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[RP] Les rosiers de la Duchesse

Aristode


Il était là !
Lui si savamment enfouie, lui qu'il refoulait, lui qu'il muselait, il surgissait, il sentait ses griffes puissantes déchiqueter la mince rame de sa conscience .
Assit sur le rebord de sa lucidité il rugissait maintenant en maître des lieux, arrogant l'ordre établi ,il insultait à tout va, cette fois plus rien ne se pouvait entraver sa venue .

Allons tu le désirais...pourquoi cette réticence … ? pourquoi résistes-tu … ? Laisse-Moi M'EXPRIMER !, laisse-moi ! ,plus jamais ! Tu le sais … … …
L'azur de ses yeux vira au gris, sa respiration devenait plus rapide moins claqué sur ses gestes, qui eux devenaient plus agités, avant qu'il ne perdra totalement le contrôle et laisse l’immonde le dominé, il devait répondre au seigneur Champaigue , après oui il le laissera exprimé .
Attendez !
Je ne vous retiendrais pas longtemps...puisque l'ensemble des intéressés sont réunis ici...mieux vos que je vous le dise maintenant.
.
.;sourire et soupir...;après voyez-vous je crois que ma fin de soirée; regard vers les deux astres de sa vie ; va être légèrement agitée …

Son bras pointé et sa main ouverte désignèrent sa louve qui venait d'arrivée .

La gracile demoiselle qui vient de nos rejoindre...gente dame Xanthi fait partie comme moi...des volontaires Guyanais...qui partent  ; regard vers son précieux "' A "' ; rejoindre Sa Majesté pour libérer Dijon et bouter hors du royaume de France ces soi-disant croisés …

Soupir

Comme vous l'avez deviné...mon précieux "' A '" est ce qui compte le plus pour moi...ma vie n'est rien...elle est tout ...je ne peux me résoudre à la laisser seule .
La guerre est une activée
; soupire; qui peut vous occire sans que vous n'y preniez garde...alors j'aimerais que la proposition que vous ,nous avez faite ne devienne une réalité .

Son regard plongé dans les yeux de l'homme .puits il s'incline .

Pourriez-vous et voudriez-vous...recevoir ma sœur Ariane dans votre domaine le temps de mon absence ?
Sieur de Champaigne vous avez le temps pour me répondre
; regarde en direction de sa louve ; je ne pense pas que nous partirons...disons avant un jour à compte de ce soir ?...la guerre nous attendra bien .
Sachez que je suis votre obligé et peu importe votre réponse...vous nous avez offert votre amitié, ceci est déjà un acte que j’apprécie .

Voilà le plus facile venait de passer, aussi tranquillement que Baptiste allant à confesse, la suite allait être dantesque, la rencontre de son précieux "' A '" volcan si chère pour lui et sa louve qui prenait une place de plus en plus importante dans sa vie .
Rencontre des extrêmes, équilibre de sa vie, opposition de ses désirs, les formes pulpeuses de son "' A '" et la gracile fragilité de celle qui nommait sa louve, Xanthi .
Extrême même dans leur lettre de '' A " à " X " de " X " à " A''.
Xanthi
Ses yeux s'habituant à la pénombre, elle remarqua les regards, les gestes de chacun ....
Qu'avait-elle donc interrompu ? Un ménage à trois ? Un adultère ? Une réunion de famille semble-t-il.
Réflexion.
Elle entendit la damoiselle, la soeur, le "'A"' qui a apprit à coudre, elle la toisa en silence, réfléchissant avant de répondre.
Pas de précipitation, pas de jugement.
Elle reporta ensuite ses prunelles sur le brun, plutôt beau gosse pour qui aime les gros musclés, qui peut accueillir l'aimée, le "'A"'
pour se poser enfin sur le blond que ses paroles venaient d'éclaircir un peu la réunion.
Introspection.
Son arrière garde, son soldat particulier, le gardien de son fessier, par son chien protégé ... Elle fit un signe de la main, discret, indiquant à son chien de venir à ses pieds sur le champ, ce qu'il fit illico, la rassurant un peu.
Obéissance.
Elle leva le menton et répondit doucement :


En effet, la Bourgogne nous attend, en tant que sergent, je viens chercher le soldat Aristode.

