[RP]Cathédrale Saint Himérius

Maviste

La regardant ému , le regard plongé dans l'immensité de ses yeus ,il se retourna vers Monseigneur Yut, pour lui signifier qu'il était prêt pour le début de ce qui devait être le plus beau cadeau de sa vie.

Oui monseigneur, commençons ...je vous sais en partance et je ne voudrais pas abuser de votre temps...Merci encore pour l'effort que vous faites.

Le coeur battant la chamade,le sourire aux lèvres, il se sentait enfin prêt pour débuter, prêt à franchir ce pas..Prêt à penser deux et non un...Prêt à lui dire pour toujours
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Yut

Le Prélat fit un signe de tête. Il se dirigea vers l'Autel, accompagné des deux futurs époux et de leurs témoins respectifs.

Mes enfants ici présents, si nous sommes en ce jour réunis dans la Maison du Très-Haut, c'est pour célébrer l'union entre deux personnes; Maviste et Pauline. L'affection mutuelle et réciproque entre ces deux êtres les a conduit devant cet Autel, pour un engagement à vie.

Lisons un passage du Livre des Vertus, de la Vita d'Aristote.

Citation:

En ce temps là une grande nouvelle se répandit dans la ville de Stagire : les sages astrologues venaient de repérer une comète inconnue dans le firmament. Aussitôt l’assemblée de la ville se réunie sur l'agora, tentant de découvrir le message que les cieux voulaient transmettre aux hommes. Hélas leur cœur était obscurci par leur foi erronée en de faux dieux, et ils s’égaraient dans des suggestions impies : pour l’un il s’agissait de la venue d’Hermès aux pieds ailés. Pour d’autre la foudre de Zeus allait s’abattre au milieu des hommes, et les temps touchaient à leur fin.
Seul dans l’assemblée un homme se taisait : son épouse était sur le point d’enfanter, et l’angoisse qui était la sienne ne lui permettait pas d’intervenir. Il n’était pourtant pas le moins sage, ni le moins écouté. La noblesse et la paix se lisait sur son visage, ainsi que les marques d’un dur labeur et d’une vie sans mollesse.

Tout comme cet homme, l'époux se doit d'être noble en son comportement et adopter une paix intérieure. Il doit travailler pour la communauté et pour le Très-Haut et ne pas pêcher. Il se fait du souci pour sa femme, signe de son attachement à sa famille et à sa future progéniture. Honneur, justice et travail doit être Les mots. C'est ici la clé du bonheur terrestre.

Avant de commencer ce mariage, tournons-nous tous vers le Créateur et confessons nos péchés ensemble

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Chpiot

Ha ! enfin la cérémonie allait débuter !!
Chpiot embrassa du regard le couple qui se tenait a ses cotés. Elle trouvait qu'ils allaient très bien ensemble et était heureuse pour eux deux. Elle devinait sans difficulté que ces deux là vivraient de longues années main dans la main.

Quand le prélat prit la parole, la rouquine se tourna vers lui et en qualité de témoin, se plaça non loin de Pauline et Maviste, prête à intervenir si l'officiant le demandait.

Elle écouta la lecture qui avait été choisie pour l'occasion et lorsque le moment fut venu de confesser ses pêchers, la rousse boulangère opta pour un parfait mimétisme du prélat, ne sachant jamais trop distinguer le début de la fin des propos qu'il répétait en boucle. Ainsi, elle était certaine de ne pas se faire rappeler à l'ordre comme ca avait été le cas pour chaque célébration a laquelle elle avait assisté sous la houlette de l'homme d’Église.

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Robin

Robin avait posé la main de sa filleule sur celle de son ami , en regardant le couple avec bienveillance.
Puis c'était posé près d'eux à l'opposé de la marraine , qu'il regarda et congratulas d'un tendre et chaud sourire complice.
Écoutant le Prélat commencer la cérémonie , il se souvint du Baptême de sa filleule ou déjà flottait le parfum de l'amour entre la belle Pauline et leur "Barbichu".
Alors c'est le cœur emplit de bonheur et de tendresse pour eux qui avaient la chance de s'unir devant le très haut qu'il confessa ses péchés à voix basse .

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée,
En parole, en action et par omission.
Oui, j'ai vraiment péché.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Amen
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Claptons54

la cérémonie du mariage de maviste avait commencer.claptons assit a cote de son epouse lui prit la main et confessa ses pêchés a voix basses

Citation:

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée,
En parole, en action et par omission.
Oui, j'ai vraiment péché.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Amen

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Dame_calamittix

Cala qui était dans ses pensées en attendant que la cérémonie commence ... avait relevé la tête pour l'arrivée de la mariée, quand il fut l'un avec l'autre devant l'Autel, elle se dit qu'il formait vraiment un beau couple et qu'elle espérait tout le bonheur du monde pour eux.

Après les premières paroles prononcées par le Prélat, elle se joignit a tout le monde pour confesser ses pêchers ... , elle dit à voix basse ...

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Les amis sont des anges silencieux qui nous remettent sur pieds
quand nos ailes ne se rappellent pas comment voler

Legolas.

Etant placé dans le fond, Légolas avait salué les quelques personnes qu'il connaît et continue d'attendre que la cérémonie commence. D'ailleurs, elle ne tarde pas à débuter lorsque le Prélat prend la parole. Comme tout le monde, le blondinet se met à réciter en murmurant.

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée,
En parole, en action et par omission.
Oui, j'ai vraiment péché.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Amen.....

......"chaussée aux moines". Non, non pas cette fois. Pourtant, ce n'était pas l'envie qui manque mais Légolas ne tient à se faire remarquer.
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Ines

la cérémonie du mariage de maviste avait commencer. Calicee etait assise a coter de claptons et de son épousée je vis qu'il lui prit la main comme pour la rassurée.. Je dit bonjour de la tête a Legola. je ne sais si il m'avait reconnu, depuis le temps qui etait passez !..

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée,
En parole, en action et par omission.
Oui, j'ai vraiment péché.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Amen

Hersent

Enfin, la cérémonie du mariage commençait. Elle se joignit à l'assistance pour confesser, tout bas, ses péchés:

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée,
En parole, en action et par omission.
Oui, j'ai vraiment péché.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Amen.....

Elle sourit à Coxynel et à Polibe qu'elle espérait voir un jour à la place de Maviste et Pauline.
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Tayla

Les invitées arrivaient de plus en plus tous parait de leurs plus beaux atours. La main dans celle se Claptons, la donzelle regarde tout ces gens. Elle en connaissait quelques une maintenant grâce à son ange.
Puis le marié prit place et tout les regards se portèrent vers les lourdes porte et l’arrivé de la mariée fut magnifique avec les reflets du soleil derrière elle…
L’officient prit par la suite la parole et la cérémonie débuta…
Comme tous elle récite sa confession…

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée,
En parole, en action et par omission.
Oui, j'ai vraiment péché.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Amen
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Maviste

La tête basse le regard tourné vers le sol, le chauve dans un esprit de confessions et pensant très fort à tout ceux à qui il avait fait du tort commença à dire d'une voix grave:

Citation:

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Yut

Après que tous aient récité la confession, le Prélat dit:

Maintenant, je vous inviterais à réciter avec moi le Credo.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Grosdan

À la demande du Prélat, Grosdan commenca à réciter sa confession au même rythme que les autres.

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée,
En parole, en action et par omission.
Oui, j'ai vraiment péché.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Amen

Grosdan

Dès l'instant ou tous ont terminés leur confessions, le Prélat enchaîna sur le crédo.

Je crois en Dieu, le Très-Haut
tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux
hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr

pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à
la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

AMEN

Paulinedeklervie

Pauline émue d'entendre les voix résonner dans l'église entonna avec leurs invités le crédo

Je crois en Dieu, le Très-Haut
tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux
hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr

pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à
la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Unie et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

Amen

Elle se recueilli un moment
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Cathédrale Saint Himérius

Jean_de_puisaye

Citation:

A tous les fidèles de la province ecclésiastique de Sens,
A tous, croyants ou incroyants des diocèses de Sens,Nevers et Orléans,
Aux pèlerins et voyageurs et toutes les contrées,

Voici que naît aujourd'hui l'année du Seigneur 1458. C'est un nouveau cycle qui démarre, peut-être l'occasion de prendre un nouveau départ, de choisir une nouvelle vie.
L'année 1457 a été marquée par des révoltes, des guerres, des croisades, et nous devons garder à l'esprit l'expérience que nous en avons faite pour grandir dans l'Amour de Dieu et ne pas renouveler les mêmes erreurs.

Je souhaite de tout coeur que la nouvelle année qui débute aujourd'hui se place sous le signe de l'Amour et du Partage, de la Foi et de la Solidarité. Tournons-nous dès aujourd'hui vers notre prochain et regardons-le, et voyons en lui notre frère, notre égal.
Qu'importe le rang social, nous sommes tous Enfants du Très Haut, et tel le Père aimant qu'Il est, Dieu nous aime tous également. C'est dans ce regard aimant que nous poserons sur notre voisin, à l'image de notre Créateur, que nous accomplirons l'oeuvre de notre humanité.
Je souhaite aussi que 1458 nous rapproche tous et nous unisse pour regarder dans la même direction et oeuvrer ensemble dans un même but.

Que nos frères les plus modestes ne perdent pas l'espérance d'une vie meilleure. L'Eglise de Rome les accueille et les soutient dans leurs épreuves. Qu'ils n'hésitent nullement à demander l'aumône à leur évêque, à leur curé, à leur vicaire ou à leur diacre, ils mettront tout en oeuvre pour satisfaire leurs souhaits.
Ayons aussi une pensée pour nos soldats qui sont éloignés de leurs familles, de leurs amis, par les guerres et les croisades qui se tiennent encore aujourd'hui. Que Dieu dans Son Infinie Bonté veille sur eux !

Enfin, unissons-nous dans la prière pour louer le Très Haut pour Ses Bienfaits et Son Amour qu'Il répand sur nous et sur nos vies à chaque jour, à chaque instant. Rendons-Lui grâces de nous permettre de réaliser son dessein dans l'Amitié Aristotélicienne.
Rendons également grâces aux Prophètes, Aristote et Christos, qui illuminent nos vies par leur sagesse et leur paix.

A tous, nous souhaitons une très belle heureuse année 1458. Qu'elle soit le terrain de réalisation de vos voeux les plus chers et de l'épanouissement de votre bonheur dans la Foi et l'Amour de Dieu !

Amen !

Donné à Sens, le 1er janvier de l'an du Seigneur 1458.

Archevêque métropolitain de Sens.

Mis en annonce par {Tranchette}, avec du retard mais on dira qu'on a rien vu^^.

Lolotlse

Citation:

A l'attention de Monseigneur Laurent de Nivellus, Archevêque Métropolitain de Sens

Nous, Cardinaux du Consistoire Pontifical Francophone, en vertu des pouvoirs qui lui sont conférés, annonçons l'acceptation du verdict proposé quant à la demande de dissolution de mariage de Shaud7 et Giovanni666

Attendu que le droit canon dispose que

Article 6.1 :La disparition des sentiments amoureux entre les époux,

Attendu qu'il semble indubitable que l'amour n'est plus au sein de ce couple

Article 6.3 : L’abandon du domicile conjugal par l’un des deux époux pendant un temps supérieur à 3 mois. Le conjoint reconnu coupable de négligence conjugale est passible de l’impossibilité de remariage.

Attendu qu’en l’espèce, l’officialité a pu constater que l'époux avait abandonné femme et enfants

Attendu qu’en conséquence il convient de prononcer la dissolution du mariage entre les deux parties

Cette dissolution est assortie des pénitences suivantes :

Pour l'époux :
- L'époux se voit interdit tout remariage de façon définitive.
- obligation de porter la bannière du pénitent pendant 10 jours
- observer le jeûne pendant 10 jours (se nourrir avec simplement du
pain et/ou du maïs) avec une journée de jeûne total (screen de l'état
le lendemain du jeûne total)
- déclaration publique de repentance pour le péché commis lors de l'acte de brigandage (halle et gargote).

Pour l'épouse
- obligation de porter la bannière du pénitent pendant 10 jours
- observer le jeûne pendant 10 jours (se nourrir avec simplement du
pain et/ou du maïs) avec une journée de jeûne total (screen de l'état
le lendemain du jeûne total)
- le couple ayant été fécond et l'épouse ayant désormais charge de famille, le remariage lui est interdit sauf avis favorable de l'officialité.

Les enfants seront confiés à la mère qui devra démontrer qu’ils sont élevés dans la Foy et l’amitié Aristotélicienne.

Qu'Aristote les aide à obtenir l'absolution!

Fait à Rome le 07 janvier 1458,
Pour le Consistoire Pontifical francophone,
Au nom de S.E Ecatarina de Sevillano, Cardinal Electeur
S.E Seriella de Bernouville Cardinal National Suffrageant

*bombadil*

Citation:

Nomination d'un diacre à Compiègne
Frère Baztan devient diacre de Compiègne

Nous, Thomas d'Azayes, fait Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Annonçons la nomination de Baztan de la charge de diacre de Compiègne. Il devra donc veiller à la destinée spirituelle de la paroisse aux côtés de Soeur Florence et devra procéder aux sacrements et cérémonies telles que définis dans le Droit Canon.

Que les paroles d'Aristote nous guide.

Fait à Reims, le deuxième jour de février de l’an de Grasce 1458.

Monseigneur Thomas d'Azayes,
Archevêque de Reims.

*bombadil*

Clodeweck a écrit:

Congrégation de la Sainte Inquisition
Avis d’interdit sur les faux mariages

Moi, Clodeweck de Montfort-Toxandrie, cardinal-archevêque de Tours, Cardinal Chancelier de la Congrégation de la Saincte Inquisition, duc de Montforzh, par la grâce de Dieu, devant le Très Haut, sous le regard d’Aristote et au nom de notre Sainte Mère l’Eglise,

Attendu que le Mariage est un sacrement défini par Le quadriptyque causal suivant:
Il uni un homme et une femme fidèles de l’Eglise Aristotélicienne.
Il est célébré par tout clerc habilité par sa charge.
Il est formellement symbolisé par l’office, l’échange des vœux et des alliances.
Il est une union devant le Très-Haut et les hommes dans le but de fonder une famille et de trouver l’amitié aristotélicienne;

Attendu que Les préceptes de l’Eglise en matière matrimoniale et la nature même du mariage sont reprises dans le livre 4 sur les doctrines et sacrements de l’Eglise ;

Attendu que Le mariage est la consécration de l'accord profond entre deux personnes, créant une communauté de vie, réputée indissoluble et symbolisant l'Amitié Aristotélicienne dans l'une de ses formes les plus étroite ;

Attendu que sont seuls habilités à célébrer un mariage, les prêtres ayant une charge cléricale, ainsi que les clercs habilités à donner ce sacrement ;

Attendu qu’aucune autre sorte d’union ne saurait être tolérée,

Attendu qu’aucune union se prétendument « civile », découlant d’un état hérétique ou d’apostasie ne saurait étre reconnue;

Confirme qu’est interdite toute union qui ne serait aristotélicienne ;
Demande a toute personne se trouvant en état d’hérésie ou d’apostasie de régulariser sa situation ; sachant que toute personne ne l’ayant pas fait s’exposera à des poursuites inquisitoriales, toute personne concernée n’ayant pas abjuré pourra encourir la sentence d'excommunication "latae sententiae" ;

Ad Claram et Sanctam Veritatem

Fait à Rome le VIIème du mois de Février, de l’an MCDLVIII de la saincte Eglise Aristotélicienne

*bombadil*

Citation:

Nomination d'un curé à Compiègne
Père Baztan devient curé de Compiègne

Nous, Thomas d'Azayes, fait Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Annonçons la nomination du Père Baztan de la charge de curé de Compiègne, à la suite de son ordination intervenue ce jour. Il devra donc veiller à la destinée spirituelle de la paroisse et sera secondé par Soeur Florence. Il devra procéder aux sacrements et cérémonies telles que définis dans le Droit Canon.

Dans le même temps, le poste de Responsable de la Doctrine précédemment occupé par le Père Baztan devient vacant.

Que les paroles d'Aristote nous guide.

Fait à Reims, le sixième jour de février de l’an de Grasce 1458.

Monseigneur Thomas d'Azayes,
Archevêque de Reims.

Amory

Vous voulez trouver une famille? Alors rejoignez nous...

http://www.dailymotion.com/video/x2bz4k_era-the-mass-carmina-burana_music
http://www.dailymotion.com/video/xzp1q_era-ameno_music[/quote]
_________________
Duc de Jouare
Vicomte de Choisy au bac
Baron de Coulommiers
Seigneur de Brainville

Prévôt de Paris
Maréchal de France

Wildslot

Rome

Citation:

A L'universalité des peuples, Aristotélicien ou non,

Don Camillo, Homme de foy, vous salut.

En ce 9 mars 1458, est lancé un grand pèlerinage, en groupe ou de manière individuel, Les routes ne sont pas décidé à l’avance et seul vous en faite le choix du tracé.

En effet, il y a de cela quelques jours, un homme bien, un homme de foy, Monseigneur Artmaniak du Doubois, évêque de Toul est mort au monastère Grégorien d’Argentat.

Après sa Mort Trois fidèles ont rêvé du Saint Homme qui leur ordonnait de faire un pèlerinage. Et c’est ainsi que nous décidons de faire de même.

Voici l’adresse où vous envoyé vos demande d’information :

Don Camillo, 3 rue de l’église, Saint-Dié, Lorraine.

Toute personne en Simple voyage peut se dire pèlerin, et prier dans toutes les cathédrales, églises et autres lieux saint qu’il croisera sur sa route.

