Marieladamnee
Pour tous ceux qui veulent poster, on fera une cérémonie ou son corps sera brulé dans la taverne. Chacun pourra s'exprimer.
Depuis, je prends mon mal en patience
J'aimerais que tu reviennes
J'ai pris le voile quand ta vie a pris de la distance,
J'aimerais que tu reviennes, tu vaux la peine.
Et même si tu me laisses, même si tu ne reviens pas,
C'est toi que j'aime pour toujours c'est toi que j'aime
Et qui sait, peut-être un jour ...
{si je rejoins l'antre des dieux}
La vie continuait, 4 jours étaient passés. Là haut dans sa chambre, Elle reposait. Marie avait prévenu le frère ainé, la rousse. Les autres aucun ne donnait de nouvelles, donc ils n'en méritaient pas. La Platine avait toujours dit qu'elle ne serait jamais bouffée par les vers du coup le feu sera sa dernière maison comme sa taverne. Une nouvelle sera reconstruite sur ses cendres qui portera son nom.
Pour la partie technique les décisions avaient été prises rapidement, échanges par courrier avec celle qui était sa Mignonne, son frère et Drusilia.
Pour le reste les choses étaient pas faciles. Marie s'attendait à la voir descendre à chaque instant, à remonter de la cave avec une nouvelle bouteille ou à se relever subitement de derrière le comptoir. Elle la voyait partout et surtout dans ses rêves. Du coup elle dormait peu. Les nuits étaient passées sur les remparts espérant le retour des dégénérés. Mais chaque nuit c'était la déception. Les journées, elle somnolait comme elle pouvait. Elle gérait les divers détails comme l'autorisation pour que la rousse puisse venir malgré son appartenance au camp ennemi. Même si pour Marie, elle ne pourrait jamais en être vraiment une. Leur séparation avait déjà duré bien assez longtemps. Bien sûr elle était consciente que Carensa rejoindrait sa nouvelle famille mais qu'elle vienne faisait plaisir à l'Infernale.
Ce lundi matin après une énième nuit à scruter l'horizon Marie était rentrée à la taverne. Un dernier verre pour aider à trouver le sommeil et elle était montée se coucher faisant un détour par la chambre de la Perfection pour lui déposer un baiser comme elle le faisait tous les jours.
Si tu savais comme tu me manques...
La porte doucement refermée et la brune de rejoindre sa chambre et de s'allonger sur son lit pour quelques heures de repos.
Au Diable nos Adieux ZAZIE par moi même
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