Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7   >   >>

[RP] Banquet de l'Indépendance

Nathan2


Pour sûr, que Nathan eût toujours été le plus friand des Berrichons de ce genre d’événement. D’habitude l’événementiel lui était dû, le garçon de Louvières enlaçait la fête Berrichonne sous la coupole de bonne augure, Louvières. Il se savait doté d’un égo surdimensionné, qui, en bien des occasions accaparait l’attention, au détriment des personnes qui se devaient être centrales.
Quelques cours de maintien par ici. Un peu de bienséance par là. Et le jeune garçon entêté & parfois, même effronté se tenait à peu près bien.
Accoster Alleaume de la sorte était tout simplement euphémique de la part de Nathan.
Bref, il y eut d’énormes progrès! Le garçon au poisson orange se demandait si, l’assemblée s’en rendait compte de ses efforts surhumains. Ben oui, Nathan n’était pas totalement humain. Mais, ça, vous le saviez déjà.


Il n’y avait donc pas de whisky. Diantre. Il l’avait fait exprès, c’était tout bon à parier! Le sang fit un tour dans son corps en entendant à son insu, la prononciation faite par Constantin du Whisky, un viol auditif. Devait-il en pleurer ? Oh ben non, non, trop classique. Il ignora. Oui, comme un grand même. Un peu de tenue que diable.
Il donna à Constantin pour réponse ça, à peu près :


-Grmblmsstsgrml. Mmh.

Ça commençait bien.
Même très bien. Nathan n’avait pas sorti la carte, fromage de fromagère sentant le fromage de brebis greffé à celui de vache. Juste un « Grmblmsstsgrml. Mmh. » d’une valeur exceptionnelle. Constantin dut se sentir heureux.
Un joli compliment que voilà.
Alors ce fut évident que le « régicide de Berry » lui fasse un super compliment en retour.
Nathan n’en revint pas. Il était content de sa présence. Avait-il noté une pointe de froideur ou d’ironie ? Les deux se greffaient si bien pour fabriquer le mensonge.
Niaiserie Ambroisienne.


-Hé machin!
-Oui monsieur ?
-Il m’a fait un compliment!
-Et ?
-Et ben je suis tout ému…
-Pauvre Nathan…


Dans une fête, tout s’enchaînait -Constantin partit, tant pis pour lui, il allait se faire iech, c’était tellement plus sympa avec le blondinet- que le duc d’Argenton arriva vers lui.

-Quelle charmante enfant. Alleaume cache bien ses trésors, là. Assurément ma demoiselle, que la noblesse de Berry connait, en votre présence, un nouvel élan de beauté & de charme du côté féminin.

Côté masculin il y avait Nathan, ça compensait! Il se limita dans les compliments, qui bien entendu fusèrent dans son esprit. Un déluge de compliment. Il se contenta d’une seule phrase. Pour ensuite se tourner vers le paternel, avec qui, de nombreux sujets devaient être abordés.

-Le futur est du passé concernant mon rang. Mais passons. Nous avons affaires. J’ai cru comprendre que ma cousine eut jeté son dévolu sur ton frère, Mansart. Le Baron de Joinville il me semble… Un léger sourire accompagna le tout.
-Aux dernières nouvelles, ma bien-aimée cousine, Johanara, est portée disparue. Ce qui fait, que je me porterai, par devoir, garant de la condition d’Amaelle. Combien comptes-tu me soutirer ?

Un sourire de façade, Nathan masquait comme il se devait sa colère à l’idée de payer une dote. Il sondait le terrain. Mais des négociations allaient arriver bien vite.
Non pas dénué d’intérêt, Nathan eut à ce moment-là, la superbe idée de se positionner comme chef de famille, après-tout, il était le mâle des Ambroise, le dernier demeurant en Berry.
Sa cousine ne subvenait plus à rien, elle adjurait pour quelques piécettes. Le Limousin ne lui donnait que la vieillesse, qu’elle avait tant fuit ces dernières années.
Résigné, il prit un godet de vin.
Pas mauvais.
Sans plus.
Il regarda la fille Niraco s’éloigner et glissa à son ami.


