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[RP] Les rosiers de la Duchesse

Aurianne
Pas le temps d'attendre la réponse de son cher blondinet que l'arrogant prit la parole. Regard foudroyant de la Nanteuil envers ce dernier qui une fois de plus se la ramenait.

Une marque de fabrique ? Ce qui veut dire par là ? Veuillez vous expliquer un peu mieux seigneur de....deuhhhhh Champaigue !!!

Prunelles figées vers lui qui semblait bien indifférent puisqu'il continua en sortant une fiole qu'il tendit vers Aris.
La rage d'une soeur se fit plus rapide que la cordialité d'un frère et d'un élan elle arracha de la main du brun attrapant la fiole.


Hors de question d'accepter !!! Croyez vous vous faire pardonner en offrant ?!!!!

Le volcan était en éruption alors que c'est elle qui se faisait moquer, le Tridant offrait au frangin...histoire d'ho.. mmes...
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Aristode
Pas le temps!
C'est souvent comme cela avec les femmes, vous pensiez, vous choisissiez, vous pesiez vos mots, vous voulez et elle dans un éclat, elle vous explose à la figure .
Nous sommes des chiens, elles sont des chattes et si nous arrivons la plupart du temps à accorder nos pas, quelquefois, cela dérape et vos pauvres choses, vous vous accrochez, ramant contre vent et leurs marées qui vous écrasent contre le rocher de leur féminité .


La valeur d'un homme pour le jeune Nanteuil ; n'y voyait pas une généralité ; repose sur trois axes qu'il place en permanence dans le centre de ses priorités .
Le premier est la façon que l'ont ; si on né homme ; de parler avec lui et la manière dont vous placerais votre personne .
La seconde est le comportement, le port de tête et l'allure générale, elle montre souvent la force et les faiblesses que vous pourriez cacher .
La dernière enfin est la poignée de main, franche, non moite, virile et vous avez gagné la moitié de sa sympathie .


Imaginer, un homme, impie de lui, les épaules bassent, le cou plongeant vers le buste , les mains moites et la poigne mollasse ...une horreur à ses yeux , il en frémirait de dégoût, il ferait bonne figure mais sans plus .
Ce qu'il voyait, avait entendu et maintenant serrait, était en parfaite harmonie avec ce qu'il qualifiait d'homme .
Dans son esprit tourmenté résonnait , honneur, fierté, respect et si le temps lui en donnait la possibilité amitié .
Il était heureux de rencontrer et de saluer de telle personne sur les terres ancestrales , mais il ne pouvait en être autrement, non ?, ici on servait la royauté, pas de couillue et morte couille dans le quartier !
Il allait répondre, c'est à ce moment-là que, son précieux "' A '" filait telle une étoile
.

Il tourna la tête vers elle, ses azurs plus sombres qu'à son habitude, sa voix fut douce, peut être plus ferme, il aimait sa soeur au-delà des limites que l'ont
Considéré comme permis, il n'aimait pas ne l'avait jamais fait la clamer en présence de personnes qu'il ne connaissait pas assez .


Allons gracile "' A '" en mon coeur chancelant, croyez-vous que l'on jouterait avec vous en sachant que je ne suis point loin de vous ?
Vous vous emportez, oh souffle divin...clamer ce feu qui vous brûle...je vois ici un compliment...si votre fougue et votre vivacité sont une marque des Nanteuil alors mon amour de grand "' A '" le seigneur de Champaigue vous reconnaît comme tel...soyez en fière et gardez en vous ce feu si cher à mon coeur ...

Il lui sourit

Mais...venez donc à coté de moi et voyais de vos yeux qu'il n'a pas lieu de déclencher une tempête ....
Aurianne
Ses onyx dont jaillissaient des étincelles s'adoucirent à ses paroles.
Aris, son cher Aris, son opposé qui l'attirait bravant les interdits. Il savait par sa douceur et son calme amadouer sa grande soeur simplement par quelques paroles qui s'enchainaient harmonieusement.
La lune et le soleil, la brune et le blond, le ying et le yang...deux dualités qui se complétaient à merveille.
Elle s'approcha de lui déposant son regard plissé vers les deux hommes face à eux.
Lentement son bras se leva pour tendre à son frère la fiole et d'un ton qui commença suave pour finir amèrement


Prenez donc son petit souvenir mon frère.... mais vous le boirez sans moi !!!

