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[RP fermé] Bleu sur Bleu

Doryen
Ici c'est bien

Je confirme.
Ici c'est parfait.
En tout cas, ici j'y suis foutrement bien...
Et c'est pas mes doigts qui parcourent ton corps, ou l'explorateur qui à retrouvé son chez lui, qui vont dire le contraire.
Non, ici c'est génial, alors t'as raison, je voudrai être nulle part ailleurs, ni avec personne d'autre.

Ah, tu parlais de la ville ?
Ouais, ben c'est bien aussi...


Papa travailles, maman soupire et bébé... ben bébé joue les pieds dans l'eau, lève une main pour faire admirer sa somptueuse trouvaille, un galet, un bout de bois ou n'importe quoi d'autre dont, il faut bien l'avouer, tout le monde se fout... Mais puisqu'elle reste à distance respectable, Super Pouic à tout loisir de promener doucement son soldat de fer et même d'aventurer une main sur le tissus, dans l'espoir de faire pardonner la langue de ne s'être attardé sur les jumeaux. Promis chérie, ce soir je m'en occuperai avec toute l'attention qu'ils méritent


L'amour est dans le pré il paraît, mais il est aussi aux abords de la rivière Orléanaise qui jouxte les remparts de la Capitale. Et par amour, on ne parle pas que du rapport physique, intense combat entre un homme et une femme, presque sa femme, allongés dans l'herbe.
Non, on parle aussi et surtout du 1+1, du Nous, de deux moitiés, d'inséparables, un peu comme Laurel et Hardie, Batman et Robin, Elle et Lui, Dd et Déa, le triple D qui résonne avec tant d'évidence aujourd'hui que le monde pourrait bien s'écrouler autour d'eux qu'ils n'en feraient pas grand cas.

Bon, on parle aussi du combat qui se joue...
Barbapapa derrière Barbamama, mais surtout dedans...


" Vous viendez ?...

Non !
Laisse beau papa jouer tranquillement s'il te plaît.
Puis tu vois bien que Maman est... exténuée...


- Allez, on va nager...

Et vu qu'elle arrive précipitamment pour chercher Maman à la dérive ou Super Pouic à l'agonie, force est de s'octroyer une pause et de tenter de retrouver un peu de décence.

La grosse claque sur les fesses, c'est pour venger le valeureux soldat qui part retrouver ses braies à toute allure, le vague à l'âme. Parce que c'est ta fille et que pour le coup, elle pèse lourd comme les valises que je me promène et qui vont être douloureuse jusqu'à ce que la frustration disparaisse... Plus vraisemblablement jusqu'à ce que tu les masses pour en alléger le poids. Puis parce que c'est ta fille et que pour le coup, on se dit que la garde alternée serait une invention merveilleuse.

Il va au moins falloir la fraîcheur de l'eau pour calmer les esprits, à moins que...
Tiens chérie, toi et moi dans l'eau ça pourrait presque me donner des idées, et je suis sûr que tu lis clairement dans mon regard que la mi temps va être de courte durée, et au cas ou je lance ma langue à l'assaut de la tienne pour faire passer le message. Un excellent messager que cette langue, non ?


- J'arrive puce... Et maman aussi, non ?"



10 pages...
Un miniversaire de plus ?
Oui, j'en vois partout...
Merci à Jd Andréa_ pour tout.

_________________
Andrea_
Maman est déjà dans un sale état quand Mini Pouic fait entendre sa voix à tous les animaux de la forêt. Et si Bambi pouvait débarquer et l'emporter pour visiter le sous-bois ça arrangerait tout le monde. Seulement non, elle débarque avec sa bouille d'Ange et c'est Panpan qui fait son entrée.

Ouai, la claque sur les fesses, je suppose que c'est pour me faire passer le plaisir? Nan parce que ça marche pas. Ou alors t'as dégainé ta main sur mon cul pour me changer les idées? Ou pour marquer ton territoire -sérieux t'as vu ta paluche?-? A moins que... Ma fille? Berdol, ouai, c'est à moi y a pas d'doutes, aussi chiante que sa.... ma fille quoi. Lourde comme... ma fille. Et tu vois, je l'aime hein, y a pas à tergiverser pendant des heures, elle est ma fille, mon joyau, ma perle, je l'aime, je l'adore, je la bouffe, je ne peux imaginer ma vie sans elle mais... Mais dans ces moments là, putain je l'échangerais bien contre... contre... j'sais pas un cochon truffier, un poisson chat ou une loutre sauvage, enfin n'importe quoi qui ne serait PAS venu déranger Monsieur Pouic en pleine découverte de Madame Pouic dans un nouvel élément.

Dd0die, mon Amour, j'veux bien vendre toute ma garde robe -sauf la bleue, et la rouge. Et la prune parce que..quand même. Pis bon la blanche parce que ça peut servir et la...-, J'veux bien vendre une chemise blanche un peu usée au col contre une nourrice. Pas tout le temps hein, au moins la journée, quand on travaille parce qu'on n'peut pas laisser Vic' toute seule. Pis quand on travaille pas pour... se relaxer vraiment. Et le soir, parfois. Pas tous les soirs hein, mais un sur deux. Ou deux sur trois. Jamais la nuit hein. Sauf le samedi soir. Et quand elle serait malade. Et aussi quand...


Et il faudra bien une langue messagère pour sortir la Colombe de sa rêverie, histoire lui ramener les pieds sur terre et... Nan j'déconne, c'est pas du tout sur Terre que ça l'amène. "Allo Houston? Ouai ici la Terre, on vient d'vous catapulter une Colombe. Une Colombe de compêt' hein, on avait mis un de nos meilleurs agents sur le coup, l'agent Double D, avec lui, c'est 10% de réussite, mais ça monte à 100% avec les brunettes à mêches rousses, peau pâle, yeux bleus, et qui s'nomment Andrea. Par contre elle était armée. Deux obus. Gros calibre. Préparez vous à l'attaque...

Et les langes de se détacher quand les corps se redressent. Les mains tirent le brun contre la chataîne, histoire d'en reprendre un peu -moi, avant toi, j'étais pas trop "langue", j'étais même pas du tout abats, mais tu vois, on se fait à tout, et maintenant... J'me vois pas passer une journée sans m'faire un bon repas...

L'index vient se poser sur les lippes Dd0diennes, le sourire se dessine, le doigt glisse jusqu'aux braies remises à la hâte -tu feras gaffe tu brilles un peu "là", j'pense pas que ça soit du jus de pommes -bon ap'!-



Bien sûr que maman arrive, d'ailleurs...
Le dernier arrivé fait la vaisselle !



