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[RP] Allégeances de la Comtesse Ewaële de la Boësnière

Ewaele
Faire abstraction de tout, éviter les différents regards entre ceux qui attendaient une réaction de sa part, ceux qui fuyaient ses prunelles ou encore elle ne savait quoi d’autre.

Il fallait dire que ces allégeances n’avaient rien de communes et Carmody, par son arrivée, ne faisait qu’ajouter à cet état de fait. Mais le héraut était sagement intervenu, et elle avait trouvé les paroles qui auraient pu être les siennes. Nul besoin de rajouter quoi que ce soit, la cérémonie continuait et elle s’occuperait personnellement des gardes en temps et en heure.

Elle vit Dhéa approcher et alla à sa rencontre pendant que cette dernière présentait son serment.


Nous Ewaële de la Boësnière à vous, Dhéa d'Ysengrin, Vicomtesse de Droux, pour vos terres en Limousin je vous accorde aujourd’hui protection, justice et subsistance.

Qu’Aristote vous garde, ainsi que votre progéniture, et vous aide à continuer à œuvrer pour le Limousin et ses habitants.


Elle fit une accolade pour sceller l’allégeance et faillit naturellement crier : A qui le tour ? Ce qui ne manqua pas de lui arracher un sourire… Ben voyons Ewa, se dit-elle, tu n’as plus qu’à transforer cette cérémonie en criée et tu auras tout gagné.
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jakamer
Il s'approcha du trône alors qu'il jugeait qu'il avait suffisamment patienté comme cela, sans qu'on lui porte le moindre intérêt. Si il avait pu s'abstenir de porter allégeances, il l'aurait fait ...

Nous , Jakamer de Mitropoles, Seigneur de Chabrignac , en ce jour vous reconnaissons comme suzerain vous Ewaele de la Boesniere Comtesse du Limousin et de la Marche par la grâce des urnes. Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait à vous opposer vous, Ewaele de la Boesniere, Comtesse du Limousin et de la Marche, notre suzerain, à Sa Majesté, Lévan, Roy de France, notre souverain, nous jurons que nous prendrions cause pour lui.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Ewaele de la Boesniere, Comtesse du Limousin et de la Marche, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.
Ewaele
Elle l’avait observé depuis un moment, mais il était resté prostré dans son coin, évitant de se mêler aux autres nobles, comme si il avait peur de se faire mordre ou d’être reconnu pour un méfait passé. Petit sourire ironique, c’était sans doute ça en effet. Mais il aurait pu se présenter devant elle bien plus tôt et éviter sans doute de s’ennuyer fermement comme pouvait le montrer ses traits.

Elle haussa les épaules, après tout c’était son problème et non le sien, mais apparemment il devait aimer cela de poireauter ou de faire attendre. Ewa se souvenait de son mandat avorté de régent et des rumeurs sur ses allégeances courant en ville et qui s’étaient transformées en une longue attente et où certains en ayant marre de patienter, étaient repartis pour envoyer missive.


Nous Ewaële de la Boësnière à vous, Jakamer de Mitropoles, Seigneur de Chabrignac, pour vos terres en Limousin je vous accorde aujourd’hui protection, justice et subsistance.

Qu’Aristote vous garde !


Hé ben quoi? Si quelqu’un lui disait quoi que ce soit sur sa réponse simplifiée elle lui dirait la suite. Le seul à être resté dans son coin, alors que la noblesse se mélangeait, discutait, et tournait au tour du buffet mis là à leur intention. Il y avait manière plus simple pour prêter allégeance quand cela devenait une corvée et certains savaient largement en jouer pour éviter de montrer leur museau!
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Nicotortue de Brassac
Bien, il était temps d'y aller et de ployer le genou devant Ewa, une nouvelle fois. Après tout, c'était la raison officielle de sa présence icelieu. L'officieuse, évidemment, était plus personnelle, mais concernait aussi Ewa, comme tout un chacun pouvait s'en douter.

D'un regard, il mit en mouvement les deux valets qui attendaient patiemment depuis l'arrivée comtale qu'on daigne leur accorder le rôle qui leur avait été dévolu. Ils précédèrent donc le Comte de quelques pas pendant quelques courts instants, avant de s'arrêter à quelques mètres du trône comtal d'où la Comtesse en titre regardait d'un oeil étonné tout ce cérémonial. Elle ne se doutait pas qu'il s'agissait d'une partie de la surprise qu'il lui avait réservée.

