toujours, Majesté, on ne récolte que ce que l'on sème.


    Pour le Royaume de France, au nom de la loyauté et du panache.
    Ad Majorem Franciae gloriam.

    Fait au Louvre, le 14e de Janvier 1461.





Maistre_de_ceremonie
Citation:
Aux Bourguignonnes et Bourguignons,
A Aryanha Farnese, Régente de Bourgogne,
A tous ceux qui liront ou se feront la présente,

Rappelons que Dame Aryanha Farnese a été reconnue Régente de Bourgogne par la Trés Noble Assemblée des Pairs de France le XIème jour de Janvier.

Réaffirmons par la présente, que le Sieur Alexandre n'a aucune légitimité quand au port du titre de Duc de Bourgogne, et est donc coupable d'usurpation de titre et de haute trahison.

Rappelons à tous les Vassaux de la Bourgogne, qu'il est de leur devoir de suivre leur Suzerain, à savoir la Bourgogne, représentée par la Régente Aryanha Farnese.

Pour la Trés Noble Assemblée des Pairs de France
le XVIème jour de Janvier de l'an de grasce MCDLXI


Pairs de France s'étant prononcés sur ce dossier : Marie Alice de Meyrieux, Datan l'Epervier, Pierre du Val de Loire, Argael Devirieux, Angélyque de la Mirandole, Bourguignon de Sorel, Ztneik du Ried , Lexhor d'Amahir, Bess Saincte Merveille Rouben
Matheline
Matheline compare les parchemins que lui a fait passés dame Anne avec ceux qui sont affichés sur le panneau. Elle ne se trompe pas de panneau, ça elle en est sure. Matheline ne sait pas lire mais elle voit bien que certaines affiches sont les mêmes que celles entre ses mains. Bah tant pire. Dame Anne a dit d'afficher, elle affichera, et ceux qui sont pas contents iront voir ailleurs.

Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir qu'Angoulême, soit Henry de Silly, et Sigillant, soit Renlie d'Evrecy, constituant respectivement plaignant et témoin à charge dans le cadre de la plainte déposée contre Sa Grâce Flex de la Mirandole, duc du Charolais, vicomte de Mussidan, tenant du douaire du vicomté de Ribérac, baron de Cruzy-le-Châtel, tenant du douaire de la baronnie de Beauregard, seigneur de Soirrans, lesdits Angoulême et Sigillant sont suspendus de leurs obligations héraldiques en ce qui concerne le procès ouvert suite à la plainte susdite. Ainsi, ils ne sont pas autorisés à participer aux débats se tenant entre les murs du Tribunal Héraldique pas plus qu'ils ne seront autorisés à participer au vote qui suivra et qui déterminera l'avis du Collège héraldique réuni en tribunal.


      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le vingt-huitième jour de décembre de l'an de grâce MCDLX.





Citation:

------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


      Aux sujets de France,
      A tous présents et à venir. Salut.

                                          Quartier Général de la Connétablie.
                                          29e de Décembre an 1460




    « Soldats Français, Chevaliers de France, ne refusez pas votre bonté aux humbles laboureurs et à ce brave peuple qui a tant de droits à notre sympathie. Ne conservons en nous aucun orgueil au cœur de nos succès. N'y voyons que la preuve fatale de cette justice divine qui punit l'ingrat et décapite le parjure. »


      PROCLAMATION DE L'OCCUPATION D'ANJOU



    Après la libération du Maine, de l'Orléanais, et de l'Alençon, l'Illustre Armée des Lys descend la Loire, conquiert les terres, hameaux, et mines d'Anjou, avant de poursuivre sa marche sur Angers, qui seule résiste. Or,les troupes royales y ont établi leurs quartiers et entendent bien faire capituler la ville sous deux jours, après avoir évacué la mauvaise graine qui s'y loge, et qui par sa mauvaise influence, gâte le tout.


    Soldats Français, Chevaliers de France, un mois après que l'ennemi passa la frontière du Domaine Royal pour y être défait, au même jour, à la même heure, nous sommes entrés en Anjou. Ses mercenaires, ses conscriptions en masse, ses remparts respectivement payés, mobilisées, créés par la rage impuissante des princes autoproclamés de la Maison Angevine, n'ont point soutenu la comparaison avec l'excellence des Lys. Les princes de la Maison Angevine ont abandonné leur province, non comme des combattants d'honneur qui cèdent aux circonstances et aux revers de la guerre, mais comme des parjures qui après avoir osé porter le fer sur nos familles, poursuivent leurs propres remords jusque dans leur sous-sol. En désertant leurs places fortes, en fuyant leur village, leurs adieux au peuple d'Anjou se sont soldés par le meurtre et l'incendie. Comme Médée, ils ont de leurs propres mains égorgé leurs enfants sur l'autel de leur inconséquence, pour ne pas avoir eu la sagesse d'ouvrir la porte à un dialogue apaisé.

    Soldats Français, Chevaliers de France, le peuple du Duché d'Anjou, délaissé, abandonné, veuf, sera l'objet de votre considération. Nous prenons dès à présent les bons habitants de cette terre sous Notre spéciale protection. Quant aux gredins turbulents et perfides, Nous en ferons une justice exemplaire, car le crime ne saurait rester impuni.

    Soldats Français, Chevaliers de France, ne refusez pas votre bonté aux humbles laboureurs et à ce brave peuple qui a tant de droits à notre sympathie. Ne conservons en nous aucun orgueil au cœur de nos succès. N'y voyons que la preuve fatale de cette justice divine qui punit l'ingrat et décapite le parjure.


    Nous exigeons des séditieux angevins:

    - Qu'ils reconnaissent leur défaite en ce qu'ils ont abandonné entre Nos mains les outils de leur prospérité.
    - Qu'ils formulent auprès de Nous une proposition de tribut décente qu’ils honoreront auprès de Notre Domaine outragé.
    - Qu'ils démobilisent et baissent les bannières de leurs armées, hormis celle de Calyce, pour que cessent les difficultés et le déshonneur qu'ils font endosser au peuple d’Anjou.

    Ces conditions remplies, en bon Monarque, Nous leur accorderons audience, si la délégation Nous plait, en notre Palais, afin de reprendre les discussions là où elles en étaient après la signature de l’Aventin. Ces conditions rejetées, nous prendrons acte de la volonté des séditieux de préférer à la paix des braves, la ruine intégrale de la province qu'ils prétendent diriger, en lui donnant mauvaise(s) mine(s).

    Nous leur laissons deux jours.


    Pour la France... Ainsi je Frappe !









Citation:
Nous, Dotch de Cassel, Grand Maitre de France,
A tous ceux qui le présent écrit liront ou se feront lire,

Salutations,

Par la présente remercions vivement Guillaume de Jeneffe, pour son travail au sein de la Curia Regis en tant que Grand Ecuyer de France et actons son départ à regret.

Faisons savoir que toute personne souhaitant postuler à ce Grand Office peut me faire parvenir sa candidature par missive.

Rappelons que pour pouvoir être Grand Ecuyer de France, il est nécessaire d'être chevalier.

Faict à La Flèche le deuxième jour du premier mois de l'An de Grâce Mil Quatre Cent Soixante et Un.

Signé et scellé de notre main,




Dotch de Cassel,
Grand Maître de France.


Citation:
De nous, Anne-Blanche Cornedrue d'Ambroise-Culan, Premier Secrétaire d’Etat,
Au nom de Sa Majesté Eusaias,
A tous ceux qui liront ou se feront lire,

Salutations,

Qu’il soit su que nous nommons :

    Dame Maelia du Bivoac et Vlanderen, dicte Maelia... au poste de Grand Archiviste de France.

