Doryen


C'est qu'un chien après tout...
Papa, maman, enfants, chat, maison... et chien...
Pourquoi pas ?
Parce que c'est pas le chien le souci.
C'est le mensonge qui l'accompagne...
Crise de confiance et drap patiemment déplié pour se poser sur le lit. C'est doux, c'est neuf ? Ouais... Et ça détend...
Au fond... c'est juste un chien.
Puis elle...
Bah, c'est une évidence, ils ne viennent pas du même moule.
Pauvre et à peu près honnête, contre Madame De et carrément truande.
Le calme patient, contre l'impulsivité agressive.
C'était déjà une évidence des semaines auparavant, avant même le premier contact, avant même que son coeur s'emballe lorsque leurs lèvres se sont rencontré pour la première fois, avec la promesse de ne plus jamais se quitter.
Et quoi ?
Tout accepter ?
Faire l'homme, l'amant, le papa, la nounou, le travailleur, l'esclave ?
Céder chacun de ses caprices ?
Prendre sur soi, encore et toujours, au risque d'exploser un jour, de devenir mauvais, d'insulter, de jeter les meubles a terre, d'hurler en claquant la porte ?
" Je peux t'aider?
Le regard de se planter sur le drap.
Effort surhumain pour elle que de venir à lui, peut être un prémisse de conscience... celle d'abuser plus que de raison de sa patiente, de sa confiance, de son travail, de son amour.
- Je t'aime.
Parce qu'il faut bien commencer quelque part...
Alors autant commencer par l'essentiel, tandis que les fesses se posent sur le drap tout fraîchement tendu sur le lit, et que le Gris rencontre l'Acier.
- Je t'aime. C'est évident... Et si ce chien te plaît, que ça te ferait plaisir qu'on le garde... Alors ok...
Haussement d'épaule, parce qu'au fond...
Le chien on s'en tape...
- Je ne vais pas me battre pour un chien. Ni même pour un bracelet. Pas plus pour un potager, un balai, une cuisine, un repas, toutes tes houps, ton besoin de dépenser à l'excès, ton chat... Mais ne me mens pas. Jamais. J'ai besoin d'avoir confiance en toi, parce que... je t'aime. Que j'ai peut être peur de te perdre, que je me fais peut être du souci pour toi, pour vous, pour nous, pour plus tard, que je ne suis pas riche, c'est déjà assez pénible de le dire, que je n'aime pas te voir traîner en ville, parce que...
Soupir Dd0dien...
Parce que j'ai pas envie que tu sois tenté par un autre.
Parce que je t'aime.
Parce que Nous, c'est tout ce qu'il me reste, tout ce que je veux, tout ce dont j'ai besoin.
... Et bleu qui plonge dans sa moitié.
- Alors ok pour ce chien... Mais à l'avenir, préviens moi. Et va falloir aider un peu. Je sais qu'il y à encore énormément à apprendre l'un sur l'autre, que ça demandera du temps... Je saurai être patient... Mais aide moi chérie."
Voilà.
Un homme, ça parle peu.
Alors quand ça parle, ça compte pour l'année...
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Papa, maman, enfants, chat, maison... et chien...
Pourquoi pas ?
Parce que c'est pas le chien le souci.
C'est le mensonge qui l'accompagne...
Crise de confiance et drap patiemment déplié pour se poser sur le lit. C'est doux, c'est neuf ? Ouais... Et ça détend...
Au fond... c'est juste un chien.
Puis elle...
Bah, c'est une évidence, ils ne viennent pas du même moule.
Pauvre et à peu près honnête, contre Madame De et carrément truande.
Le calme patient, contre l'impulsivité agressive.
C'était déjà une évidence des semaines auparavant, avant même le premier contact, avant même que son coeur s'emballe lorsque leurs lèvres se sont rencontré pour la première fois, avec la promesse de ne plus jamais se quitter.
Et quoi ?
Tout accepter ?
Faire l'homme, l'amant, le papa, la nounou, le travailleur, l'esclave ?
Céder chacun de ses caprices ?
Prendre sur soi, encore et toujours, au risque d'exploser un jour, de devenir mauvais, d'insulter, de jeter les meubles a terre, d'hurler en claquant la porte ?
" Je peux t'aider?
Le regard de se planter sur le drap.
Effort surhumain pour elle que de venir à lui, peut être un prémisse de conscience... celle d'abuser plus que de raison de sa patiente, de sa confiance, de son travail, de son amour.
- Je t'aime.
Parce qu'il faut bien commencer quelque part...
Alors autant commencer par l'essentiel, tandis que les fesses se posent sur le drap tout fraîchement tendu sur le lit, et que le Gris rencontre l'Acier.
- Je t'aime. C'est évident... Et si ce chien te plaît, que ça te ferait plaisir qu'on le garde... Alors ok...
Haussement d'épaule, parce qu'au fond...
Le chien on s'en tape...
- Je ne vais pas me battre pour un chien. Ni même pour un bracelet. Pas plus pour un potager, un balai, une cuisine, un repas, toutes tes houps, ton besoin de dépenser à l'excès, ton chat... Mais ne me mens pas. Jamais. J'ai besoin d'avoir confiance en toi, parce que... je t'aime. Que j'ai peut être peur de te perdre, que je me fais peut être du souci pour toi, pour vous, pour nous, pour plus tard, que je ne suis pas riche, c'est déjà assez pénible de le dire, que je n'aime pas te voir traîner en ville, parce que...
Soupir Dd0dien...
Parce que j'ai pas envie que tu sois tenté par un autre.
Parce que je t'aime.
Parce que Nous, c'est tout ce qu'il me reste, tout ce que je veux, tout ce dont j'ai besoin.
... Et bleu qui plonge dans sa moitié.
- Alors ok pour ce chien... Mais à l'avenir, préviens moi. Et va falloir aider un peu. Je sais qu'il y à encore énormément à apprendre l'un sur l'autre, que ça demandera du temps... Je saurai être patient... Mais aide moi chérie."
Voilà.
Un homme, ça parle peu.
Alors quand ça parle, ça compte pour l'année...
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