Vraiment, ta langue c'est un excellent messager.
Maintenant c'est vrai que j'ai crié ça alors que j'avais déjà trois mètres d'avance, sur les 10 qui nous séparent de l'eau...
C'est pas faux aussi que la première partie de ma phrase était accompagnée d'une vue de dos, et que ça t'a sûrement pas aidé à te concentrer.
Pis bon, on va pas se mentir, je crois que je t'ai achevé en jetant ta chemise avant de plonger, complètement nue dans la rivière.
Victoire prend un vent de six mètres cinquante, Dd laissé sur place, n'est pas Colombe qui veut, j'vous l'dit. -bipbip-.

Toujours est-il que le visage sort de l'eau, que les mains passent sur la tignasse pour la tirer en arrière, que les gouttes glissent sur ce buste qui est tien désormais...
Acier rafraîchit mais pas calmé pour autant contre bleu é-triqué.



Bah alors Chouny, un souci?


Quoi, t'as froid d'avance?
C'pas compatible avec ta...ton...?
Mince alors... Et le sourire de se dessiner.
Bon si tu permets, le temps que tu déb... que tu ailles mieux, j'te déconcentre pas. J'fais juste la planche. Sur le dos. Monts regardant fièrement le ciel. Rayon du soleil jouant avec les gouttelettes. Dent planté sur la lippe... Parce que j'dis rien mon grand, mais si tu savais ce à quoi je pense...





Des miniversaires par dizaines ^^
Merci...

_________________
Doryen
Oui, je suis persuadé que le messager à fait son oeuvre...

" Le dernier arrivé fait la vaisselle !

Franchement...
T'as pas besoin d'avoir parcouru la moitié de la distance pour balancer ça. Non seulement parce que je préfère de loin être derrière toi pour admirer... ta course... mais aussi parce que le seul moyen que la vaisselle soit propre... ben c'est que je la fasses moi même, on va pas se mentir.


C'est donc en marchant qu'il suit Madame et sa fille, sourire niais à la mode sur les lèvres et Pouic en action pour faire avancer plus vite une mini douce.

- Bah alors Chouny, un souci?
- Heu... Non... Enfin, un petit détail... Petit, petit...

Chemise au sol pour magnifique Colombe à l'eau, bientôt rejoint par... bientôt bientôt... Parce que dans tout ça, sans être devenu pudique, je préfère que la petite soit occupée d'un autre côté histoire d'éviter des questions embarrassantes. Parce que Monsieur est en forme, le soldat pas vraiment décidé à plier.
Tiens Vic, regarde par la bas, t'as vu le, le, la... regarde la bas, si si, cherche bien...

Et hop, l'affaire est entendue et Super Pouic peut retrouver sa future femme qui se mord étrangement la lèvre, en exhibant son corps à la face du soleil.

- Et moiiiiiiiii

Tu vois chérie, va réellement falloir trouver une solution. Moi je pensais à un service de location qui te permettrait de la louer à un couple sans enfants... disons... quelques années... pour que je puisses abuser de ton corps comme il le mérite et le réclame dès que je le regarde...

Juste le temps d'un baiser, relancer le messager pour faire patienter la Dame qui doit bien sentir quelque chose de consistant la frôler involontairement - ou pas - sous la surface, puis d'aller chercher Victoire pour une séance de presque natation d'une quinzaine de minutes. Y'a pas d'âge pour apprendre à nager, et... ce sera pas pour aujourd'hui... Mais à la limite on s'en fout un peu. Quelques saut en l'air plus tard, fou rire en prime et quelques gorgées de rivières, et Victoire semble fin prête à prendre un peu de repos, clap de fin de celui de maman...

- Tu peux aller t'allonger près du sac Victoire... Il reste même du saucisson, je suis sûr que Déa n'y verra pas d'inconvénients.

Oui, le mot magique et une petite en moins.
Non, maman n'y voit pas d'inconvénients... pas besoin de se tourner pour imaginer le sourire et l'acier impatient.
Alors le temps de la rejoindre pour l'enlacer tendrement, d'effleurer son nez, sa joue et ses lèvres pour y déposer le baiser tandis que la poitrine s'écrase sur le torse, effet immédiat sur...

" M'amour, en était ou de notre... conversation ?"

Parce que...
T'as bien dû te douter que j'en avais pas fini avec toi,
Tu dois bien sentir poindre mon désir se frotter contre tes cuisses,
Tu ne peux pas ignorer ma main aventureuse qui se glisse lentement en bas de ton dos... bien en bas...
Tu sais, ma douce moitiée, que je mets un point d'honneur à te combler...

_________________
Andrea_
Mon monsieur Pouic, il a la patience que je n'ai pas. Surtout avec Victoire. Je le redis, j'adore ma gosse c'est pas le souci, le souci c'est qu'elle a "le flair". C'est un truc qu'on tous les gosses, une sorte de radar qu'on leur aurait mis dans l'cul -supo radar, faut creuser (big up)- et qui se mettrait en route uniquement quand ses parents auraient besoin de paix. En gros, ta mère est en train de glander sur le fauteuil, bin toi t'es sagement en train d'faire une pile de cubes. Par contre, ta mère décide de faire pipi et hop, t'as un besoin vital d'elle pour une raison X, Y ou même P et Q parfois.

Et là, j'avoue que j'me gausse en douceur quand j'entends la voix de la pépette en résonance dans l'eau. J'ris un peu moins quand je vois que ça a l'effet pas désiré chez Chéri Chéri qui arrête de suite de délivrer son message arrachant à une Colombe affamée lèvres et langue -nan mais heuuuuuuuu, allezzzzzzzz, rha!--

J'me suis toujours demandée combien de temps il fallait à un gamin pour apprendre à nager. J'pensais que ça venait tout seul, mais... Mais non, faudrait être aveugle pour pas comprendre. Le seul truc qui vient tout seul c'est le bruit de régurgitation -que le bruit- quand la Perle avale de l'eau. Vous devriez voir sa tronche quand elle ressort de l'eau, bouche grande ouverte qu'on dirait une carpe, les mains sur le visage pour remonter les cheveux et... et ce putain de bruit de Rototo qui ferait pâlir le plus gros buveur de bières du royaume ! Même moi j'suis jalouse -parce que ouai, des fois je rote...-

Force est de constatée après de longues minutes de rire, de jeux, de sauts -et de rototos- que Mister Pouic devient le roi des gosses. Le coup du saucisson, avec Victoire c'est un peu la botte secrête. Comme les robes avec sa môman chérie. Tu veux un truc hop, mot magique et t'as la paix. Alors non, j'y vois pas d'inonvénients, au contraire, si là tout de suite, elle est hureuse avec son sauciflard, qu'elle le becte. Pis bon, si ça peut la retenir un peu loin de l'eau... T'as pas tord, j'souris niaisement, et ouai j'ai les billes impatientes, mais...

Les azurées lorgnent encore le petit bout de cul qui rejoint le panier avec une rapidité étonnante -le pouvoir du saucisson les amis-, lorsque les jumeaux se posent contre le torse du brun, le baiser est rendu puis allongé -comme le café, le sucre en moins-.



