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[RP] Banquet de l'Indépendance

Shirine.
Les mots apaisants de Sigfred finissent de calmer Shirine. La pression redescend aussi vite qu'elle est montée. Comme souvent avec la rousse qui part au quart de tour pour pas grand chose. Parfois, il lui faut du temps avant de se calmer, mais un bon coup de gueule suffit généralement. Elle n'est pas méchante, elle est juste un peu bouillante pour se protéger.

J'ai toujours vécu sobrement, je l'oubli parfois, mais j'attache assez peu d'importance aux choses. Cette robe m'a été offerte par mon frère, mais bon... Nous ne nous parlons plus vraiment alors... Il n'en saura rien.

Elle rit doucement en songeant à Moran qui l'aurait surement incendiée en voyant le désastre, lui reprochant de ne pas faire attention à ses affaires, et surtout à celles qu'il lui payait avec son argent durement gagnée. Mais ça, c'eut été à l'époque où elle se faisait entretenir par son frère.

J'ai vécu un peu ici et là, en Limousin, en Bourgogne, même à Genève... La notion d'indépendance ne m'est donc pas inconnue.

Sans vraiment s'en rendre compte, suite au soupir mélancolique de Sigfred elle lui serre légèrement le bras.

Je sais d'expérience que ce n'est pas évident de revenir où on a vécu et d'y voir tant de choses changées. On se sent comme un inconnu chez soi. La sensation est bien étrange.

Shirine a souvent ressenti cela avec Genève. A la fois heureuse de revenir et pressée d'en repartir...
Et c'est bien la première fois qu'elle se dévoile autant à un inconnu.

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Sigfred
    Tout en marchant, le jeune homme écoute attentivement les propos de Shirine. Cela faisait longtemps qu’il n’appréciait pas l’instant.
    Il ne voulut questionner au sujet de ce frère, la phrase ne laissait guère d’ouverture montrant ainsi que le sujet pouvait être délicat.
    Et comme la journée se voulait agréable, aux circonstances de fête, alors Sigfred se prenait au jeu.


      « Fort bien… Me voici rassuré. »


    Un fin sourire glisse sur ses lèvres.

      « Vous avez donc beaucoup voyagé. C’est une chance. »


    Dès lors que la jeune femme enserra légèrement son bras, l’étonnement de Sigfred prit place.
    S’il s’était gardé de tout rapprochement physique avec la gente féminine, ce n’était guère par peur de cette dernière.
    Nulle phobie saine ou déraisonnée. Seulement la volonté de garder son nom propre.
    Se salir est si vite arrivé, les rumeurs sont si dévastatrices qu’il se gardait de tout.
    Son âme, son cœur et son corps ne seront livrés qu’à un être. Être qui sera surement choisi par son aîné.
    Car si Sigfred ne possède pas cette fougue de liberté, c’est tout simplement parce qu’il n’a jamais encore gouté à l’amour.


      « C’est… Tout à fait cela. »


    Bien rapidement Shirine avait cerné la chose, attirant ainsi la curiosité du Noldor.

      « Pour vous, cela est-il plus agréable en Berry ? D’ailleurs, dans quelle ville avez-vous élu domicile ? »


    Le duo arriva alors devant les marches, les montèrent puis devant la porte, Sigfred s’incline pour la laisser s’avancer.

      « Je vous en prie. »

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Moana
Moana avait pris congés de Sigfried et d'Alix, elle espérait bien les voir à Châteauroux pour dîner en leur compagnie!! Mais la blondinette devait rentrer auprès de son père qui était en train de travailler à la défense du Duché. Eh oui, le Berry allait être certainement attaqué par des armées royales, par les duchés voisins royalistes et au vu du nombre de brigands qui erraient dans les belles villes berrichonnes, par les troupes de ces voleurs et pilleurs : les mairies étaient donc en péril...

Bref, elle n'avait point la tête à fêter, causer, ripailler lorsqu'elle songeait à la situation grave et dangereuse dans laquelle s'était fourvoyée le Berry.

Malgré tout, elle prit le temps de faire le tour des convives qu'elle connaissait pour les saluer et prendre congés.

Puis elle repartit sur le chemin pour retrouver sa demeure, la marche lui permettrait de réfléchir et de délasser ses pieds qui à force de rester debout à piétiner étaient fort douloureux.

