Enzo
RP de campement de larmée IG « De sang et de feu ». Il commence par la petite fête, mais vous allez pouvoir enchainer avec la vie du campement etc, sans soucis. Après la fête, of course. Noubliez toutefois pas vos balises sil vous plait !
Bon jeu !
Les chopes trinquent, les alcools se mélangent à cause du choc, et les voix sélèvent dans le campement pour bénir larrivée du second fils dEnzo à coups de bière, darmagnac, de calvados et de whisky. Les ordres avaient été clairs ce jour. On vous mobilise, mais vous ne bougez pas. Soit, si cétait les ordres du jour, Enzo allait faire avec. Ça donnerait au moins une journée de repos en plus à sa femme et il pourrait fêter dignement la naissance de son fils. Cest ainsi que les chants se firent de plus en plus forts autour du feu au centre du campement. La boisson coulait à flots et les soldats sachant jouer de la musique en profitait pour sortir leurs instruments. Moment enivrant quand Enzo fait face à cette digne fête en lhonneur de son second enfant. Un garçon encore. Le jeune homme avait passé lavant-midi à préparer la petite fête, envoyant un groupe dhommes chasser pour ramener de la viande de qualité. Autre chose que ce pain sec et cette soupe à leau quils mangeaient trop souvent. Il fallait économiser les vivres lui répétait le cuistot. Mais ce jour était un jour spécial et cétait le temps dabuser des bonnes choses. Asguéïr Amaury de Montbray-Sempère était né, et ça méritait bien de finir en épave dans sa couche au petit matin. Un homme vient taper dans le dos du jeune noble, lui remplissant son verre en même temps.
- « Félicitations Chef ! »
- « Oué ! Félicitations ! »
- « Faut nous le montrer Commandant ! »
Enzo but cul sec le contenu de sa chope avant de la lancer dans la foule dun air ravi. Il avait limpression de navoir jamais été aussi heureux de sa vie, et pourtant à la naissance dEyquem, cétait tout un moment. Peut-être parce que pour une fois dans sa vie, des hommes et des femmes lentouraient et étaient tout aussi fiers de lui de cette naissance. Quil nétait pas tout seul, et que ces gens lui faisaient pour la plupart confiance. Le jeune noble eut un sourire avant de se retourner et daller dans sa tente choper son fils nouveau né. Jeanne ne pourrait rien dire. Il était le père après tout. Il ressortit donc avec lenfant emmitouflé dans des langes propres. Le présentant à la foule avec fierté.
- « Voici Asguéïr !
- « Asguéïr ! Asguéïr ! Asguéïr ! »
Le jeune noble déposa un baiser sur le front de son fils avant de le rendre à la matrone qui le fixa dun il sombre. Les hommes applaudirent, et les chants reprirent, maintenant que la présentation de lenfançon était faite. Moment de gloire que de présenter son enfant, bien mieux que nimporte quelle couronne ducale. Enzo attrape une chope pleine de calvados et entame une descente digne dun marin angloys. Faut dire quil était à bonne école avec le Christopher.
- « Que la fête continue ! À Asguéïr Amaury de Montbray-Sempère ! Santat ! »
De finir sa chope alors quEnzo cherche des yeux son ami Christopher, évitant un soldat qui roule une pelle à une brune catin. Si cette guerre navait pas été des plus faciles avec lattente, le mépris et les disputes, reste que la naissance de ce fils venait gonfler le cur du jeune noble qui avait eu du mal à tout encaisser, par instant. Asguéïr venait prouver quil fallait toujours être patient et que la vie le rendait bien. Ils pourront partir à la guerre, se battre enfin, le cur léger.
- « Guêtres aux pieds, pennbaz en main. Où donc vas-tu si bon matin ? Où donc vas-tu si bon matin ? Où donc vas-tu mon Corentin ? Tous nos gars ont pris rendez-vous, hou-hou, pour aller à la chasse aux loups, à la chasse aux loups ! » *
*La chasse aux loups, chanson traditionnelle et royaliste.