On parlait?


Parce que ouai, j'me doutais bien que t'en avais pas fini avec moi,
Oui je sens bien ton désir contre ma hanche,
Oui je sens bien une pieuvr.... ah non tes doigts qui s'approchent,
Je comptais pas non plus que tu abandonnerais aussi facilement.

J'te jure que je rêve de te planter là, de sortir de l'eau pour t'faire reluquer ma chute de reins, j'te jure que j'en rêve mais....

Mais les mains viennent enlacer ton cou, mes lèvres se nourrissent des tiennes, mon corps se glisse contre toi et tu es bientôt prisonnier de mes jambes, intimité effleurant la virilité



Mince je crains de n'plus avoir de mots... Mais j'ai...


Mais j'ai d'autres projets, t'as un baigneur, j'ai la piscine, tu veux..nager?
Nageons !

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Doryen
Et comment que je veux nager...
J'ai une activité à te proposer, et vu que je suis prisonnier de tes jambes qui m'enlacent la taille, je me doute que tu dois avoir la même idée que moi. A moins que ce ne soit une pure coïncidence si l'Explorateur se retrouve à nouveau devant la porte.
Si tel est la cas, pardon de le faire entrer... Enfin, sans trop forcer cela dit. Il m'a même sembler sentir une main le guider, au cas ou qu'il se perde en chemin ou change d'avis... ce qui était fort peu probable, je ne suis pas homme à fuir ton corps mon amour


" Tu te rappelle pas... C'est... ennuyeux...

A croire qu'il était attendu, et avec les honneurs.
Et du coup, Maman bleu joue aussi avec le saucisson dans l'eau, Acier impatient sur Gris encore plus impatient.

- On à qu'à se passer de mots... Et se contenter des actes...

Alors que la petite se goinfre dans le sac,
Puis qu'elle s'allonge la tête dessus le ventre plein,
Quitte à s'endormir paisiblement sans se douter le moins du monde que beau papa profite de sa maman offerte,
Ca arrange un peu tout le monde, faut bien le reconnaître.

Et personne ne s'en prive.

On va même dire que tout le monde en profite pleinement, du baigneur dans sa piscine, du torse qui écrase les jumeaux, de la main qui vagabonde sur la chute de rein, puis plus bas, puis bien plus bas, de l'autre qui entremêle les doigts dans les cheveux, des lèvres qui ne se quittent plus, tout comme les langues qui ne se lassent pas de tourner l'une contre l'autre, parce qu'on l'aura compris Super Pouic aime beaucoup la langue Colombesque, promesse de nombreux plaisirs.

Faut avouer que c'est peu pratique.
Faut avouer que c'est peu discret.
Faut avouer qu'ils s'en foutent...
Faut avouer que le résultat final reste le même, sueur en moins.
Faut avouer que Monsieur aime entendre Madame.
Faut avouer que Monsieur aime sentir la langue de Madame qui se perd et s'immobilise, entendre la respiration difficile et bruyante, les ongles qui s'enfoncent dans la peau.
Faut avouer que le Gris adore regarder l'Acier qui divague, et que rien que pour ça il empêche la tête de s'enfouir dans le cou.
Faut avouer que c'est le meilleur moment, le clap de fin, le plaisir...
Faut avouer qu'à ce moment là plus que tout autre, Monsieur aime Madame. Tout simplement.


Et après quelques secondes de répit, lorsque le Gris retrouve son complice avec le sourire, tandis que la fatigue l'assaille et juste avant que les lèvres ne se retrouvent pour la tendresse, il n'y a besoin que de quelques mots...

- Je t'aime chérie"

Si si, pour de vrai...
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Andrea_
Et il n'y a pas eu de mots...
Et ce n'était pas... Ennuyeux..

Est ce qu'il fallait des mots pour que Madame comprenne une fois encore que Monsieur ne pouvait pas lui refuser un câlin?
Pour que Monsieur se colle à elle et la fasse sienne?
Est ce qu'il en fallait encore pour que l'un contre l'autre ils s'abandonnent?
Et pour que les sens s'envolent dans un dernier coup de reins?

Oui, on s'est passé de mots, nos corps se sont étreints avec toujours la même fougue, la même impatience, le même sentiment de connaître l'autre et de le découvrir pourtant à chaque fois. Et plus rien n'existait, ni Victoire la tête dans le sac, ni les éventuels passants, ni les soldats qui, du haut des remparts ont sûrement dû profiter du spectacle -z'auraient été con d'se priver-. Plus rien n'existait.

Nous n'étions qu'une symphonie de soupirs jouant en parfaite harmonie, deux bassins qui ne regardent pas dans la même direction -mais eux, ils s'aiment quand même-. Nous n'étions que deux éleveurs qui lâchent en sauvage des milliards de petits poissons, tous fils ou fille du double D, potentiels triple D. Nous n'étions qu'un ongle dans une bouée, un croc sur une épaule. Nous avons même été les record-mans du baiser le plus long -sans dec', un peu plus j'avais la langue palmée-. Nous n'étions qu'un couple qui s'est trop longtemps chauffé pour s’embarrasser de préliminaires. Nous n'étions que deux animaux, deux animaux qui prennent leur pied et emmerdent le monde.

Mais surtout nous n'étions qu'un vit et un con -jamais été aussi contente d'être un con mouè!- et, l'instant d'après, bleu dans acier, nous redevenons ce couple qui s'aime à l'irraison. C'est la magie du cinéma, le parfum de la libération, les chaînes brisées, les souvenirs qui s'envolent, les rancunes qui s'ensevelissent...

Il n'y a pas eu de mots en réponse à ceux de Monsieur Pouic, parce qu'un silence dit parfois bien plus que des mots, ses yeux avaient parlé pour elle... Il n'y en a pas eu non plus quand Madame s'est approchée du bord non sans avoir volé un baiser à Dd0die, pour l'attendre, paires de braies dans les mains. Et puisque rien d'autre que le chants des oiseaux ne devait troubler le silence de cet instant, il n'y a pas non plus eu de bruits quand la Colombe s'est glissée dans sa robe.


Un baiser, un de ceux qui dégueule de tendresse quand les mains se glissent contre les reins du brun. Un regard, qui remercie, qui aime, qui s'en remet, doucement. Une bouche qui suggère qu'elle aussi elle l'aime. Qui suggère, pour ne pas dire, pour ne pas troubler. Ne pas gâcher.
Peut être un balancement de hanches, quelques pas de danse esquissés, épilogue d'un moment d'une rare douceur, un moment à eux. A eux deux.


Alors oui, Mini Pouic a été posée dans les bras de beau papa, bave graisseuse aux coins des lèvres pendant que Maman remballait le tout, non sans glousser en montrant le sauciflard à Dd



Nan mais elle a croqué d'dans?!