-Garde-la bien. Une telle beauté est à même de tous les dangers.

Un détour de regard et il vit. Horreur!
Damnation!
Un Arundel.


-Ouh! Quand je disais qu’il y allait avoir de la baston… Regarde. Un Arundel… Elle est où la lice ?

Le jour était à la célébration. Le jour était à la fête.

-Il faut vraiment purifier le Berry.

Il le dit sans détourner le regard de l’Arundel, buvant son vin, nonchalant. Alleaume savait à quoi s’en tenir avec Nathan. Il ne se cachait plus derrière les exquises métaphores.


Mansart
Etant venu avec son frère et sa petite dernière, Mansart avait salué les invités d'un simple signe de tête, un peu par flemmardise, beaucoup pour ne pas avoir la tête à discuter en ce moment. L'air un peu maussade, il alla quérir un verre de vin blanc auprès d'un valet qui alla prestement le chercher et qui lui en ramena un. Le Niraco le goûta d'un air suspicieux avant de sentir sa coupe.

Je vous avais demandé du Bourgogne, triple buse ! Ca, rien qu'à la couleur c'est un mauvais vin d'Anjou, prends moi encore pour une poire sancerroise et je te refais le portrait ...

De mauvaise humeur ... Il refila la coupe au valet et désespéré il s'en alla rejoindre son frère ne sachant pas vraiment que faire d'autre. Celui-ci discutait avec Nathan, son futur cousin.

Pas Joinville, Tonnerre ! Baron de Tonnerre, c'est plus ... foudroyant comme titre. Et pour la dot, peut-être pourrions-nous voir ça à Argenton chez mon bien-aimé frère ou chez vous à la limite vu que cela concerne votre famille. Qu'en dites-vous Nathan ?

Malgré sa mauvaise humeur, le Chancelier réussit à décocher un léger sourire à son interlocuteur.
_________________
Yoldur
Yoldur , bien que n'ayant recu aucune invitation officielle, avait apercu un affiche placardé sur une taverne de Chateauroux, l'idée lui parraissant plaisante, et étant lui même un fervent soutien a la cause berrichonne, il se réjouissait d'avance de l'évènement. Arrivant devant la demeure de sieur Gilgaalad, le jeune homme entendit le brouhaha et la musique caractéristique d'une fête... Deja commencée... Maugréant d'arriver en retard, le jeune homme alla se prèsenter au garde:

"bonsoir, veuillez annoncer Yoldur de Niraco s'il vous plait"

S'avancant ensuite dans le parc, le jeune homme fut surpris du nombre de personnes prèsentes, et surtout des nombreux visages inconnus ou peu familiers... Il repéra néanmoins son père, son oncle et sa soeurette non loin du banquet, il se décida a aller les saluer"
_________________
Arhiana




Arhiana ainsi que Syrius et sa fiancée Moana allèrent rejoindre son époux Jimmy à la fête de l'Indépendance à Savigny, chez les de Noldor. Elle espérait que son parrain Gilgaalad serait là, car elle ne le voyait peu et l'aimait beaucoup, puis les histoires entre les d'Arundel des Olonnes et les de Noldor, c'était pas pour aujourd'hui, aujourd'hui ce jour du 21 juillet 1461 c'était la fête de l'Indépendance du Berry. Elle avait revêtu une belle robe comme à son habitude.



Hey, il fallait bien fêter cela, car le Berry avait tellement galéré pour en arriver là. Elle avança avec son frère et sa future belle-soeur, qu'elle considérait déjà comme sa soeur, tellement elle était adorable et vit le Duc Alleaume ainsi que le Baron Nathan de Palluau qui avait été un ami dans le temps, mais les aléas de la vie, font que des fois, les choses ne tournent pas comme on le voudrait. Elle les salua quand même d'un signe de tête, ce n'était pas le jour aux querelles intestines donc elle fit le premier pas envers eux, après à eux de voir si ils la saluaient ou pas.