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©JD Marin - JD malade donc au ralenti.
Bon jeu !
[ - Toulouse, Campement militaire de larmée « De sang et feu » ]
Les chopes trinquent, les alcools se mélangent à cause du choc, et les voix sélèvent dans le campement pour bénir larrivée du second fils dEnzo à coups de bière, darmagnac, de calvados et de whisky. Les ordres avaient été clairs ce jour. On vous mobilise, mais vous ne bougez pas. Soit, si cétait les ordres du jour, Enzo allait faire avec. Ça donnerait au moins une journée de repos en plus à sa femme et il pourrait fêter dignement la naissance de son fils. Cest ainsi que les chants se firent de plus en plus forts autour du feu au centre du campement. La boisson coulait à flots et les soldats sachant jouer de la musique en profitait pour sortir leurs instruments. Moment enivrant quand Enzo fait face à cette digne fête en lhonneur de son second enfant. Un garçon encore. Le jeune homme avait passé lavant-midi à préparer la petite fête, envoyant un groupe dhommes chasser pour ramener de la viande de qualité. Autre chose que ce pain sec et cette soupe à leau quils mangeaient trop souvent. Il fallait économiser les vivres lui répétait le cuistot. Mais ce jour était un jour spécial et cétait le temps dabuser des bonnes choses. Asguéïr Amaury de Montbray-Sempère était né, et ça méritait bien de finir en épave dans sa couche au petit matin. Un homme vient taper dans le dos du jeune noble, lui remplissant son verre en même temps.
- « Félicitations Chef ! »
- « Oué ! Félicitations ! »
- « Faut nous le montrer Commandant ! »
Enzo but cul sec le contenu de sa chope avant de la lancer dans la foule dun air ravi. Il avait limpression de navoir jamais été aussi heureux de sa vie, et pourtant à la naissance dEyquem, cétait tout un moment. Peut-être parce que pour une fois dans sa vie, des hommes et des femmes lentouraient et étaient tout aussi fiers de lui de cette naissance. Quil nétait pas tout seul, et que ces gens lui faisaient pour la plupart confiance. Le jeune noble eut un sourire avant de se retourner et daller dans sa tente choper son fils nouveau né. Jeanne ne pourrait rien dire. Il était le père après tout. Il ressortit donc avec lenfant emmitouflé dans des langes propres. Le présentant à la foule avec fierté.
- « Voici Asguéïr !
- « Asguéïr ! Asguéïr ! Asguéïr ! »
Le jeune noble déposa un baiser sur le front de son fils avant de le rendre à la matrone qui le fixa dun il sombre. Les hommes applaudirent, et les chants reprirent, maintenant que la présentation de lenfançon était faite. Moment de gloire que de présenter son enfant, bien mieux que nimporte quelle couronne ducale. Enzo attrape une chope pleine de calvados et entame une descente digne dun marin angloys. Faut dire quil était à bonne école avec le Christopher.
- « Que la fête continue ! À Asguéïr Amaury de Montbray-Sempère ! Santat ! »
De finir sa chope alors quEnzo cherche des yeux son ami Christopher, évitant un soldat qui roule une pelle à une brune catin. Si cette guerre navait pas été des plus faciles avec lattente, le mépris et les disputes, reste que la naissance de ce fils venait gonfler le cur du jeune noble qui avait eu du mal à tout encaisser, par instant. Asguéïr venait prouver quil fallait toujours être patient et que la vie le rendait bien. Ils pourront partir à la guerre, se battre enfin, le cur léger.
- « Guêtres aux pieds, pennbaz en main. Où donc vas-tu si bon matin ? Où donc vas-tu si bon matin ? Où donc vas-tu mon Corentin ? Tous nos gars ont pris rendez-vous, hou-hou, pour aller à la chasse aux loups, à la chasse aux loups ! » *
*La chasse aux loups, chanson traditionnelle et royaliste.
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©JD Marin - JD malade donc au ralenti.