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Quand la GFA ouvre ses portes et défile pour vous...

Temperance
Venir à un défilé, c'est très enthousiasmant.
Mais faire le mur pour venir à un défilé, c'est grisant au-delà de tout ce que les mots peuvent décrire.
Tempérance était destinée ce jour-là, le vingtième de mars, veille du printemps, à un repas en grande pompe au château de Nevers, conviée par son cousin, le Prince de Castelmaure-Frayner, qui rassemblait tous ceux qui lui étaient apparentés à Nevers.
Le sort avait voulu que sa mère, et son nouveau promis, n'étaient pas à l'Aragne ces temps, en sorte que Tempérance devait voyager seule. Bien sûr, elle ne s'attendait pas à faire à Charlemagne l'affront de son absence : mais quand l'invitation de la Guilde lui était parvenue, en tant que cliente mécène des Doigts d'Or, elle avait hésité fort, puis ourdi un plan : elle grimerait une fille de l'Aragne en elle-même, et l'enverrait à sa place au dîner. Après tout, la famille, elle la connaissait si peu, ayant peu cherché à les connaître pendant tant d'années. Elle espérait que sa mère comprendrait ses raisons, et couvrirait le stratagème. Quant aux autres qui pourraient la connaître... Mais qui serait là qui pourrait la connaître ?

Non, vraiment, se sauver de ce dîner barbant, faire le mur pour glisser jusqu'à Paris, au lieu de s'arrêter à mi-chemin, c'était son plaisir le plus fou, le plus enfantin, le plus délicieux.

C'est donc avec un radieux sourire aux lèvres qu'elle investit les lieux, dans sa cotte brodée et bordée d'argent, digne représentante de la mesnie d'Amilly, dont elle était, somme toute, la seule survivante.
Sans scrupules, elle alla s'asseoir aux premiers rangs.

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Nikolai_jagellon
Le Jagellon avait reçut une invitation afin de se rendre à un nouveau défilé. Cette fois-ci il n'en serait pas acteur mais se trouverait simplement spectateur. De plus, il ne s'agissait pas uniquement des Doigts d'Or mais de trois ateliers, dont celui-ci bien entendu. Impatient, il avait pressé son cocher sur la route menant à l’événement. De plus, il savait qu'il y trouverait très certainement Sofja, Elizabelle et Amadeus. Bien que cette dernière se trouvait ne plus donner de nouvelles...

Enfin arrivé, Nikolaï se présenta à l'entrée pour accéder à la grande salle de l'événement, habillé d'une tenue plutot luxueuse pour l'occasion. Il reconnu alors Victory et c'est enjoué qu'il lui adressa la parole.


Bien le bonjour ! J'ose espérer que vous vous portez au mieux. Et j'espère pouvoir contempler de nombreuses tenues masculines... Ce qui est plutôt rare je dois l'avouer...

Il jeta un petit regard dans la salle en observant les différentes personnes présentes avant d'ajouter.

Ma sœur semble ne pas être encore là... Étonnant non ? !
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Flore..
Une invitation, et pas n'importe laquelle puisqu'il s'agissait de celle du Manoir des Artistes ... lieu portant son nom à la perfection et qui lui avait confectionné, via Dame Annaïg, la merveille qu'elle portait le jour de son mariage. Et lieu où elle avait été très bien accueillie, même si elle était toute nouvelle cliente.

Elle avait complètement ébloui Gui ... la rendant ce jour important pour eux deux encore plus resplendissante à ses yeux ! Alors, il n'était point question de rater ce défilé qui serait sans nul doute magnifique !

Et après avoir sellé Greyfell ce matin là, elle prit le chemin du lieu où se déroulait la manifestation.

