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Info:
Rencontre de Guennièvres et Ange.

[RP] Le lac de Chinon

Waldrade
La dernière fois qu'elle était venue près de ce lac, c'était en famille, avec Mathéo, Racam et Louna. Depuis Mathéo avait pris son envol et Racam était sur le point de mourir.

Wal marchait le long du lac, elle tenait la main de sa fille Louna tout peine 4 ans. Comment expliquer à cette petite fille qu'elle ne reverrait plus jamais son père... Cela faisait déjà plusieurs qu'elle essayait de trouver les phrases les moins perturbantes pour expliquer la perte d'un être cher.

La petite ravie de jouer dans la neige avait lâcher la main de sa mère pour courir puis s'empressa de comparer ses empruntes avec celle de sa mère.


Hannn Maman!! t'as des grands pieds!!! Moi ben moi je fais plus de dessins que toi avec mes chauchures!!

Wal esquissa un sourire et proposa la construction d'un bonhomme de neige.

Tu fais comment?? Z'e sais pas faire moi!

Regarde on va faire une petite boule et on va la faire rouler pour l'agrandir.

Pendant l'élaboration de cet être de neige, Wal s'essaya à la faire comprendre l'évolution de la maladie de son père :

Tu sais Louna, je t'ai dit que Papa était très malade... et bien il est de plus en plus malade... et les anges du ciel vont bientôt l'appeler pour qu'il les rejoigne...
Elle regarda la petite qui n'avait pas l'air de l'écouter
Louna!

Papa va pas revenir? Il nous aime plus?
Wal qui avait toujours su retenir ses larmes devant sa fille ne put le faire cette fois ci tout en se laissant tomber à genou. La petite vint câliner sa mère au bout de quelques minutes. Wal tenta de reprendre ses esprits.

Ca te dirait un bon lait chaud ma poussinnette?
Oh oui Maman!! Z'en veux!!
Elle attrapa sa fille et l'emmena prendre un bon gouter
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Maya60
A travers les branches nues des arbres endormis de la foret, Maya distingua le doux miroitement du lac que le soleil timide faisait refleté.

Juchée sur sa jument, elle se laissait berçée par le pas timide de Quessy sur le chemin caillouteux du lac, serrée dans son mantel que tenait une main, les renes dans l'autre.

Apercevant une femme serant contre elle une petite fille,elle arreta sa jument et mis pied a terre, laissant libre sa monture brouter quelques herbes rares le long du talus. Maya ne désirait pas troubler la quietude des promeneurs et restat de longues minutes face au lac, ressassant ses pensées.

Elle esperait fortement qu'il vienne la rejoindre, lui proposant cette ballade. L'heure approchait et elle etait préssée de le retrouver.

Elle avait tout quitter pour le rejoindre sans hésitation, abandonnant ce lourd passé qu'elle ne regretait aucunement, fondant de gros espoirs pour cet avenir incertain mais voulant y croire.
Il etait le seul en qui elle est pu avoir confiance et qui lui avait donné ce sourrire disparut de son visage depuis de nombreuses années.
Mylena_di_mancini
[ La ou je t emmènerais ... ]

Pas cette fois ... elle partait seule , du moins sans lui ! Elle avait du se faire violence pour ne pas se retourner et courir le retrouver sur les remparts . Lui dire qu elle reviendrais , qu il allais affreusement lui manquer . Le supplier de l empêcher de partir ... même s il ne l aurait jamais fait !

Alors en éperonnant son coursier ce soir c est les yeux remplit de larmes qu elle s éloigne de chinon accompagné d une furette , d une abeille et d un boulet . Ils chevaucherons toute une nuit avant d arriver . Furette n est pas rassurée et milles questions déferlent de sa bouche . Mini tente d y répondre du mieux qu elle peut pour rassurer la belette . Au pire Mylèna ne lâcheras pas d une semelle la brunette qui l accompagne . Pourtant Furette devais être habitué aux patrouilles ... mais elle doutait . Il fallu beaucoup de patience a la volcanique pour rassurer son amie .

