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[RP fermé] Bleu sur Bleu

Doryen
Ah ça, pour souffler... il souffle...
Et bruyamment même.
Suffisamment pour que l'exaspération soit palpable.

Faut dire qu'il aura commencé par faire comme si de rien était, quitte à se gratter l'oreille pour vérifier que son ouï fonctionne tout à fait correctement, et qu'elle ne l'abuse par inadvertance. Puis de toute évidence, lorsque le Gris se pose sur l'Acier, il entend non seulement très bien, mais en plus il ne s'agit pas d'une farce. Non, la Colombe a réellement attendu la veille de la cérémonie pour lui annoncer la présence de quelques illustres inconnus pour lui...

Quoique Ignace...
Le nom ne lui est pas inconnu.
De là à se rappeler l'avoir croisé, vu, ou simplement entendu parler...
Ignace et sa troupe.
Traduisez Ignace et son Clan.
Parce qu'en terme de relation, la future ex presque femme est plus proche de la Chiasse que de la Colombe, et c'est pas vraiment difficile d'imaginer l'Ignace en question plus proche de Fatum que de la Prévôté... Pas vraiment le genre au Dd donc, qui s'imagine déjà devoir faire bonne figure devant une armée de brigands à l'allure douteuse et à la conversation axée sur le brigandage, jusqu'à ce que la patience s'amenuise et que l'affaire finisse en concours de quéquette ou pire... Et seul contre une... Troupe... largement de quoi pourrir une cérémonie... Surtout avec déjà un bras en écharpe...
Pire !
Combat de coq en perspective, pour peu que certains soient aussi pédant ou prétentieux que le blond, allez savoir qui des nouveaux venus soient tiraillés par la jalousie, plutôt de mode ces temps ci...

Bref.
Même le faux sourire à du mal à sortir.

- Il était temps de me le dire...

Alors oui, je t'aime.
Alors oui, j'accepterai à peu près tout de toi.
Alors oui, on à traversé suffisamment de difficultés, perdu suffisamment d'amis, d'ex, récoltés suffisamment de quolibets.
Alors oui, je soupire...
Puis je prie intérieurement...


- Ça fait plus de courses à faire. Puis on va pas empoisonner tes amis en te laissant cuisiner Chérie... On à du boulot...

Accessoirement, ça me coupe un peu la chique aussi...

- Et c'est qui pour toi, cet Ignace dont tu m'annonces la venue maintenant ?"

Pas que j'ai franchement envie de savoir...
Pas que je veuilles entendre que c'est un ex à toi...
Pas que je veuilles apprendre que c'est un ami à Louis...
Mais bon... Faut bien que je saches dans quoi tu m'entraînes...

_________________
Andrea_
C'est vrai que prévenir la veille c'est pas très faire play. Mais peut être qu'un jour elle lui avouera que le Gnace en question, il a AUSSI été prévenu la veille. Et qu'il a pas bien pris le fait d'être prévenu au dernier moment... Nan mais depuis QUAND les hommes ont besoin de prévoir? C'pas eux qui reprochent toujours aux femmes de tout planifier? Hé bé, faudrait se détendre le champignon les gars, on est large on a encore toute une nuit pour que tout soit parfait!
Puis on est trois ! donc six bras. On va dire que la minimoyette compte pour un bras. Ça fait cinq! Moins celui de Dd, ça fait quatre... Mais moi j'en ai deux les gars! Ouai ouai ouai, deux bras...gauches. Ouai, c'pas gagné.
En même temps, à t'entendre vanter mes talents culinaires, j'me demande si mes bras, même gauches, vont beaucoup servir... Attends Dd, j'vais te rappeler un souvenir très proche, par exemple, à la taverne du triple D, chez nous, à Orléans. Parce que vous savez pas vous, mais j'vais vous l'dire, on a eu des invités... Tom, le charpentier -Tominounet pour les intimes- et la grognasse a qui Dd a acheté le champs Evaquelque chose, j'avais fait un pigeon aux petits pois. Et bin c'était mangeable! Tout le monde a mangé, personne n'est mort, et si personne n'en a redemandé, c'est simplement parce que... J'en n'avais pas fait assez! Vous voyez, mon souci c'est plutôt dans la quantité maintenant, plus dans la qualité!
Alors Dd, c'est que de la méchanceté gratuite que de te moquer de mes repas!



Et c'est qui pour toi, cet Ignace dont tu m'annonces la venue maintenant ?


Ah c'est vrai que tu soulèves un problème important. Un détail.
Et là Dd0die -mon amour que je t'aime, ne l'oublies pas-, y a comme qui dirait anguille sous roche, baleine sous coquillage, éléphant dans botte de foin et petit pois dans la carotte...
Parce qu'Ignace, c'est le frère de Louis. Pas le frère de sang mais le frère de. Bon ok ils ne se parlent plus, Ignace peut plus pifrer Louis pour je n'sais quelle raison.
Parce qu'en effet Ignace est un brigand, et pas un débutant. Un ancien Hydreux qui avait créé son groupe et a descendu un bon paquet de mairie.
Parce que oui, il vient avec du monde. Mais faut mettre de l'eau dans son vin, ils sont pas brigands. Enfin pas tous, Lena est trop petite... Je pense...
Parce qu'Ignace et moi, on a fait des choses au pieu digne d'un bouquin qui deviendrait célèvre si quelqu'un osait dessiner des choses pareilles, sauf que c'était un rêve et qu'en vérité on n'a jamais conclu. Y avait moyen de moyenner mais... Nan Matou c'est mon mentor, et ça ne sera jamais rien d'autre.
Mais j'pense que je t'ai assez fait mariner, avoues qu'il était sympa, mon petit blanc.

