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[RP] Requiem pour un con.

Elisabeth_stilton
Faisons un peu la liste des présents à l’enterrement : des krakens, des réformés, des royalistes et des anti-royalistes, des aristos de tous bords, mieux qu'au mariage dites donc mais ce n'est pas tout. On a aussi : un rat et un chien, deux fantômes, un trèfle, et on a même des époux qui ne savent pas trop s'ils sont encore marié ou pas. Enfin eux peut être mais nous non. Tout ce petit monde évoluait dans une petit chapelle qui attendait patiemment le début de la cérémonie, en espérant qu'il n'y ai pas un mort entre temps.

Elle laisse donc à Rose l'inestimable honneur que de rendre le trèfle à son proprio. Ba oui elle allait pas le faire elle même chacun ses soucis. D'ailleurs en parlant de soucis un se matérialisa en la personne de Flex pour les intimes. Tout son discours passait au dessus de la tête de la blonde et pour cause elle n'avait retenu qu'une chose, une terre au Périgord. Sur le coup elle était abasourdi, comment Gautier pouvait il avoir une terre là bas. Elle n'avait rien vu passer à la hérauderie et il ne lui avait rien dit. Puis tout lui revient en mémoire, le Mirandole et le Mussidanais. Oh Gautier a de la chance d'être mort sinon elle lui aurait envoyé en pleine figure le coffret qu'elle venait de recevoir. Au lieu de cela, elle resta froide sous la colère et serra le bois pour se calmer. Comment avait il pu lui faire cela à elle ! Il voulait nuire à sa carrière pour de bon, cet homme ne faisait que bêtise sur bêtise, finalement tant mieux qu'il soit mort !

Heureusement l'arrivée de Della, la calma quelque peu. Elle la salua silencieusement, des fois les mots ne servent à rien, Della le savait et la blonde savait qu'elle n'avait besoin de parler. Surtout que si elle parlait maintenant elle risquait d'être très désagréable pour son défunt époux.

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Pere_rodriguez
Bon cela était bien. Ce n'était plus un enterrement mais un belle parodie. Déjà qu'il allait devoir faire une cérémonie pour un hurluberlue selon lui. Et bien oui comment auriez vous réagit en voyant une femme déposer un trèfle dans un cercueil. Être enterré avec ça, non mais je vous jure. Bon il allait devoir ramener tout ce petit monde à la raison. Surtout quand on a un rat et un chien s'en mêle en plus. Non vraiment il n'était pas gâté.

S'il vous plait installez vous, la cérémonie va commencer.


Le prêtre attend quelques minutes afin que les gens se mettent en place ou sortent. Pas question de rester dans le chemin.

Aller plus personne ne reste debout, ni dans la nef !!!
Bien.
Nous sommes réunis ici pour dire adieu au corps et à l'âme de notre frère Gautier. Afin d'accompagner son âme par nos chants nous devons nous purifier. Prions pour le pardon de nos actes et de nos pensés.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN
Swan
Elle attendait sagement, pour une fois, que la cérémonie commence. Tenant la main de Sarpé dans la sienne, elle s'était assise avec son compagnon sur un banc, pas trop loin ni trop près non plus. Elle ne connaissait personne, pas même la femme de Gautier, bien qu'elle se doutait de qui elle était quand elle avait vu entrer une belle femme blonde habillée de blanc s'installer au premier rang.

Tout un tas de personnes défilaient devant le cercueil comme elle l'avait elle-même quelque temps plus tôt et elle regarda d'un air circonspect le spectacle qui se déroula avec un chien et un rat. Elle ne bougea pourtant pas, elle n'en avait pas envie.

Enfin le curé arriva et demanda que tout le monde s'assoit. Elle se redressa un peu, tenant toujours la main de son blond, ses doigts lié aux siens.

La voix de l'officiant s'éleva alors dans l'église.


Nous sommes réunis ici pour dire adieu au corps et à l'âme de notre frère Gautier. Afin d'accompagner son âme par nos chants nous devons nous purifier. Prions pour le pardon de nos actes et de nos pensées.

