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[RP] Et-que-mont logis est beau !

Arkdadi
Arka avait rencontré Elysa et Equemont dans la matinée et parlant de choses et d'autres , ils en arrivèrent à parler du haras. Celui ci était en vente mais rien n'était encore fait et jusque là il fallait veiller sur les chevaux...Equemont s'absentait un petit moment.

De fil en aiguille, ayant fait comprendre à Equemont que les chevaux étaient leur passion, commune avec Lia, celui ci eu la bonté de leur confier la tâche de s'occuper du domaine pendant son absence.

Arka ne se fit pas priée et abandonnant poste et tâches, elle accourru vers l'endroit qu'elle n'avait jamais vraiment osé approcher, elle le contemplait toujours de loin....

Cette fois , elle dévala la pente du haut de la colline pour arriver devant les barrières qui entouraient les merveilles qui broutaient paisiblement. Ell savait que les chevaux pouvaient être nerveux ensembles et doucement elle s'approcha en contournant la barrière et s'avança vers l'un deux. Bien sûr ils ne la connaissaient pas encore mais elle saurait, à force de présence, les mettre en confiance.....

Elle tendit la main vers lui, paume vers le ciel, et appela le d'une voix douce, elle ne cessait de parler doucement pour ne pas l'effrayer

"Viens là....aller approche...je ne te veux pas de mal,que du contraire, aller viens me voir....."

Ils semblaient un peu inquiets, l'un d'eux pourtant leva la tête et la regardait, elle cessa d'avancer mais continuait son approche vocale...elle établissait la confiance, premier pas vers cette formidable aventure que leur avait permis , à son amie et elle, de s'occuper de ces magnifiques montures.
Guiliaa
Midi avait sonné Guiliaa arriva aux abords du haras, le sourire aux lèvres, elle s'arrêta en haut de la colline, le soleil était au rendez vous et faisait plisser ses yeux, elle les protégea avec l'une de ses mains pour mieux regarder le domaine qui allait être pour une semaine son terrain de jeu.

Lia, avait rencontrée son propriétaire Equemont ainsi que sa Fiancée, Elysa, quelques heures auparavant, une matinée enrichissante et agréable.
De fil en aiguille, il avait était convenu qu'avec son acolyte, Arka, elle prendrait en charge le haras en l'absence d'Equemont et qu'elles veilleraient également sur sa douce.

Une mission qui réjouissait les deux amies, toujours partantes pour de nouvelles aventures et surtout pour donner un coup de main, dans la joie, la bonne humeur et la folie !

Lia avait hâte de voir les chevaux, ces bestioles là, elle les adoré depuis sa plus tendre enfance, bien qu'elle n'ai jamais eu la chance d'en posséder un.

Elle reprit sa marche, puis s'arrêta et s'allongea dans l'herbe, dans un éclat de rire se laissa rouler. Ainsi Lia dévala la colline d'une manière peu conventionnelle et totalement folle, c'était tout elle ça !

Arrivée en bas elle aperçu en double, en triple son amie.
Essoufflée et riant comme la plupart du temps elle essaya de l'appeler :

- Ouhou Ma Rousse enfin, Mes Rousses. Lia ria aux éclats essayant de compter le nombre qu'elle voyait.

L'italienne se releva, tapotant ses braies furtivement pour en faire tomber les brins d'herbes, les pétales de fleurs et autres brindilles qui s'étaient invitées sur elle pendant sa descente.
Elle baissa la tête et passa une main dans ses boucles pour les remettre en ordre, puis releva la tête jetant en arrière sa chevelure dorée.

- Nous y voila !

Lia balaya le haras du regard en souriant, c'était sublime, Equemont avait une propriété à faire pâlir de jalousie plus d'un noble.
Elle s'avança d'un pas lent et discret vers son amie qui semblait établir le contact avec l'un des chevaux.