Et les mains de rejoindre la bouche Colombesque pour un baiser avant que les aciers ne lorgnent les étals, mains caressants les fruits aux milles couleurs.
Attention... J'me lance...
Prête...
Attention.... Déa!
Prête... feu.... Allo?
Attention....
Oui bon, j'y vais



C'est un des seuls qui a connu tout le monde. Et il te connait... Je l'ai vu y a quelques temps, je lui ai parlé de toi et ... seul mon bonheur lui importe, du moment que mon bonheur est loin de Louis il approuve.
Il a hâte de te rencontrer, y a juste un bémol...




Il est amoureux de moi. Il m'aime d'un amour de fous,et il veut ta mort.
Nan je déconne, t'aurais du voir ta bouille!

Bref, non c'est juste que...




J'ai omis de lui dire que je brigandais plus. Déjà qu'il supporte pas l'idée que je paye mes taxes... Oh des pommes rouges! C'est nouveau?

Non je change pas de sujet...
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Doryen
Une pointe de jalousie ?
Bah non...
Ou oui...
Une once d'agacement alors...

Parce que les pommes rouges, franchement on s'en branle !

Perso, je le connais pas l'ami Ignace, ni sa troupe. M'enfin ça à pas l'air d'être un cirque ambulant, déménageant la tente au gré des vents pour y assoir une honnête réputation de travailleurs quand même... Non ?
Pour preuve, si c'est devenu inadmissible de payer des taxes... et que Madame craint de lui annoncer la fin de ses brigandages...
Mais c'est un brigand, sûrement comme tant d'autre, sûrement comme les précédents amis Ecorcheurs de renom... Un borgne, un brun, un blond, et des tas d'emmerdements... Pour peu qu'il ait effectivement connu tout le monde, et voilà l'individu à qui il ne faudra pas tourner le dos sous peine de repartir en plusieurs morceaux sanguinolent.
Le plus inquiétant n'étant sûrement pas ce que je sais, mais surtout ce qu'elle me cache, c'est que la Colombe n'a plus beaucoup de secret pour son presque époux, et que pendant qu'il lambine le cerveau tourne à plein régime... pour le meilleur, mais surtout pour le pire.

Ca sent la journée sympa à plein nez.


Le soupir, encore.
Le Gris se détourne, à chercher des réponses dans la ruelle, des fois qu'elles s'y trouvent...
Mais pas grand chose à dire, non ?
Puis pas plus à faire !

" Ok...

Ben oui, pas grand chose à dire qu'on à dit...

Suffit d'imaginer un grand con jaloux, pour peu qu'il soit blond et vulgaire avec une impression de toute puissance de celui qui compte à tout pris marquer son territoire, quitte à jouer le grand frère menaçant pour fatiguer l'esprit Dd0dien dont les derniers jours ont épuisé la patience et émoussé le corps...
Parce qu'avec la chance de Mr Gentil, ça reste compliqué d'imaginer le débarquement d'une troupe avenante et souriante...
M'enfin...
Contre mauvaise fortune bon cœur qu'il disait l'autre...
Et du cœur, c'est pas ça qui manque...


- Ben faut faire les courses... Je prendrai les légumes sur le champs, on en fera des apéro avec une petite sauce et la viande séché. Un peu de viande rouge à faire griller, un poisson charnue, et quelques frits du vergers... Faut faire la Sangria en rentrant..."

Ben ouais,
J'ai le choix ???

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Andrea_
Mais oui t'as le choix, on a toujours le choix dans la vie.
Regarde, moi, par exemple, j'ai pas envie de la faire la sangria, ni le poisson charnue -le poisson charnue c'est comme un poisson brochet ou un poisson chat?- , j'ai pas envie et j'suis pas obligée de le faire. Alors oui, tu vas penser que je le fais pour te faire plaisir, mais c'est pas ça du tout ! Enfin.. pas cette fois.
Là c'est juste que comme je pense que j'en ai "assez fait", j'vais me comporter comme un jolie Popples et me rentrer en boule dans mon propre trou du cul -on a tous eu un Popples!-, pour éviter d'en rajouter, donc tu vois Mamour, je ferais TOUT ce que tu veux, du moment que ça n'aggrave pas mon cas.
Pis t'inquiète pas pour Ignace, l'est un peu... râleur sur les bords -vous allez vous entendre- mais c'est un bon gars ! Ok il brigande, il pille, il saigne, mais berdol il fait ça comme personne ! Mais là tout de suite, j'pense que t'en sais assez... On va en garder pour plus tard quand le pépin -le noyau- sera avalé.

Le mariage avec la Colombe, une préparation pour l'enc*lage à sec ! -hahum, pardon-.


Du coup, elle est soudain pleine d'entrain la Chiasse, des fois que ça adoucirait son Brun, et vas-y que je te fais des petits sourires, et des petits regards, et vas-y que je te tâte les prunes entre deux pommes et vas-y que j'compare mes sein à deux poires, le tout accompagné d'un commentaire sur l'attraction terrestre qui devrait pas tarder à faire effet -il dira pas qu'il savait pas!-, et vas-y que ça mange une cerise sous l'oeil pas très content du marchand a qui la Belle aura expliqué en long, en large et en travers qu'avant de dépenser le salaire d'une dure journée de labeur, fallait bien goûter, que ça éviterait des déconvenues à tout le monde. Et la Belle de surtout penser à la déconvenue de péter la tronche du vendeur si jamais les quatre livres de cerise n'était pas bonnes, en n'hésitant pas à bisouiller son double D pour le rallier à sa cause.


Et puis les pensées qui s'envolent un peu par ici et beaucoup par là. L'heure de faire un premier bilan de cette vie "avant mariage", de tout de bleu, de cet argent gagné à la sueur du front -ohé, j'ai bossé c'matin moi!-, de ces longues semaines de bonheur aux côtés de Dd0die. De la perte des "autres", de leur absence à LA journée de demain. De l'absence de Nicolas, des missives de son père, de l'effacement totalement volontaire de certaines personnes, parce qu'il le fallait pour avancer.
De cette vie qui change, Adieu brigandage, Bonjour le balai, Adieu l'argent qui tombe du ciel, Bonjour le travail. De cette vie qui change sans aucune résistance sans jamais vraiment comprendre pourquoi. Et puis... Comprendre que c'est l'un des seuls pourquoi auquel on ne peut pas répondre.