La prière pour monseigneur Artmaniak du Doubois est ainsi écrite :

prière du pélerin a écrit:

Dieu Créateur de toutes choses, Toi qui n'est ni bon ni mauvais!
Toi qui sais tout, purifies ton enfant afin qu'il soit reçu à ta droite.
Guide-nous dans nos actes, comme il a pus nous guider en ton nom,

Dieu qui n’intervint plus dans le monde, laissant Ses enfants vivre et prospérer.
Toi, L'Omniprésent mais nous laisse libre de notre destin,
Gardes les Vertueux dans un destin solaire et lumineux,

Dieu, Jetes les corrompus dans la lune, reclus et sombres.
Toi, je fais ma confession et mon pélerinage en Ton nom.
Gardes un regard sur mes actions et juges moi.

Dieu te Garde mon frère

Que cela soit dis à tous!

Qu'Aristote Veille sur Vous

Fait à Saint Dié, par Don Camillo.
en ce très saint jour du 9, du mois de mars de l'an de Grâce MCDLVIII

Aides dans les Carnets de feu Artmaniak du Doubois
Homme à votre service.

Don Camillo (PNJ)

[center]

Lieu de préparation et participation (Page de préparation du Rp, en HRP)

[/center]

Yut

Citation:

Réintégration de Son Éminence Ecaterina de Sévillano Réaumont au sein de la Curie

Nous, Aaron de Nagan, Cardinal de la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine et doyen du Sacré Collège, Archevêque de Césarée, Chancelier de la Congrégation des Affaires du Siècle, Vicomte d’Ivry, devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote,

Ecaterina de Sévillano Réaumont

cardinal suffragant

Ad Majorem Dei Gloriam

Fait à Rome le XXVIII mars, le dimanche, de l’an de grâce MCDLVIII de Notre Seigneur

Pour le collège des Cardinaux, Aaron de Nagan,
Doyen.

_________________

« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

*bombadil*

Citation:

Bénédiction du Conseil de Champagne
Cérémonie du 11 avril 1458

Nous, Thomas d'Azayes, Conseiller à la religion de Champagne :

Avons le plaisir d'inviter la communauté des fidèles de Champagne à la cérémonie qui se tiendra en la cathédrale de Reims dimanche, le onzième jour d'avril prochain.

A cette occasion, les prélats et les clercs de Champagne béniront le nouveau Conseil élu, et, avec les fidèles réunis imploreront le Très-Haut d'insuffler amitié et sagesse à ses membres.

Nous comptons sur la présence de tous afin que la bienveillance du Très-Haut se tourne vers notre Duché.

Fait à Reims, le huitième jour du mois d'avril, de l’an de Grasce 1458.

Monseigneur Thomas d'Azayes,
Archevêque métropolitain de Reims,
Conseiller à la religion de Champagne.

*bombadil*

Citation:

Communication sur la prise de Varennes
Condamnation de l'acte

Nous, Thomas d'Azayes, fait Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Condamnons avec la plus grande fermeté l'acte de pillage dont a été victime la paroisse de Varennes. Un tel acte ne peut trouver aucune justification, si ce n'est celle de faire le jeu de la Créature Sans Nom. Qu'aucune revendication quel qu'elle soit, ne peut être portée par les armes, sinon, par le dialogue et l'échange.

Désirons faire savoir que tout soutien affiché à ce mouvement par un fidèle du diocèse de Reims sera passible de sanction devant l'Officialité ecclésiastique de Reims. Il ne peut être acceptable pour un fidèle de cautionner ces agissements qui vont à l'encontre du dogme.

Souhaitons voir rapidement triompher la raison et la sagesse par le retour d'un conseil municipal légitime en la paroisse de Varennes. Et par là même, nous appelons tous les fidèles champenois à soutenir cette ville, et à faire preuve d'amitié et de fraternité envers les fidèles varennois en ces moments difficile. Car s'il est un moment où le sens de communauté aristotélicienne doit prendre tout son sens, c'est maintenant.

Puisse la volonté de Notre Seigneur être faite,

Fait à Reims, le dixième jour du mois de d'avril, de l’an de Grasce 1458.

Monseigneur Thomas d'Azayes,
Archevêque de Reims.

Alba1

Cher duchesse Ysa d'airain ,
Grands Officiers,
Nobles recensés,
Notables, Prélats,
Frères, soeurs,

Nous,Alba de Chatenay, Nonce Apostolique de champagne en ce jour, désirons porter à votre connaissance les faits suivants:

Citation:

Au nom de la Congrégation pour les Affaires du Siècle et du conseil supérieur de la nonciature,
Monseigneur Tully de Nivellus de Sparte,
Archevêque Métropolitain de Moustier-en-Tarentaise, Protonotaire Apostolique, Seigneur d'Arborio et de Sonnaz ;

Faisons annonce de :

La nomination de Alba de Chatenay au poste de Nonce Apostolique en la province de Champagne.
Elle devient ainsi membre de notre glorieuse congrégation et aura pour principale mission de représenter le Saint-Siège auprès des autorités temporelles.

Donné à Rome le 29ème jour du mois d'avril de l’an d’Horace MCDLVIII, sous le pontificat de Sa Sainteté Eugène V.

*bombadil*

Citation:

Recrutement de l'archevêché de Reims
Recrutement de juin

Nous, Thomas d'Azayes, fait Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Annonçons que pour assurer un bon fonctionnement de l'archidiocèse de Reims, les postes suivants sont à pourvoir. Ils sont ouverts à tous les fidèles, sous certaines conditions :

Des curés pour les paroisses de Reims, Argonne, Sainte-Ménéhould et Varennes :
Le curé est en charge de la gestion religieuse d'une paroisse. Sous l'autorité de son évêque, il veille au bon déroulement des offices, et amène les fidèles sur le chemin de la vraie foi, tout en s'approchant lui-même de la vérité divine.

Conditions : poste ouvert à tous les fidèles érudits de la voie de l'Église, résidant dans ces villes. Le curé devra prononcer ses vœux lors de sa nomination. La formation sera assurée par l'archevêque.
Des diacres/vicaires pour les paroisses de Reims, de Varennes, de Sainte Ménéhould, d'Argonne et de Compiègne :
Le diacre est en charge de tous les sacrements de l’Eglise Aristotélicienne hormis celui de l’ordination. Il assiste le curé dans la réalisation des messes. Il sera formé et aidé dans sa tâche par l'archevêque de Reims.

Conditions : poste ouvert à tous les fidèles, sans exception résidant dans ces villes. Le diacre n'a pas le droit de port d'arme.
Des prêcheurs, pour l'archidiocèse de Reims :
Les prêcheurs sont des personnes chargées de porter la bonne parole directement aux fidèles, et de leurs donner des éléments nécessaires à la compréhension du monde. Ils vont sur les marchés, devant les tavernes, pour prêcher la bonne parole, et transmettre les enseignements des prophètes à tout à chacun.

Conditions : poste ouvert à tous les théologiens [niveau 3, voie de l’église] ayant des idées claires sur les éléments à prêcher sur l'archidiocèse de Reims.
Un procureur ecclésiastique :
Le procureur est en charge de la bonne gestion de tout ce qui concerne la justice d'église sur le diocèse. Il travaille en étroite collaboration avec la Congrégation de la Sainte Inquisition et son évêque.

Conditions : poste ouvert à tous les fidèles ayant de bonnes connaissances dans le Droit Canon, et aimant le Droit en général. Une personne érudite de la voie de l'Eglise [niveau 3] pourra de plus, tenir ce poste In Gratebus.
Un responsable du Trésor :
Le responsable du Trésor est en charge du suivi de la trésorerie de l'archevêché. Il travaillera à trouver les financements et surveiller les recettes et les dépenses de l'archevêché.

Conditions : poste ouvert à tous les théologiens [niveau 3, voie de l’église] ayant de bonnes compétences économiques et ayant des qualités relationnelles afin de traiter avec les partenaires de l'Eglise aristotélicienne
Un responsable de la relations avec les curés :
Le responsable de la relations avec les curés est chargé de faire le lien entre l'archevêque et les curés de chaque paroisse. il peut s'occuper entre autre, des nominations In Gratebus.

Conditions : poste ouvert à tous les théologiens [niveau 3, voie de l’église] aimant voyager et ayant des qualités relationnelles afin de traiter avec les clercs de chaque paroisse.
Des gardes épiscopaux :
Les gardes épiscopaux sont en charge de la sécurité de l’évêque, et plus généralement des clercs du diocèse. Ils servent d’escorte lors des déplacements. Des carrières sont envisageables dans cette branche armée de l’Eglise.

Conditions : postes ouverts à tous les fidèles résidants sur l'archevêché de Reims et sachant manier une arme.

Toutes les personnes intéressées par l'un de ces postes, ou voulant plus généralement se mettre au service de l'Eglise est prié de contacter l'archevêque de Reims, Monseigneur Thomas d'Azayes ou un membre du clergé de son choix qui relaiera la demande, ou se rendre à l'archevêché de Reims.

Nous comptons sur toutes les bonnes volontés possibles afin de porter le message du Très-Haut et la vérité divine.

Que les paroles d'Aristote nous guident.

Fait à Reims, le premier jour du mois de juin, de l’an de Grasce 1458.

Monseigneur Thomas d'Azayes,
Archevêque de Reims.

*bombadil*

aurelien87 a écrit:

Nomination d'un nouvel évêque:
Monseigneur Tully est nommé au poste d'archevêque métropolitain de Reims.

Nous, Aurélien Maledent de Feytiat, Primat de France, au nom de l'Assemblée Episcopale, faisons annonce de :

La nomination de Monseigneur Tully, au poste d'archevêque métropolitain de Reims. Nous lui souhaitons par la-même tous nos vœux de réussite dans sa nouvelle affectation. Puisse-t-il, en tant que digne successeur des apôtres, diffuser la foi, mener ses ouailles vers le Salut, et demeurer un modèle pour ceux qui l'écoute.

Puisse Aristote le guider dans la tâche qui est à présent la sienne,

Fait à Rome, le treizième jour du mois de juin, de l’an de grâce 1458.

Lolotlse

Citation:

A l'assemblée des fidèles de Troyes et de Champagne,

Nous, Monseigneur Laurent de Nivellus, archevêque de Sens, apprenons
avec une grande tristesse les événements tragiques qui se sont déroulés
dernièrement sur les terres du diocèse.

Nous tenons tout d'abord à assurer les Troyens de notre soutien en ces
jours noirs. Nous nous rassemblons dans la prière afin de retrouver en nos
coeurs la force de combattre la perversion qui sévit en nos murs.

Nous condamnons très fermement les actes du dénommé Bonaparte qui
s'est octroyé le droit de piller ses administrés en masquant sa vilénie
derrière de soit-disant faits héroïques.
Prôner la guerre et la violence n'est pas héroïque. Combien de nos familles
ont été éprouvées par la guerre, ne voyant jamais revenir un père, un fils
ou un frère ? C'est un péché d'orgueil que de vouloir conquérir les biens de
nos frères en le Seigneur. Méritons-nous plus que notre prochain de
posséder ors et terres ? Non ! Car nous sommes tous frères, Enfants du Très
Haut, et nous ne devons pas jalouser ce qui appartient à autrui.
Bien que le dénommé Bonaparte veuille nous assurer du bien fondé de son
action, nous ne pouvons que regretter les pertes financières qui découlent
de son péché. En effet, les biens donnés aux brigands sont aujourd'hui
perdus, les surplus de salaire accordés aux miliciens sans raison sont
aujourd'hui perdus. Mais ce sont aujourd'hui les Troyens qui font les frais
de cette perte, car ce n'est pas l'argent d'un homme qui est volé mais bien
celui de toute une population ; c'est le travail d'une famille, épuisée dans
les champs pour payer ses impôts, qui part en fumée.

Non ! Nous le redisons : c'est agir en barbare sans cervelle et sans
conscience que de piller une ville, car c'est toute une population qui
aujourd'hui en fait les frais.

Nous prions avec ardeur afin que soit rattrapé le coupable, qu'il rende
raison de ses actes devant tous ceux qu'il a blessé dans leur âme et dans
leur chair.
Nous demandons aux instances ducales de tout mettre en oeuvre afin que
soit réparée l'erreur d'un fou qui a cru avoir un jour les pouvoir de Dieu !

Que le Très Haut tourne son regard vers les Troyens et tous les
Champenois en cette épreuve et qu'Il accorde son soutien par son Amour à
ses Enfants blessés.

A Sens, le 10 juillet 1458,

*bombadil*

Citation:

Pagus Andecavus Schismaticus Anathema

Nous, Cardinaux de la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine, réunis en Sacré Collège par la grâce de Dieu, devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote, au nom du Souverain Pontife de notre Sainte Mère l’Eglise,

anathème

Eglise Angeviniste

Aurélien de Penthièvre

Ad Majorem Dei Gloriam

Fait à Rome le XI juillet de l’an de grâce MCDLVIII de Notre Seigneur

*bombadil*

Citation:

Rejoignez l'Ordre Lescurien !
vidéo de présentation

Lors du mois de mai 1454, la guerre qui opposait le royaume de France à la Bretagne mettait le duché de Normandie en première ligne et les tensions étaient exacerbées. La violence était le maître-mot de tant de personnes que l'amitié Aristotélicienne brillait d'une pâle lumière. Un homme seul se dressait contre cette débauche de haine. Grand théologien, archevêque de Rouen et cardinal-camerlingue, saint Lescure prêchait seul dans le désert spirituel que connut cette époque, tout comme Christos le fit à Jérusalem. Et tout comme notre messie, il mourut en martyr de la foi.

C'est cette foi inébranlable, malgré un environnement hostile, qui inspira un groupe d'Aristotéliciens, qui prirent la décision de poursuivre son oeuvre de prêche en terre impie.

S'opposant à la conversion par les armes, ils fondèrent l'Ordre Lescurien autour de trois valeurs fondamentales. L'Humilité fait que tout Lescurien ne trouve le chemin de la vertu que dans le partage de l'Amitié Aristotélicienne, laissant de côté les inégalités temporelles. L'Enseignement est le but premier de tout Lescurien, dont la vie est vouée au partage de la parole divine. Enfin, le Progrès est la volonté d'aller toujours de l'avant, de ne jamais se reposer sur ses acquis, en voulant toujours se perfectionner.

Les Lescuriens sont souvent perçus à travers les Royaumes comme les symboles de la tolérance, de l'apaisement et de la force du Verbe.

La vertu d'Humilité fait que l'Ordre Lescurien ne connaît que peu de différences de statuts entre ses membres. Le chapitre est ouvert à tous les Amis, sans exceptions.
Mieux, les décisions sont prises à l'unanimité.

Selon la valeur de Progrès, nos frères et soeurs échangent leur avis afin de faire progresser la foi Aristotélicienne, dans tous les domaines: politique, arts, militaire, économie, droit, diplomatie, monastères, clergé séculier... Enfin, répondant à la valeur d'Enseignement, les novices suivent un enseignement dogmatique nécessaire à la bonne marche de leur activité spirituelle. De plus l'Ordre Lescurien propose un séminaire théologique reconnu par la Préfecture à l'Enseignement aristotélicien, ainsi qu'un séminaire médical parmi les plus pointus des royaumes connus.

Les Lescuriens privilégient le prêche aux bûchers, le respect mutuel à la tyrannie et l'initiative à l'immobilisme. C'est par ces biais qu'ils poursuivent la sainte mission de feu son éminence Lescure et qu'ils honorent et diffusent le message divin.

L'Ordre Lescurien est ouvert à tous, proposant trois voies pour ses membres :
La voie du clergé séculier vous guidera vers celle de la prêtrise ou de l'épiscopat.
La voie du clergé régulier vous guidera vers celle de la vie monastique.
La voie du tiers-ordre vous guidera vers celle de la vie laïque et de l'investissement dans la vie de la Cité.

Voici l’adresse du couvent Lescurien à Rouen : Couvent Lescurien

N’hésitez surtout pas à y faire un tour pour de plus amples informations ou pour l’intégrer si ses valeurs vous intéressent. Vous serez toujours bien accueillis par les Amis Lescuriens.

Thomas d'Azayes,
Recteur de l'Ordre Lescurien

Ainsi que l'ensemble des Amis réunis en Chapitre.

Lolotlse

Citation:

Aux cardinaux de la Chancellerie Pontificale,
Aux évêques de l'Assemblée Episcopale de France,
Aux clergé et aux fidèles des diocèses de Sens, Orléans et Nevers,

Je prends aujourd'hui la plume une dernière fois depuis le
couvent franciscain de Bruz pour annoncer ma démission des postes
de préfet de l'Office du Grand Camérier et d'archevêque de Sens.

Une étrange maladie s'est emparé de mon corps il y a quelques
semaines et ni la science des médicastres ni les prières de mes frères
franciscains n'ont pu en venir à bout, et je sens le souffle froid de la mort
engourdir mes doigts alors que j'écris ces quelques lignes.
Je vais donc passer les derniers jours de ma modeste vie en retraite
dans le couvent qui m'a vu grandir et qui ainsi me verra mourir.

Je garde dans le coeur le souvenir de ces rencontres extraordinaires, des
ces personnages qui ont jalonné ma vie ; je les garderai dans ma prière
jusqu'à mon dernier souffle, et alors que j'aurai rejoint le Très Haut et les
Prophètes dans le Soleil, je poserai un regard attendri sur ce peuple de
Dieu dont j'ai eu la charge toutes ces années.

Chers frères et soeurs, prélats, clercs, nobles et moins nobles, c'est le
coeur léger que je vous dis adieu, car je sais que bientôt, nous serons
tous réunis dans le Royaume Solaire.
Que le Très Haut vous ait en Sa Sainte Garde !

