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[Rp] Chapitre IV

Leglejeunedicesarini


[dans les terres, et l'ancienne demeure des DiCésarini]

Leg et la petite troupe qui l'accompagnait , était donc arrivé a la bâtisse qui avait autrefois abriter les aïeux d'Asphodelle, d'Orcus et de Leg . Berceau de la famille, qui depuis était tombé plus ou moins dans l'oublie, et que le parchemin de Caleb avait remis au goût du jour , si je puis dire.

Leg se tenait au milieu de la pièce principale de la maison ou la poussière , et in certains nombre de bestioles avaient élues domicile.... araignées, musaraignes, mulots, et même vers le coin de la fenêtre , un essaim d'abeilles sauvage , mais qui semblait avoir été abandonné depuis un certain temps. Le soleil perçait le toit de chaume, qui par endroit faisait par des trouées, comme des lueurs irréelles, dans lesquelles , les rayons jouaient avec les poussières , espece de neige de printemps , qui se baladait au gré de la brise qui venait de par la porte brisée, et des fenêtres disloquées.

Pour avancer dans ce fatras , il fallait enjamber divers restes de meubles, seau éclaté, avec le bois a moitié pourri, laissant parti du cerclage en fer libre d'attache, bouts de tissus , voir ustensiles de cuisine encore accrochés a leur place , a coté de la cheminée, ou il y avait , encore reste de cendre, et magnifique toile d'araignée.

Leg prit un grande inspiration et souffla , regardant ses compagnons.


" Et bien de pense que nous allons essayer de procéder par ordre, bien que .... Verlan et André, vous irez dans la grange, , Aspho, Orcus s'occuperont de la maison , Clootaire et Charles s'ils sont d'accord iront fouiller la remise attenante . Pour ma part , je vais m'occuper du moulin ."


Ainsi chacun sachant ou il devait procéder , la fouille a la recherche de l'indice donné par Caleb dans son parchemin était maintenant vraiment lancée.

Leg sortit de la bâtisse principale, et se dirigea vers le moulin , ou il entra .

Avec respect il contempla l'édifice . Sa gorge se noua, essayant d'imager ses ancêtres a la tache dans ce lieu a moitié effondré.

Leg pensa que pendant des années voir des dizaines d'années, sa famille ,subsista comme une grande majorité d'insulaire grâce à la farine de châtaignes qu'ils produisaient en ces nombreux moulins qui tombent en ruines au fond des vallons corses et s'écroulent dans la rivière où les meuniers d'hier trouvaient l'énergie, la force motrice nécessaire pour mouvoir les meules grâce auxquelles, broyant et écrasant le fruit de l'arbre emblématique de cette terre, souvent tourmentée et pauvre,le châtaignier, dont la châtaigne était dispensée généreusement même aux plus démunis, à condition de se donner la peine d'en faire la récolte et d'en produire la farine que la ménagère transformait en pain quotidien.

La rivière était toujours la , et Leg l’entendait chanter en une musique joyeuse .... Le bruit de l'eau qui glisse le long de son lit avait toujours eut un effet relaxant pour le jeune duc .

Il soupira et se mit a entreprendre ses recherches , essayant de deviner ou son cousin Caleb aurait pu mettre son indice ....

Il commença par mettre ses gants, non pas par peur de les salir, mais pour éviter de se faire arracher la peau par les ronces qui foisonnaient ou bien alors de se faire mordre par une bestiole aux dents acérées, ou même piqué par un insectes , ou tomber sur une charmante "malmignatta" petite araignée pas sympathique qui si elle te mord te mes sur le flanc pendant plusieurs jours!!!

Donc avec précaution , Leg entreprit de faire le tour du moulin , en long en large et en travers ....

Mais après avoir "visité" les endroits les plus propices a servir de cachette, Leg se rendit a l'évidence que son cousin Caleb n'avait point mis de "trésor" en ce lieu.

Déçu, et secouant la tête, il retourna vers la demeure principale.