Il y a aussi la présence d'Ignace à cette union qui devait rester "privée" en "comité restreint"... Simplement parce que si certains peuvent tirer un trait sur toute une vie, pour la Belle c'est impossible. Et que s'il avait fallu n'en choisir qu'un, Ignace était celui ci. Il ne serait pas seulement l'invité de plus, le cheveu sur la soupe avec sa troupe de brigands qui boivent plus que tous les ang'vins réunis, il serait... le témoin. Le témoin d'une union qui ne sera reconnu par personne, pour personne...
Alors que là, on est d'accord, si la Chiasse décide de tout envoyer bouler, hop, y aura jamais eu de mariage mais si c'est Dd, bah l'est pas dans la merde ! Ignace saura lui rappeler que OUI y a eu mariage et que OUI il doit payer pour les gosses qui en découleront -sur les cuisses ?!-. Ouai... On d'vrait tous avoir un Gnace à son mariage!




Au fait Mam'z, tu voulais de la viande rouge, mais... tu préfèrerais pas du boeuf ?


Retour à la réalité. Toujours sur le marché, les bras chargés de fruits, petit sourire planté sur le visage et devant l'étal du viandiste, bin oui mamour, j'suis toujours aussi peu douée pour la cuisine...
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Doryen
Faut être honnête :
Avec son deuxième bras valide, il aurait tout simplement renvoyé sa future femme à la maison, sous un prétexte quelconque et tout pourri, dans l'unique but de pouvoir réfléchir sereinement sur la situation. Quitte à le faire à voix haute, en grimaçant, et s'énervant sur les marchands...
Puis avec son bras gauche ailleurs que dans une écharpe, il aurait moins craint la journée du lendemain. A prendre des coups, autant en donner avec ses deux bras... Oui, Mr Gentil imagine toujours le pire, et autant dire qu'il à une imagination débordante.

Mais non.
Madame est là, s'évertue à changer de sujet, à moins qu'elle ne le croit clos.
Monsieur, lui, tente d'éviter de se poser la question sur la conduite à tenir... Ben oui, on ne se refait pas... Et il aime savoir ou il met les pieds... Donc qu'importe vraiment la manière dont l'accueil se fera de part et d'autre, le port de la dague sera de toute évidence obligatoire.

" Oui, bœuf.

D'une parce que ça se pourrait se bouffer cru si le boucher connait son métier.
Puis parce que faut être honnête, c'est quand même ce qu'il se fait de mieux...

- Surtout la Sangria... J'imagine que tes amis ne boivent pas que de l'eau...

Puis quand tout le monde est bourré, on s'en branle un peu de ce qu'on mange, non ?
Puis la Sangria, c'est bon.
Puis c'est pas compliqué.
Et la saison est propice à trouver les fruits sucrés à faire macérer dans le vin, avec une lichette de Calva. Bon, je la préfère au vin blanc - Comment ça tout le monde s'en fout ? - mais tant pis, on fera avec les moyens du bord.

Alors le marché est expédié entre deux tape sur les fesses, regard plein de sous entendu et matage de nibards, chaque étal inspecté afin de récupérer le nécessaire pour un repas correct, et son accompagnement alcoolisé, en évitant soigneusement les produits à l'allure suspects. 2 truites, du bœuf en pagaille, pêche, citron, pomme, quelques épices, puis un détour est fait vers le potager pour y récolter diverses légumes. Et c'est les bras chargé que le future jeune couple âgé s'en retourne vers son domicile et s'installe en cuisine...

- On commence par...


Par les légumes ?
Par un câlin ?
Par les fruits ?
Par une sieste crapuleuse ?
Par la Sangria ?
Par baiser ?


Et les yeux bleus de rencontrer leurs moitiés, sourire coquin aux lèvres bien connu de madame, avant que les corps se rencontrent sur un coin de plan de travail et que les langues se redécouvrent tendrement tandis que la main masculine s'aventure doucement sur le magnifique corps de sa belle qui se laisse faire, frissonnante. Une main qui court légèrement dans la chevelure avant de glisser sur la nuque, puis de contourner l'épaule, pour descendre lentement, toujours plus bas, jusqu'à claquer gentiment la fesse...

... La Sangria !


Ça, c'est pour la nouvelle de la présence d'Ignace et Schtroumph.
Faudra d'ailleurs que je trouve le temps d'aller à la pêche aux renseignements sur leurs compte.


- On à une montagne de travail ma Chérie, et faut d'abord faire l'effort... avant d'avoir le réconfort..."

Parce que oui, tu vas quand même passer à la casserole.
Tu t'en doutes.
Tu le sais.
T'es pas contre à priori.
Puis si jamais t'étais contre... je saurai sûrement te motiver...


Alors les corps se séparent, pas de compromis possible dans le Gris qui sourit tendrement à l'Acier, puis les légumes et les fruits sont tendus à la J-1 femme jamais avare de surprise pour qu'elle puisse les laver, le temps que son futur mari puisse aller dans le jardinet chercher ciboulette et autres bizarrerie sortit de terre.
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Andrea_
Non, mes amis ne boivent pas que de l'eau.... Encore que j'me rappelle pas avoir déjà vu Ignace rond comme une queue d'pelle. Mais si Swan vient, c'est clair qu'il vaut mieux prévoir. C'est qu'la Rouquine a une descente que j'aimerais pas r'monter à pieds. Toujours une bouteille cachée sous l'plumard, plus c'est fort plus elle aime, plus elle boit plus on l'aime.

Oh tu sais... Pas plus que d'autres...


