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[RP fermé] Bleu sur Bleu

Andrea_
"Le sacrifice de soi est la condition de la vertu" Aristote
"Je n'ai pas de vertu donc" Elle




Mais c'est pas nouveau...
Vous avez déjà tenté d'arrêter votre main en plein élan?
C'est super difficile et à cause de plusieurs points que je vais énumérer maintenant parce que vous avez du temps et que moi aussi.
1 - Y a une question d'attraction terrestre là dessous, la main est montée, forcément à un moment faudra qu'elle descende.
2- Votre cerveau a commandé, et on ne contrarie pas son cerveau -l'avantage de n'pas en avoir Messieurs, sic!-
3- Vous vous êtes préparé mentalement à la mettre cette gifle alors là vous avez l'impression qu'on vous ampute.
4- Avouez que c'est vachement tentant de lui mettre quand même hein, le mouvement est commencé tout paraîtra naturel...

Imaginez un peu la vengeance de la main qui n'écoute pas le cerveau qui hurle stooooop, qui se débloque et vent s'écraser droit sur son nez au lieu de se ranger. On peut s'excuser d'une main qui se jette sur un vase mais sur la joue d'un homme? Nan ça fait désordre.

Remord, petit, mais remord quand même.
Bon ok.
La main se stoppe en plein élan. Petite impression de ne pas achever le boulot, mais l'but était pas d'lui en coller une hein, mais bien de le réveiller.
Regard qui se pose au diapason sur la cicatrice. Une goutte de sang perle a un endroit mais l'brun il a l'sang noble, ça coagule facilement. Tout ça pour éviter de regarder la chemise qui gît un peu plus loin. En piteux état. J'veux pas dire mais t'as quand même pas cru que j'allais la nettoyer ? Nan parce que je suis toujours fâchée avec la lessive. D'puis j'ai eu l'malheur de laver une chemise rouge avec le linge blanc, j'évite de le refaire. Pourtant ça lui allait bien au teint le rose à mon Lou', mais il a pas aimé.

Le buste Colombien se relève, les jambes se rapprochent et se croisent, j'ai jamais compris pourquoi on disait "en tailleur", la dernière fois que j'ai vu un tailleur, il était accroupi, des aiguilles plein l'bec et le regard menaçant. Bref, j'suis en tailleur -moins les aiguilles-.

Présentations. Un peu cérémonieuse pour le Brun, m'enfin faut bien l'faire à un moment.
Action, réaction, main qui tend la bouteille et souffle qui emplie les poumons pour lâcher d'un trait.



Épouse d'un Brun Escorteur Impérial et d'un Roux Borgne. Mère d'un Ado et d'une petite fille qui porte son prénom comme un fardeau, Victoire.
C'est moi, Andrea.



Une couverture poussiéreuse est glissée non loin de la tête Brune, et la main farfouille dans une caisse pour ressortir, victorieuse, une bouteille à la main.
Le bouchon est croqué et craché plus loin.
Acier soulagé dans gris épuisé.



Eric vous trouvera une chemise pour remplacer l'autre, elle sera pas aussi...blanche ni aussi... soyeuse, y a même peu de chance qu'elle soit propre ou à votre taille mais c'est l'intention qui compte...


Déjà parce qu'Eric qui obéit du premier coup c'est rare, mais qui en plus y mette de la bonne volonté pour un homme qui dîne avec sa patronne, faut peut être pas pousser Mémé dans les orties.
Les yeux lorgnent le Brun. Il avait une tête de héros. On le sentait prêt à défendre la veuve et l'orphelin, à braver tous les dangers de notre humanité, à embraser les foules féminines, à organiser des vacances en familles, à recueillir des chatons, à attendre que Madame se réveille pour lui prier de quitter la chambre, et, en cas de grande forme, à comprendre une chanson paillarde. Ouai, il avait une tête de Héros. Le genre de Héros qui prend un gnion et qui pourtant pose sur vous ce regard plein de compassion, qui sait mais qui ne juge pas. J'irais pas jusqu'à dire qu'il veut comprendre, d'ailleurs à mon avis il s'en fiche, il est sûrement de ceux qu'on appelle "neutre" et qui, malgré toute l'amitié qui le lie à l'une des parties, ne va pas pour autant vous mettre la misère.
C'est vachement important.

Lampée d'alcool envoyé derrière la cravate, Armagnac, manquait plus qu'ça. Grimace de circonstance et corps qui se penche sur le côté pour prendre appui sur un bras -on peut se mettre à l'aise oui?!-. Qui se penche un peu comme le fera la tour de Pise dans cinq cent soixante deux ans, quatorze jours et seize minutes.

Et confidences.
Alors oui tu vas te d'mander c'que t'as fait pour mériter ça, te dire que t'as sûrement été très vilain dans une vie antérieure, peut être même tuer ta mère pour devoir m'écouter, mais en fait nan j'te rassure, c'est juste que depuis ce jour fatidique, je n'ai plus jamais revu des gens qui les connaissais. Que parler d'eux est tabou, parce que j'ai cette putain de pudeur qui m'en empêche, et puis si on était proche, j'te dirais qu'ça m'fait du mal.



Nicolas ressemble à son père... Il est loyal, indépendant. C'est pour ça que c'est dur de penser à lui. C'est un garçon gentil, sensible, intelligent -et j'dis pas ça parce que c'est mon fils hein-. Mais il lui ressemble trop. Il a ses expressions, son rire, son regard, sa façon de parler. Lorsque j'le vois c'est Louis que je vois. Et c'est insupportable.


Nouvelle lampée. Longue. Le genre de lampée qui vous met la gorge à vif, qui vous retourne l'estomac et qui vous colle une cirrhose en deux temps trois mouvements. Si j'te disais que j'l'avais dit à personne, tu m'croirais?


Il a mes yeux... J'espère juste que ce qu'il voit et comprend de la vie diffère de ma vision. J'pense qu'avec vous à ses côtés, il a plutôt intérêt à filer droit.
Il veut toujours être Roy de France?



Et est ce qu'il parle de moi?
Est ce que je lui manque?
Est ce que... Autant de questions que je taierais, j'suis pas sûre d'pouvoir entendre les réponses.

C'est étrange comme soirée.
On s'charme plus ou moins, on se cherche, on se trouve une fois dehors, on s'tape dessus, et j'me r'trouve là à chialer sur ma vie alors que tu t'tords de douleur, ah j'oubliais



Louis pourra laver votre ch'mise et la recoudre, c'est toujours lui qui fait ça non?


Nan c'est pas une façon détournée de te demander s'il a refait sa vie avec une pouffiasse. Pas du tout, j'vois pas pourquoi tu penses ça.
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Doryen
[ j'en ai même rêvé cette nuit ] elle



Ben voilà...
Le commencement.
En milieu de soirée... a moins que ce ne soit la nuit... mais les présentations sont enfin faîtes, les non dits étouffés sous les paroles.

Il relève la tête, accueille avec plaisir le linge aussi sale soit il qu'elle lui glisse, récupère enfin la bouteille qu'elle lui tend, se gorge de Sangria tout en l'écoutant parler, et la regardant boire... Quoi ??? A toi le truc qui guérit, à moi l'alcool de Gonzesses ??? et esquisse un sourire.

" Ah merde... J'te croyais chaude pour faire un brin de couture et de lavage... quoique t'en as pas trop la tête, puis le borgne m'a jamais parlé de toi comme de la fée du logis... T'étais lancé, c'est con ! Le léger sourire s'élargit, elle l'a tailladé puis sauvé tandis que lui se contentait de ne pas la frapper pour l'épargner, et elle ne semble pas prête à l'achever de suite.

Allongé près de lui, elle le regarde bizarrement, ou surprise, avant de parler de son Capitaine, de son ami roux et borgne... ouais, pas facile de concilier les deux, hein... et de sa jeune recrue... Ah non, de ses maris et de son fils... Et, allongée près de lui, bleu sur bleu, ça en serait presque romantique...
Ouais, sans la remise
Ouais, sans l'alcool
Ouais, sans le sang
Ouais...