A voix basse, elle récita le pardon.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


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[En congé à partir du 27 juillet]
Theodran
Théodran avait fini par s'habituer à la dépouille.
Au final, le père Rodriguez commença et il grimaça. Gautier aurait-il voulu de ces pardons ennuyeux, de toute cette cérémonie ? Une cérémonie, oui; mais pour croire aux seins de Rosa, pas aux saints ou à Christos. Le seul Christos était Gautier, puisque l'unique à être né uniquement d'une mère, et encore, sans accouchement. Baile : la vierge Marie.

Bref, l'Illuminé ne pouvait pas laisser se dérouler tout ce blabla soporifique. Alors, il se leva et se plaça au cœur de l'église, devant le cercueil.


- Non, non ! Ne permettons pas à ce prêtre de nous assommer à l'enterrement de Gautier de Kestel ! Je suis un prêtre du trèfle je vais m'occuper de l'enterrement.

Il attendit quelques instants l'attention.

- Vous êtes tous présents ici avec en commun votre amour pour Gautier. L'amour est une chose vaste, il peut être passionnel, tendre, extrêmement fort, douloureux, ou n'exister que via une simple sympathie. Il est possible que vous ignoriez cet amour à son égard, mais il existe, quiconque le croise ne peut que l'aimer. Si vous le haïssiez, une partie de vous devait aimer cette haine et donc l'aimer, puisque vous êtes ici. N'utilisons pas notre temps dans cette chapelle pour croire en Aristote, Giosep, ou qui sais-je encore, car ils n'apaiseront pas votre cœur. Souvenons-nous de ce qu'a apporté Gautier dans vos vies, de ses bonnes actions ou de ses erreurs qu'il faut considérer avec bienveillance, des joies et des folies.

Théodran prit un bon temps d'arrêt, afin que chacun se remémore, puis continua.

- Gautier était un homme clément. N'avait il pas nommé son fils ainsi ? La rancune ne faisait pas parti de ses traits de caractère. Ainsi, si vous avez oublié de vous faire pardonner de quoi que ce soit, de le remercier, ne regrettez rien. Ayez la conscience tranquille. Si, au contraire, vous gardez à ce jour rancune pour Gautier, veuillez pardonner. Il est inutile d'accabler un mort autant que de s'accabler pour un mort.


Sarpedon
Le silence... Il se faisait pesant sous les voutes de la chapelle. Sarpédon ne connaissait personne ici, pas même le mort. Il se fichait de ce tas de chair et d'os... mais malgré tout, l'émotion de tous ceux qui l'avaient connu le touchait profondément. Il était sensible, notre sculpteur. Le malheur des autres menait à son malheur.

En ce jour triste, c'était surtout la tristesse de sa voisine rousse qui le brisait. Elle, il la connaissait. Il était tranquillement sur ce navire à profiter du clame pour sculpter, à savourer leur amour et à essayer de lui faire un enfant quand soudain, un oiseau apporta larmes et souffrance pour remplacer sourires et joie. La petite parcelle de bonheur que notre jeune blond cultivait éclata sous une pluie de sauterelles.

Pour elle, il était fort. Les jours entiers avant de débarquer, Sarpédon avait pris soin de son aimée. Swan n'avait pas quitté leur cabine de tout le trajet restant jusqu'au port. Ses repas lui étaient servis par un poiscaille dépité qui cherchait à la nourrir presque malgré elle. Il était à son chevet à chaque instant et souffrait avec elle de cet inconnu disparu. Combien d'heures avait-il passait à ses côtés? Il avait caressé son dos. Il avait écouté ses paroles entrecoupées de tant de pleurs que le sens se perdait en route. Il avait abandonné sa chemise aux flots de larmes qu'elle y déposait. La douleur de Swan était sa douleur. D'abord parce qu'il l'aimait, mais surtout parce que vous ne pourriez pas trouvé plus sensible que le blond. Sans être une petite nature, il ressentait tout.

Voilà que le voyage était derrière eux. Que dire de plus? La situation ressemblait beaucoup au bateau, mis à part qu'elle sortait pour monter sur son cheval. Pour aller plus vite, ils allaient en effet de relais en relais. Sarpédon était au petits soins et avaient réussi à lui arracher quelques trop rares sourires : une bêtises par là, un câlin par ici, une attention...