C'pas un mensonge. C'est un demi mensonge, disons que si on prend les gens du nord par exemple, on sait tous qu'ils ont un penchant pour la roteuse -qui suis je pour les blâmer!-, et bien Ignace et sa smala sont dans la moyenne. Et entre nous mon Brun, c'est pas vraiment avec de la sangria qu'on va les saouler -à moins de prévoir quinze litres par personne-. Et puis même si on prévoit quinze litres par personne qu'est ce qu'on risque? J'veux dire qu'est ce qu'on risque VRAIMENT ? Que Swan danse à poils sur la table? Qu'Ignace dégueule tripes et boyaux sur Lena qui pleurera sur l'épaule de son frère? Au pire quoi Dd0die? On n'est pas des violents dans la famille, tous les brigands n'sont pas des chafouins... Enfin... Tu veux pas qu'on change de sujet?

Le reste du trajet se passe de commentaires, on va dire qu'il faut garder une part de mystère sur ce jeune couple qui... n'en est pas vraiment un.
D'ailleurs ça n'étonne pas grand monde quand Monsieur Pouic commence à tâter de la Colombe, et surtout pas elle, ni ses copains qui sont bien content -pour une fois- de n'pas être engoncés dans un corset. Et les pointes durcies d'effleurer la chemise, comme dernier rempart à la chaleur Dd0dienne... Si jamais le Pouic ne savait pas par où commencer, sûr que la respiration Colombesque lui en donne une vague idée
On y croit les amis, cette fois c'est la bonne, cette fois, cette fois, cette fois...



... La sangria !


Et non, Monsieur donne dans la restauration rapide. On chauffe, on attend, on re-chauffe, on attend de nouveau, mais à cette allure Dd, y aura plus rien à manger!
Et la chiasse de tenter un petit sourire tout en tentant de cacher sa déception.



On à une montagne de travail ma Chérie, et faut d'abord faire l'effort... avant d'avoir le réconfort...
Chouette....



On sent l'engouement qui dégueule de ce p'tit corps hein?
Ouai je sais.

Mais Madame Pouic n'est pas du genre à se laisser faire. Pour la p'tite femelle qui va gentiment se mettre à la cuisine et attendre que son homme se décide pour lui faire l'amour faudra repasser plus tard. Genre beaucoup plus tard.
Et la Colombe de profiter que Monsieur soit dans le jardinet pour virer sa paire de braies, prenant juste soin de laisser paraitre un bout de fesses sous une chemise qui -truc de fou- s'est sévèrement entrouverte. Non c'est pas de la provocation... C'est juste qu'il fait chaud... Et quite à s'faire chier avec des fruits, autant être à l'aise.

D'ailleurs les fruits sont lavés et en passe d'être coupés. En petits triangles. On aura pris soin d'enlever la "queue" et les pépins, les petits, dans les raisins, et les gros pépins, dans les nectarines. Et les moyens dans les poires. Vous avez remarqué que la taille des pépins est proportionnelle à celle des fruits?- fou nan?-


Et les aciers de se perdre par la fenêtre ouvert, sur le séant du double D, bien gentiment penché pour récupérer les légumes.




Hey M'amour, j'me disais...
J'ai pas essuyé les fruits parce qu'on va les remettre dans du mouillé mais est ce que c'est grave si j'les pèle pas ? C'pour les vitamines, tout est dans la peau, c'est Marie Claire qui me l'a dit



Bon, c'est aussi parce que j'ai la flemme...
Allez Mam'z, tu radines ton cul dans la cuisine que j'te montre ma tenue ou tu t'lances dans une chasse à la taupe?

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Doryen
Bon, je provoque pas vraiment...
C'est juste pour motiver le petit personnel, genre ma commis de cuisine, à s'activer efficacement sur son oeuvre, afin de passer plus rapidement à la suite. C'est à dire que le côté travailleuse de la Colombe est connu de tout le Royaume et plus, et que même filer la main pour préparer quelques plats pour son propre mariage doit profondément la faire caguer...
Alors chacun sa technique...
Ok, c'est un peu moyen...
Puis la dernière fois, ça c'est violemment et bruyamment fini contre la porte...
Mais là, elle aura compris qui commande...
Ou pas...


Et c'est les bras chargé de légumes du jardinet arrosé avec soin par la mini Chiasse que Monsieur Pouic s'en retourne vers l'intérieur tout en répondant à sa presque tendre car presque femme car presque marié car déjà presque demain... sur sa remarque pertinente sur la Sangria.

" Inutile Chérie, sauf pour les citrons et les oranges... Tu les coupe pas trop petits, histoire que...

Et Paf...
La porte de la cuisine est franchie en souriant, les légumes manquent lui échapper des bras autant que le sifflement près de franchir les lèvres, tandis une carotte - elle a dit petit axiome - commence à s'ériger plus bas instantanément, à consommer de suite et sans modération, à la vue de la réponse féminine à la - toute petite - motivation masculine.
Quoi, c'était prévisible ?
Bah...


Les yeux se posent sur le dos Colombesque - Non, je déconne - avant de venir se plaquer contre elle, virilité immanquable contre paire de fesse presque offerte, pour poser les légumes sur le plan de travail.

- Fait chaud...

Très.
Température interne proche de l’ébullition.
Et soudainement..
Ca aussi c'est fou, nan ?

Le cou est embrassé tendrement tandis qu'une main fait le tour de Madame Convecteur pour se glisser doucement sous la chemise à la recherche du ventre, du nombril... non, à la recherche d'un sein opulent vraisemblablement très à l'aise de bénéficier d'un peu plus de place qu'à l'accoutumé, pour le soupeser tout en glissant subtilement un doigt sur un mamelon à l'aspect gonflé... Juste le temps de s'enivrer de l'odeur de la chevelure avant de se dégager pour se libérer de sa propre chemise roulé en boule est jeté dans un coin de la pièce...

Puis...

- T'as qu'à mettre tout ça dans des grands saladiers, puis l'arroser de vin et d'un verre de Calva pour agrémenter un peu l'ensemble.

Motivation, quand tu nous tient.
Puis je ne peux pas céder à chaque fois...
Quoi, têtu le Dd ?!
Naaannn....