Ils retrouvèrent et rejoignirent enfin son époux bien aimé Jimmy. Elle lui fit un tendre baiser passionné.

Ca va mon chéri !!! Alors comment cela se passe ? J'espère que tu n'as pas eu de problèmes au moins, on peut laisser les inimitiés de côté pour ce jour que nous nous rappellerons toute notre vie.



_________________
Constantin
Constantin se pressait toujours pour ses invités. Usant des richesses de Tonton pour charmer. Une grande opération de propagande, mettant sa famille au rang de protecteurs de l'Indépendance. Fallait y penser, hein ? Bien que ne se considérant pas comme d'une intelligence supérieure, il fallait avouer que c'était pas idiot. Dans la tête de l'Archidiacre, les intérêts de sa famille et du Berry étaient liés, à jamais. Belle histoire d'amour. En attendant, il était toujours seul à se démener pour que tout le monde prenne place et soit servi. Une vraie bonne femme, ce mec...

Mais où étaient ses cousins ? Il marcha de côté, comme un crabe apeuré, vers la porte du castel, celle qui menait à l'escalier. Puis, avisant à droite et à gauche, il pénétra à l'intérieur. Montant quatre à quatre les marches, il ne trouva ni intendant, ni varlet, ni cousins insoumis (ce qui était rare chez les Noldor). Il s'inquiéta un peu. Puis, voyant un garde qui jouait aux dés, il s'approcha.


Dès que vous croisez un de ces foutus membre de ma race, vous lui bottez l'arrière train et vous me l'envoyez immédiatement dans la cour ! S'il résiste ?

Constantin eut un sourire qui pataugeait entre le cruel et le sadique.

Mais s'il résiste, Baudoin, c'est encore mieux !

Et il fit demi-tour, retour vers la cour. Un instant il s'arrêta à la fenêtre à mi hauteur de l'escalier, pour observer l'ensemble. Satisfaisant, pensa l'Archidiacre de Bourges. Satisfaisant. Il vit la rousse, qui regardait autour d'elle comme si elle allait voler une aiguière en argent. Lui faire payer cher ? Il avait envie de tenter, rien que pour voir ce dont elle était capable...

Visage apaisé, il descendit les marches et, croisant un nouveau garde, il lui dit la même chose qu'à Baudoin : premier Noldor, prochain Noldor tiré par la peau du cou dans la cour. Remettant de l'ordre dans sa sobre tenue (du rouge, du rouge partout, comme le sang, comme les Cardinaux Romains), il sortit sourire aux lèvres assez pour entendre une phrase de Nathan, propre à faire pâlir n'importe quelle bobonne de maison qui faisait une petite sauterie :


-Ouh! Quand je disais qu’il y allait avoir de la baston… Regarde. Un Arundel… Elle est où la lice ?

Constantin regarda et vit que de nouveaux Arundel arrivait. A ses yeux, c'était la preuve que l'Indépendance pouvait fédérer tout le monde, et c'était exactement ce qu'il souhaitait. Pour peu que Nathan ait envie de se battre et de foutre le bordel, tout serait raté. C'était purement et simplement hors de question. Alors, il s'approcha du blondinet et adopta la technique "Calmons-nous et buvons du vin !". Il posa son bras sur celui de Nathan et dit d'une voix qui se voulait apaisante :

Mettons de côté ces vieilles querelles, l'instant d'un soir. Pour le Berry. De toute manière la lice a été démontée pour faire de la place et loger tout le monde...

Toujours accroché à Nathan, en mode "On s'est marié la semaine dernière.", il fit un sourire en voyant Arhiana et sa famille arriver. De sa main libre il leur fit signe de s'approcher et de s'installer à leur aise. Ici, ils étaient chez eux, comme tout les berrichons.