Nouvelle lampée de jus de fruit, avant de lui tendre la bouteille, genre "on échange steplé ?"

" C'est un ado... Petit rire étouffé histoire de ne pas craquer le travail sommaire de la couturière d'un soir, d'une nuit... Je crois qu'il se verrait bien marié à la fille de l'empereur. Les yeux se reportent sur le plafond, il tente de satisfaire la soif de nouvelles. Son père lui à acheté un cheval, un vrai... Je crois qu'il en avait marre de son âne... Il était fier... Puis draguer à dos d'âne... Un pause, un sourire... Il s'oublie parfois, ramasse quelques gifles de temps en temps, mais il est sérieux au moment d'accomplir la tache... quoique un peu foufou... Un ado... J'ai pas de problème avec, je crois qu'il craint que son père n'apprécie guère...

Sûr...
Pas que, mais puisque le père m'apprécie plutôt pas mal... va savoir pourquoi...
Puis vu que le roux m'aime plutôt bien... Là encore, va comprendre...


- Je sais pas comment c'était avant, mais les deux ont l'air de se porter plutôt bien... Mieux que moi ce soir à coup sûr ! Un silence, d'une pour ne pas s'épuiser à parler sans respirer et ne pas accroître la douleur, de deux parce que vu qu'elle à pas l'air de vouloir lâcher son remède, il est obligé de lui prendre des mains en insistant un peu... Puis là, sans en venir à mentir, il n'est pas persuader que toutes les vérités soient bonne à dire. Moi, m'avaient l'air... heureux...

Il reporte ses yeux sur elle, dans un léger soupir. De la robe poussiéreuse et désormais taché de sang, remontant pat le corset... ah ben oui, on se refait pas... avant de détailler le menton, les lèvres, de prendre note d'un teint pâle, encore plus qu'à l'habitude, de s'attarder sur la chevelure qui lui tombe sur l'épaule avant de traîner à même le sol, pour finalement se reporter sur les yeux bleu acier tandis que la main dessine les contours de la blessure, réflexe qu'il gardera sûrement longtemps.

Gris sous acier, acier épuisé sur gris fatigué, gris sincère dans acier à nu. Placez vous sur la case départ...

Une lampée de la nouvelle bouteille, ça pique les yeux, on sent descendre le liquide, ça anesthésie, puis profonde inspiration, comme si ça permettait de réunir ses forces, avant de basculer sur le côté, face à elle... si près.. tête toujours posé sur le linge. Il a besoin de la regarder dans les yeux, que les bleus plongent les uns dans les autres, pour dire les quelques mots qui vont finir par sortir de sa bouche, qu'elle lise son regard, qu'elle comprenne, qu'elle sache qu'il est sincère...

- Je suis désolé..."
D'avoir acheter des chats
D'être venu
D'être ici
D'avoir insisté
D'avoir attisé ta colère
De t'avoir menti
De t'avoir fait gaspiller un 19 ans d'âge
D'être curieux
D'être en vie
D'avoir perdu ma chemise
De ne pas avoir esquivé plus rapidement
De ne pas t'avoir maîtrisé avant
D'avoir raté le cochon de lait
De t'avoir laissé ma dague affutée... trop...
De ne pas savoir ce que j'ai branlé de l'épée du gros
D'être resté
De t'avoir fait faire de la couture

D'avoir envie de toi...

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Andrea_
Il ne faut pas briser les rêves des idéalistes.* American Beauty



J'peux partager beaucoup de choses, beaucoup.
Mon gosse avec son père, les tâches ménagères, les boulasses, les butins sur les routes, les torgnoles, je partage aussi. La preuve j'suis même allée jusqu'à partager mon mari avec un roux, à l'époque il était pas encore borgne -j'suis pas sûre que ça aurait changé quelque chose-.
Mais j'ai toujours un souci avec c'qui s'boit. J'l'ai bien vu son p'tit regard pendant que j'tentais la cirrhose mais MA bouteille, c'est MA bouteille. Surtout qu'en plus ça parle de MON fils, autant dire que c'est MON moment, alors ta bouteille mon coco, tu vas l'attendre encore peu.

Ado... Mon fils ado. Léger sourire de la Chiasse qui s'prend dix piges dans la gueule, sans une ride -magie des Royaumes-. Les pensées font un concours d'absurdités, et tout se déroule sous forme de bouquins.
Nico change de voix.
Nico et ses chapiteaux du matin.
Nico découche.
Nico fourre sa langue -et pas que- dans une Dinde.
Un bâtard pour la fille de l'empereur.
Horreur.
C'est toujours très marrant d'imaginer son fils devenir un adulte, la voix qui mue, les bourroles plein la face - l'état du miroir après éclatage...-, le petit rire con qu'ont tous les adolescents. Les questions existentielles, les premiers rapports, les expériences, les... Beaucoup moins drôle avec une fille hein, au moins Nico pourra copuler tant qu'il voudra, aucun risque qu'il se ramène la bouche en coeur pour annoncer le fameux : " j'suis enceinte, j'sais pas comment ça s'fait". Surtout qu'nous on sait très bien comment ça s'fait et qu'on n'a pas DU TOUT envie d'les imaginer.
J'en connais une qui s'est toujours pas remis que son père l'ai amené se déniaiser chez les catins, alors c'est pas vraiment pour l'imaginer copuler dès qu'il a trois minutes devant lui.

Rire franc au passage de l'âne, nan sans déconner, y a mieux comme aspirateur à gonzesses qu'un bourricot non? Avec un ch'val on a d'l'allure, pour sûr Louis a du en choisir un beau et Nicolas doit se pavaner de façon magistrale. Les chats n'font pas des chiens...

Arrachage de bouteille, soit. C'est l'avantage d'être dans la remise, j'vais tendre mon bras, j'vais rechoper une bouteille et j'vais mettre ma race. Avec un peu d'bol ça s'ra pas de l'Armagnac et j'pourrais boire sans cracher du feu. J'ai l'gosier en pente ce soir, on s'refait pas.

Le geste est esquissé puis arrêté en plein élan - c'est la mode, maintenant qu'on sait faire on en abuse, youhou-.
Désolé. Tu es désolé. TU ES DÉSOLÉ ?
Il se fou d'ma gueule lui?! Il est désolé? Désolééééééé ?!
Oooh range ce petit regard Ddodie, pas à moi, pas maintenant !
J'pourrais t'bondir dessus pour me rappeler à quel point ma condition est minable! Merd', j'avais presque réussi à oublier que t'étais un enfoiré!
Mais...
Mais les yeux dans les bleus changent la donne. Compréhension, émotion, désinhibition, émascula-ah non pardon, pas ça-, aberration, confession, compassion, pardon, plein d'mots en on qui sonnent un peu con.



Nan c'est moi qui suis désolée...


D'avoir osé t'filer un rendez vous,
D'avoir tenté d'te charmer pour finalement t'offrir la catin qui bosse pour moi, surtout qu'elle est pas supra douée,
De m'être mise en colère,
De t'avoir planté,
D'avoir été curieuse,
De pas t'avoir laissé agoniser,
D'avoir osé t'faire une suture qui, entre nous, ne fera pas d'ta cicatrice un modèle,
D'avoir joué cartes sur table,


D'avoir plongé dans tes yeux, tête baissée,
De m'approcher dangereusement de tes lèvres,
De n'plus savoir quoi dire,
D'avoir envie de partager bien plus qu'un cochon d'lait,
De poser mes lèvres sur les tiennes, doucement,
De les écraser avec avidité...

Lèvres armagnacaises contre lippes sangriatées.
Nan tu vois, c'est moi qui suis désolée, par contre j'te préviens, une partie d'moi te tolère, l'autre t’exècre.

