[RP] les Ravis dans le Grand Nord

Entre les continents…

Depuis quelques jours, les vents avaient décidé de jouer, parfois rugissants, parfois calmes, ils se cachaient pour n’apparaitre qu’au moment ou les voiles se gonflaient pour que le bateau change de cap. Il pestait, elle souriait, la patience n’était pas son fort, le voir les yeux rivés vers les nuages ne changeait pas vraiment , que cela soit sur terre ou en plein milieu de l’immensité, son époux avait le talent pour lui faire atteindre des firmaments éloignés.

Elle avait remarqué ses longs silences qui ne présageaient rien de bon, souvent témoin de dilemme, quelques soupirs parfois, mais le silence du jour, était accompagné de dents serrées avec un regard fixe sur la voile qui approchait à vive allure .

Il lui fut impossible de savoir, si le bateau arrivant de l’Est fut le premier sur eux, ou celui qui arriva de l’Ouest, des pavillons ennemis flottants, drapeaux de couleurs vives, bien trop aperçu pendant la guerre contre le Ponant.

En cale et en cabine, l’agitation était vive, elle croisa une Élie, surhabillée d’épaisses couches de vêtements juxtaposées, l’heure n’était pas à la mode, pourtant Élie brillait des couleurs posées , Phoe serein derrière semblait la suivre, l’éternel sourire en coin , alors que manquant de tomber, elle vit passer Meli qui fonçait droit à la réserve en criant ‘pas peur pas peur’ diantre le monde est fou…..

Les heures passaient, son époux ne déridait pas, une main dans la sienne, il serrait , personne n’osait plus plaisanter, ils semblaient à la merci du premier coup de canon, alors que les coques des bateaux se touchaient presque. Ce voyage tant espéré ne pouvait pas se finir ainsi, au fond de la mer du Nord entre deux méduses , prier ? Ce n’était pas le moment bien sûr… il fallait y croire !

C’est Élie qui rompit le silence religieux la première demandant comme en une supplique ce qui se passait. En guise de réponse elle obtient un


« écarte les jambes en tombant dans l’eau »

Un craquement se fit entendre, mélange de dents qui claquent et de bois qui se frottent, les voiles venaient de parler, ils frôlèrent les bateaux ennemis et s’en éloignèrent de quelques poussières….


Là !! il y en a un autre !

Non Élie, ça, c’est l’ombre de celui qui vient de passer…….

Chacun par la suite pourra en riant dire, que même pas eu peur, chacun pourra se targuer d’avoir eu confiance . Pour sa part avec son époux, ils choisirent d’aller essayer de fabriquer un héritier…

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Un courrier qui doucement est déposé quelque part dans le village, adressé à Maya, l'oiseau semble exténué, il mendie de son regard de velours qui voudra bien l'aider à reprendre quelques forces.Il n'a recu aucune consigne, il sait pertinemment que celle qui est nommée mairesse ne lui donnera rien , plus pingre qu'un ramier lui à t'ont dit au moment de son départ...

C'est au matin du 1er Mars qu'enfin nous mouillons dans le port de Novgorod.
Plusieurs navires sont à quai, russes pour la plupart, mais fort heureusement le port offre 10 bornes d'amarrage.

Il nous faudra toutefois remplir pléthore documents et répondre aux exigences douanières avant que d'obtenir des autorités portuaires le droit de débarquer.
Nous le ferons en deux groupes afin de maintenir une surveillance sur l'Horizon et sa cargaison.



Après un jour de marche, nous découvrons une ville endormie où même la Volkhov semble endormie dans l'hiver glacial russe.
Notre toute première visite nous conduira à la cathédrale Sainte Sophie où nous espérons pouvoir trouver la dernière page du manuscrit.





