Nathan
« Aidez-moi ! Lennemi va menvahir ! » Nathan un drogué pas comme les autres.
Il avait bondit ! Oui, bondit lors de la lecture de la lettre de sa filleule. Elle lui annonçait quelle allait venir prochainement accompagnée de son père. Bien évidemment, Nathan ne disait pas non quelle vienne lui rendre visite. Il ne disait pas non de la loger, nourrir, blanchir, vêtir, amuser, instruire et plus si affinités. Même sils avaient déjà de nombreux points communs. La mode, ça fabrique des liens ! Bref, jusque-là, ça allait ! Nathan avait bondit. Pourquoi ? Juste Euzen qui accompagnait sa fille chez lui. Et ça, ça ne passait pas du tout !
Plume en main, crise post-adolescente passée, il prit la plume et senferma dans son bureau. Ça faisait un peu mise en scène, mais les clichés cest pas mal aussi ! Il avait besoin de renfort, il devait appeler la cavalerie, quelquun qui le comprenait. Cette personne ne fut autre quAude ! Confidente du blondinet elle serait assurément une alliée de taille !
Il avait bondit ! Oui, bondit lors de la lecture de la lettre de sa filleule. Elle lui annonçait quelle allait venir prochainement accompagnée de son père. Bien évidemment, Nathan ne disait pas non quelle vienne lui rendre visite. Il ne disait pas non de la loger, nourrir, blanchir, vêtir, amuser, instruire et plus si affinités. Même sils avaient déjà de nombreux points communs. La mode, ça fabrique des liens ! Bref, jusque-là, ça allait ! Nathan avait bondit. Pourquoi ? Juste Euzen qui accompagnait sa fille chez lui. Et ça, ça ne passait pas du tout !
Plume en main, crise post-adolescente passée, il prit la plume et senferma dans son bureau. Ça faisait un peu mise en scène, mais les clichés cest pas mal aussi ! Il avait besoin de renfort, il devait appeler la cavalerie, quelquun qui le comprenait. Cette personne ne fut autre quAude ! Confidente du blondinet elle serait assurément une alliée de taille !
Citation:
Hôtel Particulier des Louvières,
A vous mon chou,
Très chère Aude,
Je me meurs ! Je vais mourir ! Je vais trépasser ! Une affreuse nouvelle vient de mêtre faite parvenue. Jai appris que de la visite en provenance de Limoges allait arriver sous peu à Louvières. Vous savez que dhabitude, je ne refuse pas et joffre mon hospitalité sans aucun problème. Le souci est que, je suis prêt à le donner à une personne mais pas à lautre. Mais les deux ne vont pas lun sen lautre. Vous comprenez un peu le problème ?
Jai appris, que ma filleule, Eloan, allait venir me rendre visite à Bourges. Cest avec un immense plaisir que je laccueille chez moi. Elle a tout comme nous le goût pour le raffinement, assurément, je sais davance, quelle passera un merveilleux séjour en mon hôtel.
Mais, par ailleurs, elle ma fait part du fait, quEuzen, allait se joindre à elle. Voyez-vous, je ne suis pas prêt. Je ne suis pas prêt de le revoir, de lui pardonner, de laccepter chez moi. Même sil est le père de ma filleule. Jouvre facilement les portes, mais je les fermes aussi bien.
Cest pour cela, que jimplore votre aide ! Il ne me sera pas facile de le faire partir. Je vais avoir besoin dune alliée de taille, qui me connait bien et qui saura maider à résister à lenvahisseur. Cest pour cela, que je vous invite à Louvières.
Je vous prie de bien vouloir accepter mon appel à laide et de partir avec cette troupe dès que possible. Si Euzen voit un inconvénient, dites-lui, que je vous invite. Il na pas autorité sur cela. Il na dailleurs aucune autorité en Berry.
Veuillez croire en mes sentiments les plus affectueux,
Votre ami,
Nathan Sidjéno dAmbroise
A vous mon chou,
Très chère Aude,
Je me meurs ! Je vais mourir ! Je vais trépasser ! Une affreuse nouvelle vient de mêtre faite parvenue. Jai appris que de la visite en provenance de Limoges allait arriver sous peu à Louvières. Vous savez que dhabitude, je ne refuse pas et joffre mon hospitalité sans aucun problème. Le souci est que, je suis prêt à le donner à une personne mais pas à lautre. Mais les deux ne vont pas lun sen lautre. Vous comprenez un peu le problème ?
Jai appris, que ma filleule, Eloan, allait venir me rendre visite à Bourges. Cest avec un immense plaisir que je laccueille chez moi. Elle a tout comme nous le goût pour le raffinement, assurément, je sais davance, quelle passera un merveilleux séjour en mon hôtel.
Mais, par ailleurs, elle ma fait part du fait, quEuzen, allait se joindre à elle. Voyez-vous, je ne suis pas prêt. Je ne suis pas prêt de le revoir, de lui pardonner, de laccepter chez moi. Même sil est le père de ma filleule. Jouvre facilement les portes, mais je les fermes aussi bien.
Cest pour cela, que jimplore votre aide ! Il ne me sera pas facile de le faire partir. Je vais avoir besoin dune alliée de taille, qui me connait bien et qui saura maider à résister à lenvahisseur. Cest pour cela, que je vous invite à Louvières.
Je vous prie de bien vouloir accepter mon appel à laide et de partir avec cette troupe dès que possible. Si Euzen voit un inconvénient, dites-lui, que je vous invite. Il na pas autorité sur cela. Il na dailleurs aucune autorité en Berry.
Veuillez croire en mes sentiments les plus affectueux,
Votre ami,
Nathan Sidjéno dAmbroise
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*Attend désespérément son blason...*