_________________

Le Berry selon Constantin.
Dastan69
Dastan de Noldor étais un peut en retard, il avais été retenu au conseil d'administration du FIER dont il fessais parti
Il aperçu du beau monde.


Bonjour a tous,
je suis Dastan de Noldor, nous somme heureux de votre venu.


Il s'installa et se servie un verre !
Alix.
La jeune fille remercia Nathan pour le compliment d'une inclinaison de tête et d'un sourire. Comme toute jeune femme, elle aimait les compliments et les appréciaient. Cependant jamais, elle n'en ferait tout un foin ou s'en venterait. Elle n'était pas ainsi et préféré rester dans la simplicité.

Elle l'écouta parler de son rang qui n'avait pas bougé, ce qui la fixa sur l'homme un peu. Elle n'arrivait pas a saisir qui il était et qu'elle importance il avait pour le Berry. Un politicien ? Alix l'écouta ensuite parler de son oncle qui allait se marier et de la Dot.

Alors que la conversation prenait toute son attention, une femme rousse se glissa a son côté lui tendant un verre de vin. Le prenant, Alix sourit a la femme et l'observa, ses yeux émeraude qui la fascine un court instant, sa chevelure rousse qui la fait frémir. Elle avait peur de ses femmes et hommes Roux. Les inquisiteurs les brulaient pour se protéger et on lui avait toujours dit que c'était les enfants de la bête sans nom...

Un regard vers son père toujours pris par la discussion et la voilà qui s'éloigne légèrement de lui pour ne pas les déranger. Un sourire se dessina sur ses lèvres et elle répondit simplement


Je vous remercie pour le verre Dame. Il est vrai que les discussions soient quelques fois un peu ennuyeuse surtout pour moi qui ne connait rien aux différents domaines abordés.

Un léger soupir vient marquer sa phrase et elle balaya la salle de son regard ou elle aperçu son frère et son oncle qui était présent. Son oncle avait rejoint son père et le Barron. Son frère les rejoignant quelques instants après. Reportant son attention sur la femme en face d'elle, Alix rosit

Je vous demande pardon dame, je ne me suis pas présentée a vous... Je suis Alix de Niraco, ravie de vous rencontrer !
_________________
Moana
Accompagnant Arhiana qu'elle appréciait grandement, Moana arriva au bras de son fiancé, Syrius, à cette fête pour l'indépendance du Berry organisée au château de Savigny des Noldor.
Pour cette grande occasion, elle s'était vêtue de sa plus belle robe : brodées de fil de soie, d'argent, et de fines perles sur son bustier dont le décolleté laissait entrevoir sa jolie poitrine, sa robe en velours noir avec des empiècements en satin d'un rouge écarlate soulignait sa fine taille. Ses cheveux d'une blondeur ensoleillée étaient torsadés et entremêlés avec des rubans noires et rouges, ses épaules les réceptionnaient en mèches un peu désordonnées. Son collier en argent finement ciselé, qui lui avait permis de retrouver son père Alekine, était le seul bijou qu'elle porta pour cette soirée où déjà se côtoyaient différents berruyers.

Toujours un sourire amusé aux lèvres, elle jeta un coup d'oeil à cette assemblée qui était déjà importante et bien disparate : entre paysans et soldats, marchands, notables et nobles..tous semblaient être venus célébrer l'indépendance du Berry. A la vue de connaissances et d'amis, elle fut quelque peu rassurée : en effet, au couvent où la blonde avait grandi, elle n'avaitt point habituée à de telle réjouissance.

Elle alla saluer toutes les personnes qu'elle connaissait avec sa bonne humeur et son exubérance habituelles. Un verre de vin à la main, elle eut un mot pour chacun. Elle commença par Cromignon qu'elle avait rencontré dès son arrivée à Châteauroux


Bonjour Cromignon, comment se porte ta femme et le bébé? je suppose qu'elles sont restées chez vous se reposer?