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Doryen
[ Certes, un rêve de beignet, c’est un rêve, pas un beignet. Mais un rêve de voyage, c’est déjà un voyage ] Marek Halter



Il n'a jamais tenu l'alcool... C'est pas un secret, deux verres il danse sur la table, 3 il vomit partout... Pas ce soir, les idées sont claires.

Non, t'es sérieuse là ?
Va encore falloir se battre ?
Je te préviens, ce coup ci je vais pas me laisser faire...
Je compte bien me défendre vaillamment !
Et à la fin, c'est peut être toi qu'il faudra recoud...
Qui, moi, prétentieux ?...
Pas faux...


Plus sérieusement, si elle avait commencé par là il n'aurait pas eu l'immense privilège de se promener une cicatrice d'une quinzaine de centimètres qui à n'en pas douter n'attirera pas foule de gonzesse l'été en bord de plage...

Après l'effort...

Etrange comme soirée, non ?
Des chats, un repas avorté, un faux combat, une vrai blessure, beaucoup d'alcool... du bleu... du bleu acier, du bleu gris, du bleu bleu... dans, dessus, dessous... du bleu fatigué, amer, en colère, épuisé, alcoolisé, sincère, empathique, excité...
Mais là, pour le moment...
Oublié le cochon de lait, les putain de chatons, l'escorte, le mari, le fils, la remise, le serveur, l'épée, la blonde, la douleur.... oui, même la douleur...


Il se laisse écraser les lèvres, ben oui faut pas être con, c'est le meilleur moment de la soirée... jusqu'à se laisser aller sur le dos pour profiter des lèvres sensuelles, les accueillir avec douceur... Puis, le baiser, fougueux... les lèvres s'écartent, les salives se mêlent... Sangria à l'armagnac, mélange maison, vieillit en bouche... Visite guidé d'une langue à l'autre, exploration de bouche, genre " c'est pas très lumineux, mais y'a vu sur la gorge... il est cher le loyer ?"

Puis...
L'heure de la revanche...
Oui, parce que c'est quand même toi qui m'a tailladé...
Et que la punition doit être exemplaire, sous peine que tu veuilles recommencer... J'aurai l'air de quoi si toutes les donzelles que je croise se mettaient en tête de laisser leur marques sur mon corps ?

Second combat, couché cette fois ci. Quoique je conserve mon épée... moui, prétentieux, on l'a déjà dit... Faut dire que là, on est sur mon terrain de jeu...


Main droite qui se saisit des cheveux, les tire en arrière pour faciliter la roulade douloureuse, main gauche saisissant la dague de jet qui creuse les reins depuis déjà quelques heures avant d'en reporter la pointe de lame sous la gorge de la mi rousse...
Gris provocateur sur acier qu'à pas peur, rebelotte, + 20 points
Quelques secondes, puis la lame file vers le bas, effleure la peau tandis qu'elle découpe aisément... quoi, faut refaire la preuve de l'excellent affûtage ?... lanières, corset, tissus de la robe bleu rouge poussiéreuse, jusqu'à nombril avant d'être balancé d'un mouvement pour se ficher dans un meuble.
Une chemise hors de prix pour une robe emprunté, on va dire qu'on est quitte...
Les deux prisonniers sont enfin libéré, après avoir du se cintrer toute la soirée et une partie de la nuit dans cette tenue un peu trop petite pour eux... Alors il les regarde exploser à leur guise, goûter l'air libre, et s'en saisi d'un à pleine main pour le rassurer...
Ouais, il attrape un sein pour le malaxer.... Mais ça fait moins classe de suite...

Tour de pré-flop,
Retour à la bouche, c'est fougueux, suffocant, battle de langue en cours... L'un chez l'autre, l'autre chez l'un, combat de pouce mais en plus humide... Avantage à celui qu'est dessus, question de gravité. La même que celle qui plaquait la paume de la main sur la poitrine, téton rigide entre les doigts, sûrement dû au froid qui règne dans la remise, hein... Plaquait, parce que d'un sein opulent à l'autre... d'ailleurs j'ai quelques idées, je te montrerai après... la main innocente est parti relever ce qu'il reste de la robe en remontant le long des cuisses avant de se plaquer sans ménagement entre elles en vu de la consultation gynécologique à venir... Gratuite et sans rendez vous laborieux, faut avouer que ça change !
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Andrea_
« On croit que les rêves, c’est fait pour se réaliser. C'est ça, le problème des rêves : c’est que c’est fait pour être rêvé. » Coluche




Et ce n'était pas le froid qui transformait le bout de mes montagnes en pics de glace, si j'voulais rentrer dans les détails j'expliquerais que c'est une réaction hormonale, un truc chimique qui fait que quand le corps d'un homme rencontre celui d'une femme y a une explosion. Ça grimpe dans les braies, ça pique dans l'corset et ça frisonne un peu partout ailleurs. Avoir chaud et frissonner.
Et ça frémit, l'alchimie est là. Peut être la colère, peut être le fait qu'tu as failli y passer, le fait que j'ai cru t'avoir tué, le fait que je l'ai voulu, le fait que... Que le bleu et l'acier se complètent, qu'j'irais bien m'baigner dans l'océan d'tes yeux, le fait que... Ça frissonne, et ce n'est pas ta main sur ma cuisse qui va m'apaiser.

Les lèvres sont en vacances, cette fois c'est festival et crois moi elles voient du paysage, se posant ça et là, savourant tes lèvres, glissant sur l'ovale de ton visage, mordillant un lobe d'oreille qui se trouvait sur son chemin. Tout est visité, même tes paupières. Les mains se posent sur ton cou, en appréciant la douceur pour finalement s'agripper à ta tignasse, dis moi, Ddodie, tu m'en veux si j'te r'fais une coupe pré-baise? Et ta lippe inférieure, c'est bon ça s'mange?
J'suppose que oui, d'ailleurs j'me sers, tu pardonnes les marques?

La main Ddodienne s'invite, visiblement motivée à...



T'as quand même pas cru que j'allais t'laisser faire?


Visiblement motivée ne suffira pas Mister K. On est chiasse où on l'est pas. Les doigts Colombesques s'enlacent violemment sur ceux du Brun, pauvre petite main qui pensait toucher le paradis -oui je l'appelle comme ça, et vous, c'est Popol?-. Le revers s'écrase au sol alors que la Chiasse prend l'avantage, entre jambe Ddodiesque à portée de vue, les dents de la Belle se perdent sur son nombril alors que l'autre main arrache la ceinture.

Sourire carnassier à l'appréciation de la bestiole, finalement le cochon de lait à côté... Les lippes s'approchent et encerclent, affamées le petit oiseau. Petit oiseau deviendra grand, y en a qui disent qu'il faut de l'amour et de l'eau fraîche, ici on fera avec un peu de salive et un reste de sangria -ça gène quelqu'un?- , les lèvres s’imprègnent des reliefs, langue bien décidée à faire plier le roseau -expression ô combien mal usitée-.
La ceinture est finalement projeté plus loin, le voyage est long, autant n'pas s'encombrer avec des choses inutiles. Et la main?
La main s'occupe du roseau, plus on est d'fous plus on rit. Et si tu crois que tes mains dans mes boucles vont abréger tes souffrances...

A nous deux, tu feras attention, si ton fruit d'chêne touche ma glotte c'est perdu.

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Doryen
[ Lorsqu'on rêve tout seul, ce n'est qu'un rêve alors que lorsqu'on rêve à plusieurs c'est déjà une réalité. L'utopie partagée, c'est le ressort de l'Histoire ] Elder Camara




Quoi ?
Pas le temps de tester la marchandise que déjà ça surenchérit...
Mais à ce rythme là ma belle, on est pas près de voir la couleur du flop !