Lia laissa son amie faire connaissance avec les bêtes et se dirigea vers les écuries, elle nettoya les boxes sans limiter ses efforts, la sueur perlée sont front, elle avait chaud et cela ne sentait vraiment pas la rose.
C'était la partie la moins sympathique de la mission, mais c'est avec sourire que Lia s'exécuta.
Elle regardait régulièrement en direction de son amie, surveillant de loin si tout se passait bien, toujours prête a bondir au moindre signe suspect !
Ah Son Arka, Son Ame Sœur, Sa Famille elle l'aimait vraiment de tout son être.
Arkdadi
Le contact semblait bien passer et Arka était heureuse de voir qu'elle s'en sortait bien. C'eut été plutôt délicat dans le cas contraire parce les cheveux avaient besoin d'être montés et sans contact, mission impossible !
Les 2 étalons semblaient montrer un peu moins d'enthousiasme pour vous venir vers elle mais elle ne perçu aucune agressivité de leur part, la jument était plus facile à approcher et c'est d'ailleurs ce qui se passa tendit qu'Arka lui parlait avec douceur :

"Viens voir ma belle, lààààà.....tu es magnifique ! elle approcha doucement sa main pour lui caresser les naseaux puis l'encolure.


Citation:
Ouhou Ma Rousse enfin, Mes Rousses. Lia ria aux éclats essayant de compter le nombre qu'elle voyait.


Même l'arrivée en trombe de Lia ne perturbait pas la jument.

"Ah tu es là ! J'allais justement m'occuper de l'abreuvoir. J'ai vu que tu avais nettoyé les boxes , merci , le prochaine fois c'est moi qui m'y colle !
Tu vas monter là? Je t'ai apporté les longes et euh pour les selles ben..serre les jambes hein !
elle rit en s'éloignant pour aller chercher la brouette et amener les cruches d'eau fraîche remplies à la rivière.

"Bon...c'est le moment, c'est l'instant.....je rentre et si ils m'aiment pas, on va le savoir immédiatement !

Très calmement , Arka ouvre la barrière et se dirige vers l'abreuvoir situé à l'opposé de l'entrée de l'enclos.
Arkdadi
Il faisait frais et le pré était détrempé mais les chevaux avaient besoin d'eau et de nourriture et le temps n'est pas un facteur à prendre en considération, il fallait s'occuper d'eux.

Ca arrangeait bien Arka, en ce moment tout tourne à l'envers, elle est triste, triste de faire souffrir, triste et seule.
Il fallait impérativement qu'elle se repose et qu'elle se me mette au vert. Le haras était l'endroit idéal pour se faire, elle décida donc d'y rester le temps qu'il faudrait pour savoir où elle en était. ....Morgan était le père de l'enfant qu'elle portait et elle l'avait quitté. Mais pourquoi l'avait elle quitté? La précipitation.....? Alors qu'elle qui prônait à qui voulait l'entendre qu'il ne fallait jamais se précipiter !!! Tout cela n'avait plus de sens....La tête lui tournait, les idées s'embrouillaient.
Bon sang et Saky, cet homme adorable dans les bras de qui elle s'était réfugiée...avait elle le droit d'agir comme ça ? De ne penser qu'à elle.... égoïstement?
C'est ce qu'elle faisait depuis un bout de temps déjà , trop longtemps, et là, le temps était venu de se poser, elle devait le faire pour, pour Morgan, pour Saky et pour le bébé. Quelqu'un n'en sortirait pas indemne mais c'était la seule solution.
Ne plus faire souffrir et être honnête.....

Les pensées s'étaient tellement bousculées dans sa tête qu'elle ne vit pas arriver sur elle l'étalon qui manifestement n'avait pas l'intention de l'éviter.....elle eu à peine le temps de poser la brouette qu'elle était en train de pousser , qu'elle ressentis une terrible douleur au niveau des côtes et se sentis valser dans les airs puis retombant lourdement !
Ses yeux se fermèrent sous le choc, elle s'évanouit



Guiliaa
Lia arriva au haras de bon matin, après avoir peu a peu prit connaissances avec les chevaux, elle était prête a les monter enfin essayer du moins.