Une fois ses gens immobiles, il les dépassa de quelques dizaines de centimètres et se tint un instant immobile, un sourire aux lèvres, à regarder sa suzeraine et future épouse... si Aristote leur prêtait vie assez longue pour surmonter les épreuves qui surgissaient de part et d'autre. Puis il prit la parole :

Ma Dame, veuillez par ses paroles recevoir le serment d'allégeance que moi, Nico de Brassac, Comte de Turenne et Baron de Neuvic en Limousin, vous prête ce jour. Par ces mots, je vous jure fidélité, assistance et conseil.

Un instant de silence.

Je profite également de l'occasion pour vous signifier que le Limousin est désormais représenté à la Pairie par mon intermédiaire, suite à la nomination faite il y a quelques jours par Sa Majesté. Le manteau porté par mon valet ici à ma droite en est la preuve, si besoin était. Inutile de dire que ma personne est toute entière dévouée au service de ma province et de celle qui en est à la tête. J'essaierai de faire honneur à notre Comté autant que faire se peut.

Un autre instant de silence.

Enfin, à titre plus privé, mais néanmoins tout aussi capital en ce qui me concerne, je vous communique la nouvelle que votre humble serviteur vient d'acheter hostel en Paris où il espère vous voir le visiter sous peu, lorsque vos charges et vos occupations vous en laisseront le loisir.

Sur ce, le Comte se tut et continua à la regarder, quasiment sans ciller. Il attendait sa réponse, protocolaire ou pas. A vrai dire, cela lui importait assez peu... il n'était là que pour la voir et lui annoncer ces quelques menues nouvelles. Le sourire ne se démentit pas, pas plus que l'étincelle au fond de ses yeux.
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Attila Ysengrin
Le rejeton Ysengrin balaya la réponse de Carmody, d'un petit mouvement de la patte. Pendant que Mère lui sussurait des douceurs à l'oreille, il se remémora les péripéties de sa famille enseignées dans son jeune âge.
Icaré avait en effet porté armes qui échurent ensuite à Carmody, causant grande colère du bouillant bâtard de Père.

- Maître Carmody, mon demi frère était assez grand pour s'occuper de son honneur. Si contentieux il y a, et si le plaignant est encore vivant, je recueillerai ses doléances comme un frère. Mais en attendant...

Mère quitta le bras de son fils avec sa grâce naturelle, quoiqu'elle semblât fredonner en même temps et reçut la réponse attendue de sa suzeraine, provocant un "WUF" de satisfaction du fiston.

Quand Turenne s'avança à son tour. Eh bien... un Pair de plus!


- Mère? Irons nous à ce foutu mariage en Paris, maintenant que nos devoirs ici sont remplis? Je ne vois pas bien ce que je vais y foutre, si ce n'est peut être une baronne esseulée et les poches pleines d'indulgences.. Parlez moi un peu des promis... cette Fitzounette.. et un Pair! rapide regard à Turenne accompagné d'un rictus torve Elle épouse un débris d'âge canonnique?
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Ysengrin Carpe Jugulum

Vicomte de St Pardoux, Baron de La Roche Canilhac
Adrian
[ En discussion avec Ratgus d'Arafura. ]

La fraternité avait ce petit goût de décalé qui rendait les Licorneux, nobles et non-nobles, si à part dans ce genre de situations. Primo parce que jamais en d'autres circonstances Adrian n'aurait accepté le tutoiement, de qui que ce soit. Secundo parce que qui il était lui imposait de montrer son rang au monde : il était encore de noblesse intermédiaire actuellement, bien que le décès de sa mère ne tarderait pas, le faisant basculer dans le cercle de la Haute Noblesse, avant de, il l'espérait un jour, passer à la Très Haute noblesse, celle qui vaut tous les respects. La familiarité et le tutoiement immédiat étaient les marques les plus caractéristiques de cette confrérie d'hommes et de femmes qui se sentaient à l'écart du monde tel qu'il était, et ce à juste titre. Adrian sourit à l'annonce du nom de son interlocuteur, moins par politesse que pour le plaisir de sentir qu'il avait raison. Et il n'y avait rien de plus jouissif encore, pour le jeune homme, que de sentir qu'il savait quelque chose. Un simple sourire manifesta sa joie contenue, et peut-être un brillant des yeux, comme celui d'un Faucon qui sent qu'il va saisir sa proie. Il ne releva pas la mention inutile du "Frère Licorneux", particulièrement déplacé dans les circonstances, tout encore à sa joie. Primo parce que avec une Licorne sur son mantel, on ne passe pas inaperçu. Ensuite parce que si l'on connait la devise entière de l'Ordre, préciser par derrière que l'on est frère est très superflu. Adrian, de par sa concision naturelle, avait horreur que l'on répète des choses qu'il savait déjà, et inutiles par-dessus le marché. Faisant un ou deux pas en arrière, il répondit alors, sur un ton qui se voulait amical :

