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[RP] Mission Search and destroy - a conserver comme exemple

D.S. D'Exat
Djahen regardait autour de lui, puis voyant que personne n'avait l'air de vouloir le suivre, il haussa les épaules, prit son sac et commença a s'éloigner de la roulotte ...

Il lui fallait trouver une certaine personne .... Et il ignorait si ses compagnons appréciaient autant que lui ce genre d'individus ...

Il n'avait eu affaire a cet homme que lors de breves rencontres au Fer, mais ils avaient sympathisé rapidement ...
Il ne connaissait pas l'adresse exacte, mais bon ...
Il lui fallait voir cet homme le plus vite possible ....
Invité
Pastesue était descendu de la roulotte et avait reçu les ordres. Enfin un peu d'action ! Se faire passer pour des bohémiens mi voleurs mi bandits de grands chemins, glaner des info, se balader dans les endroits mal famés, se battre en duel et insulter des gens au passge. Quel bonheur ! Surtout ne pas se faire repérer mais faire le boulot convenablement.

Ses compagnons commençaient à s'éparpiller. Il vit alors Djahen, son paquetage sur l'épaule et lui courut après. Son camarade sergent de police lui plaisait bien : débrouillard et plutôt bout-en-train. Deux qualités qu'il appréciait chez les gens. Il l'appella
: "Hé! Djahen! Où tu courts comme ça? T'a la peste brune ou la mort aux trousses? J'peux p'têt t'aider, j'suis venu plusieurs fois ici et je connaîs pal mal de monde (des indics de l'Ordre du Saint-Esprit). On peut faire équipe, qu'est ce que t'en dit?"
D.S. D'Exat
Djahen se retourna vers Pastesue, le visage sévère... Il plongea ses yeux dans ceux de son collègue...Puis d'un ton neutre, dépourvut d'intonations ou du léger accent qu'il gardait habituellement, il lui dit simplement ...

Ne crie pas mon nom s'il te plait ...
Si tu veux venir avec moi pas de problème, mais n'importune pas la personne que je vais voir
Ne lui pose pas de questions inutiles, ni ne fait de remarques sur sa personne...

... Il est succeptible ...


Djahen songeait encore à la dernière fois, il revoyait le malheureux qui avait osé insulter son ami se tordre de douleur par terre ...
Les poisons pouvaient faire des merveilles ....
Et il possédait aussi certaines substances dont Djahen avait besoin...

Reprenant sa marche accompagné de Pastesue, et silencieux pendant un long moment, il du finalement reconnaitre qu'il ne savait pas ou aller ...


Past, il faudrait que je trouve le fossoyeur...
Sais-tu ou je pourrais trouver sa demeure ?
Invité
désolé de vous importuner mais quelle est cette mission dont le topic parle ???
(désolé j'ai pas eu le courage de lire tous les messages!!)
Invité
hrp : va falloir t'y coller dsl. et s'il te plait, ne post pas des messages comme ça dans les RP. va plutôt dans le quertier des soldats ou à la taverne, on sera heureux de t'expliquer. Pour cette fois ci c'est pas grave mais fais gaffe quand même hrp
MarieDouce S. d'Axat
MarieDouce voit Djahen et Pastesue partir ensemble. Elle se décide alors à partir seule. Geo la suivra bien s'il le veut. Elle part donc au hasard dans la ville.

Elle arrive au marché et fait semblant de s'intéresser aux marchandises mais jette des coups d'oeil furtifs aux alentours. Peut-être apercevra-t-elle l'assassin de Skar !

Après avoir errer entre les étals de marchandises, elle s'achète un joli foulard avec lequel elle attache ses cheveux. Elle reprend sa marche, d'un pas nonchalant, et se dirige vers une ruelle un peu à l'écart du marché. Elle porte la main à sa taille et y sent toujours son couteau. Elle est rassurée !

Elle se met à la recherche d'un marchand d'armes. Peut-être en saura-t-elle plus si elle arrive à le faire parler, mine de rien...

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Le paradis ne me sera pas interdit si je meurs le sourire aux lèvres ...