Arka s'était installé au haras, elle avait besoin de calme et de verdure pour se retrouver. La jeune femme avait donc prit soin de lui préparer quelques biscuits et avait également cueillit un panier de mûres qu'elle espérait lui ferait bien plaisir.

Lia arriva au haras avec ses victuailles, bon elle savait qu'une bonne bouteille de Mirabelle aurait fait également plaisir a son amie, mais il ne fallait pas, Arka portait la vie et cela nécessitait donc quelques abstinences.

Le haras était calme et les chevaux étaient déjà au près, la future maman avait du se lever tôt, ou bien ne pas fermer l'œil du tout... Lia grimaça a cette pensée, elle allait prendre soin de son amie, il le fallait.

Elle alla dire bonjour aux chevaux avec le petit sifflement qu'elle avait mit en place dès leur première rencontre, les chevaux l'a reconnu aussitôt, seule la jument s'avança vers la barrière en bois qui délimiter le près.
Lia sourit et caressa la jument.

- Bonjour Mérida, comment vas tu aujourd'hui ? Elle parlait doucement tout en gratouillant l'encolure de la jument, elle adorait cela.
Sais tu ou est Arka ma jolie ? Sans attendre évidemment la moindre réponse, elle fit une bise sur le museau du cheval et s'en alla chercher son amie.

Après quelques minutes a fouiner le haras elle ne vit personne, elle s'attela au nettoyage des boxes, Arka était peut être partie chercher de l'eau, elle ne devrait plus tarder, autant l'attendre en se rendant utile.
Arkdadi
"Mon dieu......Arka secoue la tête....mais qu'est ce qui m'est arrivé? elle ne bouge pas pendant un instant mais grimace, puis décide de se relevé mais n'y arrive pas et se fait rouler puis part à 4 pattes vers la barrière
Guiliaa
Après avoir nettoyé les boxes, ne voyant toujours pas son amie Lia commençait a s'inquiéter.
Cela faisait bien 1 heure qu'elle était la maintenant, elle regarda le soleil pour avoir confirmation. Il ne devait pas être loin des 12h 13 h de l'après midi... Le Soleil était au plus haut dans le ciel.
Elle se lava les mains au puits, secoua ses cheveux, décidément ses boucles adoraient la paille !
Puis elle avança vers le près, siffla la jument. Saisie le morse et entra dans le près.

- Tout doux, viens ma belle viens.... On va chercher Arka toutes les deux ? tu veux ? Je vais te faire trottiner. La Jument secoua sa tête, un peu effrayée, Lia lui caressa l'encolure, puis lui tapota avec affection la cuisse.
Je ne te montes pas, promis. Je te laisse tranquille, une ballade a pied rien que toi et moi, sans exercice.
La jeune Italienne mit le morse en place et sortie la jument à l'aide d'une longe.
En refermant la barrière derrière elle pour ne pas que les étalons quittent le près, une touffe rousse attira son attention.

- Arka ! Lia accouru auprès de son amie aussitôt, cette dernière était au sol, dans le près et semblait ramper pour en sortir.
Arkdadi
Rampait littéralement pour éviter de rencontrer l'étalon qui n'avait pas semblé apprécier sa visite sur son territoire.
Elle avait du mal à reprendre son souffle mais parvint à sortir quelques mots à Lia qui courrait vers elle.


"Pfiouuuuuu, sacré .....coup de sabot le gaillard !!!! elle aurait voulu rire mais ses côtes la faisaient souffrir, elle se releva ravie qu'elle n'avait apparemment rien de cassé.

Bon je te laisse terminer, je vais me changer et soigner mes bobos puis, je reviens t'aider."
Guiliaa
Quelques jours après la mauvaise chute d'Arka, Equemont était revenu de chez les moines, sa femme Elysa avait elle aussi ressortit le bout de son nez, prête a mettre au monde leur futur héritier.