Tant pis, hein... On va pas se débattre...
Ben oui, faut pas oublier que je suis blesser, je vais non seulement pas forcer sur ma main gauche plaquer au sol par la tienne, mon pauvre côté malade... Puis vu que la main droite est la plus gentille des deux, elle ne peux qu'accompagner ta tête qui s'aventure sur moi, en la tenant par la chevelure, histoire que ça traîne pas par terre, hein... tes lèvres m'embrassant le cou, descendant le long du torse, effleurant ta couture... médiocre, si si on peut le dire maintenant... la langue s'attardant sur le nombril tandis que ma ceinture disparaît à son tour... Qu'est ce que j'aurai perdu comme truc ce soir, c'est fou...


Donc, forcément, non je ne vais pas me défendre vaillamment sur ce coup, faut aussi que je garde mon énergie pour plus tard...

Promis, le fruit d'chêne touchera pas ta glotte... le chêne, moins sûr... ben oui, gentille main se charge également de t'aider... enfin, te guider... On est gentil ou on l'est pas, alors forcément laisser une langue désoeuvrée, quoique experte, une bouche et une main s'occuper d'autant... oui, prétentieux, déjà souligné y'a longtemps... on aide...

Non, je déconne...

La main dans la chevelure, les paupières mi closes, la respiration qui tente de se réguler par pure crédulité, le dos qui se creuse, le bassin qui se relève pour laisser personne dehors... Normal quoi... Parce que je sais pas pour ton paradis, mais Popol... Popol ??... faudrait pas qu'il attrape froid dans ta remise...

Elle est gloutonne et ça lui va... Après tout, les présentations ont été faîtes.
Elle semble gourmande, peut être même un peu trop, faut dire que le cochon de lait ils en ont pas vu la couleur... D'ou le côté affamé peut être... Si il lui laisse la main... hmm... il est fichu, alors il se sert de la sienne pour lui tirer la longue chevelure en arrière, libérer le membre de l'étreinte sangsuaire... oui, j'invente, et alors ?

Les deux bras passe sous les aisselles, histoire de ramener la cinquantaine de kilos à portée de bouche, lèvres sur lèvres, langue sur langue, bleu sur bleu, le temps de prendre un peu de douceur enivrante avant de la rejeter sur le côté et de rouler, a nouveau, péniblement sur elle en grimaçant, tombant comme par magie, bouche contre nombril.... comme quoi, le hasard fait parfois bien les choses...

Tant qu'à être sur place...

Une tape sans ménagement sur une jambe pour se faire de la place, tout langue dehors direction la cuisse... non, en vérité la cuisse on s'en fout, hein !... Bien embêtant, faut trouver un nom à la destination, quoique l'itinéraire est tout trouvé... Tu peux rester chez toi Tom Tom, PoPol connait la route...

Enfin bref, ça s'écarte... je parle des cuisses, hein... ouais, entre autres...
Hum !
Je disais ?

Oui, ça s'écarte, et du coup on est pas trop de deux mains et d'une langue pour s'occuper convenablement des deux endroits...
J'ai dit deux ?
Ah oui, un explorateur ne laisse rien au hasard, à chacun sa technique hein...
Puis je rechigne toujours à faire des jaloux...
Du coup, langue et main droite pour l'un, examen gynécologique en douceur, mais abouti, main gauche pour l'autre.... enfin un doigt.... non, disons deux, soyons fou...
Ca rentre, ça sort, visite traditionnelle pour commencer, déménagement en cours par la suite...

A chacun son repas, le dîner lui sied à ravir...
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Andrea_
On a affaire à une rêveuse totalement déconnectée de la réalité, en sautant elle a du penser qu’elle s’envolerait.Virgin Suicide



Ouai j'ai la dalle et on croirait presque que ça te pose un souci, allez le Brun détends toi, tends toi, teailleuh ! Nan mais mes ch'veux t'ont rien fait! A la rigueur t'en as pris un dans les dents mais...
L'objet du déli est lâché, à regrets -autant l'avouer-, un croc qui se perd sur la lippe et un regard à l'assaillant, le même regard qu'un gamin a qui on aurait piqué la tétine. Roulé boulé dans la remise, j'aimerais pas être c'lui qui va ranger.
Hasard, signe du destin ou main de Dd -comme Dieu-, toujours est-il que si tu continues, c'pas un ch'veux que tu vas avoir dans la bouche... L'explorateur est lancé, pas une minute de répis, pas un seul endroit reste inexploré, d'ailleurs tu m'en veux si j'puise l'air directement comme il vient? Crois pas que j'souffle hein, je soupire -on est loin d'la respiration de bébé qui salive et qui fait des bulles en s'endormant-. Ouai notes, je soupire et cette fois tu n'vas pas perdre quelque chose. Oh non tu vas l'donner mon grand et avec des soupirs histoire que tu vois c'que ça fait.

Enfin pour l'moment si y en a un des deux qui prend... C'pas lui -hahum-.
Ddodie est visiblement un chercheur aguéri, rien n'est laissé au hasard, et j'peux vous dire que Christophe Colomb qui découvre l'amérique, à côté, c'est d'la gnognote. Festival qu'on vous a dit, y aura pas d'deuxième chance, on donne tout les gars, on donne tout, pas de remplaçant et pour l'temps additionnel, ça dépend d'toi!

Brun en action.
Claque sur la cuisse ça raffermit l'jambon ça fait pas d'mal.
Langue sur l'autel du paradis -ouai bin trouvez lui un nom- main droite qui visiblement cherche quelque chose, espérons que les soupirs tiennent la réponse. Pourvu qu'il donne sa langue.. à la Colombe!

STOP. Arrêt sur image. Arrêt d'une demi s'conde, on va pas tortiller du cul pour chier droit -en parlant d'ça...-
Mais qu'est ce que c'est que ÇA ! Ils sont v'nus à combien ? Douze, treize? Allo Dd? Ouai j'ai une question à t'poser là? Hmm ..heu... Ouai t'attends du monde? Nan parce que la salle de jeu est pleine et j'ai l'impression qu'y a du bruit dans l'garage... C'est... Ah mais oui, un remix de Sodome et Gommorhe, j'vais mourir détruite par le foutre -soufre pardon- et le feu.
MARCHE.

Les orteils se crispent, le dos se cambre, les mains sont jalouses et malmènent les épaules du Brun de la dextre, griffes décidées à se planter là. Nan mais pas d'quoi pleurer hein, juste... un ongle... Non, disons deux, soyons fous. La Chiasse a comme qui dirait un souci : on va jamais trouver un terrain d'entente ! C'est moi qui commande!

Mais commander c'est tout un art... Senestre se tend... Ceinture!

Shlack!

La main lâche l'épaule, on n'joue pas avec la nourriture. Ça glisse jusqu'au menton qu'elle relève sans prendre de gant. Le souffle est court, le regard aguicheur.



C'est tout ce dont t'es capable?


J'veux des violons sous la pluie, des passions à Paris, des bisous dans le cou, des décors en carton, un gars dans mon Paradis, apprends moi la vie berdol*!
Aciers sur fils bruns, ongles dans dos Ddodien, orteils tournés vers la Mecque, finalement on est ce qu'on mange. Offre moi l'paradis mais oublie l'plateau d'argent.


* j'veux des violons, de Little, arrangé à ma sauce.
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Doryen
[ Prenez le temps de rêver... Et si vos rêves ne se réalisent pas, qu'ils soient tout de même magnifiques ! ]




Ca fait du bruit, respire bruyamment, gémit... aux dernières nouvelles, c'était plutôt bon signe... Je déconne, je suis un explorateur aguerri...
Enfin, pas que je sois un expert, hein...
Mais à défaut de manger 5 fruits et légumes je pratique une activité physique régulière... A deux position horizontale...
ou latérale...
ou debout...
ou a genou...
ou assis...
ou..
Ouais, je vous fait pas un dessin...