A Bruz, le 3 août de l'an de Dieu 1458,

Tully

Citation:

Nomination du Père Lyonis d'Appérault

Nous, Tully de Nivellus de Sparte, Archevêque de Reims, Protonotaire Consul de la Nonciature Apostolique, Seigneur d'Arborio et de Sonnaz, devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote,

Père Lyonis

Curé de Sainte-Menéhould

Ad Majorem Dei Gloriam

Lu et approuvé par la personne susmentionnée
Fait à Reims le VIII juillet de l’an de grâce MCDLVIII de Notre Seigneur

_________________
[img*]http://img16.imageshack.us/img16/9851/signtully1461.png[/img][Bannière trop lourde]

Tully

Citation:

Nomination du Frère Kolmar de Nivellus

Nous, Tully de Nivellus de Sparte, Archevêque de Reims, Protonotaire Consul de la Nonciature Apostolique, Seigneur d'Arborio et de Sonnaz, devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote,

Frère Kolmar

Diacre de Sainte-Menéhould

Ad Majorem Dei Gloriam

Lu et approuvé par la personne susmentionnée
Fait à Reims le VIII juillet de l’an de grâce MCDLVIII de Notre Seigneur

_________________
[img*]http://img16.imageshack.us/img16/9851/signtully1461.png[/img][Bannière trop lourde]

Tully

Citation:

Nomination de Mère Cappa de Sens-Caumun - Vicaire Générale de Reims

Nous, Tully de Nivellus de Sparte, Archevêque de Reims, Protonotaire Consul de la Nonciature Apostolique, Seigneur d'Arborio et de Sonnaz, devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote,

Mère Cappa de Sens-Caumun

Vicaire Générale de la Province Métropolitaine de Reims

Monseigneur Cappa de Sens-Caumun

Ad Majorem Dei Gloriam

Lu et approuvé par la personne susmentionnée
Fait à Reims le XXVII juillet de l’an de grâce MCDLVIII de Notre Seigneur

_________________
[img*]http://img16.imageshack.us/img16/9851/signtully1461.png[/img][Bannière trop lourde]

*bombadil*

Citation:

Habemus Sanctae Romanae Ecclesiae Cardinalem Camerarium

Nous, cardinaux de la Sainte Église Aristotélicienne et Romaine, réunit en Sacré Collège, devant le Très Haut et sous le regard d’Aristote, au nom de Sa Sainteté Eugène, par la grâce de Dieu, Souverain Pontife,

Clodeweck de Montfort-Toxandrie

Camerlingue

Ad Majorem Dei Gloriam

Donné à Rome le dimanche XXVIII fevrier de l’an de grâce MCDLVIII de Notre Seigneur.

Pour le collège de Cardinaux, son Éminence Vincent Diftain d'Embussy.

*bombadil*

Citation:

Nomination du nouveau Primat de France
Monseigneur Odoacre de Corinthe est nommé Primat de France.

Nous, Tully de Nivellus-Sparte, Vice-Primat de France, Archevêque de Reims au nom de l'Assemblée Épiscopale de France, faisons annonce de :

La nomination de Monseigneur Odoacre de Corinthe, en tant que Primat de France.
Nous lui souhaitons en cette tâche toute la réussite possible et prierons pour qu'il mène les évêques de France de la meilleure manière possible.

Puisse Aristote le guider dans la tâche qui est à présent la sienne,

Fait à Rome, le premier jour du mois de septembre, de l’an de grâce 1458.

Tully

Citation:

Lettre Épiscopale de l'Archevêque de Reims

A Sa Majesté Levan le Troisième de Normandie,
A l'ensemble des grands feudataires de la couronne de France,
Aux officiers de la Maison de France,
A tous ceux qui entendront ou liront,

C'est, je crois, par une faveur spéciale et non par l'effet du hasard qu'il m'a été donné d'exercer l'épiscopat de Reims, mère et nourricière de la puissance sacrée de Votre Majesté, de préférence à toute autre province de France. J'y ai pris l'habitude de méditer avec amour la vie des éminents saints nés du sein de la cité des Roys.
Ce fût une véritable révélation pour ma personne, une révélation de votre grandeur Sire, une grandeur fidèlement représentée sur l'architecture de nostre cathédrale de Reims, ou nous célébrons chaque jour que le Très-Haut fait, témoignage de la magnificence de la Très Grande Maison de France.

Il m'est douloureux d'avoir à exprimer des plaintes à l'encontre à la fois de vos officiers royaux mais aussi à l'encontre des dirigeants champenois qui ont eux aussi ont leur part de responsabilité dans le désastre de la situation économique, politique, et sociale en vostre bonne terre, Votre Majesté. Mais en tant que guide et pasteur des fidèles aristotéliciens de mon Archevêché, j'ai le devoir de protester contre des méthodes barbares, ajoutant égos, fiertés, joutes verbales et guerres d'intérêts entre puissances de Champagne et du Louvre, qui sans penser à la qualité de vie de vos sujets champenois, se battent pour déterminer qui aura la main mise sur la Champagne.

Pendant ce temps, mes enfants, mes amis, et tous les fidèles de champagne souffrent de n'avoir pas de mines pour travailler, pas de pain pour se sustenter, pas d'évènements festifs pour s'amuser, des impôts que personne ne justifie, des frais de prestige imposés et injustifiés...Les mairies qui tombent, les révoltent qui grondent, les menacent contre des serviteurs de l'Église qui abondent.

Qui nous expliquera l'intérêt d'une tutelle qui dure, mais qui ne porte pas ses fruits, une tutelle qui jette la haine et le trouble au sein même du conseil ducal de Champagne ? J'en viens à me demander qui a vraiment à cœur d'améliorer la situation en Champagne, la tutelle dure depuis plus de huit mois... Que fera t-elle de plus maintenant ?

Je, fait Archevêque de Reims par la Grâce du Très-Haut, et par la volonté de Sa Sainteté Eugène le Cinquième, vous supplions, vous, vostre majesté, de venir en aide à la Champagne, pour l'amour de vos sujets, et pour la défense de vos intérêts. Nous vous supplions de répondre aux questions de vos si fidèles sujets, de les guider, et de les protéger tel un Père a le devoir de protéger ses enfants.

Par conséquent, et ce message s'adresse à tous ! soyez charitables et compréhensifs les uns envers les autres comme des frères. Cherchez enfin une vie heureuse, l'esprit tranquille, l'ami égal, sans rancunes ni querelles, la sagesse alliée à la simplicité, la nuit libérée de tout soucis. Et trouvez enfin la Paix.

Nous vous adressons en guise de conclusion, de grand cœur, notre bénédiction épiscopale à vous-même Votre Majesté, et à tous ceux qui liront ou entendront. Puisse le Très-Haut vous accorder Bonheur et Prospérité.

Paix et Bénédiction,

_________________
[img*]http://img16.imageshack.us/img16/9851/signtully1461.png[/img][Bannière trop lourde]

*bombadil*

Citation:

Nomination d'un nouvel Archevêque:
Son Eminence Vincent.Diftain est nommé au poste d'Archevêque de Sens.

Nous, Childebert de Béarn Argentat, Vice Primat de France, au nom de l'Assemblée Episcopale, faisons annonce de :

La nomination de Son Eminence Vincent.Diftain, au poste d'Archevêque de Sens. Nous lui souhaitons par la-même tous nos vœux de réussite dans sa nouvelle affectation. Puisse-t-il, en tant que digne successeur des apôtres, diffuser la foi, mener ses ouailles vers le Salut, et demeurer un modèle pour ceux qui l'écoute.

Puisse Aristote le guider dans la tâche qui est à présent la sienne,

Fait à Rome, le treizième jour du mois d'octobre de l’an de grâce MCDLVIII.

.Henri.

Reims, en cette belle matinée du 7 novembre 1458.
Le nouvel évêque de Beauvais venait d'arriver à Reims en la Cathédrale Saint Himérius.
Il avait été nommé moins d'une semaine auparavant évêque de Beauvais par l'Assemblée Episcopale de France. Parti d'Aurillac il avait été rejoint en Champagne, à Clermont, par sa famille.

Se devant d'aller présenter ses hommages à son archévêque il se rendit donc à la cathédrale.

Henri de la Rochejaquelein respectait l'archevêque, un homme suffisamment intelligent pour savoir contrairement à d'autres, que le respect n'induit nullement la soumission.

Et preuve que les deux hommes s'appréciaient, l'archevêque Tully, confia au tout récent évêque de Beauvais le soin d'organiser une messe en la cathédrale Saint-Himérius.

Henri de la Rochejaquelein fit donc sonner les cloches en cette matinée, prêt à accueillir les fidèles.

Lorsque la cathédrale Saint Himérius fut comble, la messe put commencer.

Chantons à la gloire de Dieu

Citation:

Dieu nous accueille en sa maison,
Dieu nous invite à son festin:
Jour d'allégresse et jour de joie!

Après le chant, Monseigneur Henri du Vergier de la Rochejaquelein bénit l’assemblée. Pour certains cela pouvait surprendre, car la Congrégation Saint Thomas est une vieille Congrégation née lors de l'émergeance de l'Ère du Renouveau de la Foi. Héritière de l'Eglise Conservatrice Aristotélicienne dont les membres, qui s'étaient opposés à la réécriture du dogme et aux bouleversements voulus par le roi Lévan, furent menacés d'excommunication sous 7 jours s'ils n'adhéraient pas au nouveau dogme dicté par Eugène V et Rome.
De fait, ils forment un ordre religieux bien à part, garant du dogme en défendant la dualité prophétique : Chrisos le Messie, et Aristote le prophète ayant annoncé sa venue, et traditionaliste dans ses rituels ce qui se traduit par l'utilisation du latin.

C'est donc en latin que l'évêque bénit l'assemblée.

Citation:

In nómine Domini, et Christos, et Aristotelis. Amen
Grátia Christos, et cáritas Dei, sit cum ómnibus vobis.

Puis le prêtre leva les mains pour inciter les fidèles à poursuivre.

Citation:

Et cum spiritu tuo.

Puis il recommença, cette fois en langue commune pour les fidèles les moins cultivés.

Citation:

Au nom du Seigneur, de Christos et d'Aristote, Amen.
La grâce de Christos, et l'amour de Dieu soient toujours avec vous.

Citation:

Et avec votre esprit.

Prions maintenant pour notre rédemption reconnaissant que nous sommes pécheurs.

Citation:

Confiteor Deo omnipoténti, et omnes sanctis et vobis, fratres, quam peccávi nimis cogitatióne, verbo et ópere.
Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa.
Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres, oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum.

Là encore, il recommença mais cette fois en langue commune.

Une fois la prière pour la confession des péchés prononcée, l'évêque de Beauvais ouvrit le Livre des Vertus et commença la lecture d'un passage du Livre 1, sur le mythe Aristotélicien.

Citation:

Alors Dieu créa les deux mouvements : les choses lourdes iraient vers le bas et les choses légères iraient vers le haut. Il créa également les quatre éléments. Le plus lourd était la terre. Puis venaient l'eau, le vent et le feu. Il les disposa dans l'ordre hiérarchique de leur pesanteur. La terre se trouvait doncau centre. Elle fut recouverte par l'eau, elle même recouverte par l'air. Enfin, le plus léger des éléments, le feu, vint couvrir le tout.

Afin que mouvement se fasse, Il entreprit de défaire l'ordre hiérarchique des éléments. Il plaça le feu au centre de la terre et l'eau dans le ciel, au-dessus de l'air. Les éléments bougeaient, alternant ordre et désordre, retournant systématiquement du désordre à l'ordre. Dieu se plaisait à voir comment Sa création se mouvait pour correspondre à l'ordre hiérarchique de leur pesanteur.
Création I - §7, 8

Ainsi le mouvement permanent qui nous entoure résulte de la volonté de Dieu. Lorsque le soleil se trouve dans le ciel, le voilà à sa place normal. Mais Dieu l'ayant voulu, il se doit de se coucher avant de réapparaître le jour suivant, éternellement. Ordre et désordre se suivent mais tout tend finalement à retrouver l'ordre.

De même dans notre vie, nous rencontrons parfois des dificultés, nous voyons parfois les choses se trouver dans un ordre qui n'est pas celui auquel nous nous attendions. Et je ne parle pas ici des surprenantes fins de soirée à la taverne.

Non je veux vous parler de ce qui nous frappe sans que nous sachions pourquoi. Mais quoi qu'il arrive, ne soyons jamais surpris car cela doit être avant de disparaître, cela doit arriver avant que l'ordre soit de nouveau là. Car quoi que nous fassions, nous ne pouvons être assez fort pour influer sur le mouvement que Dieu a décidé.

L'évêque s'arrêta, regarda la foule pour voir s'il avait bien été écouté. Après quelques secondes il reprit la messe.

Nous allons maintenant, faire acte de foi, par le Credo.

Souvenons nous maintenant des paroles de Christos

Citation:

" Mon corps va subir mille supplices, mais c’est pour que votre âme n’ait pas à les subir. Lorsque vous prierez le Très Haut, consacrez le pain et le vin de l'amitié, symboles de ma chair et de mon sang, afin de ne jamais oublier mon sacrifice pour vous. Rendez également hommage à ceux qui, par leur vertu, seront un exemple à vos yeux de l’amour qui est dû à Dieu. En vérité, il n’est pas de plus bel hommage à Dieu que d’aimer sans rien attendre en retour. "

Pendant qu'il prononçait ces paroles l'évêque partagea le pain dans de nombreuses petites parts, et les enfants de cœur faisaient de même. L'action était symbolique car plusieurs petites portions de pain avaient déjà été préparées.
Lorsqu'ils eurent finis, les enfants de coeur défilèrent dans les rangs pour donner le pain aux fidèles.

En mémoire de notre messie, suivons sa parole et partageons le pain et le vin.

L'évêque prit un morceau de pain et le mangea.

Puis il saisit une bouteille de crémant et se servit une coupe. après avoir but une gorgée il la confia à un enfant de cœur pour qu'il l'amène aux fidèles tandis que d'autres faisaient de même.

Pendant que les fidèles se transmettaient la coupe, l'évêque chanta :

Citation:

Je lève mes yeux vers Toi,
Qui sièges dans le soleil.
Et tel Oane pétri de foi,
Je ne laisse jamais l'Esprit rester en sommeil.

Et lorsque mes mains travaillent la terre,
Ne pouvant admirer le ciel,
Je n'oublie pas Ta réponse,
Repoussant au loin la créature sans nom.

Ouvrant les yeux,
Restant humble et patient,
Je n'oublie pas non plus la punition,
Qu'ont subie ceux qui se sont détournés.

Eternel,
renforce mon bras, renforce mon âme,
Et ceux de mes semblables.
Pour que nous fassions règner l'Amour sur ta Création.

La messe touchait maintenant à sa fin. L'évêque de Beauvais invita, d'un mouvement des bras, les fidèles à se lever et les bénit une dernière fois.

Citation:

In nómine Domini, et Christos, et Aristotelis. Amen
Grátia Christos, et cáritas Dei, sit cum ómnibus vobis.

Il descendit ensuite de la chair, pour aller à la rencontre des fidèles, et les remercier de leur venue.

Tully

L'Archevêque était là, sur son fauteuil réservé de la Cathédrale de Reims, le réel avantage c'était que la route est plutôt réduite, à moins d'une centaine de mètres, son Palais du Tau étant accolé à la Cathédrale. Il écouta Monseigneur Henri, et hochant la tête, récitant les TE DEUM, priant...

Il se leva à la fin de la cérémonie pour féliciter le Prélat

Merci Monseigneur pour votre prestation. Je pense que toutes les personnes présentent ici aujourd'hui auront appréciés.

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[img*]http://img16.imageshack.us/img16/9851/signtully1461.png[/img][Bannière trop lourde]

Tully

Citation:

La Nonciature Apostolique Romaine recrute

Au nom de Sa Sainteté, le très Saint père Eugène V et du Cardinal Chancelier de la Congrégation des affaires du siècle Aaron, Tully Pronotaire Apostolique relance le recrutement de personnel diplomatique religieux dans toutes les régions des RR. Ils auront la charge sous l'autorité du Protonotaire Consul Apostolique et du Conseil Supérieur en coordination avec le personnel de la Nonciature de s'assurer du renforcement des relations diplomatiques et fraternelles ainsi que du suivi des négociations concordataires.

La Nonciature Apostolique, également appelé "Congrégation des Affaires du Siècle" est destinée à s’assurer des liens et échanges qui unissent les diverses provinces temporelles des Royaumes du monde connu au Saint-Siège. Le siège de la Nonciature Apostolique est le Palais de Saint-Nicolas situé à Rome.
Là est décidé la politique étrangère romaine à adopter envers les différentes entités politiques plus ou moins autonomes. La Nonciature s'efforce de travailler dans la "compréhension et la satisfaction mutuelle" afin d'apporter sa modeste contribution à l'essor de la "Pax Christi" dans les Royaumes.

Une importante campagne de recrutement à travers les Royaumes est lancée. Tous les Comtés et Duchés doivent se munir d'un Ambassadeur (laïc) ou d'un Nonce (clerc), réel lien entre l'Église Aristotélicienne et le Pouvoir Temporel. La Nonciature recherche actuellement en priorité:

- des Ambassadeurs/Nonces Apostoliques (dans les nonciatures provinciales vacantes) qui est le représentant du Saint-Siège dans une province temporelle des Royaumes.
- des Vice-Ambassadeurs/Prononces Apostolique (quasi toutes les places sont libres) dont le rôle en tant que numéro deux consiste à assister le Nonce ou Ambassadeur de la province et cela de manière aussi efficace que discrète.
- des Ambassadeurs/Nonces Apostoliques bilingues(français et anglais ou toute autre langue présente dans les RR espagnol, bulgare, allemand, ...) pour faire rayonner l'église universellement.