- " Adrian Fauconnier de Riddermark. " Il ne fit pas mention de sa parenté à Bralic, visible dans son nom, ni à Condé : le Riddermark le montrait très bien. Mais il fit quelque chose qui montrait qu'il se sentait en confiance au milieu des Licorneux, et plus particulièrement des frères : Il poursuivit. " Ecuyer personnel de Cerridween de Vergy. " Ce qui était bien un exploit, que de dévoiler une information qu'on ne lui demandait pas, et ensuite qui n'était pas importante ! Mais tel était son statut à Ryes, malgré tout. Un lien ténu et fugace, entre lui et cet homme, comme entre beaucoup d'autres dans la pièce. Dépassant sa peur de parler habituelle pour lui qui n'avait rien d'un parler assuré en temps normal, il poursuivit encore, en précisant : " Le maistre d'arme. " Ce qui était déjà un gros effort de socialisation pour le jeune garçon. Il n'irait pas, néanmoins, jusqu'à lui livrer son sentiment intérieur, et à lui dire qu'il était lui aussi heureux de rencontrer des frères séant. Son expression lui paraissait suffisante pour le montrer.

Détaillant Ratgus, il réfléchit un instant comme à son habitude à la demande du Prévost : l'habitude de chercher les roueries derrière les propositions. Habitude prise il y a peu par celui qui avait compris que s'il ne faisait pas attention, beaucoup chercheraient sur ses terres à le rouler à cause de son jeune âge. Il ne vit aucun danger à accepter, et sut que rencontrer des gens ne faisait pas partie des services qu'il devrait rétribuer un jour. Aussi inclinât-il lentement la tête, avant d'ajouter, pour la compréhension et la politesse :
" Ce serait un honneur. "

L'oeil averti notera notamment qu'il évitait soigneusement le tutoiement, l'un des aspects de la fraternité auquel il se faisait le moins : le tutoiement brisant les distances entre les êtres, et les mettant tous égaux, ce que Adrian avait encore du mal à concevoir, lui qui s'était fait élever en se faisant dire qu'il était amené à être juste en-dessous des roys. Par des formules détournées, il parvenait à montrer la proximité, sans pour autant tutoyer ouvertement. Il espérait parvenir, dans cette salle, à le faire le plus longtemps possible. Il observa Ratgus, s'apprêtant à le suivre où il le désirerait.
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Ewaele
[Protocole, protocole quand tu nous tiens…]

L’image qu’avait enregistré Ewaële était assez nette, du moins aussi nette que possible avec une vision différente. L’arrière plan restait assez terne, des mélanges de couleurs pâles et des zones de noir total, un noir de vide. On pouvait distinguer une lueur vive sur le bord gauche, une lumière de vie. Mais c’était le centre qui attirait l’œil automatiquement, tant par sa place centrale que par la vivacité des couleurs. Les contours flous d’une silhouette se dessinaient. Le sang d’Ewa ne fit qu’un tour.

La jeune femme dut rester concentrée sur l’image et la visualiser dans son propre esprit tout le temps, lorsqu’enfin elle relâcha son attention. Il s’était avancé avec ses deux valets… Un instant elle se demanda comment elle allait réagir. Sagement assise sur son trône elle le dévisageait, essayant d’assimiler ses paroles qu’elle buvait sans vraiment les comprendre. Pour sûr elle aurait aimé se précipiter vers lui, mais l’aurait-il apprécié?