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Alleaume
* Voila un bon moment déjà que le Duc d'Argenton ne suivait plus aucune conversation, il était dans ses pensées, et il ne voyait d'autre que ses pensées..Il espérait que personne n'attendait une réponse de lui, sinon elle serait longue à venir..
D'un geste paternel, il posa sa main sur l'épaule de sa fille.. Il était si content qu'elle soit proche de lui, elle commençait à grandir, et il lui fallait profiter des instants qu'il restait, avant qu'un homme ne vienne lui prendre sa fille pour en faire sa femme.
Il le faudrait tôt ou tard, mais il voulait un bon mari pour sa petite Alix.. Et elle n'était pas non plus du genre très bavarde sur les rencontres qu'elle faisait.. Si son père ne lui tirait pas un peu les vers du nez elle serait muette comme une carpe.

Il attrapa un verre devant lui et se fit servir un peu de liqueur de poire par un des domestiques présent. Elle était bonne, fraiche d'il y a peu de temps.. Il finit la coupe assez rapidement, et entreprit de s'en servir une seconde, faisant un sourire à l'hôte des lieux, un sourire qui voulait dire
" Non je ne serai pas mort ivre à me rouler par terre.".. Une fois qu'il eu finit, il tourna sur lui même afin de voir qui était là, quelques têtes connus, pour ne pas dire toutes.. Il avait faim, rudement faim, il fallait donc partir en commando pour trouver de quoi se remplir le ventre. Il arrêta un serviteur et le prit a parti*

Hep ! Dis moi, peux tu m'apporter de bonnes choses à manger, j'ai une grande faim ! Alors ne me fait point attendre des heures je te pris.

* Bon ça ce n'était plus à faire. Il avait tout ce qu'il lui fallait, il allait bientôt pouvoir calmer sa fringale.. *
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Cynaro01
Après la dévorante dégustation d'une multitude de variétés de mises en bouche, Cyrano, toujours en compagnie de Vénus, d'Aphrodite, de l'instigateur de la fête, ainsi que d'autres convives, écouta, avec la plus grande attention, les fiers propos des Berrichons pour l'indépendance.

Messire de Noldor, s'adressa-t-il à Constantin joyeusement et sincèrement en levant un savoureux verre de vin de Bourgogne vers les cieux, et, assez fort pour se faire entendre au loin, lorsque je vois votre jardin d’Éden, je me dis que c'est vous le véritable Roi du Berry !
Shirine.
Il y a fort longtemps que Shirine n'avait pas eu une discussion agréable et simple. D'abord avec Alix, puis maintenant avec Sigfred. Vivre avec son frère l'avait décidément coupée du monde. Elle avait vécue un peu recluse, pendant qu'il partait toute la journée pour "son travail" disait-il ; elle n'avait d'ailleurs jamais su en quoi il consistait. Elle passait ses journées à lire et s'autorisait de temps à autre une sortie sur le marché. Elle évitait les tavernes, elle qui en était pourtant une fervente habituée, afin de s'épargner une colère de Moran qui, Dieu sait comment, apprenait tout ses faits et gestes, et ne supportait pas qu'elle puisse côtoyer des gens, d'autant plus lorsqu'il s'agissait d'hommes.
Depuis qu'elle l'avait fui, elle avait retrouvé sa liberté d'avant. Comme un nouveau souffle dans sa vie.


Je suis à Sancerre, et je vais sans doute bientôt repartir. J'ai quelques petites affaires à régler. J'espère revenir rapidement d'ailleurs, parce que plus le temps passe, plus j'apprécie le Berry.

Elle est vraiment sincère. Son séjour avait déjà bien commencé puisqu'elle avait obtenu, avec ses compagnons ce qu'ils étaient venus chercher.

Et sans doute faudra-t-il bientôt prendre les armes pour le défendre. L'indépendance a souvent un prix très lourd à payer.

Là aussi elle parle d'expérience, puisqu'elle est ici pour libérer Genève.

Elle monte les quelques marches puis passe la porte avant Sigfred, sourire aux lèvres. L'occasion était trop belle de piquer un truc, mais pour le coup, le de Noldor se montrait si charmant avec elle, qu'elle lui pardonne sans problème la tâche de vin et s'en voudrait vraiment de dérober quelque chose appartenant à l'un des siens. On ne choisit pas toujours d'être noble... Tout comme elle n'a pas choisi d'être la fille d'un riche armateur.

Elle reste immobile attendant que Sigfred la dirige dans l'immense demeure.


Où étiez-vous avant de revenir en Berry ?
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Alix.
Posant sa main sur celle de son père, la petite regarda elle aussi l'assemblé. L'ennuie commençait a pointer le bout de son nez. Elle ne connaissait personne et la rousse lui avait quand même bien tenue compagnie. C'était dommage qu'elle soit si vite partie... Elle avait aimé bavasser avec elle...