I: 254 F: 240 C: 255
Invité
Geofrey ne connaissait pas Montpellier et resta un court moment admirer le ville en mouvement...
IL vit Djahen et Pastesue partir ensemble de leur coté.Il vit Marie s'enfoncer seule dans la foule et la rejoigna au moment au elle s'enfoncait dans une ruelle a l'ecart de marché.
Il lui murmura:"
joli le foulard,ca te vas bien "
Tiens,ne serait ce pas une armurie là bas?
MarieDouce S. d'Axat
MarieDouce se sent quand même un peu plus rassurée de voir que Geofrey l'a rejointe. "Le foulard, pfff, ce n'est que pour m'attacher les cheveux pour ne pas qu'ils me gênent, au cas où la bataille éclaterait ... " Allez, viens ...on va essayer de faire parler ce marchand! Il nous dira peut-être à qui il vend des armes ... nous faudrait peut-être l'obliger quelque peu à lui délier la langue
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Le paradis ne me sera pas interdit si je meurs le sourire aux lèvres ...


I: 254 F: 240 C: 255
Invité
Geofrey acquiesce les paroles de Marie et ils entrent tous deux dans l'armurie.
La boutique est sombre et il n'y a personne a l'interieur.Geo reste sur ses gardes et examine la piece:des armes trainent un peu partout...
Geo fait le tour de la boutique tout en disaant:"Tiens ca srait pas mal si je pouvais m'acheter une autre dague"
MarieDouce S. d'Axat
"Bon, voilà ce que l'on va faire. Tu cherches partout à l'intérieur, va voir à l'arrière, fouille un peu et moi je vais faire le tour par l'extérieur et on se retrouve à la porte de derrière ! "

Sans prendre le temps d'écouter la réponse de Geofrey, MarieDouce sort de la boutique et se dirige vers l'arrière de la boutique. Elle se demande bien pourquoi le marchand n'est pas là et que sa porte soit restée ouverte...

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Le paradis ne me sera pas interdit si je meurs le sourire aux lèvres ...


I: 254 F: 240 C: 255
D.S. D'Exat
Djahen voyant que Pastesue semblait connaitre la ville aussi bien que lui, laissa tomber apres avoir attendu vainement une reponse quand à la direction qu'il cherchait ...

Accelerant le pas, il sema rapidement son accolyte, et apres de nombreux détours, il parvint à la demeure qu'il cherchait ...
Frappant un seul coup sec, il attendit quelques instants qu'on l'invite a entrer, puis poussa la porte.
A l'interieur de la piece, sombre et désordonnée, un homme sans âge regardait dans sa direction, assis sur un mauvais tabouret ...


Djahen, ça fait longtemps ... je me demandais si tu passerais un jours ...
La voix éraillée et le ton sec de l'homme firent sourire le soldat...

Klaus ... Tu n'es pas facile a trouver tu sais ...

Prenant un siège qui trainait couché a terre, Djahen s'assit en face de son ami...

De quoi as tu besoin cette fois ? Tu connais mes tarifs n'est ce pas ...

Posant sa besace sur ses genoux, Djahen en sortit une bourse qu'il jeta sur la table ...

Je te donne le double du tarif habituel, mais je veux quelquechose de particulier ... Il me faut un nom ainsi que le produit ... De plus, je veux aussi un de tes jeux d'outils ... un de ceux que tu utilise sur les corps de tes "clients" ...

Avec un sourire mesquin, Djahen observa la réaction du fossoyeur. Celle-ci le déçut un peu .... L'homme se contenta de le regarder dans les yeux en souriant ...

J'aide la science a progresser mon ami ... le prix qu'ils payent est léger ... ils sont déja morts de toute façon, non ?

Puis il se leva ...

Soit, je te donnerais ce que tu souhaite ...

Fouillant dans un coffre, Klaus tendit a Djahen un étui de cuir, noirci de taches de sang ...

Pour le nom, donne moi la description de celui que tu cherche ...

Djahen lui expliqua alors les grandes lignes de l'histoire, et lui decrivit l'homme tel qu'Enduril et ses compagnons le lui avait dépeint ...

Essaie aussi de m'indiquer ou il se trouve si tu le peut, demanda Djahen en se levant ...

Je t'enverais Hugin lorsque j'aurais tes renseignements ...

Il raccompagna le soldat jusqu'à la porte et lui glissa dans la poche une fiole emplie d'un liquide d'un vert translucide, accompagné d'une petite boite ...