Voilà, clair, sans fausse note, le dos bien droit, se faisant aussi grande que ses 4,5 pieds le lui permettaient.
Ne rien laisser paraitre, ne rien donner d'elle-même, elle sent qu'elle pourrait perdre beaucoup, que son coeur la trahit et qu'elle s'en défend encore, pas apprivoisée, mais intriguée, appâtée elle est déjà sans le savoir vraiment.
Tridant
Un pas dans un sens. "Attendez". Un pas dans l'autre. Il ne voulait se faire de trop dans cette réunion de famille improvisé et qui promettait bien de fracas dans les discussions qui, à première vu, seraient houleuses. Sourire du Seigneur de Champaigue en voyant la mine, un peu en détresse du Sir en face de lui. Du courage, il lui en faudrait, pour sur. Lorsque les grands esprits se rencontrent, ce n'est guère pour le repos de l'âme....
Celui-ci commençait à expliquer son projet, et Tridant ne pouvait qu'approuver les propos. Étant lui même Soldat, appelé plusieurs fois au front depuis les années, il savait les dangers des dites "guerres". Nous savons si nous partons, mais nous n'avons pas la moindre idée si nous revenons, un jour, entier.
Mais plus le dessein se faisait limpide, plus Tridant se faisait surpris. "Pourriez-vous et voudriez-vous...recevoir ma sœur Aurianne dans votre domaine le temps de mon absence ? "
Instinctivement, il détourna son regard, jusqu'à la dans celui de l'homme, en direction de la dénommé "A". Son regard navigua à plusieurs reprises entre les deux membres de la fratrie de Nanteuil.

S'il pensait, en venant en compagnie de son ami, pour "entretenir" les rosiers de la duchesse, se voir demander de prendre sous sa garde la sœur de l'homme de maison du Dauphin de France...Rien que l'idée aurait été prétexte à rire à ses yeux.
Mais voila, là, c'était le cas. Que faire?
Il n'avait que très rarement refusé de rendre service, qui plus est pour les personnes ayant de l'importance à ses yeux, tout autre que les titres, mais simplement dans son cœur et son estime. Et cet homme, malgré les premières paroles, était resté à tout instant courtois, amusant et sympathique.
Tridant détourna donc son attention en direction de la sœur, le gracile de monsieur. Plissement des yeux, comme pour tenter de lire ses pensées, mais en vain. Après quelque secondes de silences, le Tridant répondit,

Et bien...je me permet de vous dire que votre demande me surprend au plus haut point...Je...ne m'attendais pas à cela...regardant une nouvelle fois les personnes présentes, malgré la nuit...Écoutez...

Peser le pour et le contre, le positif et le négatif , le oui, le non, les conséquences.
Au fond, il avait su apprécier cette femme en question mais il savait son caractère bien trempé et aux conséquences houleuses en cas de conflit...

Si...il regarda Aurianne, votre "A", pense pouvoir me supporter le temps de votre mission, je ne peux vous le refuser. A l'inverse...Si elle ne souhaite pas venir passer ces quelques temps sur les terres de Champaigue...je ne peux être son bourreau..

La décision ne reposait plus sur lui, mais bel et bien sur la fratrie de Nanteuil. Il avait dit les terres de Champaigue grandes ouvertes, et Tridant ne revient jamais sur ces paroles. Et bien qu'il pensait au fond, ce petit séjour imprévu, une idée judicieuse, il se gardait le soin d'être impartial, de ne pas influencer...