Après un sourire chaleureux à Bonne Mémé qui était là, elle se présenta avec un sourire chaleureux à une jeune femme rousse comme elle ...
. bonjour Dame je me nomme Flore et j'ai un carton d'invitation !
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Feodor
Dame Flore entend-il ... La jeune femme montre son carton d'invitation. Il s'avance à son tour tout en sortant le sien. Il n'était toujours pas à son aise avec ses mondanités mais la curiosité l'avait piqué et puis l'atelier avait beaucoup fait pour lui.
Le carton donné ... Il parcourt la pièce du regard. Tout le monde s'active. Des bruits derrière les rideaux, les invités arrivaient petit à petit. Bien ça allait commencé et Feodor va s'asseoir sur une chaise au fond de la salle. Par discrétion ? Non pas cette fois. Mais plutôt par courtoisie, ne voulant pas gêner les personnes qui se seraient mis derrière lui.
Ysabeau
Elle avait commandé un coche, car son ventre de femme enceinte lui interdisait de chevaucher.
Un coche aux sièges garnis de coussins, pour la préserver des cahots.
Il ne s'agissait pas d'arriver en retard au défilé de la guilde des fines aiguilles.
C'est qu' Ysabeau, comme toutes les femmes, aimait les jolies tenues et les robes élégantes.
Elle était cliente du Manoir des Artistes, et c'est là qu'on lui avait donné un carton d'invitation pour le défilé.
Le coche traversa le Berry, prit la route de la capitale, et s'arrêta devant l'hôtel de la Guilde.
Ysabeau descendit, avec un peu de difficulté... Norf de norf, le bébé commençait à peser... et montra son carton à la vieille dame qui accueillait les invités à l'entrée.


Bonjour je suis Ysabeau de Tabarka, j'ai reçu invitation pour le défilé...

Celle-ci prit le carton et l'invita à entrer.
La salle était déjà pleine de monde, peu de gens qu'elle connaissait... Mais certainement des personnes élégantes. Elle les salua, trouva un siège, et s'assit.

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baronne de Sury sur Léré
Aemilia
C'est un peu avant l'ouverture des grilles que son père l'avait jetée du carrosse aux armes des Amahir. Prétextant d'aller chercher un personnage très important un peu plus loin dans Paris. Aemilia n'avait pas cherché davantage, son père adoptif avait tant de secrets qu'elle ne comprenait pas, petite tête blonde oblige... S'agrippant aux barreaux de l'entrée, la blondinette attendait l'ouverture pour rejoindre l'équipe des couturiers officiant ce jour, mais surtout, l'équipe des mannequins. A croire que l'on aimait jouer à la poupée avec elle, elle était toujours réquisitionnée pour défiler depuis la création de la guilde... Bon, elle détestait qu'on la coiffe et qu'on la tripotte dans tous les sens, mais il fallait avouer qu'elle faisait tout pour faire plaisir aux grandes, qui la chouchoutaient comme leur petite soeur. Alors, ce moment de torture se transformerait en moment de jeu, où elle prendrait plaisir à faire quelques bêtises pour stresser un peu plus les couturières du manoir. Elle irait peut-être même jeter un oeil un peu partout. Découvrir les artistes des ateliers dont lui parlait tant Bonne Mémé, ça, ça attisait sa curiosité.

La grille s'ouvrait. Bonne Mémé, mais aussi une rousse qui l'aidait à accueillir les gens. Un coucou à l'aïeule, un court "b'jour" à la dame ne sachant pas trop quoi dire comme à son habitude, puis elle partit à la recherche des grandes copines. La seule apprentie - et fière de l'être - du manoir les collait constamment, et ça ne changerait pas. Elle savait que tout le monde serait là, y compris Suzan qui, tout juste revenue à l'atelier et n'ayant pas pu coudre de tenue à temps, serait là pour aider la fine équipe. Mais pour le moment, c'est Idril qu'Aemilia cherchait. Depuis le dernier défilé, elles avaient créé un lien particulier. Pour vous rappeler, chers lecteurs, en plein défilé, Aemilia avait eu une soudaine envie d'aller aux latrines. Ne connaissant pas les locaux, perdue dans tout ce remue-ménage, elle s'était cachée dans un coin... Idril, passant par là, avait vu la gamine, et s'était empressée de l'emmener aux latrines... Un peu trop tard. Depuis ce temps-là, la brunette était devenue l'idole de la blondinette, qui s'était occupée d'elle, un peu comme une maman ou une grande soeur qu'elle n'avait pas à l'époque. Et ça tombait bien car, de maman ou de grande soeur, elle n'en avait pas encore. Alors, collante comme pas deux, la gamine lui attribuait ce rôle un peu compliqué, la suivant comme un petit chien qui ne pouvait quitter son maistre.

