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Quand la GFA ouvre ses portes et défile pour vous...

Bonne.meme


Ah les aléas des défilés. Bonne Mémé avait appelé, mais le mannequin se faisait désirer. Un souci de coulisse, peut-être? L'aïeule comprit vite le pourquoi du comment. La défilante se présenta sur le podium, une belle robe à la dernière mode, mais surtout... une coiffure... incroyable. On ne pouvait remarquer que sa coupe printanière si originale.

Bonne Mémé en perdit ses mots quelques instants, subjuguée... Tout comme les coiffes à cornes ou les hennins de plus en plus hauts, elle n'oserait jamais porter cela avec son vieil âge, de peur qu'on ne la remarque trop.

Une fois la jeunette descendue, elle enchaîna donc avec la tenue suivante, sans quitter son sourire. Ah, une autre jeunette... Dieu sait quelle bêtise elle allait prévoir pour le défilé...


Bien bien. Nous accueillons à présent une encore plus jeune mannequin d'un jour, Aemilia d'Amahir, qui porte une création de Maistre Idril de la Fiole Ebréchée de Valfrey. Elle est vêtue d'une cotte à longs plis, de samit teinté de bleu guède, broché de motifs fleuris. Par dessus, une cotardie en satin à taille haute à empiècement rond, fendue sur le devant à la mode italienne, manches fines et surmanches ballon à crevées, à passementeries d'or.

Elle aurait bien ajouté, "et pour une fois, elle sera coiffée", mais elle se retint...
Aemilia
La gamine profitait juste de son petit coin tranquille, observant les grandes qui couraient dans tous les sens, les tissus virevoltant avant d'atterrir sur l'estrade. Mais, c'était sans compter la voix de sa dame pipi préférée, reconnaissable parmi toutes, qui l'appelait déjà. Et là, elle aurait voulu se faire toute petite... Qu'on l'oublie... pour terminer sa friandise calmement. Mais non.

Soupir de l'enfant. Regard qui se lève vers la brunette, l'oeil encore un peu humide de ce qu'on avait fait subir à sa tignasse, l'air de dire "je veux pu y aller". Mais... Idril arrivait toujours à la faire changer d'avis avant qu'elle n'ait dit non. Des madeleines. Quoi de mieux pour faire dé-bouder Aemilia, véritable ventre sur pattes. D'un seul coup, elle se leva et se mit au garde-à-vous devant sa maistre ès couture.


A vos ordres chef!

Mais avant de s'engouffrer derrière le paravent et de se faire tirailler une nouvelle fois dans tous les sens, elle fut rejointe par son papa, son mannequin. Car l'enfant n'en avait pas voulu d'autres en ce jour. Anniversaire de leur rencontre, tout s'était enchaîné après ce premier défilé de la GFA, jusqu'à l'adoption de la fillette. Alors, en ce jour, elle habillerait de nouveau son papa. Elle lui sauta dans les bras, heureuse de le revoir après des mois loin de lui. Il était de retour, au moins pour la journée.

Papaaaaaaaaaa! T'es venu!

Là y a Idril elle va m'habiller, mais on t'habille aussi!


Tout en disparaissant derrière le paravent pour se changer avec l'aide de la brunette, elle continuait de lui raconter ce qu'il devait enfiler et à lui dire que ohhhh il serait trop trop beau avec la couleur qu'elle avait trouvé. Bon c'était cher, mais elle savait qu'elle pouvait.

Une fois transformée, l'enfant attrapa son père et l'entraîna à son tour derrière le paravent pour le vêtir des vêtements et accessoires qu'elle avait cousu, toujours aussi lentement mais sûrement, pour le défilé. Il était beau, son héros.

