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[RP] Un, deux, trois, vous m'acheterez tout ça ...

Eloan
... Parce que si vous ne voulez pas, je pleure.

Des emplettes! Eloan, du haut de ces sept années ADORAIENT ça! De nouvelles robes, chaussures, et l'amour des bijoux ... Vénales? Caractérielles? Utilisez les mots que vous souhaitez elle ne les comprend pas la mini MN.
C'est donc aujourd'hui que la mini hérisson, accompagné de sa tante et de son parrain se rendrait à Paris faire quelques achats. Enfin quelques ... à coups de "oooh!! Qu'est-ce que c'est beau! Parrain regarde les bijoux! Tata la peluche elle est trop belle", la demoiselle aurait ce qu'elle désire. Sept années, mais horriblement maline.
Le soleil venait de se lever, que la petite était déjà réveillée, en pleine forme. Parcourant la maison en courant, se retenant de crier, elle déboula dans la chambre de sa tante et sauta sur elle et sur son lit
"Tata!!!! Faut tu réveilles parce que sinon ben y'aura plus rien!"
Se relevant, elle se glissa sous la couette pour choper la main de sa rousse de tante pour tenter de la tirer hors du lit.
Essoufflé, c'est en regardant partout que Victor, l'homme qui surveillais Eloan, déboula à son tour.

"Demoiselle Eloan, votre ta... AAARGH!!"
Ni une, ni deux, il l'agrippa par les pieds et la hissa en dehors de cette couette.
Quoi? Oui, certes, comme réveil y'a mieux. Mais c'est Eloan!

"Mademoiselle! Vous allez effrayer votre tante! Et ça ne se fais pas d'entrer ainsi dans la chambre d'un de ses parents ... Imaginez qu'elle ... non rien. Ce sont des choses qu'on évite de faire."
Un soupire et la jeune fille se tourna voyant la tignasse rousse maintenant émergée. Un grand sourire orna le visage de la petite tête presque blonde.
"Bonjour Tata! sis désolée hein, mais t'as failli n'oublier qu'on devait m'acheter des cade... enfin faire des empettes."
Les yeux pétillants, elle tourna sur elle-même.
"Regarde t'as vu ma jolie robe! C'est un cadeau de Johatata! Pis regarde mes chaussures et mes rubans dans les cheveux. Tu crois y'en auras des aussi beaux?"

Puis là, le drame. Victor attrapa la petite par le bras et posa une main sur sa bouche pour qu'elle se fasse silencieuse.

"Dame, nous vous attendons pour le petit-déjeuner. Nous vous laissons aussi, vous préparez ... la chipie vient avec moi."
L'homme s'inclina, et attrapa la poupée dans ses bras l'emmenant devant son verre de lait et ses viennoiseries. Viennoiseries qu'elle choisit vite avant qu'on ne lui laisse que les plus moches ... Une grosse bouchées, un verre de lait. La journée commençait bien.
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Aude_elisa
« Princesse, on ira à Paris, avec ton parrain… Et nous ferons quelques emplettes pour toi, lui, moi… » D’Aude Elisa.

De ses réveilles qu’on aimerait éviter. Imaginez vous, dans un sommeil des plus profonds… De beaux rêves plein l’esprit. Et Paf l’on vous sort de tout ceci en sautant dans votre lit… Se faufilant sous vos couettes. De quoi être de mauvaise humeur pour la journée… Mais ce n’est point mon cas.

Certes ma petite merveille m’extirpe du sommeil sauvagement. Mais elle est si adorable que je lui pardonnerais tout. Depuis qu’elle est entrée dans ma vie, c’est mon petit rayon de soleil, ma bouffée d’air frais. Elle est si merveilleuse du haut de sept ans.

Émergée, il le faut. Je lui ai promis de l’emmener à Paris, et c’est le jour J. Elle doit être impatiente pour sûr, une petite princesse entourée de son parrain et sa tante, à être gâtée comme pas permis.
Ma crinière de feu est en pagaille… Je ne suis pas ce qu’il y a de plus présentable, mais ce n’est point grave. Un doux sourire se dessine sur mes lèvres à son intention.


-Oui princesse, je me lève… Va donc petit déjeuner, je me prépare, et j’arrive ensuite.

Un hochement de tête à l’intention de Victor.

-J’arrive d’ici peu. Je fais au plus vite, la princesse est des plus impatiente, cela se comprend.

Et alors qu’ils disparaissent tout deux dans l’encadrement de la porte. celle-ci qui se ferme. Je m’étire doucement, pour enfin sortir de sous les draps. Un petit aller près de la fenêtre… Une jolie journée en perspective, un soleil resplendissant qui orne le ciel.

