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Quand la GFA ouvre ses portes et défile pour vous...

Jehanne_elissa
C'était donc l'Anjou et la guerre... Son intuition, hélas, était la bonne. Elle ne répondit que :

- « Oh... »

Dans le brouhaha de l'espace s'emplissant, d'ailleurs, elle ne se sentait pas d'humeur à y aller de ses cris d'orfraie. Et puis, Yolanda elle-même semblait si peu s'en soucier ! Jehanne fut vite convaincue qu'il n'y avait pas à s'alarmer outre mesure. Pourtant, son regard revenait sans cesse à cet oeil blanc, à cet oeil mort, curiosité malsaine, ou juste qu'il lui fallait du temps pour s'y faire. Elles avancèrent, l'une guidant l'autre, ou l'autre guidant l'une, ou les deux se guidant. Elles allaient en direction d'Ellesya, mais était-ce volontaire ? Yolanda ne cessait de parler, bavarde comme toujours, bavarde comme jamais ! C'était elle, et borgne ou non, le temps ne l'avait pas changée.

Il vous faudra venir à Chateau-Gontier bientôt. J'y donne des petites festivités puisque mon fiancé va se baptiser, vous pourrez y revoir une amie. Es viva Joana, a subreviscut als flambas.*

Jehanne cligna des yeux et, interdite, sembla cesser tout mouvement. Mais l'inertie de leur couple et d'un Simon dans leur sillage, mais la résolution de Yolanda d'aller de l'avant l'empêcha de rester tout à fait pantelante.

Je suis sûre qu'elle vous manque autant que vous lui manquez. Venez à l'occasion !
Jehanne, c'est un plaisir de vous rencontrer icelieu.
Ooooh ! Ellesya ! Que vous êtes élégante !
Yolanda, voilà bien longtemps que je n'ai plus eu l'heur de vous revoir.

C'était à peu près ainsi que cela s'était passé. Dans le tourbillon de paroles qui floutait ses pensées, qui désordonnait toute chose, Jehanne se convainquit d'une chose : c'était, de toutes, la plus censée. Après tout, pourquoi croire avoir entendu qu'Eilinn était vivante, à Château-Gontier, depuis tout ce temps, sans lui donner de nouvelles, alors qu'elle dépérissait en deuil ? Pourquoi aller contre les certificats de déshérence pour décès, pourquoi aller contre les propos de leurs amis, pourquoi Yolanda elle-même n'aurait-elle pas eu la franchise de le dire, si... Voilà : trop d'obstacles, trop d'explications qui s'accumulaient. Le rasoir d'Occam était sans appel : s'il existait explication plus simple, alors il faudrait y souscrire. L'explication était toute trouvée : au sein de cette bruyante assemblée, elle avait mal entendu. Voilà. On ne lui gâcherait pas la journée par de morbides souvenirs.

Pourtant, ils étaient là... Au moment où elles s'assirent, elle força un sourire à Ellesya, qui était étrangère à toute cette cohue intérieure, et eut la force de lui dire :


-« Vous avez donc eu la même idée que moi ! »

Venir, voir quelle mode se faisait, prendre des idées, peut-être, en vue d'un prochain grand jour...

Grand jour... Du rouge, justement ! De cette couleur que l'on porte si souvent pour un grand jour ! Attia paradait sous leurs yeux, ouvrant le bal de ce défilé. Lorsqu'elle eut tourné devant elles dans sa robe perlée, qui n'avait, par ailleurs, pas grand chose d'ébouriffant, Yolanda y alla d'un nouveau commentaire... Non, d'une confidence.


Voulez-vous un secret ? L'huissier de mon atelier m'a chargée de l'aider à... *chuchotis chuchotis*
N'est-ce pas excitant et follement romantique ? Croyez-vous qu'elle acceptera ?


Jehanne haussa les épaules :

-« Je la connais fort peu, mais... Il ne perd rien à demander, de toute façon, non ? »

Encore un mariage... Un de plus !
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Jade.de.sparte
Intéressée au défilé ? Du tout.
Curieuse ? Aucunement.
Se déplacer ? Plutôt contrariant.
Faire une apparition officielle pendant le deuil impérial ? Bof, elle était habituée.
Aller en France ? Inopportun
Croiser les personnes se croyant au-dessus de tout juste par ce qu’elles savent coudre ? Espérons que celles-ci seraient en coulisses
Devoir supporter les airs condescendants ou de mépris des autres ? Qu’ils aillent au diable!