A peine eut-elle terminé qu'elle entendit Bonne Mémé l'appeler. Ah, c'était son tour de défiler? Elle sautilla donc jusqu'à l'estrade, fit attention en montant les quelques marches, et avança, droite de peur de faire un faux pas et tomber dans le public, anti-naturelle comme une enfant de 11 ans quand on lui demande de marcher pas normalement, sans courir, sans sautiller ni rien. Mais, toujours avec son sourire empli de fierté d'être une petite acceptée dans un monde de grands. Elle avança jusqu'au bout de l'estrade, resta quelques secondes sur place, puis fit demi-tour, tout en fixant Bonne Mémé du regard, afin de se rassurer... Pas de bêtise? J'aurai droit à mes madeleines?





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Valeryane
    Elle était en retard comme à son habitude, ayant reçu l'invitation elle avait longuement réfléchit avant de prendre sa décision et une simple petite lettre lui avait donné du courage, bien entendu le passé sur ces longues affaires de coutures avait été tiré d'un trait. Aucune rancune ni mauvaise intention de sa part en venant ici bien au contraire, il faut aller de l'avant dit-on et sa plus grande qualité était de partager ce qu'elle avait.

    Tout de même c'est avec une boule au ventre et de l'appréhension qu'elle entra enfin, au défilé discrètement espérant que personne ne verrait son entrée, cela avait commencé depuis un moment et elle rageait de son retard. Hop ! elle trouva une petite place libre au fond et observa la suite il y avait des têtes qu'elle connaissait, d'autre moins.

    Que du monde elle n'avait jamais assisté à un défilé enfin si mais privé dans son petit atelier ou tout petit rikiki car elle n'aurait jamais eu le temps de faire plus grand.

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Ysabeau
Elle ne disait rien. Elle était ébaubie, éblouie, transportée, par la grâce des jeunes femmes qui défilaient, par l'élégance de leurs tenues.
Voilà qui lui donnait fort envie de commander de nouvelles robes.
La vieille dame les présentait avec force détails, les tissus bruissaient sur le sol, les broderies étincelaient.
Ysabeau les buvait des yeux.
Elle applaudit bien fort


Bravo ! bravo ! quel talent, quelles beautés ! bravooooo !


elle se promit de demander, à la fin du défilé, où s'adresser, dans quels ateliers, pour commander d'aussi jolies tenues. Mais la fête n'état pas finie, les invités se pressaient dans la salle, elle avait dû se pousser un peu pour faire place... Quel succès !
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baronne de Sury sur Léré
Bonne.meme


Bonne Mémé était très concentrée sur ses vélins et sur les mannequins qui défilaient, sans oublier de jeter un oeil dans les coulisses pour vérifier que ces demoiselles et ces messieurs étaient prêts. Heureusement pour elle, elle ne pouvait donc pas voir tout ce qu'il se passait dans la salle. Elle continua donc, tranquillement, comme si de rien n'était, sa présentation.

Place à présent à Jenifael Vitalis Da Roma qui porte le modèle "Rosée printanière" d'une autre apprentie très prometteuse, Imagine Brasco. Il s'agit d'une robe robe en soie, brodée de pierres précieuses, dont les manches sont bordées de dentelles. Je vous laisse le plaisir de découvrir cette nouvelle création.

Et de se retourner, comme le public, pour admirer elle aussi la tenue.
Tamarra_d_alaric
ravi, je dévorais des yeux chaque mannequin qui passait ... puis enfin !
une robe bleu ! toute belle en plus ! puis une autre, ha que du bonheur !
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Idril_de_sparte
Idril avait réussit, la mini-blonde ne boudait plus.
Elle put donc s'atteler à l'habillage, entre deux câlin/explications/papotage d'Aemilia envers son père.

La rondouillarde brunette n'avait fait qu'apercevoir ledit père. Un des rares hommes à venir en personne passer commande au Manoir, forcément qu'elle avait été le guetter à un coin de couloir pour mettre un visage sur celui qui avait donner un nom à son mannequin du jour.

Une fois prête, Aemilia partit défiler.
Attrapant un sachet en toile, Idril alla se poster juste derrière le rideau pour surveiller la blondinette qui déjà revenait vers les coulisses.

Rideaux passés, c'est avec un sourire que la brunette tendit le sachet à son mannequin.


Tu crois qu'on va en avoir assez ?
Où je doit prendre l'autre sachet qui est dans mes affaires ?


