Doryen
[3]
La porte s'entre baille pour qu'un oeil interrogateur s'y aventure...
Puis la porte craque.
Sûrement le coup de pompe.
Sûrement un gros coup de pied d'un Gros en colère.
Sûrement le gros coup de pied d'un Gros motivé à l'idée de faire ce qu'il sait faire de mieux.
La porte s'ouvre de force sur un ex commerce dans laquelle se trouve un individu affalé sur une table qui peine à se relevé pour faire face.
La porte s'ouvre avec celui qui l'accompagnait...
Faut vraiment en parler ?
Le gars qui se prend la porte dans la tronche, qui recule sous l'impact et qui se fait martyriser par un Simplet en forme qui lui saute dessus à coup de poing digne d'un marteau piqueur... Il lui mangerait l'oreille que le tableau serait parfait... quelques droites et plusieurs gauches... Un poing comme la masse qui tombe sur un tout tout petit clou....
Faut vraiment en parler ?
Sinon, il y à le petit bonhomme qui tente de se saisir de son arme caché derrière un établi ou trônaient auparavant quelques miches.
Sinon, il y à le petit bonhomme au regard ahuri...
Sinon, il... subit... suit le cours.... assume... c'est le troisième...
Sinon, il est le plus évident...
On va pas s'y attaquer en premier, hein ?
Qu'il profite d'une taxe déjà largement payé !
Qu'il fasse d'un ex commerce un repaire caché à ramponneau à parties dont mêmes les vainqueurs sortaient perdants.
Nan, tellement évident....
Un des larrons sans importance.
L'un de ceux que la poukave jette à la première heure.
Mais faisant partit du lot.
Ca aurait pu,
Ca aurait du,
Mais n'est ce différent ?
Alors le malheureux ouvre les yeux en grand, tente de se saisir de sa lame tandis que la porte s'ouvre à grand fracas. Puis tandis que les coups pleuvent sur son larron il brandit son épée vers le second entrant, tout vêtu de noir et encapuchonné rentrant dans une ex boutique comme chez lui... ne l'est il pas... une main dans la poche et l'autre tenant une dague par sa lame.
C'est une victime, non ?
Alors lorsqu'il jette sa lame au sol...
Alors lorsqu'il se met à genoux...
Alors lorsqu'il implore...
Il y à peut être eu un léger état d'âme.
C'est sûrement la réminiscence d'une ancienne vie.
Une sorte de spasme...
Mais la lame fait son oeuvre.
Et le sang coule.
C'est un coupable, non ?
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La porte s'entre baille pour qu'un oeil interrogateur s'y aventure...
Puis la porte craque.
Sûrement le coup de pompe.
Sûrement un gros coup de pied d'un Gros en colère.
Sûrement le gros coup de pied d'un Gros motivé à l'idée de faire ce qu'il sait faire de mieux.
La porte s'ouvre de force sur un ex commerce dans laquelle se trouve un individu affalé sur une table qui peine à se relevé pour faire face.
La porte s'ouvre avec celui qui l'accompagnait...
Faut vraiment en parler ?
Le gars qui se prend la porte dans la tronche, qui recule sous l'impact et qui se fait martyriser par un Simplet en forme qui lui saute dessus à coup de poing digne d'un marteau piqueur... Il lui mangerait l'oreille que le tableau serait parfait... quelques droites et plusieurs gauches... Un poing comme la masse qui tombe sur un tout tout petit clou....
Faut vraiment en parler ?
Sinon, il y à le petit bonhomme qui tente de se saisir de son arme caché derrière un établi ou trônaient auparavant quelques miches.
Sinon, il y à le petit bonhomme au regard ahuri...
Sinon, il... subit... suit le cours.... assume... c'est le troisième...
Sinon, il est le plus évident...
On va pas s'y attaquer en premier, hein ?
Qu'il profite d'une taxe déjà largement payé !
Qu'il fasse d'un ex commerce un repaire caché à ramponneau à parties dont mêmes les vainqueurs sortaient perdants.
Nan, tellement évident....
Un des larrons sans importance.
L'un de ceux que la poukave jette à la première heure.
Mais faisant partit du lot.
Ca aurait pu,
Ca aurait du,
Mais n'est ce différent ?
Alors le malheureux ouvre les yeux en grand, tente de se saisir de sa lame tandis que la porte s'ouvre à grand fracas. Puis tandis que les coups pleuvent sur son larron il brandit son épée vers le second entrant, tout vêtu de noir et encapuchonné rentrant dans une ex boutique comme chez lui... ne l'est il pas... une main dans la poche et l'autre tenant une dague par sa lame.
C'est une victime, non ?
Alors lorsqu'il jette sa lame au sol...
Alors lorsqu'il se met à genoux...
Alors lorsqu'il implore...
Il y à peut être eu un léger état d'âme.
C'est sûrement la réminiscence d'une ancienne vie.
Une sorte de spasme...
Mais la lame fait son oeuvre.
Et le sang coule.
C'est un coupable, non ?
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