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Aristode
L'homme était habile, fin stratège, il savait aussi bien choisir ses mots que les placer .
Il l'écouta avec attention , il sourit aussi à certains de ses propos, fin très fin, vraiment il appréciait de plus en plus le seigneur de Champaigue , le diable d'homme savait y faire et il le renvoyait à ses études .
Il nota cela dans un coin de sa mémoire, s'il revenait entier et sain d'esprit de cette croisade il était fort probable qu'il retourne discuter avec lui .


À la bonne heure sieur de Champaigue si vous arrivez à vous amadouer et je pense cela probable ..., je laisse le choix à Ariane mon précieux "' A'" , quelle déside donc je lui laisse le choix...
; il sourit; mon ami ne soyez pas t'en étonné et surpris la vie nous réservent bien des surprises...voyez...même moi je suis étonné et surpris...agréablement surpris; un regard vers sa louve ; en cette soirée...de vous avoir rencontré...et de voir arriver le minois le plus exquis que je connaisse pour m'emmener guerroyer …
Minois seigneur de Champaigne que je me dois honoré ...j'ai plus envie de lui faire la cour que d'aller me battre à ses côtés …

Il lui murmure

Peut-être que je ferais les deux


Il reprit avec une vocalise normale

Veuillez me pardonner je vous laisse mon '' A '' ...pour que vous puissiez vous accorder et de mon coté ... en attendant de savoir je veux de mon coté aller accueillir avec tout le respect et l'estime que je lui porte mon '' X '' préféré …

Voix douce et suave la tête tournée vers la dame qui hantée ses jours et maintenant aussi ses nuits .


Ma dame vous êtes...et je ne le contredis pas mon sergent... ; regard lancinant qui la déshabille; je l'aime!;mais ici pour une nuit et pour une journée entière...vous seriez l'invité des Nanteuil ; il dépose un baiser sur la main de son "' A'" , et avance vers elle; demain soir... je vous le promets je serais votre soldat ; il est à côté d'elle maintenant et il caresse Hoax qui ne bronche pas ; ce soir ma dame soyez...une demoiselle et accompagnez-moi ... ; il prend sa main et équilibre la situation en déposant un baiser; le voyez-vous … ... ?
Xanthi
Elle regarde le couple formé par le tendre "'A"' et le sieur de Champaigue, leur sourit et incline encore la tête cordialement, puis elle tourne la tête vers Aris qui s'approche.
Ses prunelles vertes qui peuvent paraitre parfois bleues ou grises, suivant ses émotions, se posent sur l'homme qui fait qu'en ce moment, elle ne se reconnait pas.

Aristode a écrit:
.... ce soir ma dame soyez...une demoiselle et accompagnez-moi ....Le voulez-vous ?
Souriante elle répond :

Avec plaisir, Messire, soyons civils avant que la guerre nous emporte.

La guerre ou la folie ? Ses lèvres chaudes et douces sur sa main, laisse une trace qui la brûle et la chamboule. Devient-elle folle, un simple baise-main et la voilà comme marquée au fer rouge. Qu'a t-il donc de spécial qu'elle ne peut le prendre pour amant d'une nuit et de continuer sa vie comme avant ?
Aurianne


Volcan ton corps bouillonne
Alors ton coeur explose
Il cherche un objectif
Sur un autre récif
Un volcan solitaire
Et tous deux faites la paire
De vos bouillonnements
Montent des hurlements
Des plaintes et des pleurs
D'autres coeurs qui se meurent
Quand le feu tombera
Alors tu chercheras
A retrouver une faille
Un autre feu de paille
Ainsi passe ta vie
Enjeu de cette partie
Qui unit et sépare
Des âmes qui s'égarent *


Pourquoi le Très Haut les avaient réuni après une décade de séparation pour que l'un deux reparte ?
La guerre ! Maudite soit-elle pour qu'elle emporte son blond mais elle n'était pas seule à le vouloir, une demoiselle venait le chercher et pas n'importe qu'elle jeune femme. Son Aris était sous son charme. Le coup de poignard fut instantanée, la douleur fut fulgurante et profonde, il allait la quitter pour deux dames dont l'une bien plus dangereuse.
Et non seulement il partait mais il osait demander au seigneur de Champaigue de la recevoir en sa demeure.
La cerise sur le gâteau, le bouquet final !!
Aucune réaction de sa part dans l'immédiat, son souffle était coupé mais son volcan interne fusionnait et une éruption jaillirait ardemment sous peu.
Elle recula pour mieux les avoir dans son champ de vision.