Il est évident que pour le recrutement, préférence sera donnée à ceux ont de solides références ou qui sont des fidèles aristotéliciens de longue date. Nous vous demanderons de founir la preuve de 'parrainage' de dignitaire(s) écclésiastique(s) ainsi que de dignitaire(s) du pouvoir temporel provincial selon le poste envisagé.

Motivé, alors n'hésitez pas a postuler au sein de la Salle des admissions pour tenter votre chance. Lisez attentivement les formalités sur "Comment postuler à la Nonciature" ainsi que notre Règlement intérieur avant de postuler.

Par la grâce d'Aristote et de Christos, que Foi et Raison nous guident.

Yut

Citation:

A l’Universalité des Fidèles,
Au Peuple Savoyards,
A tous ceux qui liront, ou entendront,

Nous sommes nés en Savoie, dans la belle ville d'Annecy, nous avons grandis en Savoie, nous avons été choisis par le Très-Haut, Oui ! nous avons reçu l'appel de notre Sainte Vocation en Savoie, nous fûmes d'abord Diacre, puis Vicaire, puis Curé, et puis enfin Archevêque en Savoie. Nous connaissons la Savoie comme étant notre terre de cœur, autant que tout le monde aristotélicien est notre terre de Foi. Ce sentiment particulier eu égard à des expériences passées en Savoie, aux côtés de nos frères et de nos sœurs de cœur, Nous aimons la Savoie, peut être même plus qu'une autre province nous le confessons. Comment être objectif quand on s'attaque à votre cœur ? C'est une question teintée d'un épais brouillard de confusion dans notre esprit, ce qui ne signifie absolument pas que nous sommes incapables de réagir face à un coup de poignard dans le cœur. Oui Notre cœur saigne aujourd'hui, et c'est par cette formule rituelle pour nous maintenant, que je m'exprimerais en toute objectivité, mais avec la passion du cœur, et la douleur de la blessure.

Si nous prenons la plume grâce à cette déclaration solennelle, c'est pour condamner avec la plus grande fermeté l'action de la Confédération Helvétique, de soutenir les vils desseins d'un groupuscule d'Hérétiques que nous ne nommeront pas de peur de voir notre langue pourrir, tellement ils sont influencés par le Sans-Noms.

Jamais ! Je le dis Dieu ne cautionnera une telle attaque. Jamais l'Église de Rome, ne cautionnera une telle attaque. C'est pourquoi et nous tenions à le souligner, nous déclarons condamner encore une fois la Confédération Helvétique pour sa malfaisance. L'Église Aristotélicienne du monde entier suit avec attention l'agression dont à été victime la Savoie. Non l'Église Aristotélicienne n'abandonnera pas le Duché de Savoie et les fidèles de Savoie. Non !

La Colère de Dieu s'abattra sur les infidèles et les hérétiques, et par l'eau, la terre, le vent et le feu, ils seront punis, et erreront à jamais sur l'Enfer Lunaire, subissant les milles tourments infligés aux pécheurs. "2 - Alors, Dieu, d’une voix douce et apaisante, me dit: “Vois, comment risque de finir le monde que tu aimes tant. Il sera détruit par l’eau, la terre, le vent et le feu. Mais n’aie crainte, car si vous vous montrez vertueux, vous pourrez éviter ces inutiles souffrances. Et que ceux qui vivent dans la vertu ne s’inquiètent pas, car jamais Je n’oublie ceux qui M’aiment.”, me dit le Très Haut. Je vis en effet les nuages s’en aller, les vents se calmer, les flammes mourir. Mais la terre trembla de plus belle. " (Fin des temps - Chapitre IV - Le Jugement Divin).

Fort de ces constats, nous exhortons et admonestons toutes les provinces voisines à venir en aide au Duché de Savoie. Que ces provinces n'oublient pas leur Devoir envers Dieu et l'Église.

Enfin, nous appelons les savoyards à se regrouper et à défendre leur patrie contre les envahisseurs. Soyez fort mes amis, plus fort que jamais, car cette mobilisation deviendra le prélude et la construction d'un souffle pieux, et permettra à tous ceux qui se sentent oppressés par des hérétiques, ou des infidèles de suivre et de rendre au monde Aristotélicien une Gloire Éclatante, et la Terre de Dieu brillera de milles feux, ainsi, éblouira les esprits sombres de leur lumière et les remettre sur le Droit chemin, avec l'aide de l'Église, et en respectant le principe de L'unité Aristotélicienne, main dans la main, tous s'uniront sous une seule et même bannière, et chanteront avec force, honneur et courage, un TE DEUM de reconnaissance envers le Très-Haut, un TE DEUM d'allégresse à la vu des hommes et des femmes, unis comme des frères et sœurs, se disposant enfin, dans la lutte contre ceux qui nient l'institution de Dieu, ou contestent l'Aristotélicisme, à reprendre, la mission que le Très-Haut leur a assigné. Une vie Vertueuse, et respectueuse de l'Amitié et de l'Amour.

Nous vous adressons en guise de conclusion, de grand cœur, notre bénédiction épiscopale à vous-même Savoie, et à tous ceux qui liront ou entendront. Puisse le Très-Haut vous accorder Bonheur et Prospérité en ces temps sombres. Puisse notre bénédiction réchauffer votre foi et votre cœur.

Paix et Bénédiction,

Archevêque de Reims
Protonotaire Consul Apostolique
Seigneur Banneret d’Arborio et de Sonnaz.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Yut

Citation:

Condamnation de l'agression de la Très Aristotélicienne Savoie par l'impie république genèvoise

Nous, Cardinaux de la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine, réunis en Sacré Collège, devant le Très-Haut et sous le regard d’Aristote,

Condamnons l'agression, ayant débuté ce jour, de la Très Aristotélicienne Savoie par les hordes impies de la république de genève.

Assurons le Duc de Savoie du total soutien de la Sainte Curie et de l'ensemble de la Sainte Eglise Aristotélicienne, face au fléau qui s'abat sur son territoire.

Appelons à la mobilisation des Saintes Armées pour défendre le Peuple Savoyard de l'infâme engeance de la créature sans nom qui déferle sur les Terres Savoyardes, comme la vermine sur un champ prospère.

Demandons enfin, à toutes les Provinces Aristotéliciennes frontalières de la Savoie, d'envoyer, dans la mesure de leurs possibilités, des soldats pour aider à la défense du Peuple Savoyard.

Ad Majorem Dei Gloriam

Donné à Rome le XIII du mois de Décembre de l’an de grâce MCDLVIII de Notre Seigneur.

Pour le collège des Cardinaux, Son Eminence Vincent Diftain d'Embussy, Archidiacre de Rome.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Eustache_le_moine

vincent.diftain (Jeu 16 Déc - 13:21) a écrit:

Citation:

Nous, Vincent Diftain d'Embussy, Cardinal Romain, Chancelier du Saint Office Romain, Archidiacre de Rome
En tant qu'Archevêque de Sens,

Faisons annonce de la nomination de Dame Castafiore à la charge de Procureur Ecclesiastique de l'Officialité Episcopale de Sens.

Fait à Sens, le 16 décembre de l'an de grâce 1458

vincent.diftain (Jeu 16 Déc - 13:2

Citation:

Nous, Vincent Diftain d'Embussy, Cardinal Romain, Chancelier du Saint Office Romain, Archidiacre de Rome
En tant qu'Archevêque de Sens,

Faisons annonce de la nomination de Messire Lepirate123 à la charge d'Archidiacre Métropolitain de la Province de Sens.

Fait à Sens, le 16 décembre de l'an de grâce 1458

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Eustache_le_moine

Citation:

Nomination de Nicolas Sarkozy à la charge de Diacre de Troyes.

Nous, Vincent Diftain d'Embussy, Cardinal Romain, Chancelier du Saint Office Romain, Archidiacre de Rome
En tant qu'Archevêque de Sens,

Nommons Nicolas Sarkozy, Diacre de Troyes.

Qu'Aristote le guide dans sa nouvelle mission !

Fait à Sens, le 12 décembre de l'an de grâce 1458

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Yut

Citation:

De la Prise d'Annecy

Nous, Cardinaux de la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine, réunis en Sacré Collège, devant le Très-Haut et sous le regard d’Aristote,

Apprenons avec horreur la prise ce jour de la ville d'Annecy par les hordes sauvages de la créature sans nom, après plusieurs jours de résistance héroïque des armées savoyardes assistées de plusieurs soldats des Saintes Armées.

Assurons le Peuple Savoyard du total soutien de La Sainte Eglise Aristotélicienne face à cette terrible épreuve qui le frappe avec tant d'infamie.

Relançons l'appel à tous les Peuples Aristotéliciens de préter secours et assistance aux Glorieux Savoyards.

Ad Majorem Dei Gloriam

Donné à Rome le XX du mois de Décembre de l’an de grâce MCDLVIII de Notre Seigneur.

Pour le collège des Cardinaux, Son Eminence Vincent Diftain d'Embussy, Archidiacre de Rome.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Yut

Citation:

A l'Universalité des fidèles du Royaume de Francie Occidentale, qu'ils soient paysans, princes temporels ou prêtres,

Moy, Odoacre de Corinthe, par la grâce de Dieu Primat de France,

Avec la bénédiction de tous les évêques de France et en leur nom,

Annonce qu'après avoir examiné les différents candidats à la Couronne de France et avoir prié le Tout-Puissant de nous illuminer,

Estimons très indignes et très incapables de servir le royaume comme monarques les candidats suivants : Dragonet, Kilia, McLegrand, Nebisa et Yolaine. Qu'aucun aristotélicien ne leur accorde sa confiance !

Estimons dignes de porter la Couronne de France et de recevoir la confiance des Aristotéliciens, les deux candidates Beatritz et Clémence. Que par la prière, prêtres et fidèles laissent Dieu guider leur choix.

Pour le second tour de cette élection royale, la Très Sainte Église de France recevra l'illumination totale et entière qui lui permettra de désigner, couronner et sacrer la future Reine de France.

In Majorem Dei Gloriam

Fait à Rome en décembre de l'An I de mon archiépiscopat

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Maltea

La duchesse voit l'annonce et sourit en coin.... elles ont du coucher avec le grand Odoacre, le fouteur de trouble de l'Eglise aristotélicienne pour avoir sa bénédiction pense t'elle... Comme quoi Nebisa ne couche pas avec tout ce qui porte le statut d'homme.
Se souvenant de la venue en Champagne de cet homme d'église, elle s'échappe du lieu avant d'avoir un fou rire et d'être considérée comme folle ne pouvant s'abstenir de lancer tout haut....

On s'occupe de savoir qui remplacera le pape nous? Pourtant ils devraient faire quelque chose, parce que vu les dérives de la Grande Eglise... ça laisse songeur.
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Yut

Votre Grâce, je puis comprendre votre mécontentement face à l'annonce de Monseigneur Odoacre, plusieurs personnes n'apprécient pas ce Prélat, mais je tient à vous rappeler que le pouvoir du Roy lui est confié par la Très Sainte et Universelle Église Aristotélicienne, qui le sacre et le couronne.
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Cerberos

Des propos le mécontentant particulièrement, le Vicomte ne pu se retenir de laisser échapper quelques mots ..

Aristote n'est-il pas censé accorder sa sagesse aux Prélats afin de leur permettre de l'étendre à ses fidèles ? Peut-être est-ce dû au temps de fête, je crains qu'il n'est oublié quelques-une de ses brebis, les égarant par là même.. Ou est-ce ses chevilles qui, exposées au froid, ont subit un effet encore inconnu ?
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Yut

Le Père Yvon-Ulrick de Taschereau se rendit en la Cathédrale en ce jour de Noël, pour y officier une messe. Il envoya un bedeau faire sonner les cloches, et alla sa préparer dans la sacristie.

Il sortit ensuite, quelques minutes plus tard sur le parvis de la Cathédrale pour accueillir les fidèles.

Lorsque l’édifice religieux fut rempli, il se dirigea derrière l’Autel et commença.

Le bon jour mes enfants et bienvenue à cette messe de Noël. Joyeux Noël à tous, cher frères et sœurs!

Pour commencer, confessons ensemble nos péchés.

Citation:

Il récita ensuite la confession en français, pour que tous les fidèles présents comprennent.

Récitons maintenant le Credo.

Il prit son Livre des Vertus et le tourna jusqu’à l’hagiographie de Saint-Noël.

Citation:

Hagiographie de saint Noël

Ses origines

Arrière-petit-fils d'un brave homme ayant suivit Christos de son vivant, Nicolas Noël est né dans un chariot tiré à ce qu’on dit par des cerfs dressés par son père.
A cette époque les registres n’existaient pas et on ne connaît pas le lieu exact, ni la date exacte de sa naissance mais on sait que c’était pendant un hiver particulièrement rude.

Noël faillit ne pas dépasser l’âge de la puberté tellement il avait souffert à sa naissance, et il a même été en état de mort plusieurs fois. Par contre à chaque retour à la vie, contrairement au commun des mortels, il revenait plus en forme que jamais.
Pourtant chaque année au solstice d’hivers il semblait mourir pendant cinq jours et cinq nuits, mais bien que son corps soit veillé certains prétendaient l’avoir vu à différent endroit, offrant du pain aux plus pauvres, du feu à ceux qui n’en avaient pas, et même un simple jouet aux enfants triste.

Sa vie

Vers l’âge de 15 ans alors qu’il n’avait jamais étudié, il racontait l’histoire de Christos que son arrière-grand-père avait transmit à son grand-père et qui lui-même l’avait transmis à ses enfants et petits enfants.
Le curé de sa paroisse l’invitait régulièrement à participer à la messe et en fit son diacre. Très vite tout le monde fut surpris de son érudition, sa simplicité, son amour pour les autres et ses connaissances intuitives du dogme aristotélicien.

Un jour où on le questionna sur les raisons de ses problèmes de santé liés à l’hiver il répondit :

Je parlerais d’un cadeau de Dieu plus que d’un problème, car à chaque fois que je frôle la mort j’en apprends de Christos et Aristote, car notre Créateur nous donne toutes les réponses à toutes les questions pour que nous puissions voir notre vie sous des jours nouveaux, et que nous puissions nous juger nous même avant d’être jugé.
En principe en revenant à la vie, nous laissons ces connaissances et un peu de notre force, mais Dieu en a fait autrement pour moi je pense, bien que je ne garde qu’une réponse, sans choisir la quelle, je ne perds pas tout de ma visite chez les Saints.

Bien entendu personne ne le prenait réellement au sérieux, et il ne l’était d’ailleurs peut être pas, mais tout ce que les gens retenaient de cet événement c’est que c’était un érudit et un homme aussi sage que bon.

Tout au long de l’année, il donnait la moitié de son temps pour aider les malheureux, pas forcément les pauvres, mais bien ceux qu’il nommait les malheureux.

Quand on lui demandait pourquoi il aidait des riches comme les pauvres, il aimait répondre des phrases qu’il disait tenir d’Aristote lui-même :
« Les talents du riche ne remplace pas le talent d’être heureux ».
« Etre remplis de talents ne permet pas d’acheter le bonheur »
« on vit avec talent, mais on n’emporte pas ses talents dans la tombe »

Tous ne comprenaient pas, car il y avait longtemps que le talent n’était plus monnaye courante...

Vers l’âgé de 35 ans, il fut nommé Evêque et il continua sa vie de la même façon, aidant ceux qui devaient être aidé, quel que soit leur rang social, il était reconnu pour toujours avoir la parole ou le cadeau qu’il fallait pour rendre la boulasse aux plus malheureux.
Et chaque solstice d’hivers il semblait mourir, mais chaque fois 3 ou 4 jours plus tard il revenait plus en forme que jamais et organisait une messe vers minuit où il racontait une nouvelle histoire.
Une année il annonça que vu son grand âge, il avait près de 90 ans ce qui est un miracle en soi, il renonçait à sa charge et entreprendrait, seul, un dernier pèlerinage. Bien sur tout le monde voulu l’en dissuader, mais il promit qu’il reviendrait pour le 25 décembre, et que de toutes façons il faudrait bénir ce jour particulièrement car il avait appris de Christos et d’Aristote eux même, que c’était le jour de leur naissance à tous trois, Aristote étant né à midi et Christos à minuit et lui juste entre les deux, à dix huit heures.

La légende

Le Père Noël, comme avait continué de l’appeler ses fidèles, pris la route et revint parmi les siens le 6 décembre suivant.
Il ne répondit que peu aux questions sur ce pèlerinage, mais il avait ramené deux chariots. L’un remplis de bûches, et l’autre rempli autre de pains
Il fit distribuer le pain et le bois aux plus pauvres, et une fois la distribution terminée, il envoya les chariots faire le tour des plus riches à qui on demandait de déposer un présent.
Le 24 décembre, Monseigneur Noël organisa deux messes, l’une à midi en l’honneur d’Aristote et une à minuit en l’honneur de Christos, puis il se dirigeât vers la sacristie et plus personne ne le revit.

La totalité des villageois, du plus croyant au plus mécréant passèrent la nuit à le chercher, et c’est seulement au petit matin qu’épuisés, ils rentrèrent chez eux.
C’est là que la légende fut inscrite parmi les miracles, car chaque maison sans exception avait son foyer allumé et des cadeaux au pied de la cheminée.

Depuis cette époque, chaque année on dit un peu partout qu’en décembre il passe dans les maisons pour donner un peu de bonheur. On prétend même, que parfois, Christos et Aristote l’accompagnent directement...

.