Sarpédon ne pensait pas que ce moment serait plus dur pour elle encore. Sa main dans la sienne, il acceptait la douleur de ses phalanges écrasées par la poigne de Swan car par ce geste la rouquine cherchait le réconfort. Combien de fois posa-t-il un baiser sur sa tempe ou dans sa nuque entre la vue de la chapelle et celle du cadavre? Combien de fois avait-il raffermi l'étreinte de son bras autours de ses hanches pour mieux la soutenir?

Ils étaient là, sur ce banc au milieu d'une nouvelle en deuil. Sarpédon n'avait rien à faire ici, mais devait y être pour elle. Aussi se taisait-il. Il adoptait une posture de recueillement et les laissait faire leur deuil.

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Aislynn.olwen
« Mais arrête ! »

Ou l'art de s'adresser à un rongeur pour lui donner des ordres à voix basse histoire de respecter le Saint Orateur et son discours à la façon Aislynn. Mais pourquoi gigotait-il ainsi ? Ne comprenait-il pas qu'il lui suffisait de se calmer pour qu'elle le laisse tranquille ? Alors qu'elle avait déjà libéré le cabot, la mioche se demandait que faire du rat. Il se débattait en possédé entre ses mains, affaiblissant de son poids ses bras, apeurant de ses menaces une gamine qui n'avait pourtant pas froid aux yeux : simplement, ne sachant que faire de lui, elle paniquait un peu. Le libérer ? Comment s'en débarrasser de manière à ce qu'il ne dérange plus ni le chien ni la cérémonie ? Comment éviter qu'il ne se venge après qu'elle l'ait déposé ? Elle détournait parfois le visage pour éviter un coup de patte, ou éloignait tant bien que mal la bestiole, mais plus elle la tenait loin, et plus elle la tenait avec peine.

Et pif, un constat lui vint. Elle n'avait pas une fois entendu prononcer le nom d'Elisabeth. Il était bien question de Gautier, pourtant. Taros et elle ne pouvaient pas s'être trompés de funérailles. À moins... qu'il y ait eu deux Gautier morts en même temps ? Ou qu'il ait eu un jumeau du même nom que sa mort aurait foudroyé ? Ah mais non, Aislynn, trêve d'imagination ! La gamine se souvint avoir lu, sur l'affiche, que l'Elisabeth était épouse de ce Gautier. Mais comment reconnaître l'épouse d'un défunt qu'on n'a jamais rencontré ? Taros pourrait sans aucun doute répondre à cette question, puisque les adultes qu'elle aimait détenaient la Vérité. Coup d'oeil en direction de la porte - le Parrain était toujours absent et l'office, lui, commencé. Pourrait-il encore entrer ? La laisserait-il seule ? Si elle s'efforçait d'être pieuse, la fillette n'était pas tout à fait patiente, et d'avoir de la compagnie, ça désennuyait un peu. Enfin, avec ce gros amas de poil qu'elle tenait, elle avait de quoi s'occuper : l'ennui, c'est qu'elle ne savait pas comment !

« J'crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et d'la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge d'notre âme à l'heure d'la mort,

Et en Aristote, son prophète,
le fils d'Nicomaque et d'Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

J'crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
L'a voué sa vie à nous montrer l'chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
L'est mort dans l'martyre pour nous sauver.
Il a rejoint l'Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

J'crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle;

AMEN »


Ce fut récité comme un automatisme. Et pif, ça lui revint. Les gens importants, durant les offices, s'asseyaient tout à l'avant - et ça, ce ne pouvait qu'être la Vérité, puisqu'elle tenait l'information de sa Neti.

« Ah, mon p'tit... 'fin, mon gros... j'crois qu'on vient d'avoir un éclair d'génie ! »

Noble ou pas, une épouse d'un mort, c'était sûrement la personne la plus importante des funérailles quand il s'agissait justement des funérailles de son époux ! Elle savait où chercher, donc. Et dès qu'elle y verrait quelque chose derrière toutes ces grosses têtes, elle la trouverait, son Elisabeth !

Mais en attendant, 'fallait régler l'problème du rat...

« T'dois aimer l'maïs, hein, toi ? »

C'est qu'elle en avait, justement, dans sa poche...
Pere_rodriguez
Han mais han !!! On lui bousillait SA cérémonie !!! Mais c'est quoi cet hurluberlue hérétique qui vient tout gâcher ! Le Père était indigné de voir tout cela tourner comme ça. Dans la maison de Dieu ! Plus personne ne se comportait correctement.