Nous tenons à remercier Messire Babaorum de La Roche Tourbière pour son implication sans faille à la tête des Archives ; tenons à préciser que c'est à regret que nous avons dû entériner sa démission.

Faict sous les murs d'Angers,

Le cinquiesme de janvier MCDLXI,




Citation:
De nous Akane Giffard – De Clairval, Duchesse de Cany et de Vernon, Vicomtesse de Bolbec, Vicomtesse douairière de Carentan, Baronne du Chêne-Doré, Dame d’Epieds en Beauce, Grand Chambellan, à tous ceux qui liront, ou se feront lire, salut.





    En notre qualité de Grand Chambellan de France, nous annonçons ce jour,

    La nomination de dame Hélène Blackney , au poste d’Enlumineur Royal

    Nous lui souhaitons bonne chance dans sa nouvelle fonction, et nous l’invitons à se rendre au plus vite dans les locaux de la Curia Regis.

    De plus, nous annonçons que dame Lucie Anne de Castelviray s’étant retirée pour quelques temps, nous nommons donc dame Vittoria Farnese de Nivellus de Sparte au poste de Grand Maistre des Enluminures Royales.

    Nous remercions Lucie Anne de Castelviray pour le travail réalisé, par ailleurs nous lui souhaitons bonne continuation dans ses projets à venir.


    Que le Très-Haut veille sur toutes celles et tous ceux qui liront ou entendront la présente annonce.

    Faict et scellé de notre main,
    au Palais du Louvre, le cinquième jour du mois de janvier de l’an de grasce mil quatre cent soixante et un.








Citation:
Offices Royaux et Recrutement.

Curia Regis
- Grand Ecuyer de France

Connétablie de France
- Lieutenant d’Etat Major pour l’Anjou
- Lieutenant d’Etat Major pour l'Armagnac et Comminges
- Lieutenant d’Etat Major pour l’Artois
- Lieutenant d’Etat Major pour la Gascogne
- Lieutenant d’Etat Major pour le Limousin et Marche
- Lieutenant d’Etat Major pour le Lyonnais Dauphiné
- Lieutenant d’Etat Major pour le Périgord Angoumois
- Recrutement pour le régiment Royal "Ne craint que Dieu et son souverain"



Grande Prévôté
- Membres du Guet Royal : Maréchaux de la Cité de Paris
- Geoliers : Gardiens des prisons de la capitale


Grande Chambellance
- Enlumineur royal
- Dames et Gentilhommes de la Chambre
- Aide des Cérémonies

    Académie Royale de France :


Cabinet des Finances
- Intendant pour les Provinces du Nord
- Intendant pour les Provinces du Sud


Hérauderie de France
- Poursuivants : Anjou, Artois, Béarn, Berry, Blanche, Bourbonnais Auvergne, Bourgogne, Dicé, Estampe, Flandres, Guyenne, Languedoc, Limousin et Marche, Lyonnais Dauphiné, Mnemosyne, Normandie, Saint Jean, Sepulcre, Sigillant, Toulouse.
- Chevaucheurs : Anjou, Alençon, Armagnac et Comminges, Artois, Astrée, Berry, Blanche, Bourbonnais Auvergne, Bourgogne, Champagne, Dicé, Estampe, Flandres, Gascogne, Guyenne, Licorne, Limousin et Marche, Lyonnais Dauphiné, Maine, Minerve, Mnemosyne, Perigord Angoumois, Phylogène, Poitou, Rouergue, Sepulcre, Sigillant, Sylvestre, Toulouse, Touraine.

Grande Chancellerie
- Grand Audiencier
- Audienciers
- Juges


Secrétariat d'Etat



Ambassades Royales de France
- Tous les non cités dans l'annonce



Citation:
A tous, présents et à venir, qui ces lignes liront ou se feront lire, salut et paix!


Nous, Mgr Gabriel Von Wittelsbach, Duc d'Espelette, Comte de Manhay, Vicomte de Leglise, Baron de St Jean de Luz, Seigneur de Savigny, Chancelier de France,

Acceptons la démission de sa charge d'Audiencier de
Cyrillius de Thoisy (IG : Cyrillius_de_thoisy)

Nous lui souhaitons bonne chance et le remercions pour le temps et l’énergie qu’il a consacré à ce Grand Office.

Afin que cet acte prenne toute sa valeur, y apposons nos scels.

Faict à Paris, ce septième jour de Janvier de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un



_________________
Matheline
Citation:



Par la présente, Nous,
Maelia Du Bivoac&Vlaanderen Vicomtesse de Sablé sur Sarthe et de Touvoie, Grand Archiviste de France,


    Annonçons les changements suivants:

    • Sieur Kylert est nommé à la charge d'Archiviste Politique pour le Duché de Bretagne.


Fait aux Archives Royales,
Le IVième jour du Mois de Janvier de l'An de Grâce MCDLXI.






Citation:
De nous, Anne-Blanche Cornedrue d'Ambroise-Culan, Premier Secrétaire d’Etat,
Au nom du Roy de France,
A tous ceux qui liront ou se feront lire,

Salutations,

Qu’il soit su que nous nommons :

    Athena de Lavallière, dicte Athena44à la charge de Secrétaire d’Etat ad interim près le Béarn.

Dame Athena remplacera Dame Azilize jusqu'à la fin de son mandat ducal.

Faict près d'Angers,

Le dixiesme de janvier MCDLXI,




Citation:
De Nous, Dotch de Cassel, Grand Maître de France,
A tous ceux qui le présent écrit liront ou se feront lire,

Salutations,

Faisons savoir par la présente annonce que nous nommons ce jour en accord avec Sa Majesté Eusaias Blanc-Combaz, le Chevalier Enguerrand de Lazare au poste de Grand Ecuyer de France.

Que nous lui souhaitons bon courage pour sa prise de fonction.

Que nous remercions nouvelle fois, le Chevalier Guillaume de Jeneffe, pour le travail effectué au sein de la Curia Regis, mais également pour les précieux conseils qu'il a pu donner. Nous lui souhaitons bonne continuation pour la suite.

Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Faict à Angers, le dizième jour du premier mois de l'an de Grâce Mil Quatre Cent Soixante et Un.

Signé et scellé de notre main,




Dotch de Cassel,
Grand Maître de France.


Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir que Champagne, soit Maltea di Favara, ayant été convoquée en tant que témoin par la Haute Cour de Justice dans le cadre du procès intenté contre Sa Grâce Kelso Declervaux, duc de Rosnay, baron de Brou, seigneur de Dammartin-Marpain, de Raucourt et de Souville-sous-Yèvre, ladite Champagne est suspendue de ses obligations héraldiques en ce qui concerne le vote ouvert suite au renvoi en son verdict par la Haute Cour de Justice à la Hérauderie de France, renvoi relatifs aux éventuelles sanctions héraldiques à prendre suite au rendu dudit verdit. Ainsi, elle n'est pas autorisée à participer au vote qui déterminera l'avis du Collège héraldique.


      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le huitième jour de janvier de l'an de grâce MCDLXI.





Citation:


      De Nous, Eusaias, roy de France,
      A tous ceux qui liront ou se feront lire.



          « Dis moi qui tu hantes, je te dirais qui tu es. »



    Le Roy n'est pas propriétaire du Royaume, il en est l'usufruitier. C'est parce qu'il a pour devoir de le transmettre en les meilleures conditions possibles à son successeur que la Souveraineté de la Couronne et l'Unité du Royaume l'engagent. Feu le roy Louis Vonafred a œuvré durant son règne à l'apaisement du Royaume en contractant bonne paix avec ses ennemis dès lors qu'ils ouvraient leur cœur au compromis sans exiger de la France qu'elle-même se compromette. Notre politique en la matière s'inscrira dans la continuité de notre illustre prédécesseur.