A bientot j'espère...

L'homme répondit d'un hochement de tête et ouvrit la porte....

Evite de te faire tuer, souffla-t-il, je perdrais un bon client ...

La porte se referma derrière Djahen, il regarda le ciel et se dit qu'il serait bientôt temps de se trouver une taverne, histoire de se rincer le gosier et de grignoter un truc ....
Klaus était bien gentil, mais il n'avait guère le sens des civilités ...


Bon essayons de trouver une taverne... et pis Past aussi au passage ...
Enduril
Dans les rue de Montpellier :

Enduril était partie rapidement. Elle ne voulait pas que l’un de ses hommes ne puisse l’accompagner. Pas là où elle se rendait. Sa course l’emmenait dans des rues de plus en plus étroites et jonchées de détritus. Les passants affairés, bien nourris et aux bourses rebondies avaient laissé place à une foule de personnes aux visages las et défaits. Leurs corps flottaient dans leurs haillons. Des enfants sales et maigres se disputaient les immondices jetées par les fenêtres des plus chanceux. Une femme prématurément vieillie, un marmot accroché à son sein plat, vendait quelques rats, grimaçant un sourire qui laissait apparaître les quelques dents qui lui restaient et ses gencives gonflées et sanguinolentes.

Apercevant le poignard qu’elle abhorrait à la ceinture, les pauvres hères s’écartaient à son passage, le considérant avec une curiosité vite réprimée.

Il y avait de moins en moins de monde dans les rues et son oreille exercée avait à plusieurs reprise entendue le même bruit de pas caractéristique. Il semblait qu’elle était suivie. Celui là ne perdait rien pour attendre, elle saurait bien s’occuper de son cas.

Enfin, elle arriva devant une maison propre et tranquille. Elle alla gratter à l’huis selon un code bien convenu. La porte s’ouvris le temps de la laisser passer et se referma derrière elle la laissant dans une obscurité totale. Une main agrippa son poignet et l’attira dans une pièce sombre éclairée chichement par l’âtre d’une cheminée. La lumière des flammes jouaient sur les murs de la pièce teintant de rouge une multitude de bocaux aux contenus plus ou moins identifiables. Une vieille femme assise dans un fauteuil, un chat sur ses genoux attendait. Son costume visiblement coloré malgré le peu de luminosité de la pièce ainsi que sa coiffure et ses bijoux ne laissaient pas le moindre doute sur son appartenance à la nation gitane. Ses longs cheveux blancs étaient entremêlés de pièces d’or, comme les anneaux fixés à ses oreilles dont le poids avait distendu les lobes. Ses yeux blancs et vitreux fixaient devant elle un regard vide.

Enduril fit quelques pas vers elle et entendis sans surprise une voix ferme l’apostropher.


C’est toi Mariposa ! Tu daignes enfin rendre visite à Abuelita ! Je pensais bien mourir sans te revoir chiquita ! Avance et vient m’embrasser.

Enduril s’approcha de l’aïeule et déposa un baiser respectueux sur le front de la vieillarde, un sourire aux lèvres. Jamais elle n’avait pu la tromper. Sa main comme une serre desséchée se referma alors sur le poignet de la jeune femme en une étreinte forte qui lui coupa toute circulation. Surtout, ne pas bouger, lorsque Abuelita faisait cela, il fallait attendre, c’est tout.

Je sais pourquoi tu es là petite ! Tu t’es encore fourrée dans une sale histoire ! L’homme que tu as suivit ici n’est que du menu fretin, mais il reste dangereux ! Lui et ceux qui travaillent pour lui ! Mais il n’est rient ! C’est de l’autre surtout dont tu dois te méfier ! Il n’a pas d’âme ! Pas de cœur ! Il se terre comme les loups dans les bois au nord-ouest d’ici. Fais attention ! Ta chance pourrait tourner ! Je ne peux voir ce que te réserve l’avenir, il y a deux possibilités, je vois deux chemins soit tu réussis, tu vaincras et tu auras la possibilité de vivre un jour la vie que je t’ai déjà indiquée, soit…

La vielle s’interrompis un moment.

Soit tu n’auras pas d’avenir !

Il y a autre chose ! Un homme ! Un étranger ! Ses manières me plaisent ! Peut être lui saura t’aider !