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Duc de Bresse, Duc de Suse, Vicomte de Grand Corrent,Seigneur de Velaines, Grand Maistre de l'Ordre du Génépi
Asphodelle
Dans la demeure principale, il n'y avait pas de rivière mais une fontaine.

Asphodelle, mûe par l'émotion, retrouvait la terre de son père, de son grand-père et arrière-grand-père sans doute.
Elle retrouvait un lien qu'Ujio avait brisé en abandonnant sa mère et sa sorcellerie. Elle payait le prix de sa bâtardise chaque jour et le fruit du manque chaque heure.

Si elle cherchait Caleb, c'était pour lui faire payer de l'avoir laissée à son tour.

Au milieu de la pièce, ses lèvres tremblèrent, sa vue se brouilla, et elle fondit en larmes.
Pour chercher, c'était pas très facile de farfouiller en hoquetant de pleurs incohérents...


Désolée, retraite forcée jusqu'à vendredi soir, je ne suis pas chez moi pendant ce laps de temps. Bisous...pour le coup des larmes brodez...j'arrive répondre ^^

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Clootaire


Après une marche difficile pour Clootaire qui n'avait plus l'habitude de marcher que dans son castel ducal, il s'arrête devant une maison.
Certainement la fameuse maison du domaine.

Il laisse ses compagnons avancer devant lui par crainte puis leg prit la parole.


" Et bien de pense que nous allons essayer de procéder par ordre, bien que .... Verlan et André, vous irez dans la grange, , Aspho, Orcus s'occuperont de la maison , Clootaire et Charles s'ils sont d'accord iront fouiller la remise attenante . Pour ma part , je vais m'occuper du moulin ."

- Nous sommes d'accord pour fouiller la remise, d'ailleurs charles aime tellement cela qu'il passera devant moi.

Il sourit vers son ami puis essaye de se diriger tant bien que mal vers cette remise.
Zeiss
Lorsque le pigeon était reparti avec une réponse,Zeiss avait déjà réunis de quoi faire le voyage et était parti comme une flèche avec Néron.Il avait fallu faire vite,il ne pouvait se permettre d'être en retard.
Alors que le Cavalier,accoudé sur le bord du navire,y repensé,il se dit qu'il avait tout de même accepté un peu vite.Mais c'était sa jeune soeur,il ne pouvait rien lui refuser,pas même d'aller en Corse,pour ensuite voyager plus loin encore.Surtout quand le périple semblait enclin à être périlleux.
C'est donc sans aucune hésitation que sur la demande d'Elektra,il avait chevauché jusque Marseille afin d'y prendre le premier bateau marchand faisant office de navette jusqu'en Corse.Une expédition dont l'homme n'avait pas retenu tout les détails,mais qu'importe,ils avaient besoin d'épées,ils en auraient une de choix.

Lorsque le vaisseau accosta,Zeiss prit Néron par la bride et mit le pied en Corse pour la première fois.Il faisait terriblement chaud,son mantel ainsi que les quelques pièces d'armure qu'il portait étaient sur le dos de sa monture.Lui,n'avait que sa chemise,ses braies et ses bottes.

L'homme se mit donc à parcourir les quais,espérant trouver le bon bateau,mais ils étaient tous semblables.Comment trouver le bon?Et bien,facile: c'est celui avec Elektra qui recrute dessus.
Zeiss se permit de grimper sur le pont et s'avança,son destrier à la main.


Moi dame,je suis volontaire.Dit-il à sa soeur.Il attendit qu'elle lève la tête vers lui et poursuivit.On embrasse pas son frère?Ce serait la moindre des choses,vu le voyage que je viens de faire pour toi.

Puis,il se tourna vers Sepa,qu'il ne s'attendait pas vraiment à voir là.