Quand ils furent assez loin de chinon prêt a quitter les berges du lac , Mylèna laissa ses compagnons s éloigner et stoppa son équidé . Bientôt ils s enfonceraient en rase campagne et pour cela il fallait s équiper .
L insolente attache alors sa longue crinière ébène et couvre son visage d un casque de cuir . Casque qui depuis des années ne la quitte pas mais qui depuis des mois étais rangé dans une mâle . Mylèna avait fait une promesse a Marcello et elle s y tenait sans que cela ne lui coute . Et jamais elle ne trahirais sa promesse . Non ce qu elle allait faire la bas .. étais tous ce qu il y a de plus honorable pour qui défend les valeurs d une terre sacrée .



Masquée , le regard glacial , Minidingue ressurgissait au beau milieu de cette nuit sans étoiles . Demain elle userais de ses talents pour occire ceux qui tenteraient de passer clandestinement . Pas d armée ... pas d armes ... pas de brigandages ... Tout étais respecté !

Il y avais tant de manières de tuer ... sans que le sang coule , sans laisser de blessures béantes ! Et c est avec un sourire presque carnassier qu elle talonne de nouveau son étalon pour le lancer au galop et rattraper la troupe .
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Marcello.
[Au deuxième jour d'un cauchemar sans fin...]

Il devait être cinq, ou six heures.
A chinon comme ailleurs, une nouvelle aube se levait, froide et menant sa monture au petit trot, Marcello quittait les remparts pour rejoindre la rue Saint-George.
Hier encore il espérait son retour. Mais plus le temps passait, plus ses espoirs diminaient.
Devant les rives du lac où doucement le reflet des étoiles s'estompaient, le soldat stoppa la course de sa monture, et parcourut du regard ces rives tranquilles, que si souvent il avait longé avec elle.

La gorge nouée Marcello inspira profondément l'air frais du matin.
Peut-être était-ce mieux ainsi finalement.
Le bonheur de Mylena. Quoi qu'il lui en coûte. C'était tout ce qu'il souhaitait. Même si pour cela, il lui fallait vivre loin d'elle.

Et alors que de ses lèvres s'échappa un profond soupir, un bruissement à quelques pas de lui le fit sursauter et sortir de ses songes.
Derrière un épais feuillage, une colombe d'un blanc immaculé le fixait sans ciller, la tête légérement inclinée.
Elle était là. Immobile et roucoulante. Docilement perchée sur la branche d'un lilas pourpre non loin du sentier qu'il suivait.
En la voyant, Marcello sourit doucement.

Si tant est qu'il y en ait eu plusieurs dans les parages, cette colombe ci n'était pas n'importe laquelle: C'était celle qui avait porté ce message à Myléna lors de leur rendez-vous manqué de l'avant veille. Celui qu'il n'avait pû honoré car l'heure de prendre sa garde approchait, et qui avait précédé le départ de sa déesse...

Mais alors qu'il s'approcha d'elle, un détail lui sauta aux yeux et le fit froncer les sourcils et stopper net.
Autour de son cou brillait un lourd pendentif d'argent finement ciselé et certi de pierres écarlates, et cliquetait sur sa chaînette à chaque mouvement de l'oiseau.

Ce pendentif, il l'aurait juré, jusqu'à aujourd'hui le soldat ne l'avait vu scintiller qu'autour du cou d'une seule personne. Et alors qu'il tendait la main pour se saisir du médaillon, et que la colombe pourtant accoutumée à sa présence eut un mouvement de recul, tout devint clair, et soudain son coeur se mit à accélérer ses battements:
C'était elle. C'était Mylena qui avait renvoyé l'oiseau. Elle qui ne retirait jamais son pendentif. Elle qui n'était pas loin. Qui l'appelait auprés d'elle. Elle qui où qu'elle se trouve, avait besoin de lui.

Au même moment, la colombe quitta sa branche, et s'en alla se percher plus loin, en direction de la campagne qui bordait la ville.
L'heure n'était plus aux questions. Il ne savait pas pourquoi. Il ne savait comment. Mais de toute évidence, l'oiseau attendait qu'il le rejoigne et voulait qu'il le le suive à tout prix.
A cet instant, plus rien n'importait d'autre que cette oiseau au cou duquel s'agitait un médaillon.

