Nathan
« Ce nest quun commencement
» De Nathan
Il la regarda. Le silence avait été de mise pendant quelques instants. Elle napprouvait pas, elle ne désapprouvait pas, elle némettait aucun jugement. Elle restait neutre. Nathan sourit et lui répondit :
-Cest arrivé soudainement, je ne sais comment lexpliquer, cest juste arrivé et ça ma plu. Je nétais pas au courant que je pouvais avoir ce genre de sentiment pour un homme. Pendant de nombreuses années jai enchainé les conquêtes féminines, bourgeoises, baronnes, duchesses, beaucoup de femme ont passé dans ma vie. Et, il est arrivé. Ce fut comme une apparition. La situation ne sy prêtait pourtant pas Il me regardait, je le regardais Puis il navait rien à dire, on savait tout deux.
Il nallait pas dire quauparavant il lui avait collé une droite monumentale. Il nallait pas lui dire non plus que juste après un échange de baisers ils ont tué un valet. Il ne fallait pas tout confier dun seul coup. Il fallait entretenir le mystère pour garder une quelconque relation, amicale, sentimentale, épistolaire ou amoureuse pérenne. Ça Nathan savait le faire sans aucun souci.
-Je continue Il est certes la cause de bien de mes malheurs, mais il est aussi la cause de bien de mes bonheurs. On dit quil faut souffrir pour être beau, moi je dis quil faut souffrir pour être heureux. Car on a besoin de frustration, de tristesse, de malheur pour pouvoir être de nouveau heureux. Cest un peu comme si, le bonheur nexistait pas tout en existant. Comme si le bonheur était une drogue qui donne une raison de vivre par boucle schématique. Je trouve ça alarmant, mais cest tellement Jaime bien, je me dis que tous les matins avec espoir, ce jour sera peut-être meilleur que le précédent.
Il arrêta la discussion. Il en avait beaucoup dit en une soirée. Mais un sentiment de légèreté se fit sentir en lui. Il était soulagé de sêtre confié. Davoir évacué ces poids tous plus lourds les uns que les autres. Il la prit par le bras et lemmena faire quelques pas de danse dans les jardins de Louvières, sous un soleil levant en haut et entourée dune rosée matinale. Rires se faisaient entendre. Le spectacle était fort agréable.
Happy end au petit-déjeuner Louvièriens. Dans le calme et le bien-être, loin des tourments de la vie Berruyère Qui leut cru ?
_________________
*Attend désespérément son blason...*
Il la regarda. Le silence avait été de mise pendant quelques instants. Elle napprouvait pas, elle ne désapprouvait pas, elle némettait aucun jugement. Elle restait neutre. Nathan sourit et lui répondit :
-Cest arrivé soudainement, je ne sais comment lexpliquer, cest juste arrivé et ça ma plu. Je nétais pas au courant que je pouvais avoir ce genre de sentiment pour un homme. Pendant de nombreuses années jai enchainé les conquêtes féminines, bourgeoises, baronnes, duchesses, beaucoup de femme ont passé dans ma vie. Et, il est arrivé. Ce fut comme une apparition. La situation ne sy prêtait pourtant pas Il me regardait, je le regardais Puis il navait rien à dire, on savait tout deux.
Il nallait pas dire quauparavant il lui avait collé une droite monumentale. Il nallait pas lui dire non plus que juste après un échange de baisers ils ont tué un valet. Il ne fallait pas tout confier dun seul coup. Il fallait entretenir le mystère pour garder une quelconque relation, amicale, sentimentale, épistolaire ou amoureuse pérenne. Ça Nathan savait le faire sans aucun souci.
-Je continue Il est certes la cause de bien de mes malheurs, mais il est aussi la cause de bien de mes bonheurs. On dit quil faut souffrir pour être beau, moi je dis quil faut souffrir pour être heureux. Car on a besoin de frustration, de tristesse, de malheur pour pouvoir être de nouveau heureux. Cest un peu comme si, le bonheur nexistait pas tout en existant. Comme si le bonheur était une drogue qui donne une raison de vivre par boucle schématique. Je trouve ça alarmant, mais cest tellement Jaime bien, je me dis que tous les matins avec espoir, ce jour sera peut-être meilleur que le précédent.
Il arrêta la discussion. Il en avait beaucoup dit en une soirée. Mais un sentiment de légèreté se fit sentir en lui. Il était soulagé de sêtre confié. Davoir évacué ces poids tous plus lourds les uns que les autres. Il la prit par le bras et lemmena faire quelques pas de danse dans les jardins de Louvières, sous un soleil levant en haut et entourée dune rosée matinale. Rires se faisaient entendre. Le spectacle était fort agréable.
Happy end au petit-déjeuner Louvièriens. Dans le calme et le bien-être, loin des tourments de la vie Berruyère Qui leut cru ?
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*Attend désespérément son blason...*