Thomas_sauveur
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Mon amour ce qui fut sera
Le ciel est sur nous comme un drap
J'ai refermé sur toi mes bras
Et tant je t'aime que j'en tremble
Aussi longtemps que tu voudras
Nous dormirons ensemble. *
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Un doigt affiné et coquin glisse sur la peau d'une épaule, il dessine ses traits sur cette peau laiteuse et s'aventure sous les draps pour ce fondre entre une poitrine qu'il affectionne. Sur son ventre, il s'égare tourbillonne en chatouille légèrement pour trouver sa place sur l'os de sa hanche, la main ce referme là possessive. L'homme bascule sur le corps endormi, ses lèvres partent rejoindre la zone sous son esgourde, il y dépose un baiser chaste et glisse retrouvant rapidement le cou qu'il hume les yeux toujours clos. Il passe sa langue sur sa peau, en savoure la tiédeur, le millions de sensations sous ses papilles. Diablesse, elle lenvoûte même aux pays des rêves et lui ne lutte plus depuis quelques temps déjà, il l'aime cela suffit à justifier des actes peu Aristotélicien. La seconde main l'aide à ce hisser entre ses cuisses et il l'observe, une main de chaque côté de son corps, un fin sourire aux lèvres, alors qu'elle s'éveille lentement à l'appel du soleil et de la chair possiblement. Un doigt doux remet quelques mèches de ses cheveux derrières ses oreilles et il ce penche déposant son amour sur ses lèvres, dans un baiser rassurant et protecteur. Elle est terrorisée à la simple idée deffectuer ce pourquoi ils ont quittés leurs Duché et pourtant, avait-elle vraiment le choix. Il passe son pouce sa joue et murmure son prénom avec ce petit accent anglois qui la rend électrique.
Darling**, nous sommes attendus.
Malheureusement, ou peut-être pas. Tout était trop flou pour qu'il sache vraiment quoi en penser. Elle tenait absolument à dire la vérité à cet homme et pourtant était terrorisée par l'angoisse de le faire. Lui, c'était le cheveux dans la soupe, celui qui n'avait rien à faire là, mais y était tout de même. Il aimait Héllina, accordait un profond respect à Lenaic, alors tout semblait naturel, sans vraiment l'être. Sortir un enfant du tiroir n'était sûrement pas là meilleur des décidions après cinq années. Il ce penche encore frottant son nez contre le sien, ses cheveux caressant le visage sous lui. Il l'aimait c'était la seule véritable excuse qu'il pouvait donner à sa présence, on ne laisse pas une femme seule dans cette situation, surtout quand celle-ci partage votre vie depuis plusieurs mois. Il roule à nouveau sur le lit, mais cette fois-ci pour en sortir, tout aussi nu que la damoiselle. Sortant des draps conjugaux pour rejoindre la fenêtre ou il tire sur les lourd rideaux. Devant-lui : Limoge ! Ville à l'architecture intéressantes et une historique tout autant intéressant, mais n'étant pas là pour flâner à la découverte de la cathédrale et des marchands de breloques, il ce détourne du paysage.
Votre ami, vit-il aux villages ? Ou devons-nous faire préparer les chevaux.
Nous c'est lui, Thomas Sauveur la fixe, et sourit un peu dans l'unique but de la rassurer. Cela marche-t-il, il en doute sachant bien qu'elle n'est pas du genre à ce contenter de geste aussi banal. Il attache ses braies, passe sa chemise et observe la porte souvrir sur Jeanne. Rondelette, âgée, la femme lança un regard à Héllina entre les draps, Thomas à moitié nu et tout naturellement sortie une robe de leurs affaires. Thomas boutonna sa chemise sans ce formater de la présence d'une domestique dans la chambre, après tout c'était la même chose au Manoir et vivre avec Lina demandait des sacrifices comme ceux-ci, étrange, mais routinier à force.
Nous préférons la sinople, Jeanne... avec le collier de lautre jour.
Il fixa les deux femmes et s'installa assit sur le lit pour enfiler ses bottes, oui Thomas donnait des conseils et alors ? Cela lui semblait naturel et n'avait pas l'air de vraiment mettre Lina en colère. Et puis dans le fond, c'est lui qui les retiraient ses robes, il avait son mot à dire.
* Louis Aragon
** Chérie
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