La fin de sa phrase se perdit dans les limbes de son esprit déjà ailleurs. Son regard ne fixait plus que Nico. Ses souvenirs revinrent en forces, détruisant avec une facilité déconcertante sa muraille déjà assaillie par les sentiments. De longs cheveux sombres se dessinaient, cascadant sur un visage d’une blancheur absolue mais accueillant. Les traits teintés en permanence de tristesse de la Comtesse, parfois même tirés par la fatigue ou les nuits d’insomnies qui l’assaillaient fréquemment. Sa gentillesse, sa détresse, son histoire, sa solitude qu’elle avait partagé avec lui. La jeune femme se revoyait quelques mois en arrières, effrontée mais surtout curieuse, trop curieuse…

Au diable la bienséance, au diable ce que les autres penseraient, elle était heureuse et fière pour lui, de lui, se souvenait encore du travail acharné sur la préparation du dossier, les lectures et relectures, et puis tout le reste, mais cela leur appartenait, c’était à eux, un moment d’échange et de complicité. Et enfin le bonheur de la réussite, il le méritait! Elle se leva, chassant le politiquement correct, et vint devant lui d’un pas sans doute trop rapide et alors..

Aurait–elle du lui répondre avant de le prendre dans ses bras, avant de le ressentir enfin tout contre elle. Tout ce qui les entouraient lui était pour l’heure indifférent, il n’y avait plus que lui qui comptait et sa présence, mais cela, tout le monde ne pourrait le comprendre. Pourtant elle dut batailler contre ses envies pour reculer d’un pas et ne garder que ses mains dans les siennes.


Moi Ewaële de la Boësnière, Comtesse du Limousin et de la Marche, aujourd’hui je reçois tes allégeances et les accepte. Je répondrai comme il se doit pendant mon mandat de mon rôle envers toi. Mon épée comme promis depuis longtemps maintenant sera toujours tienne. Je jure en ce jour béni de ta présence à mes côtés que s’il t’arrivait quoi que ce soit je serai le fléau de tes détracteurs.

Elle se tut sur ses dernières paroles, ses émeraudes prenant un nouvel éclat… Elle avala sa salive et reprit.

Permets moi de te féliciter pour ta nomination. Quelques bruits étaient arrivés en nos terres mais sans aucune certitude. Le Limousin est fier d’avoir trouvé un tel représentant envers la Couronne, et je suis sure que tu ne failliras pas dans tes fonctions, que tu serviras ton Comté et le Royaume avec autant d’assiduité, d’honneur et d’abnégation que dans tout ce que tu as entrepris jusqu'à ce jour.

Assez parlé pour l’heure, elle s’approcha doucement de lui, et approcha ses lèvres des siennes. Baiser vassalique ou pas pour sceller quelque chose? Chacun penserait ce qu’il voulait. Mais eux seuls en cet instant savaient de quoi il retournait réellement quand leurs bouches se posèrent l’une sur l’autre… L’instant dura t-il ? Elle n’aurait pu le dire.
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Attila Ysengrin
L'Ysengrin se fendit d'un rictus. Il souffla à sa Mère:"Tiens, c'est elle qui lui promet son épée... hinhin, où va t elle la planter?. Ma foi, l'Eglise y trouverait peut être à redire, n'est ce pas grande honte, qu'un Pair laisse son braquemart à sa femelle? La culotte, le braquemart, peut être le mantel d'hermine..."
- Taisez vous mon fils, on vous entend!

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Ysengrin Carpe Jugulum

Vicomte de St Pardoux, Baron de La Roche Canilhac
carmody
La renonce du jeune Ysengrin avait tout pour le surprendre, comme le jeune homme lui même. Décidément, il n'avait jamais assez bien connu cette illustre famille du Limousin. Et cette fois ci, il ne tiqua même pas a l'appellation de maitre.

Mais il avait raison, cette histoire a laquelle le Carmo avait fait référence était bien vieille et avait maintenant plus lieu d'être évoquée. Le roux se contenta de hocher la tête en silence pour montrer son assentiment. L'affaire semblait donc close et il repartirait sur de nouvelles bases si un avenir se profilait dans cette relation naissante et impromptue.

Puis le ballet des chassé-croisé des allégeances se poursuivi avec des visage, toujours assez connu par le roux.

Resté non loin du Loupinot, il ne pu s'empêcher de sourire a ses commentaires. Décidément il lui plaisait bien, ce nouveau visage. Dire ce qui venait a l'esprit avait toujours plus a Roux même et peut être surtout, quand cela était déplacé.

Alors qu'il regardait le comte venu prêter allégeance et la réponse de la comtesse, il laissa échapper un rire a l'écoute de son voisin.


Vicomtesse, c'est un charmant enfant que vous et le Leu avez donner au monde. Franc parler, esprit et a propos dans les situations. Certain, que la future mettra elle aussi ses braies a mal. Si toute fois elle s'y intéresse et soit trouvée déjà.