ARIS !!!!!! C'est une plaisanterie que vous me faites là !!!! Non seulement vous m'abandonnez partant avec ...euh....cette ...euh....demoiselle mais vous demandez à ...à..au ..enfin vous lui demandez de m'accueillir chez lui ???? !!!!!!!

Elle bouillonnait, ses joues s'empourprèrent, ses poumons manquaient d'air.

Vous ne pouvez pas Aris !!! Vous ne pouvez pas partir !!! Vous risquez de ne plus revenir !!! Et moi ?? Vous avez pensez à moi ???

Ses onyx voyageaient du blond à la brune puis au brun et au blond et ça recommençait pour un tour, deux tours. Elle ne se sentait pas bien...elle se sentait défaillir ...elle dont rien ne l'ébranlait si ce n'était quand ça touchait son frère et sa petite personne.

Ariiiiiissss !!!!

Elle le connaissait que trop bien et quand il décidait il ne revenait pas sur ses pas. Aurianne quand à elle détestait rester seule et savait que si elle ne prenait pas une décision rapide elle se retrouverait en tête à tête avec elle même.
Ses inspirations se firent profondes, mâchoires crispées elle reporta son regard vers le brun.
Elle répugnait devoir se plier. Puis elle vira vers son blond.

Revenez moi vite mon frère...et seul.... oeillade vers la brune pas envie de m'éterniser chez...chez...sur ses terres ...

Elle plongea ses yeux dans ceux du brun juste pour lui faire comprendre qu'elle acceptait sans avoir un autre choix.

Sire ..je serai votre invitée...j'accepte donc votre aimable invitation le temps de la très courte absence de mon frère.

Elle se tourna vers son frère qui déjà la délaissait pour une autre ...Aris......


* D'un anonyme
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Xanthi
Juste ciel !

La jeune femme écoute, entend et regarde un peu mieux la brune qui lui fait face. Elle n'est pas bien grande, lui ressemblerait presque, si elle n'avait cette poitrine et ces formes à damner tous les saints de la terre.
Car oui, Xanthi était petite et tout était petit chez elle : ses seins, sa taille, ses hanches, ses fesses, ses mains ... tout, sauf son courage et sa force qui en surprenaient souvent plus d'un.


Mais, c'est pô bientôt fini de faire votre caprice !
ne peut-elle s'empêcher de répondre.
Et pis oui, il vous reviendra entier. Je m'en voudrai de perdre un seul de mes soldats.

Elle foudroie du regard les deux "'A"'. Tellement, tourneboulée qu'elle n'a pas entendu tous les mots, son coeur fait un autre bond, dans l'autre sens cette fois. Ainsi, l'Aris avait femme déjà et veillait à ce qu'elle et sa soeur ne restent seules en ces temps de guerre.
Elle ne dîne que dans une seule assiette. Il a failli l'avoir avec ces beaux airs ....
Ses prunelles deviennent gris tempête, que le blond fasse attention, la mandale est pas loin.
Aurianne
Elle dit quoi là ??? Mais elle se permet de me dire que je fais des caprices ??? Mais pour qui se prend-elle cette ptite demoiselle pas plus haute que trois pommes !!!
Elle ne connait guère les Nanteuil !!