- Moi je vais aller chercher la viande séché... a la remise... "


Souvenir, souvenir...

Avec une telle motivation, quelque chose me dit que la cuisine va être expédié très rapidement...
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Andrea_
Rien qu'pour la tête du double D à son entrée dans la cuisine ça valait le coup de se mettre le cul à l'air. Ensuite y a eu le petit moment de fusion, et de nouveau l'espoir, violent. Noeud au creux du bide. Papillons dans le bas ventre. Bouche sèche. Entre jambes ..pas sec.
Et j'aime autant vous dire que la précaution à prendre sur la taille des citrons et la peau des oranges est loin d'être la préoccupation première. C'est vrai qu'il fait chaud, c'est vrai que c'est fou, et tu sais ce qu'est encore plus fou? C'est ce truc contre mes fesses là, j'm'en lasserais jamais, allez petit petit -enfin façon de dire hein-, vient voir maman, on a un truc à voir ensemble.



T'as qu'à mettre tout ça dans des grands saladiers, puis l'arroser de vin et d'un verre de Calva pour agrémenter un peu l'ensemble.


T'es pas du genre têtu toi ! Mais ne t'inquiète pas...


Okay, dans des grands saladiers, j'arrose de vin et un verre de Calva. C'est noté.


Oh oui, Mamour, t'inquiètes pas, je gère la situation. T'as quand même pas cru que j'allais te sauter dessus ! Nan c'pas mon genre, je suis subtile quand j'veux -et je l'veux-.
Attends deux s'condes, je vérifie un truc.
Ah oui, t'as viré ta chemise, j'en étais sûre, j'avais entendu la chemise qui passe par dessus la tête et reconnu ton odeur.



Moi je vais aller chercher la viande séché... a la remise...


Bip Bip BIP BIP BIIIIIIIIP !
Y a rien qui a fait tilt dans la phrase là? Moi oui, remise...
Ah la remise... La remise de la taverne de la graine d'Orge, la remise de la taverne graine d'Orge avec Dd0die, la remise, la... viande séchée. Ouai je sais résister. Je peux le faire je peux, je...



D'accord d'accord, bah tu ramèneras les saladiers tant que tu y es ? Fais attention de pas choper froid sans ta chemise, tu sais y a pas mal de courants d'air dans la REMISE.


T'as raison mon canard -avec deux a et un n- va dans la remise, par contre moi je te préviens, je fais un abandon de poste. Où j'vais?
Oh pas très loin...
Pour commencer j'vais te sourire. Puis je vais te mater le dos quand tu vas te retourner. Puis les fesses. J'vais sûrement hocher la tête en me répétant pour la dix millième fois combien j'ai de la chance que ça soit à moi.
Ensuite... J'vais juste sourire bêtement en me rappelant combien j'aime y planter les ongles quand on... -faut un dessin?-.
Après je vais tenter de reprendre mon couteau, mais j'vais avoir beaucoup de mal à me concentrer, et c'est là que j'vais abandonner mon poste. J'vais poser ma lame. Doucement. J'vais prendre une poignée de raisins. J'vais ouvrir ma chemise... Ouai, jusqu'en bas.
Et pendant que tu chercheras bêtement ta viande séchée, moi, j'vais me poser dans l'encadrement de la porte, prenant bien soin de porter doucement les grains à mes lèvres.
Oui j'aurais une pose suggestive. Oui j'fais grave allumeuse. Oui je le sais.
Mais j'vais te dire un truc... Approches mon Coco, approches...

Tu finiras par céder !

Et après je m'y mettrais. Pour de vrai.

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Doryen
Ah...
Cette légendaire remise...
Celle que tout établissement digne de ce nom possède pour... ben...
Par exemple y entreposer des denrées.
Par exemple y stocker des produits d'entretien.
Par exemple... y soigner des blessés...
Par exemple... faire connaissance...
Par exemple... prendre le tournant de votre vie...


Heureusement, personne ne saigne - pour le moment - tandis que Monsieur farfouille les étagères - pour le moment - à la recherche de viandes séchés, de saladiers, et de quelques bouteilles de Calva rapporté d'un de ses précédent voyage et devant se trouver quelque part... il l'aurait juré, il en restait d'avantage... A moins que les fortes chaleurs estivales aient contribué à l'évaporation du liquide chargé d'alcool... Ou que Madame s'en soit chargé elle même... Parce qu'on va pas mettre ça sur le dos du chat - Même avec sa gueule ravagé de drogué notoire - ni sur celui du chien, et encore moins que sur celui de Victoire - Quoique vu les antécédents familiaux... -

Bref !
Ça ne peut être que Madame.
Et les velléités de retourner en cuisine exprimer son désappointement - Ouais, gueuler ! - s'efface à la vue de la presque femme passé en mode vacance au Cap d'Agde, très très très très très très légèrement vêtu , appuyé contre le montant de la porte.

Résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste, résiste,

On peut toujours rêver hein !
M'enfin quand même, il aurait l'air de quoi le double D, à se jeter sur sa compagne pour l'agresser sexuellement et sans trop de ménagement, piégé à son propre jeu, perdant toute crédibilité, laissant de côté les préparatifs du mariage, et pire... enlevant toute motivation à Claradéa de cuisiner par la suite.

Juste un instant... difficilement appréciable en terme de durée... pour lorgner la bouche qui happe le raisin goulûment de manière légèrement (!) subjective, de parcourir du regard ce que laisse apparaître la chemise légèrement (!!) entre ouverte, de regarder le bas ventre et les cuisses accueillante et offerte avec des idées coquines - ou carrément obscènes, au choix - en tête.
Juste un instant, histoire de se redonner un peu de prestance, tout en matant le matériel, avant de sourire et de replonger le Gris dans l'Acier.

" Fais si chaud que ça ? Qu'est ce que tu dirais de venir m'aider à chercher le Calva que j'ai du mal à trouver... Doit ptet se trouver... par là..."