Elle était Régente d’un immense Empire et irait où elle voulait, quand elle voulait, parler à qui elle souhaitait. Une lourde escorte la mena au lieu du défilé, insensible à tout, elle avait travaillé pendant tout le trajet. Lorsqu’ils arrivèrent, les gardes se chargèrent d’examiner les lieux, de s’assurer qu’il n’y aurait aucun danger, aucun attentat envers celle qui gérait le Saint Empire. Satisfaits, ils se concertèrent pour enfin la laisser descendre du carrosse, formant une haie d’honneur de chaque côté pour empêcher que l’on s’approche d’elle.

La flamboyante ne l’était pas en ce jour, elle portait le deuil, celui de l’Empereur, elle avait désormais le droit de dévoiler ses cheveux, ce qu’elle fit, mais aucune parure n’ornait sa robe. Ne l’avait-elle d’ailleurs pas choisie juste pour narguer la couturière qui avait la prétention de lui réclamer. Les vaniteuses de ce genre ne méritaient même pas qu’elle porte leur création mais cette robe lui faisait à ce moment de la grossesse.

Les gardes l’escortèrent jusqu’à la salle où aurait lieu le défilé, dégageant tous ceux qui tardaient ou babillaient, l’installant à un endroit où ils pourraient surveiller les entrées, tant pis si certains ne voyaient rien.

Elle ne salua personne, ne regarda personne d’ailleurs. Non qu’elle était hautaine, elle avait toujours fait preuve de courtoisie, mais il l’horripilait d’être là. Même la missive de Cassandre qui la suppliait n’avait pas eu d’effet. La Régente se demandait si on oserait contester ses édits, si l’atelier maudit ferait fi de sa lettre. Jade aurait pu envoyer un quelque conque serviteur pour faire le travail, elle avait certes mieux à faire, mais elle voulait voir dans les yeux toutes celles pour qui les fanfreluches étaient devenues plus importante que leur patrie. Elle voulait voir le regard de celle qui l’avait trahie aussi sûrement que si elle avait glissé un poignard entre ses omoplates… la superbe rousse en connaissait le sentiment, n’avait-elle pas sur le corps huit cicatrices qui témoignaient qu’elle avait failli perdre la vie à deux reprises ?

La Régente de l’Empire n’était pas là pour les robes, non, les Doigts d’Or l’avaient profondément dégoûtée de ce milieu. Elle était là pour une toute autre raison. La colère, froide, glaciale, profonde. Le courroux impérial se ferait bientôt sentir.

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Annaig
Elle soupire l'Annaïg. Elle cherche des yeux Dotyy, Idril ou Aemilia, mais personne n'apparait dans son champs de vision. C'est peut être pas le bon défilé... Mince, elle aurait l'air de quoi si elle s'incrustait dans un défilé inconnu ? "Bonjour, c'est moi. Je m'appelle Annaïg, vous me connaissez pas, je vous connais pas, j'ai rien à faire ici mais c'est pas graaaave !" Elle pourrait même en profiter pour refourguer quelques cartes du Manoir. Ah crotte, on avait pas prévu les cartes.

Et puis un voix qui retentit au loin, c'est Idril, sa sauveuse, qui lui ramène Roussette. Elle lui en claquerait presque une bise tellement elle est contente de les voir. C'est la certitude qu'elle s'est pas trompée de rue, de défilé et qu'elle jouera pas l'incruste. Oui, parce sur le coup, qu'elle puisse se retrouver sans personne pour défiler avec sa robe, ça ne lui effleure même pas l'esprit.

Elle attrape Dotyy par le bras et l'entraine dans un coin. Là, elle l'aide à se déshabiller en la brassant peut être un peu... légèrement... à peine. Puis elle l'aide à se rhabiller en lui tournant autour pour tirer le tissu un peu par ci, par là, le réajuster de ce côté, lisser quelques plis.
Puis vint le tour de la séance de torture. Le temps fait défaut maintenant, et les gestes sont rapides, parfois un peu brusques. Elle tire les cheveux, glisse quelques épingles à quelques endroits hautement stratégiques, enroule quelques mèche autour de ses doigts pour reformer les boucles avant de se reculer pour admirer son travail.


Bon, on a pas le temps d'en faire plus, alors roule ta poule !