Mes enfants, La Saint Noël est un grand événement, une invitation à la joie, la paix et à l'amitié. Ouvrons notre cœur et prenons exemple sur Saint Noël. Donnons du bonheur autour de nous, allez à la rencontre de vos amis, en taverne, en halle, en gargotte. Faisons honneur à ce Saint exemplaire!

Venez maintenant communier.

Allez dans la paix, mes frères, mes sœurs! Joyeux Noël!

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Fraisexotik_

Fraise arriva à l'église. Mais celle ci était vide ... personne ... La jeune femme s'assied dans le premier banc, attendant l'arrivée de quelqu'un.

Crysis

Crysis arriva dans l'église accompagné de sa belle, pour ce rendre au bapteme de son amie qui l'avai invité pour l'occasion.

il vit une touffe de cheveux roux depasser au dessus d'un banc, sourit et se rendit vers le premiers banc.

kikouu ma fraizouille, alors tu es prete pour le bapteme?

il se permit de lui faire une grosse lechouille baveuse, vu qu'il n'y avait encore personne d'autre d'ariver dans dans l'église, et se dit que c'était une premiere pour lui d'ariver a l'heure, meme en avance hé ba.

il s'installa a ces coté et papoterent attendant le commencement de la cérémonie
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Signature hors normes, supprimée par {Alana}

Yut

Le jeune Prélat entra dans la Cathédrale et envoya un bedeau sonner les cloches.

Il salua les personnes présentes et se dirigea derrière l'Autel. Il jeta un regard à l'assistance et fit une légère moue, ne voyant pas Neo. Il décida ce commencer l'Office.

Le bon jour à tous et bienvenue dans la Maison du Très-Haut. Nous sommes réunis en ce jours pour célébrer le baptême de Fraise.

Commençons par confesser nos péchés.

Citation:

J'inviterais maintenant le parrain et la marraine à réciter le Credo.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Florac

Floraine, veuve d'Antoine Bazin, drapier de son état, mort lors du naufrage du bateau sur lequel ils étaient, entre dans la cathédrale. Elle est en voyage, mais son coeur est lourd. Son coeur saigne. Elle part rejoindre son fils, sa future belle-fille et le fils adoptif de ces derniers, Planchet.

Il faut qu'elle apprenne à tourner la page, car elle sait que son Antoine ne reviendra pas. Mais c'est dur, très dur.

Elle s'installe et se met à prier...

Paskweten

Paskweten entra à son tour dans la cathédrale, cela lui rappelait bien des souvenirs. Il fut un temps où il était diacre, il baptisait les gens, les mariait...
Il s'installa près de sa Fraise, dans les premiers rangs et écouta attentivement tout ce qui se passait. Il récita les mots du religieux et surtout ne quitta pas des yeux celle qu'il aimait.

Cmmjd

Arrivée au bon endroit, la jeune femme était épuisée .. fallait la trouver cette cathédrale, et faut dire que le sens de l'orientation, c'était pas vraiment son fort. C'est donc quelque peu décoiffée et essoufflée qu'elle y pénétra, persuadée d'être trèèèèèèèès en retard.

Bon, c'était peut-être un peu le cas .. mais au moins il n'y avait pas tant de monde que cela.. Pis bon, les cloches venaient de sonner, et ce qu'elle put entendre au moment d'entrer fut :

Citation:

J'inviterais maintenant le parrain et la marraine à réciter le Credo.

Elle était donc pile à l'heure ! ça, c'était fort.

La brunette se dirigea alors vers sa fraise, voulut lui faire un bisou mais se dit qu'il était peut-être plus convenable d'obéir à l'officiant .. hem bon .. Elle fouilla donc dans sa mémoire puis récita le crédo doucement ..

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen
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Yut

Que fait le parrain?

Regard à la future baptisée.

On l'attends ou on continue?
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Golum52

Golum entra en l'église discrètement comme à son habitude, il regardait autour de lui et vit que quelques personnes étaient déjà présentes. Il se mit dans un coin et regarda son amie rayonnante comme à son habitude. Il leur fit un signe de tête pour ne pas perturber la cérémonie. Voilà enfin son amie de toujours prête à rejoindre le très haut .

Il récita le crédo, et était de tout coeur accompagnant son amie dans cette démarche.

Yut

Il soupire.

Bon, continuons... On a la marraine au moins.

Il prit son Livre des Vertus et le tourna jusqu'à la page désirée.

Citation:

Chapitre 12

Quand cette foule se dissipa, la place se vida, laissant place aux gardes du procurateur romain qui gouvernait cette ville. C’est alors, mes amis, que j’eus l’une des peurs les plus profondes de ma vie. Les soldats, rouges, en habit de sang, faisaient irruption sur la place par les multiples ruelles.

Certains surgirent sur les murailles et d’autres sortirent de différents bâtiments, bloquant toutes les issues et toutes les portes. Un tribun descendit alors les marches du palais du gouverneur, accompagné d’un robuste centurion.

Arrivé au milieu de la place, le tribun arrêta sa marche, et se pencha du côté de son centurion. Ce dernier prit alors la parole et nous dit de sa grosse voix brutale :

" Toi, Christos, qui te dis le messie et le guide ! Je t’accuse de nuire à la cité. Tu es un fomenteur de révoltes, un dangereux révolutionnaire, un homme de troubles. Aussi je te demande de me suivre ! "

Nous autres, ses apôtres, étions paralysés par la peur. Nous n’entendions que le sifflement de la brise qui faisait s’agiter les capes des romains. Et nous guettions, inquiets, la réaction de Christos. Daju était terrorisé, lui qui avait été vexé de ne pas avoir été choisi par Christos pour construire son Eglise.

Christos dit alors au centurion :
" En vérité, je te le dis, homme de peu de foi, je ne te suivrai pas, mais c’est toi qui vas me suivre ! "

Alors, le tribun ordonna au centurion de se saisir de Jeshua, et l’officier, à la mine féroce s’approcha de nous d’un pas lent. Je respirais au rythme de la cadence de ses pas, essayant de calmer mon cœur qui s’affolait. Lorsqu’il se trouva face à Christos, le Centurion le regarda dans les yeux, intensément et assez longuement. Lorsque soudain, il ôta son casque et s’agenouilla en embrassant la robe de notre messie.

" Maître, supplia-t-il, à la plus grande surprise du Tribun, je voudrais vous suivre et faire partie de cette communauté de fidèles. Comment dois-je faire ? Je sais que je suis pécheur et que j’ai servi un mauvais maître, mais je t’en prie dis-moi comment me faire pardonner ! "

Alors Christos le releva et sous le regard médusé des romains, il prononça ces mots :
" Pêcheur, je te le dis, tu viens de faire la première chose que les fidèles devront faire ; se montrer humble et confesser leurs pêchés. Ainsi, si ton repentir est sincère, Dieu te pardonnera. "

Christos se tourna vers ses apôtres, et continua :
" Et vous, que les fautes commises par vos ouailles leurs soient pardonnées si elles viennent les confesser à vos oreilles, et qu’elles sont prêtes à en faire pénitence."

Alors, Christos s’approcha de la fontaine, et dit encore au Centurion :
" Par la grâce de l’éternel, je vais te laver de tes péchés, te ceignant d’eau, source de vie. "

Et Christos plongea ses mains jointes sous le jet de la fontaine. Il aspergea la figure du Centurion de cette eau en chuchotant ces paroles :

" Seigneur, daigne laver cet homme de ses péchés, et lui donner ainsi une nouvelle naissance parmi les croyants ! Au nom du Très Haut. Amen "

Puis, Christos nous appela à lui, nous, ses apôtres et, les uns après les autres, il nous ceignit de l’eau de la fontaine, nous faisant naître à nouveau. Il nous dit: " Mes apôtres, tant hommes que femmes, par la grâce de Dieu, vous voici lavés de vos péchés. A vous de Lui montrer que vous saurez vous montrer digne de cet honneur qu’Il vous fait, car le sacrement du baptême pourra être retiré à quiconque en trahit l’essence. "

Ce fut une journée intense que je n’ai jamais oubliée tant elle est gravée dans ma mémoire. Notre émotion était à son comble quand nous nous aperçûmes en plus que les soldats avaient déserté la place.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Yut

J'inviterais maintenant la future baptisée à se rendre au baptistère pour réciter son Serment d'Allégeance à l'Église Aristotélicienne.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Yut

Commençant à s'impatienter. C'est qu'il avait trois autres baptêmes à célébrer... Il toussota.
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Fraisexotik_

Fraise s'approcha et récita d'un trait le serment d'Allégeance, Tant pi pour le parrain!

Je reconnais en Dieu le moteur du monde
la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde;
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Etre divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon äme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de sa beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.

Yut

Maintenant, je vous remet ce médaillon. Soiyez-en fier, ça prouve votre appartenance à la communauté des fidèles.

Et voici un cierge, qu'il puisse vous guider et vous illuminer tout au long de votre vie.

Il invita ensuite les fidèles à venir communier.

Puis, clotura la cérémonie.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Jollin

gros problèmes d'ordi, je peux enfin poster, désolé...

Jollin se disait qu'il allait arriver bien en avance, quand il fut surpris par une attaque de brigands. Bon an mal an, il en vint à bout, mais ne put éviter à son cheval de se faire blesser. Il pansa donc sa bête puis l'amena, clopinclopant, jusqu'à un abri sûr. Il ne lui restait plus qu'à finir sa route à pied...

Il se mit à courir, encore sonné par le combat et transpirant, mais ne voulant en aucun cas laisser sa soeur privée de la présence de son frère, et... de son parrain. Suant et couvert de poussière, il vit soudain la cathédrale à l'horizon. Il en franchit le seuil, dans un vacarme retentissant.

Bonjour, j'suis le parrain... et le frère de la baptisée... rfff... pardonnez mon intrusion, euh... rffff... fracassante, mais je vous expliquerai après. Oups, je vois que j'arrive presque à la fin... bon, alors...

puis, se rendant compte qu'il criait...

euh.... je n'ai pas dit le credo, alors, le voici :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen...

Ensuite... que dois-je faire ?

ajouta-t-il, regardant sa soeur et l'officiant, confus et souriant...

_________________
JOLLIN
Berger, Tisserand, Sergent de la Prévosté
Lieutenant du Duché de Champagne, à la Guilde des Corinthiens

Yut

Très bien! Vous n'avez plus rien à faire

Voici le certificat de baptême.

Citation:

Certificat de baptême - Fraisexotik

Nous, Yvon-Ulrick de Taschereau, en notre qualité de Vicaire Diocésain de Reims, faisons annonce devant le Très-Haut et sous le regard d'Aristote,

Le baptême de Fraisexotik. Célébrée par Yvon-Ulrick de Taschereau en présence de la marraine Cmmjd et du parrain Jollin, la cérémonie eu lieu en le 29 décembre 1458 en la Cathédrale Saint-Humérus.

Fait à Compiègne, le 31 décembre de l'An de grâce 1458,

Son Excellence Père Yvon-Ulrick de Taschereau,
Vicaire Diocésain de Reims.

[Ok, c'est compréhensible]
_________________

« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Yut

Le jeune Prélat envoya un bedeau sonner les cloches, pour deux autres baptêmes, qu'il avait décidé de faire en même temps.

Il alla accueillir les fidèles sur le parvis.

Puis, lorsque la Cathédrale fut remplie, il se dirigea derrière l'Autel.

Le bon jour à tous et bienvenue dans la Maison du Très-Haut. Si nous sommes ici aujourd'hui, c'est pour la baptême de deux hommes, Polibe et Nono18.

Premièrement, confessons nos péchés.

Citation:

Maintenant, je demanderais aux parrains respectifs, Monseigneur Cerberos d'Armantia et Messire Paskweten, de réciter le Credo.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Flora23

Flora arriva a la fin du bapteme de Fraise car avec toute les garde elle etait perdue dans les dossiers mais avait trouve un moment pour y allez mais c'etait dejas la fin

Paskweten

Paskweten félicita sa Fraise et l'embrassa amoureusement. Il était très heureux pour elle, depuis le temps qu'elle refusait de se faire baptiser la saleté...

Il resta dans l'église car déjà deux autres baptêmes commençaient et il était le parrain de l'un d'eux.

Il récita le crédo comme le demandait le prêtre :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen...

Polibe

Polibe arriva en la Cathédrale plus que motivé. Un grand jour pour lui : son baptême. Il aurait aimé qu’elle soit prêt de lui … les évènements avaient perturbé plusieurs projets. Elle serait surement fier de lui quand elle rentrerait …

Il s’installe tranquillement et écouta Son Excellence commencer. Il récita en silence la confession des péchés surement pour la première fois :

Confiteor Deo omnipoténti, et omnes sanctis et vobis, fratres, quam peccávi nimis cogitatióne, verbo et ópere.
Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa.
Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres, oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum.

Yut

Il chuchota à Polibe:

Où est le Vicomte?
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Rose16

Rose entra dans la cathédrale et vit beaucoup de monde.
En observant plus attentivement elle s'aperçut qu'on faisait là un baptême. La jeune fille alla se placer en silence dans un coin et se dit qu'elle attendrait la fin de la cérémonie pour aller voir le diocèse.
En attendant, elle pria puis releva la tête pour regarder comment se passait cette onction et en apprit d'avantage sur ce qu'elle désirait.

Cerberos

En retard, le Vicomte se hâta de pénétrer dans la bâtisse religieuse afin de se porter témoin de son futur filleul. Il pestait intérieurement contre ce retrait forcé du monde commun dans une abbaye situé non-loin de la Capitale. Tenu éloigné de sa tâche première, l'administration de la Bourgade de Reims, il n'avait pu s'occuper normalement de la ville, et c'est avec empressement qu'il avait quitté l'atmosphère religieuse pour regagner son poste. Ayant récemment accepté de devenir le parrain de son Intendant demeuré hors de la lumière du Très-Haut mais non pas sans suivre l'enseignement d'Aristote en servant son Duché, il se devait de le rejoindre à la Cathédrale qu'il rallia le plus vite possible.

En silence, il rejoignit le groupe et on l'informa de la nécessité de réciter le crédo. Un mot glissé auprès du Prélat pour le retard et il entama enfin la récitation.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen !

Une fois fait, il se tut et se mit à l'écart sur le banc, attendant la suite de la cérémonie... Un coup d'oeil adressé à Polibe afin de le soutenir dans sa démarche. Une expression de compassion qui disparut sans attendre de son visage afin d'opter une expression glaciale.
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Yut

Il fit un signe de tête à Cerberos lorsqu'il arriva, puis prit son Livre des Vertus et le tourna jusqu'à la page désirée.

Citation:

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Yut

J'inviterais maintenant les deux futurs baptisés à se rendre au baptistère pour réciter leurs Serment d'Allégeance à l'Église Aristotélicienne.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Nono18

suite à son appel, Nono18, s'approcha du baptistère et récita le Serment d'Allégeance en souriant à son parrain

Je reconnais en Dieu le moteur du monde
la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde;
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Etre divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon äme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de sa beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.

Polibe

Il fut rassuré de voir son Parrain arriver. Le gratifiant d’un signe de la tête pour le saluer et le remercier, il eut envie de lui sourire mais qu’elle idée. Il reprit son visage fermé et continua d’écouter. Polibe se leva et s’avança lorsqu’il entendit la demande. Il s'approcha du baptistère et récita le Serment d'Allégeance.

Je reconnais en Dieu le moteur du monde
la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde;
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu,
et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Etre divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon äme en vue de ma résurrection près de Dieu
dans la contemplation éternelle de sa beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur
de Dieu tout puissant.

Beeky

Une main gantée de cuir poussa hardiment la porte de chesne, laquelle céda sous la pression en un grincement lugubre. Silhouette au ventre rond, dissimulée par une cape de martre, la dame pénétra en le sainct édifice et se dirigea d’un pas lourd vers l’autel.

A mesure que le Procureur remontait la nef, le froid se faisait pénétrant et l’atmosphère chargée de relents de moisissure agressait l’odorat de la vicomtesse, de bien méchante façon. Nonobstant, poinct cela ne semblait ralentir son pas et, bien tost, elle s’en fuct à la hauteur de l’autel où se tenait cérémonie.

L’archidiacre de Malines recognut sans peyne l’officiant, lequel elle s’apprestait à convoquer en l’Archidiocèse de Reims pour une affaire, somme toute délicate... L’occasion estait par trop belle pour lui faire compliment sur son ministère ou bien alors le tancer vertement s’il usait de rites plus proches de dogmes païens qu’aristotéliciens.

Léger hochement de chef en guise de salut et la dame de s’en aller poser son noble séant sur les stalles de chesne usés par les ans. Mains qui se joignent en son manchon, regard aiguisé se posant sur l’assemblée icelieu réunie et le Procureur de l’Officialité attendit que la cérémonie se poursuive, sans avoir mot dit.

ortho edit
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Yut

Il le fit pour les deux. Puis, il revint vers l'Autel accompagné des deux hommes, fit un signe de tête à l'Archidiaconesse de Malines et poursuvit.

Maintenant, je vous remet à chacun ce médaillon. Soiyez-en fier, ça prouve votre appartenance à la communauté des fidèles.

Et voici un cierge, qu'il puisse vous guider et vous illuminer tout au long de votre vie.

Il invita ensuite les fidèles à venir communier.

Puis, clotura la cérémonie.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Flora23

Flora attendat son tour pour se faire baptiser elle etait entouré par ces deux marraines

Polibe

Il était restait très sérieux, écoutant attentivement les paroles. Il était un peu perdu par toutes ces choses à faire mais bon ... baptème. Il releva la tête une fois que son Excellence est terminer de le baptiser et prit le médaillon avec soin.