Il n'y avait pas qu'Aemilia qui était gourmande. Et ce que la petite ne savait pas encore c'est que certaines madeleines étaient fourrées de petits morceaux de pommes.
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Irma.
La galère, elles étaient en retard ! Faute a cette tresse et à ce maudit valet ! Il avait fallut se pressée et c'est angoissée que la jeune maistre avait regarder a travers les rideaux défilée son mannequin.
Celle ci eut vite fait de la rassurée. Aucun de ses faux seins ne bougea, la tête fut bien droite et la perruque ne daigna pas chuter ! Un soulagement tel pour l'helvète qu'elle en aurait presque pleurée.
Et quand la gosse revient demandé si elle était fière. La blonde ne sut qu'hocher la tête avec ferveur ! C'était ça aussi de lui donner tant d'émotion. Elle ne défilait habituellement qu'avec la Naine de Pettinengo, ou avec Attia. Mais il fallait faire défiler les nouvelles égéries. leur maitre le pied à l'étrier !


oh oui, vous avez été parfaite ! Venez donc vous admirez Damoiselle, je vous assure vous êtes sublime !

Elle souriait et entrainait la brunette vers un paravent autant pour qu'elle s'admire que pour lui défaire cette horrible perruque qui devait bien la faire souffrir.

Je vous ajusterais cette robe si, si vous le désirez. Sinon vous pourrez toujours la porter d'ici une ou deux années. Souhaitez vous conserver la perruque ?

Oui quand vous ne serez plus aussi désespérément plate !
Jenifaelr
La belle da Roma,une fois coiffé - y'avait pas grand chose à faire,ses cheveux étaient une aubaine - entendit son nom et prénom - amputer du Lisbeth m'enfin ... - elle entra sur scène,magnfiquement bien sûr,quoique vêtu de rose et vert,la robe était sublime,la couturière avait fait un travail admirable !



Alors qu'elle était sur scène,elle observa la foule,après avoir offert son sublime sourire et là,se fût un autre sourire qui éclos sur ses lèvres,très fière d'elle,ses yeux se posèrent sur la Vicomtesse,Jehanne Elissa,SA Vicomtesse.Puis après avoir pris quelques seconde la pose,laissant aux future clientes,ou clientes actuel détailler sa robe,largement mise en valeur avec ses belles hanches,sa taille marqué,sa poitrine importante et ses épaules fine elle fit demi-tour,direction les coulisses,pour laisser place à la suivante.

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Si tu te fais chier,on peut RP
Les MPs,c'est la vie ! ( et j'adore en recevoir )
Jehanne_elissa
Yolanda s'était évaporée comme la brume dès que paraît le soleil. Jehanne était restée là, à côté d'un siège vide, ayant, de l'autre, la sœur de Miguaël, la Duchesse d'Amboise, qui un jour serait sa sœur, si le Très Haut le voulait.
Le spectacle continua et Jehanne apprécia plus ou moins, selon l'humeur, chacune des tenues qui passait. Il y en avait pour tous les goûts, c'était au moins une chose certaine !

Elle n'avait, pourtant, pas vraiment anticipé que monterait, là, sur la scène, son intendante. En fait, elle aurait dû s'en douter : elle ne l'avait pas vue dans la foule, alors que c'était elle qui l'avait prévenue de la tenue du défilé... Et voilà qu'elle surgissait, merveilleuse dans ces teintes printanières. C'en était à désirer une chevelure d'or, comme elle !
Jehanne rendit son sourire à Jenifael et se pencha vers Ellesya pour dire :


- « C'est là l'intendante de mes terres languedociennes... N'est-ce pas exquis, ce qu'elle porte ? »
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Bonne.meme


Quelles beautés, toutes ces tenues. Si elle avait été plus jeune et plus riche, Bonne Mémé s'en serait payé quelques unes. Elle rêvassait doucement sur sa canne, quand, en tournant ses vélins, elle se rendit compte du prochain passage, spécial... Un homme! Oui! Qui avait eu le courage de défiler parmi ces dames. Bon. Il n'avait pas vraiment eu le choix... Elle le présenta donc à son tour.