Posant son regard sur son père, Alix sourit en le voyant boire quelques verres et réclamer a manger.


Tout va bien père ?
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Alleaume
* Quelques petites minutes après, le domestique arriva avec un bon morceau de gibier.. Voila qui allait ravir le Duc.. De la bonne viande bien préparé. Il en avait l'eau à la bouche, et ni une, ni deux, il attaque le plat qu'on venait de lui donner. Argenton avait un ventre sur patte.. Malgré qu'il ai fait attention à sa ligne dernièrement, il pouvait s'accorder un écart aujourd'hui.. On ne fêtait pas n'importe quoi non plus ! C'était l'indépendance... Un jour qui n'arrive pas tout les jours en gros..
Il fallait donc le fêter comme il se devait.. Et lui savait faire la fête comme il se devait.. manger, boire et parler à droite à gauche.. Sauf qu'aujourd'hui il avait laissé sa langue à la maison !

Il posa son regard émeraude sur sa petite dernière, puis lui offrit un large sourire avant de prendre la parole. *


Oui tout va bien. J'ai le ventre remplit. La gorge étanché. Rien ne peut aller mieux..
Sauf que.. Ton père commence fortement à s'ennuyer, et il aurait bien envie de ne pas trop tarder à rentrer.. Qu'en penses tu ?


* Il regarda un peu autour de lui, il y avait tout de même du monde, cette soirée improvisé était une petite réussite, même s'il pensait qu'ils auraient du écrire à tout les Berrichons.. Ils seraient sans doute venu nombreux.. Aussi nombreux que pour son couronnement.. Il se souvenait encore de la foule de monde qui avait remplir la cathédrale Saint Etienne de Bourges... C'était il y a deux ans déjà.. *
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Alix.
Quand on père émit l’hypothèse de rentrer, la jeune fille lui sourit et hocha la tête. Son père était comme elle, il s'ennuyait. Il était donc temps de renter.

je suis du mère avis que vous père. Je pense qu'il est temps de rentrer.
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Sigfred
    La chaleur pesante était presque oubliée par cet échange frais et libre.
    Depuis son arrivée, Sigfred avait croisé quelques personnes, et jusqu’ici, il se plaisait à voir l’évolution du Berry.


      « Oh, j’espère que nous aurons l’occasion de se revoir.
      Autour d’un verre de vin courtois, cette fois. »


    Le jeune Noldor souria, mais lorsque Shirine évoqua de prendre les armes, il eut un petit rictus.
    En effet, jusque-là, il n’avait aucun fait de guerre à son actif, et bien qu’il possède une certaine force et qu’il était de bonne constitution, il doutait d’être compétitif sur un champ de bataille.
    Enfin, il espérait tout de même avoir la possibilité de s’entraîner avant l’arrivée de quelconque troupes.


      « Suivez-moi. »


    Proposant de nouveau son bras à la jeune femme, le blond grimpe quelques marches et poursuit sa route.

      «Avant le Berry ? J’étais partout et nul part à la fois.
      Ma dernière adresse en date fut la Franche Comté. »


    Apercevant une domestique, il l’interpelle.

      « Pouvez-vous vous occuper de ma Dame et lui proposer le change, si elle le souhaite ? »


    La domestique acquiesce et attend la demoiselle avant de la conduire aux appartements de Monsieur et de lui passer la tenue qu’elle choisirait.
    Bien évidemment, comme tout noble issu de famille riche, Sigfred possédait de riches vêtements venant des quatre coins de la France.
    Sauf, qu’ils étaient tous taillés pour un homme.
    Seules trois robes se trouvait dans la penderie, à l’écart.
    Une aux teintes beiges, écrus, perlé et accompagnée de quelques dorures.
    Une rouge, certainement plus légère que les autres, à l’étoffe délicate et avantageant les formes féminines.
    Une bleue sombre aux broderies florales noires.
    Aucune de ses trois n’étaient gonflées de froufrous, montraient l’opulence.
    Si Sigfred avait jusque-là acheté et gardé ces robes, ce n’était surement pas pour son propre usage !
    Tout simplement car leurs beautés avaient attirées son regard ainsi, les tenues n’avaient jamais été portées.
    Il faut dire que le jeune homme n’avait jamais eu l’occasion d’en offrir.


      « Je vous attendrais en bas. »


    Il s’incline, laissant ainsi le choix à Shirine entre les mains de la domestique.

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Shirine.
Shirine rit volontiers à la proposition de Sigfred faisant écho à leur petite mésaventure.

J'espère que vous ne faîtes pas que voltiger les verres sur les robes des dames.