    Aussi, en vertu des prérogatives qui sont nôtres, pour avoir été le témoin direct des évènements de la guerre civile qui a déchiré la Guyenne lors du conflit opposant la Couronne aux provinces Ponantaises séditieuses, pour avoir pris bonne connaissance de la demande en réhabilitation du Duc de Guyenne Orandin de Litneg en chambre des Feudataires concernant les belligérants de Guyenne destitués pour nuisance au Suzerain sous agrément des provinces Ponantaises et donc dans le cadre du-dit conflit, pour avoir pris acte de la grâce accordée par le Roy Louis Vonafred aux-dits belligérants concernant les dites actions, pour avoir promis ne pas tenir rigueur aux belligérants concernés par le traité de l'Aventin pour les crimes commis par les administrateurs irresponsables de l'Anjou ayant entraîné la rupture du-dit traité ; prenons la décision de casser le verdict du tribunal héraldique relatif à la destitution des belligérants susdits, daté du 12e de Décembre 1459.

    De fait, demandons à la hérauderie d'enregistrer le retour de monsieur Garzimlebo & madame Isambre en les terres du Duché de Blanquefort et de la Baronnie de Luzech, du sieur Betoval en ses terres du Vicomté de Monbahus, de mademoiselle Asophie en ses terres du Vicomté de Terrides comme il leur avait été octroyé, pour qu'ils en soient les bénéficiaires exclusifs & légitimes. Tout octroi éventuel des dites terres à un autre individu, établi postérieurement à la destitution du 12e de Décembre 1460 est donc rendu par la présente caduc, et demandons par conséquent aux éventuels concernés de contacter la hérauderie de France pour que leur soient octroyées de nouvelles terres d'un rang équivalent.

    En ce qui relève de la destitution de Hull19 pour crime de sang et refus d'obtempérer dans le cadre du-dit conflit actée le 10e jour de Novembre 1459, n'était besoin de raison particulière autre que la volonté du régnant pour lui ôter jouissance de sa seigneurie de mérite. Son cas peut dès lors être réglé rapidement par le feudataire actuel de Guyenne s'il décide de lui en octroyer une sans que la Couronne ne vienne contrevenir au bon droit de son vassal. En conséquence, nous laissons la main au feudataire de Guyenne pour se pencher sur le dit-cas, et l'invitons à le réhabiliter de lui-même si d'aventure il le trouvait toujours méritant.

    Ensuite, en vertu des prérogatives qui sont nôtres, annonçons casser le verdict héraldique du 17e de mai 1460 relatif à la destitution d'Agnès de St-Just du Comté de Lavedan pour félonie à la Couronne. Si félonie fut avérée, grâce royale fut octroyée là aussi par Notre prédécesseur. La faute pardonnée, demandons à la hérauderie royale de France d'acter que Nous levons la sanction que ladite faute a entraîné, et permettons dès lors à Agnès de St Just de recouvrer l'usufruit des terres du Comté de Lavedan, conformément à l'octroi qui lui en avait été fait.

    Enfin, nous réitérons notre désir d'ouvrir d'honnêtes discussions avec le Grand Duché de Bretagne pour l'établissement de relations de confiance et d'estime qui puissent se révéler pérennes dans le temps lors d'une entrevue au Mont St Michel, comme nous assurons aux provinces du Poitou, d'Artois, et du Berry, que conformément à nos engagements tenus lors de notre annonce du 30e de Novembre selon lesquels les fautes de l'Anjou ne seraient pas reportées sur les co-signataires du traité de l'Aventin, nous examinerons prochainement, avec eux, & dans un esprit de justice et de bienveillance, les contentieux héraldiques liés aux troubles de la guerre qui les a opposés à la Couronne de France et aux conséquences qui s'en sont suivies. Ces cas étant moins isolés et plus complexes, nous prendrons le temps de les traiter avec la méticulosité que la noblesse de France mérite, dans un état d'esprit apaisé et résolument tourné vers l'avenir.



Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Fait au Louvre le 10 janvier 1461.









Il est difficile pour l'esprit d'appréhender de sang-froid ce que peut être un procureur Cardinalice -et donc un Pape en devenir- aux ambitions criminelles. D'après nos récentes constatations, c'est un homme qui tire bénéfices de sa charge en parquant les autres dans les charrettes de l'ostracisme. C'est le pourvoyeur attitré des croisières infernales. Du reste, il nous apparaît que c'est un monsieur qui dispose de certaines prétentions à l'esthétique et au savoir, qui est éloquent ou qui plus souvent croit l'être, qui récite au besoin une ou deux maximes latines avant de sceller un avis d'excommunication, qui cherche à impressionner, qui affecte la fatuité de la noblesse. Ses semonces sont travaillées comme des poèmes, qu'il orne d'or, d'images et de symboles, qu'il remplit d'exemples, il faut que cela soit bien tourné, beau au regard, admirable à l'écoute, et que cela ravisse les bons sentiments des dames. Il a ses galanteries de langage, ses délicatesses, ses subtilités, comme autant de ficelles d'écrivassier. N'ayons point peur qu'il nomme ses actions telles qu'elles sont, grand Dieu, surtout pas ! Il a pour tout jugement péremptoire dont l'austérité et l'invective nous révulseraient toute sorte de travestissements de prédicats et de louanges. Ô misère !

Rome est si Unie, si Forte, si Vraie, si Juste, que les notes de service de sa Sainteté le Pape se retrouvent ainsi affichées publiquement, au vu et au su de tous, décrédibilisant autant l'institution qu'elle représente que la droiture morale qu'elle prétend défendre. Nous profitons donc de ces manquements pour affirmer le plus sereinement du monde les choses suivantes :

Le Royaume de France a au moins autant besoin de missionnaires et de clercs que les terres Scandinaves. Autant besoin de missionnaires et de clercs que les pâturages d'Irlande. À moins que Sa Sainteté ne se réjouisse de l'état de délabrement spirituel dans lequel elle a laissé sombrer le Royaume. Ce qui est sûr, en revanche, c'est que le Royaume de France ne saurait être dévoué en premier lieu qu'à ses sujets, et s'il plaît à Rome d'inféoder un Royaume sous son autorité, nous ne pouvons que l'inviter à se tourner vers le Grand Royaume d'Albanie. Au moins là-bas fera-t-elle mine de combattre les représentants du crime. En France, elle se contente de défendre les crimes de l'Anjou, qui arme et mandate sans vergogne des Hydres, Lycans, et autres hommes de main du dévoyé Thoros. Mais bien sûr, quand c'est un clerc qui emploie des repris de justice patentés en son nom propre pour semer la mort et le chaos sur les terres fertiles de France, il n'est plus question de baptême, d'excommunication, ou de vertu. Tout devient légitime.

À force de n'aborder que des sujets concernant la guerre, la féodalité, l'armée, la justice, l'autorité, il devient évident que Rome se perd en se posant non comme la suprême émanation d'une quintessence spirituelle d'inspiration divine, mais comme une autorité étatique qui se veut concurrente des Royaumes. Plaise à l'Albanie de s'y retrouver. Nous remarquons simplement que lorsque ces royaumes auxquels Rome doit si peu agissent dans le sens de la paix, ils sont traités avec les égards que Rome n'accorde pas à la France quand celle-ci ne demande qu'à être respectée dans sa Souveraineté. La guerre serait-elle une condition sine qua non aux yeux de la Curie Romaine pour que ses interlocuteurs acquièrent son respect ?