Lia passa au Haras comme chaque matin, elle dit bonjour aux chevaux et fît avec aisance les tâches quotidiennes que requièrent un tel lieu.
Il était encore tôt lorsque la jeune femme termina son travail, ne voulant pas déranger les jeunes mariés qui semblaient encore dormir, elle sortit de sa besace un petit parchemin, elle le posa devant la porte, une pierre dessus, pour ne pas qu'il s'envole.
Le jeune couple pourrait y lire :

" Equemont et Elysa,

Bien le bonjour,
Je tenais a vous remercier de m'avoir fais confiance durant toute une semaine pour m'occuper de votre propriété ainsi que vos chevaux si magnifiques, j'espère avoir était à la hauteur de vos attentes.
Je quitte Nevers ce soir pour deux semaines, je laisse donc Arka prendre le relais, mais je vous demande de quand même la ménager, elle a besoin de se reposer.
Je vous demande de veiller sur elle, de loin et discrètement pour ne pas la froisser, elle a besoin de se sentir indépendante et autonome et elle a parfois du mal a admettre qu'elle a aussi besoin que quelqu'un veille sur elle.
Je compte sur vous, Arka est la personne la plus chère a mon cœur.
Je vous donnerais régulièrement des nouvelles et en prendrais également de vous.
Je vous souhaite bonne continuation et une belle rencontre avec votre Merveille, si sa naissance a lieu en mon absence.
Prenez soin de l'un et de l'autre, profitez de votre Bonheur.

Au plaisir de vous avoir rencontrez.
A dans deux semaines,

Lia.


La jeune femme était angoissée de partir si longtemps loin de son amie, mais celle ci lui avait "ordonné" pour son " Bonheur " avait elle dit.

Avant de partir elle regarda une dernière fois le haras, soupira et repartit en direction du village, elle avait encore beaucoup a faire avant de prendre la route avec Le Clan des Bretons.
Arkdadi
Ce matin, il fait beau, la vie ici faisait passer tous le maux.....quoi que tout allait mal !

Comme d'habitude Arka nettoie les boxes et va dire bonjour aux chevaux..ils broutent gentiment dans le pré. Elle les appelle l'un et l'autre et se retrouve assise sur la barrière en les caressant. Lia était partie pour un moment et elle mettait un point d'honneur à s'occuper d'eux.
Equemont
[Porte du monastère, à l’aube nouvelle]

Revêtu de son mantel marron, le maquignon prit résolument le chemin de Nevers pour affronter son destin. Le chemin rocailleux s’escarpait le long de la colline pour déboucher sur un belvédère. Il ne put résister à l’envie de contempler la ville. Le réveil se faisait en douceur et déjà l’on apercevait quelques cheminées fumer dans le lointain. Le spectacle de la brume matinale s’estompant à l’arrivée du soleil semblait féérique.
Secrètement, il avait espéré que la retraite monastique l’aurait aussi ensoleillé afin de la chasser l’ombre de son cœur. Le résultat médiocre lui avait appris, encore une fois, que nul ne peut se substituer à la réalité de sa vie. Son passé résonnait encore à ses oreilles et il devait s’avouer que la tentation de la fuite l’avait assaillit. Avec douleur, il avait réfléchit à cette sourde douleur qui hantait son cœur, qui lui rendait si souvent les rapports avec les autres difficiles. Après vingt-cinq étés, il n’avait toujours pas la réponse à cette question sinon le choix résolu et libre de continuer fermement sur ce chemin. Sa sensibilité devait se transformer en roc, et ses doutes en décisions irréversibles.

Le sourire lui vint aux lèvres, le voilà encore parti dans une de ses activités favorites d’observation nombriliste. Les résolutions prises à la fin de retraite allaient contre ça, c’est pourquoi Equemont grimpa à nouveau en selle et mis sa monture au galop sur ce chemin emprunté tous les jours par les miliciens de la ville.