Le volcan s'était mis en veille, pour combien de temps ?
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Tridant
Petit moment de retrait de la part du Seigneur de Champaigue, l'homme essayait tant bien que mal de raisonner sa sœur, son "A". On pouvais voir un énorme respect entre les deux Nanteuil, un amour propre et presque inégalable et inexplicable. Il pensait secrètement à sa sœur, Mary, avec qui, les rapports furent quelques fois, houleux. Le Tridant, s'en était toujours un peu voulu de ne pas avoir été là lorsque celle-ci en avait besoin. Il était le dernier des Birmouzant et il se devait d'y faire honneur...
Après ce petit temps d'absence, Tridant revient à lui même, les deux paires d'yeux pointé sur lui. Il croisa aisément ceux de la femme. Et il fit tout naturellement un sourire, afin de confirmer les dires de l'homme de maison du Dauphin.

Puis, un moment d'espoir, un brin de raisonnable dans ce moment de folie, le "A", redonnait son dû à son frère. En tant normale, il aurait exagéré un petit "Miracle!" mais, vu le caractère fort trempé de la Nanteuil, il s'abstiendra pour cette fois, pas le moment de tout cacher.

Heureux de vous voir raisonnable la chère "A" de Monsieur,

Agrémenté d'une petite révérence, autant l'avoir à ses côtés, quelque chose lui disait qu'il n'aurait pas terminé de la revoir. Il se serait même osé un baise-main, mais il en resta là, ce serait trop en si peu de temps.

Ce n'est pas grand chose, mais j'espère que vous saurez l’apprécier à sa juste valeur.

Se tournant en direction de sa Seigneurie, pas complètement visible, mais devinable grâce à la lueur de la lune, qui était au plus haut de sa forme.

Je n'ai sûrement pas autant de confort que dans la demeure du Dauphin, mais sachez que Champaigue vous est grand ouvert.

Pourquoi? Pourquoi s'était-il mis à dire cela? Ils en avaient sûrement que faire de Champaigue, et bien d'autres projets que d'aller s'y aventurer.
Il cessa de tourner le dos aux deux personnes, toujours le même sourire aux lèvres,

Enfin, si cela n'irrite pas trop la dame ici présente!

Lançant un petit regard de défis à celle-ci, un regard en rien provocateur, juste amusant, histoire de détendre l'atmosphère, et...il fallait l'avouer, il prenait de plus en plus de plaisir à la voir s'emporter légèrement.

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Aurianne
Aurianne savait qu'elle allait revenir au grand galop.
Ce Tridant ne pouvait pas en rester là et elle encore moins.
C'était quoi toutes ces petites manières ...non mais il faisait de la lèche ou quoi ?
" La chère A de Monsieur" avec la petite révérence qui accompagnait...

Un simple gant blanc au signe du Dauphin ...et voilà qu'il allait bientôt ramper à leur pieds...humm oui pourquoi pas ? Mais n'exagérons point..il était seigneur tout de même !!!

Il saura l'apprécier..peut être ...

Mais soudainement il se tourna vers ...la lune ? Ah non vers sa Seigneurie qui devait se trouver au fond du décor à la lignée de l'horizon que lui seul voyait ou devinait car la brune avait beau se concentrer elle ne voyait rien.
Mais elle l'écouta sagement toutefois pour le moment...jusqu'à ce qu'il propose sa demeure à son Aris...oui oui car elle n'avait jamais mis les pieds chez le Dauphin et encore moins pour y loger. Le seul c'était Aris donc l'invitation lui était adressé.
Le contraire l'étonnerait fortement.
Un rictus vint se dessiner sur son visage, elle avala sa salive, inspira un grand coup et droit dans les yeux elle lui lança tel un javelot

La dame ici présente vous savez ce qu'elle vous dit ? Mmm.....Jamais !!!!! Il ne mettra jamais les pieds chez vous !!! Puisqu'il ne va nulle part sans moi ou sans m'en parler !!!
Donc ...l'affaire est close !