Alors oui, ils avaient pris le chemin du retour, oui c'était toujours aussi mielleux, oui... Oui, oui, oui.
Le repas -par Monsieur- , la toilette -par Madame-, la vaisselle -par Monsieur-, le sourire par Madame, la chandelle par Monsieur -mieux le viagra, la Déa-.


La nuit était déjà tombée depuis un moment quand la Belle se trouva sur le péron. Assise sur la première marche -ouai y a des marches- elle lorgne les étoiles jusqu'à ce qu'elles s'impriment sur ses aciers. Jusqu'à en avoir mal, jusqu'à ce que lors des rares clignements d'yeux, les constellations soient au complet, Cassiopée côtoyant Céphé sous l'oeil expert de Pégase.

J'ai toujours aimé les étoiles. Pas pour ce qu'elles pourraient représenter, morts ou pas, âmes ou pas, vivants ou pas, j'en ai cure. Non j'aime que... Que n'importe où l'on se trouve, peut importe l'endroit du Royaume, de l'Empire et de je n'sais où sur cette terre, l'on voit tous le même ciel. Imaginez des milliers de kilomètres séparant deux êtres. Un seul regard vers la coupole céleste les réunis. Réunis leurs âmes, leurs pensées, leur attachement.
L'acier ne peut se défaire du dôme étoilé, il semble que la respiration s'est arrêté, que les moulins ne tournent plus, les rivières stagnent. Il semblerait que même en cuisine, la vie se soit mis en pause. A moins que je sois déjà loin....

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Doryen
L'Amour à son petit lot de tracas...

Le premier, chez la famille Pouic c'est la répartition plutôt inégale des tâches. Cuisine et vaisselle pour Monsieur, à se dire qu'avec un peu de chance, dans les siècles à venir, les hommes auront peut être le droit de vote et chercherons même, pourquoi pas, une certaine reconnaissance en prônant l'égalité des sexes... M'enfin en attendant, pas vraiment le choix...
Cuisine pour être sûr de manger autre chose que du saucisson sur du pain, et pouvoir se coucher l'estomac plein sans risquer l'intoxication alimentaire.
Vaisselle pour être à la fois sûr de ne pas changer l'intégralité du service tout les jours au marché, et également certain de ne pas se contenter de faire faire trempette à l'assiette dans le baquet... Non, pas plus en 1461 que dans 500 ans l'eau ne lave à elle seule...

Pas que je me plaigne hein ?!
Madame à bien d'autres arguments à faire valoir...
Ceux qu'elle porte sur elle, objet de désir, entre jumeaux luttant insolemment contre la gravité et intimité connu, reconnu, exploré...
Puis ceux dont elle sait qu'ils vont le faire fondre, entre Acier In Love et petit sourire charmeur avant les lèvres qui se posent furtivement.

Le second, c'est qu'être amoureux, c'est accepter d'avoir peur. C'est même vivre avec, toujours non loin, et prête à resurgir à la moindre occasion. Un peu comme un soir ou, camomille à la main - D'ailleurs jamais compris l'intérêt pour la camomille étant donné que ça n'a pas trop de goût, hormis avec beaucoup de miel... auquel cas ça à juste goût à miel... m'en fin bref, on est en rupture de Capuccino... - il la regarde longuement scruter le ciel étoilé, vaisselle séchant tranquillement en cuisine.
Qu'elle pointe le doigt en l'air en murmurant "Maiiisooonnn" et il sauterait sur son vé... cheval pour l'emmener au bout du monde, et même au delà.

La peur...
De te perdre.
De poser une question dont je goûterai peut être fort peu la réponse.
Tu penses à quoi ?
Tu penses... à qui ?...
La peur, qui s'insinue sournoisement alors même qu'elle n'a aucune justification.


Le troisième, c'est que ça vous rend mielleux... Comme toute au long de la journée. Mielleux, sourire niais, comportement d'autiste incompréhensible, puisque plus rien n'importe plus que la moitié sans laquelle vous n'envisagez plus votre vie. Quitte à y laisser votre soif d'aventure, votre honneur, votre orgueil, votre fierté, votre impulsivité et votre comportement belliqueux.
Alors lorsque la tisane est enfin fini, que l'heure d'allonger le corps fourbu un étage plus haut, il sort enfin rejoindre doucement sa future, déjà l'esprit abandonné au marchand de sable. Figure blafarde éclairé par la Lune, et pourtant magnifique. Spectacle dont il ne se lasse jamais, n'imagine pas se lasser, malgré le léger ronflement... Parce que oui Chérie, tu ronfles parfois plus fort que ce que tu ne rotes... .

Une main qui dégagent les cheveux, uniquement par pure plaisir de leur contact, puis les lèvres qui se posent sur le front, sur le nez puis très délicatement sur les lèvres.
Les jambes qui fléchissent puis les bras qui enlacent la Colombe pour la porter jusqu'à la chambre parentale, avant de la poser doucement sur le lit, d'y retirer les chausses et de la recouvrir du drap.
Un dernier baiser, lèvres qui effleurent une joue puis le dernier chuchotement avant d'entamer le repos.

"Douce nuit mon coeur"

L'Amour apporte son petit lot de tracas, et pourtant...

Ton sourire, ton bleu dans le mien, tes lèvres qui se pincent parfois avant de se perdre sur les miennes, ta chevelure qui se perd souvent sur ta poitrine généreuse, et ton corps contre le mien quand tu dors paisiblement sont autant de trésors que je ne n'échangerai pour rien au monde.
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Andrea_
La nuit...
La nuit a toujours été un problème pour moi. Morphée se joue de moi. Un soir il m'enlace, m'embrasse et m'emporte avec la rapidité d'un éclair. Des fois il se fait attendre. Parfois il s'approche, savoure mon aimé et me laisse, m'abandonne dans une nuit qui ne veut pas de moi.


C'est toujours la nuit que les questions surgissent, fourbes, inatendues, douloureuses. Le coeur s'accélère, l'inquiétude gagne du terrain, la Colombe y laisse des plumes. La Colombe supplie. La Colombe lutte. La Colombe sait qu'elle perd son combat contre les ténèbres. La Colombe ne veut pas qu'elle gagne. La Colombe se bat. La Colombe se repasse cette journée idyllique. Cette rencontre parfaite. Ce rêve éveillé. Tout est bon pour chasser l'ennemi. Parfois on croit gagner, Morphée se pointe et vous enlève.

On prête parfois vie à des croyances bizarres. On met des mots sur des actes. On se laisse tenter par cette idée du destin. Parce que c'est simple. Parce que c'est beau. On se dit qu'on n'est pas responsable du mal qu'on peut causer. Que seul notre bonheur compte. On se rassure, ce n'est pas nous, c'est "lui". Lui, le destin, Cupidon, Dieu peut être. Mais la nuit on ne peut pas mentir. On ne peut pas se mentir. La nuit on est nu. Nu de nos croyances, de nos perceptions, nu de des choses qu'on pense acquises. La nuit on doute. C'est ainsi. On est seul avec soi même, face à un rien plus grand que l'univers tout entier. On se sent petit, vulnérable.