Déjà, les courbes voluptueuses de la Lotharingienne ondulaient soyeusement dans la cour d'entrée des locaux de la guilde. Mini tête blonde plus si mini que ça déboula donc, oubliant toutes convenances apprises avec son précepteur, pour sauter sur sa grande copine. S'agrippant au jupon de l'artiste, le tirant pour montrer sa présence, souriant de toutes ses dents - enfin celles qui n'étaient pas tombées ou qui avaient repoussé - elle montra sa joie de la voir.



Idriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiil! T'es là! T'as vu, j'suis là aussi!


Pour sûr, on l'avait vue, ou du moins entendue... Pauvres tympans présents en ce jour...
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--Victory



[A l'entrée]




Elle était toujours souriant à chaque invité du défilé et les conduisait d'une main gracieuse à s'avançait vers la salle principale lorsqu'une jeune homme blonde pointa son nez.

Messire Jagellon quel plaisir de vous voir, vostre présence aux DO se fait discrète.

Elle se permis cette petite taquinerie car elle savait l'homme ouvert à cela.

Bienvenue au défilé de la Guilde des Fines Aiguilles. Et en effet vostre sœur n'est point arrivée mais elle ne serait tarder car normalement elle défile.
Allez donc vous installez, je vous préviendrai si je la vois.


Deux autres Dames arrivèrent par la suite.

Le bonjour Dame Flore et Dame Ysabeau et bienvenues au défilé. La salle est juste devant vous, prenez place sur les chaises à vos dispositions.





Xalta
Prête ou pas, il lui fallait s'y rendre, elle avait accepté avec plaisir et sans réfléchir la proposition d'Elisel: défiler pour elle. Voici une chose qui la changerait de son armure qu'elle portait quasiment sans discontinuité depuis quatre mois. Elle avait donc quitter la Bourgogne, direction Orléans pour préparer une malle avec des vêtements féminins et plus appropriés. Elle en avait aussi profité pour passer quelques heures précieuses avec son fils. Les larmes lui avaient brulé les yeux de le vois si changé, si grandi, mais elle n'avait pas laissé les eaux salées s'écouler. Il avait sept mois désormais, il souriait , riait, se tenait assis, commençait même à se déplacer seul sur le sol, non il ne marchait pas, il rampait, ou glissait sur ses fesses potelées. Des heures rares, précieuses, enfouies, conservées telles un trésor inestimable.

La robe fut trouvée, elle venait de l'atelier où oeuvrait Elisel. : Simple, raffinée, élégante

Arrivée sur place, elle se présenta aux deux femmes qui étaient à l'entrée: une très âgée et une plus jeune et rousse après les avoir salué.

Mes dames.

Je suis Exaltation Lablanche d'Abancourt, mannequin pour Elisel d'Andéol, pourriez vous m'indiquer où je dois me rendre pour les derniers essayages ?


Un sourire pour ponctuer avant de remercier la réponse venue.
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En cours...
Della
S'il y avait eu un temps de latence, un peu d'acédie même et beaucoup de chagrin entre les murs de Seignelay, depuis quelques jours déjà, tout cela était du domaine du souvenir !