Le sourire du Carmo resta sur son visage alors que ses yeux restaient fixé sur le couple comtal.
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Nulle Défaite quand on se bat avec Honneur !
Childebert de Béarn
Le Vice Primat de France venait de revenir en Limousin pour l'Allégeance de la Comtesse Ewaële.

Il s'avança face à la Comtesse, ne pouvant plus se mettre à genoux dû à son grand âge, il s'appuya sur sa cross d'Evêque, et d'une voix haute dit.

Nous Monseigneur Childebert Albus Jehan Malo de Béarn, Vicomte d'Argentat, Vice Primat de l'Eglise Aristotélicienne, Evêque In Partibus de Séleucie, vous reconnaissons, vous, Ewaele de la Boesnière, comme suzeraine et comtesse du Comté du Limousin et de la Marche par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais obsequium, auxilium et consilium.

Que si un conflit venait à vous opposer, vous, Ewaele, Comtesse du Limousin et de la Marche, à Sa Majesté, Lévan, Roy de France, je jure que je prendrais cause pour lui.

Que si un conflit venait à vous opposer vous, Comtesse du Limousin et de la Marche, ma suzeraine, à un tiers, je jure que je prendrais cause pour vous.


Comtesse permettez moi de vous donnez ma Bénédiction pour que le Très Haut vous protège et protège le Limousin.
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Evêque In Partibus de Séleucie,
Vice Primat de France, Vicaire Général de Bourges, Père de l'Ordre Grégorien d'Argentat. Vicomte d'Argentat
Nicotortue de Brassac
Il la vit venir vers elle et ne fit pas un geste, se contentant de la regarder et de sourire. Il l'écouta lui répondre, sans faire le moindre geste, seule une étincelle de joie brillant au fond de ses prunelles. Lorsqu'elle l'embrassa pour le baiser vassalique, il l'entoura de ses bras et la tint prisonnière un instant, royalement indifférent aux commentaires des uns et des autres. Nul n'aurait su dire si le baiser était réglementaire hormis les 2 amants. Quoiqu'il en soit, il fut clair pour tous ceux qui regardaient que vassal et suzerain mettaient à s'embrasser un zèle inhabituel.

Le Comte se retirait, après avoir glissé à la Comtesse qu'ils rediscuteraient de tout cela une fois tranquillement installés dans l'intimité de leur hostel, où il la complimenterait également sur sa tenue et sa beauté, lorsqu'il fut presque bousculé par le Vicomte d'Argentat. Il s'écarta, non sans lancer un regard peu amène au malotru mais ne dit mot et regagna le petit cercle de Licorneux.
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Ewaele
Loin des blablas des nobles dans la salle, Ewa, dans un tout autre monde, profitait de l’instant présent… Baiser qui prenait fin alors que Nico se dégageait de l’étreinte, non sans lui murmurer quelques mots qui moururent par l’arrivée d’un nouveau noble… Se quitter sur la promesse de se retrouver après, enfin seuls tous les deux, lui laissa toutefois un sourire particulier aux lèvres.

Nous Ewaële de la Boësnière à vous Monseigneur Childebert Albus Jehan Malo de Béarn, Vicomte d'Argentat, Vice Primat de l'Eglise Aristotélicienne, Evêque In Partibus de Séleucie, pour vos terres en Limousin je vous accorde aujourd’hui protection, justice et subsistance.

Qu’Aristote vous garde !


Elle fut touchée par sa demande de lui donner sa bénédiction, elle s’approcha de lui et fit un simple oui de la tête avant de chuchoter…

C’est à lui et moi que vous auriez dû la donner, son regard se dirigeant vers son fiancé… Sans oublier, il en va de soi, le Limousin.

Elle fit à l’évêque une accolade afin de sceller son serment.
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Childebert de Béarn
Qu'Aristote Soit avec Vous Comtesse et avec tous ceux qui vous sont chers.

Citation:
Elle fit à l’évêque une accolade afin de sceller son serment
.

L'accolade surprit le vieux Vicomte. Il aimait se genre de marque de sympathie que peu osé lui donner. Il baissa la tête en signe de réverence puis repartie en son domaine pour reprendre sa charge de Vice Primat de France
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Evêque In Partibus de Séleucie,
Vice Primat de France, Vicaire Général de Bourges, Père de l'Ordre Grégorien d'Argentat. Vicomte d'Argentat
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