L'horloge sonnait un coup quand le souffle s'est coupé. Les aciers comme des billes, une crampe au ventre. Une douleur, vive, qui n'a pas de raison physiologique. Le lit est vide, la main caresse le drap frais. Tu n'es pas revenu.
Les deux coups ont été perçu dans un demi sommeil. De nouveau la douleur, perfide. L'impression que tout s'arrête, que rien ne vaut la peine d'être vécu. Que l'égoïsme a ses limites et qu'ils les avaient franchies allègrement.
C'est aux trois coups qu'elle a explosée. Forteresse pliant sous l'incertitude. Larmes dépassant les paupières pour tracer sur le visage diaphane deux coulées salées. Frissons parcourant ce corps épuisé. L'angoisse prend totalement possession de l'âme.

On ne peut pas lutter la nuit. Lutter contre quoi ? Contre qui?


Tu as crié plus fort que d'habitude ce soir, tu as haussé la voix et moi les sourcils. Tes mots ont dépassé ta pensée, tes mains se sont levées et j'ai hurlé. Je t'ai dit des horreurs. La vaisselle jonchait le seul et Victoire pleurait dans un coin. Mes poings se sont abattus sur ton torse avec toute la fureur dont j'étais capable, tes mains ont serrés mes poignets, ma salive a volé sur ton visage. Je pouvais lire dans ton bleu toute la haine que tu éprouvais pour moi. Tu l'avais quitté pour moi, tu avais quitté ton travail pour te tuer à la mine. Tu te pliais en quatre pour me combler et je ne faisais rien. J'étais une incapable. Une handicapée de la vie uniquement bonne à tabasser des innocents. Et tu le savais. Quinze fois tu as répété que tu le savais, que tu faisais une erreur mais que tu voulais tenter quand même. Que tu avais fait erreur, que tu regrettais. Que je devais oublier. T'oublier. Que je devais partir, vite et bien. Emporter Victoire et ma saloperie de chat. Qu'on se reverrait à la dissolution. Que tu voulais récupérer mon alliance et que tu gardais notre enfant. Que tu priais pour j'aille au Diable et que plus jamais on ne devait se croiser. Que j'étais comme on t'avait dit. Qu'il n'y avait pas surprise. Que je t'avais bien endormie, comme j'avais fait avant. Mais que tu t'étais réveillé et que c'était pas cette vie là que tu voulais.
Il n'y avait pas de larmes dans tes yeux Dd0die, il n'y avait que rage. Fureur. Dégoût.

Morphée fuit.



NON !


Et il n'y aura pas besoin que sonnent les matines pour que soit découverte la crainte, évidente, tellement proche qu'elle ne fait plus qu'un avec elle.

Parce que je n'ai pas peur de mon passé,
Parce que je ne m'inquiète pas de devenir ta femme,
Parce que cet enfant, ça rendrait notre amour tellement plus réel,
Parce que cette crainte, Dd, c'est toi.

J'ai peur que tes silences soient des non-dits, que tes " je t'aime" ne soit énoncés pour te rassurer. Me rassurer peut être, m'endormir. Me faire oublier. Pour effacer ta culpabilité, sûrement la mienne.
J'ai peur que tu ne veuilles ce "nous" par peur d'être seul. Par peur d'avouer que tu t'es trompé. Que cet amour te transforme et qu'un jour naisse les regrets, les rancoeurs.

J'ai peur de te perdre, parce que je ne me souviens pas avoir aimé au point de devenir dépendante. Au point de changer totalement.
Je n'ai pas peur d'être seule. Je n'ai pas peur de devoir tout recommencer si tu partais. Je sais juste que j'en serais incapable. Alors oui, je crève de trouille. Je crève de toi, je crève pour toi.

Aujourd'hui ce n'était qu'un cauchemar... Mais demain?!


Réveil en fanfare pour Mister Pouic. La main tremblante effleure le torse Dd0dien pour venir caresser l'ovale de son visage. Le bout de l'index trace le contour d'un nez, d'un oeil. Se perd sur un front, une joue. Caresse avec la douceur d'une plume deux lippes légèrement entrouvertes d'où s'échappe un souffle d'air chaud.
Laisse moi...
Laisse moi revenir sur terre.
Laisse moi le temps de me dire que tu es là, et bien là.
Laisse moi te regarder, oublies mes larmes, oublies mon cri, oublies...

Et dis moi que tu ne partiras jamais.

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Doryen
La main qui se balade le sort doucement de son sommeil, et il suffit que le Gris rencontre l'Acier au réveil pour faire disparaître les inquiétudes de la veille, qui paraissent tout à coup stupides, futiles et largement infondées...

" Coucou vous...

Les inquiétudes Ddodiennes se sont fait la malle, mais le bleu féminin semble ne pas être débarrasser des siennes. Que j'aimerai être dans ta tête Amour, sonder ton esprit et te débarrasser de tes mauvais rêves et de tes doutes...
Et les lèvres de se poser doucement sur le front pour accompagner le bonjour.

- Réveillé avant la petite ? Nuit agitée... J'ai de quoi te réconforter... Nan, pourquoi ton regard glisse plus bas ! Reste là, je m'occupe du petit déjeuner.

Un sourire et la main qui effleure la joue avant de goûter les lèvres délicatement. Puis après s'être étiré, voilà l'Homme qui descend d'un étage, dans le plus simple appareil pour aller récupérer lait, pain, confitures... Nut est là ? Non, désolé..., eau chaude et tisane... et surtout un plateau à même de porter l'ensemble. Deux tasses, non trois... Puis puisque mini elle ne saurai tarder, un tour dans la remise pour agrémenter l'ensemble de quelques tranches de jambon finement coupé et un saucisson... Et tant pis pour le ménage à faire et les draps à changer une fois le mini repas ingurgité...
Quand on voit la galère d'un petit dej au lit, on se demande l'attrait qu'on peut y trouver.
Quoique...
Qu'est ce qu'on ferait pas pour sa femme...
Enfin, probable future femme...


Point à élucider une fois l'étage remonté les bras chargés et le plateau posé sur la petite table de nuit côté féminin.

- Je me disais.... Vas y, trouve les mots... Qu'on pourrait aller regarder les alliances aujourd'hui... Y'a rien qui presse hein. Bon, peut être que le Gris hurle que si, ça presse, que j'ai peur que tu changes d'avis, que tu ne veuilles plus, que tu te convainque que c'est une erreur monumentale. Mais faudrait pas qu'un.... incident survienne avant... Et la main de caresser le ventre, à la recherche d'un futur. Si tu vois ce que je veux dire...

Tout à été vite entre nous,
Pas de raison que ça change après tout...


