Le_g.
J'ai choisi
Tu as choisi
Il a choisi
Nous avons choisi...
Mouais, mais ça fait mal!!!! Il a mal à en crever, même s'il a choisi !
Il a choisi de quitter Déa, ses coups bas, ses caprices, et choisi de ne plus lui manger dans la main, qu'elle ne le tiendrait plus par sa queue. Il a décidé, mais ça lui vrille les tripes, il porte son masque, le masque, le maître écorcheurs, il rit, il sourit, il semble s'amuser, mais il hurle sa douleur lorsqu'il est seul.
Sa douleur, elle crie, elle se meut, telle une anguille, sournoise, venant déposer dans ses entrailles un poison viscéral. Le plus grand cocu du royaume sans doute, voilà ce qu'il est, et son fils parlant de "machin", dans la main de qui la chiasse mange, ça ne fait qu'enfoncer encore un peu plus le Gaucher dans les affres de sa douleur.
Raisonner ? Il en est bien incapable. Il se tient au plan initial, celui qu'il a choisi quand il était en état de le faire : se rendre à un point E en passant par A, B, C et D.
Première étape, Etape A !
Ils y sont, ils y rencontrent celui qui lui aurait volontiers troué la peau s'il avait eu ne serait-ce que l'ombre d'un début de preuve, sauf... sauf que le Capitaine n'a rien... Il n'est que "Suspect". L'ensemble de la soirée se passe relativement correctement. Une pensée très forte pour son amant, celui qui est fidèle, celui qui l'a fait se relever, celui qui lui donne la force de tenir debout.
Enragé, il regarde dehors, furieux. Il a la haine contre sa femme, la haine, qu'elle soit partie, qu'elle l'ai laissé là, à Polignac, il y a plusieurs semaines, pour aller s'amuser, sans eux. C'est comme d'habitude...
Mariage à Saint-Liziers, trois jours après, elle est à Carcassonne, et embrasse Allfears.
Naissance de Nicolas à Nîmes ? Trois jours après, elle est en direction de Genève pour voir Fernand...
Mariage à Narbonne ? Elle embrasse un Frère d'armes avant, après, pendant même le mariage aussi vite.
Polignac ? Trois jours après, elle suit l'oncle Vlaad le traitre...
Formidable non ? Sans doute qu'elle a forcément raison, et qu'il a forcément tord, mais voilà, les faits parlent.
Du coup, Polignac, il devait annuler l'annulation, il a oublié de le faire, tant mieux. Il annule l'annulation de l'annulation. Vous avez suivi ? Tant mieux, sinon en racourci : il divorce ! 'fin plutôt, il demande à la Grande Inquisitrice de bien vouloir faire que son mariage soit dissous, annulé, qu'il n'en reste rien !
Seuls son fils, son amant, sa famille compte désormais, et la chiasse n'en fait plus partie.
Tous les chefs de groupes pourront la sauter sans ciller maintenant, elle est libre, il n'en veut plus, il en a marre de devoir lui prouver qu'il l'aime.... et pourtant... le Très Haut sait combien il l'aime... combien il est fou d'elle, autant que de Lest... combien il hurle, derrière son masque de bouffon.
Pour l'heure, il a choisi, avec Lest, avec le groupe, et il fait ce qu'il a à faire.
Après une conversation avec son fils, il lui envoie une missive :
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Tu as choisi
Il a choisi
Nous avons choisi...
Mouais, mais ça fait mal!!!! Il a mal à en crever, même s'il a choisi !
Il a choisi de quitter Déa, ses coups bas, ses caprices, et choisi de ne plus lui manger dans la main, qu'elle ne le tiendrait plus par sa queue. Il a décidé, mais ça lui vrille les tripes, il porte son masque, le masque, le maître écorcheurs, il rit, il sourit, il semble s'amuser, mais il hurle sa douleur lorsqu'il est seul.
Sa douleur, elle crie, elle se meut, telle une anguille, sournoise, venant déposer dans ses entrailles un poison viscéral. Le plus grand cocu du royaume sans doute, voilà ce qu'il est, et son fils parlant de "machin", dans la main de qui la chiasse mange, ça ne fait qu'enfoncer encore un peu plus le Gaucher dans les affres de sa douleur.
Raisonner ? Il en est bien incapable. Il se tient au plan initial, celui qu'il a choisi quand il était en état de le faire : se rendre à un point E en passant par A, B, C et D.
Première étape, Etape A !