Dans ces conditions, nous nous interrogeons encore une fois sur le caractère raisonnable d'une Curie Romaine qui s'étonne de voir s'éloigner de sa morale à géométrie variable des États comme la France et comme l'Irlande. La France, qui, pourtant, a toujours soutenu les Princes de l'Église, ses représentants, sa légitimité, jusqu'au point de couvrir leurs torts, de les endosser en son nom, de ne conserver rancune de ses errements, de ne pas lui demander de compte sur l'état dans lequel se trouvent nos cures, de demander à ce que l'on célèbre, encore dernièrement, une messe quand un Cardinal ayant malencontreusement embarqué sur un navire pirate, s'est vu envoyer par le fond par des forces étrangères.

Abjurer, nous l'avons déjà fait. Mais notre levée d'excommunication, validée, puis annulée pour conflit interne à la Curie, prête à être de nouveau levée, puis re-confirmée pour avoir refusé de reconnaître un Duc qui pourtant l'était déjà de fait, est au centre de manigances qu'aucun esprit éclairé ne saurait décemment cautionner. Si pour cette raison Sa Sainteté déclare la guerre au Royaume, qu'il soit su que sans le moindre état d'âme, la France rendra coup pour coup face aux orgueilleux qui prétendent vouloir l'enchaîner au boulet de leur démence. De surcroît, nous ne pouvons décemment prendre au sérieux l'Empire qui se pose en médiateur d'un conflit dans lequel, dans la même annonce, il a déjà pris parti. Cela ne serait que ridicule, si cela n'était pas affligeant, et cela Nous prêterait qu'à rire, si les enjeux n'étaient point graves. Aucune discussion ne sera engagée avec les représentants de Rome sans levée expresse de notre excommunication. Nous n'y dérogerons pas.

Ainsi, Sa Sainteté nous apprend que Rome lavera son linge sale en public, sur la place d'Aristote. Nous ne pouvons que nous réjouir du caractère public de ce procès, même si nous aurions préféré sans doute voir au banc des acc... condamnés les fauteurs de guerre plutôt que les partisans de la paix, et exprimons notre surprise de constater avec ironie que l'on a pris soin de casser la levée d'excommunication à notre endroit agréée par les accusés avant même qu'un verdict ne soit rendu à leur encontre. Toutefois, le simulacre de justice dont Rome se pare, ne saurait en aucun cas remettre en cause Notre Sacre, qui se fera, avec ou sans son aval, des mains de clercs qui révoltés par les manigances des Princes Romains, ont su conserver leur loyauté vis-à-vis du Roy et des fidèles pour ce que Rome a délibérément failli à sa mission.

Ceux-la nous ont contacté. Ils trouveront en nous réponse favorable. Si Sa Sainteté persiste à vouloir divorcer de la Couronne, la Couronne saura combler son manque en trouvant les guides pour lesquels les vertus de tempérance, d'amitié, de conservation, de conviction, de don de soi, de plaisir, et de justice ne seront pas de vains mots, et qui auront à charge, collégialement, de sauver les âmes, en se détachant d'une autorité spirituelle qui tolère de certains prélats qu'ils maquillent leurs vices de vertus, comme se farde une putain. Sa Sainteté a tout de même un peu forcé, et nous fait même quelque infidélité avec le Royaume d'Albanie. En ce sens, il ne lui apparaîtra pas anormal que nous collaborions avec ceux qui se détournent d'elle. Car il faut bien cela, quand elle traite d'hérésiarque de la Religion prétendue Réformée Notre Dauphin, revenu de longue date dans le giron de l'Église Romaine ou d'anti-Roy, celui qui a su rassembler autour de son projet une large majorité de ses sujets, quand bien même ce choix Souverain déplairait aux teckels de Sa Sainteté.

Il est des Roys & il est des prêtres. Pour qu'il y ait des Roys Prêtres, il ne suffit que d'une condition: rassembler la France. Sa Sainteté et ses séides, hélas, n'ont de cesse en la matière de montrer le mauvais exemple. Qu'elle s'avise en France de vouloir des Régnants du Pape. Elle n'aura que des Prêtres du Roy.

La lune vous appelle, Papa. Cessez donc de vomir, pour ne point la faire attendre.
Et qu'Il vous garde. Sans qu'on ne sache bien qui.


In Majorem Franca Gloriam,

Eusaias, Tyrannosaurus Rex.



Citation:
    LA SURINTENDANCE , PARIS :


    Par la présente, annonçons qu'un appel à candidature est lancé afin de pourvoir les postes de Sous-Intendants aux Finances :

    - Pour le Duché d'Alençon,
    - Pour le Duché de Normandie,
    - Pour le Duché d'Orléans,

    tout administré résidant au sein d'une province pour laquelle il est concerné peut prétendre au dit poste par rédaction d'une lettre de candidature motivée à notre adresse. Le Sous-Intendant des Finances est formé par le Chef du Cabinet des Finances en vue d'acquérir les connaissances générales et suffisantes relevant de la gestion courante d'une province. Le poste de Sous-Intendant est l'étape préliminaire au stade d'Intendant des Finances.

    A réception, une accusation de réception sera retournée au prétendant accompagné d'un questionnaire.

    Le présent appel à candidature restera ouvert jusqu'au vendredi 18 janvier 1461 à minuit, date butoir à laquelle plus aucune candidature ne sera acceptée. Le Cabinet des Finances reste disponible pour tout complément d'information inhérent au dossier de candidature.


    Que le Très-haut vous garde !
    Afin que nul ne puisse contester la validité de cette présente, apposons ici notre sceau.
    Rédigée à la Surintendance ce XI de janvier de l'an de Grâce MCDLXI.









Citation:

Du Conseil des Ordres Royaux de France, représenté par

Le Grand Ecuyer de France le Chevalier Enguerrand de Lazare Jagellon,
Le Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne, le Chevalier Bess Saincte Merveille Rouben,
Le Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Dame Blanche à l'Ecu Vert, le Chevalier Wonderanny d'Azayes,
Le Grand Maitre de l'Ordre des Hospitaliers de Saint Jean, le Chevalier Leello de Proisy Fortunat,
Le Grand Maitre de l'Ordre Equestre et Royal du Saint Sépulcre, le Chevalier Dandolo de Pola,


A toutes celles et ceux qui le liront.


Que connute chose soit à vous qu'en ces temps troublés où le fer et le sang meurtrissent les terres de France et qu'en souffrent ses habitants,
qu'en ces instants sombres où le frère devient l'ennemi du frère, où le spirituel s'oppose au temporel,

les Ordre Royaux, de par leur engagement auprès du Roy, comme l'en attestent leurs Chartes de Reconnaissance Royale, soulignent leur engagement auprès de la Couronne de France, de ses serviteurs et de ses sujets.

Tous ont juré fidélité et obéissance à la Couronne de France,
Tous ont pour mission de servir la Paix,
Tous ont promis de protéger le Peuple de France, de défendre l'innocent et le faible de toutes les attaques dont ils pourraient être victimes, et de porter l'épée partout où ces actions seront rendues nécessaires.

Qu'il en soit ainsi comme il en a toujours été, pour le bien du Royaume de France et de son Peuple.

Rédigé en les terres angevines, devant les murs d'Angers la félonne,

Ce XII jour du premier mois de l'an de grâce MCDLXI


Chevalier Enguerrand de Lazare Jagellon,
Grand Ecuyer de France.



Chevalier Bess Saincte Merveille Rouben,
Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne.


Chevalier Wonderanny d'Azayes,
Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Dame Blanche à l'Ecu Vert.


Chevalier Leello de Proisy Fortunat,
Grand Maitre de l'Ordre des Hospitaliers de Saint Jean.