Et Dotyy est prête à défiler, avec la bénédiction d'Annaïg.
Imagine
[Coté Coulisses - Espace "Les doigts d'Or"]

Attia rassemble son petit monde et Imagine suit le mouvement, se faufilant à travers l'attroupement qui se formait devant Dieu. Au moment même où Attia demandait à ce qu'on lui confirme qu'il ne manquait personne, Imagine s'aperçut que Jenifael n'était toujours pas dans les parages. Allait-elle le signaler ? hum.. avec une attia un tantinet nerveuse ? non mais ça va, elle aimait bien prendre des risques dans la vie mais il y a des limites, elle n'est pas non plus suicidaire la bretonne. Aussi, elle se contenta de regarder les autres genre "tout le monde est là de mon coté et vous ? " . Si ça tourne au vinaigre plus tard, elle dira que ne maitrisant pas très bien la langue, elle n'avait pas du tout compris la question.

Elle n'aura fort heureusement pas à mentir plus longtemps, son regard est attiré par une chevelure d'un blond vénitien, qui derrière attia, se rappliquait . Ouf ! Il n'y avait pas de raison pour que Jenifael soit manquante puisqu'elle était arrivée avec les autres égéries mais c'est qu'il y avait un "timing" à respecter et le moindre retard risquait d'avoir des conséquences. Elle profite qu'Emmanuel entretient Attia pour aller rejoindre Jenifael.

- Il faudrait songer à s'habiller Jenafael ! Nous ne passons pas dans les premières mais il ne faut pas trop s'attarder sait-on jamais il suffit d'un imprévu pour nous mettre en retard. Notre paravent est celui-ci , juste à droite, je vous laisse vous déshabiller , vous m'appelez quand vous êtes prête à mettre la robe ? je vous aiderai .

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Ysabeau
Le défilé commençait !
Ysabeau, ravie, parce qu'elle adorait les jolies tenues, regarda avec admiration la jeune femme brune marcher lentement dans sa robe d'un rouge éclatant. Simple, raffinée, le tissu bruissant sur le sol, sans doute une soie un peu lourde... Elle applaudit


Bravo ! Bravoooo !


cependant que d'autres invités rejoignaient la salle, se hélaient, s'installaient... La Guilde avait de la ressources, car tout le monde pouvait s'asseoir. Un coup d'oeil à sa voisine, Zoyah, fort absorbée par la contemplation du défilé.
Cela faisait bien longtemps qu'Ysabeau n'avait passé commande. Voir ces belles tenues lui donnait une furieuse envie de nouveautés. Mais il lui faudrait sans doute attendre que le bébé soit là... Elle sourit, jetant un oeil sur son ventre proéminent...

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baronne de Sury sur Léré
Kylian.
Le jeune homme n'etait point habitué aux froufrous de ces dames,cependant et depuis ses fiancailles, il voulait couvrir celle qu'il aimait de robes plus belles les unes que les autres. Ayant recu un carton d 'invitation pour ce defilé, il s'y rendit donc mais seul afin de lui faire la surprise si un modèle lui plaisait. Presentant son carton d'invitation, il observa un peu la salle avant de pouvoir y entrer

Cependant a voir la troupe d'imperialiste en route, il lui semblat que la guerre serait rendus au lieu du defilé .. mais non c 'etait juste la petite imperatrice qui montrait la le dedain pour le peuple francais, mais qui plus est pour son propre peuple qui etait venu se battre et encore pour son ancien empereur qui venait de trepasser. l'on voyait bien la quel genre de personne elle etait. Une gamine venant faire son caprice, peut-etre au DO qui l'avait renvoyé du Mecenat.. ca serait drole a voir tiens.

Tournant son attention vers nettement plus intéressant, il prit place auprès des autres francais, et voici le defilé qui commence. Dejà une robe magnifique ou il verrait bien Marie. Un sourire legerement reveur et une petite annotation sur ses parchemins.

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Sernays
Ce n'était surement pas son genre à se rendre à ce genre d'évènements. Un mélange de luxe et de quelques nobles pour arroser le tout. Il n'était vraiment pas dans son élément. Son quotidien ? Les tavernes, la bière, du vin, du bon manger, et des torgnoles. Pas forcément modéré les torgnoles d'ailleurs, il était un guerrier, ce genre de personne pas vraiment subtile. Alors pensez donc, le voir en ce lieu ! En plus il était roux, et beaucoup trouvé que c'était une faute de goût naturel.