Tiens,Sepa,je ne pensais pas recroiser votre route aussi vite.Comment allez-vous?
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Elektra.
Décidément ! Les évènements s'enchainaient à une vitesse fulgurante. Cette petite escapade qui avait débuté comme une simple escorte de sa suzeraine, se transformait en une véritable expédition, voir en conquête de territoire inconnu. L'aventure était là et ne demandait plus qu'à être vécue.

Et pour passer les jours qui se suivaient inlassablement, et aussi parce que sinon elle se serait faite taper sur les doigts en rentrant, Elektra ne manquait pas d'écrire à sa famille en empire. Cousin, cousine, mais aussi et surtout frère ainé, qui suivait depuis le début et de façon épistolaire les aléas du voyage de sa cadette.
Mais voila, les choses prenant de l'ampleur, la jeune femme avait fini par lui demander si Épinal le retenait si fortement, ou bien si il y avait une chance qu'il puisse se joindre à eux pour continuer leur périple.
La réponse n'était pas encore arrivée mais ...


Moi dame,je suis volontaire.

Les boucles blondes s'envolèrent et les émeraudes scintillèrent en voyant la haute stature devant elle. Un large sourire fendit son visage alors qu'elle se relevait, lui répondant par une moquerie.

Hum ... Nous recherchons des archers, vous n'avez guère l'air agile pour cette activité ...

Puis finalement, elle laissa son naturel prendre le dessus et se jeta à son cou pour l'embrasser sur les deux joues.

Je suis heureuse de te voir, et surtout de t'avoir à nos cotés. Tu as fait tres vite, je n'ai même pas eu ta réponse encore ... J'avais peur que l'on ne leve l'ancre sans toi.

Le laissant discuter avec le vicomte, le chevalier reprit sa place, faisant signe à son frère de libérer la file d'attente.

Tu trouveras de la place pour ta monture, en fond de cale, mais je serai toi, j'attendrai le dernier moment vu le caractère de Néron.

Puis elle continua d'enrôler les jeunes paysans et vagabonds du coin. *Encore une petite poignée, se dit elle, et nous serons complets.*
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Grand Maitre de l'ODL , Chevalier Imperial de Colmar
Charles_de_raveline


Finalement, Charles n'avait pu rester au quai, et avait du se dépêcher d'envoyer une bonne dizaine de courriers à des contacts sûrs, pour avoir rapidement les denrées qu'il demandait. Pour la rapidité, il devrait payer un peu plus, mais les prix de vente monterait en conséquence! Ils n'auraient pas d'autres choix que celui-là. Le jeune bourgeois ne diminuerait pas ses prix pour des amis à Clootaire.

Et donc, il avait fallut suivre le petit convoi. Bien évidemment, il n'y avait pas de chevaux. Enfin, il y en avait probablement sur l'île mais eux n'en avait pas emmené. Et le noble n'avait pas l'intention de perdre du temps à en trouver. Charles avait alors jeté des regards désespérés autour de lui, dans l'espoir de trouver un quelconque canasson qui lui aurait évité une marche forcé. Manque de chance, il n'y en avait pas! Pas même un baudet! La marche forcée devint vite la seule possibilité, qui ne mettait pas de bonne humeur le jeune homme. Il avait alors à ses pieds, des bottes avec une semelle fine pour l'équitation, pour tenir parfaitement dans des étriers. Il les avait choisit pour le bateau, car elles se pliaient aussi très bien à cet environnement. Il avait bien une autre paire de botte mais dans le bateau, bien enfermée dans un ballot de toile! Ou dans un coffre peut-être... et comme tous ces nobles avaient l'air pressé, même avec l'aide de ses serviteurs, il n'avait pu les dénicher à temps...

Alors mauvaise humeur... c'était bien peu dire lorsqu'ils furent arrivé à la demeure de destination. Il se laissa tomber à terre sur un coin d'herbe, pour laisser reposer ses pieds endoloris. Il commençait d'ailleurs à retirer ses bottes d'équitation, pleine de terre lorsque ce n'était pas de la poussière. Mais on ne voulait pas lui accorder cet instant de répit. Déjà Clootaire, en écho au nobliaux auquel il n'avait encore jamais adressé la parole, lui demandait de commencer à fouiller une remise. Au vue de l'état du bâtiment, il doutait qu'ils n'y trouvent autre chose que des rats et des détritus.


