Arnan
Le géant ferma les yeux lorsque la main froide de la matriarche se posa sur sa joue. Prenant cette dernière, y posa un baiser dans sa paume, avant de la fermer et de la lui rendre. Na, y l'avalait de travers celle là.
S'relevant, y salua brièvement, et avec du retard, joy qui faisait son entré, se pieutant sur la table la plus proche pour teté sa bouteille de rhum.
Aller, buvons avant qu'on n'puisse plus. C'va aller, c'pas la fin du monde non plus.
Haussant un sourcil, le gaillard tourna la tête vers la blonde. Ou le semblant de blonde.
Z'allez bien vous occuper de la Famiglia, hein ? Que j'parte rassurée au moins et que j'puisse profiter d'mes derniers jours... Parce que là y a des p'tits nouveaux à mater. Faut qu'ils soient forts pour la suite... Va falloir s'y mettre à plusieurs.
Le deuxieme sourcil se haussa. Ouais, elle causait surement à Joy, y était pas même foutu de prendre soin de lui même, alors d'quelqu'un d'autre, bouah, l'horreur.
Y avait jamais été Corleone. Y avait que suivit la troupe du temps où elle était encore potable. Pour ce qui en pensait, ça avait reviré aussi pire que les Lycans du temps où Kachi était cheftaine. Boff, y voulait pas en parler, pas écouter.
Jetant un coup d'oeil à l'italienne, y resta silencieux. C'tait peu dire, y était venu ici en un coup de vent et se retrouvait maintenant avec une amie quasi morte dans les bras, et une ambiance lugubre, de quoi avoir envie de foutre le camp. Mouais... Y aurait bien envie d'foutre le camp.
Se relevant, y commanda une autre bouteille pour la route à la tavernière qui le regardait avec encore ce mauvais oeil. Hé! y était pas si moche. Vrai? ou.. faudrait un miroir. Faudrait un miroir, en bref, pouilleux, mais tout aussi affreux.
Lui jetant quelques écus, y se tourna vers les deux buveuses silencieuses, s'approchant de la blonde en quelques gestes lourds, pour lui murmurer, ce qu'elle seule entendit...
Questa sera, si trovano, si dormirà e che sogni, ma solo se posso avere la vostra fiducia.
[Ce soir, tu te coucheras, tu dormiras, et tu rêveras, mais seulement si j'ai ta confiance.]
Sur ce, y glissa un baiser sur le front de Rod, salua d'un geste Joy, et sorti, se petant toutefois la tête au rebord du cadrage de porte, ce qui lui arracha un grondement irrité. Bof, y avait des trucs qui changerait jamais.
S'relevant, y salua brièvement, et avec du retard, joy qui faisait son entré, se pieutant sur la table la plus proche pour teté sa bouteille de rhum.
Aller, buvons avant qu'on n'puisse plus. C'va aller, c'pas la fin du monde non plus.
Haussant un sourcil, le gaillard tourna la tête vers la blonde. Ou le semblant de blonde.
Z'allez bien vous occuper de la Famiglia, hein ? Que j'parte rassurée au moins et que j'puisse profiter d'mes derniers jours... Parce que là y a des p'tits nouveaux à mater. Faut qu'ils soient forts pour la suite... Va falloir s'y mettre à plusieurs.
Le deuxieme sourcil se haussa. Ouais, elle causait surement à Joy, y était pas même foutu de prendre soin de lui même, alors d'quelqu'un d'autre, bouah, l'horreur.
Y avait jamais été Corleone. Y avait que suivit la troupe du temps où elle était encore potable. Pour ce qui en pensait, ça avait reviré aussi pire que les Lycans du temps où Kachi était cheftaine. Boff, y voulait pas en parler, pas écouter.
Jetant un coup d'oeil à l'italienne, y resta silencieux. C'tait peu dire, y était venu ici en un coup de vent et se retrouvait maintenant avec une amie quasi morte dans les bras, et une ambiance lugubre, de quoi avoir envie de foutre le camp. Mouais... Y aurait bien envie d'foutre le camp.
Se relevant, y commanda une autre bouteille pour la route à la tavernière qui le regardait avec encore ce mauvais oeil. Hé! y était pas si moche. Vrai? ou.. faudrait un miroir. Faudrait un miroir, en bref, pouilleux, mais tout aussi affreux.
Lui jetant quelques écus, y se tourna vers les deux buveuses silencieuses, s'approchant de la blonde en quelques gestes lourds, pour lui murmurer, ce qu'elle seule entendit...
Questa sera, si trovano, si dormirà e che sogni, ma solo se posso avere la vostra fiducia.
[Ce soir, tu te coucheras, tu dormiras, et tu rêveras, mais seulement si j'ai ta confiance.]
Sur ce, y glissa un baiser sur le front de Rod, salua d'un geste Joy, et sorti, se petant toutefois la tête au rebord du cadrage de porte, ce qui lui arracha un grondement irrité. Bof, y avait des trucs qui changerait jamais.