Puis elle se tourna vers Les frères Nicaro qui discutaient avec un sire qu'elle ne connaissait point et non loin de belles femmes buvaient un verre. La blondinette s'inclina légèrement vers les personnes inconnues et demanda des nouvelles aux deux frangins
All, Mansart comment allez vous? Alors , ça avance les mariages ?

Puis non loin, elle vit Shern en train de boire à la table des soldats. Elle lui sourit et lui fit un coucou de la main ne souhaitant pas le déranger dans sa conversation, certainement d'hommes...

Dastan était en train de siroter un verre tranquillement, elle le salua puis vit un sire qu'elle n'avait jamais aperçu auparavant qui semblait courir et gérer avec une grande facilité cette soirée de fête...

Enfin , elle regarda Arhiana et Jimmy et leur murmura
vous êtes magnifiques tous les deux! Un couple d'une élégance raffinée!
_________________
Jimmy_de_aragon
Alors que le seigneur de Aragon s’avançait vers les gardes de Savigny qui vérifiaient la bonne tenue de chacun et leurs invitations , il fut interpelé de façon bien sympathique par un homme à la barbe finement taillée

Bien le bonjour Messire d'Aragon ....Quelle magnifique journée pour festoyer n'est-ce pas ?

— Ah , je suis heureux de vous croiser icelieu, de Cro-Mignon… Oui, une merveilleuse journée, essayons donc d’en profiter avant que le temps ne se gâte.

A peine eut-il dit ces quelques mots, que l’oreille fut attirée par un nom qu’il connaissait bien…

Un Arundel… Elle est où la lice ?

Jimmy se retourna et vit un homme qui avait été son ami le regarder de façon bien provocante…

Il faut vraiment purifier le Berry.

Si Jimmy n’était pas un Arundel, ces propos lui firent l'effet d'une gifle, car cela s’adressait à la famille de son épouse… Il soutint son regard avec un sourire indémontable et allait lui demander de façon effrontée des nouvelles de Dastan, qu’il avait battu récemment en lice. Il n’avait rien contre Dastan, mais la provocation de Nathan le mettait hors de lui… Qu’était devenu donc cet homme autrefois si aimable et courtois ?

Fort heureusement pour le bon déroulement de la fête, il entendit une voix fort charmante qui fit fondre toute velléité en lui… Il en oublia le sarcasme de Nathan et sourit à son épouse, avant de lui baiser tendrement la main.


Ca va mon chéri !!! Alors comment cela se passe ? J'espère que tu n'as pas eu de problèmes au moins, on peut laisser les inimitiés de côté pour ce jour que nous nous rappellerons toute notre vie.

— Hummm… non non, tout va bien, ma douce aimée… Comment vas-tu , Syrius ? ah, Moana, quelle plaisir de vous voir aussi !


vous êtes magnifiques tous les deux! Un couple d'une élégance raffinée!

— Bien le merci, Moana ! Alors, Bourges vous plait ? Je vous présente messire de Cro-Mignon, de Châteauroux… un ami de l’Ecole des Calés.. Oh, mais vous vous connaissez déjà, suis-je distrait !

Ils passèrent enfin les barrières et Jimmy répondit d’un sourire à l’invitation de Constantin… Il chercha des yeux une table où s'installer ou mieux, un placeur...

_________________
Moana
Jimmy l'accueillit avec sa gentillesse habituelle
ah, Moana, quelle plaisir de vous voir aussi ! Bien le merci, Moana ! Alors, Bourges vous plait ? Je vous présente messire de Cro-Mignon, de Châteauroux… un ami de l’Ecole des Calés.. Oh, mais vous vous connaissez déjà, suis-je distrait !

