Blanche_von_frayner
[Ou comment doit-on se méfier d'une jeune peste trop silencieuse]
Non ! Non ! Non !
Il navait que ce mot là à la bouche.
Et ce mot horrible, Elle ne laimait pas Sauf sil sortait de sa bouche.
Ou quand, par caprice, elle aimait à contrarier le monde qui lentoure.
Ainsi, Il ne voulait pas lui offrir une nouvelle houppelande.
Soit ! Mais de la voir ne pas insister aurait du lui faire se méfier.
La peste navait plus reparlé de cette nouvelle vêture.
Un peu comme si elle avait oublié jusquà celle-ci, simple caprice de femme coquette.
Quiconque la connaissait aurait pu dire quil nen était rien et être sûr de ne pas se tromper.
Agacée de voir toutes ses demandes refusées, déboutées, Blanche avait eut une autre idée.
Le sourire ne la quittait plus depuis.
Bien que par moment, ses joues rosissaient sous le regard de son épouvantable frère.
La jeune femme avait réussi à déjouer la vigilance de Roger, leur domestique, en labsence de son frère.
Cest ainsi quelle sétait glissé furtivement dans la chambre de cet être obtus et lui avait subtilisé une chemise et des braies.
Et pas nimporte lesquelles ! De celles quil venait de soffrir avarement car il avait une tenue qui sétait vu trop vite usée.
Blanche sétait alors enfermée dans sa chambre, y refusant laccès à tout le monde.
Et de ses doigts encore malhabiles, elle avait arrangé les vêtements pour quelle puisse sy sentir plus à son aise.
Il était fort à parier que son frère nallait pas aimer de voir ce quelle avait fait.
Des heures durant, elle coupa et recousu les vêtures avant de les enfiler.
Autant les longueurs sétaient arrangées facilement.
Autant elle navait rien tenté pour le tour de taille.
La peste sétait donc contentée de faire une large ceinture avec les chutes de tissus.
Ainsi accoutrée, elle alla sinstaller dans le bureau de son frère et ly attendit patiemment.
La peste avait pris soin de tourner le fauteuil afin quelle ne soit pas à vue de l'aîné dès lentrée de celui-ci.
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Non ! Non ! Non !
Il navait que ce mot là à la bouche.
Et ce mot horrible, Elle ne laimait pas Sauf sil sortait de sa bouche.
Ou quand, par caprice, elle aimait à contrarier le monde qui lentoure.
Ainsi, Il ne voulait pas lui offrir une nouvelle houppelande.
Soit ! Mais de la voir ne pas insister aurait du lui faire se méfier.
La peste navait plus reparlé de cette nouvelle vêture.
Un peu comme si elle avait oublié jusquà celle-ci, simple caprice de femme coquette.
Quiconque la connaissait aurait pu dire quil nen était rien et être sûr de ne pas se tromper.
Agacée de voir toutes ses demandes refusées, déboutées, Blanche avait eut une autre idée.
Le sourire ne la quittait plus depuis.
Bien que par moment, ses joues rosissaient sous le regard de son épouvantable frère.
La jeune femme avait réussi à déjouer la vigilance de Roger, leur domestique, en labsence de son frère.
Cest ainsi quelle sétait glissé furtivement dans la chambre de cet être obtus et lui avait subtilisé une chemise et des braies.
Et pas nimporte lesquelles ! De celles quil venait de soffrir avarement car il avait une tenue qui sétait vu trop vite usée.
Blanche sétait alors enfermée dans sa chambre, y refusant laccès à tout le monde.
Et de ses doigts encore malhabiles, elle avait arrangé les vêtements pour quelle puisse sy sentir plus à son aise.
Il était fort à parier que son frère nallait pas aimer de voir ce quelle avait fait.
Des heures durant, elle coupa et recousu les vêtures avant de les enfiler.
Autant les longueurs sétaient arrangées facilement.
Autant elle navait rien tenté pour le tour de taille.
La peste sétait donc contentée de faire une large ceinture avec les chutes de tissus.
Ainsi accoutrée, elle alla sinstaller dans le bureau de son frère et ly attendit patiemment.
La peste avait pris soin de tourner le fauteuil afin quelle ne soit pas à vue de l'aîné dès lentrée de celui-ci.
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