Faites taire cet homme !

Regard implorant vers la maitresse des lieux. Elle lui donnerait raison elle. Quand même.
Elisabeth_stilton
Et là la blonde se lève, laissant à son sort la brune éplorée. Elle était lasse de tout cela. Les querelles ... il n'y avait que ça dans le royaume depuis des mois voir années.

Il suffit.


Elle lança un regard sévère aux deux hommes.

Gautier aurait aimé l'intervention de cet ... homme. Il pourra donc faire son cinéma avant qu'on reprenne la cérémonie classique.


Et faites qu'on en finisse vite d'ailleurs.
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Aislynn.olwen
Arrêt sur image. Aislynn, illuminée de son éclair de génie, a sorti de sa poche toujours pleine de maïs quelques-uns de ces grains qu'elle imaginait irrésistibles même pour un enragé de rat, ce qui s'est avéré faux puisqu'il s'est enfui après l'avoir mordue à l'index, soit pour déranger à nouveau la cérémonie, soit pour enquiquiner encore le chien ; dans tous les cas, la bestiole a rendu KO une gamine qui, pour la peine, a des larmes plein les yeux - et, pour ne pas citer Wikipédia, "un KO est un événement grave sur le plan de la santé du combattant et ne doit pas être pris à la légère". Alors là, elle pleure. Mais elle essaie quand même de demeurer silencieuse, par orgueil plus que par respect pour le lieu saint. Pendant ce temps, deux curés se vouent une lutte farouche devant l'autel et on doit en appeler à l'arbitre avant que ça ne dégénère.

Et là la blonde se lève. Ce doit être elle, l'arbitre. Ah ! mais non. Malgré ses yeux plein d'eau, malgré ce sentiment d'échec qui la terrasse maintenant qu'elle a été vaincue, intelligente petite humaine, par un animal, Aislynn reconnaît l'Elisabeth. C'est elle, l'épouse. C'est elle, la soeur!

Le film reprend. Sous un regard d'étonnement inimitable, le bras droit libère le jeune nez de toute sa morve, les larmes sont ravalées, et notre brunette de sauter du banc d'église pour mieux piquer une course vers la sortie, parce que, tant qu'il est mineur, le combattant est un peu lâche. Elle file rejoindre son parrain. D'ailleurs, il n'est même plus le temps de reconnaître la dame aux cheveux blancs pour lui adresser un regard haineux lui promettant sa mort pour avoir ravi le parrain - les pépins se chargeraient en temps voulu de la vengeance - ni même le temps de poser les yeux sur un visage roux comme les cheveux qui l'auréolent pour l'admirer - parce que notre môme l'aurait trouvée bien jolie, étant recensé qu'elle a un penchant pour les rousses -, il n'est plus temps pour rien mis à part prendre cette main masculine de sa main enfantine et entraîner le Tablier de toute sa maigre force loin, très loin de cette église.

L'action s'est calmée, plus tard. Ils sont loin, maintenant.

« J'me suis fait mordre, regarde. »

En lâche trop vite pardonnée, elle n'aborde que les insignifiants sujets.

« J'lui parlerai un autre jour. »

Et le Parrain doit savoir de qui ce ton mi-déçu mi-soulagé daigne parler. Elle l'a vue, c'est déjà bien assez.
Poupounet
Tu vois mon fils. Tu vois qu'elle a besoin de toi. Tu dois retourner là bas. Pour elle, pour tes enfants et même pour cette pauvre Maureen que tu fais sombrer de plus en plus vers la folie. Vas prendre soin d'elle !

La blanche savait qu'elle avait raison et qu'il devait retourner auprès de tous ces gens. Il avait le choix mais il fallait le prévenir qu'il oublierait tout. Encore que, oublier quand on se réveille dans un cercueil lors d'une cérémonie funéraire ce n'est pas banal. Il ne se souviendrait plus d'elle par contre, ni de leur conversation. Elle savait qu'elle resterait complètement seule pour le moment.

Je dois néanmoins te dire que tu oublieras tout ce que tu as vu ou entendu ici. Rien ne restera de cet entretien. Allez vas maintenant.

Et il obéit. Il partit pour rejoindre les siens, les femmes qui l'aimaient et tous ses amis.

[RP clos.]
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