Sans plus se poser de questions, le Florentin fouetta l'encolure de son cheval, et le nez en l'air le fit trotter, puis galoper, de plus en plus vite, suivant anxieusement un oiseau blanc qui virevoltait d'un arbre à l'autre...
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Gabrylla
Elle tournait en rond dans sa chambrée, à la recherche d’un de ses chapelets. Celui que lui avait offert sa mère : son dernier cadeau avant de partit pour Dijon, il y avait déjà bien longtemps.

Gabrylla soupira une énième fois, agacée, et finit par s’étaler sur un petit fauteuil , cadeau d’un habitant d'un village durant ses long voyage dont elle ne se rappelait que très vaguement le visage, et pas du tout le nom. Elle ne chercha plus l’objet convoitée que du regard, et ses iris tombèrent sur son reflet dans le grand miroir de sa chambre qui servait à lui seul de décoration...

Ses pupilles s’attardèrent sur les joues vermeilles, le teint admirable, le cou délié et la bouche rose que barrait une mèche de cheveux dorée.A ses 20 ans, au début de sa vie Gabrylla était encore une jeunette comme disais un certain Homme...et son charme pourtant émanait de son regard une certaine lassitude depuis qu'elle était partit de chez elle...

Elle regrettait son village, peuplés de bals et de rires légers, de voyages et de réceptions dans les tavernes. Les airs complices de ses amis, les monologues pétulants des nobles, les sourires mielleux de cet Homme...

Gabrylla pencha la tête, apercevant au loin, sur la console, fichée entre deux coffrets de bijoux, une chose qui brillait avec les rayon du soleil qui s’apparentait à un chapelet.
Se relevant prestement, elle alla quérir l’objet, le regarda puis soupira...Elle n'avait plus envie d'aller à l'Eglise ses heures à chercher ce chapelet l'avait ennuyer...Elle se changea et enfila des braies ainsi qu'une simple chemise puis elle sortit de sa chambrée dans l’intention de rejoindre le lac, dont on lui avait parler quelques jours avant...

Elle mit sa cape sur ses épaules, remonta sa capuche sur sa tête cachant ainsi ses cheveux blond, puis passa la porte...Les beaux jours étaient de retour et Gaby prenait plaisir à se balader au bord des lacs ou dans les forêt.

Arrivé au bord du lac, elle se promena chantonna une chanson qu'une lui avait appris durant ses voyages quand elle vit au loin une barque, ceci lui rappela les souvenirs qu'elle avait avec son père, les partis de pêche qui ne se finissait jamais ! La jeune femme avança vers celle-ci, se pencha au dessus et vit une canne à pêche...Elle se tourna regarda autour d'elle si personne n'était là en disant doucement...
"Hum...Il y a quelqu'un ???" Pas de réponse...Sourire en coin, elle poussa la barque dans l'eau et monta dedans...Elle avait décider de pêcher, sa faisant tellement longtemps !

Elle s'assit dans la barque et rama jusqu’à arriver au milieu du lac...Canne à pêche à la main, elle lança le fil dans l'eau et posa la canne sur la barque attendant un poisson...Les rayons du soleil reflétait sur le lac et la jeune femme commençait tous de même à avoir chaud, elle enleva sa cape et la posa à coté d'elle, puis regarda attentivement le bouchon en liège...

Sa faisait déjà un moment que Gaby était la à attendre...Elle s'allongea alors dans la barque et pose sa main sur la canne pour la sentir bouger si un poisson se décidait à mordre...Le soleil tapait sur son visage, elle aimait sa...sentir la chaleur du soleil sur son corps, elle attendait l'été avec impatience...Gaby pensa que Chinon était un village très calme, peux être un peu trop mais il avait malgré tout ses charmes comme ce lac...Peu à peu Gaby s'endormait doucement...elle sentait sa barque avancer doucement dans le lac se qui la berçait et la fit s'endormir encore plus vite...