La Nanteuil perdait son savoir vivre ? Ou bien la Nanteuil perdait son sang froid ? Un peu des deux sûrement. Car elle venait de sortir une belle fabulation.
Tout à cause de ce seigneur de Champaigue !!! A croire qu'il prenait un bien fou à l'irriter.

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Aristode
Ah son précieux "' A '" au caractère foutrement bien trempé, quel homme aura assez de courage et de jugeote pour pouvoir le canaliser .
Homme qui devra de plus et en premier lieu plaire à son frère, nul ne pourra éteindre sans qu'il lui donne le moyen ce torrent qui en elle bouillonne .
Il en connaît les moindres recoins, il sait quand il faut le tempérer, quand il faut aussi la soulever et la maintenir hors de ses propres flots .
Si cet homme, s'il excite aussi, qu'il sache déjà que dans son cœur, lui qui n'en a pas, il lui ouvrera une loge mais faut-il encore trouver les clés .
Son gracile "' A '" montait encore une fois , à croire qu'elle joutait et qu'elle voulait toucher à chacun passe .


Sa main ne récupéra pas l'objet ; non il préféra y déposer ses lèvres essayant par le toucher de tempérer le cyclone qui approchait .
Il s’enivra de son parfum , geste posé sur sa paume déposée, futile caresse de ses lèvres enfiévrées, il aurait aimé commander au temps et lui dire de freiner sa course, de ne plus s’affoler, de revenir demain, qu'il n'était pas pressé .
Puis il brisa le charme .


Mon "' A '" votre cœur cogné si fort que je le sens dans le bout de vos doigts...votre fougue m'affole ...
Sachez cependant que si elle est pour moi un mets que je savoure avec délice...elle peut ne pas convenir à tous les convives …
Allons ma perle de fraîche rosée tempérée votre ardeur, clamer ce feu brûlant qui vous ronge et accordé moi encore une fois votre confiance …


Il se retourna et inclina la tête


Soyez assuré seigneur de Champaigue que la dame vous ... dit ... qu'elle serait comme moi ravie de profiter de votre hospitalité et je vous en remercie .
Buvons-nous maintenant ... ... ... ?
Aurianne
Des lèvres qu'elle identifierait aveuglément qui vinrent effleurer sa peau débloquant cette soupape qui obturait le fluide sanguin de la brune qui s'échappe et s'apaise.
Il savait qu'avec de la douceur il la contrôlait, il la connaissait par coeur.
Laissant la fiole dans sa main, Aurianne resta avec la paume ouverte d'où le contenu pouvait basculer et se briser à tout moment.

Veuillez accepter mes excuses mon frère, je sais que je m'emporte facilement à en pouvoir faire fuir et rebuter quelques uns.

Son regard se déplaça vers les hommes. Une invitation ça ne se refusait pas même si les échanges avec l'hôte étaient électriques.
Son visage dessina un sourire commissural propre à la Nanteuil.

J'en suis fort aise seigneur de Champaigue et ....avalant sa salive je ...j'accepte d'honorer votre invitation.

Rapidement elle détourna vers son blond pour lui faire comprendre que la fiole était à sa disposition mais en équilibre et susceptible de choir d'un instant à l'autre tout comme
le calme avant la tempête d'une brune en pression..et cela ne concerne pas la bière.

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Aristode
Maintenant que le volcan semblait avoir trouvé le chemin de la raison, il s’intéressa à ce qui ne tenait plus guère en équilibre dans la paume de sa main.
Quelques tressaillements et soubresauts il indiquait que la lave collait toujours, elle était plus éparse mais elle était présente à fleur de peau, il fallait moins qu’une étincelle pour qu’elle reparte conquérir ces hommes.
Il approcha sa main et du bout de ses doigts, il effleura.
Touché délicat, l’enchantement en lui renaissait fessant dresser les poils de sa nuque, le voile épais des circonstances recouvrait bien maigrement maintenant les terres asséchées de sa conscience.
Ici vivait le chaos, nourrit aux sentiments inavouables, aux envies folles de sa jeunesse au souvenir aussi de ce qu’ils auraient pu faire.
Terre sans maître ni fois, sans gardien de morale, sans religion aussi, terre qu’il voulait dans son âme noircie aussi solitaire que possible.

