Elina
" Partout la jalousie est un monstre odieux : rien n'en peut adoucir les traits injurieux ;
Et plus l'amour est cher qui lui donne naissance, plus on doit ressentir les coups de cette offense. " - Molière -
Parfois elle détestait ce qu'elle était, ce qu'elle ressentait. Pourquoi cette jalousie qui la détruisait, qui les détruisaient. L'un comme l'autre ne pouvait empêcher cette marque de possession. Ils s'appartenaient, ils se l'étaient dis, des promesses muettes, et pourtant... Bien qu'au fond d'eux ils ne doutaient jamais une seule seconde de l'amour de l'autre, ils n'arrivaient à balayer tout leur doute. Au fond, c'est pas en lui qu'elle ne faisais pas confiance, elle savait que la vie l'avait bien trop blessé pour qu'il la blesse à elle. Ils avaient toujours été franc entre eux, même lorsque ils n'étaient que de simple amis, et cela perdurerait ainsi. Non, c'était plutôt au femme en qui elle n'avait aucune confiance. Les femmes son manipulatrice, charmeuse, et on de multiples talant pour faire craquer les hommes. Elle détestait les femmes! Quelques unes en faisait l'exception.
Ses grand yeux azurés se levèrent vers celle qui venait de leur faire face, se levant avec grâce, comme les prédatrice savait si bien le faire. A cette pensée sa conscience ne put retenir une énième leçon de moral. Pourquoi voyait-elle le mal partout? Thomas était un homme charmant avec qui il était agréable de discuter, il pouvait bien avoir des amies de la gente féminine non? Elle même avait bien Heal avec qui elle était très proche. Oui enfin Thomas en était jaloux aussi donc bon... A cette constations elle se retint de soupirer. Finalement ça fille avait raison, c'était compliqué d'aimer...
Elle n'eut pas le loisir de détailler plus en profondeur l'apparence de la femme, que le comportement de Thomas l'intrigua. Quelque chose clochait, elle le voyait, le sentait. Depuis que Thomas et elle étaient amis, une sorte de capteur d'émotion s'était développer en elle. Il était trop tactile d'un coup, oh loin l'idée que ça la gênait, mais rare les fois où il s'accrochait a elle en présence de quelqu'un. Il agissait comme elle, lorsque tout allait mal et qu'elle s'accrochait à lui comme à sa bouée de sauvetage, voilà c'était cela qu'il faisait. gagné par l'inquiétude ses sourcils se froncèrent légèrement, alors que son visage se levait doucement vers lui, scrutant chaque expression de son visage. Elle demandait silencieusement des explication, de voulant pas interrompre ses paroles. Puis entre eux le silence était plus bénéfique que les paroles.
Thomas se chargea de faire les présentations, elle tiqua légèrement. Il l'avait appelé par son nom complet, elle détestait cela. Tant habitué au Lina, que "Hellina-Rose" détonnait sortant de sa bouche. Surtout qu'il la nommait ainsi simplement quand il était très en colère, ou quand elle faisait quelques chose qui ne convenait pas à Monsieur contrôle tout. Aude-Elisa... Jolie prénom. Mais il ne lui disait rien, un prénom ainsi elle s'en serait souvenue. Elle connaissait le nom de toute les anciennes conquêtes de Thomas, mis à part les catins. Et en Loccurrence la jeune femme n'avait aucunement l'air dêtre une d'elle. Inconsciemment elle se détendit légèrement. Bon, à première vue elle n'était pas en face d'une rivale. Puis le sentiment que quelques chose n'allait pas pour thomas, éloignait doucement sa jalousie. Trop inquiète pour lui, elle n'avait plus le temps d'être égoïste, car oui pour elle jalousie est synonyme dégoïsme. Bon, bilan: Femme inconnu, présenté comme une amie de longue date, thomas qui semble aller mal, mais souligne bien leurs relation. Finalement c'était peut être qu'une simple amie? M'enfin la tornade resterait méfiante, bien qu'elle essayait de se dérider un peu. Il fallait qu'elle se montre un minimum agréable , il fallait rassurer thomas. Il ne semblait pas d'humeur à supporter un crêpage de chignon. Et puis elle en avait pas réellement envie non plus. Alors de bon grée elle hoche doucement la tête, et une sourire polie prit place sur ses lèvres. Oui elle sait y mettre du sien quand il le faut.
Bonsoir, enchantée de faire votre connaissance également, damoiselle.
Elle se resserre contre Thomas, non pas pour montrer son territoire cette fois, mais pour le rassurer. Lui faire comprendre qu'elle restera sage, qu'il n'avait pas à sinquiéter. Exploit pour elle tout de même, notez le bien! Elle accepte une personne de la gente féminine quoi!