Mais cependant, il avait reçu son invitation, alors il était venu. Il n'avait pas vraiment envie de faire connaissance avec quiconque, et il y avait tout aussi bien des germains et que des français. Si on remontait très loin dans son arbre généalogique, il serait un peu des deux. Et même que son histoire était lié entre les deux terres. Nul doute, ce mélange ne lui laissait pas indifférent.

Mais trêves de souvenir sombre et de remords, place au spectacle. Il était accoudé contre un mur, en retrait par rapport à la foule. De toute façon, il la verrait bien.
Tamarra_d_alaric
une place vite ! j'en avais enfin trouvé une , pas trop loin, pres d'une dame blonde, j'y pris place légèrement nerveuse, juste a temps en faite ... le défilé commençait.

une robe rouge, de toute beauté, sur une femme plus belle encore, j'en étais émerveillée, tellement simple et pourtant si belle.

Citation:
Voyez, c'est Selena qu'a fait cette robe ! J'l'a vue y'a point longtemps aux Doigts d'Or, c'est que j'connaissais point avant... Elle a ben grand talent ! Ce qu'elle m'a cousu c'est-y encore plus beau que celle-là !


ma voisine blonde semblait s'y connaitre en tout cas, tout aussi ravie que je l'étais, elle admirait la robe en l’agrémentant d'un commentaire a mon intention semblait il, ça me fit sourire, moi qui etais venu seul, j'allais peut etre pas forcement le rester, les doigt d'or donc ...

-je ne connais pas, faut dire que je vais rarement dans les ateliers, a part celui ou je suis apprentie, et elle fait de belle de choses cette Selena ? j'adorerais voir la robe qu'elle vous a faite ...

souriant a la demoiselle, je me présentais comme etant Tamarra, apprentie a la ruche, et lui racontais comment j'avais trouvé l'annonce de ce défile qui avait fait brillé mes yeux comme une gosse, elle avait l'air gentille, et un spectacle est toujours mieux apprécié en bonne compagnie.
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Bonne.meme


Les réactions ne s'étaient pas fait attendre, l'on entendait entre chaque passage les chuchotis des personnes présentes dans le public et au-delà. Des personnes qui se retrouvaient, ou qui prévoyaient déjà de passer aux Doigts d'Or commander cette première tenue? L'après-défilé nous le dirait.

Bonne Mémé jeta un rapide coup d'oeil sur le côté des coulisses, car de là où elle était, elle voyait tout. Le mannequin suivant était prêt.

C'est alors qu'un brouhaha se fit entendre. Des gardes armés firent leur apparition, tandis que la régente impériale faisait son entrée. Poussant les gêneurs au passage, elle se fit installer où elle le désirait. Bonné Mémé la connaissait, pour l'avoir vue il y avait très longtemps de cela dans les locaux de l'atelier qu'elle gérait. Comme toute Bonne Mémé qui se respecte, et comme tous en temps de guerre, elle était au courant du rôle qu'elle tenait à présent. Elle était tout autant au courant de la situation entre la couronne de France et l'Empire, et se demandait quel conflit ou quel traité allait mêler ce simple défilé à la politique des royaumes. Bien que cela l'agaçait profondément, elle qui tentait coûte que coûte de redorer le blason de cette guilde qui avait tant souffert depuis ces débuts, elle n'en montra rien. La patience légendaire de Bonne Mémé aurait-elle un effet bénéfique sur l'ensemble des présents...

Elle attendit donc tranquillement que le chahut des enfants arrivés dans la salle s'arrête de lui-même, non sans que son regard empli de sagesse ne les fixe plus qu'il n'en fallait. C'est qu'elle avait l'habitude avec les gamins, rien ne servait de crier, un regard désapprobateur suffisait amplement. Puis, voyant que plus personne ne bronchait, elle reprit calmement.


Bien. Je crois que nous pouvons continuer.

Troquant sa tenue guerrière habituelle, Dotyy, maistre es peinture, vous présente un modèle tout droit sorti de l'esprit de maistre Annaïg.

Elle porte une robe à la mode italienne en cendal rouge carmin, à même une fine chemise de chainsil, à jupon évasé, galonné et brodé d'or à mi-mollet. Un corset à empiècement carré et des manches amovibles à aiguillettes assortis au jupon viennent compléter ce jupon mettant en valeur le galbe de ses hanches. Messires, attention à ne pas succomber à ses charmes. Une calotte assortie et portée à l'arrière de la tête ainsi qu'une parure dessinée par la couturière et réalisée par l'orfèvre de son atelier viennent accessoiriser le tout.