Un regard foudroyant qu’elle dirigea vers la brune

-Je n’ai pas bien compris le sens de votre réflexion….un caprice ? C’est çà ?? Je serai en train de faire un caprice ???
Ma petite dame sachez que les Nanteuils ne font pas partis des gens qui font de l’enfantillage gratuit !
Je veux simplement que mon très cher frère revienne à moi entier et sans une seule égratignure sur son corps.

Ambiance électrique qui enveloppe le groupe mené par deux jolies brunes
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Tridant
La résistance de la Nanteuil n'était en rien surprenante, d'ailleurs, il se serait bien étonné du contraire! Voyant ses yeux plonger dans les siens, il eut limite les frissons à voir autant de haine! Mais au fond, la petite scène le faisait sourire. Ce serait à lui de montrer qu'à Champaigue, bien que ce ne soit pas des plus grand et que le Seigneur y est joueur, elle y sera une invité de marque.

"Sire ..je serai votre invitée...j'accepte donc votre aimable invitation le temps de la très courte absence de mon frère."

Il savait ces derniers mot prononcé sous la contrainte, qu'au fond, elle ne souhaitait guère s'éterniser par ici.C'est pourquoi il se contenta d'un simple signe de tête respectueux. Mais l'arrivée et persistance de la seconde femme, sauva quelque peu le sort de Tridant. Qui plus est lors des derniers propos de la femme de guerre, dont-il avait manger le nom. Un caractère de fer et un caractère de flamme, ne peut donner que des échauffements, des propos irritants et presque, haineux.

C'est donc dans un silence qu'il n'avait que peu coutume d'entretenir que le Seigneur de Champaigue assistait à la scène. Tantôt amusé, souriant, puis tantôt sérieux, les sourcils froncé, comme envouté par certains propos. D'ailleurs, Tridant entrouvrit même là bouche à un moment, levant légèrement la main afin d'apaiser les choses mais... l'idée ne lui paru pas des plus judicieuse, non pas vraiment. Il hésita même à s’éclipser avant que tout ces évènements ne lui retombent sur les épaules, sait-on jamais...

Son regard finit par se poser sur l'homme de la situation, l'homme aux paroles posées et, apaisantes aux yeux de la jeune Nanteuil. Comme un si petit bout de femme pour entretenir en elle un feu si vorace? Mystère....

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Xanthi
La riposte est éclatante, directe sans fioriture et les battements incontrôlés de son coeur presque amoureux enfin calmés, la laisse enfin entendre le mot "frère".

gnééé ?! frère ?! le blond, votre frère ?

Elle reste là, interdite, muette, ses prunelles passant de l'un à l'autre, remarquant le beau brun, zieutant la belle brune, se perdant dans le bleu des yeux d'Aris.
Aristode
Dans les profondeurs bienveillantes des abysses le blond se reposait, sur le haut du rocher qui effleurait sa conscience l'immonde posait sur ses deux pattes arrière souriait et se régalait des échanges; tu n'es pas drôle, tu me laisse faires et je sais que ce n'est pas une question d’abandon, ni de vouloir cesser le combat...tu voulais une réponse; il tourne l'hérésie de sa face vers lui, il contemple maintenant son maître ; du moins si ce n'est une réponse ...c'est une réation que tu cherchais ...tu voulais donc que ce soit moi …
Il éclate de rage et plonge vers lui ; tu te joues de moi et j'aime ça ; ses griffes l'enserrent et le tirent vers la surface ; nous ne faisons qu'un ...ne l'oublie jamais ! ,oui mon maître ; retour vers le monde des vivants .

Sa peau est douce et chaude elle palpite aux paroles de son "' A'" , son duvet fin résonne , il lui annonce simplement que maintenant son cœur lui est certainement grand ouvert., elle est aussi, parfumée des senteurs du désir, sa soif de s'abreuver d'elle ne fait que grandir, il remonte doucement, analyse de ses yeux la situation, il est temps de parapher ce premier chapitre, d'y mettre un point final et sa griffe .