Une toilette, une crinière dompté… Un chignon des plus parfait. Une robe d’un bleu pâle… Un médaillon azur qui habille mon cou, petites perles à mes oreilles. Me voila prête… Ne reste plus qu’à descendre, pour prendre le petit déjeuner.

La descente se fait lente, mes escarpins claquent sur le marbre des marches. Rejoindre ma merveille…


-Bonjour princesse ! Me voila prête… Mangeons un peu, puis nous pourrons partir pour rejoindre ton parrain. Ensuite direction Paris. Nous allons nous amuser !

En compagnie de ma merveille et de mon ami, pour sûr que cette journée sera sublime.
Le petit déjeuner se passe… Quelque tartines de confiture avalées, une tasse de lait, un fruit. Une fois sustentée, je me lève doucement.


-L’on se prépare… Je demande à Aubert de préparer le coche, puis nous allons chercher ton parrain.

Si tôt dit, si tôt fait. Me voila partie à la recherche de mon valet. Trouvé !

-Aubert, fais préparer le coche je te prie.
-Oui m’dame.
-Tu nous accompagnes bien entendu, avec Victor, tu pourras discutailler avec lui.
-Bien m’dame.

Et au valet de disparaitre à son tour… Je retourne près de ma princesse.

-Tu es prête ?

Bien entendu qu’elle l’était ! Ce n’est pas après elle que l’on va attendre.

-Alors, allons y… Laisse moi juste mettre mon châle et mes gants.

Je retourne à l’étage… Châle blanc sur les épaules, gants de soie enfilé sur mes fines mains. Me voila prête. Ne reste plus qu’à pénétrer dans le coche, pour Louvières.

Ah Louvières, endroit que j’affectionne particulièrement. Nous y voila. Doucement nous descendons du coche pour nous approcher de l’entrée.


-Faites prévenir votre maître que sa filleule et son amie sont présente, que nous l’attendons pour nous rendre à Paris.
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**Merci Jd Catherine**
Nathan
« Un Berrichon à Paris… Ça faisait bien longtemps. » De Nathan.


Quel affreux matin. Nathan avait dû réellement se lever en pleine nuit. Pour lui l’aurore, c’était à onze heures. Sept heures, c’était la nuit. La normalité chez Nathan lui faisait cruellement défaut. Le garçon de
Louvières avait pris de mauvaises habitudes s’abandonnant à une routine qui rendait ses journées courtes et ses nuits longues. Après tout, il n’avait que faire de s’occuper d’affaire, il avait d’ores et déjà tout ce qu’il lui fallait, titres, richesses, propriétés. Plus les jours passaient et plus il s’enfonçait dans le stéréotype du XV ème siècle. Il lui manquait juste son mariage à son panel et sa vie était censée être belle. Foutaises, il ne croyait plus aux contes depuis des années.

Une invitation à aller à Paris, c’était un peu, comme si on invitait un Berrichon à sa mort. Nathan haïssait cette ville comme il haïssait bien des choses en somme. Il ne l’aimait pas pour une raison particulière. Ville royaliste ? Non. Il s’en accommodait très bien, contrairement à eux. Nathan savait d’avance que le profil devrait se faire bas. Il n’aurait aucune autorité, une frustration en découlerait et qu’il serait facile de le tuer ou même pire, de salir ses magnifiques vêtements.

Pour sûr, il accordait davantage de valeur à des bouts de tissus plutôt qu’à sa propre vie, car selon lui l’éphémère ne s’appliquait pas à eux. Content de sa théorie grotesque en façade, il savait pertinemment que c’était une forme comme une autre de ne pas craindre la mort quelques moments. Il lui fallait toujours se raccrocher à des poteaux, pierres ou autres poids lourds.

Il fut prévenu qu’on l’attendait en face de son Hôtel Particulier. Vêtu à son grand regret sans extravagance, sans richesse, juste simplement, il rejoignit frustré et de mauvaise humeur sa filleule et son amie. Les commodités effectuées, il annonça :


-Si je meurs, vous serez responsable.

Le ton était donné. Paris allait accueillir un Berrichon et pas des moindres.