Et de désigner le point le plus bas, à l'opposé de lui.
Et de savoir qu'elle n'y trouvera rien... Les dernières bouteilles sont cachés dans le taudis qui sert d'abri de jardin - Le genre d'endroit ou elle n'ira jamais -
Et de se dire que quand même, de la voir se pencher pour chercher... Enfin... Juste un coup d’œil sur la croupe offerte, ça n'engagerait à rien... Non ?
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Andrea_
Pour l'calva, c'pas moi c'est la part des anges.
La part des anges, c'est le volume d'un alcool qui s'évapore de façon naturel quand il vieillit dans un fût. En fait il parait que ça nourrit un champignon microscopique, mais comme on est un peuple pas encore assez évolué pour le savoir et qu'on -nous, les humains bêtes- aime bien croire à des conneries -souvent plus grosses que nous-, et bien on -les autres- a décidé de dire que c'étaient les anges qui se servaient. Et donc on appelle ça la part des anges.
Donc tu vois Mamour, y a une explication trèèèèès logique -si tant est qu'un ange qui vienne siffler tes bouteilles soit une explication logique- à la disparition mystérieuse d'une petite dizaine de bouteilles.
C'est vrai que parfois je bois un peu. Attention allez pas croire que j'me mets la mine toute seule mais j'avoue qu'un petit verre de temps en temps, ça tue les microbes, ça prévient l'hiver, ça réchauffe et puis... Oui bon bah j'aime bien ça le calva, c'est tout, on va pas en chier des ronds d'pièce!

Et sinon Chouny -ouai Chouny- tu aimes ma tenue ?
Pourquoi tu résistes? Allez j'vois bien que t'es pas indifférent, regardes bien ce pauvre petit grain de raisin tout innocent qui glisse entre mes lèvres, si tu savais le goût sucré qu'il laisse lorsqu'enfin la peau explose sur ma langue...
Mais allez quoi! Baise moi merde!

Quand le double D sourit, c'est dans la poche, qui c'est qui va...



Fais si chaud que ça ? Qu'est ce que tu dirais de venir m'aider à chercher le Calva que j'ai du mal à trouver... Doit ptet se trouver... par là...

Qui c'est qui va aller chercher le calva ?
Humpf.
Et les yeux de se porter sur l'endroit désigné.
Allez Déa on se démonte pas, on y croit, encore et toujours, on n'baisse pas les bras mais...
Mais ouai on va se baisser ce que homme veut homme a non?

Alors on répond au sourire...
Puis on s'approche lentement de l'étagère et on se baisse naïvement. Naïvement en sachant pertinement que Monsieur ne loupe pas une miette du spectacle, quand même. Alors on y met du sien on met les cheveux derrière une épaule, on se baisse... Lentement... Lentement... Très très lentement... jusqu'à ce que la chemise remonte le long du dos, laissant les fesses à l'air. Et le petit séant d'onduler lentement.

Allez Mam'z, regarde, regarde... Regarde... Et... Et c'est fini!

Bah oui j'allais pas rester la lune offerte pendant des heures hein, un peu d'pudeur merd'! Le corps se redresse, puis se rapproche de Dd alors qu'un dernier raisin est glissé entre les crocs Colombesques.



Non il est pas... là.


Les lèvres viennent effleurer les jumelles masculines pour finalement se muer en un sourire en coin. La chemise glisse au sol et la Colombe à plumes -et à poils- s'envole vers la cuisine non sans claquer le fessier Dd0dien


Oui il fait chaud... Allez, calva, et qu'ça saute!


Y aura au moins un truc qui sautera dans cette baraque!
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Doryen
Bien évidemment qu'on en perd pas une miette... Faut dire que le spectacle est exécuté à la perfection, bien au delà des espérance d'une presque mari qui garde l'oeil rivé sur la scène à regarder le corps qui se baisse très lentement, la chemise qui remonte d'autant dévoilant une partie du corps qu'il connait déjà pourtant bien, avec pour effet une motivation accrue à la vue de la croupe offerte... le temps de se dire...
Que 1 : Il faut être fou ou avoir une volonté de fer pour résister à la tentation.
Que 2 : Il se verrai bien plonger vers sa compagne d'un coup sec et grosse fessée à l'appuie.
Que 3 : SA femme est vraiment TROP bonne !

Trop tard, réflexion trop longue.

Non il est pas... là.

Quelle surprise...
Juste le temps de croire au baiser, avant de voir se défiler les lèvres et de sentir la main claquer la fesse avant que la Colombe ne s'envole

Oui il fait chaud... Allez, calva, et qu'ça saute!

Changement de camp ?
Une sorte de mi temps de la provocation ?
Parce que là, c'est sûr, plus aucun doute sur les très mauvaises intentions Dd0dienne, dont l'imagination travaille à plein régime, à la Marc Dorcel, Feu d'artifesse dans la remise, la cuisine, par terre ou sur un coin de table...
Et la chemise au sol semble affirmer que la Madame n'en attend pas moins de Monsieur...


Un sourire sur le coin des lèvres, avant de refermer la remise, saladier en main, et de prendre la direction du jardinet afin d'y récupérer une des dernières bouteilles de Calva, puis de rejoindre la presque femme dans la cuisine.

Non sans se débarrasser des bottes.
Non sans laisser glisser les braies au sol.
Non sans pénétrer dans la pièce - pour le moment - discrètement.
Non sans se glisser à nouveau derrière elle pour s'y coller, nu.
Non sans passer un bras autour d'elle afin de déposer les saladiers sur le plan de travail, passant l'avant bras sous la poitrine.
Non sans coller les lèvres contre une oreille, dent prêtes à mordiller légèrement.
Non sans faire descendre doucement la bouteille de Calva le long de la cuisse Colombesque, tandis que la virilité masculine marque son territoire entre deux fesses.


" Tu bois au gla... goulot ?

Pour sûr, y'a plus d'un truc qui va sauter dans cette baraque !

- Enfin, quand t'auras fini le repas..."