Hélas, comme nous nous y attendions,la page a déjà été arrachée mais comment pourrions nous ressentir la moindre déception alors qu'il nous a été donné d'accomplir ce voyage que si peu en ce monde ont eu la chance d'accomplir...
Les paysages sont à couper le souffle : à perte de vue des étendues glacées balayées par un vent violent qui soulève des tourbillons de neige sur la toundra où ne s'aventurent que quelques rennes, renards polaires ou lièvres des neiges.
Nous ne resterons qu'une nuit à terre afin de permettre au second groupe constitué de Ninon, Elienore, Melisandre et Phoenyx de quitter l'Horizon. Et c'est en les attendant qu'avec Sofio nous profiterons d'être à bord pour déguster quelques mets locaux : bortsch, caviar, vodka, tout en refaisant le monde bien au chaud sous nos fourrures.

Le 10 Mars, après dix jours de découvertes, profitant de la marée et de vents favorables, nous reprenons la mer.
Les premiers jours de navigation seront empreints de la nostalgie du mot fin. Sans doute,chacun à bord est conscient qu'il ne reviendra jamais.
Je reste de longues heures à la barre le long du Golfe de Finlande, à contempler les côtes, gravant dans mon esprit les derniers souvenirs de ce voyage en Russie.

Au crépuscule du 15 Mars, alors que nous naviguons en Mer Baltique au large des îles de Gotland et d'Öland, de forts vents se lèvent. En toute hâte nous amenons les voiles.
L'Horizon est balloté comme une vulgaire coque de noix. Soudain la mer, soulever par de sombres tourbillons sembla se mêler au ciel tandis que la grêle vint frapper le pont aussitôt nettoyé par des trompes d'eau de mer.
Mon inquiétude est grande car il est impossible de naviguer à vue sur cette mer démontée, et cette tempête rend inopérant notre astrolabe.
A chaque nouvel assaut du vent la proue de l'Horizon se soulève tout entière avant de replonger dans de sinistres craquements.
La barre est dure à manœuvrer et la prudence me fait passer un cordage autour de ma taille pour m'attacher au timon afin de résister aux paquets de mer.
Durant 4 heures l'Horizon résista à l'ouragan et à mon grand soulagement nous n'eûmes à déplorer aucune grosse avarie.
Au petit jour, après une inspection minutieuse du navire, et la vidange de la cale grâce aux pompes embarquées, nous cinglons au large du Danemark.
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Dict l'Impétueux

Amusée de la scène au final, tandis que sa cousine voguait sur les mers du nord, elle se rerouvaient en compagnie de Gati, d'une petite nouvelle tourangelle et de son époux, à Moulins. Au moins, la rouquine avait tenu sa promesse de venir la voir, il avait bien fallu pour récupérer la cogue!
Enfin, l'amusement que lui procurait cette journée et la suivante, inspira la Valten qui déjà, écrivait à la St Pierre Feric.



Il fallait au moins cela comme signature pour être reconnue par la rouquine, et zou! Le volatile partit.
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Un pigeon arrivait alors que Maya était déjà sur le chemin du retour, son parrain et sa marraine .

Pour Maya

Ben au moins il m'as trouver le piaf, l'est pas si bête qu'il en à l'air..Pourquoi il me regarde comme ça d'abord ?Ile ne va pas croire que je vais lui donner à bequeter en plus ? Nan mais !

De nous

à toi...

chère fillote


Du fin fond des mers du Nord, en espérant que ce volatile puisse te trouver.

soso lui a promis plumaison s'il n'y arrivait pas

Puis comme dit le proverbe Moulinois, "Maya si tu la cherches, c'est qu'elle est pas morte"

puis qui cherche n'est pas mort non plus

Logique..

Nous espérons d'abord te trouver en bonne santé, une chope à la main, une proie à portée de vue.

j'espère que tu es un modèle de vertu en notre absence

Mouais ben pas l'choix, les petits vieux sont en voix de disparition pfff !

Surtout n'oublies pas, tout ce qui brille n'est pas de l'or, car si tu t'avisais à suivre le premier qui passe, le couvent te sera acquis.

soso a raison je plussoie.