Elle rit de nouveau, plus du tout vexée de la maladresse survenue plus tôt.
Puis elle glisse son bras dans celui du Noldor et le suit, le laissant poursuivre la conversation. C'est assez drôle comme ses réponses ressemblent aux siennes. Entre l'impression d'être étranger en des terres où l'on a longtemps vécu, et avoir eu plusieurs adresses... Auraient-ils d'autres points communs ? La rouquine en doute, où alors sur quelques petites choses anodines.

Arrive alors un moment qui met Shirine particulièrement mal à l'aise. Lorsque Sigfred interpelle la domestique, elle pâlit, ce qui ne change pas grand chose à son teint déjà un peu blafard. Elle tente de ne rien montrer de son trouble, et adresse un sourire, doublé d'un hochement de tête au jeune homme lorsqu'il prend congé. Puis elle suit la femme jusque dans une pièce plus luxueuse que tout ce qu'elle a pu voir dans sa vie.
Moran déjà n'avait pas ménagé ses efforts pour offrir à sa soeur ce qu'il pouvait de mieux. Avec lui, jamais elle n'avait dormi dans des endroits aussi miteux que lorsqu'elle avait vécu par elle même. Mais là... Ca dépassait l'entendement. Des boiseries, aux tapisseries en passant par le mobilier minutieusement gravé. Elle était consciente de la richesse de la noblesse, mais elle y était assez rarement confrontée.

Elle sort de ses pensées lorsque la domestique lui demande ce qu'elle veut revêtir. Shirine observe les trois robes qu'elle lui propose, avant d'arrêter son choix sur la bleue. Et ce qu'elle craignait plus tôt se produit. Alors que la pauvre domestique ne faisant que son travail s'approche pour défaire sa robe, la rouquine la repousse un peu plus violemment qu'elle ne l'aurait voulu.


N... Non merci, j'ai l'habitude de m'habiller seule. Pouvez-vous vous retourner ?

Un peu perplexe et choquée du comportement de Shirine, la domestique s'exécute malgré tout. La Sicaire ôte alors rapidement sa robe tachée, d'une simplicité enfantine à enlever, et attrape la nouvelle qui lui est destinée. Sous prétexte d'être pudique, elle souhaite en réalité cacher la tête de lion marquée au fer rouge sur son avant bras droit. Bien que tout le monde n'en connaisse pas la signification, elle reste bien visible et éveille facilement les soupçons. Elle préfère éviter de se faire remarquer de cette façon. Elle a déjà tenté tant bien que mal pendant le banquet de cacher de sa tresse la cicatrice qui lui barre le cou à la verticale, de sous l'oreille à la clavicule gauche.

Shirine se glisse dans la superbe robe bien loin d'être aussi facile à mettre que l'ancienne.


Heum... Tout compte fait, je crois que je vais avoir besoin d'aide...

Heureusement, les manches son enfilées, il ne reste qu'à lacer la robe dans le dos. Et dans c'est endroit, Dieu merci, il n'y a rien de louche à y voir.

Vous pouvez brûler l'autre.

Elle sourit en imaginant la réaction de Moran devant sa décision.

Shirine ne s'attarde pas plus avec la domestique dans des appartements qu'elle n'aurait jamais dû voir, au risque de se mettre à détester quelqu'un qui se montrait adorable avec elle. Elle ne s'est pas vue dans ce nouvel accoutrement et espère ne pas trop détonner.
Elle rejoint Sigfred dans l'entrée et lui attrape le bras.


Je me sens mieux.

Elle lui offre un grand sourire sincère avant d'ajouter.

Et si nous allions trouver votre frère ? Il m'a promis une danse...
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Constantin
Pavoiser. C'était bien le terme.

On lui avait reproché d'avoir mis au centre de l'attention la famille Noldor. Il en souriait intérieurement. Oui, c'était bien le cas. Désormais, l'Indépendance serait rattaché au nom des siens. Mais en réalité, qu'avait il à faire de l'Indépendance ? Le Berry courrait à sa perte, et si cette guerre qui arrivait ne le mettait à terre, ce serait la prochaine, ou celle d'après. Il participerait à la protection de l'Indépendance, mais il savait qu'il devait protéger les siens. Aussi, il n'écartait rien. Rien du tout.

Les gens commençaient à s'ennuyer, et certains, déjà, repartaient. Court mais bref instant. Un pâle succès, mais un succès quand même. Il fut attristé par la non présence des autres Noldor. Il en parlerait au conseil de Savigny et Chaillac, pour les rappeler à l'ordre. Les musiciens, toujours, jouaient des airs entraînants. Peu de gens dansaient. C'était là le cadet de ses soucis, puisqu'il avait déjà promis à une rousse de danser avec lui.