Sourire éclatant qui rayonne à la lune, son comparse qui ne dit mot mais observe tout; ce n'est pas un coup de ses deux mirettes vers le décolleté de son précieux "' A '" qu'il aperçoit à cet instant-là ? ; magnificence de votre désir messire faite attention à ne pas vous noyer, soyez assuré aussi je serais être une planche pour votre salut .
Enfin la délivrance .


Allons mes demoiselles, vous me chamboulez, j'en suis tout retourné; sourire vers son précieux "' A "' ; vous êtes ma sœur une louve intrépide qui protège si ce n'est sa progéniture ... ceux de votre sang avec les flammes dévorantes d'une maîtresse …
Je vous reviendrais et en entier , soyez rassuré aussi...la jeune demoiselle qui est à mon bras...sera protégée et gardée l'intégrité de mon corps ... ; il incline la tête vers la femme de ses pensées ; ne sommes-nous pas camarade de combat et garant de ce fait de notre mutuelle sécurité ? ...

Il enchaîne rapidement .

Vous ma sœur, mon précieux, mon joyaux ne voyait pas comme une mise "'Au sélect Calvaire '" ou comme une envie de vous voir me fuir …
J'ai besoin de vous savoir en sécurité et en bonne compagnie ...c'est le cas...allons mon "' À '" clamer votre feu ...feu que j'emporte avec moi ...il me préservera des mauvais coups .

Mirettes braquées vers son désir qu'il sent moindre .

Vous ma dame, votre cœur que vous disiez sec et sans vie ...résonne d'une ode à l'amour … ;Pression sur son bras; je sais que vous avez le désir de ne pas vouloir d'époux...permettez cependant que vous fasse la cour...et vous démontre ainsi la fausse route que vos empreintes semblent vouloir mouler ..
. vos mots me diront certainement non mais votre épiderme lui me dit un grand oui …
Sieur de Champaigue je vous la confie
; sourire de l'immonde ;vous ma sœur soyez et resté ce que j'aime...envisagé aussi la possibilité que ce que vous considériez comme une punition puisse devenir un moment des plus agréables .
Caresse délicate sur le bras de Xanthi
Vous ma dame j'attends une réponse...demain c'est le sergent qui sera en face de moi ... ...; énorme sourire  et long silence ; je ne pense pas lui refaire la même demande …
Xanthi
Il parle et le calme revient, la tension palpable baisse entre son "'A"' qui est sa soeur et elle.
Que la nuit soit remerciée, elle cache le rouge qui afflue à cet instant à ses joues, son coeur s'est calmé, mais un rien pourrait à nouveau l'éveiller.
Compagnons de combat, certes, il veille son arrière puisqu'elle regarde vers l'avant.
Elle laisse la main s'attarder sur son bras, le pressant doucement, caressant.


gnéééé votre soeur ?!

souffle-t-elle alors qu'il reprend la fixant de son regard clair. Il sait sa vie de liberté sans amour et sans haine, il sait son coeur qui se réveille et demande de pouvoir lui faire sa cour.
Ce soir s'en est trop, mais elle ne ferme aucune porte. Elle se reprend, se redresse, la raison, les sentiments, elle sait faire la part des choses en temps normal.
Elle retire en douceur son bras, avance de trois pas vers le précieux "'A"', Hoax collé à nouveau à sa hanche. Et pour qui ne la connait, cela peut en surprendre plus d'un. En effet la demoiselle est mesurée en tout ou presque. Pourtant elle s'exclame, prend la main de la belle dans un geste de remerciement, parle avec effusion :

Oh vous, c'est grâce à vous que j'ai belle cicatrice à ce jour ! Votre frère à recousu les plaies ce que je ne pouvais faire. Car à être soldat, il m'arrive de prendre quelques coups de lame.

Elle est tout sourire, enthousiaste, ravie de faire sa connaissance. C'est la femme qui parle et non plus le soldat.