Z'inquiètez pas, votre fillotte finira vieille fille, j'vous l'dis moi.

Prend bien ton petit lait , le soir et pense à ton credo, seule chose autorisée en petit extra, c'est d'aller cracher sur quelques nobles imbus.

ne l'écoute pas, tu serais pendue, mais ajoute une petite laine, le fond de l'air est frais

Si j'met un truc un peu plus fort avec le p'tit lait ça compte ? Bon pour le credo ,j'préfère prier le dieu Bacchus moi..

Quand à nous, notre périple se poursuit, Veni, Vidi, Vici en Russie une terre éloignée ou nous avons pu accoster, sans soucis, découvrant quelques mets locaux, peu d'habitants, je pense qu'ils ont eu peur qu'on soit la pour leur ramener Koslov, du coup ils se sont cachés.

Peur de Koslov ou de So et Robert ?

c'est surtout quand ils ont vu la tête de certains de nous qu'ils ont eu peur et qu'ils se sont barricadés chez eux sans bouger la moindre oreille.

Tiens ,qu'est ce que je disais !

A présent, nous faisons route , longeant les îles et icebergs vers la hollande pour les moulins et pas pour ce que tu crois.

Pour le fromage ? Ou pour aïeul du chanteur à la mèche ...Vanina AHAHAHAHAHAHAHAHA ?

Elie voudrait acheter de gros sabots, et je sais pas pourquoi mais les gens au bord de la cote attendent les navires avec des paniers de fleurs en criant "Tu lis peu... Tu lis peu", je sais pas d'où ils sortent que je ne lis pas assez ! Les étrangers sont spéciaux tu sais !

T'es un peu à part aussi cher parrain..

Tout le monde à bord semble , aller bien, Pascale à enfin compris qu'il n'était pas question de ramener des esclaves, c’est une bonne chose. Ninon égale à elle même, c'est peu dire... Elie et Phoe préfèrent l'amour en mer, Meli à fait le plein de vodka.

Un petit esclave sexuel..C'est pas si grave..J'vais lui écrire , j'l'aime bien la Pascale moi, elle à de bonnes idées .

Pascale scrute l'horizon dans l'espoir de voir un bateau pirate pour ramener des prisonniers, je pense que le reste de l'équipage souffre du mal de mer, on ne les voit plus, tant et si bien que j'ai cru à un moment les avoir oubliés en Russie !

Ouvrez un tonneau et ils vont tous rappliquer !

Pour finir, nous espérons que tout le village soit en bonne santé, il n'est pas question pour nous d'avoir vaincu , Neptune et ses vents, Poséidon et ses vagues, les loups de la Sibérie, l'iceberg ou à péri Léonardo, pour rentrer au village et se choper un rhume!

Ce serait balot oui ,au faite c'est qui ce Leonardo , il est célibataire ?

soso oublie le borsch dans son énumération, pourtant , si tu résistes au borsch, tu résisteras à tout !

Nous ne t'embrassons pas mais le cœur y est! fais pas cette tête là, on entend tes grognements d'ici, souris un peu, c'est pas comme si tu avais pris un gnon dans l'œil et que tu ressemblais à rien!

Ben si justement, j'en ai prit un ..Saleté d'étrangers !!Pis j'grognes pas d'abord !

puis aussi nous avons vu des choses qui tiennent du miracle ou du sans-nom, allez savoir ! Comme un four qui fonctionne sans feu mais avec une espèce de cordon qu'ils plantent dans le mur !! Si, si !