Motivation, motivation...
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Andrea_
Ah ça il est doué le Dd0die, j'vous l'dis.
Il a une volonté de fer -et pas que la volonté-... Alors Dd on a les idées mal placées on dirait c'est le saladier ou la bouteille de calva qui te met dans cet état? Peut être le fait de préparer notre repas de mariage ? Quoi c'est ma croupe? Ouai j'avoue qu'après deux gamins j'm'en sors pas trop mal...

C'est marrant comme on peut bouillir de l'intérieur et avoir la chair de poule malgré ça, j'ai un peu de mal à l'expliquer, est ce que tu pourrais t'écarter un tout petit peu, juste histoire que mon cerveau passe de mon bas ventre à ma boite crânienne, parce que j'ai un peu de mal à réfléchir quand t'es si près...


Et les mains de ramasser les fruits pour les poser dans le saladier, pendant que la Colombe organise la petite partie de son cerveau qui veut bien fonctionner en mode pilote automatique.



Oh tu sais Dd, quand je cuisine, généralement Généralement... C'est vrai que c'est bien la troisième fois que je m'occupe de faire un truc, y a comme une petite routine qui s'installe, non? J'bois rarement, ça me permet de rester concentré, mais je t'en prie, si t'as soif, y a de l'eau au puy, une bonne eau, bien fraîche, que tu pourras laper directement.
Après le repas, parce qu'on en a des choses à faire...



Nan parce que moi aussi j'sais jouer au con hein, puis bon, j'ai encore bon espoir que le changement de draps... Ah tiens en parlant de ça...
La Colombe se retourne et prend soin de lécher chacun de ses doigts -ça serait trop simple de s'essuyer le jus des fruits sur un torchon-, non sans planter un acier lubrique sur le bleu qui perd ses moyens



Pendant que tu t'occupes du calva, moi je vais aller changer les draps.


Oui, toute nue. Là haut, dans notre chambre. Des draps frais, pas encore froissés. Mon corps tout chaud posé dessus. Ça s’imbrique dans ta tête?
Non mais tu peux m'attendre ici hein, j'voudrais pas te forcer à m'aider.
D'ailleurs le temps que tu médites sur ce qui sous-entend une proposition, moi je vais lentement rejoindre l'escalier qui est juste assez large pour un balancement des hanches plutôt tendancieux.

Et puis comme je suis du genre feignasse, je vais m'allonger sur le lit, en laissant la porte ouverte. Je prendrais bien soin de m'étendre sur le côté, mirettes brillantes et oreilles guettant ton arrivée. Un bras tiendra ma tête pendant que l'autre effleurera du bout des doigts cuisse, hanche et flanc. Lentement mon pied remontra le long de ma jambe.
Et pendant que tu fais je ne sais quoi, peut être entendras-tu le cri désespéré d'une futur épouse à l'agonie...



Mince, le drap est posé sur la table ! T'aurais pas envie d'me le monter?


Oh oui montes moi le drap Mamour,
Parce que moi, ça fait belle lurette que j'veux plus cuisiner.

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Doryen
Laper...
Té, en parlant de laper...
Ah, t'es déjà parti !

L'esprit Dd0dien n'est pas spécialement...
Non non, il est juste... focalisé...

Et la Colombe à déjà tourné les talons - qu'elle n'a pas gardé aujourd'hui - pour rejoindre l'étage, à la conquête du lit... ou pour changer les draps... façon de voir... laissant Monsieur Pouic seul en cuisine, calva en main, et virilité dressé face au saladier posé sur le plan de travail... La cuisine, c'est nous et Schmidt, mais pas à ce point là, hein ?!

Alors quoi...
A moi seul la bouffe ?
Je monte... les escaliers... le lit... ou autre ?
Je cède, te rejoint, au risque de passer pour un faible, un homme comme un autre prêt à tout pour une croupe, une partie de jambe en l'air, prêt à s'abandonner corps et âme pour une paire de cuisse entrouverte, reniant sa condition d'être pensant, oubliant ses responsabilités, le mariage, le repas, la préparation, les invités, la petite à récupérer, le bras malade, le temps qui s'égraine trop vite ?


Mince, le drap est posé sur la table ! T'aurais pas envie d'me le monter?

Ok !

Quoi ?
Ca va... c'est juste... Genre l'appel de la nature... Man vs Déa...
Faut être prêt à tout pour survivre...
Et je suis prêt à tout...


Le sourire niais fait son retour, seul en cuisine comme un grand, et les talons font volte face rapidement à la recherche du drap censé se trouver sur la table... Sûrement la femme de ménage qui l'y aurait déposé après l'avoir correctement étendu au soleil et plié parfaitement en carré avant de le poser délicatement... M'enfin peu importe à vrai dire.
Il est là !
Faut le monter !

Et ça monte... puis pas que ça, dans l'esprit Ddodien qui retrouve sa motivation... loin d'être culinaire... quoique à défaut de passer à table, une certaine risque fort de passer à la casserole...

Les escaliers sont montés d'un pas léger et rapide avant que Monsieur têtu reprenne le dessus sur son homologue à la langue pendante, histoire de rentrer dans la pièce avec un peu plus de prestance, l'air désinvolte...

Une contenance pour juste une seconde...

Le temps de balancer le drap sur la tête de presque madame, jouant les muses désintéressées, puis de se lancer fébrilement à l'assaut des cuisses qu'il écarte d'une légère tape, se frayant un passage toute langue dehors, mode plein phare, et remontant lentement jusqu'à SA terre un peu trop promise, histoire de goûter, de valider le mariage...

Quoi, ça avait déjà été fait ?
Contre expertise...


Voilà, à force de parler de repas...
Ca nous à ouvert l'appétit...

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Andrea_
Il est un peu Marseillais mon Ddodie, on lui pardonne. En vérité le drap, il était roulé en boule et jeté sur la table, mais c'est qu'il a peur que vous me jugiez tout ça tout ça. Après sachez quand même que je fais des efforts, déjà je pose le drap sur la table, avant il serait resté dehors hein. D'ailleurs aussi loin que je me souvienne, je n'ai jamais changé de draps...