Mais bien sûr mon ami, une fois que tu m'aurais dégoté une bouteille de vin d'Anjou année 1437, du rouge bien évidemment. Sans oublier que ce nectar doit être frais. Ainsi qu'un carrosse pour le retour. Et là je ferais tout ce que tu veux. Pour le moment, je suis bien ici.

Il esquissa un petit sourire et commença à masser l'un de ses pieds meurtris.

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Clootaire


Mais bien sûr mon ami, une fois que tu m'aurais dégoté une bouteille de vin d'Anjou année 1437, du rouge bien évidemment. Sans oublier que ce nectar doit être frais. Ainsi qu'un carrosse pour le retour. Et là je ferais tout ce que tu veux. Pour le moment, je suis bien ici.


Clootaire sourit amusé la réponse de son ami qui était déplacée.

Hum.. 1437 n'est pas une bonne année, je te fournirai une de 1460, c'est mieux, dans le prix, je te la ferai déguster dans un magnifique donjon au calme, là ou tu pourra te reposer.

Il sourit amusé de cette menace puis reprit la parole en chuchotant.

Allez trêve de plaisanterie, si tu trouve quelque chose d'intéressant, tu pourra le garder pour toi et on ne dira rien.

Il espère que les propos tenus feront réagir le jeune homme.

Et dans le pire des cas si tu ne trouve rien, je n’hésiterai pas à te trouver une catin.
Alors enlève moi cette main de ton organe odorant et lève toi de suite car tu vas salir tes vêtements.


Est-ce un nouvelle argument pour faire réagir le jeune homme.

Bon, ce n'est pas pour te mettre la pression mais moi je rentre et si je trouve quelque chose d’intéressant je le garde.

Puis il rentre dans la pièce en ouvrant difficilement la porte puis pousse un crie d'admiration pour attirer son ami dans le piège afin de partager les fouilles.
Charles_de_raveline


Charles ne se laissa pas décontenancé dans un premier temps. Il continuait de masser ses petits pieds écoutant les propos de Clootaire, et lui répondant au tac-au-tac.

Mon ami, la mirabelle vous a fait perdre le goût des bonnes choses. Quant aux menaces, le plus dur ne sera pas de trouver un donjon calme, mais de trouver des soldats qui accepteraient de me supporter.

Montrant qu'il n'avait pas l'intention de changer d'avis, il défit sa seconde botte et commença à s'attaquer au massage du second pied. Or, il ne pouvait pas vraiment être tranquille, Clootaire voulait vraiment que Charles l'accompagne, et il en cherchait des arguments! Au moins, cela faisait un peu de distraction au bourgeois.

Franchement, tu penses que l'on trouvera quelque chose ici? Cela ressemble plus à un débarras qu'à une remise.

Et Charles continuait son petit massage, n'en démordant pas. Cela faisait du bien tout de même, après cette marche forcée et après avoir senti les cailloux, les plats les gros, les pointus, les ronds... etc... lui rentrer dans le pied.

Si tu continues comme ça je vais me poser des questions sur la raison pour laquelle tu veux que je vienne absolument dans cette remise. Quant à mes vêtements, au points où ils en sont maintenant.

Il lâcha tout de même son pied pour épousseter légèrement les tissus. S'ils n'avaient pas eu de chevaux, cela n'avait pas été le cas de tout le monde. La poussière s'était en conséquence accrochés aux différents vêtements des marcheurs.

Et peut-être n'aurait-il pas bouger, même après la dernière remarque s'il n'avait pas entendu le cri. Mais que ce soit la convoitise ou la curiosité, d'un geste souple, il revint sur ses deux pieds. Les bottes ne furent pas remises et il du avancer d'un pas le plus léger possible vers l'entrée. Cela n'empêchait pourtant pas le pas d'être rapide, et en quelques instants, il se retrouva à l'intérieur. La lumière était faible et à peine diffusée par les quelques ouvertures. Et...