L'aïeule se tut afin de laisser le mannequin s'avancer sur la longue estrade, et profita de ce court instant pour vérifier d'un regard de part et d'autres de la salle qu'aucun esclandre ne venait à éclater dans le public.
Cira
Cira entra elle aussi mais bien plus discrètement. Elles étaient en retard, elles le savaient alors pas besoin de se faire remarquer plus que de raison.
La jeune fille donna l'invitation qu'elle avait reçu par Attia puis se tourna vers la Dame qui patientait derrière elle et chuchota.


Je vous trouve une place tout de suite ma Dame.

La damoiselle de compagnie fit quelques pas en avant et se hissa sur la pointe des pieds pour apercevoir une potentielle chaise vide. Son regard finit par en trouver une, pas centrée certes mais tant pis, elle n'avait pas mieux.
Elle fit demi tour et se pencha à nouveau vers sa Dame.


Il y a une place pour vous sur la droite. J'espère que vous arriverez à voir comme il faut. Le défilé à l'air d'avoir juste commencé, Cassandre ne doit pas encore être passée.

La jeune fille tourna la tête pour s'assurer qu'on ne piquait pas la place puis entraina la vivivicomtesse pour qu'elle prenne place.
Elle, elle se décala vers le mur et fit silence, bien droite, les yeux sur la scène.

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Angel..
Héé angel! Ta pouff ta vite remplacée hein elle va se fiancer il parait !

Rire moqueur de quelques compagnons alors que les yeux verts de l'ange blond se mirent à passer d'une couleur plus froide

Ne parle pas ainsi de mon Hellina ou tu n'auras plus de langue pour l'ouvrir !

Mais même si le silence était la l'ange blond ne pouvait s’empêcher d'avoir une pensée pour elle. Elle était ou, elle faisait quoi, et son gamin alors il allait avoir un nouveau père? JAMAIS !

Je fais une pause, avancez je vous rejoindrais

Heinn mais quand ?

Dans une semaine ...

Un coup de rêne pour changer de direction et il partit vers Paris ! Sauf que paris c'est loin, et qu'il arriva plusieurs jours après . Il savait qu'il la trouverait là, au défilé et qu'elle viendrait surement pour voir son amie : Cassandre.
Il se prépara et se débarbouilla le visage, espérant qu'elle viendrait avec son fils, avant de partir pour le lieu de défiler.
L'ange blond apprit peu de temps avant d'arriver en écoutant les commérages, que sa mie allait non pas être spectatrice mais égérie, il se mettrait donc au premier rang .
Il entra, le défilé avait déjà commencé, il avança et là, le drame, plus une place de libre en avant ...
En même temps ça lui apprendra à arriver en retard!
Il était bien décidé de rester à l'avant pour ne pas la rater, elle, la tornade de son coeur.

Il s'appuya donc contre le mur levant un instant ses yeux verts pour regarder la scène et le monde autour, il vit la mère de sa soeur, il espérait qu'elle ne l'avait pas vue ... Puis un nouveau regard sur la scène, en silence, discret, passant presque inaperçue, avec un seul objectif apercevoir sa tornade défiler.
Temperance
[Aux premiers rangs dans le public]

La blonde trouva en sa voisine du répondant, et cela ne pouvait qu'alimenter de plus belle son moulin à paroles :

Oh, beh je l'ai pas aujourd'hui, c'est une cotte d'Attia di Juli que je porte... Elle aussi a un ben grand talent, j'ai grand hâte de voir ce qu'elle présentera tantôt !

Et tandis que Bonne Mémé revenait sur l'estrade, s'apprêtant à annoncer la prochaine créatrice, la Dauphinoise continua :

Je connais point la Ruche, mais je connais point encore beaucoup d'ateliers... Mère en connaît mieux, je crois que le Manoir des Artistes a beaucoup cousu pour elle, ma j'y suis mie allée, encore. Où est-ce donc, la Ruche ?

Ses yeux étaient tout à fait tournés vers l'estrade. Elle ne voulait pas manquer une miette de ce qui y défilerait, et la renseignerait, peut-être, sur la hauteur des talents que le Manoir abritait.
Elle avait oublié de dire son nom à sa voisine ; typique de la tête en l'air qu'elle était, parlant beaucoup trop, oubliant la moitié au passage !

