Caro68130
Je pensais que le plus dur était derrière moi et là, une fois de plus je me retrouvais face à un problème, un énorme problème où je ne vois malheureusement aucune issue. Assez jen avais plus quassez de tous ces soucis qui ne faisaient que se succéder sans me laisser de répit.
Après ma discussion avec Oli et ses paroles au conseil, je navais eu de cesse de penser et repenser encore et encore à tout cela. De ma vie je nétais plus libre den faire ce que je voulais sans mettre tout un tas de personnes dans des situations impossibles.
Pourquoi ? Pourquoi donc me suis-je mariée ? Jamais je naurai dû le faire, jamais !! Bien sûr à lépoque je ne pouvais pas savoir mais aujourdhui je me retrouvais dans une telle situation que jétais enchainée.
Dans la petite chambre dauberge, assise en tailleur à côté de la cheminée, penchée vers lavant, tête baissée reposant sur mes mains jointes dont les bras étaient appuyés sur mes jambes, le regard vide fixant le sol, je me sentais mal et perdue. Le nud à lestomac, la gorge nouée, je ne savais que faire personne ne pourra maider, dans ce pétrin je métais mise toute seule. Tout cela nest que cauchemar où jespérai pouvoir me réveiller. Mais tel ne sera pas le cas car il ne sagit là que de ma vie, ma misérable vie.
Pourquoi donc fallait-il que cela se passe ainsi et que de ma propre vie je ne puisse plus faire ce que je veux ? Par Aristote, si tu savais à quel point jai peur de perdre mon bien aimé, si tu savais à quel point je laime et surtout à quel point jai peur de le décevoir et quil finisse par ne plus supporter la situation dans laquelle je me trouve et décide de partir.
Le choix de sa vie il a, il est libre de faire ce que bon lui semble sans que cela ne porte préjudice à qui que ce soit alors que moi ? Moi ? Je ferai encore et toujours du tort, du mal. Si seulement dun simple claquement de doigts je pouvais tout changer, mais non rien ny fera. Prisonnière, enchainée je le serai à tout jamais.
Annulation, bastarde .. Dissolution, perte des terres si je venais à enfreindre la loi .Assez, assez de tout cela, assez Aristote viens moi en aide je ten supplie !!!
En rage, en colère contre moi du mépris, de la haine envers ma personne . Envie de fuir, partir, oublier . pourquoi tout cela mest impossible ? Par Aristote je ne demande pas grand chose et mesme cela je ne laurai pas. Juste envie de vivre MA vie, juste envie destre libre de MES faits et gestes ? Juste envie de LE suivre jusquau bout du monde et de partager SES envies, MES envies. Oui jai lenvie mais
Le cur semballait et la douleur revenait. Tournant ma tête vers la cheminée je voyais là de costé la dague que javais posée la veille. Regard sattardant sur larme blanche. Je tendais doucement ma main pour la prendre tout en me redressant. Des larmes perlaient sur mes joues serait-ce donc lultime solution pour me délivrer de tout cela ? Laisser derrière moi un amour des plus grands mais qui finirait sans doute un jour par lassitude de ne pouvoir voir sa bien aimée accomplir ce quelle souhaiterait du plus profond de son être.
Procès, jen étais à faire mon propre procès et la juge que je suis infligerait la sanction fatale, le verdict le pire quil puisse y avoir
Accusée en annulant votre mariage vous rendrez votre chair et votre sang au rang de bastarde
Accusée en risquant denfreindre un jour peut-être la loi et ce même en ayant procédé à la dissolution de votre mariage, vous ferez perdre sa baronnie à votre époux.
Par conséquent, que vous choisissiez lune ou lautre solution vous causerez du tort à tierce personne.
Par tous ces faits, je ne vois que délivrance en vous infligeant la peine la plus sévère soit la mort.
La main portant la dague se rapprochait doucement vers labdomen pour remonter lentement vers le cur, laissant la lame aller se frotter contre le tissu. Etrange sensation . La peur se mêlant à lamour, au mal et à la volonté que tout sarrête enfin. Tout mon corps se mettait à frissonner, main légèrement tremblante, je puisais au fond de moi la force nécessaire pour pouvoir accomplir le geste .