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*Attend désespérément son blason...*
Eloan
Ah ça pour sur qu'elle était prête! Une journée shopping dans les rues de Paris, la mini MN n'allait pas louper ça!
D'ailleurs quand sa tante lança le départ, un cri de joie s'échappa. Puis une petite pensée vers son père et sa sœur. Elle se promit de leur acheter quelque chose la bas! D'ailleurs la petit avait donné sa bourse avec des pièces à Victor, afin qu'il la surveille.
Durant le trajet, la demoiselle, chantait, tapait des mains, enquiquinait même son suivant. Eloan sage, ça n'existe pas tellement, sauf quand elle dort! Mais là n'est pas l'heure de la sieste.
Les kilomètres passèrent, Victor dormait, Eloan contemplait le paysage quand au loin le fameux hôtel se dessinait. Une petite boule se forma au niveau de son estomac, puis elle se tint droite, sage jusqu'à l'arrêt du véhicule devant les portes.
Sa tante sortit, la jeune fille l'imita. Quelques échanges, puis son Parrain fit son apparition. Il est bien le seul à calmer la gamine, en plus de son père. L'Hérisson fit une parfaite révérence à Nathan, ouvrit la bouche afin de le saluer. Mais ...

-Si je meurs, vous serez responsable.

Petit froncement de nez, mais aucune réplique. Enfin ...
"Ben non tu peux pas mourru Parrain! Parce qu’après moi j'aurais un parrain pas beau puis bête"
C'est vrai qu'il était beau Nathan. Mais Elo succombe rapidement aussi ...
Haussant les épaules elle se retourna et se mit devant la porte du véhicule.
"Victor!! Tu te mets debout et tu me portes pour je m'assis!!"
Quoi? Il est pas là pour ça? oups ... trop tard hein ... Parce qu'il se leva en ronchonnant et installa la petite sur un siege.
"Tataaa!! Parrain!! viiite on va être en retard!"
C'est qu'elle trépigne la petite. Vite vite vite qu'elle puisse se faire offrir des robes et des peluches!
Le soleil commençait à bien taper le toit de la voiture, la journée pourtant ne faisait que commencer ...

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Aude_elisa
« Et un Nathan de mauvaise humeur ! Un ! Que la journée commence… » D’Aude Elisa.

Moi qui pensait que la journée allait tout simplement être parfaite. Quelque chose me dit que ce ne sera pas réellement le cas. Suffit de voir la façon dont Nathan nous accueille. Je pensais qu’il serait heureux de pouvoir aller à Paris, faire quelques emplettes… Mais non, quelque chose m’échappe.

Et ces derniers mots choisis… Que voulait-il que je comprenne ? Que quelqu’un veut également sa mort en la capitale du royaume ?
Un sourcil qui se hausse tout en le regardant.


-M’enfin Nathan, pourquoi dites vous cela ? Il ne vous arrivera rien. Une sortie avec votre filleule ne vous fait pas plaisir ? Je n’aurais peut être pas dû avoir cette idée.

Un soupire qui s’échappe de mes lèvres carmines. Me voila juste déçue. Il n’est pas enjoué par cette sortie. Et bien, nous ferons avec. C’est que malgré tout il accepte de nous accompagner.

Je m’approche de lui, pour glisser mon bras sous le sien, tout en jetant un œil vers Eloan qui contrairement à son parrain, est toute enjouée de cette journée. Et alors de lui murmurer d’une voix douce.


-Racontez moi… Pourquoi êtes vous ainsi ? Cela ne vous fait guère plaisir une sortie avec votre filleule ? Ou peut être que quelque chose d’autre vous tracasse l’esprit.

Il me faut comprendre ce qui se passe. Mais tout en continuant cette conversation, il nous faut monter dans le coche à nouveau pour prendre la direction de Paris. C’est que la merveille, elle est impatiente et prête pour le départ !
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**Merci Jd Catherine**
Nathan
Elles réclamaient sa bonne humeur. Allons bon, c’était peine perdue. Ils auraient tous très bien pu faire des emplettes à Bourges. La capitale Berrichonne regorgeait de produits de toute beauté. Le garçon de Louvières avait su insuffler dans cette ville sa passion pour les vêtements. Malheureusement cela n’avait pas suffi pour y rester. Il allait donc à Paris.

-Oh si, cette virée me fait plaisir. Enfin. Vous faire plaisir me fait plaisir donc ça me fait plaisir. Nous allons nous arrêter là sinon je sens que je vais vous donner une migraine en prime. Non, mais vous savez que je suis un Berrichon ? Et que les Berrichons ne sont pas appréciés à la capitale ? Je vais devoir faire profil bas toute la journée, vous devez vous en douter, je vais être frustré.

Au moins, c’était clair. Il ne souhaitait pas s’éterniser davantage sur le sujet. Mais ile espérait qu’au moins une des deux ait compris que ça ne l’enchantait guère d’aller à l’échafaud. Tourner autour de la potence la frôler ou même être la victime. Les tracas l’envahirent très rapidement. C’était fréquent ces derniers temps. Le changement de sujet s’imposait.