Du coup les farfouillent tranquillement, devant comme derrière, on oublie rien, fouille archéologique minutieuse, sans la brosse et les gants. Enfin, ça fouille partout, mais ça s'attarde aussi longuement sur certains endroits plus stratégique... a croire qu'il connait la map par coeur. Puis à 11 sur le terrain, pour peu qu'on qu'on soit un peu organisé tout le monde à sa part de travail... Sûr qu'on va pas y faire une partie de Soule non plus...
5 contre 5, la langue à l'arbitrage, sifflet en bouche... Enfin cherche pas à souffler dedans, celui là est plus le genre à se faire aspirer et mordiller légèrement, quand on en fait pas le tour doucement avec la langue avant de l'assaillir violemment, histoire de sentir se contracter la maison aux doigts... les maisons.. enfin la maison et le cabanon... Puis les ongles dans la peau, ça ressemble pas trop à de la colère, alors il s'en régale... Y'a pas à dire, tu sais recevoir les invités dans ton bouge...

Du coup, la main qui lui intime expressément de lâcher la partie en cours, avant même la fin du match, ça le contrarie un peu... Enlève le steack de la gueule d'un pitbull et tu me dis ce que ça donne...

C'est tout ce dont t'es capable?

Hé, tu dis ça à ton maçon quand il commence à monter les murs ? Faut aussi laisser bosser les gens, merde... Claque sur l'autre cuisse, frustration... "ô rage ! ô désespoir !"...
En plus de saloper le boulot, je vais pas pouvoir jouer plus haut, alors que l'imposante paire de miche me hurle de jouer avec depuis mon arrivée, façon hot dog... avec ou sans mayo ?

Frustration passagère, éclipsé d'un regard joueur et d'un sourire provocateur façon mi-rousse. Bleu dans bleu, acier chauffé à blanc sous gris conquérant.
Ok, t'aime pas prendre l'escalier, pas de souci...
Obligé de se redresser un peu pour lui tirer les cuisses... pour le moment... afin de la faire venir à lui... enfin, approcher le terrain du joueur principale.
Dernier coaching mental, ayé, c'est ton tour, me déçoit pas, go go go

Dague affûté dans du beurre, faut dire que le ménage avait été fait, terre meuble, endroit chaud et humide, prêt à accueillir le futur habitant. Le tout, bleu dans bleu, gris plongeant dans acier qui s'évade. L'un des meilleurs moment, le premier coup... de reins... la paupière qui peine à rester ouverte, le regard qui fuit, le cerveau qui s'évade tandis que l'intrus prend possession des lieux...

Les autres sont un peu moins marrant...

Bon, on va quand même les donner, hein... pas mon genre de faire le radin

Mais en baissant le regard sur la poitrine qui lance sa danse magique, spectacle merveilleux de deux seins qui se baladent au rythme des coups de bassins, chacun de leur côté...

Opération danse synchronisé lancé, pour le plaisir des yeux, et la respiration difficile qui parvient aux oreilles sonne la cadence. Largement de quoi faire oublier la douleur lancinante dans la poitrine...
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Andrea_
Brimez tous mes droits, et il me restera toujours celui de rêver. »Martin Roy




Y a un truc qui dit qu'aux grands carrefours de ta vie, y a jamais d'panneau. J'en déduis que j'suis un des grands moments de sa vie. Il a pas eu besoin de signalisation pour trouver la caverne -de pas Ali Baba-.

Mille et un trésors, mille et un soupirs, j'vais quand même pas dire mille et un coups d'rein mais l'idée est là. Avec quand même un accent sur le premier. Celui là il a goût d'la délivrance. Ouai, comme un corset qu'on aurait trop serré, une ceinture qui entrave "le tombé d'brioche" après un bon repas, 'fin vous comprenez j'en suis sûre, disons qu'ça fait du bien par où ça passe.
Après on va pas non plus lui faire une ola parce qu'il donne d'autres hein. Les coups d'rein c'est comme une chope de Leffe, la première fois qu'on y goûte on trouve pas ça top top, ensuite on peut plus s'en passer. Et comme avec la leffe, la première gorgée est salvatrice, les autres sont un délice et on s'arrête uniquement quand on a envie d'pisser -notez la classe-.



Berdol de merd'


Ça, c'sont les mots qui l'accueillent, ce premier enfouissement -la classe on vous a dit !-. Ça aurait pu tout aussi bien être accompagné de " c'est bon" -mais on n'est pas là pour juger au premier coup "d'oeil"- ou encore de " je t'aime" - ce qui serait un pur mensonge, mais les femmes une fois au lit... Ou enfin de " ça faisait longtemps que j'attendais ça" ce qui entre nous serait super humoristique quand on sait qu'ils se connaissent depuis quoi... quinze minutes hier et un peu plus d'une heure aujourd'hui, mais on n'va pas tenter l'diable, on se contente donc de "berdol de merde", une réaction somme toute naturelle.
Toujours est-il que Dd est dans la place et que ça aurait été con d'louper ça.

La danse est lancée et autant pas s'mentir, c'est pas vraiment une valse, plutôt une sorte de dance hall hip-hopé à rendre jaloux "el campion" . Les souffles s'emmêlent, les corps s’imbriquent, les pensées s'envolent -pas très haut, a peine au niveau d'la ceinture- et les seins... se baladent.

Acier chauffé à blanc sous bleu océan
Il n'y a plus d'remise, plus d'caisses, plus d'bougies, plus d'sangria non plus d'ailleurs. Nan y a toi Ddodie, explorateur chevronné et moi, Déa îlot, dune a explorer à deux.
Les mains sablées se posent sur les muscles -faut savoir apprécier le matos-, et à voir l'ardeur déployée pour caresser les bras, on comprend que la faim la tiraille, et qu'il faudra bien un Ddodie entier pour la combler. Les doigts remontent, des bras aux épaules, des épaules au cou, du cou au torse, puis aux flancs. Les joues rosissent et les pensées coupables sont chassées d'un nouveau soupir.

Dis, t'aurais pas prévu d'me faire toucher l'ciel sans passer par la case départ toi? Nan parce que... C'est pas du jeu, y a pas d'défenseur dans la surface de réparation -dépravation?!-.

Les jambes tentent une rébellion et s'enroulent autour des reins Ddodien. Premièrement, repérer les lieux, deuxièmement lui montrer qu'on a la dalle, qu'il faut pas lésiner sur la bouffe à servir, troisièmement, profiter un peu Quatrièmement, en reprendre encore, on n'est pas aux pièces. Et finalement décider que c'est assez, que bleu sur acier c'est bien, mais qu'acier sur bleu, c'est mieux...

Serrage de buste pour tenter de bloquer l'animal et regard suggestif. Et ouai mon coco, j'suis pas vraiment l'genre à rester passive tu vois, si tu voulais une étoile, tu t'es trompée d'remise - tes potes t'avaient pas dit?-.
On chope le bras, on pose l'autre sur l'épaule, on bascule,ça résiste un peu, on ose frôler la cicatrice d'un peu trop près histoire d'avoir le dessus, on rebascule, envoyé c'est pesé, bonjour chez vous, j'suis la reine du monde et c'est toi mon trône.

Le corps Ddodien est dompté, chevauchée par une Chiasse en forme olympique. Coup d'envoi de la seconde mi-temps. Les monts jouent les avant-centres de premier choix. Le paradis s'accroche à la dague comme une moule à son rocher - hahum-, ce n'est plus un match c'est une boucherie. La carcasse de la Belle s'empale plutôt sèchement -mais pas vraiment- et les lèvres viennent se poser sur le torse. Puis viennent les dents, qui sont sur la touche depuis un petit moment -Elle s'contrôle pas toujours-, entrée sur le terrain avec la motivation des jeunes et qui mordillent le menton les épaules du brun, sans oublier de venir jouer avec ses embouts pectorals -ses tétons quoi-.
Plus au sud les assauts sont répétés, de celui qui reste à l'entrée à celui qui découvre une arrière salle, du plus doux au plus violent, avec un mix des deux, du blanc, du noir et une palette de cinquante nuances de gris à trouver.
Le corps se redresse, joues écarlates et corps en sueur, cambrure au top -faudrait voir de profil, t'es pas bien placé Dd-, le souffle est haletant, les cheveux en bataille, et, si l'on en doutait, il lui reste finalement de la force... Pour sûr y en a une qui prend son pied.