à très bientôt

A bientôt !Pensez à me ramener un cadeau..J'veux un homme ,c'est bientôt mon anniversaire.
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Premier but atteint pour les Ravis, la Russie !
Impatiente de mettre un pied à terre il fallait encore attendre deux ou trois jours que le premier groupe reviennent pour pouvoir visiter la ville !
Alors, pour faire passer les journées il n'y avait pas cinquante solutions à bord du bateau, c'était la pêche tout en reniflant l'odeur de la vodka ! On pourra dire que durant ce voyage, la brunette était devenue de plus en plus douée à cette pratique. Bientôt la pêche au poisson n'aurait plus de secret pour elle.
Elle aurait bien aimé partager c'est merveilleux moment avec Hob mais celui-ci hiberner depuis le départ et au moment de se dégourdir un peu les jambes, voilà qu'il préférait rester à bord. Mal de mer, mélanger à celui du pays peut être ? Peur de ce geler sur place ?
C'est donc sans lui mais, en compagnie de son parrain, de sa marraine et de ninon que melisandre alla explorer Novgorod. Un petit détour par le la bibliothèque, l'église et marché pour acheter leur spécialité locale avant de revenir sur le bateau et jeter l'ancre.
Direction la Hollande cette fois-ci ! Mer moins agités mais, qui resserve tout de même des surprises.
Jusqu'à là tout le monde à bords ainsi que le bateau avaient réussie à résister aux tempêtes mais, cette fois-ci les nuages gris foncés accompagné d'éclair qu'ils voyaient tout au loin ne présager rien de bon pour la nuit...
L'Horizon ne pouvait éviter cela, alors valait mieux pour elle rester dans la cabine blotti dans bras de son compagnon.
Se dirigeant vers le ponton qui était dessert elle dit :

- Bon chéri arrête de pêcher ça va devenir très dangereux là !! Tu as vu ce qui arrive sur nous ? !
- Aller viens ! Viiiite !»

Et sans attendre sa réponse, elle fila se réfugier dans sa cabine, melisandre attendis le vent rapide souffler, la pluie tombée mais, la fatigue l'emporter bien vite et ses yeux se fermât tous seul.
Au petit matin, le calme était revenu. Le levé de soleil présent, elle posa un pied puis deux et se précipita dans la cabine juste à côté d'elle pour rejoindre Hob.
Benn oui chambre à part car, pas marié encore c'est que le capitaine du bateau y vieller ! Et pas que lui, ils étaient surveillés de près le jeune couple.
Trois petits coups à la porte et elle entra t'elle une furie sauf que là....personne ?!
Gné ?! Comment ça ? Elle se frotta les yeux, mal réveillé peut-être?
Doucement elle l'appella :

- Hob tu te caches ou encore ?! Hooobb réponds moi !!!

C'était pas dans son genre de ne pas répondre et encore moins de se cacher. Melisandre décida donc de faire le tour du bateau peut être qu'il c'était abrité dans un autre endroit...
C'est donc vêtu d'une chemise et les pieds nus qu'elle arpentât l'horizon dans tous les sens et recoins.
Plusieurs minutes interminables jusqu'à ce qu'elle imagine le pire, se pourrait il qu'il soit ...enfin que la tempête d'hier lui est été fatale ?...
Non non non pas lui ! Pas son Hob ?!
Et pourtant....il fallait se rendre à l'évidence, il n'était plus à bord du bateau.

- NOOOOOOOOOOOOONNNNN !!!! HOOOBBB A DISPARUE !!!!

Bientôt ça allait être tous ses compagnons de voyages qui allaient savoir pourquoi la brunette faisait autant de bruit à peine le soleil levé.
Qu'es ce qu'elle allait faire maintenant?
Dans sa tête elle répétât sans cesse :

- Pourquoi tu m'a fait ça? pourquoi? pourquoi?....

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Greffière Ducale, Aspirante Maréchale et Douanière de Moulins

Dans ses rêves, ça tangue.... Dans la journée, la nuit ça tangue... entre les houles , les remous, les pirates aux dents acérés, encore que pour apercevoir les dents, il fallait s'en approcher....