Pour le plaisir de ces dames, voici un mannequin masculin. Sa Seigneurie Lexhor d'Amahir vous présente la création de la jeune apprentie Aemilia d'Amahir. Il porte une houppelande arrivant à mi-cuisse, en velours ciselé teinté à la pourpre de Tyr, à col haut angulaire et manches entonnoirs à déchiquetures et passementeries de soie teintées en noir de fumée, doublée de soie de la même teinte. Assorties aux passementeries, des chausses plaines de brunette teintées en noir d'aulne. Comme chaussures, des pigasses normandes de cuir corroyé. Et pour accessoiriser le tout, une ceinture de cuir large brochée d'or, un boudin du même velours que la houppelande et chaperon de satin à fines déchiquetures teinté noir de fumée en guise de couvre-chef, et un pectoral d'or surmonté de l'initiale de son porteur, dessiné par l'apprentie, créé par l'orfèvre.
Lexhor
Habillé de la tête au pied par sa famille, il avait été docile et s'était laissé faire. C'était important pour elle et il voulait lui faire plaisir. Il n'avait pas autant de temps qu'il le voulait à lui accorder, aussi il se pliait volontiers à l'exercice. Ce défilé était très important pour la fillette, la couture représentait toute sa vie, ou presque.
Lorsqu'il fut habillé et qu'on l'appela à son tour, il fut presque poussé sur l'estrade par Aemilia. Il était habillé, il était là, il n'allait pas s'envoler. Mais la blondinette devait être pressée de montrer son travail.
Aussi, le Grand Maître de France s'avança, discipliné et appliqué, marchant d'un pas calme et assuré, dévoilant ainsi le travail de sa fille adoptive dont il était si fier. Il était toujours impressionné lorsqu'il découvrait les créations de sa petite protégée. Il prenait peu à peu goût aux belles toilettes et aimait aussi en offrir.

Arrivé au bout de l'estrade, il s'arrêta un instant avant de faire demi-tour, d'un pas toujours aussi tranquille. Il n'avait pas d'angevins aux trousses et rien ne le pressait donc. Il finit par disparaître comme il était entré.



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Imagine
[Coté coulisses , espace "Les doigts d'Or"]

Elle revient de son excursion dans la grande salle des invités et rejoint les coulisses. Traversant la pièce pour regagner le coin des DO, elle croise les mannequins qui ont défilé et qui maintenant plus décontractés racontent leur traversée sur la piste aux étoiles. Elle en profite pour détailler les tenues qu'elle a ratées tant elle a rêvassé pendant le défilé. Les autres maisons de couture détenaient aussi quelques bijoux, y compris les apprentis. C'est d'ailleurs sur les robes de ces dernières que son regard s'arrête. Elles se différenciaient des Maitres couturiers et promettaient de beaux jours encore à la haute couture.

Grand-mémé annonça enfin son tour. Un dernier sourire à Jenifael avant qu'elle ne monte sur l'estrade et elle la regarde toute excitée , à travers les rideaux, accaparer l'espace et l'attention des invités. Jenifael semble assez à l'aise et virevolte avec aisance et grâce.

C'est en observant les invités , histoire de tester leur réaction devant la robe qui défilait, qu'un visage attire encore son attention. Son altesse Arzur de Montfort, prince de Bretagne, a fait le déplacement. Elle en fut ravie. Quel plaisir de voir des bretons dans la salle, surtout lorsque l'on est soit même loin de chez soi, cela réchauffe le coeur. Ceci dit , il y a une autre raison. Il a été le premier et le seul encore à ce jour à lui avoir fait confiance en lui demandant de lui créer personnellement des tenues. C'est plus qu'un honneur. Et pour cela elle lui en sera reconnaissante à vie. Elle a aussi cousu pour le prince Charlemagne Henri Levan Von Frayner Castelmaure mais lui, ne l'avait pas choisi, c'est elle qui s'est proposé, comme elle le fait pour tous les clients pour lesquels elle a pu travaillé ici. C'est simple, quand on lui demande de faire une tenue, vous pouvez être sur qu'il s'agit d'un client Breton. Il faut croire qu'on la considère plus comme une étrangère que comme une couturière dans cette partie du monde. Cela la blessait au début, maintenant elle s'est fait une raison. Elle n'est pas non plus toute blanche la Gin, elle a aussi des à priori sur les étrangers et qui se confirment assez bien . Aussi, elle passe en priorité les bretons et couds pour qui elle veut. Oui, à la tête du client. Elle n'aime pas qu'on lui fasse des courbettes mais elle n'aime pas plus qu'on la dédaigne et elle le rend bien.