- Un mini bleu... ou une... Histoire de m'aider dans les tâches ménagère. Gros sourire avant de poser les lèvres sur le nombril. Vaudra peut être mieux que ce soit moi qui leur montre comment se servir d'une cuisine, si un jour... non ?

Oui, j'aime l'idée.
Papa Pouic pour de vrai...


- Une vrai famille, ici... Faudra peut être changer de maison, trouver un peu plus grand. Quand j'étais petit... Enfin ma mère s'est barré pour un nobliaux... J'aime bien l'idée de pouvoir toujours être là pour vous, pour leur montrer des tas de trucs. De finaliser notre Amour, de vieillir ensemble... En espérant en faire des gens bien, les accompagner. Leur apprendre ce qu'on sait, qu'ils ne fassent pas les même bêtises que nous. Puis en attendant, tu changerai le lange, t'occuperai de te lever la nuit quand ça pleure... La répartition des tâches ma Chérie... Non ?"

Et le sourire taquin de se perdre dans l'Acier, pleins d'idées en tête.
Un mini bleu de plus, qui court de partout, chiale et mange...
Puis qui arrose le jardinet, demande pourquoi ceci, comment cela...

Oui, j'aime l'idée...

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Andrea_
Le p'tit dej' au lit.

C'est quand même une putain d'invention pour les feignasses en mon genre. Surtout que la version Dd0dienne ressemble plus à un buffet campagnard chez Euz' -paix à ton âme mon Roy- qu'à un casse dalle chez l'gros Jacot. Ma main à couper qu'on va pas en manger la moitié -surtout que moi, j'aurais plutôt mangé du consistant si vous voyez c'que j'veux dire, hahum-. D'ailleurs j'crois qu'il avait capté, le Brun, qu'elle avait une idée en tête, mais ça l'a pas empêché de la réconforter en... allant chercher le p'tit dejeuner. Oui bon on va pas faire les difficiles hein, c'ets mieux que rien, pis vous en connaissez beaucoup, vous, des couples qui font que "ça?", bah non M'sieurs Dames, faut aussi manger, boire et dormir.

Pis entre nous, j'ai la meilleure des récompenses, le popotin Dd0dien en 3D qui se dandine jusqu'à la porte, et rien que d'imaginer la d'mi molle qui se balance contre la cuisse lorsqu'il descend les escaliers, la Chiasse se laisse tomber sur son oreiller avec un sourire de béatitude.

Victoire dort encore lorsque le plateau est posée près d'elle. Rapidement tout trouve une place, la tasse de tisane entre ses cuisses, la confiture sur sa tartine, la tartine entre les doigts et une tranche de jambon dans le bec. Erreur. Et là j'parle pas de l'association pain confiture jambon, mais bien du fait de remplir sa bouche. L'homme a parlé. Il aurait pu dire " chemise", "bleu" ou même " papillon?", 'fin j'sais pas un truc heu... normal...un truc qui...heu... Merd' pas ça!


Hahum.


Rien d'inquiétant c'est juste le bruit de la fille qui vient d'entendre le mot "alliance" balancé juste à côté de "aujourd'hui" suivi de "rien qui presse", l'homme dans toute sa splendeur, qui te dit que tu as tout ton temps pour te changer pour aller dîner chez les voisins et qui la minute d'après te dit que vous êtes en retard et que le chiffon qu'vous portiez était finalement pas si mal que ça. L'homme quoi. " aujourd'hui", mais " rien ne presse", bah non té, ça presse pas hein, j'aurais pu t'amener hier !


Euheu, euheu


Et ça c'est le bruit d'une fille qui s'étouffe -j'te jure essaye, c'pas facile-. Nan c'est rien, nan c'pas ton jambon, nan l'était bien fin... Nan mais l'incident ! L'incident Dd ! INCIDENT, nan mais allo, tu parles de... Vas-y caresse moi l'bidon des fois que j'aurais pas compris. Zen Déa, Zen, ne fais pas ce petit air paniqué, tu veux cet enfant, tu veux l'épouser, donc forcément qu'il va falloir passer par "là", tu vas pas le trouver dans un choux ton nainbus et être mariés c'est... mieux. Enfin c'est mieux dans cet ordre.


ahihihihu


Petit rire nerveux -on en revient au même, pas facile le coup du rire-. Parce qu'il fait des plans le Dd et pas des plans de.... -un truc qui rime avec Dédé...-. Seulement c'est le genre de plans que la Chiasse n'avait jamais...imaginé. Caresser du bout des doigts oui, l'idée d'avoir un jour une baraque avec les nains et X -un inconnu à deux pattes- avait peut être, un jour, franchi un axone au moins, et donc pas loin de deux neurones -jaloux hein?!-

Et ce qui ressort du monologue du Brun, ce qui fait que la Colombe doucement prend une gorgée de tisane, et n'hésite pas à becter sa fameuse tartine pain/confiot' en caressant d'une main -un peu grasse, c'est vrai- -nous parlons bien de la graisse du jambon hein, sinon c'est fin voyons!- les cheveux Dd0diens en le lorgnant d'un oeil ému, oui... Ce qui fait que tout se passe comme ça alors qu'elle serait partie en courant juste avant, c'est qu'à chaque mot qu'il emploie, chaque expression, chaque regard, il lui prouve qu'elle en est capable.
Bien loin du " tu tiendras jamais", ou du "pour que tu t'casses encore?".



Mais Monsieur Pouic, il n'était pas convenu que TU changerais les langes ou TU t'occuperais de te lever la nuit ? Tu sais c'est pour que tu créés un lien particulier avec ton enfant.


Sourire, Croc Confiot' et p'tit tape sur le cul nu


Chinon on peut dire que chi ch'est une fille ch'est toi, chi ch'est un garchon ch'est moi. Ou l'inverche. T'en penches quoi?


Croc avalé, sourire agrandi et p'tite tasse par terre.
Et Madame qui caresse les cheveux du Brun,
Et les doigts d'pieds en éventail
Et la main qui lisse le drap



Et dans la répartition des tâches Chouny... Qui change les draps?


Les p'tits dej' au lit c'est une putain d'invention, mais c'est un sacré budget quand on a qu'UN drap.
J'annonce Victoire chez nounou, alliances, draps, et entrainement, va pas s'faire tout seul ce mini bleu. Et pour être sûre que tu dises oui... Le petit dej' se termine en beauté... Bon anniversaire chéri ! -oui, encore-

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Doryen
Ah ben non...
On sait tous que l'enfant développe un lien tout particulier dans le ventre de sa mère, pendant les 9 mois qu'il passe au chaud. Et que ça n'a rien à voir avec les quelques 48h qu'il aura passé à l'état de mini têtard dans mes valises...
Du coup, l'enfant sait d'instinct que c'est les meules à maman qu'il faut tété, reconnais l'odeur et la voix, à tel point que parfois, certains papa se trouvent dans l'interdiction de les nourrir, l'enfant refusant tout ce qui ne vient pas de la main de sa mère.
J'essaie pas de me trouver des excuses pour ne pas participer à l'éducation de cet enfant. Non, surtout que ça doit être vachement trop super bien d'être tiré du lit par les braillements incessant du mini bleu pour lui tenter de lui donner à bouffer tandis qu'il va s'endormir dessus, baver sur l'épaule, régurgiter sur les draps, et pour finir gigoter dans tout les sens l'unique moment ou le lange est retiré, ne se lassant pas d'étaler gracieusement et très généreusement son excrément un peu partout, histoire de partager. Pour peu que ce soit un garçon, parapluie, ciré et bottes obligatoire.