Elle dormait profondément quand la barque se mit à bouger, Gaby se réveilla au sursaut et eu juste le temps de rattrapé la canne à Pêche avant qu'elle ne tombe à l'eau, le bouchon de liège était sous l'eau et le poisson bougeait dans tous les sens embarquant avec lui la canne à pêche et la barque ! Gaby tira sur celle-ci comme elle le pouvait avant que La barque rencontre un rocher...Gaby prit par surprise lâcha la canne et regarda la trou dans la barque avec de gros yeux et mit ses mains sur sa bouche en disant doucement : " Oh...Non, pas sa.." elle essaya par tous les moyens de boucher se trou pour ne pas couler mais pas moyen...l'eau remplissait déjà à moitié la barque...Gaby regarda le ciel, soupira et sentait déjà ses genoux sous l'eau...Elle regarda la barque s'enfoncer de plus en plus et se parla à sois même :
" Bon...Et bien je crois que il va falloir nager..." La jeune femme pris vite sa cape et plongea...l'eau était foncé et lui piquait les yeux, pas moyen d'ouvrir les yeux sous l'eau...Elle remonta alors se cognant la jambe contre ce fameux rocher et laissa échapper un cri lorsque sa tête était sortit de l'eau...

Elle se mit à nager tenant sa cape entre les dent et s'approcha de la berge...Enfin arrivée à celle-ci elle se laissa tomber sur l'herbe dans un long soupire...La jeune femme jeta sa cape sur l'herbe et inspecta ses habit mouillé lui coller au corps et grimaça lorsqu'elle vu du sang sur son mollet, se rocher avait décidément pas décider de l'épargner...elle reposa sa tête sur l'herbe, regarda la ciel...Elle resta allongée sur l'herbe et décida d'attendre que ses habits sèchent...Le sourire au lèvres elle se dit alors qu'elle n'irait plus à la pêche seule...

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Mylena_di_mancini
[ UN MATIN A MINUIT ]

Une soirée en taverne , parce que depuis le départ de son Florentin il fallait qu elle vois du monde au risque pour l infernale de tourner en rond et de devenir complètement dingue . Une compagnie de joyeux luron et une idée lancé par le jeune Polzar . Une idée ou un défi ? Allez savoir !!

Mylèna avait donc comme a son habitude pris ça comme un défi et la voila cette matinée de la mi Mars perché sur son étalon a chevaucher le long de la berge du lac Chinnonais . Personne en vue ... se serait ils tous dégonflé ?
Possible mais elle avait du mal a y croire .

De ses azures elle fixe la petite ile au milieu des eaux tranquille , sur la berges quelques barques inoccupé , appartenant surement a quelques pêcheurs . L idée étais une course en barque jusqu a la fameuse Ile et un retour a la nage . La brunette sourit malicieusement et sauta gracieusement de son perchoir . La matinée étais fraiche et il y avais de grande chances que l eau le soit encore plus ! Alors en attendant la bande de dégonflé Mylèna ôtes ses botte de cuirs qui gaine ses gambettes , puis déroule soigneusement ses bas un a un . S avançant alors prêt de la rive elle tente une petite trempette du bout des orteils pour vite les retirer ... Ouchhh oui l eau étais ... froide ! A cette saison il y avais encore des gelée matinale . Quelle idée encore tsssssssss , mais elle étais la et ne renoncerait pas .

L effrontée arpente alors la berge en attendant que tous arrive , s il avait le courage de venir bien sûr ^^

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Edelweiss_
[Du pain, du vin, un bain?]

Emelinne s'était levée très très tôt, à moitié endormit, elle est jeta les stères de bois dans le four afin de le monter en température, elle apporta les sacs de farine dont elle avait besoin, quelques litres d'eau, de grosse pincer de sel, une levure qu'elle avait préparé la veille et qui dégageait une agréable odeur de levin, puis ses mains commencèrent à mélanger le tout, un léger nuage blanc se souleva, elle pétrissait la pâte en pensant à une potentielle victime, c'est que mine de rien, c'est physique comme tâche...
Elle s'essuya le front avec son épaule avant d'entamer le découpage de la pâte en morceaux généreux pour les mettre en boule et les enfourner dans son four tout neuf.
Pendant la cuisson elle se fit un petit déjeuner. Une agréable odeur se répandit dans la boulangerie, le pain avait pris une jolie couleur dorée et commençait à craqueler en se levant.