Tu sais c'qui m'chagrine quand même dans l'histoire? T'as gardé tes chaussettes...

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Doryen
[ Le sportif rêve son rêve, le champion le vit ]




Il résiste un peu...
Non seulement parce que de là ou il est, c'est lui qui balance le tempo pour le rock des miches,
Qu'en plus, il est plutôt bien placé pour filer une notation, genre 9.2 a gauche et 9.4 à droite.... La faute à la nature, toujours un légèrement mieux doté que l'autre et du coup avec la masse, la vitesse, toussa toussa... E=mc2, c'est pas moi, c'est mon pote Albert qui le dira...
Et pour finir, avoir le sentiment de dominer l'indomptable, c'est déjà jouissif en soi...

...Un peu, hein...
Parce que quand la main effleure la blessure tout fraîche, il comprend qu'il vaut mieux se tourner que de pleurer.
Je m'en fous, de toute manière je préfère être dessous que dessus..... Na !

Par contre, ta seconde mi temps, chez moi c'est un second quart temps, donc faudra repasser pour la fin du match... Et là, c'est fin de la saison régulière, finale et titre en vue, Game 7 plus prolongation, faudra tout donner... le don de soi, très important...
Surtout que j'en ai pas fini avec toi, non seulement parce que j'ai mal, mais en plus parce que j'ai bu... Et là, je suis plus proche de Patrick Makau que d'Usain Bolt...


Schlack ! Ca, c'est le son d'une pleine main qui heurte une pleine fesse avec élan... Parce qu'elle à osé le menacer pour pouvoir prendre le contrôle de l'appareil en s'installant sournoisement devant... sur... le manche... Et puisque t'appelle des renforts avec tes dents, je suis obligé de faire intervenir mes doigts... et en continuant comme ça, à l'aube la chiasse portera bien son surnom... Classe, hein ?!...


Schlack ! Non, pas de raison particulière ce coup ci...

Mais pas le temps de trop explorer la cité interdite que Madame se redresse, laisse admirer la magnifique cambrure... Note pour plus tard, toujours installer des miroirs dans la remise, au cas ou... Bien entendu, par pure charité, il l'aide à se relever par l'intermédiaire des ses mains qui viennent s'emparer de meules... Pure charité encore s'il ne les lâche pas ensuite, c'est pour éviter qu'ils n'aient tendance à vouloir plonger vers la bas dans quelques années... Non on, ne me remercie pas....

Et ça...
Oui ça !
Dans mon top 3 du sport à deux...
Un bassin qui se relève, un autre qui s'écrase et qui frotte. Une vue splendide sur une poitrine fermement maintenue à pleine main, la chevelure qui flotte, le bleu sur bleu façon ligne d'horizon, les yeux qui s'évadent.
Mais,
Vu que tu trouve le temps de penser au chaussettes, en oubliant les bottes et les braies sur le genoux, j'en déduis que je t'occupe pas assez l'esprit.
Qu'à cela ne tienne.
Il se redresse, le temps de coller une tête entre les soeurs jumelles, de la relever pour passer la langue sur le cou et de ramener les jambes sur les côtés... Dernier effort en s'aidant du bras le moins handicapé et les 80 kilos soulèvent les 55, bien aidé par Ali Baba qui soutient les murs de la grotte...

Du coup, désolé pour ton dos qui heurte une peu fort l'étagère... Désolé aussi pour tout se qui se casse la gueule, la femme de ménage va avoir du boulot. Fallait pas m'inviter...
Plaquage en règle contre le mur le plus proche, là encore, pas vraiment en douceur, les mains maintenant fermement les cuisses qui s'enroulent autour du bassin, pas vraiment aidés par les corps trempés de sueurs, et à l'explorateur de reprendre du service tandis que langue avide fouille allègrement la bouche de la colombe malgré la respiration difficile.
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Andrea_
La société pardonne souvent au criminel, jamais elle ne pardonne au rêveur. Oscar Wilde




Deux heures, trois minutes, trente huit secondes, c'est son record au Patrick Makau. Sacré record, m'enfin personne ne sait s'il avait bu dl'a sangria, lui.
Si vous pensez que Dd va faire mieux, tapez un. Sinon tapez deux.

Et ça tanne le cuir par deux fois : j'ose autant vous dire que les cuissots sont chauds, et qu'y a pas qu'les cuissots... Y a aussi les meules, maintenues, Mieux qu'un soutif, le Ddodie maintient vos seins en place en toute circonstance. Avec ça, aucun risque d'attraction terrestre, de poires flétries ou de... Adoptez le! Bref, la Chasse le remercierait si elle n'était pas occupée à l'embrasser.

Le résultat est sans appel, c'est une parfaite égalité, il faudra bien les départager à un moment. Mais pas tout d'suite hein, Monsieur tente l'avantage en cassant l'matos, mais mon Coco, j'en ai rien à foutre que tu déménages, j't'ai dit que j'étais occupée ailleurs !
Brouahah dans la r'mise et remerciement au musicien qui en profite pour monter dans les aigus. Ali Baba est cerné, l'étau se resserre, les v-i-oleurs n'ont qu'à bien se tenir.

Langue insatiable pour Colombe vorace, la main tire les cheveux du Brun et les lèvres descendent le long du cou. Dos en compote, jambes qui s'enroulent autour du bassin et langue sur la pomme... Alors Adam on a du mal à respirer?

Le bassin se soulève, orchestre en harmonie mais le fruit est défendable. Eve se lève -z'avez pas entendu la petite voix? Eve lève toi et danse avec Ddodieee, l'écho de la voix est venue jusqu'à moiii- pour mieux encercler Ali Baba, faudrait pas qu'un des voleurs reste dehors, ici, on fait la charité.
Un court instant d'bleu dans les bleus -pour l'côté romantique, version officielle-, le temps de reprendre un peu de souffle -version officieuse- et de mirer le visage in-baise. Il est pas mal le Brun, même en pleine action, surtout en pleine action.



J'suis sûre qu'tu peux faire mieux


Ça, c'est bête et méchant mais ça booste toujours la bestiole.
La bouche est de nouveau violée, le coup de rein violent, l'étagère accueille la main qui pousse le joli p'tit couple -amants d'une nuit- un peu plus loin, nan parce que t'es bien mignon, mais t'as d'jà été encastrée entre un mur et un Lieutenant?
Une jambe tente une échappée, et la pointe des pieds touche bientôt le sol -note la souplesse Dd, note- Les mains se posent sur le torse qu'elle pousse brutalement. Fesses Ddodiennes contre coin de table.

Egalité cette fois. Acier en fusion contre bleus frustrés. La main Colombienne chope une bouteille au passage, sangria qui coule le long des lèvres et des jumeaux. J't'aurais bien passé l'alcool -générosité on a dit- mais... Mais comme tu peux l'voir, y en a plus...



Oups... T'avais soif?


Et les lippes de se retrousser en un sourire bien vite rejoint par un regard pimbêchiale - moi aussi j'peux inventer des mots- . Ouai j'suis à claquer mais ça a son charme il parait.
Alors Ddodie, une table, une femme, un peu d'alcool. Tu vas bien trouver non?

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Doryen
[ Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre ] Jorge Luis Borges



Hé, ça te tente de sortir de la remise robe déchirée et tachée de sang - entre autre - les meules à l'air, trempée de sueur - entre autre - le visage rouge, essoufflée, les yeux hagards, une main sur les côtes douloureuses et en boitillant, résultat durable de mes assauts, sous le regard hébété des derniers clients et de ton personnel bas de gamme, serveur vert de jalousie compris ?
Parce que là, tu pousses loin, très loin la provocation avec ton sourire qui me nargue autant que tes yeux coquins, sangria dégoulinant entre les imposants inséparables...
Tu me diras, t'es pas prête d'en sortir de la remise !