Soyez mille fois remerciée et je suis ravie, enchantée de faire votre connaissance.

Elle sourit, lâche la main, fait une révérence, se recule à nouveau. Elle déteste devoir lever le menton pour converser. Elle s'approche à nouveau de son soldat, Hoax la suit toujours, elle tourne autour de lui lentement, s'arrête et lui répond :

Quand à votre proposition, Messire, je vous laisse faire ce qui vous tient à coeur..... mais ne venez pleurer si vous ne trouvez écho favorable à votre souhait.

Finit-elle en murmurant. Elle tend à nouveau sa main qu'elle pose sur son bras. Le sourire qu'elle lui dédie, est particulier, comme un chat devant une souris. Le sergent saura bien remettre dans ses bottes le soldat qu'il deviendra demain.
Aurianne
Oui Aris était son frère ne le savait-elle pas la brunette ? Elle avait l'air bien consternée.
Son blond parle et apaise son feu mais ne l’éteint pas. Il partirait avec la jolie brune, elle partirait chez le seigneur.
Et la brunette qui stupéfaite par la nouvelle s’avance vers elle prenant sa main par surprise pour la remercier d’un frère qui savait coudre et recoudre.

Oh demoiselle ne vous emballez pas de la sorte et ne me remerciez point je n’ai fait qu’apprendre à mon Aris ce que tout soldat doit savoir.

Puis la regardant froidement tout en laissant sa main dans la sienne

Je suis moi-même enchantée demoiselle Xanthi.

Aucune envie de déployer une quelconque marque de bienséance alors qu’elle n’en avait pas envers cette inconnue, celle qui allait emporter son très cher.
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Aristode
Faire quelques pas et rencontrer la quiétude de l'ombre, observer et ne rien dire, se laisser tranquillement bercer par les échanges prononcés .

Ho oui tu corromps un cœur et tu veux en même temps avoir un bénédicité; éclat métallique de son rire; je comprends...tu ne t'avance pas et attend de savoir si ton choix est le bon...pourtant toi qui n'as plus de cœur le voilà battant la chamade...pour ton "' A '" cela je le sais !...je suis né de cette maladie...mais pour elle aussi !?? ?,vous êtes mon maitre un malade enfiévré dans la démence trouble de vos sentiments mélangés ...Vous aller en mourir !
On meurs tout un jour ce qui compte et ce que nous recherchons ne serait ce pas en sommes le choix de la façon ?... ... surement ! j'aime votre démence et me nourris de votre folie ... ... ... ...Alors gaves-toi et laisse-moi ! ...

Il observe et ne dit pas un mot , dans la grande salle il entend aussi que l'on prépare la cérémonie .
Il va être grand temps d'y retourner et de laisser ici éclore lentement les sentiments .

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Xanthi
Xanthi lève un sourcil devant le mutisme de son soldat, se tourne vers la belle soeur, la belle brune et son chevalier protecteur.

Appelez-moi Xanthi, je suis fille de marchand et artisan moi-même quand je ne guerroie pas.

Elle leur sourit, va pour lever ses jupons et montrer le travail appliqué de son frère, puis se reprend et lâche le tissus très vite et ajoute :


Je vous assure que travail d'aiguille remarquable a été fait. Je ne vous montre pas, vous n'y verriez rien à la lueur de la lune.

La nuit est bien installée et la pâle lueur de la lune ne lui permet pas de voir correctement toutes les expressions de leurs visages.
Deux couples se faisant face, en pleine nuit, dieu merci au beau milieu d'une roseraie, à part Hoax, pas de risque de voir des loups dans les parages.
Elle serre doucement l'avant-bras sur lequel est posée sa main et murmure à l'attention d'Aris :

J'ai grand faim, serait-il possible que vous me conduisiez aux cuisines ?

La jeune femme est petite, pas son appétit qui surprend toujours ceux qui ne la connaissent pas.
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