La Renarde semblait avoir repris du poil de la bête,sa suite et elle faisaient à nouveau le grand écart entre un lieu et un autre.

Ayant récemment terminé son office de Maître d'Hôtel auprès de son Suzerain le Prince Charlemagne, devant se rendre très bientôt à l'anoblissement de sa chère cousine Davia, des joutes en Orléanais programmées pour la fin du mois, couvant encore de bien des mystères son dernier projet qui la verrait à nouveau prendre la route, malgré tout ça et bien, elle était là, ici-même, aujourd'hui, vous ne rêvez pas !

Elle n'est pas seule. Ses suivantes l'accompagnent, ainsi que son garde du corps très discret et même ses enfants ! Parce que oui, maintenant, elle ne les quitte plus, de peur que son époux en profite pour les lui ravir à nouveau !
Oui, depuis quelques mois, Della développe une tendance à penser que les gens autour d'elle lui veulent du mal, à l'exception prêt de ses deux ombres, Isandre et Clarinha. Il faut dire que la confiance qu'elle accordait facilement auparavant a été mise à rudes épreuves dernièrement et que depuis, elle regarde autrui avec méfiance et qu'elle ne se sépare jamais plus de son garde du corps qui lui, trouve grâce à ses yeux - sans doute parce que Kéridil ne l'aime pas.
Les enfants donc...L'aîné se tient à côté de sa mère, fièrement, tout heureux d'être près d'elle, les deux petits sont restés dans une auberge toute proche, sous la surveillance de leurs nourrices et eux aussi, de gardes du corps. Oui, quand même, elle n'allait pas traîner des enfançons même pas sevrés à un défilé...Elle est un peu dérangée parfois mais pas à ce point !

Il y a déjà du monde, du connu et du pas connu. La Duchesse de Chartres salue, sourit, incline la tête quand il le faut afin de souhaiter le bonjour à chaque personne rencontrée, enjoignant son fils de même.

La première tête connue est Idril de Sparte :


Baronne, le bonjour.
On ne s'étend pas, on ne s'est croisées que rarement après tout, presque vaguement.

Dotyy, ensuite, une amie de Davia si Della a bien tout compris, l'autre jour. N'était-elle pas des Blanches aussi ? Sourire :


Dame Dotyy, bonjour à vous ! Vous êtes en beauté.
Petit mot toujours bien reçu par les femmes, en général et on continue...

Feodor, enfin un homme ! Lui, on le connait parce qu'il est souvent autour d'Aemilia, sa belle-soeur.


Messire. C'est un plaisir de vous voir ici.
Oui, bon, on ne va pas non plus s'étendre, c'est pas comme si on était pote de taverne...D'ailleurs la voici, la belle-soeur qui court vers...Idril...Bon ben, ce sera pour plus tard...

Direction, les coulisses, sur ordre de Clarinha ! Chef, oui, chef !
Un regard sur Clément qui lui fait un énorme sourire, genre : "Mère, on rentre quand ?" et...voici que l'on tombe sur la Duchesse d'Orléans !


Votre Grâce, bonjour.
J'ai cru entendre que vous deviez vous rendre...derrière...
Sourire et...Je m'y rends aussi...Ca doit être par là. Et d'indiquer la direction que Clarinha lui faisait prendre. Comment se porte l'Orléans ? Oui, parce que quand même, l'Orléans, ça compte.
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Angel
Angel avait reçue ne une invitation pour le défilé, elle avait été ravie et ne voulait pas le manquer surtout qu'elle avait promis a sa cousine Idril qu'elle y serai, une promesse se doit d'êstre tenue, surtout quand on la fait a une Fiole.

Ce jour la elle enfila une belle robe et arriva tranquillement accompagnée de sa mini peste, et fit un sourire aux personne presente aussi bien connue qu'inconnue ,elle se presenta puis elle s'avança vers sa cousine.