Le vent lui fouettait le visage, pour son plus grand bonheur. D’un coup d’éperon, il aiguillonna la jument alezane vers sa propriété, le Haras du Salar. Les portes de la cité venaient d’ouvrir, et le maquignon salua à voix basse les deux gardes, éreintés par une nuit d’astreinte. La demeure principale du blond n’était plus loin. Il mit son cheval au pas et passa le portique orné d’une licorne. C’était son œuvre depuis son retour de Terre Sainte.

La bâtisse s’élevait sur deux étages avec une large entrée. Cela avait finalement de la classe. Sautant de selle, il gravit les trois marches d’un trait. Et d’un coup d’œil dans les pièces du bas, il constata que sa femme devait être encore à l’étage. Grimpant l’escalier avec vigueur, il reprit son souffle avant de rentrer dans la chambre.
Elle était encore en train de dormir dans le grand lit. Attendri, Equemont alla poser sa main sur la rondeur de la jeune fille. La délivrance n’était plus très loin, c’était certain. Il serait père. L’émotion le gagna, mais il ne voulait pas empêcher le repos de la parturiente. Quittant la chambre, il laissa son épée non loin de son lit, afin qu’à son réveil, elle comprenne son retour.

Sortant de la maison, il remonta à cheval pour inspecter ses terres. A peu près à deux cents pieds de la demeure de maître, une petite bicoque se dressait. Les volets fermés montraient que leur locataire n’était pas encore rentré en ville. Equemont avait eut grande joie à laisser cette petite dépendance à son frère cadet Aloan. Celui-ci, encore sur la route devait les retrouver, ici-même à Nevers.

Le chemin qui liait les deux bâtiments s’enfonçait dans un bosquet. Juste à sa sortie s’étendaient sur la gauche de grands champs encerclés de barrières. A droite, le propriétaire avait fait bâtir des stalles et quelques logements pour les garçons d’écurie. Tout cela était presque vide. En effet, voulant vendre le haras, il s’était détaché de l’immense majorité de ses bêtes et aussi ses employés. Aujourd’hui cette décision était moins ferme, et finalement il ne savait pas très que seraient ses prochaines semaines avec l’enfant. Il devrait bien se poser.

Mérida était la jument de son frère. Blessée suite à une agression de malandrins, Aloan avait préféré la laisser à Nevers. Aussi elle était une des rares bêtes à rester sur place. S’approchant de son écurie, il l’entendit hennir, elle avait reconnu le maître des lieux. Avec douceur, il passe ses doigts sur l’encolure de la jument pour descendre vers la zone sensible, la jambe postérieure droite. Le muscle semblait encore noué. Il faudrait lui appliquer tous les jours une de ces pommades dont le secret lui avait été livré en Orient. L’endroit était propre et les chevaux en forme.
Avant de partir en retraite, le maquignon avait demandé à deux jeunes femmes de s’occuper du haras, l’Italienne Guiliaa et la tavernière Arkadadi. L’évidence montrait qu’elles étaient compétentes. Du regard, il appuya sa réflexion, elles méritaient une récompense. Et c’est ainsi qu’il passa une partie de la matinée jusqu'à sa découverte du mot laissé par la jeune Italienne. Surpris de son prompt départ, il se mit à la recherche de sa grande amie afin d'avoir quelques explications.

Heureusement, il ne lui fallut que peu de temps pour la trouver au labeur près d'une bête.


Arka ! Qu'est-ce donc que ceci ? Il tenait du bout des doigts le billet de Guiliaa. Pourquoi ce départ ?
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Arkdadi
Citation:
Arka ! Qu'est-ce donc que ceci ? Il tenait du bout des doigts le billet de Guiliaa. Pourquoi ce départ ?


Arka tourna la tête vers la voix de son ami.

Haaaa, bien le bonjour vous avez fait bonne route?