Elle lui sourit et lui répondit

Oui j'ai rencontré Cro dès son arrivée à Chateauroux! et j'ai eu la chance de rencontrer sa femme lorsqu'elle attendait l'heureux événement: leur petite fille.
Bourges est une belle ville en effet, mais ce qui est le plus merveilleux c'est de retrouver les personnes que nous aimons. Isabelle , ma mère adoptive et Alekine mon père sont à Bourges en ce moment, j'ai eu le plaisir de croiser Isa en taverne, j'aurai aimé parler à papa mais je pense que cela viendra...il est débordé par le travail...


Elle but une bonne gorgée de son verre puis continua d'une voix assez forte pour que tous puissent l'entendre
Ayant voté pour l'indépendance , je ne pouvais point rater ce grand moment de rassemblement berruyer pour fêter cet événement. Toutefois, il aurait été, à mon humble avis de blondinette, de célébrer cela comme il se doit dans un lieu plus symbolique et qui n'appartienne à aucune des grandes familles du Berry afin qu'aucun amalgame ne soit fait...
Réjouissons nous malgré tout que tous les berruyers, quelque soit leur origine et leur fortune, soient unis pour fêter cet heureux événement que nous souhaitions tous de notre coeur!!

_________________
Shirine
Les minutes passent et de plus en plus de gens affluent dans la cour. Shirine s'aperçoit qu'ils sont majoritairement de la noblesse. Plusieurs conclusions s'imposent alors à elle : soit le Berry n'est pourvu que de nobles - ce qui est fort probable sinon qui travaillerait pour les nourrir ? - , soit la gueusaille n'a pas osé venir ou n'a pas voulu. Elle se sent un peu seule tout à coup.

Mais elle reste concentrée sur sa discussion avec Alix. Elle essaye de se tenir aussi droite que possible et lui offre son sourire le plus gentil.

Vous pouvez m'appeler Shirine. C'est moi qui m'excuse, vous devez me trouver bien impudente pour venir parler à une dame de votre condition.

Elle, elle n'a pas de nom de famille à particule. Elle aurait pu s'en inventer un, en prétextant un emménagement récent en Berry. Lorsqu'ils auraient été vérifier, elle ne serait sans doute déjà plus là. Mais le mensonge, elle ne l'utilise que depuis peu, ce n'est pas encore un réflexe. Avant, elle aurait déjà déclaré à qui veut l'entendre qu'elle était hérétique et Sicaire du Lion de Juda. Enfin, avant, elle ne se serait même pas pointée ici...
_________________
Arhiana




Arhiana qui n'avait pas été à Châteauroux, vu qu'elle était bloquée à Bourges, pour plus longtemps maintenant, heureusement car elle en avait plus que marre là, et n'était pas femme à rester en place en plus.

Jimmy qui avait mis son bras autour de sa taille, était beau avec son costume et elle lui dit : Non chéri, moi je ne connais pas ton ami, tu pourrais me le présenter quand même. Moi, en attendant je vais me présenter

Je suis Arhiana de Aragon, femme de Jimmy et mère de jumeaux de 5 ans, un fils Jehan et une fille Eleanore, et je suis enchantée de vous connaître aussi.

Elle lui souria et Jimmy donna le départ pour entrer, Jimmy n'avait pas voulu lui dire pour un Arundel de Nathan, mais le mal était déjà fait, elle l'avait entendu, Nathan parlait assez fort quand il était saoul et ce devait être le cas, à n'en pas douter, mais chacun fait ce qu'il lui plait aussi, donc elle ne fit pas attention à sa réflexion car en plus il parlait de Jimmy qui n'avait jamais été un d'Arundel, vu qu'il était un de Aragon.

Enfin baste, on était pas là pour jaspiner sur les uns et les autres, on était là pour s'amuser.



