Aude_elisa
Dune soirée en taverne, où lon parle dune lubie qui était passée en ma tête, lors de notre séjour en Berry. La visite dun bordel
Apprendre que mon innocence doit rester intact jusquau mariage, ce que je savais déjà, mais lenvie
Cette tentation den connaitre davantage, a fait naître en moi un désir violent. Celui den découvrir plus.
Oh certes, je ne visiterais pas un bordel, car daprès lui, lon ne me laisserait pas entrée sans que je ne consomme. Mais ils mont conseillé Apprendre tout dabord à découvrir mon corps. Par les yeux, le touché De connaitre cette nouvelle sensation. Et tout cela, depuis ma sortie de létablissement, me trotte en la tête.
Accompagnée de mon valet, je me laisse guider vers une auberge, où je prendrais possession dune chambre. Juste le temps dune nuit Lui repartirait, ou prendrait une chambre non loin de la mienne, pour veiller sur moi. Il me faut connaitre mon corps, avant tout Quil en soit ainsi.
Laubergiste moffre la clé dune chambre, contre une bourse emplie de pièce. Doucement les marches sont gravies. Je souhaite la bonne nuit à mon valet, et lentement je pénètre dans la chambre sombre. La porte est refermée derrière moi Et enfin, je pourrais me laisser tenter.
La tentation est un vilain défaut, qui, si on se laisse prendre, peut nous emmener dans un engrenage dont ne sait en sortir. Mais peu mimporte, jai cette avidité de découvrir Cette convoitise de connaitre mon corps. Seule dans cette chambre, une bougie allumée Lentement, je commence à me déshabiller. Les escarpins sont retirés, et placés sous le lit. Tandis que mes doigts viennent lentement jouer avec les lacets de mon corsage Délicatement, je le délace, pour le laisser glisser au sol.
De mes doigts, je viens lentement effleurer mon cou apprendre à reconnaitre les sensations dune caresse, certes, elles sont de moi, et la perception sera différente lorsque cet effleurement sera effectué par un homme. Mais lon ma dit de découvrir par moi-même. Un frisson qui parcourt mon échine Et lentement, je fais glisser le tissu de mes épaules, pour les découvrir Lon peut entrevoir la naissance de mes seins, au fur et à mesure que le tissu descend.
A ce moment, je me stoppe Comment puis je continuer ? Est-ce que tout ce que je fais, est mal ? Ne serait ce que dy penser Mais cette lubie est bien trop forte, pour que je ne la laisse passer La robe glisse le long de mes flancs Sur mes hanches puis le long de mes jambes. Ne me reste plus que mes bas, ainsi quun bout de tissu fin qui cache mon intimité Continuer, ou marrêter ?
A la recherche de ce qui pourrait me servir de miroir, je me déhanche dans la pièce, presque en tenue dEve. Et là non loin de moi, une longue plaque de métal poli et lustré Je men approche, chaloupant des hanches. Timide, je me fige devant Mes deux pommes se reflètent à lintérieur du métal, et un sourire se dessine sur mes carmines. Avec grâce, mes fins doigts viennent sy glisser Tout dabord, jeffleure le mamelon, une douce sensation sempare de mon être alors que timidement, la partie saillante de la mamelle se gonfle Découverte de nouvelles sensations. Je mobserve là dans ce qui me sert de miroir
Puis une bride de la conversation de la soirée, me revient Un grain de beauté situé sur le haut de la fesse gauche. Ma sur paraît-il en avait un Quen était-il pour ma part ? Était-il présent au même endroit Lentement je me retourne, de façon à ce que ma fesse gauche, encore cachée par le tissu, se reflète dans le métal Je len découvre, puis y aperçoit une petite tâche marron Euzen connaissait donc chaque partie de mon corps, sans même lavoir découvert Tout simplement parce quil a pu voir celui de ma sur, mais suis-je son reflet exact ? Voila de nouvelles questions qui envahissent mon esprit y aurais-je réponse un jour ?