Les pas dans l'escalier, c'est LE signe qu'elle a gagné. Elle est pas si conne qu'elle en a l'air la Colombe et si l'homme en pleine occupation a tout lâché pour grimper les escaliers, j'aime autant vous dire que c'est pas gratos. Va falloir payer. Payer de sa personne, mais rassurez vous, elle est consentante!

Entrée au top. Le coup du mari désinvolte qui se fiche de la position très suggestive de Madame lui arrache un sourire. Ah ça, il est doué dans son rôle, on pourrait presque y croire si... Bah ouai Mamour, t'as oublié que t'avais enlevé tes braies, ta chemise et... oh t'as même viré tes bottes -et les chaussettes? T'oublies toujours les chaussettes!- et qu'est ce que c'est que... Hahum.
Monsieur Pouic est en forme, tente d'étouffer sa femme sous le drap avant de...Oh... mon... Dieu.
Le Double D se lance dans une contre expertise qui, au cas où Madame échouerait à l'exam', annoncerait la fin précoce d'un mariage qui... n'est même pas célébré.

Alors elle se donne la Colombe, elle s'offre, et c'est aussi appétissant pour son futur, qu'un cochon de lait -pomme dans le bec compris- pour un clodo. A n'en pas douter, Dobeul Di -avec l'accent plize- a la dalle.

Et ça ondule, ça se cambre et ça soupire. Et ça perd des doigts dans la tignasse brune alors que ça aurait bien envie de faire l'étoile de mer pour lui faire bouffer son affront. Sauf que ouai, à brasser la bouffe depuis tout à l'heure, on commence à avoir vraiment faim et c'est pas Monsieur Pouic en pleine dégustation qui dira le contraire. Madame lui fait bien comprendre qu'ils ne retourneront pas en cuisine tout de suite.
D'ailleurs, avant qu'il ne refasse sa tête de goret et ne la renvoie en cuisine, la Colombe en mode affamée prend les choses en main. Laissez passer, laissez passer, JE m'en occupe!

Alors ça se bouscule dans la chaumière, t'as quand même pas cru que j'allais en rester là Mam'z?! L'expert est expertisé. La bouche d'abord, fouillée de fond en comble par une langue avide. Mains redécouvrant le corps connu et reconnu, jambes enserrant ses reins, virilité malmenée par un bas ventre visiblement motivé à en découdre.

Ah on y croit hein, on dirait bien que la petite fleur va sauter non?
Non.
Le dos Colombesque se laisse tomber sur la couche, bras écartés en croix et le l'acier bouillonnant fixe le bleu alors qu'un énoooorme soupir se fait entendre.



C'était le drap bleu que j'voulais, c'lui là c'est l'vieux.


Moi aussi, j'sais jouer. Bon c'est vrai que je suis moins douée que toi, que mon bassin continue de chercher le tien mais je tente.
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Doryen
On y est !

Le travail à commencé, avec un trifouillage en règle, langue et doigts en actions histoire de ne rien laisser au hasard. Ca se cambre, ça soupire... c'est que ça doit pas être dégueu. Faut dire qu'on regarde le menu depuis bien trop longtemps et que le futur jeune couple marié passe en mode affamé, style Somalien devant une tartine de beurre.
Les mains féminines attrapent les cheveux Ddodiens, ça fait plaisir d'être reconnu dans son travail, non ? L'envie est forte de poursuivre l'expertise et de déguster encore quelques heures, mais madame passe à l'action à son tour, prend les choses - toutes les choses - en main, se frotte et ondule, caresse et embrasse, jusqu'à ce qu'enfin il soit tout prêt de la...

C'était le drap bleu que j'voulais, c'lui là c'est l'vieux.

Bon...

Décidemment, chez les Pouic rien ne se fait normalement. On est joueur comme des jeunes chiots, et là ou d'autres auraient simplement - et très logiquement - sauté sur Madame pour un viol en règle - et tout à fait mérité - les deux énergumènes font durer le - très maigre - suspens en se demandant lequel des deux craquera le premier.

Question de volonté !
Bon, ok...
Madame est Nu, le presque Mari également.
Madame est chaude, le presque Mari également.
Madame est coquine, le presque Mari également.
Du coup, pour le mystère quand à la suite des évènements... faudra repasser...


Je vois...

En fait, franchement... je vois rien !
D'une parce que là, je suis légèrement tendu. T'as du remarqué puisque tu bouge doucement tout contre moi.
De deux parce que je vois pas trop l'intérêt de mettre les nouveaux draps pour ce qu'on va en faire dans l'immédiat.
Enfin parce que... on joue, on joue, mais à force de me faire languir, je vais finir par exploser... Ce serait quand même con, non ?


Du coup, on hésite un quart de seconde sur la conduite à tenir, entre poursuivre le jeu et faire languir Madame en allant préparer un peu du repas, ou en venir à la violence physique pour s'offrir le scalp de l'Acier et investir la place de force... et peut être même leS placeS... A voir... Tu mériterait bien une petite punition là, petite porte, et fessée en sus (!)

Je devrai ptet aller voir en bas si je les trouve alors...

Mine sérieuse de celui pour qui le drap est devenu crucial dans sa vie, qu'il à besoin de retrouver sous peine d'en pleurer et d'en finir au bout d'une corde.
Alors peut être que pour la petite fleur humide, faudra attendre ce soir...
Le corps se dégage doucement, feinte... Puis se jette sur Madame - Non je ne suis pâs faible... je ne suis qu'un homme - se sert de son poids pour la dominer et enfin passer aux choses sérieuses. La loi du plus fort est toujours la meilleure, non ?

Fin de l'acte 1, jeu de séduction, effleurement, excitation et motivation...

Acte 2 : Entrée de l'artiste ! Sans ménagement, mais sans trop de difficulté non plus...

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