Et rien... C'était tout. Clootaire avait simulé son cri. Charles s'était fait avoir comme un bleu. A première vue, il n'y avait rien de remarquable qui méritait un tel excès de joie.


Ah c'est malin ça, j'espère que tu es content? Bon faut qu'on cherche quoi? Parce que franchement, on a aucune indication de ce qu'on doit trouvé.

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Helene.blackney
    [Bienvenu chez les corses]

    Citation:
    Vous aimez l'aventure?


    Cette phrase avait raisonné dans ma tête depuis qu'il me l'avait demandé. Aucun doute sur mon goût prononcé pour toutes les aventures. Petite, je chassais le dragon au Mont St Michel, me hissant jusqu'au sommet pour le repérer. J'avais traversé des sables mouvants pour le rejoindre.
    L'aventure était dans mon sang sans aucun doute.
    Malgré ce fait certain, j'étais devenue mère et la séparation avec mon enfant était un vrai calvaire. Je le voyais grandir avec joie et satisfaction. Mère seule, il n'avait que ma personne pour survivre. Heureusement, je pouvais compter sur mes amies pour veiller sur lui. L'aventure allait donc commencer pour moi, avec le remord de l'avoir laissé. Plus tard, je le payerais.
    Le Vicomte m'avait indiqué de le rejoindre sur un bateau, boudiou, un bateau...Foi de Blackney, je devais avoir les tripes bien accrochées. La route avait été rude et ma vieille blessure de jeunesse me lançait. On ne sait par quel miracle de Saint Michel mais j'arrivais à destination pour rejoindre Sepa. Pourquoi m'avait il demandé spontanément si j'appréciais l'aventure? Avait il vu que je ne pouvais rester en place? Affirmatif.
    Le pied tremblant je posais ma personne sur le navire, avec déjà l'envie de retourner fissa fissa chez moi.


    - Excusez moi où est le Vicomte Von Strass?

    Ronchonnement de circonstance, il m'indiqua de l'index ma destination. Peu de pas à faire, je me retrouvais aux ordres du vicomte.

    - Misenhor, Hélène Blackney Guérande, présente! A vos ordres

    C'est ainsi que j'embarquais et que le bateau se mis en route.

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Zeiss
Curieusement,sa blonde de soeur avait l'air surprise de le voir.Certainement parce qu'en fait,elle n'avait pas encore reçu le pigeon censé lui laisser le message répondant par l'affirmative.Il embrassa sa soeur qui avait quitté momentanément son tonneau et lui répondit.

Eh bien,il a peut-être un sale caractère,mais il semblerai que Néron porte les gens à destination plus vite que le pigeon n'annonce son arrivée.Parfois,je me dis que cet étalon est une engeance du Sans Nom.Sombre robe,sale caractère,mais endurant et rapide.

Enfin,je suis là et le navire aussi.Je craignais moi aussi de manquer le départ.

Zeiss s'écarta du passage et amena Néron dans les profondeurs du vaisseau,en fond de cale.

Bah,ça ira,je resterai un moment avec lui de toute façon.A tout à l'heure sur le pont.Lança-t-il avant de disparaître avec son destrier.
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Andre_le_garde




Bon faut suive les ordres du duc ...t'a ouvert tes esgourdes Verlan? fait André en reniflant fort , en se grattant le fondement .

Nota : Un bon bain serait le bienvenu, mais , le garde n'aime pas trop l'eau ! encore la boire passe , quant il n'y a pas d'autre boisson alcoolisé, mais se baigner ! Pouah un truc a choper des maladies pas bonnes pour la santé.

Donc André les yeux ouverts comme de soucoupes a lait pour chats , commence a fouiller les lieux.

Il y va de bon coeur , soulevant une solive par -ci, déplaçant une pierre par la .