Chevalier Dandolo de Pola,
Grand Maitre de l'Ordre Equestre et Royal du Saint Sépulcre.

_________________
Matheline
Citation:
    De nous, Renlie d'Evrecy, Duc de Graçay, Comte de Montignac en Périgord, Baron de Brécy et de Jarnac & Seigneur de Richemont, La Clavière et Villars , Surintendant des Finances Royales, à tous ceux qui liront, ou se feront lire la présente, salut.


    Après délibérations au sein du Cabinet des Finances, annonçons les nominations de:


    • Messire Leda, au poste d'Intendant au Commerce Exterieur;
    • Dame Athena de Lavallière au poste de Sous Intendant des Provinces du Sud;
    • Dame Cinzia au poste de Sous Intendant des Provinces du Sud.




    Nous remercions l'ensemble des candidats ayant postulé. Certaines candidatures sont encore à l'étude, et ferons l'objet d'un questionnaire, à l'instar des candidatures relatives à notre précédente annonce.



    Fait et scellé de notre main, au Louvre, le 13 janvier de l'an de grâce 1461




Citation:
A tous, présents et à venir, qui ces lignes liront ou se feront lire, salut et paix!


Nous, Mgr Gabriel Von Wittelsbach, Duc d'Espelette, Comte de Manhay, Vicomte de Leglise, Baron de St Jean de Luz, Seigneur de Savigny, Chancelier de France,

Nommons au poste de Grand Audiencier près la Chancellerie du Royaume de France :
Sa Seigneurie Argael Devirieux dict "le fier" Pair de France, Marquis de Senlis, Comte de Menin, Vicomte de Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Seigneur de Saint Giraud, de Gavre et de Vinderhoute (IG : Argael)

Nous lui souhaitons bonne chance dans cette charge et un bon retour.

Afin que cet acte prenne toute sa valeur, y apposons nos scels.

Faict à Paris, ce treizième jour de Janvier de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un




Citation:



Par la présente, Nous,
Maelia Du Bivoac&Vlaanderen Vicomtesse de Sablé sur Sarthe et de Touvoie, Grand Archiviste de France,


    Annonçons les changements suivants:


    • Sieur Heimdal est nommé à la charge d'Archiviste Politique pour le Duché d'Alençon
    • Dame Enduril est nommée à la charge d'Archiviste Politique pour le Comté du Languedoc

    • Dame Sebelia est destituée de sa charge d'Archiviste Judiciaire du Comté de Toulouse. Nous acceptons sa demande de démission à compter de ce jour puisqu'elle se refuse à tout changement dans sa méthode de travail. Nous tenons néanmoins à la remercier pour son travail effectué et lui souhaitons bon courage pour la suite.



Fait aux Archives Royales,
Le XVième jour du Mois de Janvier de l'An de Grâce MCDLXI.




Citation:






    « J'ai la rate Qui s'dilate, J'ai le foie Qu'est pas droit, J'ai le ventre Qui se rentre, J'ai l'pylore Qui s'colore… »
    Si c'est un peu ce que vous ressentez, pas de panique ! Voici quelque petit conseil pour bien appréhender votre état de santé, et la préserver en 6 point.


      Comment savoir si on est malade ?
      Un matin vous vous réveillez fébrile, votre petit déjeuner vous paraît fade, et une douleur irradie tout votre organisme. Aucun doute : vous êtes malade ! Mais pas de panique, tout n'est pas perdu ! Enfin pas totalement...

      Si rien de tout cela ne vous arrive, alors remerciez Aristote et priez le pour qu'il vous garde en bonne santé.
      N'hésitez pas non plus à le prier si vous êtes malade bien entendu, cela peut être utile.


      Quels sont les symptômes de la maladie ?
      La douleur persistera durant quelques jours, avant de laisser place à une fièvre élevée.
      Votre front vous paraîtra brûlant et vous vous sentirez sûrement très fatigué.
      Chaque geste du quotidien vous paraîtra difficile, et vous aurez également des difficultés à vous alimenter.
      Pensez à prévoir une bassine, car vous risquez de rendre une partie de ce que vous mangerez.

      Voici donc tous les symptômes que les médecins, à l'heure actuelle, ont pu découvrir : fièvre, fatigue, douleurs et vomissements.


      Comment se nourrir lorsqu'on est malade ?
      Un changement radical de régime est nécessaire durant toute la période durant laquelle durera la crise.
      Oubliez d’ores et déjà les gigots, rôtis, ragoûts et autres mets à base de viandes, légumes et poissons.
      Evitez également le lait et les fruits, qui ne vous apporterons aucune force supplémentaire et ne vous aideront pas à vous sentir mieux.
      [Aucune caractéristique supplémentaire]

      Il vaut mieux privilégier le maïs au pain qui vous rassasiera bien mieux.

      Nous avons conscience que la boisson est souvent un remède efficace aux yeux du plus grand nombre. Il n'en est rien ! L'alcool risque au contraire d'aggraver la situation. Bannissez donc chouchen, hypocras, calva, bière, garhiofilatum et tout ce qui s'en suit, jusqu'à l'arrêt des symptômes.

      Bien entendu, puisque vous vomirez parfois la moitié de vos repas, il vous faudra manger plus que d’ordinaire, et surtout vous forcer à le faire si vous ne voulez pas voir votre santé décliner dangereusement.


      Comment se déplacer lorsqu'on est malade ?
      Il vaut mieux éviter tout grand déplacement lorsque les premiers symptômes d’une maladie s'annoncent.
      Vos forces étant amoindries, vous risquez de ne pouvoir réussir à porter vos affaires ou même à marcher.
      [Encombrement réduit] Sans parler du risque de contaminer tous vos compagnons de voyages.

      Il est donc préférable de limiter les longs trajets ou, si cela est impossible, de ne pas porter de charges trop lourdes.


      Peut-on travailler en étant malade ?
      C’est connu ! Le travail c’est la santé ! Et il n’y a rien de mieux que le grand air pour se soigner !
      Vous pouvez donc travailler comme si de rien n’était : dans les champs, en forêt, dans les vergers, sur votre barque, dans votre échoppe, ou même patrouiller sur les remparts de votre cité.
      La mine aussi est fortement recommandée. Il a été remarqué que les maladies ne semblent pas apprécier les sous sols de nos contrées. Pourquoi ? Allez savoir...

      Si au contraire vous préférez rester à l'intérieur et fréquenter les bancs de l'Université, privilégiez les rangs du fonds pour ne pas risquer de contaminer votre professeur.
      Avis aux artisans, principalement les boulangers et les bouchers : si vous êtes malade, évitez de tousser au-dessus du résultat de votre dur labeur, ce n'est pas très sain...


      Comment éviter la contagion chez vos voisins ?
      Vous êtes en bonne santé et vous devez traverser une contrée contaminée ? En premier lieu, réfléchissez bien. A moins que vous ne soyez poursuivi par une horde de loups affamés, rien ne vous y oblige.
      Si vous n'avez pas le choix, outre la recommandation de prier pour qu'Aristote vous accorde sa protection, nous vous invitons à éviter le plus possible les lieux publics tels que :

      - Les tavernes
      - Les marchés
      - L’église
      - La mairie
      - La prison

      Et fuyez les groupes, lances et armées !
      Par contre si vous vous trouvez a bord d'un navire... Prenez rapidement la première chaloupe disponible et rejoignez la terre ferme !


    Nous espérons que ces quelques conseils vous seront de toute utilité.
    D’autres billets seront publiés prochainement, en fonction de l'évolution des découvertes médicales.
    A venir : "Comment se soigner ?"



