--Dacien2
Pas de bonne humeur ce soir là. Dacien navait pas envie de faire attraction juste pour le plaisir des yeux et encore moins seulement acte de présence. Mais voilà, le patron était le patron. Alphonse avait fermé lAphrodite pour cette nuit-là à la demande dun client qui venait de se marier. Quest-ce que cétait que ce bordel
Le marié avait peur que sa nouvelle femme ne lui donne point satisfaction? Pour cela, le personnage poussait la jeune épouse dans les bras de lArrogant. Pauvre garçon, il ne se doutait pas de ce quil risquait
Mais .Oui, pour cette soirée là, il y avait un mais. Le Flamand avait prévenu Dacien dêtre raisonnable, de garder ses distances et de tenir ses mains tranquilles. Le client qui avait réservé le Bordel ne voulait aucune exagération ni aucun dégâts sur les dames dont lArrogant allait devoir soccuper pendant quelques heures. Alphonse lui avait soufflé aussi, comme quoi, de ce quil avait compris, il devrait distraire la mariée. Hein? Quoi? La plaie ..Comment pouvait-il donner besogne de la sorte au seul courtisan en activité dans ce lieu de débauche pur et dur. Le Fier allait devoir rester sage avec deux femmes à portée de mains. Cela était criminel, vraiment.
Dacien arriva enfin au salon. Donc, comme je le signalais, il nétait pas dhumeur joviale mais, pour son patron et pour la réputation de lAphrodite, il ferait un effort. Alphonse était auprès de deux dames bien charmantes sous toutes les coutures. Et vue les tenues quelles avaient, deux bonnes femmes certainement de bonne société qui allaient peut-être se croire tout permis, usant de mots charmants, peut-être déconcertants ou encore sauvages. Les pauvres .Quallaient-elles subir avec lui ..Ses rétines croisèrent celles de son patron. Un gentil sourire se dessina sur le visage de lArrogant. Non, ce genre de jeu ne lamusait guère. Faire le pantin juste pour distraire nétait pas son amusement favori.
Bref! Il fallait savancer. Il arriva auprès des deux dames. Une commissure sétira en silence laissant apparaitre un visage plutôt courtois, charmant, charmeur aussi, tout le contraire de son humeur de cette nuit. Un arrêt à la hauteur du Flamand. Dacien se pencha à son oreille et dune voix souple, un ton enjoué mais tout à fait sérieux.
Vous me le paierez, soyez en sûr Patron.
En insistant bien sur "patron". Oh que oui quil lui rendrait la monnaie de sa pièce. Il ne savait pas encore quand ni où mais, il savait que le Flamand naurait pas dautre choix que de lui accorder une faveur pour son plus grand plaisir.
Deux brunes. Voilà qui aiguisa lil du Fier. Un regard sous toutes les coutures chacune leur tour. Bon dabord, lune des deux avait lair .disons .plutôt désappointée. Le lieu certainement. Elle ne devait pas sattendre de se retrouver dans un Bordel tel que celui-ci après un mariage. Et lautre brune semblait plus joviale. Ou alors, elle ne connaissait point, navait encore jamais entendu parler de lAphrodite. Bon, il fallait les emmener dans la pièce prévue pour ces dames somme toute charmantes néanmoins quil ne fallait toucher quavec les yeux. Dacien savança un peu plus près encore vers elles.
Bonsoir Mesdames. Je me nomme Dacien. Votre hôte pour cette soirée.
Il tendit ses deux bras, un de chaque côté afin que les brunes sy pendent le temps darriver à lInitiée. Un regard noir vers le patron. Pour lui, il verrait plus tard la sentence.
Si vous êtes prêtes, nous y allons. Je vous conduis à votre divertissement de ce soir.
Enfin, tout dépendait pour qui hein! Ils quittèrent tous trois le salon et arpentèrent les couloirs de lAphrodite jusquà arriver à la porte de lInitiée que lArrogant ouvrit.
Mais .Oui, pour cette soirée là, il y avait un mais. Le Flamand avait prévenu Dacien dêtre raisonnable, de garder ses distances et de tenir ses mains tranquilles. Le client qui avait réservé le Bordel ne voulait aucune exagération ni aucun dégâts sur les dames dont lArrogant allait devoir soccuper pendant quelques heures. Alphonse lui avait soufflé aussi, comme quoi, de ce quil avait compris, il devrait distraire la mariée. Hein? Quoi? La plaie ..Comment pouvait-il donner besogne de la sorte au seul courtisan en activité dans ce lieu de débauche pur et dur. Le Fier allait devoir rester sage avec deux femmes à portée de mains. Cela était criminel, vraiment.
Dacien arriva enfin au salon. Donc, comme je le signalais, il nétait pas dhumeur joviale mais, pour son patron et pour la réputation de lAphrodite, il ferait un effort. Alphonse était auprès de deux dames bien charmantes sous toutes les coutures. Et vue les tenues quelles avaient, deux bonnes femmes certainement de bonne société qui allaient peut-être se croire tout permis, usant de mots charmants, peut-être déconcertants ou encore sauvages. Les pauvres .Quallaient-elles subir avec lui ..Ses rétines croisèrent celles de son patron. Un gentil sourire se dessina sur le visage de lArrogant. Non, ce genre de jeu ne lamusait guère. Faire le pantin juste pour distraire nétait pas son amusement favori.
Bref! Il fallait savancer. Il arriva auprès des deux dames. Une commissure sétira en silence laissant apparaitre un visage plutôt courtois, charmant, charmeur aussi, tout le contraire de son humeur de cette nuit. Un arrêt à la hauteur du Flamand. Dacien se pencha à son oreille et dune voix souple, un ton enjoué mais tout à fait sérieux.
Vous me le paierez, soyez en sûr Patron.
En insistant bien sur "patron". Oh que oui quil lui rendrait la monnaie de sa pièce. Il ne savait pas encore quand ni où mais, il savait que le Flamand naurait pas dautre choix que de lui accorder une faveur pour son plus grand plaisir.
Deux brunes. Voilà qui aiguisa lil du Fier. Un regard sous toutes les coutures chacune leur tour. Bon dabord, lune des deux avait lair .disons .plutôt désappointée. Le lieu certainement. Elle ne devait pas sattendre de se retrouver dans un Bordel tel que celui-ci après un mariage. Et lautre brune semblait plus joviale. Ou alors, elle ne connaissait point, navait encore jamais entendu parler de lAphrodite. Bon, il fallait les emmener dans la pièce prévue pour ces dames somme toute charmantes néanmoins quil ne fallait toucher quavec les yeux. Dacien savança un peu plus près encore vers elles.
Bonsoir Mesdames. Je me nomme Dacien. Votre hôte pour cette soirée.
Il tendit ses deux bras, un de chaque côté afin que les brunes sy pendent le temps darriver à lInitiée. Un regard noir vers le patron. Pour lui, il verrait plus tard la sentence.
Si vous êtes prêtes, nous y allons. Je vous conduis à votre divertissement de ce soir.
Enfin, tout dépendait pour qui hein! Ils quittèrent tous trois le salon et arpentèrent les couloirs de lAphrodite jusquà arriver à la porte de lInitiée que lArrogant ouvrit.