-Je pense m’acheter quelques nouveaux manteaux, des chemises, des paires de bottes, en fait refaire ma garde-robe. Trop ce n’est jamais assez. Au moins je saurai occuper mes journées pal-pi-tan-te de Bourges.
Ironie. Le blondinet faisait tout pour échapper à son quotidien. Pas encore marié qu’il s’ennuyait déjà. La vie s’annonçait triste.


Le souci avec Nathan, était, qu’il n’était jamais satisfait de ce qu’il avait. Bon nombres de personnes auraient aimé être à sa place. Sa vie était loin d’être ennuyante. Mais quand on connait une longue période d’action, le retour à la normal s’annonce dur.

-Eloan ? Que comptes-tu t’acheter ? Et vous mon amie ?

Un sourire de façade se dessina, il fallait bien sauver les meubles.
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*Attend désespérément son blason...*
Eloan
Et ça papote et ça fais attendre. Appuyé sur le rebord du véhicule, à regarde son parrain et sa tante papoter. Un soupire s'enfuit, la main vint se poser sous le petit menton.
"Victor, ils mettent du temps hein ..."
Justement, une plainte une action, les voilà qui s'installent en face d'elle.

-Eloan ? Que comptes-tu t’acheter ? Et vous mon amie ?

Petit nez froncé pour refléchir. La pipelette commença son récit.
"Des robes, parce qu'elle deviennent trop petite les autres, parce que je grandis. Hmmmm des chaussures, du tissu et du fil pour que je cousu. Puis faut je trouve des cadeaux pour papa et Abi! Puis vous, vous allez m'acheter quoi?"

Ne jamais perdre le nord. Sous ordre de Victor, le cocher lança les chevaux doucement afin que vite ils arrivent à destination. Surexcitée, la petite tressaillit sur place en tapant des mains.
"Paris! On va à Paris!"
Une lueur éclata dans ses yeux. La mini MN s'agenouilla sur son siège et passa la tête en dehors du véhicule. Oui, Eloan profitait que son père n’était pas là pour transgresser quelques règles de sécurité. Bon, ça n'allait pas durer, car Victor, sa Tante ou son parrain la reprendrait. Bien que Nathan semblait être en constant désaccord avec son père. Tant mieux, aujourd'hui la Chipie se lâcherait. Les bêtises pourraient fuser. Héhé, de biens vilaines pensées la traversaient. Comment faire piquer une colère à sa tante? Faire péter les plombs à Victor ... Calmons-nous, ce n'est que le matin, et Paris n'est pas encore en vu.
Les collines, les arbres, les bourgs, les fermes défilaient. Par moment la petite apercevait des animaux vagabonder dans les plaines qu'ils passaient. L'hérisson, apostrophait les voyageurs à chaque bestioles.
Le soleil pointait de plus en plus haut, la voix de la gamine enrobait en une petite chanson enfantine.

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Aude_elisa
Vouloir faire plaisir. Voila ce qu’il en était pour mon ami. Donc cette virée ne lui plait pas forcément, il la fait pour nous… Juste pour nous. C’est gentil, j’apprécie, mais j’aurais préférée de meilleure condition. Une meilleure humeur de sa part…

Allons, faisons avec. Il est présent… Tâchons de faire remonter son humeur, ce n’est point partie gagnée, mais qu’importe, on y mettra du notre pour que ça le soit !
Les Berrichons ne sont pas bien vus en la capitale du royaume. Je n’en savais absolument rien… Sinon je n’aurais guère proposée cette sortie. Et voila je m’en veux. Les yeux vrillent au sol.


-Je suis désolé, Nathan, je n’étais point au courant de ce différent entre les Berrichons et… M’enfin, je comprends que soyez frustrés, mais tâchons tout de même de passer une bonne journée. Oublier tout cela, et faire nos petites emplettes. Voyez le bon côté des choses, nous vous éloignons de Bourges un temps…

Peut être pas une bonne raison, mais peu importe. Trouver n’importe quelle raison pour tenter de le motiver.

Et de sourire en entendant l’énumération de ses achats. Refaire sa garde robe, comme s’il n’en avait pas assez.

Nous voici dans le coche. Et la petite merveille qui fait à son tour son petit tour d’horizon de ce qu’elle va acheter. A mon tour.


-Moi je compte surtout faire plaisir à la princesse qui nous accompagne. A vous également… Puis je pense que je m’achèterais quelques robes, escarpins, châle… Bijoux également, pour accompagner les nouvelles tenues que je trouverais.

Et le coche se met en route. Paris nous arrivons !
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**Merci Jd Catherine**
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