Ils y sont, ils y rencontrent celui qui lui aurait volontiers troué la peau s'il avait eu ne serait-ce que l'ombre d'un début de preuve, sauf... sauf que le Capitaine n'a rien... Il n'est que "Suspect". L'ensemble de la soirée se passe relativement correctement. Une pensée très forte pour son amant, celui qui est fidèle, celui qui l'a fait se relever, celui qui lui donne la force de tenir debout.
Enragé, il regarde dehors, furieux. Il a la haine contre sa femme, la haine, qu'elle soit partie, qu'elle l'ai laissé là, à Polignac, il y a plusieurs semaines, pour aller s'amuser, sans eux. C'est comme d'habitude...
Mariage à Saint-Liziers, trois jours après, elle est à Carcassonne, et embrasse Allfears.
Naissance de Nicolas à Nîmes ? Trois jours après, elle est en direction de Genève pour voir Fernand...
Mariage à Narbonne ? Elle embrasse un Frère d'armes avant, après, pendant même le mariage aussi vite.
Polignac ? Trois jours après, elle suit l'oncle Vlaad le traitre...
Formidable non ? Sans doute qu'elle a forcément raison, et qu'il a forcément tord, mais voilà, les faits parlent.
Du coup, Polignac, il devait annuler l'annulation, il a oublié de le faire, tant mieux. Il annule l'annulation de l'annulation. Vous avez suivi ? Tant mieux, sinon en racourci : il divorce ! 'fin plutôt, il demande à la Grande Inquisitrice de bien vouloir faire que son mariage soit dissous, annulé, qu'il n'en reste rien !
Seuls son fils, son amant, sa famille compte désormais, et la chiasse n'en fait plus partie.
Tous les chefs de groupes pourront la sauter sans ciller maintenant, elle est libre, il n'en veut plus, il en a marre de devoir lui prouver qu'il l'aime.... et pourtant... le Très Haut sait combien il l'aime... combien il est fou d'elle, autant que de Lest... combien il hurle, derrière son masque de bouffon.
Pour l'heure, il a choisi, avec Lest, avec le groupe, et il fait ce qu'il a à faire.
Après une conversation avec son fils, il lui envoie une missive :
Citation:
Chère oui, tu l'es...
Tu m'as coûté ce qui est de plus cher : mon honneur, mon bonheur, et ma joie de vivre.
Tu m'as tout pris, tu as même voulu prendre Nicolas.
Saches que je suis et reste le père de Victoire, c'est toi qui est partie avec. Réfléchis bien, je pourrais la réclamer, pour abandon de la roulotte familiale, ma "chère" épouse.
Tu sais que tu m'as détruit ? Ne détruit pas mon fils, notre fils ! Laisse-le libre de ses choix, dis à ton amant de lui lâcher la grappe ! "Machin" comme l'appelle Nicolas n'a pas à intervenir dans nos choix, ce choix que tu m'as imposé en partant. Je te demande aussi d"arrêter ta campagne de dénigrement contre moi. Cary, que j'ai aidé à accoucher, que je n'avais pas vu depuis un moment, qui était une amie, tu l'as bien retournée contre moi, bravo, bien joué. Tu me détruits... et je ne suis plus ta chose. Tu ne me tiendras plus comme tu m'as tenu, malgré les sentiments que j'ai toujours pour toi. Tu es celle qui est ma femme, qui l'a toujours été, celle qui a su me tenir, mais c'est fini. Tu peux retourner voir Eusaïas, ou Allfears, s'il est toujours en vie, Fernand ou un autre, va voir Olivier ou Ignace, je m'en fous, fais toi sauter par Tybère, couche avec qui tu veux, désormais. Je ne dirais rien, je ne t'empêcherai pas, mais je ne te donnerai pas la joie de plier, de ramper, ou de te supplier de revenir, je ne te dirai plus que je t'aime, je l'ai assez prouvé, alors la balle est dans ton camp. A toi de me prouver que tu m'aimes, je n'ai plus confiance, tu as trop souvent piétiné ce que je t'avais offert.
J'avais l'intention de retirer ma demande d'annulation de mariage, faite dans mon délire fiévreux, avant que nous soyons à Polignac, de te présenter des excuses pour cet égarement lié à la fièvre qui envahissait mon corps tel un poison, m'empêchant de réfléchir correctement, mais je ne le ferai pas, même si je ne ferai rien pour accélérer la procédure, je ne l'annule pas, tant que toi, tu ne m'auras pas prouvé que j'ai tord, et pour le moment, tous tes faits et gestes prouvent que j'ai raison, même si tu arrives à bien embobiner toutes nos relations, pauvre petite colombe rejetée par un sombre crétin mauvais comme une teigne.