_________________
Homme_de_cromignon
Cromignon souria en grand lorsque la charmante Moana le salua et s'informa de sa petite fille et de son épouse. Il la regarda et s'empressa de lui répondre:

Bonjour Moana, en effet ma femme est restée à la maison avec ma petite fille mais elles vont tres bien toutes deux. Je vous trouve ravissante, je suis certain que beaucoups n'auront de yeux que pour vous .....mais auriez -vous l'aimabilitée de me montrer ce bon vin car je vous avoue que la route m'a donner soif.

Il lui sourit et s'adressa à Messire d'Aragon

Tout le plaisir est pour moi Messire d'aragon et je compte bien m'amuser en effet.....je dois vous confier que c'est la première fois que je suis invité dans un château, alors imaginer mon plaisir d'être parmi vous en cette belle journée.


Puis une magnifique dame vint se présenter à lui, il ne fut pas surpris quand elle lui annonça être l'épouse de Messire d'Aragon et il s'empressa de lui répondre.


Vous me voyez vraiment honoré de vous rencontrer Dame Arhiana et je dois vous dire que vous êtes vraiment en beautée et votre mari doit etre tres fier de vous avoir à son bras.


Cromignon fit un clin d'oeil complice à jimmy et était enchanté d'avoir déjà des gens de cette qualités avec qui échanger.....il les accompagna donc dans les jardin et remarqua le Duc Alleaume et sa fille Alix , il en profita pour allez les saluer.


Bonjour Mr. le Duc.....je vois que vous êtes en charmante compagnie.....je vous souhaite bien du plaisir jeune fille en cette magnifique journée de réjouissance.

Cromignon sourit à la jeune fille et salua les autres convives qu'il ne connaissait pas vraiment.
Gomeric_gaborn
La missive était arrivée jusqu'au Hennfield, en visite dans le Berry. Le jeune homme de dix-sept ans cherchait en effet à faire connaissance avec sa famille maternelle: les Noldor.

Alors quoi de mieux qu'une fête? Donnée en plus par ceux-ci! Il regretta l'absence de sa douce fiancée, trouvant toujours les bals biens tristes sans elle mais il était question de faire honneur à sa famille et il devait cessé de jouer les tourtereaux quelques temps!

C'est donc vêtu de noir et d'argent, sa barbe naissante bien taillé, qu'il arriva au domaine. Il espérait y voir sa charmante tante Agniesa et peut-être rencontrer d'autres membre de sa famille. Lorsqu'il arriva devant la salle de la réception, il se fit annonce.
"Goméric Gaborn de Hennfield, fils de Théodomir de Hennfield et de Pandorha de Noldor."

Ne connaissant absolument personne, il fit le tour d'un pas lent, essayant de sourire, ses yeux gris cherchant un regard amical et évitant de passer une main dans sa chevelure noir afin de ne pas paraitre impressioner.
"Si j'avais la même facilité que ma cousine en société..."

On lui présenta une coupe de vin que le bourguignon ne pouvait refuser et il continua à saluer les gens. De nobles dames, de charmates damoiselles et des seigneurs et nobles hommes tous fiers et joyeux!

Il remarqua le maître de cérémonie, un certain Constantin. Le premier Noldor qu'il croisait! Il se demandait où était le reste de la famille qu'on lui avait dite nombreuse et s'approcha alors qu'il discutait avec un couple.

Saluant les personnes, il se présenta.
"Bien le bonjour à vous. Je suis Goméric Gaborn de Hennfield, fils du Duc de Louhans et de feue Dame Pandorha de Noldor."
_________________
Arnak
Entra au banquet, Mange, gueule, hurle, bois, rigole, Danse, bois, rigole, crie, Bois,


.... les gens commence a le regarder de travers,



Bois, cris, fume quelques pipes, bois, bois, rebois, rebois,


... certains ce marre, d'autre en on marre,



Bois, bois, bois, est scotché au bar, parle avec Moana qui comprend rien a ce qu'il raconte,



Arnak sort du banquet arraché...



Bref il a a bien mangé, il a bien bu, il a fait honneur aux ancêtres!!!!!
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)