Bonjour, Angel de la Fiole Ebréchée, enchantée

Elle fit un sourire a idril et lui murmura:

Tu vois je suis venue
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Sofja
La Limousine été au courant de ce défilé depuis un petit moment car Victory lui en avait parlé connaissant son plaisir à venir satisfaire ses petits yeux devant de belles tenues. Cela faisait partie des avantages d'être VIP et Mécène, on savait presque tous.

Lors de sa dernière venue pour une commande aux DO, elle avait eu le plaisir de rencontrer la couturière Morganeen qui recherchait désespérément une femme enceinte pour porter sa robe. Pour le coup, elle était servit avec Sofja.
A cinq mois, elle se sentait encore à l'aise à l'effort mesme si le début de sa grossesse lui avait provoqué une grande fatigue causée par des nausées. Mais il y avait un remède à tous mesme à ça. Ce n'était qu'un mauvais souvenir à ce jour.

C'est donc avec une toute fraiche tenue d'Irma adaptée à ses rondeurs qu'elle se présenta au défilé de la Guide des Fines Aiguilles. Elle ne se sentit point déboussoler avec la présence de Victory à l'accueil.


Ma chère Victory, comment allez vous ?
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Elina
Une lettre, une seule, suffit à rendre hystérique la d'Acoma-Kareen. Mais qu'elle lettre tout de même! Écrite de la main de THE Marraine, pour annoncer quoi? « Nous avons donc le plaisir de vous informer que vous serez l'une des égéries du prochain défilé qui débute ces prochains jours. » Hhhhiiiiiiiiii!!! Saut de joie, auto-applaudissement enjoué, la larmette à l'oeil, oui la tornade était dans un état de sur-excitation. État qui lui dura plusieurs jours, jusqu'à ce que son fessier soit posé dans la calèche aux milieux des autres égéries, et que là l'euphorie de la nouvelle redescende pour laisser place au stress. Bah oui attendait, bien qu'elle soit assez sure d'elle, paisible et naturelle de nature, défiler pour la première fois devant une assemblée sans paraitre ridicule n'est pas donné à tout le monde!

Fort heureusement, leur marraine était près d'eux, et ses conseils visaient à leur donner confiance et les détendre. Assise près d'elle également sa vieille amie la duduche blonde. Qui elle avait déjà défilé d'ailleurs! Elle se pencha donc sur son amie pour murmurer doucement:

J'ai peur Cassie!! Comment doit-on faire pour paraitre détendue, alors que à chacun de mes pas j'aurais peur de marcher sur ma robes, ou de m'étaler de tout mon long sur l'estrade!

Tiens en parlant de robe.. Qu'allaient-elles porter? Bon on savait déjà que ça allait être sublime, bah oui ça vient des DO, normal quoi! Cloé devait surement être dans la confidence, mais tout le long du trajet elle ne dit point mot sur la question. Qu'elle cachotière leurs marraine! Mais cela allait être une bonne surprise à n'en pas douter.

Paris Enfin!! Depuis combien de temps n'était-elle pas venue en même temps? Bien longtemps.. En même temps pour la fière Impériale qu'elle était c'était pas vraiment le lieux idéal à cette époque, mais pour l'heure elle s'en fichait royalement. La politique et la mode, était deux mondes séparé, qu'elle ne mélangerait jamais.
La Guilde des Fines Aiguille, la première moi qu'elle y mettait les pieds! Premières fois qu'elle se rendait également dans les coulisses du défilé. Et là l'excitation enfantine reprit! Arborant un large sourire niais sur son visage, ouvrant de grand yeux pour ne rien rater sur ce qui se passait autour d'elle. Elle avait l'air bête, mais assumait entièrement!

A son arrivée dans les coulisses elle vit plusieurs visage connut ou reconnut. Elle offrit un de ses éternels sourire chaleureux en guise de salut mais ne s'éloigna pas trop du cortèges, sachant que tu travail les attendant. Elle se permit tout de même de s'incliner devant Della. C'était un plaisir de revoir cette grande femme, qui l'avait beaucoup aider à Épinal. L'ancienne mairesse qu'elle était, était fière d'avoir eut de telle personne pour la défense de sa terre bien aimé.