Première découverte Je pense marrêter là pour ce soir. Y allait doucement, prendre plaisir à se découvrir soit même Ne pas se précipiter Apprécier Savourer Voila ce quil me reste à faire Cest donc ainsi, à moitié nue, que je me glisse sous les draps Les mains qui glissent sur mon corps encore un instant, avant de sombrer dans les bras de Morphée
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Oh certes, je ne visiterais pas un bordel, car daprès lui, lon ne me laisserait pas entrée sans que je ne consomme. Mais ils mont conseillé Apprendre tout dabord à découvrir mon corps. Par les yeux, le touché De connaitre cette nouvelle sensation. Et tout cela, depuis ma sortie de létablissement, me trotte en la tête.
Accompagnée de mon valet, je me laisse guider vers une auberge, où je prendrais possession dune chambre. Juste le temps dune nuit Lui repartirait, ou prendrait une chambre non loin de la mienne, pour veiller sur moi. Il me faut connaitre mon corps, avant tout Quil en soit ainsi.
Laubergiste moffre la clé dune chambre, contre une bourse emplie de pièce. Doucement les marches sont gravies. Je souhaite la bonne nuit à mon valet, et lentement je pénètre dans la chambre sombre. La porte est refermée derrière moi Et enfin, je pourrais me laisser tenter.
La tentation est un vilain défaut, qui, si on se laisse prendre, peut nous emmener dans un engrenage dont ne sait en sortir. Mais peu mimporte, jai cette avidité de découvrir Cette convoitise de connaitre mon corps. Seule dans cette chambre, une bougie allumée Lentement, je commence à me déshabiller. Les escarpins sont retirés, et placés sous le lit. Tandis que mes doigts viennent lentement jouer avec les lacets de mon corsage Délicatement, je le délace, pour le laisser glisser au sol.
De mes doigts, je viens lentement effleurer mon cou apprendre à reconnaitre les sensations dune caresse, certes, elles sont de moi, et la perception sera différente lorsque cet effleurement sera effectué par un homme. Mais lon ma dit de découvrir par moi-même. Un frisson qui parcourt mon échine Et lentement, je fais glisser le tissu de mes épaules, pour les découvrir Lon peut entrevoir la naissance de mes seins, au fur et à mesure que le tissu descend.
A ce moment, je me stoppe Comment puis je continuer ? Est-ce que tout ce que je fais, est mal ? Ne serait ce que dy penser Mais cette lubie est bien trop forte, pour que je ne la laisse passer La robe glisse le long de mes flancs Sur mes hanches puis le long de mes jambes. Ne me reste plus que mes bas, ainsi quun bout de tissu fin qui cache mon intimité Continuer, ou marrêter ?
A la recherche de ce qui pourrait me servir de miroir, je me déhanche dans la pièce, presque en tenue dEve. Et là non loin de moi, une longue plaque de métal poli et lustré Je men approche, chaloupant des hanches. Timide, je me fige devant Mes deux pommes se reflètent à lintérieur du métal, et un sourire se dessine sur mes carmines. Avec grâce, mes fins doigts viennent sy glisser Tout dabord, jeffleure le mamelon, une douce sensation sempare de mon être alors que timidement, la partie saillante de la mamelle se gonfle Découverte de nouvelles sensations. Je mobserve là dans ce qui me sert de miroir
Puis une bride de la conversation de la soirée, me revient Un grain de beauté situé sur le haut de la fesse gauche. Ma sur paraît-il en avait un Quen était-il pour ma part ? Était-il présent au même endroit Lentement je me retourne, de façon à ce que ma fesse gauche, encore cachée par le tissu, se reflète dans le métal Je len découvre, puis y aperçoit une petite tâche marron Euzen connaissait donc chaque partie de mon corps, sans même lavoir découvert Tout simplement parce quil a pu voir celui de ma sur, mais suis-je son reflet exact ? Voila de nouvelles questions qui envahissent mon esprit y aurais-je réponse un jour ?
Première découverte Je pense marrêter là pour ce soir. Y allait doucement, prendre plaisir à se découvrir soit même Ne pas se précipiter Apprécier Savourer Voila ce quil me reste à faire Cest donc ainsi, à moitié nue, que je me glisse sous les draps Les mains qui glissent sur mon corps encore un instant, avant de sombrer dans les bras de Morphée
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