Amen

Beeky

Foutredieu ! A peine assise et la cérémonie estait achevée… La vicomtesse estait fort chagrinée mais quy aurait su dire sy cela venait d’un sentiment diffus de se laisser aller à songer que la chose avait esté prestement expédiée ou bien alors... qu’elle regrettait d’avoir manqué l’essentiel de la cérémonie.

Le jeune baptisé semblait perplexe, lui aussy. Sans doute avait-il raté un passage de la célébration ou bien alors n’en revenait-il poinct d’estre passé de l’estat d’hétérodoxe à iceluy d’aristotélicien, sans vraiment qu’il y eu ceste intensité religieuse qui vous emplit d’émotion et vous fait sentir enfant de Dieu.

La dame laissa le temps à l’assemblée de se congratuler et posa son regard lourd sur l’officiant…
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Yut

Il leur tendit à chacun un parchemin.

Citation:

Certificat de baptême - Polibe

Nous, Yvon-Ulrick de Taschereau, en notre qualité de Vicaire Diocésain de Reims, faisons annonce devant le Très-Haut et sous le regard d'Aristote,

Le baptême de Polibe. Célébrée par Yvon-Ulrick de Taschereau en présence du parrain Cerberos, la cérémonie eu lieu en le 3 janvier 1458 en la Cathédrale Saint-Humérus.

Fait à Compiègne, le 5 janvier de l'An de grâce 1458,

Son Excellence Père Yvon-Ulrick de Taschereau,
Vicaire Diocésain de Reims.

Citation:

Certificat de baptême - Nono18

Nous, Yvon-Ulrick de Taschereau, en notre qualité de Vicaire Diocésain de Reims, faisons annonce devant le Très-Haut et sous le regard d'Aristote,

Le baptême de Nono18. Célébrée par Yvon-Ulrick de Taschereau en présence du parrain Paskweten, la cérémonie eu lieu en le 3 janvier 1458 en la Cathédrale Saint-Humérus.

Fait à Compiègne, le 5 janvier de l'An de grâce 1458,

Son Excellence Père Yvon-Ulrick de Taschereau,
Vicaire Diocésain de Reims.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Cerberos

La cérémonie touchait à sa fin, rapidement, il fallait l'avouer. Son nouveau filleul se voyait remettre son médaillon, et ce fut amusé qu'il esquissa un léger sourire en le voyant négliger le cierge. Son jour de baptême datait même si les souvenirs étaient encore fidèles à la réalité passée. Le Vicomte s'apprêtait à rejoindre le Capitaine pour lui remettre un présent personnel afin de sceller le lien qui venait de naitre entre eux... Lorsque.. Sur le coté ..

La d'Appérault. Plissement des yeux, ses mains disparurent sous sa toge et son regard vert émeraude s'assombrit avant de se déposer sur Polibe. Lorsque ce dernier prit soin de l'observer, il lui indiqua d'un bref signe de la tête de le rejoindre et son visage fermé semblait ne pas laisser à redire. Si la Rose Noire se présentait en Champagne, dans son Duché d'origine et ce dans la Cathédrale de Reims en fin de baptême, cela ne pouvait qu'être de mauvais augure. Adoncques, il était temps de rejoindre le carrosse et de s'éloigner des ennuis... Petit salut convenant aux formes envers la Vicomtesse et le Noble se tourna définitivement vers son protégé ..
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Polibe

Il se saisit de son baptême en remercier le Vicaire d'un hochement de tête. Poly s’en retourna vers son Parrain, très fier … mais il sentit une certaine tension dans l’assemblée. Ses yeux allèrent du Vicomte à une femme encore inconnu à ses yeux. Il refit le geste des yeux plusieurs fois et en était sur … entre ces deux, une tension palpable. Ou alors avec Yut ?

Il regarda le Vicomte et s’empressa de le rejoindre à son signe de tête. Il descendit et alla rapidement le rejoindre. Il tripotait son acte de baptême comme si on allait lui reprendre d’un moment à un autre. Manquerait plus que ça … il resta debout droit comme un i au côté de son noble sans dire mot.

Yut

Il y avait un autre baptême à célébrer. Celui de Flora. Il se dirigea donc vers l'Archidiaconesse, qui ne lui semblait pas de bonne huneur. Pourquoi s'était-elle déplacé en Champagne? Il lui dit sur un ton paisible:

S'il y a un problème, c'est ici quil faut l'exposer. J'ai un autre office à célébrer.

Il se dirigea vers l'Autel et dit:

Nous allons aussi, célébrer un autre baptême. Celui de Flora23.

Commençons par confesser nos péchés.

Citation:

Il récita ensuite la confession en français, pour que tous les fidèles présents comprennent.

J'inviterais maintenant les deux marraines à réciter le Credo.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

C_lotus

Clémence lotus arriva à l'église cela faisait tellement longtemps qu'elle n'y avait mis les pieds.
Après avoir été mandé in petto par Flora pour devenir sa marraine elle avait acceptée ne s'attendant pas du tout à ce que la cérémonie fut célébrer deux jours après la demande.
C'est donc avec un soin particulier qu'elle c'était apprêtée d'une robe en taffetas couleurs vert émeraude et toute les fanfreluches dont aiment tant les femmes, mais dont elle aurait pu se passer si ce n'était pas pour faire honte à sa futur filleul elle serait venue vêtu de ses vêtements de soldat se sentant bien plus à l'aise.

Elle entra donc s'attendant à y voir des amis et delph qu'elle ne fut sa surprise d'entendre le prêtre réciter la confession sans qu'un convive sois présent mais juste la future baptisée c'est donc avec empressement qu'elle se dirigea vers le bénitier trempant prestement le bout de ses doigts et se signa négligeant la génuflexion, elle alla directement rejoindre Flora devant l'autel saluant d'un signe de tête le prête, et murmurant à Flora.

Je ne savais pas que ton baptême serait mené manu militari sinon je serais venue plus tôt.

Se remémore les cérémonies faites par Mythia qui souhaitée la bienvenue à ses ouailles avant de commencer, les temps avaient bien changé et Clémence était impatiente de voir comment cela allait se dérouler. Elle se tenait bien droite au coté de flora tête baissée en signe de recueillement s'imbibant de l'atmosphère d'apaisement qui y régnait.
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Delphirus

Elle etait venue en ces lieux pour sa chere et fidele amie d'enfance ,meme si elle ne fréquentait pas beaucoup l'église a vrai dire jamais ,elle restait une fidele aristotelicienne et c'est avec fierté qu'elle avait accepté d'etre la marraine de flo .
Pour ne pas changer de ses habitudes c'est en urgence qu'elle partit de chez elle , il fallait dire que la ponctualité n'etait pas son fort . Elle avait quand meme prit le temp d'enfiler une houpelande a la hate et de coiffer sa chevelure rebelle meme si celle ci avait vite reprit ses plit sous sa marche accéleré vers l'eglise .

Elle penetrat dans le saint lieux et apperçut sa soeur aux cotées de flo ,apres s'etre signé elle se hata d'aller les rejoindre écoutant le pretre reciter la confession saluant les deux femmes d'un signe de tete....

et bah on perd pas de temp ....pensat elle ....

elle fut vite sortit de ses penser par le sieur qui invitait les deux marraines a reciter leur credo ...Elle s'avançat et dit d'une voix claire après un tendre sourire envers sa future filleulle ....

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen !

Elle souriat à sa soeur se remémorant son propre baptème ou sa chere clo etait devennue elle meme sa marraine ...

Flora23

Flora était avec une marraine Clotus qui lui chuchotas

Je ne savais pas que ton baptême serait mené manu militari sinon je serais venue plus tôt.

Elle lui sourit et lui chuchota
Je ne savais pas aussi que ça allait très aussi vite.

Puis elle vit sa deuxième marraine arrivée Delphirus. Elle était entourée de ces deux marraines

Elle pensa personne d’autre viendras à mon baptême vas trop vite mais tant pis mes deux marraines son-là le plus important. Elle écouta les credo de ces marraines.

Yut

Citation:

De la Situation Angevine

Nous, Cardinaux de la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine, réunis en Sacré Collège, devant le Très-Haut et sous le regard d’Aristote,

Par conséquent, nous avons rappelé à l'ordre le Cardinal Camerlingue en lui remémorant les règles de fonctionnement de la Sainte Curie, notamment du fait qu'il devra désormais se conformer à la nécessaire Collégialité qui sied à notre Sainte Institution.

Nous réaffirmons que l'inititiative personnelle du Cardinal Camerlingue n'a pas été cautionnée par la Sainte Curie, puisque décidée sans sa consultation.

Cependant, nous ne condamnons pas son action car, comme nous l'avons enoncé, elle était justifiée, même si nous pouvons déplorer la méthode utilisée.

Donné à Rome le VII du mois de Janvier de l’an de grâce MCDLIX de Notre Seigneur.

Pour le collège des Cardinaux, Son Eminence Vincent Diftain d'Embussy, Archidiacre de Rome.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Yut

Il prit son livre des Vertus, et le tourna a la page désirée.

Citation:

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Beeky

Vérole divine, mes sels ! Lâcha la vicomtesse, entre ses dents, tout en fouillassant fébrilement en son aumosnière, à la recherche de ce quy la remettrait de la stupeur dont elle se sentait accablée. Ce sentiment semblait partagé par l'assistance, ce qui ne fict que renforcer sa grande contrariété.

Est-ce là ce quy avait faict fuir le pauvre Cerberos, suivi en cela de son filleul ? Nul n’aurait su le dire. Par fin, le Procureur s'en vint à nourrir quelques soupçons sur le départ précipité des deux hommes, l'un tenant son certificat de baptesme comme sy on allait luy arracher de force... Ah ça, mais quelle mouche les pique, doncques ? Songea-t-elle in petto.

Attigny se contenta de répondre d'un hochement du chef aux salutations... lointaines du vicomte et reporta son attention sur le prélat, lequel ne lui tint poinct long discours.

-"S'il y a un problème, c'est ici qu’il faut l'exposer. J'ai un autre office à célébrer."

Palsambleu, pourquoy ce dernier pensait-il qu'il y eut problème... La dame, suspicieuse par nature, fixa son "Excellence" et le regarda fort perplexe. Alors que Beeky aurait gousté luy répondre sans tarder, l'officiant enchaisna prestement sur la cérémonie, bien que seule, une toute jeune damoiselle estait présente. Etrange rite, en vérité, que d'officier de la sorte…

La vicomtesse sentit la moutarde lui monter au nez, aussy vint-elle se placer auprès du prélat et elle lui chuchota.

Vostre Excellence… pardonnez ma hardiessse à interrompre ainsy vostre débit religieux, lequel semble fort… précipité, mais sy j’aye faict le chemin jusqu’icy, ce n’est nullement pour bavarder entre deux offices. Sachez que sy problème il y a, je vous dresserai convocation à l’Officialité de Reims et que vous seriez tenu de vous y présenter, en les plus brefs délais.

La dame lui adressa un sourire aimable alors que ses yeux d’un gris d’acier ne semblaient guère enclins à minauder…

A la réflexion, attendez-vous à ce que la chose soict ainsy, en les jours à venir. Poinct ne vous en dirai davantage icelieu, mais sachez que je trouve navrant de faire montre d’aussy peu de chaleur humaine pour un baptesme. N’oubliez jamais que sy pour vous, cela est routine, pour le baptisé, cela doict estre un jour exceptionnel, dont il aura souvenir sa vie durant. Il doict sentir en ses tripes l’engagement solennel qu’il prend, il doit sentir en sa chair qu’il appartient au peuple de Dieu.

Je ne doute poinct que vous oeuvrez au mieux mais nous avons tous le temps de passer de vye à trespas, aussy soyez plus serein en vostre ministère et taschez de ne poinct commencer l’office avant que tous ne soient réunis.

Laissez le temps aux fidèles de communier et n’omettez poinct de congratuler le baptisé. Mais de tout cela, nous parlerons en d’autres lieux car je saurai bien vous trouver en Reims. Oh, poinct pour vous jeter la pierre, ne soyez guère inquiet, mais peut-estre pour vous espauler, sy toutefois, vous acceptiez mon aide…

La chose dicte, Beeky se retourna et adressa un sourire innocent aux trois femmes présentes, puis elle laissa le Père Yut agir à sa guise. Elle s’eclipserait sans bruit, après avoir prit soin de mander au Très-Haut de veiller sur la Champagne et les Champenois.

Beeky quitte la Champagne, si réponse il y a, faites-le moi savoir par MP, merci. Bon jeu à tous !

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C_lotus

Décidément rien ne se faisait comme en son souvenir delph arriva et après un léger salut récita le credo, puis la vicomtesse Beeky se mit au coté du prêtre, à sa mine et son air pincé elle avait plutôt l'air très contrariée et lui murmura quelques chose .
Clémence lotus n'eut pas le temps d'ouvrir la bouche pour réciter le credo que le prêtre avait ouvert le livre des vertus c'est donc avec recueillement qu'elle l'écouta jetant des regards furtifs vers l'assemblée dont certains semblaient dormir et d'autre bailler à se décrocher la mâchoire.

La jeune Flora émue écoutait la messe avec des étoiles dans les yeux, elle allait entrer dans la grande famille d'aristote et il était important qu'elle en garde un merveilleux moment
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Yut

Ignorant tout bonnement l'intervention déplacée de la Vicomtesse, il continua.

J'inviterais maintenant la future baptisé à se rendre au baptistère, pour réciter son serment d'allégeance à l'Église Aristotélicienne.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Flora23

Flora etait appeller a son tour pour réciter son serment d'allégeance à l'Église Aristotélicienne

Je reconnais en Dieu le moteur du monde
la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde;
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Etre divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon äme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de sa beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.

Yut

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Yut

Maintenant, je te remet ce médaillon. Sois-en fier, ça prouve ton appartenance à la communauté des fidèles.

Et voici un cierge, qu'il puisse te guider et t'illuminer tout au long de ta vie.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Yut

Il invita ensuite les fidèles à venir communier.

Puis, clotura la cérémonie.

Il serra la main de la baptisée avec un sourire.

Félicitations, ma fille!
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Yut

Chapelle Milites Dei
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Flora23

Flora lui serras la main mais attendit son certificat de baptême pour le mettre en sécurité chez elle. Elle alla faire une bise à ces deux marraines.

Vous viendrais en taverne une bonne bière vous attends.

Elle savait très bien que cela ne sera pas une bière mais plein de chopines qui vont l'attendre. Elle attendit son amour mais il a du se perdre dans la ville.

Vous venez en tavernes alors?

Elle voyait qui sortait en première que pour la bière et éclata de rire.

Yut

Citation:

Certificat de baptême - Flora23

Nous, Yvon-Ulrick de Taschereau, en notre qualité de Vicaire Diocésain de Reims, faisons annonce devant le Très-Haut et sous le regard d'Aristote,

Le baptême de Flora23. Célébrée par Yvon-Ulrick de Taschereau en présence des marraines Delphirus et C_lotus, la cérémonie eu lieu en le 10 janvier 1458 en la Cathédrale Saint-Humérus.

Fait à Compiègne, le 12 janvier de l'An de grâce 1459,

Son Excellence Père Yvon-Ulrick de Taschereau,
Vicaire Diocésain de Reims.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Yut

Citation:

Invitation aux joutes du 17 Février 1459, Organisées par Typhanie de Divonne, dicte Titca, Dame de Soye, ainsi que les membres de la Congrégation des Affaires du Siècle.

Nous, Typhanie de Divonne dicte Titca, Dame de Soye, Secrétaire Apostolique de France & les Membres de la Congrégation des Affaires du Siècle, annonçons que nous vous invitons le dix-septième jour du deuxième mois de l'an mille quatre-cent cinquante-neuf, aux joutes de Soye :

'' Se réunir est un début ; rester ensemble est un progrès ; travailler ensemble est une réussite.''

Car nous pensons que les liens diplomatiques ne doivent pas être créés lors d'un conflit, mais lors de divertissements et parce que nous savons que dans l'âme de chaque être humain se cache un jouteur né ; nous avons le plaisir et l'honneur d'organiser les Premières Joutes de la Seigneurie de Soye en Berry.

Faisons tomber les préjugés les plus ridicules pour découvrir les différentes facettes qui font de notre Royaume un lieu de vie si varié et intriguant. La Congrégation des Affaires du Siècle a organisé ces joutes autour de deux grands personnages de la Sainte-Église Aristotélicienne et Romaine : Saint Arnvald, patron des magistrats et avocats, et l'apôtre Sainte Adonia qui contribua au rapprochement entre les peuples.

Les inscriptions pour les joutes sont à faire auprès de l'arbitre : Deedlitt de Cassel d'Ailhaud ( Ig : Deedlitt), la date limite étant le 15 Février 1459.

Afin qu'aucune âme ne puisse penser être écartée, nous vous informons que des activités annexes seront également mises à l'honneur, tels que le Tir à l'arc, la chasse au trésor sur les remparts, l'écriture d'une prière et le lever de Coude. Et pour que nos invités ne meurent pas de soif, boissons et repas seront mis à la disposition de ceux qui le désirent.

Typhanie de Divonne dicte Titca,
Dame de Soye,
Secrétaire Apostolique de France

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Yut

Le jeune Prélat envoya un bedeau sonner les cloches, pour le baptême de Kosai, qui devait avoir lieu en ce jour.

Il alla accueillir les fidèles sur le parvis.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Chpiot

Et un baptême de plus .. un !
A peine rentrés d'un baptême à la citadelle de l'ordre Teutonique que la rouquine prit la direction de la cathédrale de Reims pour le second baptême de la série.
Histoire de varier les plaisirs, elle s'y rendait cette fois ci afin d'accompagner Kosai, un compiègnois exilé a Troyes pour sa fonction de Chef de Port, sur le chemin de la lumière.