    L’Ostel Dieu de Paris





Citation:
Au nom de Sa Grasce Annne-Blanche Cornedrue d'Ambroise-Culan, Premier Secrétaire d'Etat,

De nous, Urbano Ferretti, Chef de Cabinet pour les provinces du Nord au Secrétariat d'Etat.

A tout ceux qui le présent écrit liront ou se feront lire,

Salutations,

Faisons savoir que Sa Grandeur Esyllt Catarina de la Louveterie-Juliani ayant émis le souhait de se retirer de notre office et de nous remettre sa charge de Secrétaire d'Etat près la province du Limousin & de la Marche, icelle est désormais vacante.

Annonçons que tout sujet de Sa Majesté désireux de servir la Couronne de France et de défendre ses intérêts peut postuler à la charge de Secrétaire d'Etat près le Comté du Limousin & de la Marche. Les candidatures sont reçues par le Premier Secrétaire d'Etat, Sa Grasce Annne-Blanche Cornedrue d'Ambroise-Culan [In game : Anne_blanche] jusqu'au vingt troisième jour de ce mois avant matines.

Faict à Tours,
Le dix-septième jour de janvier MCDLXI,

Urbano Ferretti.



_________________
Matheline
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France
      A Falco de Cartel, Capitaine de cavalerie du Coeur Navré,
      À nos sujets & à son peuple,
      À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
      Salut.


    La confiance est un sentiment fragile qu'il faut nourrir et préserver en confirmant paroles dans les actes.
    Lorsque la personne en qui Nous avons placé Notre confiance l'ignore et Nous met en péril, il met dès lors en danger le Royaume de France tout entier.

    Aussi, à compter de ce jour, et aux vues des décisions récentes du Sieur de Cartel durant la Campagne en Anjou, décidons d'annuler la lettre de marque royale qui lui fut faite pour sa compagnie franche. Nous ne saurions continuer à compter sur un allié dont la loyauté louvoie au gré de ses intérêts propres et au mépris de ceux qui lui baillent confiance.

    Concernant son statut de Mignon Royal, Nous le lui laissons en revanche bien volontiers, en ce qu'au travers de ses caprices et de ses manières précieuses, il Nous semble aujourd'hui bien plus proche du favori maniéré que du redoutable homme de guerre que nous avions employé.


Aux hommes la droiture et le devoir,
Et à Dieu seul la Gloire.

Faict à Paris le 15e de janvier 1461





Citation:
A tous ceux qui ces présentes verront et orront, Enguerrand de Lazare, Grand Escuyer de France, et Dandolo de Pola, Grand Maître de l'Ordre Equestre et Royal du Saint Sépulcre, salut et connaissance de vérité.

Que connue chose soit à vous que le dixième jour de Janvier de l'an de grasce 1461, un nouveau Grand Écuyer de France a été nommé en la personne d'Enguerrand de Lazare, à la suite du retrait de Guillaume de Jeneffe.

Item qu'en respect avec les modalités relatives à la nomination d'un nouveau Grand Écuyer de France, audience a eu lieu entre Dandolo de Pola et le nouveau Grand Écuyer de France.

Item qu’il a été décidé par les deux parties de reconduire la reconnaissance royale de l’Ordre et de conserver en l’état la charte de reconnaissance royale signée et reconduite par nos prédécesseurs le 19ème jour de mai de l'an de grasce 1459.

Pour attester de cette décision, nous, Enguerrand de lazare et Dandolo de Pola, respectivement Grand Escuyer de France et Grand Maitre de l'Ordre Equestre et Royal du Saint Sepulcre, apposons nos sceaux.

Donné en les Bureaux des Écuries Royales de Paris, ce quinzième jour de janvier de l'an de grasce 1461.




Chevalier David Dandolo de Pola,
Grand Maitre de l'Ordre Equestre et Royal du Saint Sépulcre.


Citation:
A tous ceux qui ces présentes verront et orront, Enguerrand de Lazare, Grand Escuyer de France, et Bess Saincte Merveille Rouben, Grand Maître de l'Ordre Royal de la Licorne, salut et connaissance de vérité.

Que connue chose soit à vous que le dixième jour de Janvier de l'an de grasce 1461, un nouveau Grand Écuyer de France a été nommé en la personne d'Enguerrand de Lazare, à la suite du retrait de Guillaume de Jeneffe.

Item qu'en respect avec les modalités relatives à la nomination d'un nouveau Grand Escuyer de France, audience a eu lieu entre Bess Saincte Merveille Rouben et le nouveau Grand Escuyer de France.

Item qu’il a été décidé par les deux parties de reconduire la reconnaissance royale de l’Ordre et de conserver en l’état la charte de reconnaissance royale signée et reconduite par nos prédécesseurs le 21eme jour de novembre 1459.

Pour attester de cette décision, nous, Enguerrand de lazare et Bess Saincte Merveille Rouben, respectivement Grand Escuyer de France et Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne, apposons nos sceaux.

Donné en les Bureaux des Écuries Royales de Paris, ce quinzième jour de janvier de l'an de grasce 1461.







Citation:
A tous ceux qui ces présentes verront et orront, Enguerrand de Lazare, Grand Escuyer de France, et Wonderanny d'Azayes, Grand Maître de l'Ordre Royal de la Dame Blanche à l'Ecu Vert, salut et connaissance de vérité.

Que connue chose soit à vous que le dixième jour de Janvier de l'an de grasce 1461, un nouveau Grand Écuyer de France a été nommé en la personne d'Enguerrand de Lazare, à la suite du retrait de Guillaume de Jeneffe.

Item qu'en respect avec les modalités relatives à la nomination d'un nouveau Grand Escuyer de France, audience a eu lieu entre Wonderanny d'Azayes et le nouveau Grand Écuyer de France.

Item qu’il a été décidé par les deux parties de reconduire la reconnaissance royale de l’Ordre et de conserver en l’état la charte de reconnaissance royale signée et reconduite par nos prédécesseurs le 24eme jour de mai de l'an de grasce 1459.

Pour attester de cette décision, nous, Enguerrand de lazare et Wonderanny d'Azayes, respectivement Grand Escuyer de France et Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Dame Blanche à l'Ecu Vert, apposons nos sceaux.

Donné en les Bureaux des Écuries Royales de Paris, ce quinzième jour de janvier de l'an de grasce 1461.




Pour l'Ordre royal de la Dame Blanche à l'Ecu Vert,
Wonderanny d'Azayes, Grande Amazone



Citation:
A tous ceux qui ces présentes verront et orront, Enguerrand de Lazare, Grand Escuyer de France, et Leello de Proisy Fortunat, Grand Maître de l'Ordre Royal des Hospitaliers de Saint Jean, salut et connaissance de vérité.

Que connue chose soit à vous que le dixième jour de Janvier de l'an de grasce 1461, un nouveau Grand Écuyer de France a été nommé en la personne d'Enguerrand de Lazare, à la suite du retrait de Guillaume de Jeneffe.

Item qu'en respect avec les modalités relatives à la nomination d'un nouveau Grand Écuyer de France, audience a eu lieu entre Leello de Proisy Fortunat et le nouveau Grand Écuyer de France.

Item qu’il a été décidé par les deux parties de reconduire la reconnaissance royale de l’Ordre et de conserver en l’état la charte de reconnaissance royale signée et reconduite par nos prédécesseurs le 30ème jour de janvier de l'an de grasce 1460.

Pour attester de cette décision, nous, Enguerrand de lazare et Leello de Proisy Fortunat, respectivement Grand Escuyer de France et Grand Maitre de l'Ordre Royal des Hospitaliers de Saint Jean, apposons nos sceaux.