Du coup, c'est pas que je veuille pas...
Mais c'est pour toi, Amour de ma vie.
Moi, je veux bien les faire...
Mais à priori, tu tomberas pas enceinte ce matin, à moins que les vaillants petit travailleurs réussissent à trouver leur chemin en passant par la gorge, anniversaire oblige... Auquel cas, faudrait nommer la progéniture James Bond ou Indiana Jones...
Peu de chance que ça arrive, on est d'accord.

Mais je veux bien m'occuper des draps, tu l'as bien négocié Chérie.
Faut dire que j'adore que tu te lève tôt, que la petite te laisse du temps.
J'adore que tu me fête mon anniversaire.
Faudra peut être faire quelque pour les miniversaires aussi, non ?
Toujours, toujours avec parcimonie Dd0dienne...


Une fois le petit déjeuné... avalé... place aux tartines en cuisine pour mini bleu et toilette pour tous, avant de prendre la direction de la Nounou pour plus de tranquillité au marché. La journée pour Monsieur et Madame, en quête de quelques achats.

Drap ou alliance en premier, je te laisse le soin de choisir ma Colombe.

" Faudra fixer une date... Non non, je suis toujours pas pressé... Si tu es toujours d'accord bien sûr.

Comment pourrais tu seulement changer d'avis, alors que nous marchons main dans la main comme deux adolescents, faisant une pause à chaque coin de rue pour que nos lèvres se retrouvent, et que ma main puisse se rappeler la chute de rein en se promenant légèrement sur le tissus. Qu'il y ait un banc, et je monterai dessus pour afficher notre amour à la face du monde.

- Puis peut être se poser la question de ou, de qui... Quoique la liste d'invités sera super courte... "

Restreinte.
Le bleu qui retrouve le bleu, faut croire que ça attire pas les foules...
Va comprendre.
L'avantage c'est que ça coûtera bien moins cher en alcool et bouffe, et ça tombe plutôt bien quand on voit à quelle vitesse tu dilapides...
Et c'est pas le tour des bijouteries qui prouvera l'inverse, non ?

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Andrea_
Pour la date... Je crains qu'il ne faille attendre la dissolution, bien que si nous n'passons pas devant l'autre couillon sur sa croix La religion, c'ets quand ça m'arrange
j'pense que... Vite? Sourire, baiser, oui, vite c'est bien, parce que même si super Pouic Junior à l'intelligence de papa et la vivacité de maman, y a fort à parier que ce matin, il n'aura pas trouvé d'ovule à violer, mais ce soir... Ouai, vite c'est bien.
La Chiasse dévisage son brun, s'arrête net et se pose face à lui.



Où... Ici, c'est chez nous ici maintenant alors... Ici. et pour les invités.... Petite moue mitigé de la Colombe qui n'sait pas trop si elle doit éclater de rire ou de tristesse, reprenons.
Qui a toujours été là?
Louis et Lestat, ça serait du foutage du gueule.
Alaric, idem.
Seth ? Laissons la boite de Pandhore fermée.
Astana, Gypsi, mises de côté depuis LA rencontre.
Queen, qui ne saura jamais.
Lanceline qui sait... à demi mots. La seule qui sait d'ailleurs.
Ignace qui viendrait sûrement en personne lui botter le cul s'il savait qu'elle n'avait rien dit...
Hummm, pas si courte que ça en vrai...
Hop, sourire, l'est pas beau mon sourire cro mignon? Celui qui dit que... t'es dans la merd'


Ce mariage nous concerne nous, et Victoire... Peut être que... Oui, courte. Très courte

Changer de sujet, vite.
Parce que le terrain est miné, délicat et ramène au passé. Mirettes sur les échopes, et...

Priorité à l'alliance. Et en effet c'est pas l'tour des bijouteries qui prouvera l'inverse : je suis plutôt dépensière à tendance écuphobe, je les vois, faut que je les jette -la bourse d'un marchand, ça fait moins de gâchis-.
Alors attention hein, on va pas se méprendre dès le début, je suis dépensière " sans le vouloir vraiment".
La dépensière sans le vouloir vraiment ne va pas dépenser pour le PLAISIR de dépenser. Elle va dépenser sans le " vouloir" -et c'est clair que si elle pouvait ne rien payer hein-
...
Bref, exemples :
- Madame fait le marché. Elle a la dalle, elle achète pas mal de fruits et c'est au moment de payer qu'elle se rend compte du prix au poids, et du poids des dits fruits. Madame ne calcule pas vraiment...Mais c'pas voulu !
- Madame déchire sa robe fétiche... Vous vous doutez bien que vu la tristesse que ça lui cause, elle va avoir BESOIN d'une nouvelle robe. On vous parle pas d'un PLAISIR cette fois encore, mais bien d'un BESOIN. Madame ne pouvait pas prévoir que sa robe lâcherait!

Retournons au concrêt. Ouai ça va coûter une blinde. Pourtant, alors que les azurées lorgnent l'étal du bijoutier -qui doit avoir des couilles en or-, rien ne laisse présager un tel chaos porte monnaietale.



J'l'aimerais... simple.
Un simple anneau gravé d'un D.
Je n'aimerais pas quelque chose qui... enfin... qu'on n'voit que ça. J'ai d'autres atouts qu'une bague.
Et j'vois bien à ton bleu dans mon corset que tu vois de quoi je parle, Oh Ken0bi, regarde moi, relève le museau, ohéééé, ouai, t'as bien vu que je n'étais pas ton père-


Les doigts passent sous le menton Dd0dien pour le rappeler à son triste sort de presque-mari qui s'est perdu dans les nib' de sa presque-femme a qui il doit offrir une alliance pour virer les presques.


BAh alors, tu m'écoutes pas? A quoi tu penses?


Nan mais c'est vrai, à quoi tu penses ?
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Doryen
Toi, moi et Victoire...
C'est plus une short list, c'est une slip list.
Perso, ça me va.
Ou et quand ?
Ici et vite...
Perso ça me va aussi.
Nous, ici et maintenant, affaire conclue ma chérie.