Votre Grâce! Quel plaisir de vous revoir! Vous défilez donc, vous aussi aujourd'hui?

Très près de Della se trouvait Idril, et la tornade faillit perdre tout ses moyens. Elle connaissait la fiole depuis un bon moment, l'appréciait, mais là c'était différent. Elle était la cousin de Loguen! Moment de panique. Vous voyez ce moment de solitude lorsque vous rencontrer la famille de votre conjoint? Et bien là c'était le cas de la sombre. Elle n'avait pas revue la cousine de son futur fiancé depuis le début de leur jolie histoire. D'ailleurs elle ne savait même pas si celle-ci était au courant.. La seule pour le moment dans la confiance du côté du concernée était sa « moyenne grande soeur » comme il la nommé, Lara. Belle-soeur qu'elle appréciait déjà énormément. Bah oui la mode ça forge des liens!
Sourire timide, puis amical à la Fiole, pour la saluer.

Idril, comment allez vous? J'ai appris que votre fils est née, mes félicitations! Comment se porte t-il également?

Tout en discutant avec ses deux dames, la tornade restait très près de sa marraine, jetant de petit regard vers elle, pour être prête dès que celle-ci annoncerait le début dès habillage.
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Idril_de_sparte
Dotyy a écrit:


Bonjour jolies dames...


Je ne suis pas en retard j'espère ? Je suis venu en avance pour saluer des personnes qui doivent venir et après j'irais me changer... Anaïg est déjà la ?


SMAaaCckkk...

Et une rousse qui arrive.
A peine le temps de réagir - dans le genre rendre la bise en plus bruyante et surtout plus baveuse - un poids se fait sentir sur le jupon de la brunette.


Aemilia a écrit:
Idriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiil! T'es là! T'as vu, j'suis là aussi!


Bonjour Aemilia, tu m'as l'air bien énervée dit-donc.

Un regard vers la tignasse blonde... et Idril retient un petit cri en voyant le nid de pie sur la tête enfantine.

Et c'est donc avec une blondinette aux cheveux plus qu'en pagaille qu'Idril fût salué par la Duchesse de Chartres


Della a écrit:
Baronne, le bonjour.


B... Bonjour Votre Grace

Essayer de parler sérieusement et surtout de faire une petite révérence - simple génuflexion de quelques degrés - quand vous avez un koala accroché à votre jupon.

Mais très vite une autre tête blonde se fait voir.
Et la robe porté par celle-ci ne peut que faire sourire la brune

Angel a écrit:
Tu vois je suis venue


T'avez intérêt de venir toi tsss!
Et la robe de va à ravir, j'en suis heureuse.


Elina a écrit:
Idril, comment allez vous? J'ai appris que votre fils est née, mes félicitations! Comment se porte t-il également?


Oh, le bon jour Hellina.
Merci, mon fils se porte à merveilles.
Ma dame de confiance ne devrait tarder à venir avec lui d'ailleurs. Peut-être aurez-vous la chance de le croiser.


Salutations terminées, Idril s'attela à désincruster Aemilia de ses jupons - chose peut évidente - garda la main de la blondinette dans la sienne, et de l'autre attrapa le bras de Dotyy.

Allez, la Rousse Pulpeuse, montres l'exemple à la Mini-Blonde.

Et c'est encadré d'une rousse et d'une blondinette qu'Idril se dirigea vers un endroit précis de Hôtel de la GFA.

Allez hop, Dotyy tu passes la première, ensuite Aemilia.
Et on ne traine pas!