Heureuse qu'il lui fasse l'honneur de lui demander de devenir sa marraine, elle arriva sur le parvis alors que les cloches commençaient à sonner.
Bonjour
Saluant d'un signe de tête l'officiant, elle passa devant lui et trempa ses doigts dans le bénitier, se signa et se dirigea vers les premiers rangs en attendant que les invité et le "héros" du jour arrivent à leurs tour.
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Kosai

Kosai courait dans les rues de Reims quand il entendit les cloches sonner... Elle lui étaient certainement destinés, et il n'y était pas...
En effet, aujourd'hui, c'était son baptême.

Il redoubla de vigueur.

C'est tout essoufflé qu'il arriva sur le parvis de la magnifique cathédrale de Saint-Himérius, où il vit qui l'attendait le père Yut, qu'il avait déjà rencontré pour son cours de pastorale il y avait maintenant plus d'une semaine. Il eut aussi le temps de voir une chevelure rousse rentrer au travers des lourdes portes de l'église ; c'était certainement sa marraine et amie : Chpiot, tout fraîchement dite, Dame de Saâcy sur Marne !

Bonjour mon père excusez mon léger retard !

Yut

Il sourit à Kosai, puis, se dirigea vers l'Autel, pour débuter la cérémonie.

Mes enfants, nous sommes ici en ce jour pour le baptême de Kosai. Il va entrer dans la grande communauté des fidèles Aristotéliciens.

Commençons par confesser nos péchés.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Kosai

Kosai rentra dans l'église, et suivit le père Yut. Il s'assit au premier rang à côté de Chpiot, qui lui souriait, et comprit rapidement qu'il fallait dire en chœur la même chose que le prêtre.

Je confesse à Dieu tout-puissant, à tous les saints, et à vous aussi, mes amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en paroles, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très-Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Chpiot

La rouquine se tourna vers l'entrée de l'édifice en entendant des bruits de pas et adressa un sourire à Kosai qui venait d'arriver. La cérémonie débuta bien vite à la suite de cela. Après tout le futur baptisé était présent de même que le principal témoin et l'officiant.. c'était le minimum requit. Les retardataires prendraient la cérémonie en cours de route.

A l'invite de l'officiant, Chpiot joignit les mains et récita a mi voix

Je confesse à Dieu tout-puissant,
à tous les saints, et à vous aussi, mes amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en paroles, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes amis,
de prier le Créateur pour moi.
Que le Très-Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
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Yut

J'inviterais maintenant la marraine à réciter le Credo Aristotélicien.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Chpiot

Lorsque le Père Yut lui demanda de réciter le crédo, la rouquine adressa un sourire a Kosai qui se tenait près d'elle et récita sans faille

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep,
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis,
c'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droit du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine,
Une et Indivisible,
En la communion des Saints,
En la rémission des péchés,
En la Vie Éternelle.

Amen
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Yut

Il prit son livre des Vertus pour faire une lecture sur le baptême.

Citation:

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Chpiot

Chpiot récita le crédo et a la suite de quoi, ce serait surement a Kosai d'entrer en action.. elle le regarda du coin de l'œil, se rappelant comme si c'était hier le jour de son propre baptême, entourée de Choron et Nathy, Raja son forgeron bien sur, ainsi qu'Iguemar Ananké Pernelle, ... Dieu que le temps passait vite, ca donnait presque le tournis.

Le Père Yut, ouvrit le livre des vertu et commença la lecture, lecture fort bien choisies selon elle. La cérémonie suivait tranquillement son cours.. d'ici peu, Kosai un membre a part entière de cette grande famille aristotélicienne
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Kosai

Le gros silence qui suivit la lecture du livre des vertus et le regard en coin de Chpiot indiqua à Kosai que c'était peut-être à lui de dire quelque chose...
En l'occurrence, il ne voyait vraiment pas quoi, et ne voulant pas perturber le fonctionnement traditionnel, il se tût et attendit un signal.
Que rajouter après cela ? "Oui je crois" peut-être ? Ou encore "Oui père Yut, vous avez tout à fait raison "?
Non sincèrement il fallait mieux se taire...
Il espéra qu'il n'avait rien raté de ce que le prêtre avait demandé de faire, et attendit.

Yut

J'inviterais maintenant le futur baptisé à se rendre au baptistère, pour réciter son serment d'allégeance à l'Église Aristotélicienne.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Tully

Citation:

Nomination du Père Yut - Vicaire Général de Reims

Nous, Tully de Nivellus de Sparte, Archevêque de Reims, Protonotaire Consul de la Nonciature Apostolique, Seigneur d'Arborio et de Sonnaz, devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote,

Père Yvon-Ulrick de Taschereau dict Yut

Vicaire Général de la Province Métropolitaine de Reims

Monseigneur Yut

Ad Majorem Dei Gloriam

Lu et approuvé par la personne susmentionnée
Fait à Reims le XXV janvier de l’an de grâce MCDLIX de Notre Seigneur

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[img*]http://img16.imageshack.us/img16/9851/signtully1461.png[/img][Bannière trop lourde]

Kosai

Ah ! Soulagement pour Kosai, enfin un signe de vie ! Son cœur fit un bond quand il sut que c'était à lui.
Il se leva de sa chaise et marcha jusqu'à l'autel. Le bruit de ses bottes résonnait dans la cathédrale, et la lumière de la grande rosace qui faisait face arrivait à ses pieds, ruisselant de couleurs, les unes plus chatoyantes que les autres.
Il sentit alors une impression particulière, comme si il était purifié et écouté, comme si une lumière divine guidait son esprit...
Les quelques regards des personnes présentes étaient fixés sur lui, et c'est avec assurance qu'il commença la récitation, fixant le coin supérieur de l'église, au dessus de la porte, la tête légèrement penchée à 10° sur la droite ; l'air solennel :

Je reconnais en Dieu le moteur du monde, la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'a son autorité, seule représentante sur Terre de l'Etre divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu, dans la contemplation éternelle de Sa Beaué.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.

Voilà, il semblait que c'était terminé. Un petit bain pour sa tête et c'était fini.
Il avait pas mal appréhendé, et finalement c'était bien simple.
A ce moment là, Kosai se demanda pourquoi il ne s'était pas fait baptiser plus tôt... Manque de temps ? De conviction ? Il n'avait aucune excuse et s'en voulut.
Mais bon, en ce moment même, il se sentait bien et apaisé.

Chpiot

Chpiot regardait Kosai qui d'un coup sembla avoir un moment de doute. Elle failli lui demander discrètement ce qui lui arrivait mais le jeune homme retrouva le sourire quand l'officiant lui demanda de venir près de lui pour réciter le serment d'allégeance.

Son filleul semblait concentré sur les propos qu'il était en train de tenir, en pesant chaque mot avec soin afin d'en saisir tout le sens. La jeune femme sourit en l'écoutant. La cérémonie avançait sans heurt et bientôt un nouveau membre entrerait dans cette belle et grande famille. La rouquine était heureuse pour son ami et se montrerait présente pour le guider chaque fois que celui ci aurait besoin d'aide ou de conseil.

Attendant la suite, elle regardait les deux hommes cote a cote.
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Yut

Il revint vers l'Autel accompagné de Kosai, fit un signe de tête.

Maintenant, je te remets ce médaillon. Sois-en fier, ça prouve ton appartenance à la communauté des fidèles.

Et voici un cierge, qu'il puisse te guider et t'illuminer tout au long de ta vie.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Kosai

Kosai revenait vers l'Autel avec le Père Yut, quand il lui donna le médaillon et le cierge ; symbole de son baptême.

- Merci mon Père, j'en prendrais évidemment grand soin.

Kosai mit le médaillon autour de son cou, un peu fier.

Chpiot

Regardant Yut signer le front de Kosai à l'eau bénite, puis lui offrir le cierge et la médaille, symbole de son appartenance au sein de l'église, Chpiot n'avait pas bougé de sa place.
Un immense sourire se ficha sur son visage en voyant le Compiègnois passer sa médaille autour de son cou puis la cérémonie terminée, elle s'avança vers Kosai et le prit dans ses bras en posant un baiser sur sa joue

Félicitations Kosai
Je suis heureuse d'avoir été le principal témoin de cette cérémonie, étape importante dans la vie d'un Homme

Elle patienta un instant aux cotés de son filleul afin de signer les registres et de laisser le temps au Vicaire de rédiger le certificat de baptême de Kosai, document qu'il lui faudrait garder précieusement tout au long de sa vie tout comme sa médaille
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Yut

Il invita ensuite les fidèles à venir communier.

Puis, clotura la cérémonie.

Il serra par la suite la main du baptisé.

Félicitations, mon fils!
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Yut

Citation:

Certificat de baptême - Kosai

Nous, Yvon-Ulrick de Taschereau, en notre qualité de Vicaire Général de Reims, faisons annonce devant le Très-Haut et sous le regard d'Aristote,

Le baptême de Kosai. Célébrée par Yvon-Ulrick de Taschereau en présence de la marraine Chpiot, la cérémonie eu lieu en le 26 janvier 1458 en la Cathédrale Saint-Humérus.

Fait à Compiègne, le 26 janvier de l'An de grâce 1458,

Monseigneur Yvon-Ulrick de Taschereau,
Vicaire Général de Reims.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Kosai

Kosai était très content !
Lorsque le père Yut lui donna le certificat, il remarqua rapidement une erreur...Il fut un peu gêné de dire ça au prêtre, mais il le fallait, ça pourrait peut-être lui porter préjudice s'il en avait besoin plus tard...

- Désolé mon Père, mais c'est "Kosai", vous avez fait une petite erreur... En même temps c'est pas un nom très commun je vous l'accorde.

Yut

Oh. Je suis sincèrement désolé, voilà, c'est corrigé.
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Kosai

- Aucun soucis mon père !
Je vous remercie d'avoir dirigé la cérémonie et toute la préparation, c'était très bien ! Je suis heureux de faire véritablement parti de le communauté maintenant.
Au revoir ! Bonne continuation !

Kosai tourna les talons et sortit de la cathédrale, le médaillon au cou et le certificat sous le bras, en compagnie de Chpiot qui était restée avec lui pendant ces derniers instants. Ils allaient passé la journée ensemble, et se re-sépareraient, Chpiot rentrerait à Compiègne et Kosai retournerait à Troyes, s'occuper du port...
Le ciel était beau, Reims vivante malgré le froid mordant. C'était une belle journée.

Cerberos

Citation:

Le vingt-septième jour du mois de Janvier de l'an de grasce mil quatre cent cinquante neuf, à Reims,

À Tully de Nivellus de Sparte,
Archevêque de Reims,
Protonotaire Consul de la Nonciature Apostolique,
Seigneur d'Arborio et de Sonnaz,

Par la volonté du Conseil Ducal Élu de Champagne et suite à la cérémonie d'Hommage déroulée en la Salle du Trône de Paris où Sa Majesté Béatrice Eliane Lhise de Castelmaure-Frayner, Reine de France, Souveraine de Bolchen et de Baudricourt, Duchesse de Nevers, Comtesse du Lauragais, Vicomtesse de Chastellux, Baronne de Chablis et de Laignes nous a reconnut en qualité de Duc de Champagne,

Nous, Arman Von Frayner d’Azayes dict Tristan., Duc de Champagne et de Chiny, Vicomte de Provins, Baron de Villemor, Nogent sur Seine et Montmirail, faisons vœux ce jour de paraître en la Cathédrale bénie de Reims la Grande, face au Très-Haut et sous votre bénédiction,

Afin de recevoir la couronne séant à tout Duc de Champagne de par la main de l'Archevêque,

Afin que nul ne puisse contester la vigueur et l'authenticité de la présente, apposons notre scel,

Arman Von Frayner d’Azayes dict Tristan.,
Duc de Champagne et de Chiny,
Vicomte de Provins,
Baron de Villemor, Nogent sur Seine et Montmirail

Cerberos d'Armantia,
Vicomte de Châlons-en-Champagne,
Porte Parole de Champagne

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Yut

Citation:

De la prise de Genève

Moi MrGroar Von Valendras, Cardinal Connétable de Rome en charge de la Congrégation des Saintes Armées et plus haut responsable de la Croisade contre la République Réformée de Genève par délégation de la Curie Romaine,

J'ai le plaisir et l'honneur de vous annoncer que toutes les armées sous l'influence pernicieuse des enseignements fallacieux des Lions de Juda ont été repoussées hors des remparts de Genève et que les Saintes Armées Croisées et leurs alliés ont pris le pouvoir au sein de la mairie de Genève.

Sieur Valzan, en sa qualité d'allié croisé, a été placé aux commandes de la mairie de Genève de façon temporaire. Pour assurer la stabilité militaire et économique du territoire de Genève, l'administration de la ville est dès à présent placée sous le commandement direct de l'Église Aristotélicienne et ce pour une durée indéterminée. La défense de ce pouvoir est assurée par les Saintes Armées afin de parer à toute révolte intempestive, et à ce titre j'enjoins toute personne ayant des volontés de révolte de déposer les armes immédiatement sous peine de représailles. Je demande aussi à toutes les personnes mandatées par Genève de restituer à sieur Valzan tout ce qui leur a été confié, ainsi que l'exigent les règlementations universelles*. Par ailleurs un Chef de Port, également représentant de l'Église Aristotélicienne, sera bientôt nommé afin que les activités fluviales puissent suivre leur cours de façon normale.

Genève est devenue ville franche ce jour. Une discussion va avoir lieu entre les divers représentants de l'Église Aristotélicienne, de Genève, de la Confédération Helvétique, de la Savoie, de la Franche Comté et d'autres entités concernées par ce conflit afin de coucher sur le papier les décisions qui doivent être prises.

Des ravitaillements en produits alimentaires et en fonds financiers sont en cours afin que chacun puisse se nourrir convenablement et que la municipalité puisse assurer ses fonctions sans trop d'entraves dans ce contexte particulier.

Enfin, je vous annonce que je serai moi-même à Genève d'ici une ou deux journées afin d'assurer la présence officielle d'un représentant de l'Église Aristotélicienne.

Ad Majorem Dei Gloriam

Fait à Rome le dimanche 30 janvier 1459,
Pour le collège des Cardinaux et la Congrégation des Saintes Armées, par Son Éminence MrGroar Von Valendras, Cardinal Connétable.

* HRP: voir règles du jeu sur les prises de pouvoir

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Sylvine

Sylvine observa longuement le portail sculpté avant d’entrer dans l’édifice.
Ses pas résonnèrent jusqu’au bénitier où elle s’arrêta. Elle se découvrit la tête en faisant glisser la capuche sur ses épaules, libérant ses long cheveux couverts d’un voile léger. Elle trempa son majeur et son index dans l’eau stagnante et se signa.
Elle remonta un peu la travée, fixant la représentation d’Aristote, puis s’agenouilla sur un des bancs.
Elle joignit ensuite les paumes de ses mains, baissa la tête et récita le credo.
La jeune femme enchaîna sur une longue prière avant de se retirer comme elle était venue, discrètement.

Yut

Le jeune Prélat entendit des pas dans la Cathédrale, depuis la Sacristie, où il se trouvait. Il sortit la tête, pour voir la personne et ce qu'elle faisait. Il fut fort étonné de voir quelqu'un qu'il connaissait bien. Il se dirigea vers elle, alors qu'elle se retirait.

Le bon jour, Sylvine.

Il lui fit une bise.

Ça fait plaisir de te revoir. Que fais-tu ici?
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Sylvine

Au moment de se retirer, Sylvine entendit une voix qu'elle n'avait pas entendue depuis de longs mois.
Le bon jour, Sylvine.
Yut? Toi ici!
Elle lui rendit sa bise.

Ça fait plaisir de te revoir. Que fais-tu ici?

J'ai enfin décidé de quitter mon nid. J'avais entendue parler de la cathédrale, je suis venue la voir avant de repartir.
Elle sourit.
J'ai encore ma cape recouverte de la poussière des chemins.
Elle secoua un des pans, faisant envoler un petit nuage.

Yut

Il lui sourit.

Oui, je suis le Vicaire Général de Reims.

Alors donc, tu es sur le chemin du retour pour Bertincourt? Tu as fait un agréable voyage?
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Sylvine

Oui, je suis le Vicaire Général de Reims.

Alors donc, tu es sur le chemin du retour pour Bertincourt? Tu as fait un agréable voyage?

La jeune femme sourit.
Je viens de poser ma chausse en Champagne. Le voyage s'est pour l'instant bien passé. Je suis venue,en ce lieu, en partie pour en remercier Aristote.
Vicaire, hé bien. Impressionnant.

Sylvine regarda l'entrée s'attendant à voir une ombre.

Je pense que mes compagnons de route doivent m'attendre. Il est déjà fort tard.

Elle sourit légèrement et déposa une bise sur la joue du vicaire général.

Je ne sais si je pouvais le faire au vicaire général mais j'ai fait cette bise à Yut.

Au revoir Yut, je te souhaite une bonne continuation ici.
Elle releva d'un pouce, le pan de sa jupe, pour ne pas marcher dessus et se dirigea vers la sortie. Puis elle se retourna et lui fit un signe de la main avant de mettre le pied sur le parvis.

Yut

Le Prélat entra dans l’Église, envoyant un bedeau sonner les cloches. Il alla attendre les fidèles sur le parvis.

Lorsque l’Église fut remplie, il entra, se dirigeant vers l’Autel.

Mes enfants, je vous souhaite la bienvenue en ce jour, dans la Maison de Dieu. Confessons nos péchés pour débuter la cérémonie.

Maintenant, je vous inviterais à réciter le Credo avec moi.

Il ouvrit son livre des Vertus et commença la lecture.