Tout deux en vienne à discuter d'un sujet qu'elle hais, un sujet qui la détruit, un sujet bannie. Et pourtant elle est obligé d'écouter sans faillir. Ecouter sans perdre face. La mort... qui lui à tant prit. la mort qui à engloutit tant de membre de sa famille de ses amis. Et peut être son propre fils. Elle posa des yeux compatissant sur la femme, qui tout d'un coup lui sembla fragile, désemparé, emprise d'un grand mal intérieur. Elle aussi était ainsi il y'à quelques semaine, seulement elle, elle avait eut la chance d'avoir Thomas sur qui s'appuyer, sur qui tout déléguer. Il avait gérer sa vie alors qu'elle n'était plus rien, qu'elle n'était plus elle. Elle souhaitait à toute personne d'avoir une personne sur qui compter comme Thomas lorsque plus rien n'allait. Sa voie se fit plus douce, moins sur ses gardes alors qu'elle fixait Audes-Elisa.
Mes Condoléances demoiselle, J'ai perdu ma soeur cadette l'année dernière, je comprend que trop bien votre tristesse. Vous avez la chance d'avoir votre nièce...
Camille... sa petite soeur, se rayon de soleil qui illuminait les journées de toutes les personnes qu'elle croisait. Si joyeuse si pleine de vie, si rieuse. Sa rousseur, ses yeux bleu, sa peau blanche, elle était si belle, si jeune... Envolé, en un rien de temps. Elle ne lui avait rien laissé, mis à part son tendre souvenir. Oui elle aurait aimé avoir un nièce ou un neveu à chérir à sa mémoire, un petit bout d'elle. Elle n'avait plus rien... Ses yeux s'assombrirent légèrement. Oui elle détestait se sujet...
Quelque chose dans les paroles d'Aude-Elisa attira son attention. Paternel, Limoge... Euzen. Le père de son fils, le coureur de jupon. Combien avait-il d'enfant? Officiellement deux, Officieusement, c'était une autre histoire....
Comment vous êtes vous rencontré?
Désireuse de changer de sujet, son regard se porta d'Aude-Elisa à Thomas. Non sa question n'était en rien chargée de suspicion ou autre. Elle était simplement étonné. Thomas n'était pas un homme très... sociable, du moins il lui fallait du temps. Plus qu'à elle il était vrai. Se côté de la personnalité de l'angloit l'exaspérait autant qu'elle aimait cela. Son côté mystérieux, inaccessible... Si réellement elle était l'amie de Thomas, c'était que quelques chose de fort les liées. Il n'en était pas autrement avec lui.
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Et plus l'amour est cher qui lui donne naissance, plus on doit ressentir les coups de cette offense. " - Molière -
Parfois elle détestait ce qu'elle était, ce qu'elle ressentait. Pourquoi cette jalousie qui la détruisait, qui les détruisaient. L'un comme l'autre ne pouvait empêcher cette marque de possession. Ils s'appartenaient, ils se l'étaient dis, des promesses muettes, et pourtant... Bien qu'au fond d'eux ils ne doutaient jamais une seule seconde de l'amour de l'autre, ils n'arrivaient à balayer tout leur doute. Au fond, c'est pas en lui qu'elle ne faisais pas confiance, elle savait que la vie l'avait bien trop blessé pour qu'il la blesse à elle. Ils avaient toujours été franc entre eux, même lorsque ils n'étaient que de simple amis, et cela perdurerait ainsi. Non, c'était plutôt au femme en qui elle n'avait aucune confiance. Les femmes son manipulatrice, charmeuse, et on de multiples talant pour faire craquer les hommes. Elle détestait les femmes! Quelques unes en faisait l'exception.
Ses grand yeux azurés se levèrent vers celle qui venait de leur faire face, se levant avec grâce, comme les prédatrice savait si bien le faire. A cette pensée sa conscience ne put retenir une énième leçon de moral. Pourquoi voyait-elle le mal partout? Thomas était un homme charmant avec qui il était agréable de discuter, il pouvait bien avoir des amies de la gente féminine non? Elle même avait bien Heal avec qui elle était très proche. Oui enfin Thomas en était jaloux aussi donc bon... A cette constations elle se retint de soupirer. Finalement ça fille avait raison, c'était compliqué d'aimer...
Elle n'eut pas le loisir de détailler plus en profondeur l'apparence de la femme, que le comportement de Thomas l'intrigua. Quelque chose clochait, elle le voyait, le sentait. Depuis que Thomas et elle étaient amis, une sorte de capteur d'émotion s'était développer en elle. Il était trop tactile d'un coup, oh loin l'idée que ça la gênait, mais rare les fois où il s'accrochait a elle en présence de quelqu'un. Il agissait comme elle, lorsque tout allait mal et qu'elle s'accrochait à lui comme à sa bouée de sauvetage, voilà c'était cela qu'il faisait. gagné par l'inquiétude ses sourcils se froncèrent légèrement, alors que son visage se levait doucement vers lui, scrutant chaque expression de son visage. Elle demandait silencieusement des explication, de voulant pas interrompre ses paroles. Puis entre eux le silence était plus bénéfique que les paroles.