Où était elle, d'ailleurs ?

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Le Berry selon Constantin.
Elvariand.
Le jeune Borgne avait promis à son Cousin de venir, bon il était pas mal en retard il faut dire, car au dernier moment, une sorte de gamin à poil roux lui avait piquer sa bourse, si si, comme ça en pleine rue, donc Elvariand avait du le courser dans tout Bourges avant de le coincer dans une impasse et de lui en mettre une avant de récupérer sa bourse, il n"y avait rien dedans mais c"était là un cadeau de sa Mère, alors il serait prêt à tuer pour cela, oui oui..

Une fois un peu rafraichit, il se rendit donc au banquet, bon ambiance un peu pourri il faut dire, et il fut lui même étonné de ne voir presque personne de sa famille hormis Sig et...Constantin, le jeune Noldor alla vers lui et lui serra la main, ben oui, Elvariand n"allait pas non plus lui donner un baiser hein...

Bonsoir Cousin, en retard mais je suis là, vous ne m"en voulez pas trop j"espère..?

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Alleaume
* Finissant son verre de vin, ainsi que l'assiette qui était devant lui, Argenton se leva de son fauteuil, et invita sa fille à en faire de même. Ils allaient rentrer, il se faisait tard et la fête était déjà bien consommé. Cela lui avait d'ailleurs fait plaisir de quitter son Château pour se rendre à un banquet de l'indépendance.

Aussi, il allait remerciait leur hôte comme il se devait. Il avait d'ailleurs apporté un présent en signe d'amitié. Cela ne se faisait pas partout, mais Alleaume aimait bien remercier les gens qui recevaient des réceptions chez eux.. Cela faisait longtemps qu'il n'avait d'ailleurs pas fait de grosse fête... La prochaine serait sans doute le mariage de Dana et Yoldur.. Il était pressé que cela se fasse, de même pour le mariage de son frère, vite !
Il arriva enfin devant Constantin, puis l'interpella. *


Nous te remercions de nous avoir convié dans un banquet aussi chaleureux. * Il exagerait quelques peux, il y avait eu certes du monde, mais l'ambiance n'avait jamais décollé.. Mais étant content d'être ici, il ne ferait pas de vague inutile.*Nous allons rentrer en notre domaine, vu qu'il se fait tard.. Je tenais à t'offrir ce petit présent, en gage d'amitié et de remerciement.

* Il lui tendit entre ses mains une statuette d'un chat d'Egypte, puis s'inclina de manière polie envers Constantin, avant de prendre le bras de sa fille, et de se diriger en direction de la sortie.. Ils avaient encore de la route à faire pour arriver à Argenton, il ne fallait donc pas trainer plus longtemps. *
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Sigfred
    Sigfred souria à la dernière remarque de la rousse puis descendit alors les marches, la laissant ainsi entre de bonnes mains. Là, sur le palier, il admira un instant la beauté du domaine qui lui faisait face. Les Noldor avaient réussi, sans nul doute. Mais il ne put chasser ce poids qui pesa sur ses épaules. Bien qu’il savait que bientôt, son frère lui trouverait une épouse, il espère que cette dernière sera apte à le supporter. Car s’il y a bien un Noldor rêveur, c’est bien Sigfred. Sigfred et ses rêves de droiture, de justice et d’avenir. Il sourit face à son insouciance puis se tourna, entendant quelques pas derrière lui.

    Puis là, l’étonnement. La bleue, sa préférée. Il eut un sourire mélancolique. Non pas de perdre cette beauté, mais de la voir ainsi portée dans toute sa splendeur. Il en avait presque rêvé.[/i]

      « Cette robe vous va à ravir. »


    S’il avait pu, il en aurait dit beaucoup plus. Mais leur rencontre était trop récente, et peut être qu’un jour, si leurs chemins se croisent de nouveau, il l’éclairerait sur sa pensée.
    Puis sortant de ses rêves par les paroles de Shirine, un léger rictus se dessine sur son visage.
    Son frère ! Il ne l’avait même pas salué à son arrivée.


      « Soit, allons-y. »


    Puis de faire le chemin dans l’autre sens, offrant son bras à la belle rousse, Sigfred passait un agréable moment. Ces moments courtois qui vous égayent la journée. Bien que l’affaire avait étrangement commencée !

      « Où se trouve-t-il… »


    Puis d’apercevoir Constantin et de se diriger vers lui, avec Shirine, toujours à son bras.

      « Je crois vous avoir volé votre cavalière, mon frère. »


    Il sourit, taquinant son aîné.

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