Si son duc lui a dit de chercher , c'est que y'a quelque chose a trouver ... Si c'est une cassette pleine d'écus d'or ..... a cette pensée, André regarde d'un oeil méfiant Verlan par dessus son épaule , André vérifie que sa poche de ses braies ne sont pas trouées, car il pourra en glisser une bonne partie .


donc une cassette , cela doit être une cassette ... et le Verlan qui fouille du bout de ses chausses , il risque pas de trouver quelque chose lui .

Verlan justement le regarde d'un air . André se courbe un peu et lui sourit " faussement" , puis reprend de plus belle ses recherches, étant sur que le duc cherche un trésor, ne pensant point que celui-ci n'a pas besoin d'une cassette d'écus de plus ou de moins vu la richesse des DiCésarini. Mais bon pas futé de la calebonde le garde .

Il a chaud , il sue , il pue , il ...bref André apres une bonne heure de recherche commence a en avoir marre , et va s'assoir sur un madrier sortant du mur, qui sous son poids s'écroule , et t'envoie l'André valdinguer dans masse d'orties qui cache un trou.... non pas un trou , mais une espèce de cave .

D'abord les orties , puis ensuite une descente en roulé boulé de 3 a 4 marches... l’André s’énerve :


" AYEUUUU . Verlan , diantre de merde couilles , j'suis dans l' trou .... le sans nom m'en veut. "


Et de se relever et de se cogner la tête vu que le soubassement de la cave est assez ...bas

"Fan d'fils de joie . Tudieu de bordel....Verlan j'vois rien amene ton derche et une torche" Gueule de garde

En attendant Verlan , André se frotte la tête et essaie de voir dans la
pénombre.....Avance et se cogne les arpions dans une barrique ...


" Ayeuuu !! bon j'frons mieux d'voir que l'Verlan vient avec sa torche." dit André en s’assoyant sur la barrique, retirant sa chausse et se frottant le gros pouce , celui qui fit rencontre avec la barrique.

Et justement le Verlan arrive précautionneusement avec une torche allumé , qu'il tend au garde , ne voulant point aller plus avant dans la cavité.

André s'en saisit, et regarde autour. Il voit une rangée de barrique , il se penche pour prendre une pierre et voir si elles sont vides ou pleine.... et dessous la pierre, une sacoche .... une sacoche en cuir .


" Alors " Fait Verlan ..... " tu trouve quelque chose ?"


" Nan rien de rien ....
répond André, qui a toute vitesse fourre la sacoche sous sa chemise qu'il referme vaille que vaille...

Il ressort en se courbant , le regard brillant mais fuyant , tout respire le sournois dans l'attitude d'André , et Verlan connaissant bien le bonhomme , le chope au collet


" Donne

" Hein quoi ? donne quoi ? j'avions ren j'te l'avions dit
" Donne .... dit de nouveau l'Intendant Je ne dirai rien au maitre , et force moi pas a te fouiller , je risquerai d'attraper quelque chose

Mais le regard de Verlan est sombre et le vieil homme sort a moitié sa dague en un geste menaçant .

André le regarde , puis baisse les yeux , en sortant la sacoche de sous sa chemise.

Verlan s'en saisit brusquement ...


"pourrions s'partager .... le duc etions pas pret d'ses sous"

Mais au vu de l'attitude de l'Intendant, André capitule et en ronchonnant et maugréant, passe devant Verlan pour rejoindre le duc.

Verlan le suit , les deux hommes reviennent dans la demeure principale ou Leg , Aspho et Orcus sont debout , l'air abattu et découragé .

" Mon duc ... André a trouvé cette sacoche en cuir. Je pense que c'est ce que tu voulais trouver.


Leg regarde tour a tour Verlan , André , puis la sacoche en cuir que lui tend le vieil homme. Il s'en saisit et l'ouvre .

