Maniere
« Chaque épreuve est une bénédiction, puisqu'elle purifie et délivre des péchés. »
DAlice Parizeau
Cétait par un beau matin de printemps, laube du jour venait tout juste dembrasser la rosée du matin. Personnes nauraient pu dire pourquoi mais lherbe rase donnait une allure de déjà vue, presque comme sil nétait pas encore lheure de cueillir ce plaisir. Loiseau manquant au coin de larbre ne fût pas là non plus pour convaincre la moindre petite personne de se lever.
On aurait pu croire que le paysans aurait était dans son champ pour travailler la terre si dure quil doit en permanence surveiller. Mais il nen était rien du tout, tout ce qui était par ce petit matin était la tiédeur inquiétante du temps.
Mais il y avait bien un endroit où des gens étaient déjà au travail. Le couvent, ah, oui ! Ce lieu sacré où de nombreuses personnes avait sans doute déjà vu le bout du nez. Pourtant ce fût avec une rigueur étonnante que le rituel matinal seffectua.
Si la Mère Supérieure elle était déjà à la préparation de son quotidien si régulier, il y avait en revanche une jeune personne pour laquelle la journée allait tout changer.
Une voix puissante mais féminine fît sursauter la plupart des surs. Mais ce fût la seule intéressée qui ne lentendit pas pour un sous. On pouvait voir une ombre disparaitre à lombre dun regard, dune lampe, personne naurait cru tout ce monde si elles nauraient pas était des religieuses.
MANIERE ! Voila le mot qui fût répéter une seconde fois, plus fort et plus sèchement.
Alors que le temps changea un peu, le soleil se fit plus haut et plus visible. Mais une humeur pesante était là, oui. Sur le haut de la colline, au pied dune haute chapelle un groupe de femme était là, essayant visiblement de retenir une autre jeune femme. Si le regard se portait sur cette magnifique demoiselle on pouvait voir quun regard dambre perlait déjà. Ses cheveux couleurs miel ne furent pas là pour arranger léclat de sa fraicheur si frêle.
Elle navait pas vraiment un grand habit pour la saison mais on pouvait voir dans son regard quelle nétait pas là pour samuser, quelque chose dans son regard faisait pensée quelle avait déjà une idée pour sa vie future. Mais le plus dur pour elle fût sans doute de dire au revoir à celles quelle avait côtoyées pendant des années, quelle avait chéries et admirer.
Mais alors que la jeune femme était sur le point de tomber en larme, le groupe fit un mouvement décartement. Une femme âgée, sans doute plus très loin du Seigneur la prit dans ses bras. On aurait pu dire qui était la femme mais on savait dans un simple coup dil quelle avait beaucoup compter pour la belle.
Mais il était temps pour elle de quitter tout ce beau monde, il était temps quelle découvre la vrai famille, celle quelle avait trop longtemps laissée.
Pourquoi était-ce si dur ? Personnes ne savait vraiment pourquoi un adieu était si compliqué mais cela devait se faire. Mais alors quelle était déjà au pied de la colline elle jeta un dernier coup dil à son passé qui devait se terminer ici et maintenant.
Une voix frêle et délicieuse ne manqua pas de séchapper des lèvres rougeâtre de la blonde, presque comme un cadeau dadieu, elle murmura aux surs une éternelle pensée. « Vous serez toujours là pour moi, je le sais. »
Le soleil fût déjà bien avancer dans sa course quand la belle arriva dans la ville, oh oui. Il devait être trois heures de laprès midi maintenant ? Peut être plus, elle ne le savait plus vraiment à cet instant. Alors quelle avait mit tout son cur dans le voyage vers la civilisation, elle ne savait plus ce quelle voulait. Trop de chose avait était fait pour quelle oublie sur un coup de tête, pourtant elle ne pouvait pas en vouloir à ceux qui lavaient mit au monde. Mais une pensée était là, pourquoi ?
Sans trop savoir où aller elle respirait les effluves de la ville avec délices. Elle navait pas encore goûté à tous les plaisirs de la vie, il y en avait beaucoup trop pour elle. Mais lodeur du pain ou de la viande cuites était pour elle un vrai délice.
Non, il fallait quelle reste concentrée sur ce quelle était venue chercher. Durant son séjour cher les surs notre bonne amie avait appris à lire et aussi à écrire pour son plus grand plaisir. Elle passait presque son temps à ça ! Cétait peu dire, même. Ses pieds n'étaient pas vraiment d'accord avec son intention de marché encore beaucoup, elle savait qu'elle devrait faire une pause avant qu'elle ne croule sous les blessures liés à la marche, pourtant elle ne pouvait se résoudre à s'arrête, c'était trop important pour elle.
Ce fût un sourire digne des plus grand qui s'afficha sur ses lèvres lorsqu'elle aperçut ce qui était pour elle une peut être future délivrance. Alors quelle venait davoir vingt ans ces jours-ci, elle avait eu le droit de quitter lendroit où elle avait pensée le plus clair de son enfance et peut être retrouvé ceux qui étaient des siens. Mais alors, on lui avait appris quelle avait une cousine, elle nen connaissait que son nom, Helena Di Rivombrosa. Malheureusement elle ne savait pas vraiment où elle était Alors il fallait quelle la recherche !
Se fût à la bibliothèque quelle trouva ce quelle était venue chercher, oui, lhomme qui pourrait la renseigner, mais encore faudrait-il quil trouve son bonheurs.
Bonjour Monseigneur, je suis désolée de vous dérangez par cette belle journée. Mais jaurais voulut savoir si vous aviez des écrits ou des informations sur une certaine Helena Di Rivombrosa, cest urgent, pour une « amie ».