Il reprend son souffle quand elle joue avec la bouteille, et tandis qu'elle le toise, en profite pour jeter négligemment les bottes du pied dans un coin, tomber ce qui lui reste de vêtements, chaussettes incluse, on en parle plus... Explorateur fièrement dressé, avide de se remettre au boulot, les fesses appuyées sur un coin de table, une main effleurant la douloureuse cicatrice...

Petit hochement de tête, gris échaudé sur acier brûlant...
Tu veux jouer ?

Pas en avant, une main leste qui se saisit de son bras pour la jeter sans fioriture contre la table, finissant le mouvement bouteille vide lancé contre le mur ou elle s'éparpille - Créateur d'emploi, v'là pour la femme de ménage - avant de passer la langue pour récupérer la Sangria, pas de perte, il fait chaud, j'ai soif, et elle est bien meilleure bu à même le corps brûlant, poitrine gonflée. Il n'en laisse aucune goutte, surtout pas sur les jumeaux qui bénéficie d'un traitement spécial, tandis que des doigts courent profiter de la place laisser libre, sans ménagements... On sait jamais, d'ici que ça refroidisse... Quoique, ça n'en a pas l'air à en juger ta respiration qui refait des siennes !

Plus rien à boire, les jambes de la mi rousse qui fléchissent désormais la soutenant difficilement tandis que la respiration s'accélère... Non non ma petite, je vais t'apprendre la frustration. Ca se perdra peut être dans 450 ans, mais pour l'instant... retour des mains sur la poitrine colombesques pour un massage dynamique tandis que la langue se rue sur la bouche récupérer un peu d'alcool. Puis baiser plus sensuel, une main dans la chevelure, corps plaqués entre eux, poitrine écrasé contre torse, explorateur affolé contre nombril... Meuh non, comment tu veux rentrer là ??. L'autre main glisse le long d'un bras, profite de l'instant tendresse pour mêler les doigts à la main féminine...

Puis...

Une fois les doigts emmêlés, il la fait tourner sur elle même, une main dans le dos, face contre table jeter sauvagement, offerte...

Shlack !!! Ca vous dit quelque chose ?
Et Vlan pour la tendresse...

Il ne libère pas l'étreinte, bien au contraire, tandis qu'il se colle à elle, qu'Indy se promène lentement du creux des reins à sa demeure, s'attardant sournoisement devant l'entrée des artistes avant de finalement opter à contre coeur pour la porte principale, déjà grande ouverte et qui n'attends plus que lui...
Il pénètre - rentre- doucement,
Repasse le pas de la porte,
Oui oui, c'est bien ici, entrez je vous en prie...
Dans ce cas...

Shlack !!! J'annonce, ce sera pas le dernier, mais heureusement il y aura plus de coups de reins que de mains...

Quarante sept écus et quarante quatre deniers, la dague et la blessure en prime... C'est cadeau, tu les vaut très largement !
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Andrea_
C’est comme rêver de Gorgonzola quand c’est l’heure des petits suisses...Mary à tout prix



La question est : est ce que quarante sept écus et quarante quatre deniers, une dague et un peu d'couture vont suffir à payer une femme de ménage pour les ravages que TU causes à MA remise ? Et à ma conscience-qui dort- ?
Je préfère te dire direct que... non. Mais tu vois, vu comme tu t'y prends, j'fais l'impasse et j'te laisse finir, c'est cadeau. Au pire j'demanderai un supplément. Mais pour ça faut qu'on s'en sorte vivant.

Déjà pour la bouteille c'est mort -on aura compris-, en ce qui me concerne... En ce qui me concerne, tu veux ma mort, j'le sais maintenant. Mais ma petite mort, elle viendra pas si facilement. Nan ici on fait les choses bien ou on les fait pas -et toc-.

Acier brûlant sur gris échaudé.
Jouer, c'est pas 'mot que j'aurais employé mais... Notre explorateur perd non pas ses moyens mais ses bottes, ses braies et... -alleluia- ses chaussettes. L'histoire ne dit pas s'il a la marque de l'élastique MAIS il faut bien laisser un peu d'imagination sinon c'pas drôle.

Traitement d'faveur pour les grumeaux, la Chiasse en vient même à être jalouse de ses n'enfants, le cou est offert, regard vers le ciel, aucun doute maintenant, Dieu existe. Et si elle était pour les contrats, elle le louerait. Les doigts experts tentent de rompre ce moment de béatitude. Un gémissement résonne -faut espérer que ça ai été construit par un portos, c'est un coup à rameuter du people-. Les jambes fléchissent, grimpées de fourmis en prévision. La fouille est profonde, les trésors déterrés et... tendresse? Nan je rève c'est bien ton corps en sueur que je sens contre moi? Et ta main qui glisse dans la mienne ? Tu sais qu'ça frôle le suicide au bonheur cette histoire, par contre tu f'ras attention, y a ton coeur qui tente de s'faire la malle, j'veux bien le retenir avec Robert mais...

Shlack

Ah oui j'ai rêvé, j'me disais aussi...
Le buste s'écrase contre la table, le pif s'écrase, elle hurle, fin de l'histoire. Non j'déconne, la tête se redresse de justesse pour éviter l'évitable, un revers de bras envoie valdinguer ce qui trainait là -on paye personne pour ranger?- et les mains-les trois- , enfin, claquent sur le bois, doigts s'enfonçant dans le bois, dans mes souv'nirs y avait un tapis pour la prière -Amen-.

Popol -ouai j'ai décidé- tente la petite porte mais se résigne à l'entrée principale, résigner, c'est le mot, ça rentre, ça sort, ça sait pas vraiment c'que ça veut. Les dents mordent un bras qui passait là -mais lequel, mystère- histoire de pas crier : mais patches moi!, parce que ça f'rait désordre, on est des gens bien j'vous ai d'jà dit.

Nan décidément ça sait pas c'que ça veut, mais heureusement qu'un d'nous deux le sait hein. Laisse moi faire Indy du dimanche, j'te montre.

La main tente un écrasage de phalanges Ddodiennes, si jamais ses doigts comptaient aller faire mumuse plus loin c'est raté. Les dextres jumelées se posent sur le ventre Colombesque pour finalement rejoindre l'Indy qui tente de pousser les murs de la forteresse - heu c'est à toi tout ça?-.
Place nette, la fleur -oui Monsieur, c't'une fleur- est caressée, légère averse-bien vu pour les chaussettes-, l'Indy est bousculé, et oui mon grand, va falloir trouver un autre temple, ici j'attends du monde.
On se rassure, Il ne dormira pas dehors ce soir, va voir chez... C'est un peu plus p'tit, moins coquet, mais tout aussi doux et chauffé... Et pendant que les doigts du Brun cueille du bourgeon -t'es bien ici non?-, la jumelle féminine guide notre explorateur jusqu'à l'arche perdu. Moins fleuri plus... choux fleur que Rose si tu vois c'que j'veux dire.
J'oubliais, la p'tite tape sur la fesse c'est pour t'encourager, t'es un explorateur ou t'es pas un explorateur. T'ES UN EXPLORATEUR OU T'ES PAS UN EXPLORATEUR ?!

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Doryen
[ Les rêves ont été créés pour qu'on ne s'ennuie pas pendant le sommeil ]




Dis, c'est que t'en fait du bruit quand même...
Je sais pas quelle heure il est, mais les client vont cesser d'aller à l'étage pour tous débarquer dans le remise à leur prochaine visite.


Schlack !! J'avais prévenu...

Alors quand elle prend les chose... la chose... en main, il est bien tenu de lui lâcher le bras. Ce coup ci, elle est consentante, non ? De toute manière, s'il lui laisse le bras elle finira par y planter ses dents un peu trop fort.

Elle déménage le matériel, suivez le guide, c'est par là...

OUAIS, JE SUIS UN EXPLORATEUR !!!!!