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Dotyy
Dotyy sortait à peine des latrines dans un état pitoyable qu'elle entendit Bonne Mémé lancer le défilé et elle n’était toujours pas prête. Pas le temps de dire ouf que Idril l'attrape fermement, lui arrachant une sacrée grimace au passage et un cri étouffé, et l'entraina vers les coulisses avec Aemilia de l'autre côté.

Une vraie course, un stress pas possible et un soulagement en voyant Annaïg. Idril hurlent à moitié des explications sur son état et la laissant à sa charge.


Pas le temps de dire quoique ce soit que Annaïg lui fait subir le même sort qu’Idril, attrapant un bras pour l'entrainer sans aucune pitié pour son dos derrière un paravent. Retenant autant des larmes que des cris de douleur la rousse sera les dents pendant tout le temps que dura le déshabilla et l'habillage. Le dernier ne fut pas de tout repos.

Puis elle se mit à tirer sur ses cheveux...

Ohhh vas-y doucement... mes cheveux.

Une fierté pour la rousse mais Annaïg faisant la fine oreille continue. Lissant, tirant, attachant avec des épingles et redonne un peu de volume a ses boucles et hop la voilà prête.


Citation:
Bon, on a pas le temps d'en faire plus, alors roule ta poule !


Euhhh tu as oublié le collier et la bague.

Prenant les devants, elle glisse la bague à son doigt et accroche le magnifique collier. Puis se regardant un instant dans un des miroirs installé pour l'occasion.

Ohhhhhh Annaïg, tu as fait un travail super... Ta robe est magnifique.

Pas le temps dans dire plus que Bonne Mémé fait l'annonce de la défilante et de la tenue et hop en scène.



Ne pas serrer les dents malgré la douleur, affiché un sourire radieux et se laisser allait. Elle commençait à avoir l'habitude. Avançant sur l'estrade, doucement, peut-être un peu trop, mais peut pas faire mieux. Restant bien droite mais le corps souple. Sa démarche naturelle. Sourire amusé quand Bonne mémé parle de ses charmes. Ne pas rire surtout.

Faire un demi-tour devant l'estrade, faire une pause et repartir en sens inverse, faisant de nouvelle pose pour bien montrer la tenue magnifique, différentes poses, mettant en valeur tel ou tel détails de la robe, puis repartir vers les coulisses pour enfin laisser libre court à sa douleur.

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Amaelle.
La rousse,c'était littéralement enfuit de Lignières. Le Berry,le F.I.E.R dont-elle était membre,elle voulait de nouvelles robes,Attia ne crée plus que pour la noblesse,la noblesse titré,pourtant les Ambroises étaient une bonne maison berrichon noble,m'enfin ... Au pire,elle était rousse,c'était la meilleure des qualités,non? Johanara était en Berry,alors elle lui à fauché une tenue,qu'il est agréable de faire la même taille que sa grande soeur,bon pas la même poitrine,si la Baronne avait une poitrine à couper le siffler de bien des femmes.Donc vêtu de bleu ! sisi ! un magnifique manteau bleu,fauché à la baronne.

Entrant,elle s'installa,l'Amaelle avait réussit à se débarrasser totalement de toute compagnie,dès la sortie des terres de Lignières,sa soeur ne voulait pas la voir sortir non-accompagné m'enfin,ça ... L'Amaelle s'en ficher un poil,il y avait Seleys,les frères,les cousins,les cousines,les enfants,la nouvelle famille,non vraiment Johanara Bérénice d'Ambroise.M-N avait largement assez à faire avec cette famille.A l'entrée elle avait présenter l'invitation des Doigts d'Or,combien cela faisait de temps,qu'elle ne c'était pas payer,une tenue? Ruiné soeur et cousin? Aller à un défiler? La fine rousse paraissait un peu triste de telle chose.

Elle sourit,ravis de voir les premières robes.Du rouge ! C'était du rouge,la mode cette année? Quoi qu'il en soit,les deux étaient belle,l'une par sa simplicités,la seconde par le tissu qui paraissaient si doux.

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Rosa
Elles n'arrivaient décidément pas en avance. Certains diraient que peu importe l'heure elles étaient toujours à l'heure. Rosa présenta son carton d'invitation à l'entrée. Cira lui avait dégoté un siège sur lequel la nouvelle Mécène s'assit aussi discrètement que possible après l'avoir remerciée d'un signe de tête.

Elle n'eut guère le temps de regarder autour d'elle, les personnes présentes, le défilé avait commencé et ses yeux étaient déjà rivés sur les jolies tenues présentées. Décidément ces couturières étaient bourrées de talent.

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