Elle regarde le billet , puis Equemont.

Ben...oui en fait , elle part ce soir avec son ami, pour deux semaines. Mais ne vous inquiétez pas je reste moi, je viendrai m'occuper des chevaux, sauf si bien sûr ça vous pose un problème.
Equemont
[Ecuries du Haras, fin de matinée]

Ainsi donc, tout le monde s'enfuyait de ce haras, comme si il prenait l'eau. Equemont ne put cacher une lueur de déception apprenant cette nouvelle de la bouche d'Arka. Fixant à nouveau son regard sur la rousse, il la gratifia d'un sourire peiné.

Hum très bien, très bien. Elle va nous revenir tout de même. J'aimais bien sa manière de parler aux chevaux.

Puis élargissant son sourire, il continua à lui parler.

Merci pour votre engagement ici au haras. Je suis content que ça vous plaise. Malheureusement je vous sais occupée, je vous aurais bien proposé plus de responsabilités ici. Dans le cas ou je reprenne les affaires bien sûr. Il appuya son propos d'un geste évocateur.

Puis d'un haussement d'épaules, il se dirigea vers Mérida pour lui appliquer sa pommade. Se retournant vers Arka, il lui lança :

Vous m'aidez ? Venez tenir sa jambe en position verticale, je vais lui mettre une attelle pour la nuit, nous la retirerons demain.

Une fois le travail terminé, il mit entre les mains d'Arka la pommade pour la jument.

Allez-y, appliquez-la et surtout n'oubliez pas de le faire tous les jours.
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Arkdadi
Arka s'exécuta et se mit sur le côté pour prendre la jambe de la jument , se cala contre elle pour garder l'équilibre tout en lui parlant pour pouvoir la soigner.

"Làààà ma belle.....c'est bien on va te soigner ça et bientôt on en parle plus de cette vilaine blessure ! Regardez Equemont, elle va déjà beaucoup mieux, voyez vous même."

Elle était calme et tenait la jambe fermement puis délicatement elle enduisait généreusement de pommade sur la jambe blessée.
La guérison approchait, les soins prodigués avaient déjà fait de l'effet.

Equemont
Regardez Equemont, elle va déjà beaucoup mieux, voyez vous même.

La joie de la rousse l'amusa et le réjouit. Elle aimait réellement soigner les chevaux et enfin, il trouva quelle serait la récompense pour son investissement.

Sourire.


Arka, venez avec moi à l'office, j'ai une surprise pour vous...

Laissant la Mérida dans sa stalle, il prit le chemin de la demeure de maître. Une personne l'y attendait de pied ferme, normal, c'est lui qui l'avait convoqué.




[Office du maquignon, quelques minutes plus tard]

Le vieux était là, sur ses guibolles tremblotantes, le regard bleu profond et déterminé.

Maître !

Un sourd aurait entendu l'émotion de sa voix. Equemont se remémora le billet qu'il lui avait envoyé alors qu'il était en voyage. Il était manifeste qu'il ne voulait pas que Salar vende le haras.

Au fond Equemont était d'accord avec lui. Mais c"était toujours plus complexe, enfin c'est ce qu'on disait...


Bien le bonjour mon vieil ami ! Comment vas-tu Gustau ?

Le vieillard étouffa une réponse dans un sanglot. L'âge ne l'avait pas blindé contre la vie.

Gustau, je te présente Dame Arkdadi. Elle vient travailler régulièrement ici.

D'un geste cordial, il invita la jeune dame à avancer.

Je souhaite que tu lui apprennes à élever le nouveau poulain de Mérida. Vous travaillez ensemble.

Se retournant vers Arka

C'est un cadeau que je vous fais. Vous pourrez prendre soin de ce poulain avant le retour de mon frère. Il n'a pas encore de nom. C'est lui qui le choisira. Gustau, qui fut serviteur de mon père vous enseignera les bases de l'élevage.
Ça vous plait ?


Sourire, encore.
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