André gémit et se dandine . A cause de Verlan il passe a coté d'un trésor il en est persuadé.
Sepa
Sepa était fort surpris de voir tout ce monde de l’Empire en ces lieux, enfin chacun faisait bon ce qui lui semblait. Il écouta alors les paroles d’Elektra puis répondit. Sepa connaissait très bien ce que voulait dire la recherche d’ancêtre ou membre de la famille, il n’avait pas eu cette chance de les voir mais un long récit assez vague en disait une bonne partie.

Je vais très bien, je suis venue m’aérer l’esprit sur cette contrée. La défense de mes terres est assuré donc autant en profité et changer d’air.

Le Vicomte réfléchit un instant puis reprit

N’y aurait-il pas de la place pour mes hommes et moi pour vous aider dans cette recherche. J’ai ce qu’il faut pour subvenir à mes devoirs en Lorraine. Nous saurons défendre vos arrières en cas de besoin. Où devez-vous vous rendre ?

Zeiss se joint à la conversation, le Von Strass le salua d’un signe de la tête et écouta.


Comme dis déjà à votre Sœur, je vais très bien. Beaucoup moins de soucis sans avoir de fonction et vous même?


Sepa fût ensuite rejoins par la fille de son parrain.


Bienvenue à toi Hélène, une aventure va sans doute nous attendre.
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Alinoe_de_chenot
- Il fait bien chaud, mon amour ! Et dire qu'il faisait trop froid pour moi, il n'y a pas si longtemps ! Il se dépêche ce cocher ?

Bien Alinoë ne cessait de râler. Trop chaud. Elle avait soif. Ses pieds lui faisaient mal. Yrvis stoïque ne pipait mot, il se contentait de lui sourire ou de lui serrer la main et souvent les deux à la fois sans compter les bisous échangés.
Yrvis qui était un bavard impénitent, préférait s'abstenir d'alimenter la mauvaise humeur de sa femme, mauvaise humeur ? pas vraiment disons qu'elle était soupe au lait et que son humeur variait en un éclair.

Le cocher roulait doucement, on était pas pressé et il faisait chaud, derrière le coche, suivaient deux carrioles remplies de victuailles pour le bateau, l'escorte des ducs et un jeune valet qui tirait un âne qui portait l'armure de la duchesse.

Quoique l'intendant ai eu ses ordres et ait été faire les courses pour le réapprovisionnement, Alinoë avait réussi à entraîner son époux dans les boutiques. Elle ne faisait quasiment jamais les boutiques, les tisseurs, et autre commerçant se déplaçaient dans ses châteaux et les gouvernantes et intendants remplissaient les garde-manger.
La duchesse s'était donc bien amusée à choisir dans les boutiques.

le coche arriva enfin au bateau, la ville n'était pas bien grande pourtant.


- Yrvis ! Regarde ! Il y a beaucoup de monde sur le pont. Pourtant le camps n'est pas encore levé. Se pourrait-il que Elektra ait tant de soldats pour son recrutement ? Allons voir ça vite !

Quand ils arrivèrent sur le pont, Alinoèe vit Elektra en grande conversation avec des hommes. Ils faisaient partis de la noblesse, visiblement. La duchesse s'approcha

- Bonjour messires, Elektra...

Puis elle reconnut le vicomte Sepa

- Vicomte ? Quel heureux hasard ont mené vos pas ici ? Le monde est petit n'est-ce pas ?

Elle lui tendit la main.
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Clootaire


Il sourit lorsqu'il vit que son ami entrer dans la pièce.

Hum.. Tu es un rapide dis donc, est-ce le cri d’intéressement ou d’entraide qui ta fait venir aussi vite ?

Il prit son inspiration.

Bon et bien on doit chercher un objet qui pourrait rappeler ou donner un indice sur la famille de ce bon vieux leg.
Je propose donc de fouiller, comme cela si il y a quelque chose, je le mets dans ma poche.