Jenifael revient dans le scoulisses et aprés l'avoir remercier pour sa prestation, elle s'en retourne épiér le mannequin suivant. C'est un homme. Elle a failli présenté une tenue pour homme puis s'est ravisée ne se sentant pas tout à fait prête encore. L'homme entre en scène, il est habillé par une apprentie et .. elle en reste bouche bée

- Oh ! magnifique !

Si elle avait été dans la grande salle des clients, elle serait debout en train d'applaudir. Même si l'apprentie n'est pas de la même maison de couture, elle sait reconnaitre et s'incliner devant le talent.

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Cira
Dès qu'elle entendit le nom d'Imagine, la jeune fille se concentra totalement, les yeux rivés sur la scène. Il n'était pas question qu'un sir passe devant elle et lui cache la vue car elle était capable de meurtre.
Sa tante faisait présenter une de ses tenues alors elle ne voulait pas en perdre une miette.

Un beau sourire se dessina sur ses lèvres quand elle vit la robe. Elle était magnifique. D'ailleurs, en toute objectivité, c'était la plus belle robe qu'elle ai vu depuis le début du défilé.

Le jeune fille applaudit fortement puis se recala contre le mur quand le mannequin disparu.

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Elendra
Tout s'est bien passé!

Yolanda a pas rappliqué!

La couturière est contente!

Et Buurf il a droit à son gâteau, commandé par un tirement de langue tout à l'heure! Mais vous comprenez qu'on m'interdisait de bouger, de parler même, alors me pencher et sortir une madeleine au citron de mon sac c'était tout simplement impensable! Mais je n'oublie pas! Je n'oublie jamais et pour son si bon travail, je lui lance son gâteau avant de suivre la couturière, sourire aux lèvres, jusqu'au paravent.

Une robe bleue, des seins! Des fleurs, rouges. Et des cheveux si foncé. Aussi foncé que…


Je… ressemble à ma mère…

Et c'est fort troublant. Si troublant que je détourne le regard, collant un sourire sur mon visage et chassant cette image de ma tête. Juste au moment où la couturière me propose de m'ajuster la robe.

Parce que je peux la garder?! Que je demande tout étonnée! Et moi qui croyais que je devrais la porter pour qu'elle soit mieux vendue aux enchères plus tard! Voilà qui est heureux comme dénouement! Mais reste des détails à régler! On l'ajuste pour maintenant? On la garde pour dans 1 an ou deux? Ce qui signifie qu'on garde la robe un an ou deux et après, elle sera trop petite… Et la perruque?!

Pas facile!


Eh bien… Je peux garder les faux-seins? Comme ça je pourrai porter la robe maintenant et dans un an ou deux…

Ben quoi? Ça m'allait plutôt bien! Non?

Et la perruque… Je… préfère pas trop ressembler à ma mère finalement…

Et c'est bien la première fois que je dis quelque chose comme ça! Mais le choc est encore un peu trop présent. Et puis, j'ose pas imaginer ce que ce serait que de retourner voir l'artiste pour lui dire tout bonnement : « Je me promenais dans les bois… et puis…. une tresse est tombée! Pouvez-vous faire quelque chose? »

Je la laisse donc défaire la perruque, assise tranquillement, sans bouger! Sans parler. Sauf pour demander peut-être.


Et votre nom à vous, c'est comment?
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