J’ai vu l’homme que tu recherches ici ! Tous ceux qui oeuvrent pour nous hommes, femmes et enfant sont à sa recherche ! Il ne nous échappera pas ! Nous te le retrouverons. En attendant, tu as eu raison petite, donne-moi ce bracelet, il est encore atteint du mauvais œil, je vais te le conserver.


Avec un soupir, Enduril se délesta du bracelet d’émeraude et le glissa entre les doigts de la doyenne, soulagée malgré tout de s’en débarrasser.

Un gitan entra dans la pièce après avoir respectueusement frappé à la porte et vint chuchoter quelques mots à l’oreille de la maîtresse des lieux !


Un homme te suit Mariposa, je vais envoyer des hommes boucler l’impasse, lorsque tu sortiras, tu pourras le voir et peut être l’interroger !

Va maintenant ! Fait attention à toi carita ! Puisses-tu après cette histoire n’avoir plus jamais besoin de nos services ! Embrasse-moi de nouveau et part sans te retourner !


Enduril se pencha alors et déposa de nouveau un baiser sur le front fripé ! Elle savait que toute parole était inutile. Des larmes brouillaient sa vue et d’un battement rapide de paupière, elle les refoula !
Après un dernier baiser sur la joue parcheminée, elle fit demi-tour et s'en alla vers l’entrée ne voyant pas les larmes qui sillonnaient les joues de l’ancienne.

Elle sortit d’un pas ferme de la maison dont la porte se referma aussitôt sur son passage ! La vive lumière extérieure contrastant avec l’obscurité intérieure lui ôta la vue quelques secondes avant que son regard ne s’adapte et commence à fouiller alentour à la recherche de celui qui l’avait pris en filature. Un mouvement furtif au coin d’une embrasure, il était là ! D’un pas rageur, elle se précipita vers l’inconnu bien décidée à avoir des explications…

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Comtessa de Lengadòc
Invité
Pastesue avait perdu Djahen après que celui-ci ait courut . Il se trouvait maintenant seul dans les rues de Montpellier. Son expérience de la traque et des patrouilles dans la campagne devait lui permettre de retrouver son associé. Les traces, les flaques d'eau brouillées, les passants affolés tout semblait indiquer le Nord et c'est la direction qu'il suivit. Il apperçu Djahen au coin d'une rue, il paraissait chercher quelque chose ou quelqu'un.

"Hé Mr. D, on va en taverne, y aura p'têt des gars sympa (et des info croustillantes à trouver. J'en connais une dans les quartiers gitans, on passera inaperçu comme ça et puis tout le monde sait que les quartiers chauds de la ville regorgent toujours de brigants et d'indics en tout genre. Qu'est-ce que t'en dis, Ah, au fait, t'a trouvé ce que tu cherchais?"
D.S. D'Exat
Djahen vit Pastesue le rejoindre, apres l'avoir écouté, il decida de le suivre ... apres tout, une taverne est une taverne ...
Et pis il avait son matériel au cas ou ...


D'accord Past, je te suis ...
Ne t'en fais pas ... j'ai ce que je cherchais ....
E_Scout
E_Scout qui devait monter la garde, s'était assoupie ... Le temps passé et ses amis n'étaient toujours pas revenus, il commençait donc à s'inquieter. Il grommela à Narvik
Nous on se les caille et eux ils sont en taverne, au chaud et train de boire !!!! J'espere que les rôles changeront un peu quand même car je commence à m'ennuyer !!!
Et Narvik qu'est ce t'as ????

En effet le chien qui depuis le debut était assis au pieds de son maître, se leva est commença a grogné... Etienne descendit donc de la roulotte, en fit le tour :


T'as encore des Hallucinations mon pauvre, allons, remontons au chaud !!!

Mais au moment où celui-ci posa son pied sur le marchepied, il vit des silouhettes dans le noir, il y en avait au mons deux, ils étaient accroupie derrière un buisson et parlaient doucement. Etienne tendu l'oreille et entendu :
Je te dit que c'est cette roulotte, on nous a dit qu'elle était cabossé de partout !!!

Alors Scout pris son épée, s'acroupit et se glissa sous la cariole ...

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Fier Soldat de l'Ost
"Occitania per totjorn !"
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