Pour l'alliance, je sais bien que ça va coûter une blinde, un bras et un oeil au minimum, faudra peut être ajouter un rein pour la gravure. J'aurai pu solliciter Lorenzo à Epinal, mais vu que c'est le neveu d'un ex mari en colère, mieux vaut s'abstenir. Va pour le craquage de bourse, spécialité Colombesque... Anniversaire oblige...
La vue qui baisse à la pensée de petit déjeuner, et petite envie qui pointe le bout de son nez, idée coquine en tête pour la soirée, à moins que je n'ai pas la force d'attendre la nuit et que je profite de la sieste... Faudrai demander l'avis aux jumeaux qui m'ont l'air un peu serrés dans le corset... Tu veux pas que je les libère ? Parce qu'après tout, ils sont presque à moi, puisque t'es ma presque femme, et que... Ayé, je suis presque excité


"BAh alors, tu m'écoutes pas? A quoi tu penses?

- Je suis d'accord... Comme tu veux chérie.

Déjà parce que j'ai rien entendu... J'étais pas en pleine masturbation cérébrale, j'étais... concentré ! Sur ce que j'allais faire avec Hercule et Poirot, ramène les miches, je me charge de la saucisse mayo... Dis moi que je te donne pas faim là !

Puis de toute manière, aller au marché avec toi c'est quand même assez dangereux à la base, faire le tour des joailleries c'est carrément suicidaire.
Enfin, ce que femme veut... Je suis prêt à gérer l'ensemble de la maison, m'occuper de ta fille, te rejoindre en prison pour y passer la nuit à tes côtés, du coup je vais pas m'opposer à grand chose.


- Je les préfère simple personnellement...

Quoi, pourquoi tu me regarde comme ça ?
Ca à déjà été dit ?
Oups....


Et la main colombienne d'en désigner une paire, priant intérieurement pour que le prix de l'or soit en chute libre, ou avoir un tarif pour y travailler à la mine assez régulièrement.

- Celle là , t'en penses quoi ?



Ou pas, puisque l'autre se frotte quasiment les mains devant nous...

- Ou peut être celle ci, j'aime beaucoup... Ca fait un peu plus simple. C'est toi qui voit mon coeur, à moins que tu en ais d'autre en vue."



Sourit pas comme ça, avec ta tête de bijoutier fourbe, parce que tu vas me donner envie de t'en claquer une...

Heureusement, on économisera sur les festivité, grâce à ta string list...

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Andrea_
Il n'a rien écouté.
Le "comme tu veux Chérie", c'est du testé et approuvé, c'est LA preuve ultime qu'il n'a rien écouté. Peut être qu'il a entendu, d'une oreille distraite -et d'une caleçon distendu- MAIS il n'a pas écouté, il n'ose pas vous demander de répéter et, pour éviter d'se faire engueuler, il dégaine le " comme tu veux", persuadé que, comme il vous donne raison, vous n'y verrez que du feu et qu'il s'en sortira sans égratignures -et pas sans éclaboussures...-.
Sauf que tu vois Dd, moi -oui MOI, avec un grand OUA- et bien j'suis pas un lapin d'trois semaines -ou de six, je sais jamais, mais t'façon j'suis pas un lapin tout court-, je sais bien que tu n'as rien écouté et c'était prévisible, je regrette juste un truc : j'aurais du en rajouter un max.

Le pire, c'est que l'Dd, il s'enterre dans son ignorance. Le gars il aurait pu s'dire qu'il en avait assez fait et que le lorgnage des jumeaux était pas si discret que ça, mais nan, il lance la petite phrase " je les préfère simple".
Il est possible que l'acier était mitigé. Entre éclat de rire et désarroi.
Il est tout aussi possible que le doigt ne visait pas du tout un couple d'alliance mais plutôt le tapis, histoire de faire comme à l'armée " tu m'fais dix pompes mon gaillard, tout d'suite", maiiiiis.... Mais faut avouer que le bleu féminin se pose sur l'or. Or. OOOOR. Avec beaucoup de O ronds comme des écus. OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOr, comme le nombre d'écus qu'il faudra lâcher au bijoutier et son regard de pervers, de violeurs d'écus, de mec qui profite de l'amour, de la passion de deux honnêtes -hahum- gens pour leur extorquer un max d'écus. Ouai mais nan.

L'acier quitte l'oooooooooor -oui j'aime bien-, pour se fondre dans le bleu, puis dans la seconde paire d'alliance. Nettement plus "discret", nettement plus "simple", nettement plus "eux".
Pis y a toujours cet enfoiré de bijoutier et sa tête à claques là, j'lui ferais bien manger ses ratiches à la Joey l'étoile -Star quoi-.
Regard entendu de l'acier sur le bleu, on est d'accord, il mérite une bonne torgno...

Et la main Colombienne de se tendre pendant que les lèvres laissent échaper quelques mots



Je... J'aime...pourquoi une pierre... Je...
C'est le symbole qui compte pas... le taux d'endettement après cet achat... Et si jamais l'incident...
T'en penses quoi de celle ci ?



Simple, efficace. Pas bling bling. Pas extravagante. Modeste. Délicate. Mais surtout terriblement symbolique.
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Doryen
Transformation Colombesque ?
- Parce que là, on est au delà de la simplicité...
Le gars à roulé un bout de fil de fer autour de son doigt, va nous vendre ça une fortune... Certes une moins grosse fortune que celles avec les pierres, mais une fortune quand même.
- Parce que là, elle refuse tout bonnement la pierre qui brille, qui coûte cher et qui fait classe, pour réellement s'inquiéter du coût en prévision de l'avenir... Incroyable venant de celle capable de claquer 70 écus en barbac pour une grillade pour deux et demi.
- Parce que là, de suite, j'ai follement envie de te faire l'amour sur le petit bout de comptoir que j'aurai débarrassé d'un revers de main. Et le petit gros avec sa tête de fourbe en chierait dans son froc, avec une trique à casser des murs.


Et le bleu de se poser sur sa moitié, entre surprise et amour avant d'afficher son plus beau sourire niais, à la mode de chez nous, et de l'embrasser en l'enlaçant tendrement devant un joaillier soudain mal à l'aise de patienter... Patienter encore... Patienter longtemps... Patienter très longtemps, puisqu'après tout le client est roi.

" Pourquoi pas. Tu trouves pas ça... un peu trop simple ?

Ah ben choisir une alliance, c'est un truc super délicat en fait...
Le doigt d'en désigner une autre.



- D'accord pour le simple et pas ruineux Amour, mais faut quand même que ça donne l'impression d'avoir été travaillé un minimum. Et Vlan, dans ta face de fourbe aux couilles en or... Que penses tu de celles là ?



- Ou celles ci ?



- Dis moi celle qui te convient le mieux, ton choix sera le mien."

C'est qu'il y prendrait presque goût à visiter l'intégralité de l'échoppe, sa douce dans les bras.
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