Je t'informe que je m'en suis sorti, que les chairs se sont refermées, et que mes plaies sont pansées, propres, et qu'elles cicatrisent. Je suppose que tu t'en fous, mais il fallait que je te le dise.
Autre chose, je n'ai pas l'intention de prendre une autre femme dans ma couche pour une aventure autre que celle d'un échange d'écus dans un lupanar. Tu m'as bien guéri de cela, tu as réussi à me dégoûter de la gente féminine, moi qui était en adoration devant les courbes de tes hanches ou le galbe de ta poitrine.
Amuse-toi bien, fais tes choix, et pour une fois : ASSUME-LES ! Et arrête de rejeter les conséquences de TES actes sur les autres.
J'étais ce que j'ai fait, je suis ce que je fais, je serai ce que je ferai, mais Déa, ne confonds pas ma personnalité et mon attitude. Ma personnalité c'est qui je suis, mon attitude dépend de qui tu es, et de ce que tu me fais. TES choix entraînent MES réactions.
Grandis, et assume.
Louis Track de Lioncourt
A tous jamais le père de Nicolas et Victoire
Tu m'as coûté ce qui est de plus cher : mon honneur, mon bonheur, et ma joie de vivre.
Tu m'as tout pris, tu as même voulu prendre Nicolas.
Saches que je suis et reste le père de Victoire, c'est toi qui est partie avec. Réfléchis bien, je pourrais la réclamer, pour abandon de la roulotte familiale, ma "chère" épouse.
Tu sais que tu m'as détruit ? Ne détruit pas mon fils, notre fils ! Laisse-le libre de ses choix, dis à ton amant de lui lâcher la grappe ! "Machin" comme l'appelle Nicolas n'a pas à intervenir dans nos choix, ce choix que tu m'as imposé en partant. Je te demande aussi d"arrêter ta campagne de dénigrement contre moi. Cary, que j'ai aidé à accoucher, que je n'avais pas vu depuis un moment, qui était une amie, tu l'as bien retournée contre moi, bravo, bien joué. Tu me détruits... et je ne suis plus ta chose. Tu ne me tiendras plus comme tu m'as tenu, malgré les sentiments que j'ai toujours pour toi. Tu es celle qui est ma femme, qui l'a toujours été, celle qui a su me tenir, mais c'est fini. Tu peux retourner voir Eusaïas, ou Allfears, s'il est toujours en vie, Fernand ou un autre, va voir Olivier ou Ignace, je m'en fous, fais toi sauter par Tybère, couche avec qui tu veux, désormais. Je ne dirais rien, je ne t'empêcherai pas, mais je ne te donnerai pas la joie de plier, de ramper, ou de te supplier de revenir, je ne te dirai plus que je t'aime, je l'ai assez prouvé, alors la balle est dans ton camp. A toi de me prouver que tu m'aimes, je n'ai plus confiance, tu as trop souvent piétiné ce que je t'avais offert.
J'avais l'intention de retirer ma demande d'annulation de mariage, faite dans mon délire fiévreux, avant que nous soyons à Polignac, de te présenter des excuses pour cet égarement lié à la fièvre qui envahissait mon corps tel un poison, m'empêchant de réfléchir correctement, mais je ne le ferai pas, même si je ne ferai rien pour accélérer la procédure, je ne l'annule pas, tant que toi, tu ne m'auras pas prouvé que j'ai tord, et pour le moment, tous tes faits et gestes prouvent que j'ai raison, même si tu arrives à bien embobiner toutes nos relations, pauvre petite colombe rejetée par un sombre crétin mauvais comme une teigne.
Je t'informe que je m'en suis sorti, que les chairs se sont refermées, et que mes plaies sont pansées, propres, et qu'elles cicatrisent. Je suppose que tu t'en fous, mais il fallait que je te le dise.
Autre chose, je n'ai pas l'intention de prendre une autre femme dans ma couche pour une aventure autre que celle d'un échange d'écus dans un lupanar. Tu m'as bien guéri de cela, tu as réussi à me dégoûter de la gente féminine, moi qui était en adoration devant les courbes de tes hanches ou le galbe de ta poitrine.
Amuse-toi bien, fais tes choix, et pour une fois : ASSUME-LES ! Et arrête de rejeter les conséquences de TES actes sur les autres.
J'étais ce que j'ai fait, je suis ce que je fais, je serai ce que je ferai, mais Déa, ne confonds pas ma personnalité et mon attitude. Ma personnalité c'est qui je suis, mon attitude dépend de qui tu es, et de ce que tu me fais. TES choix entraînent MES réactions.
Grandis, et assume.
Louis Track de Lioncourt
A tous jamais le père de Nicolas et Victoire
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