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En cours de changements
Après ma discussion avec Oli et ses paroles au conseil, je navais eu de cesse de penser et repenser encore et encore à tout cela. De ma vie je nétais plus libre den faire ce que je voulais sans mettre tout un tas de personnes dans des situations impossibles.
Pourquoi ? Pourquoi donc me suis-je mariée ? Jamais je naurai dû le faire, jamais !! Bien sûr à lépoque je ne pouvais pas savoir mais aujourdhui je me retrouvais dans une telle situation que jétais enchainée.
Dans la petite chambre dauberge, assise en tailleur à côté de la cheminée, penchée vers lavant, tête baissée reposant sur mes mains jointes dont les bras étaient appuyés sur mes jambes, le regard vide fixant le sol, je me sentais mal et perdue. Le nud à lestomac, la gorge nouée, je ne savais que faire personne ne pourra maider, dans ce pétrin je métais mise toute seule. Tout cela nest que cauchemar où jespérai pouvoir me réveiller. Mais tel ne sera pas le cas car il ne sagit là que de ma vie, ma misérable vie.
Pourquoi donc fallait-il que cela se passe ainsi et que de ma propre vie je ne puisse plus faire ce que je veux ? Par Aristote, si tu savais à quel point jai peur de perdre mon bien aimé, si tu savais à quel point je laime et surtout à quel point jai peur de le décevoir et quil finisse par ne plus supporter la situation dans laquelle je me trouve et décide de partir.
Le choix de sa vie il a, il est libre de faire ce que bon lui semble sans que cela ne porte préjudice à qui que ce soit alors que moi ? Moi ? Je ferai encore et toujours du tort, du mal. Si seulement dun simple claquement de doigts je pouvais tout changer, mais non rien ny fera. Prisonnière, enchainée je le serai à tout jamais.
Annulation, bastarde .. Dissolution, perte des terres si je venais à enfreindre la loi .Assez, assez de tout cela, assez Aristote viens moi en aide je ten supplie !!!
En rage, en colère contre moi du mépris, de la haine envers ma personne . Envie de fuir, partir, oublier . pourquoi tout cela mest impossible ? Par Aristote je ne demande pas grand chose et mesme cela je ne laurai pas. Juste envie de vivre MA vie, juste envie destre libre de MES faits et gestes ? Juste envie de LE suivre jusquau bout du monde et de partager SES envies, MES envies. Oui jai lenvie mais
Le cur semballait et la douleur revenait. Tournant ma tête vers la cheminée je voyais là de costé la dague que javais posée la veille. Regard sattardant sur larme blanche. Je tendais doucement ma main pour la prendre tout en me redressant. Des larmes perlaient sur mes joues serait-ce donc lultime solution pour me délivrer de tout cela ? Laisser derrière moi un amour des plus grands mais qui finirait sans doute un jour par lassitude de ne pouvoir voir sa bien aimée accomplir ce quelle souhaiterait du plus profond de son être.
Procès, jen étais à faire mon propre procès et la juge que je suis infligerait la sanction fatale, le verdict le pire quil puisse y avoir
Accusée en annulant votre mariage vous rendrez votre chair et votre sang au rang de bastarde
Accusée en risquant denfreindre un jour peut-être la loi et ce même en ayant procédé à la dissolution de votre mariage, vous ferez perdre sa baronnie à votre époux.
Par conséquent, que vous choisissiez lune ou lautre solution vous causerez du tort à tierce personne.
Par tous ces faits, je ne vois que délivrance en vous infligeant la peine la plus sévère soit la mort.
La main portant la dague se rapprochait doucement vers labdomen pour remonter lentement vers le cur, laissant la lame aller se frotter contre le tissu. Etrange sensation . La peur se mêlant à lamour, au mal et à la volonté que tout sarrête enfin. Tout mon corps se mettait à frissonner, main légèrement tremblante, je puisais au fond de moi la force nécessaire pour pouvoir accomplir le geste .
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