Thomas se chargea de faire les présentations, elle tiqua légèrement. Il l'avait appelé par son nom complet, elle détestait cela. Tant habitué au Lina, que "Hellina-Rose" détonnait sortant de sa bouche. Surtout qu'il la nommait ainsi simplement quand il était très en colère, ou quand elle faisait quelques chose qui ne convenait pas à Monsieur contrôle tout. Aude-Elisa... Jolie prénom. Mais il ne lui disait rien, un prénom ainsi elle s'en serait souvenue. Elle connaissait le nom de toute les anciennes conquêtes de Thomas, mis à part les catins. Et en Loccurrence la jeune femme n'avait aucunement l'air dêtre une d'elle. Inconsciemment elle se détendit légèrement. Bon, à première vue elle n'était pas en face d'une rivale. Puis le sentiment que quelques chose n'allait pas pour thomas, éloignait doucement sa jalousie. Trop inquiète pour lui, elle n'avait plus le temps d'être égoïste, car oui pour elle jalousie est synonyme dégoïsme. Bon, bilan: Femme inconnu, présenté comme une amie de longue date, thomas qui semble aller mal, mais souligne bien leurs relation. Finalement c'était peut être qu'une simple amie? M'enfin la tornade resterait méfiante, bien qu'elle essayait de se dérider un peu. Il fallait qu'elle se montre un minimum agréable , il fallait rassurer thomas. Il ne semblait pas d'humeur à supporter un crêpage de chignon. Et puis elle en avait pas réellement envie non plus. Alors de bon grée elle hoche doucement la tête, et une sourire polie prit place sur ses lèvres. Oui elle sait y mettre du sien quand il le faut.
Bonsoir, enchantée de faire votre connaissance également, damoiselle.
Elle se resserre contre Thomas, non pas pour montrer son territoire cette fois, mais pour le rassurer. Lui faire comprendre qu'elle restera sage, qu'il n'avait pas à sinquiéter. Exploit pour elle tout de même, notez le bien! Elle accepte une personne de la gente féminine quoi!
Tout deux en vienne à discuter d'un sujet qu'elle hais, un sujet qui la détruit, un sujet bannie. Et pourtant elle est obligé d'écouter sans faillir. Ecouter sans perdre face. La mort... qui lui à tant prit. la mort qui à engloutit tant de membre de sa famille de ses amis. Et peut être son propre fils. Elle posa des yeux compatissant sur la femme, qui tout d'un coup lui sembla fragile, désemparé, emprise d'un grand mal intérieur. Elle aussi était ainsi il y'à quelques semaine, seulement elle, elle avait eut la chance d'avoir Thomas sur qui s'appuyer, sur qui tout déléguer. Il avait gérer sa vie alors qu'elle n'était plus rien, qu'elle n'était plus elle. Elle souhaitait à toute personne d'avoir une personne sur qui compter comme Thomas lorsque plus rien n'allait. Sa voie se fit plus douce, moins sur ses gardes alors qu'elle fixait Audes-Elisa.
Mes Condoléances demoiselle, J'ai perdu ma soeur cadette l'année dernière, je comprend que trop bien votre tristesse. Vous avez la chance d'avoir votre nièce...
Camille... sa petite soeur, se rayon de soleil qui illuminait les journées de toutes les personnes qu'elle croisait. Si joyeuse si pleine de vie, si rieuse. Sa rousseur, ses yeux bleu, sa peau blanche, elle était si belle, si jeune... Envolé, en un rien de temps. Elle ne lui avait rien laissé, mis à part son tendre souvenir. Oui elle aurait aimé avoir un nièce ou un neveu à chérir à sa mémoire, un petit bout d'elle. Elle n'avait plus rien... Ses yeux s'assombrirent légèrement. Oui elle détestait se sujet...
Quelque chose dans les paroles d'Aude-Elisa attira son attention. Paternel, Limoge... Euzen. Le père de son fils, le coureur de jupon. Combien avait-il d'enfant? Officiellement deux, Officieusement, c'était une autre histoire....
Comment vous êtes vous rencontré?
Désireuse de changer de sujet, son regard se porta d'Aude-Elisa à Thomas. Non sa question n'était en rien chargée de suspicion ou autre. Elle était simplement étonné. Thomas n'était pas un homme très... sociable, du moins il lui fallait du temps. Plus qu'à elle il était vrai. Se côté de la personnalité de l'angloit l'exaspérait autant qu'elle aimait cela. Son côté mystérieux, inaccessible... Si réellement elle était l'amie de Thomas, c'était que quelques chose de fort les liées. Il n'en était pas autrement avec lui.
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