Et c'est tout sourire que la brunette désigna la porte des latrines à ses deux amies.
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ellesya
Comme lors de chaque séjour parisien, la Duchesse d'Amboise était descendue dans l'hostel familial, désormais propriété de sa soeur, la Comtesse de Turenne. Rue Saint Antoine, acquis lorsque sa mère était en poste à l'hérauderie, la demeure somnolait au long de l'année et vivait des heures intenses quelques semaines par an.
A nouveau, la tourangelle investit la place mais, cette fois, il n'y avait pas que ses gens mais également son fiancé et la fille de ce dernier avec leurs propres serviteurs. En chemin, elle leur avait faussé compagnie pour revoir Mercy, réminiscence macabre du meurtre de son père. Cela faisait partie de ses premiers souvenirs conscients. Elle approchait des 6 ans et Rassaln l'avait emmenée loin de sa maman, avec son frère et son cousin. Le séjour avait tourné court, dans un bain de sang sur un chemin d'Isle-de-France. Ensuite, c'était le retour dans le giron maternel puis la période la plus importante et heureuse de sa vie. 8 ans dans les pas de Kreuz.

Il rejoignit donc l'Hostel de la Louveterie tard en soirée, la veille du défilé. Un messager avait prévenu de leur arrivée quelques jours plus tôt aussi ne s'était-elle pas inquiétée de l'accueil et du service offert aux Amahir.
Après avoir laissé sa monture aux écuries, elle était montée 4 à 4 les marches pour rejoindre l'étage où se trouvait son fiancé pour se jeter dans ses bras, soucieuse de se laver de ses sombres souvenirs dans l'éclat aimant de son regard. Ce qui ne l'empêcha pas de lui demander si sa chambre lui convenait car c'était bien là qu'il dormirait et non dans celle de la jeune femme. C'était sa mesure de rétorsion décidée après qu'il lui eut annoncé que finalement il ne l'accompagnerait pas. Elle ne boudait plus mais elle s'en tint à sa décision, quelques soient les tentatives de son aimé pour la faire changer d'avis.
Aemilia devait déjà être couchée, aussi n'alla-t'elle pas l'ennuyer. Une longue journée attendait la petite fée demain. En passant devant l'huis, elle posa juste un baiser sur ses doigts et le posa sur le chêne de la chambre. Un jour peut-être trouverait-elle la manière de se rapprocher de la fillette.

Le lendemain, Ellesya eut juste le temps d'avaler un déjeuner frugal avec Aemilia et Lexhor qu'ils partaient déjà. Elle irait de son côté et avait donc encore quelques instants pour terminer de s'apprêter.

Espérant ne pas être trop en retard, elle se présenta à l'entrée. Elle n'était pas vraiment une cliente à proprement parler puisque les créations venant du manoir des artistes lui venaient de son fiancé, mais elle ne comptait pas se laisser offrir toutes les tenues qu'elle porterait. Puis elle avait à coeur d'être présente et, bien que loin d'être une fashionata, elle aimait les belles choses et elle ne doutait pas qu'elle en prendrait plein la vue.

Avisant une vieille dame et une rousse semblant accueillir les arrivants, elle vint à leur rencontre et les salua d'un sourire en montrant l'invitation émanant du Manoir.


Le bon jour à vous.
Je suis Ellesya de la Louveterie, venue admirer le talents des couturières de nos contrées.


Non loin, des salles grouillaient de vie et d'excitation, tirant un air intéressé à la tourangelle.
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Mamaion
Mamaion de Nanteuil avait reçu une invitation pour assister au défilé. Inutile de vous dire la joie qu'elle avait ressenti en décachetant celle-ci, un défilé! Son premier! Elle était heureuse et toute excitée. Elle avait passé plusieurs jours à choisir sa robe. Mais le Jour J elle était prête, sa robe était enfilée, ses cheveux relevés. Elle partit donc.

Arrivée à la Guilde des fines aiguilles elle présenta son invitation.


Bonjour, je suis Mamaion de Nanteuil, j'ai été invitée au défilé.

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