Dit-il pour faire intéresser son ami dans les recherches.
.massou
[Dans le camp de Chenot, avant le retour au bateau]





Massou, une fois le soldat partit, se remis à la finissions du médicament qu'il préparait avant d'être interrompu et c'est seulement quand il était en train de doser qu'il jura. Bon sang, j'ai oublié de lui préciser que c'est trois gouttes avant de passer à l'action et de reprendre trois goutte en cas de faiblesse, faut pas qu'il vide la fiole.....

Il était trop tard maintenant pour rattraper le soldat qui était parti prestement vers son rendez-vous. De toute façon, cela ne va pas le tuer


[Le lendemain soir, avant de retourner au bateau]

Le nubien était en train de finir ses bagages, le départ était annoncé pour l'heure qui suivait afin de retourner au bateau pour....Il ne le savait pas, retourner en Savoie ou continuer ailleurs, il n'en avait aucune idée, de toute façon, cela lui importait peu, il était là pour suivre et soigner.

Il était en train de porter sa malle d'ustensiles quand le soldat de la veille entre en trombe, portant son bouclier devant lui, contre son corps.


Quoi toi vouloi' ? toi vouloi' veni' te batt'e avec moi avec ton bouclier?


Mon bouclier? Non, ce n'est pas pour me battre, c'est plutôt un paravent pour la décence quand je me déplace...


Toi avoi' passé une bonne nuit avec les t'ois femmes?

Massou sachant que le soldat n'avait pas de volonté belliqueuse, lui avait coupé la parole, pour savoir si sa potion revitalisante avait bien fonctionné, car il n'avait jamais eu encore l'occasion de la tester et se demandait si les plantes qui avaient des vertus similaires à celle de chez lui était concluantes.

Si seulement, cela n'avait duré que la nuit!

Ta potion est apocalyptique, je les ai laissée à bout de force et elles ont finit par me chasser, repues qu'elles étaient et moi toujours prêt continuer, mon colosse, toujours en train de regarder les étoiles.
Je les ai quittée et je suis allé en taverne ou j'ai contenté je ne sais combien de soubrette sans que ma vigueur ne faiblisse.

Alors oui, ta potion fonctionne, elle fonctionne même trop bien, regarde dans quel état je suis depuis hier soir...


Le soldat écarta le bouclier de son corps, laissant entrevoir ses braies tendues comme un chapiteau entre ses jambes. Indécent à l’extrême, ou devanture attractive et excitant la convoitise, cela dépendait de qui regardait. Massou ouvrit de grand yeux en voyant le résultat de sa potion...La vache.... et il se dirigea vers ss malle à potion, après avoir déposé la malle qu'il portait, alors que le propriétaire du chapiteau se cachait derrière son bouclier.

J'en peux plus, j'ai beau combler moult femmes, cela ne faiblit pas et c'est devenu terriblement douloureux à force de l'avoir utilisé. J'ai mis un pain de glace dans mes braies, sans résultat, à part être mouillé comme si j'étais incontinent...

Et c'est pas le pire, dans une heure on rejoint le bateau, imagine que le capitaine Elektra fasse une inspection avant que l'on monte sur le navire. Je suis toujours en première ligne à cause de mon ancienneté..... Pour être au garde à vous, je vais bien l'être...de partout même.

Imagine sa tête, je vais perdre la mienne oui. Faut que tu fasse quelque chose, je ne peux pas rester ainsi!!!!!


Le grand noir, se retourna, tenant un couteau dans sa main.

Moi pas avoi' médicament pou' calmer toi, moi devoi' couper... Il se mit à rire bruyamment en voyant la figure devenue très pâle du soldat, Non, toi pas avoi' peu', pas besoin fai'e toi deveni' boeuf, moi avoi' solution, tient toi manger ces feuilles et toi vite plus êt'e vi'il.

Le soldat engloutit rapidement les feuille en les mâchant, malgré leur goût et parti aussitôt sans un mot, pour plier le cantonnement afin de rejoindre le bateau.

Pourvu que cela marche...Pourvu que cela marche...avant de retrouver le capitaine Elektra et tout les nobles....
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