Ses lèvres reprirent leur mouvement


Mon ‘’ A‘'vous êtes un enchantement, une partition chaque fois renouvelée, une fresque que l’on voudrait à jamais retoucher.

Il sourit et avant de récupérer l’Objet qui chancelle il lui dit

Si l’on me demandait, aise que la beauté est une fatalité?
Je répondrais avec assurance, si elle est de votre sang elle est surement l’enfer de cette terre.


Cette fois il était urgent qu’il prenne ce que les palpitations du cœur de son ‘’A'' " fessaient trembler.
Doucement il lui retira le tracas, il la regarde et sourit
Dans sa main trônait maintenant une bouteille, en elle il y avait une gorgée qu’il prendrait pour un début d’amitié.

Il la porte à ses lèvres et avant d’en ingurgiter clame :

Santat !
Au Roy
À nos amours qu’ils durent toujours !


Comment maintenant pouvait-il annoncer qu’il partait ?
Comment dire qu’il ne serait plus ici ?
Comment lui avouait et qui pour la protéger ?
Qui pour garder sa vertu, où lui prendre et en faire une aimée ?
Tridant
Sourire de Tridant en voyant la complicité de la fratrie. Secrètement jaloux d'une telle complicité, à la fois complexe et pourtant si facile à voir et comprendre.
Aux dernières paroles de l'homme Tridant enchaina, tout sourire:

Santat !
Au Roy
À nos amours qu’ils durent toujours !


Finalement, il appréciait ces personnes, simple et puis, plutôt de bonne compagnie. Comme quoi, il ne faut pas se fier aux apparences. Et bien que la jeune femme en face de lui détient un caractère de flamme, qu'il se faut d'attiser (et qu'il aime s'accorder cette tâche!), il l'aimait bien aussi.
Mais voilà, le temps passait, il commençait à se faire tard, et le soldat, devait retrouver son petit domaine pour aller se reposer, car le lendemain, la journée sera tout aussi longue.

Je suis navré, mais je ne vais pas devoir m'attarder en cette belle nuit étoilé...


Sourire de Tridant,

Demain sera tout aussi fastidieux qu'aujourd'hui, et je ne vais pas tarder à tomber de fatigue tout comme...

Il jeta un petit regard à son compagnon de route,

Mon ami, qui a perdu la parole durant ces quelques minutes...

Lui donnant un léger coup de coude, sait-on jamais, mais il ne faut rêver. La fatigue, la bière, la contrariété, n'est pas un bon mélange pour Hervé.

Ce fut un plaisir de faire votre rencontre, fratrie Nanteuil!

Il enchaina la même courbette maladroite et légèrement exagéré en direction de la dame, histoire de la faire râler une nouvelle fois. Paraîtrait qu'il y prend goût!
Ils savaient que Champaigue leur est grand ouvert. Malgré quelques premiers contacts houleux, cette rencontre reste une belle rencontre....

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Aurianne
Un sourire et l'objet fut soulevé gracieusement par son blond. Ses paroles étaient de la soie dans ses lèvres. Elle ne pouvait que fondre et fusionner en lui.
Bien souvent elle haïssait ce sang qui coulait dans leur veines.
Elle étira ses lèvres pour lui rendre la pareille alors qu'il clamait un bref discours avant d'en boire une lampée.

Le brun en face répéta à la suite d'Aris un sourire aux lèvres. Cependant il allait prendre congé avec son compagnon d'infortune qui contrairement à lui était plutôt silencieux.
La petite inclinaison qu'il réalisa poliment n'était qu'un tant soit peu théatrale ce qui fit sourire la Nanteuil en son intérieur. Sans perdre de sa superbe


Seigneur de Champaigue...veuillez bien croire que le plaisir est partagé ...