Hummm... J'ai réussi ! Wouhaaaaa... Mon premier pain !

Elle les retira du four pour les entreposer encore brulant dans des paniers en osier afin de les vendre au marché lorsqu'elle s'arrêtait net.
Emelinne avait eu vent d'une course sur le lac, et ça, elle ne voulait pas le rater...


Mais c'est ce matin .!!!

Elle ne pris pas le temps de se changer ni d'enlever la couche de farine qui la couvrait presque intégralement et sortie de sa boulangerie direction le lac, elle entrepris de prendre un raccourcie, se fraya un chemin au travers des buissons, arbres et ronces pour enfin arriver sur les lieux d'où elle pouvait apercevoir Myléna qui s'impatientait en arpentant la berge.

Bonjour ! J'suis par en retard?

Tout en marchant elle revela ses braies sur le haut de ses cuisses et retira ses bottes en sautant a cloche pied afin d'aller tremper ses pieds.. l'eau glacée lui saisissa la peau qui se frisa et la fit frémire légerement.

Oh.. Elle est..... Froideuhhhhh !!!!
Targus
Targus et Espoir etaient arrivés main dans la main au lac.
Targus apperçu deux silhouettes de l'autre coté. Au vue de leurs formes cela ne pouvait être que deux femmes.


Tu viens on fait le tour?
Moi je ne sais pas si je vais nager, je nage guère mieux qu'une pierre, et encore je suis sur que même un cailloux se debrouille mieux que moi.


Targus épèrait que sa cherie, ne veuille elle non plus, pas allez dans l'eau.
En plus elle avait l'air froide.


Et toi tu va nager? Elle a l'air froide quand même non? Reste avec moi sur le bord tu veux?

Arrivés de l'autre coté, Targus reconnu Mylena et Emelinne.

Bonjour, et bien dame Emelinne vous m'avez l'air bien palotte, vous êtes malade?
Et vous dame Mylena, vous m'avez l'air, euuuuuh , comment dire!!! Motivée pour cette baignade?

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Polzar
Miladiou de miladiou il et ou donc se fichu lac pol nouvel arrivant sur chinon avait pris la mauvaise direction ..pfff bien de moi de me perdre pol aperçut une tite vielle au bord d'un chemin ramassant quelques fagots .

Bonjour dame dites voir le chemin du lac je prend quel direction

la tite vieille lui indiqua un chemin à l'opposé de la direction ou il se trouve.

bin min gamin te voila perdu !! va par là tu en a pour deux minutes.

pol fi demi-tour et fonça direction le lac .

Me voila cria pol en voyant ses nouveaux amis je me suis paumé en chemin miladiou.. il salua ses amis et approcha du bord humm fraiche fraiche mais bien agréable allé zou à la flotte pol rit de bon coeur
Mylena_di_mancini
La première arrivée fut Emelinne qui tenta une trempette d orteils tous comme l avais fait la brunette quelques instants auparavant . Aux vu de la grimace que fit la jeune femme Mylèna étira un sourire complice .

Han han ... bonjour Emelinne . Et oui froide l eau hein ! Elle rit de bon coeur et lui proposa de choisir une barque . Nous devrions choisir une barque avant que les autres arrivent . Et en choisir une en bon état si possible ...

Puis se faisant les deux complices aperçurent Sir Targus accompagné de sa douce Espoir . Le couple d amoureux n avait pas l air motivé pour se mettre a l eau .

Bon vous m avez l air frileux vous deux ! Je vous propose de jouer les supporters et de veiller a arbitrer la course . Qu en pensez vous ?


A peine fermé la bouche et fini sa phrase que Pol arriva bien décidé a se jeter a l eau tel une perche ou autre poisson d eau douce . Décidément les jeune alevins fougueux et impatient !

Oué t as qu a partir devant nous on prend une barque jusqu a l ile on t attendra hein promis .


Un clin d oeil complice a Emelinne et aux amoureux et le regard de la Brigande balaya les alentours . Il manquais quelqu un qui a coup sur ne manquerais ps de venir relever le défi et s amuser .

Bon je crois qu il manque Gaby , elle veux aussi participer . On va l attendre un peu .