DAlice Parizeau
Cétait par un beau matin de printemps, laube du jour venait tout juste dembrasser la rosée du matin. Personnes nauraient pu dire pourquoi mais lherbe rase donnait une allure de déjà vue, presque comme sil nétait pas encore lheure de cueillir ce plaisir. Loiseau manquant au coin de larbre ne fût pas là non plus pour convaincre la moindre petite personne de se lever.
On aurait pu croire que le paysans aurait était dans son champ pour travailler la terre si dure quil doit en permanence surveiller. Mais il nen était rien du tout, tout ce qui était par ce petit matin était la tiédeur inquiétante du temps.
Mais il y avait bien un endroit où des gens étaient déjà au travail. Le couvent, ah, oui ! Ce lieu sacré où de nombreuses personnes avait sans doute déjà vu le bout du nez. Pourtant ce fût avec une rigueur étonnante que le rituel matinal seffectua.
Si la Mère Supérieure elle était déjà à la préparation de son quotidien si régulier, il y avait en revanche une jeune personne pour laquelle la journée allait tout changer.
Une voix puissante mais féminine fît sursauter la plupart des surs. Mais ce fût la seule intéressée qui ne lentendit pas pour un sous. On pouvait voir une ombre disparaitre à lombre dun regard, dune lampe, personne naurait cru tout ce monde si elles nauraient pas était des religieuses.
MANIERE ! Voila le mot qui fût répéter une seconde fois, plus fort et plus sèchement.
Alors que le temps changea un peu, le soleil se fit plus haut et plus visible. Mais une humeur pesante était là, oui. Sur le haut de la colline, au pied dune haute chapelle un groupe de femme était là, essayant visiblement de retenir une autre jeune femme. Si le regard se portait sur cette magnifique demoiselle on pouvait voir quun regard dambre perlait déjà. Ses cheveux couleurs miel ne furent pas là pour arranger léclat de sa fraicheur si frêle.
Elle navait pas vraiment un grand habit pour la saison mais on pouvait voir dans son regard quelle nétait pas là pour samuser, quelque chose dans son regard faisait pensée quelle avait déjà une idée pour sa vie future. Mais le plus dur pour elle fût sans doute de dire au revoir à celles quelle avait côtoyées pendant des années, quelle avait chéries et admirer.
Mais alors que la jeune femme était sur le point de tomber en larme, le groupe fit un mouvement décartement. Une femme âgée, sans doute plus très loin du Seigneur la prit dans ses bras. On aurait pu dire qui était la femme mais on savait dans un simple coup dil quelle avait beaucoup compter pour la belle.
Mais il était temps pour elle de quitter tout ce beau monde, il était temps quelle découvre la vrai famille, celle quelle avait trop longtemps laissée.
Pourquoi était-ce si dur ? Personnes ne savait vraiment pourquoi un adieu était si compliqué mais cela devait se faire. Mais alors quelle était déjà au pied de la colline elle jeta un dernier coup dil à son passé qui devait se terminer ici et maintenant.
Une voix frêle et délicieuse ne manqua pas de séchapper des lèvres rougeâtre de la blonde, presque comme un cadeau dadieu, elle murmura aux surs une éternelle pensée. « Vous serez toujours là pour moi, je le sais. »
Le soleil fût déjà bien avancer dans sa course quand la belle arriva dans la ville, oh oui. Il devait être trois heures de laprès midi maintenant ? Peut être plus, elle ne le savait plus vraiment à cet instant. Alors quelle avait mit tout son cur dans le voyage vers la civilisation, elle ne savait plus ce quelle voulait. Trop de chose avait était fait pour quelle oublie sur un coup de tête, pourtant elle ne pouvait pas en vouloir à ceux qui lavaient mit au monde. Mais une pensée était là, pourquoi ?
Sans trop savoir où aller elle respirait les effluves de la ville avec délices. Elle navait pas encore goûté à tous les plaisirs de la vie, il y en avait beaucoup trop pour elle. Mais lodeur du pain ou de la viande cuites était pour elle un vrai délice.
Non, il fallait quelle reste concentrée sur ce quelle était venue chercher. Durant son séjour cher les surs notre bonne amie avait appris à lire et aussi à écrire pour son plus grand plaisir. Elle passait presque son temps à ça ! Cétait peu dire, même. Ses pieds n'étaient pas vraiment d'accord avec son intention de marché encore beaucoup, elle savait qu'elle devrait faire une pause avant qu'elle ne croule sous les blessures liés à la marche, pourtant elle ne pouvait se résoudre à s'arrête, c'était trop important pour elle.
Ce fût un sourire digne des plus grand qui s'afficha sur ses lèvres lorsqu'elle aperçut ce qui était pour elle une peut être future délivrance. Alors quelle venait davoir vingt ans ces jours-ci, elle avait eu le droit de quitter lendroit où elle avait pensée le plus clair de son enfance et peut être retrouvé ceux qui étaient des siens. Mais alors, on lui avait appris quelle avait une cousine, elle nen connaissait que son nom, Helena Di Rivombrosa. Malheureusement elle ne savait pas vraiment où elle était Alors il fallait quelle la recherche !
Se fût à la bibliothèque quelle trouva ce quelle était venue chercher, oui, lhomme qui pourrait la renseigner, mais encore faudrait-il quil trouve son bonheurs.
Bonjour Monseigneur, je suis désolée de vous dérangez par cette belle journée. Mais jaurais voulut savoir si vous aviez des écrits ou des informations sur une certaine Helena Di Rivombrosa, cest urgent, pour une « amie ».