Allez allez que ça disparaisse vite ces deux là.... et bien qu'elle avait trouvé ce Champaigue impertinent et présomptueux Aurianne ne voulait s'avouer que ce petit moment passé en leur compagnie fut un régal et que de les revoir ne lui serait pas déplaisant.
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Xanthi
La conversation avec le gardien avait été fructueuse et c'est grand sourire sur son visage qu'elle prend le chemin du bas, vers la roseraie.
A cet instant pour changer, c'est elle qui s'appuie sur Hoax. La nuit est tombée et si la lune éclaire un peu le chemin, elle ne voit pas grand chose.
L'odeur est enivrante, elle adore les senteurs de roses, ne se parfume-t-elle pas de fleurs d'églantiers ? Ses pas ralentissent, elle appelle doucement :


Aristode ? Etes-vous là ?

Elle marche lentement, sent les fleurs qui commencent à peine à bourgeonner, respire fort, cherchant le parfum entêtant, apprécié.
Hoax balance sa queue heureux, les grattouilles l'enivrent, il n'aime pas plus que cela les rosiers ou les églantiers, pas plus que les ronciers.
Aristode
L'amour sentiment qui rapproche, vous enlace l'esprit dans un univers de coton où tout vous semble beau, tout vous semble doux, vous avancez sur les rives d'un lac parfumé à la fleur, vos gestes vous semblent délicats emplis de grâce et de légèreté, pays du sucre et de votre candi .
Bien qu'il soit vaste chacun en revendique un morceau, son bout de territoire qu'il partage avec fougue et rage avec l'élut de son choix , rien ne doit venir perturber l'édile que vous avez si savamment peint sur les pans de votre maisonnée .
Qu'avait il peint lui et sur quel mur ?
Son "' A '" à côté lui faisait battre un peu plus vite le vide de sa poitrine, son sang affluait dans tous ses organes, il aimait cette sensation, cet engourdissement que lui provoquait l’ivresse de savoir ce qu'ils pouvaient ressentir .


Un sourire barrait largement les traits de son visage

À l'annonce du retrait pour la nuit du seigneur de Champaigue sa précieuse avait répondu en mélodie, preuve tangible et audible pour lui qu'elle appréciait assez cet homme pour que leur prochaine rencontre soit placée sous le signe d'une envie partagée .
Il allait lui répondre pour prendre congé et lui donner ses bons vœux pour la nuit qui s'annonçait, quand ses esgourdes reconnurent l’intonation d'une voix qui avait le pouvoir de faire doubler l’afflux de son sang dans l'ensemble de ses extrémités .
Il jubilait, jouissance de l'esprit de voir réunir par une nuit étoilée et dans le même endroit, les deux femmes qui comblait l’immensité de ses pensées inavouées .
La balance de sa démence s'équilibrait, à droite son précieux "' A'" , à gauche sa louve .
Sa voix résonna, mélange de forces de subtilité


Ma dame avancée et vous me trouveriez...dois-je comprendre que vous m'apportiez la terrible nouvelle ... ... ... ?
Il ne peut pas en être autrement...alors venez à moi que nous en parlions
; en attendant de la voir ; Seigneur de Champaigue soyez certain que j'apprécie votre offre et que je remercie le ciel d'avoir croisé votre chemin en cette nuitée … je crois que nous serons amenés à nous revoir …; sourire; voyez-vous je connais mon précieux "' A'" ...et il ne tempête pas...s'il n'aime pas...généralement si vous aviez été une pustule à ses yeux ...c'est une gifle et non une discussion qui serait né...vous avez donc toutes vos chances...pour continuer à converser avec elle …

Bref silence ,il n'aime pas être ou devenir redevable ,il le sait ,certains choix son souvent dictés par l'urgence de la situation .

J'aurais moi aussi à converser avec vous ...j'espère donc pouvoir le faire de vive voix avant mon inévitable départ...en attendant ...Bonne nuitée à vous et à votre silencieux ami …

Il resserra son épreinte sur la main de son "' A'" , maintenant ses yeux attendaient de voir apparaître une dame qui avait le pouvoir de lui donner le désir d'aimer, désir de la chair qui pouvait être si vorace..
Xanthi
... Ma dame avancez et vous me trouverez...dois-je ... ... ... ?
A ces mots entendus par Hoax, il quitte sa hanche et court sur le chemin. Elle, n'a rien perçu et accélère le pas, ne veut perdre de vue sa protection canine en ce lieu qu'elle ne connait point.