Donné en les Bureaux des Écuries Royales de Paris, ce quinzième jour de janvier de l'an de grasce 1461.



Leello de Proisy Fortunat
Grand Maitre de l'Ordre Royal des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem.


Citation:
De nous Akane Giffard – De Clairval, Duchesse de Cany et de Vernon, Vicomtesse douairière de Carentan, Grand Chambellan, à tous ceux qui liront, ou se feront lire, salut.





    En notre qualité de Grand Chambellan de France, nous annonçons ce jour,

    La nomination de messire Florentin , au poste de Premier Maître d’Hôtel.

    Nous lui souhaitons bonne chance dans ses nouvelles fonctions.

    Que le Très-Haut veille sur toutes celles et tous ceux qui liront ou entendront la présente annonce.

    Faict et scellé de notre main,
    au Palais du Louvres, le dix septième jour du mois de janvier de l’an de grasce mil quatre cent soixante et un.








Citation:



Rome et le Léviathan.

    Tout clerc de la société sise en le Royaume soucieux de l'intérêt de la foi et de ses fidèles ne saurait se contenter de traiter ses petites affaires pendant que cette chose monstrueuse s'accomplit. Cette chose monstrueuse destinée à broyer la simplicité du libre arbitre n'est rien d'autre que la transfiguration de l'institution cléricale en une machine de haine soucieuse d'affirmer sa toute puissance par le sang quand la Couronne n'a eu de cesse de tendre la main aux compromis les plus raisonnables.

    Ciselée est Notre plume et fermes sont Nos résolutions, mais nul ne saurait prétendre avoir subi du sceptre les abus d'autorité d'où découlent l'injustice. Pour preuve, le Primat de France par Nous détenu après qu'il se soit rendu sans heurts, n'a subi ni violence ni outrage, et sous notre égide, jamais sa sécurité ne fut inquiétée. Mieux encore, il fut traité durant sa détention avec les égards dus à son rang et à sa position, car seules les inspirations démoniaques du Sans Nom invitent à abuser de la domination du fort sur la vulnérabilité du faible.

    Nous regardons droit dans les yeux cette Église qui ajoute à la force ce qui lui manque à la vertu, et qui use de l'héritage que lui ont légué nos prophètes pour se faire craindre au lieu de se faire aimer. Pour ce que le bien est supérieur au mal, le vice sera toujours plus aisé que la vertu. Tel Gabriel face à Léviathan, Nous fixons nos Pères qui se veulent Nos ennemis avec la générosité qu'octroie une foi impavide, sans colère ni haine. C'est sûre d'elle et apaisée en sa conscience que la Couronne dirigera les affaires du Royaume, par delà les coups et les troubles que les malveillants stipendiés par le vice voudront lui porter. Jamais, sous Notre égide, elle se taira face au crime. Jamais, sous Notre bienveillance, elle ne se confortera dans le laxisme.

    De la même manière regardons-Nous Namaycush de Salmo Salar, qui inspiré par les murmures de Satan, se fourvoie dans le péché d'envie en se croyant aujourd'hui habilité à Nous relever de Nos fonctions, et croyant Nous subjuguer par la triste imposture dont il s'enorgueillit d'être le dupe. Nul esprit sain et de bonne foi ne peut un seul instant croire qu'un félon turbulent placé sous interdit par l'Église qui devient en l'espace d'un jour le champion de Rome contre les hérésies fantasmées de la Couronne par le fait d'un billet rédigé à la hâte n'est pas victime d'une tragique escroquerie. Un certain ébahissement Nous gagne cependant quand nous voyons avec quelle facilité l'Église se satisfait de son rôle de prétexte au règlement de querelles personnelles ou politiques, avec quel aplomb elle excommunie un Roy pour ne pas avoir sanctionné un élu du peuple Aristotélicien réformé reconnu Duc par son prédécesseur pour mieux s'empresser de désigner un homme sous interdit à la prétendue légitimité du Trône.

    Il appartient au peuple de France de se montrer clairvoyant dans cette affaire éminemment grave dans ce qu'elle ne compte rien de sérieux. Le ralliement du Sud au félon Namaycush a une apparence: la sécession de trois provinces. Elle a une réalité: le recel par trois petits fonctionnaires de nos provinces du Midi à ceux qui ont pour ambition affichée de porter le fer et le feu, la mort et le chaos, au cœur de l'unité du Royaume en totale violation avec la responsabilité que leur peuple leur avait confié. Obscure fut leur manœuvre pour ce qu'elle a sans doute de honteux au devant de leur conscience. Mais la clandestinité de l'acte illustre à lui seul la qualité morale de ses auteurs. À leur endroit et pour cet action pleine de petitesse, seul un doux dédain Nous invite, pour ce que les décisions des-dit traîtres ne sauraient être davantage reconnues par Nous durant leur règne que les verdicts rendus par leur semblant de justice. Nos sujets eux-mêmes ainsi que notre noblesse, insidieusement trompés par cette forfaiture, avec l'aide de leurs voisins féaux, sauront corriger les coupables irresponsabilités de Riwenn de Castel-Vilar, d'Azilize, et de Rozenn, qui entachent l'Armagnac, les Comminges, le Béarn, et la Gascogne du scel infamant de la lâcheté et du parjure. Ceux-la ne sont rien sans leurs villes et de leurs honorables habitants, que ces derniers, que j'appuie, se le remémorent.

    Nos priorités résolues, viendra l'heure des comptes.
    Il appartient désormais à chaque sujet de France et fidèle Aristotélicien de se regarder dans la glace et de prendre sa responsabilité de Français et de Croyant en se posant la question: "Où se trouve le droit ?" et "Où se trouve la vertu ?"
    Alors les justes rejoindront les honorables rangs de nos braves par la saine vigueur de la foi.
    Et les déchus fourvoyés par le reflet de fausses vérités se condamneront à la perdition pour avoir osé croire qu'ils étaient à même d'ébranler les fondements d'un Royaume éternel.



Pour la plus grande gloire de France,
Par delà les Temps.


Fait et scellé au Louvre, le 16e de Janvier 1461.





Citation:
A tous, présents et à venir,
A la Grande Prévôté de France,
A la Très Noble Assemblée des Pairs de France.



Nous, Mgr Gabriel Von Wittelsbach, Duc d'Espelette, Comte de Manhay, Vicomte de Leglise, Baron de St Jean de Luz, Seigneur de Savigny, Chancelier de France,

Concernant l'annonce du 22 octobre de l’an de grasce 1460 de la Grande Chancellerie actant la fermeture des dossiers à l'encontre de Leepo d'Urden, Seigneur de Puygaillard, alors Duc de Guyenne ainsi que de Thibérian Baccard, Vicomte du Val d'Oze, Seigneur de Guillestre, de Pusignan et du Bois d'Oingt, alors Duc du Lyonnais-Dauphiné ;

  • Faisons part de nos excuses pour le manque de respect à l'égard du travail fait par la Grande Prévôté de France dans ses deux dossiers.

  • Faisons part de nos excuses pour le manque de respect à l'égard de la décision de la Très Noble Assemblée des Pairs de France de poursuivre en Haute Cour de Justice.

  • Demandons l'ouverture d'une enquête pour établir les responsabilités des manquements ayant entrainés une telle annonce en contradiction d'une part avec les préconisations de la Pairie, d'autre part avec l'annonce de la Grande Chancellerie en date du 10 octobre de l’an de grasce 1460

Afin que cet acte prenne toute sa valeur, y apposons nos scels.