Faut avouer qu'il est pas malheureux de changer d'hôtel, parce que franchement, quand des nouveaux nés sont passé par là, malgré le travail respiratoire et la reconstruction du diaphragme... Je suis prétentieux, mais de là à faire croire que je dilate à 10, faut pas abuser ! Même moi -oui oui, même moi ! - j'ai des limites... Puis depuis le temps que j'occupe la place, j'ai l'impression de pouvoir inviter un copain à dormir... Té, a moins que je me charge de rentrer les valises...

Et heureusement qu'elle guide ! Parce que je peux pas vraiment me débarrasser du chapeau et qu'il à du mal à passer la porte, c'est pourtant pas faute d'avoir précédemment agrandit l'entrée... Le dernier habitant était plutôt maigrichon, non ? A moins que l'endroit soit à l'abandon depuis très longtemps... Finalement t'avais raison, c'est vachement dur de trouver du personnel consciencieux... Enfin bref, pas grave. Centimètre par centimètre, il pousse les murs lentement, enlève les toiles d'araignée, fait le ménage de fond en comble à tel point que pour un peu, ça sentirait bon... Classe, quand tu nous tient...
C'est bon, pousse ta main, la cuisine c'est moi, et Schmidt - toi tu l'appelles bien Popol ! - occupe toi plutôt des bagages tandis que je me charge de faire rentrer tout le monde.

Le seul problème dans tout ça, c'est que je vois pas la grimace, mi douleur mi plaisir. Tans pis, à défaut d'avoir l'image, j'ai au moins le son, et là c'est THX surround. Quoi, moi j'ai poussé un râle ? Non, t'as du rêver... Ou alors c'est par satisfaction d'être bien... entouré... Bon ben ça va, ça m'a échappé !


Il reprend les choses en main, c'est le cas de le dire, mais avec son aide ce coup ci. A son tour de la guider jusqu'aux valises avant de remonter appuyer sur le bouton, voir si l'ascenseur peut les amener un peu plus haut... Quoiqu'ils sont déjà pas mal là, et qu'ils vont bientôt finir par quitter l'or-bite terrestre.

Schlack !! Meuh non, ça chauffe pas tant que ça, une autre main, une autre fesse... Quoi, tu comptes porter plainte ?

Une main plaqué entre les cuisses, l'autre qui part s'occuper d'un des jumeaux le temps de laisser souffler le popotin rougit, et l'explorateur - Popol, Indy, Schmidt - qui fait son oeuvre avec de plus en plus d'entrain, n'hésitant plus à faire s'attarder le chapeau sur l'entrée, histoire de savourer l'image, puis reprise du boulot, respiration difficile, pas vraiment discrète... Je rêve ou on bosses en altitude là ?

Jusqu'à...

Schlack !!! Pas de panique, c'est ptet le dernier

Jusqu'à ce qu'il veuille l'image en plus du son... Bon, ok, il en profite pour souffler... La claque, c'est pour la motiver à se tourner. Les 50 kilos sont posés sur la table, le temps d'une baiser fougueux avant de la rejeter en arrière, d'en saisir les jambes qui pendent dans le vide... mauvais pour la circulation sanguine, alors il s'en saisi pour les enrouler sur ses épaules... quand on dit qu'il est gentil... Et Indy de repartir à la charge, reprendre place plutôt facilement finalement.

OUAIS, JE SUIS UN EXPLORATEUR !!!!!!

J.M Jarre à la baguette, spectacle son et lumière. C'est viril, retour de la danse des jumeaux, deux mains - la sienne, la mienne - pour s'occuper de l'habitation principale tandis que l'exploration se mène en cadence rythmée par les sons qui s'échappent. Ce soir chez Déa c'est soirée Sodo... Disco... Tu risque d'avoir la gorge qui pique demain matin, a moins que je ne te fasses don de mon remède miracle, façon sirop de chêne...

Et pour le coup, on en est plus très loin !

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Andrea_
Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en parler ».Chandler Bing



Arthur refait la déco, ça vous change la vie une cuisine aménagée, vous pouvez pas imaginer. La réfection de la buanderie se fait en douceur -douceur...-, la couronne frotte un peu mais...mais ça passe -en même temps ça peut pas casser-. L'arche perdu est à l'abandon, l'jardinier n'y mets plus les pieds d'puis un moment, ni les pieds ni aut' chose d'ailleurs, toujours le personnel -...-, pourtant il avait l'CV de la proprio à l'avance, quand on est marié à deux hommes, généralement on fait pas que la taille des rosiers hein.
C'est que Monsieur est venu accompagné, hey bonjour les copines, ça vous dérange une poignée d'main ? J'vous f'rais bien la bise mais faudrait monter à l'étage et l'ascenceur est réservé aux soupirs, entre nous ça approche le firmament. Et pendant qu'Arthur mire la lune, la Colombe touche les étoiles.

Attends c'était quoi ça?
Tu... grognes ? Bah alors Arthur, on a trouvé son graal ? Je te préviens je t'interdis de ressortir l'épée même si la roche est poreuse. Nan mais oh, tu y es ? T'y restes.

J'ai toujours milité pour la CEL -claque en levrette, rien à voir avec la femelle du lévrier-, mais là on dirait bien qu'il tente le saccage de marchandise. Bizarrement, c'est pas déplaisant. Le visage se décompose, les yeux tentent une vision à 360°, les cils papillonnent, la lèvre est mordue, croquée jusqu'au sang et les cheveux sont plaqués sur ses joues. Bravo Ddodie, MERCI, tu me sappes le visage, jouer à l'explorateur c'est bien, mais r'garde un peu les dégâts !

Shlack !


Trop c'est trop, coup reins et demi tour, j'te préviens ça va chauffer.
Bleus dans les bleus, juste pour qu'tu vois l'travail et l'état avancé de ma décomposition mais peut être que tu t'en rends compte toi même, orage au sud, cul-molus annoncé. Les lèvres Colombiennes grognent contre les jumelles masculines.
Ouai mais si tu m'embrasses aussi, comment veux-tu que j'arrive à quelque chose ! J'veux bien jouer avec ta langue histoire de te laisser retrouver tes esprits mon Grand mais après, tu t'remets au taf!



Humm


Putain c'est pas vrai, dites moi pas que c'est pas vrai! C'était pas moi ! C'était moi? Merd'. Trahie par son plaisir, et à voix haute, de mieux en mieux. On peut plus compter sur personne. La dinde est fourrée, on passe à table et c'est Noêl, boules en main et guiboles ne guise de guirlande. Ça sent bon l'sapin, c'est frais. La main glisse -glisser c'est le mot- sur le torse pour finalement s'échouer un peu plus bas, le dos rencontre la table et les jujus continuent de danser -jusqu'au bout de la nuit-.

"Droit au but" qu'ils disaient, putain d'marseillais... D'ailleurs j'aime pas Marseille et j'aime prendre mon temps, alors pardon.

Pardon pour ma jambe qui quitte ton cou, qui se pose sur ton épaule et qui te propulse un peu plus loin. Le corps Colombesque se redresse, les pieds touchent sol avant de s'envoler définitivement. Un peu d'élan et voilà la Chiasse qui pousse le Brun contre le mur -te plaint pas, l'étagère s'est fait la malle-.
Oui j'te regarde une demi seconde,
Oui je détache mes ch'veux de toute façon j'ressemble déjà à une pissotière en démolition,
Oui j'te saute dessus, littéralement,
Oui j'te mords les lèvres,
Oui j'glisse ma langue contre la tienne, tu sens la motivation ?
Oui mes jambes de nouveau encerclent tes reins, et oui, c'est comme ça que j'veux marquer trois points -parce qu'on est d'accord, c'est moi qui ai gagné-.

Les bras enlacent le cou Ddodien alors que les lèvres se posent un peu partout, mordillant et goûtant sa peau. Va falloir t'dilater mais j'te fais confiance, t'as fini de déboiser l'arche, ré-attaque le temple, c'est ta mission, si tu l'acceptes.



Putain! La classe.

Allez, garde ta couronne mais rends les armes Arthur, tu n'as aucune chance, Déa, c'est plus fort que toi.

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