Hoax ! Aris !

Elle manque se prendre une racine


gnééé ! tudieu ! Mais où êtes-vous donc ?
Soldat ! Mon arrière-garde, montrez-vous dans l'instant !


Elle ne peut retenir cet ordre idiot. Il la rend encore plus niaise qu'à l'ordinaire. Décidément ce blond lui retourne l'esprit et cela l'indispose. Elle se rattrape comme chacun a pu un jour vivre cette expérience, avance encore un peu et le voit devant elle. Il n'est seul, elle voit un homme et une brune tout comme elle, piquante et vivante.
Elle marque un arrêt, fait une révérence et se présente :


Le bon soir, je me nomme Xanthi et je viens chercher cet homme, le nommé Aristode.


Elle tend délicatement son bras pour montrer le soldat avec à son côté son chien collé à lui . Elle ne sait pas que sa presque chute a finalement eut raison de sa coiffure déjà malmenée par sa chevauchée jusqu'ici et que sa chevelure détachée lui donne l'air d'une gamine perdue et non pas la fierté ni la détermination d'un sergent engagé.
Tridant
Une gifle? Il s'en sortirait donc pas si mal! Quoi qu'il se devait de l'avouer, il n'était pas passé bien loin de la correctionnelle avec le "A" Nanteuil. Il songea à la tournure des évènement si cet homme, sage, n'était pas arriver pour calmer la colère fulgurante de la femme en face de lui. Il sourit, aux paroles remplies de vérités, droites, justes et imparables.

Les revoir, tout deux, serait d'un grand plaisir pour le Seigneur de Champaigue. Mais quelques mots attisèrent sa curiosité: " J'aurais moi aussi à converser avec vous ...j'espère donc pouvoir le faire de vive voix avant mon inévitable départ". Alors qu'il allait tourner les talons pour partir en ses terres, poussé par la curiosité, il se permit la petite question qu'il ne pouvait s'empêcher de sortir,

Converser avec moi? Ce serait avec plaisir! Mais...petit moment de silence, hésitant à rajouter, à quel sujet?

Il n'aurait peut être pas dû, il regrettait déjà ces quelques mots, sûrement de trop d'ailleurs.
Mais déjà une voix féminine se faisait entendre. Et sans attendre, l'homme des Nanteuil, répliqua à celle-ci. Et après l'attente, une femme fit son apparition, marqué par la fraicheur de la nuit. Silencieux, il assista à la scène. Il n'était pas difficile à comprendre que cette femme, portant le charmant nom de Xanthi, était l'élue du cœur du sieur Aristode. Le voici donc entouré des femmes, qui, sans aucun doute rythment sa vie. Un sourire s'afficha, suivi, une nouvelle fois, d'une petite révérence en guise de bonsoir, pour ne empiéter sur ce moment de retrouvailles. Il paraissait de coutume que d'avoir des femmes de caractère non loin de l'homme de maison du Dauphin...

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Aurianne
Le calme avant la tempête...le retrait s'annonçait pour tout le monde mais ce calme fut interrompu par une voix féminine.
La brune qui se laissait bercer par les paroles de son blond affûta son ouï en direction du son vocal.
Qui était-ce ? Et de surcroit appelant son Aris ??

Le calme avant la tempête...et oui le vent se levait peu à peu chez la Nanteuil...l'ouragan pointait son museau alors qu'il répondait avec douceur à cet appel et de nulle part, apparut soudainement une frimousse et un chien.
Petite présentation de la nouvelle arrivée sous le nom de Xanthi qui venait chercher son frère en l'indiquant du bout de son bras.
Perdue qu'elle était la Nanteuil pourquoi venait-elle le chercher et comment l'avait-elle trouvé ?


Bonsoir demoiselle euh.. .....Xanthi ? ! Il me semble que vous venez juste d'interrompre une conversation ....
Pourquoi venez vous chercher Aristode ? C'est à quel sujet ?? Et vous êtes qui d'ailleurs ???


Aurianne allongea son cou voulant dominer la situation doutant de quelque chose. Ses onyx basculèrent vers son frère, des yeux qui lui demandait de rapides explications.
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