Retroussant a présent ses jupons et les nouant sur le coté pour ne pas être gênée , Mylèna entreprit de monter a bord d une barque afin d être paré au départ . L entreprise fut périlleuse tant la barque tanguais , l intrépide Italienne rétabli l équilibre et pris place rame en main .

Quand gaby arriveras Targus vous donnerez le départ si vous voulez bien . Parce que quand les pêcheurs vont arriver et découvrir qu on leur a faucher leur coquilles de noix ..bah faudras pas traine dans le coin hein . Tous le monde coure vite j espère ... ????

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Targus
Targus n'etait pas contre l'idée de rester au sec, donc oui il donnera le depart. Polzar etait arrivé, il ne manquait plus qu'un candidat a l'appelle.

Je sifflerai, quand les pecheurs arriveront, si vous n'etes pas revenus j'essairai de les distraires.
Vous avez quand même bien du courage de vous mettre a l'eau avec ce froid.



Targus se dit que quand même il faudra qu'il apprenne a nager, ça a l'air tellement amusant tout ça et puis ça peu aider.
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Guennievres
Guennievres enfin rétabli de sa cheville décida d'aller faire un tour au lac elle sortie de chez elle et pris le chemin pour aller au lac elle marcha pendant un moment quand elle fut arriver elle vue au loin des gens qui nageaient et une personne qui était debout elle courut aller voir qui était c'est gens . arriver toute essoufflé elle leur dit :


-bonjour a tousse je vois que vous vous amusaient bien l'eau n'est pas tros froide ?



elle regarda Targus qui était au bord du lac elle alla le voir :


-bonjour Targus pourquoi n'allez vous pas nager ?


elle rougis gênée de lui avoir posé cette question
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Mylena_di_mancini
Citation:
Je sifflerai, quand les pecheurs arriveront, si vous n'etes pas revenus j'essairai de les distraires.
Vous avez quand même bien du courage de vous mettre a l'eau avec ce froid.


Mylèna sourit aux paroles de Targus , la c étais clair aucun doute les amoureux ne se mettraient pas a l eau ! Puis soudain le regard de la brunette fut attirée par une nouvelle arrivante . La jeune Guennièvres fit son apparition et visiblement sa cheville allait mieux .

Oh bonjour Guennièvres , voulez vous participer a la course ?


Mylèna invita Guennièvres a prendre place sur une barque puis indiçât a Targus ...

Bon et bien je crois que Gaby ne viendra plus maintenant , vous pouvez donner le départ ...

Fin prête l effrontée , rame en main n attendait plus que le signal pour se lancer dans la course .

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Targus
Targus vit Guennievres s'approcher elle semblait ne plus avoir de soucis avec sa cheville. Targus lui sourit cela faisait longtemp qu'il ne l'avait pas vu.

Ca va bien, tu as l'air d'etre retablie.

Targus allait donner la depart, quand Mylena interpella la jeune fille pour lui demander si elle souhaitait participer a la joute aquatique.
La Reponse de la jeune fille donnée, il pourra alors donner le départ.
Il remarqua aussi le sourire de de Mylena, celui ci laissait supposé que l'italienne avait compris les intentions du jeune couple d'amoureux qu'il formait avec Espoir.
Il lui sourit en retour.
il plongea son regard complice dans celui de sa bien aimée.
il s'approcha de son oreille lui murmura


[b] on sera mieux couchés la bas, il avait désigné un carré d'herbes épaisses du bout de son menton. [i][b/]


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Espoir
Espoir repondit au regard taquin de son bien aimé, et lui fit comprendre que en effet elle preferait bien mieux ce petits coins d'herbes vertes. Espoir lui pris doucement la main et le menna doucement vers ce coin paisible et agréable.

Espoir pris une petite couverture qu'elle installa correctement au sol et ammena son tendre pres d'elle.

Espoir plonga son regard dans le siens:


" Mon coeur on est si bien la tous les deux a flaimarder , je suis si bien avec toi le temps passe trop vite quand nous sommes tous les deux, je t'aime tellement"

Espoir se blottisa dans ses bras et se laissa rever de leur vie futur.
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