Alors, les nuits elle se cale, entre le mur et son époux, elle s'imagine dans un hamac qui serait bercé par le vent,un rêve qui souvent revient, ils sont onze assis autour d'un flambeau, ils discutent et parlent d'en éliminer un, c'est le grand conseil, des noms sont tirés , inscrits sur des petits papiers, une voix d'outre tombe, parle et dit " le conseil a tranché".... vous êtes éliminés...

parfois le ciel devient plus sombre, le cocotier qui lui sert de poteau tremble et en guise de noix de coco qui tombe en réveil c'est....


NOOOOOOOOOOOOONNNNN !!!! HOOOBBB A DISPARUE !!!!

Un sursaut, une perle de sueur, elle secoue son époux, rapidement se lève, machinalement elle passe une main dans ses cheveux, peine perdue, avec le sel marin, le vent, la coquetterie n'est pas à bord. La voix qui à crié ne semble pas loin, c'est Meli, elle ouvre la porte de la cabine , se précipite.

Meli ? bon sang mais ......

Puis tout s'enchaine, hier soir il était sur le pont, la tempête se levait par l'Ouest, les vents commençaient à souffler violemment alors que le bateau tanguait dangereusement , ell avait conté l'histoire des vagues scélérates, les trois sœurs, c'est bien ce qu'ils avaient croisé sur cette partie de la mer du Nord, aucune chance ne peut être laissé à ceux qui s'aventureraient sur le pont, lors d'une telle rencontre. Alors si Hobbf, n'était pas rentré se mettre à l'abri comme eux tous, il était fort possible que...

Erfffff

Pas un mot encore, à Meli, inutile de lui dire que si il est tombé à l'eau et qu'il s'en sort , tel Caprio accroché à un bout de bois, les grands blancs sont nombreux dans la mer, bien que la encore, si jamais, les requins ne l'estimaient pas à leurs gouts, la température de l'eau devait avoisiner les quatre degrés...

Elle regarde Méli, compatissante, que dire dans ces moments là, réconforter, apaiser, rien ne sert, juste lui dire alors.

Il a rendu son flambeau, il n'avait pas le totem...
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Joli mois de mai, joli mois pour mourir...

En guise de comité d’accueil , point de colliers de fleurs à l'horizon, Horizon qui d'ailleurs n'était plus, il avait été vendu à un néophyte , finirait surement échoué sur un banc de sable, triste fin de vie pour un bateau qui avait su les mener avec brio si haut....

Haut les cœurs, point de déraison, à bas l'ennui, l'espoir de pouvoir poser des malles pour en refaire des nouvelles et se rendre en Italie faire construire une nave venait de tomber à l'eau, avec l'appel du Roy pour combattre les anti royalistes, l'affaire semblait importante , le devoir avant tout, il fallait bien laisser tomber le projet des mers du Sud et répondre au ban royal.

La fillote en avait conclu aussi que mourir dans le sud n'était pas une mauvaise idée, forte de quelques conseils de comment mourir avec grâce, le voyage se ferait avec elle. Quant à Pascale qui venait de voir quelques Italiens rêvés s'évanouir en fumée, l'idée de courser des curetons en bures et en armes lui afficha un sourire éclatant.

Elie et Phoe qui constituait l’arrière garde restaient sur Moulins, ils constituaient en quelque sorte, la dernière chance au dernier moment, si jamais les vassaux directs de la royauté venaient à mourir, alors nul doute que l’arrière-ban viendrait à son tour renforcer les armées.

Ainsi va la vie.....

Le rendez-vous prit avec l'état major royal, la petite troupe descendit au sud du Bourbonnais Auvergne, pour se rallier aux autres nobles et volontaires qui iront ensuite marcher sur Toulouse et plus loin en terre d'Aragorn.

Un dernier regard sur le village, une idée étrange lui trottait dernièrement, la fatigue et l'hiver qui n'en finissait pas, n'étaient peut être pas étranger, mais ces soirées passées dernièrement, lui semblait comme flous et troubles, une cassure s'était opérée, le temps changeait de trop dans le ciel, les humeurs et envies suivaient...

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