Faict à Paris, ce dix neuvième jour de Janvier de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un





Citation:
De nous Akane Giffard – De Clairval, Duchesse de Cany et de Vernon, Vicomtesse douairière de Carentan, Grand Chambellan, à tous ceux qui liront, ou se feront lire, salut.





    En notre qualité de Grand Chambellan de France, nous annonçons ce jour,

    La démission de Sa Grandeur Icie de Plantagenêt, Comtesse du Coudray-Salbart ,du poste de Grand Maistre de la Garde Robe.

    Nous acceptons donc cette démission et nous remercions cette dernière pour le travail réalisé, par ailleurs nous lui souhaitons bonne continuation dans ses projets à venir.


    De même, annonçons ce jour un appel à candidatures pour ce poste vacant.

    Ces candidatures seront à envoyer jusqu'au 27 janvier, à notre attention*.

    Ce poste est ouvert à des personnes de métiers issus de la couture, ayant grande connaissance de ce domaine. Ceci devra figurer sur la candidature.

    S’ensuivront entretiens ou questionnaires afin de connaitre les motivations de chaque candidat.

    Pour information et aide, voici les prérogatives liées au poste demandé :


      De la fonction de Grand Maistre de la Garde Robe Royale :

      Le Grand Maistre de la Garde Robe Royale dirige l’Office de la Garde Robe Royale. Il le gère, assisté éventuellement d’un Maitre de la Garde Robe et/ou des apprentis qui prendront l’appellation de Dame/Valet de la Garde Robe. Il veille à l’approvisionnement de la Garde Robe Royale. De même que la Chambre, cet office est amené à travailler avec des Fournisseurs Royaux.



    Que le Très-Haut veille sur toutes celles et tous ceux qui liront ou entendront la présente annonce.


Faict et scellé de notre main,
au Palais du Louvre, le dix neuvième jour de janvier de l’an de grasce mil quatre cent soixante et un.




_________________
Matheline
Citation:
Offices Royaux et Recrutement.

Connétablie de France
- Lieutenant d’Etat Major pour l'Armagnac et Comminges
- Lieutenant d’Etat Major pour l’Artois
- Lieutenant d’Etat Major pour la Gascogne
- Lieutenant d’Etat Major pour le Limousin et Marche
- Lieutenant d’Etat Major pour le Lyonnais Dauphiné
- Lieutenant d’Etat Major pour le Périgord Angoumois
- Recrutement pour le régiment Royal "Ne craint que Dieu et son souverain"



Grande Prévôté
- Membres du Guet Royal : Maréchaux de la Cité de Paris
- Geoliers : Gardiens des prisons de la capitale


Grande Chambellance
- Grand Maître de la Garde Robe Royale

    Académie Royale de France :



Cabinet des Finances
- Intendant pour les Provinces du Nord
- Intendant pour les Provinces du Sud
- Sous-Intendants des Finances pour les provinces d'Alençon, de Normandie & d'Orléans


Hérauderie de France
- Poursuivants : Anjou, Artois, Béarn, Berry, Blanche, Bourbonnais Auvergne, Bourgogne, Dicé, Estampe, Flandres, Guyenne, Languedoc, Limousin et Marche, Lyonnais Dauphiné, Mnemosyne, Normandie, Saint Jean, Sepulcre, Sigillant, Toulouse.
- Chevaucheurs : Anjou, Alençon, Armagnac et Comminges, Artois, Astrée, Berry, Blanche, Bourbonnais Auvergne, Bourgogne, Champagne, Dicé, Estampe, Flandres, Gascogne, Guyenne, Licorne, Limousin et Marche, Lyonnais Dauphiné, Maine, Minerve, Mnemosyne, Perigord Angoumois, Phylogène, Poitou, Rouergue, Sepulcre, Sigillant, Sylvestre, Toulouse, Touraine.

Grande Chancellerie
- Grand Audiencier
- Audienciers
- Juges


Secrétariat d'Etat
- Secrétaire d'Etat près le Comté du Limousin & de la Marche



Ambassades Royales de France
- Tous les non cités dans l'annonce


Citation:
A la Très Noble Assemblée des Pairs de France,

De nous, Stéphandra Dandolo du Moutier, Grand Prévôt de France,

Salutations.

Voici les conclusions de la Grande Prévôté de France, à la suite du dépôt d'une candidature d'accession à la Pairie pour Sa Grâce Keridil d'Amahir, dit l'Illustre, Duc de Chartres, Vicomte de Montpipeau, et Baron de Seignelay, Seigneur de Bréméan et de Railly
  • Sa Grâce Keridil d'Amahir est bien baptisé dans la religion aristotélicienne, baptême célébré le le 11 novembre 1457 en l'église Saint Nicolas V d'Orléans par Père Alaon Kunwal
  • Son titre de noblesse est bien reconnu par la Hérauderie ainsi que mentionné par les Nobiliaires d'Orléans et de Bourgogne,
  • Il n’a pas été reconnu coupable de Haute Trahison ou de Trahison par la justice du Royaume de France. Son casier est vierge de toute condamnation en Orléanais où il réside, ni ailleurs selon le Grand Archiviste de France



En conclusion, nous déclarons cette candidature recevable.


Faict sur les routes de France, ce dix-neuvième jour de l'an grasce MCDXI
Stéphandra Dandolo du Moutier, grand prévôt de France



Citation:
Citation:
Titres
Messire Keridil d'Amahir, Duc de Chartres, Vicomte de Montpipeau, et Baron de Seignelay, Seigneur de Bréméan et de Railly



  • Duché de Chartres (Fief de retraite)
  • Vicomté de Montpipeau (Fief de mérite)
  • Seigneurie de Bréméan , vassale d'Alluyes (Fief issu de mérite)
  • Baronnie de Seignelay (Fief de mérite, par union avec Della de Volvent)
  • Seigneurie de Railly (Fief issu de mérite, par union avec Della de Volvent)


Citation:

Baptême
Baptême célébré le 11 novembre 1457 en l'église Saint Nicolas V d'Orléans par Père Alaon Kunwal.


Citation:
Casier judiciaire: vierge
Citation:

A De Alienor de la Neustrie, Dame de Montbeaufranc, Prévôt de l'Orléanais et de l'Hostellerie Royale
A Stéphandra Dandolo du Moutier Grand Prévôt de France

Nous, Alienor de la Neustrie, Dame de Monbeaufranc, Prévôt de l'Orléanais et de l'Hostellerie Royale certifions qu'à ce jour, Sa Grasce Keridil d'Amahir Euphor,dit l'Illustre, Duc de Chartres, Vicomte de Montpipeau, et Baron de Seignelay, Seigneur de Bréméan et de Railly n'a aucun casier judiciaire.

Qu'il lui est donc permis de jouir de ses droits en tant que villageois et de poursuivre une carrière diplomatique, ecclésiastique, ou militaire.

Fait en la ville d'Orléans, le dix-neuvième jour de janvier de l'an de grasce 1461


Dame de Montbeaufranc
Prévôt de l'Orléanais
Prévôt de l'Hostellerie Royale



Citation:
A Vous Stéphandra Dandolo du Moutier, Grand Prévôt de France
De Nous, Maelia du Bivoac et Vlaanderen, Grand Archiviste de France


    Salutations,

    Suite à votre demande, nous certifions ce jour n'avoir aucun casier judiciaire préjudiciable contre Sa Grâce Keridil d'Amahir, dit l'Illustre, Duc de Chartres, Vicomte de Montpipeau, et Baron de Seignelay, Seigneur de Bréméan et de Railly, vivant en Orléans.


Pour faire valoir ce que de droit,
Fait aux Archives Royales,
Le XIXième jour du mois de Janvier de l'an de Grâce MCDLVXI



Citation:













Citation:





















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Matheline

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