Citation:

Chapitre 14

Le repas se passa très joyeusement, tous les convives étaient heureux de fêter les débuts de la nouvelle Église d’Aristote. Mais je remarquai alors que les yeux de Christos renfermaient une étrange expression, mêlée de tristesse et de mélancolie. Il était plus silencieux qu’à l’accoutumée, et pourtant, beaucoup de ses apôtres ne s’en rendaient pas compte, occupés qu’ils étaient à deviser de paix et d’amour.

Je vous l’ai dit, quant à moi, l’attitude de Christos ne m’avait pas échappée… voulant en savoir davantage, je m’approchai donc de lui et lui demandai :

" Maître, pourquoi fais-tu cette tête là ? Tu boudes ? "
Il me chuchota alors :
" Samoht, mon plus jeune ami, fidèle parmi les fidèles, ne vois-tu pas que Daju est parti ? Sans doute pour comploter contre moi ! Le pauvre doit être corrompu, mais il accompli son destin pour que la prophétie s’accomplisse! "
" Mais enfin, laisse donc cette andouille pleurer dans son coin, lui répondis-je, si les romains voulaient te prendre, ils l’auraient fait ! Au lieu de cela ils sont partis ! "

Et Christos, qui sentait sa fin approcher, me regarda avec une expression si émue, si bouleversée, qu’elle me provoque encore des trémolos dans la gorge à l’heure ou j’écris ces lignes.

" Samoht, me dit-il, quand je serai mort, parcours le monde et répands la bonne nouvelle comme je vous l’ai demandé. Et quand tu seras un homme âgé, alors écris mon histoire pour que celle-ci soit connue et entendue. Retiens bien cela, je ne te le dirai pas deux fois… tiens… j’entends déjà les gardes monter. "

Et en effet, le sol tremblait sous le poids des sandales de légionnaires. Les discussions cessèrent alors, laissant place à un silence inquiet. Un décurion et ses gardes entrèrent dans la pièce. Au côtés de l’officier se tenait Daju ; et ce dernier montra Christos du doigt en disant :

" C’est lui ! c’est lui ! le grand barbu, là, tout grand ! même qu’on dirait une allumette ! Il vient encore de comploter contre l’ordre établi. "

Alors, les gardes se ruèrent sur Christos en bousculant tous les apôtres qui voulaient s’interposer. Un soldat m’envoya rouler par terre car je me tenais aux vêtements de mon messie. Enfin, ils l’emportèrent violemment pour le traîner en dehors de la pièce. Comme je m’étais relevé et que je m’agrippais à la cape d’un soldat, souhaitant le faire chanceler, l’officier ordonna aussi qu’on se saisisse de moi. Aussi, nous fûmes tous les deux menés dans le palais du procurateur Pierre Ponce.

Ce texte représente le dernier repas de Christos. Ça aurait dut être un évènement de festivités, ça n'aurait pas dut être le dernier repas de Christos, mes enfants, mais quelque chose a assombri tout cela. Comme cité, Daju, l’apôtre corrompu, a trahis tous ses amis, en vendant Christos aux Romains. Christos le savait, il s’y attendait. Mais les évènements festifs de la nouvelle Église d’Aristote devinrent fort tristes. En effet, c’est à cause de la traitrise de cet apôtre, que Christos, notre bon Messie est mort ce jour là. Mais Christos a rejoint le Paradis Solaire, et Daju, empli de vice et péché, est allé rejoindre le Roi du vice et du péché sur la Lune, la Créature sans nom. Christos est notre guide. Remarquez qu’alors de sa capture, il ne s’est nullement défendu, sachant quel sort l’attendait.

Maintenant, ici-même, en notre Duché, une personne empli de vice, un successeur de Daju, est présent. Il essaie d’entortiller le peuple dans ses mensonges, par ses messages aux caractères fallacieux et captieux. Daju, l’infâme traitre, est le fondateur de l’école spinoziste. Ceux qui font parti de cette institution sont donc des personnes emplis de péchés, qui disent prêcher la bonne parole, alors qu’ils ne révèlent que mensonges et faussetés. Je vous prie, mes enfants, de ne jamais tenir compte des absurdités aberrantes que pourraient bien dire des personnes comme cela. Votre Salut en dépend.

Venez communier. Le pain et le vin de l’amitié sont les symboles de la chair et du sang de Christos. N’oublions pas son sacrifice pour nous.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Tully

Citation:

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Yut

Le jeune Prélat entra dans l'Église et envoya un bedeau sonner les cloches. Il sortit ensuite sur le Parvis, pour accueillir les fidèles en vue du baptême de Tomy.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Federyc_de_thenac

Federyc arriva à la cathédrale pour le baptême de son filleul.
Il salua le père Yut qui avait officier pour son baptême et ne put s’empêcher d'y repenser.

Bonjour mon père, comment allez-vous en cette belle journée?

Puis il chercha du regard Tomy mais apparement il n'était point arriver.

Apparement je suis le premier arrivé, je vais attendre en votre compagnie si vous le permettait.

Tully

Citation:

À l'attention de Sa Très Aristotélicienne Majesté,
Béatrice de Castelmaure-Frayner,
Reyne de France,

À l'attention du bon peuple de France,
À tout ceux qui liront ou se feront lire,

Aristotéliciennes salutations,

Les récents événements en le Royaume de France, concernant l'attaque lâche, sanguinaire et barbare de sa Majesté la Très Aristotélicienne Reyne de France, ont causés moult réactions au sein de la Saincte Église Aristotélicienne et Romaine.

Il a été porté à notre bienveillante attention qu'un groupuscule criminel a tenté de porter atteinte à la vie de la Reyne de France en la séquestrant dans la ville de Mortagne en Alençon par les armes. Le livre des vertus nous indique que la guerre et la violence sont des oeuvres du Sans-Nom en ces mots :

"Alors, l’homme et la femme frappèrent leurs frères et leurs soeurs. Prenant couteau et hache en main, chacun frappa l’autre en une tempête de violence et de destruction. Ils venait d’inventer la guerre, qui atteignit son paroxysme lorsque chacun se mit à brûler la maison et à dévaster les champs de l’autre. La Créature Sans Nom vint à nouveau près de ceux qui l’écoutaient et leur dit que la violence et la haine leur permettraient dorénavant de dominer leur prochain." Pré-Histoire, Chap IV, Les Péchés.

Ainsi donc, il est absolument inacceptable au yeux de l'Église que des hommes et des femmes perpétue l'oeuvre de mort du Sans-Nom. Le crime, odieux en lui-même, est encore plus lâche et plus dégoûtant lorsqu'il s'adresse à l'encontre d'une personne de bien telle que la Souveraine du Royaume de France, un Royaume Aristotélicien qui bénéficie de l'action sage et aimante de Sa Majesté la Reyne.

Par la présente, nous tenons à faire savoir par monts et vallées que nous condamnons avec la plus grande fermeté et la plus rigide détermination la sauvage agression portée à l'encontre de Sa Majesté la Reyne de France, pieuse parmi les pieuses. L'infâmie de ce crime dépasse l'entendement et nous révèle la noirceur du coeur de ces bandits, vils malfrats que sont ces prétendues "Lunes Pourpres", reflet désolé de l'Enfer Lunaire auxquels ils s'associent.

Nous assurons à Sa Majesté la Reyne de France, à ses Officiers et Grands Officiers, aux Pairs de France ainsi qu'à tout les pieux et industrieux sujets de Sa Majesté que la Très Saincte et Universelles Église Aristotélicienne Romaine ne saurait accepter ni cautionner un crime si odieux et qu'ils peuvent compter sur le support déterminé et entier de l'Église en cette affaire.

Nous garantissons en outre que nous appuyons entièrement le Royaume de France dans les démarches qu'ils jugerons appropriées contre les suppôts du Sans-Nom qui ont osés s'attaquer à Sa Majesté ainsi qu'à sa garde personnelle. Nous formulons l'espoir qu'ils seront attrapés et punis avec toute la force nécessaire et qu'exemple sera fait de leur ignoble folie,

Puisse le Très-Haut veiller sur la France,

La Congrégation des Affaires du Siècle pour le Sacré Collège des Cardinaux,

Son Éminence Monseigneur Tully de Nivellus-Sparte
Cardinal Romain Électeur
Vice-Chancelier de la Congrégation des Affaires du Siècle

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Thomas_de_compiegne

Arriva en courent car ete très en retard mais n'avais pas retrouver sont chemin.

Excusez moi je suis enfin arrivé. Bonjour mon père, bonjour Federyc.

Yut

Ça va

. Bien, commençons.

Nous sommes réunis ici pour le baptême de Tomy24.

Premièrement, récitons ensemble la confession

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Federyc_de_thenac

Federyc sourit à Tomy puis la cérémonie commença.
Suite à l'invitation de l'officiant, il confessa.

Je confesse à Dieu tout-puissant,
à tous les saints, et à vous aussi, mes amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en paroles, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes amis,
de prier le Créateur pour moi.
Que le Très-Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Thomas_de_compiegne

Je confesse à Dieu tout-puissant,
à tous les saints, et à vous aussi, mes amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en paroles, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes amis,
de prier le Créateur pour moi.
Que le Très-Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Yut

Maintenant, je demanderais au parrain de réciter le Credo Aristotélicien.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Federyc_de_thenac

Federyc se leva et récita le Crédo

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep,
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis,
c'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droit du Très-Haut.
Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine,
Une et Indivisible,
En la communion des Saints,
En la rémission des péchés,
En la Vie Éternelle.

Amen

Yut

Il prit alors son livre des Vertus pour faire une lecture sur le baptême.

Citation:

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Armaury_de_thenac

Armaury pénétra dans la cathédrale et il arriva comme son accoutumé il arrivait avec un peu de retard. Il souria à son filleul, ainsi qu'a Tomy qu'il connaissait très bien, puis il alla s'asseoir en faisant son signe de croix

puisqu'il était assez bon aristotélicien bien que le contraire sur lui est souvent divulgué.

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Federyc_de_thenac

Federyc vit son parrain arriver en retard (comme d'habitude se dit-il) et le salua en cuchotant pour ne pas interrompre la cérémonie.

Coucou parrain, comment va? Et Tartine va bien, pas trop dur?

Armaury_de_thenac

Il sourit en voyant son filleul arriver vers lui

Oui merci je vais bien et toi? Et pour Tartine je pense que la naissance ets tres tres proche
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Federyc_de_thenac

Ah quelle bonne nouvelle, pas trop stresser.

Armaury_de_thenac

Il souria de plus belle

A ton avis ??
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Federyc_de_thenac

Je dirais que oui.

Armaury_de_thenac

bien sur

lui sourit puis se rassit a coter de lui
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Federyc_de_thenac

Il sourit à son parrain et se remis à suivre attentivement le baptême de son filleul.

Yut

Regarde sévèrement les deux hommes qui parlent, pour reprendre.

J'inviterais maintenant le futur baptisé à se rendre au baptistère, pour réciter son serment d'allégeance à l'Église Aristotélicienne.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Federyc_de_thenac

Federyc croisa le regard de l'officient et ne put s’empêcher d’émettre un léger rictus inaudible.
Après tout il avait en parti raison mais s'inquiétant un peu du retard de la naissance de(s) enfant(s) d'Arm et de Tartine, il était lui même légèrement angoissé et ne dormait plus la nuit pour être prêt à tout moment car ce n'est plus qu'une question d'heures ou de jours tout au plus à son avis.

Puis le père Yut invita Tomy à se rendre au baptistère et Federyc ne put s’empêcher de se remémorer son baptême à ce moment précis.
Il sourit à son filleul pour l'encourager et attendit la suite des évènements.

Thomas_de_compiegne

Armaury_de_thenac

Il ne put s’empêcher lorsqu'il aperçut monseigneur yut les regardant de façon hautaine de remuer la tête....

Puis il sourit de plus belle lorsqu'il vit Tomy appeler au baptistère cette fois là tomy serait dans la grande famille aristotélicienne.
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Yut

Il revint vers l'Autel accompagné de Tomy.

Maintenant, je te remets ce médaillon. Sois-en fier, ça prouve ton appartenance à la communauté des fidèles.

Et voici un cierge, qu'il puisse te guider et t'illuminer dans la foy tout au long de ta vie.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Armaury_de_thenac

Il applaudit et félicita longuement Tomy

Bravo a toi te voilà maintenant baptisé, c’est une étape importante dans la vie
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Federyc_de_thenac

Federyc, tout souriant, accompagna Arm pour aller féliciter Tomy.

Il écouta Arm puis prit la parole

Bon ben il a tout dit, il rit, félicitations!

Puis il sorti de sa poche un pendentif.

Voilà pour toi, et encore félicitations!

Yut

Toussote bruyamment. La cérémonie n'était pas finie, ce n'était pas le temps pour les cadeaux, non mais!
Il invita les personnes présentes à venir communier.

Bon, voilà, maintenant la cérémonie est terminée! Il serra la main du baptisé.

Félicitations, mon fils!
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Federyc_de_thenac

Federyc entendant le père Yut toussotant se demanda si il était pas souffrant.
Ce ne fus que quelque instants plus tard qu'il compris que la cérémonie n'était pas terminé, faut dire qu'il était tellement heureux qu'il avait un peu oublier le protocole.
Faisant un signe de la tête à l'officiant pour s'excuser, il retourna s'asseoir pour écouter la fin de la cérémonie.

Une fois la cérémonie terminée, il retourna féliciter Tomy et alla avec le père signer les différents papiers nécessaire.

Thomas_de_compiegne

Merci a tous !!

Spagyricus

Le Père Spagyricus entrait en la cathédrale le coeur léger. En bon aristotélicien il savait qu'il était important de s'adresser au Très Haut autant dans les moments difficiles que dans les moments heureux. Et ce jour était heureux. Le clerc repensait à ces mots qu'il avait pu entendre au Tribunal...

Le Tribunal a écrit:

Spagyricus était accusé de haute trahison.

Le jugement a été rendu

Enoncé du verdict : Le prévenu a été relaxé.

Il s'agenouilla devant la statuaire de Saint Himérius à qui était dédié cette cathédrale et il récita quelques mots prononcés avant lui par ce Grand Homme.

Je suis quelqu'un qui espère...

Et de l'espérance il en avait. Tant pour continuer son oeuvre de Diffusion de la Foi, oeuvre délaissée par les prélats romains, que pour voir la calomnie condamnée encore et encore. Ceux qui étaient inspirés par la Créature Sans Nom craignait la Parole de Spagyricus et il n'aurait de cesse de combattre ce Saint Homme. C'est avec ces pensées inquiétantes, mais rasséréné par la Prière qu'il se releva pour quitter la cathédrale.

Ines

&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&& MARIAGE DE ROSE ET DE PHEONIX LE 09/04/1459 &&&&&&&&&&&&&&&&&&

Ma filleule était avec moi a m'aider a tout ranger, nous étions prête on attendaient plus que les mariés, l'église se remplissait petit à petit, les gents étaient joyeux et en grande tenus..Les fleurs jonchés le sol, l'église en était pleine, leur parfum embaumées l’édifice..Jada était merveilleuse elle savait décorer avec gout j’étais fière de ma filleule!..les deux témoins Tayla et Niky, étaient venus nous rejoindre, nous n'attendions plus que les mariés, dehors il y avait foule, tout les villageois avaient un bouquet de fleur...Une bonne ambiance se dégageais de l’extérieur...Le marié arrivait, peu de temps après la mariée avec ses damoiselles d'honneur, Angelyna et Tamacha, elles arrivaient en tenant la traine de la Mariée, la Mariée le sourire au lèvre en voyant son futur Mari déjà là!.. a l'attendre!.. les damoiselles d'honneur dans de belle robe bleu, étaient resplendissante...

Rose [rapporteur], incarné par Pheonix44

Rose16 a écrit:

Rose s'était levée tôt ce matin là. Elle s'affairait maintenant avec la panique dans le ventre à terminer les préparatif de dernières minutes .
Elle avait rangé la maison, habillé ses adorables petits bébés. Elle avait cousu et réparées sa robe ainsi que celle des demoiselles d'honneurs, et enfin elle s'était faites belle pendant de longue heure dans sa chambre. Des bruits de voix à l'extérieur de la pièce commençait à se faire de plus en plus fort. Les invités devaient surement arriver pour se préparer à partir à la cathédral.
Rose relit une dernière fois le faire part et afficha un grand sourire en réalisant que enfin le grand jour était arrivé.

Elle tourna la tête vers Tamacha qui avait mit sa belle robe de demoiselle d'honneur et la laissa l'aider à enfiler la sienne. Il fallait fermer le corset, mettre le voile et retrouver le bouquet de fleur qui avait disparut et tout serait prêt.

Rose attendit que tout le monde soit partie pour enfin sortir de la chambre. Elle était toute excitée et heureuse à l'idée de l'évènement qui allait suivre. Rose confia ses bébés à Tayla et sortit de la maison en compagnie des filles.

Pheonix44

Pheonix s'était levé de très très bonne heure ce matin là. Il devait effectivement finir les préparatifs de la cathédrale avec Calice et Niky.
Le travail était sans précédant!!!
La salle des fêtes étaient splendide:

La table était mise pour le festin qui allait s'en suivre:

Encore fallait-il préparer l'église à présent!

Tout était enfin prêt!!!
Le mariage allait être PARFAIT!

Pheonix retourna chez lui pour se préparer et surtout se faire le plus beau possible. Il revêtit son plus beau mantel et ses plus belle chausse.
Après une heure à faire la fille, Pheonix était prêt!

Depuis le temps qu'il se préparait, les invités devaient être dans la cathédrale se dit-il.
Il ne tarda pas à rejoindre Niky et il attendait le feu vert pour rentrer le premier dans la cathédrale.
Après fort peu de temps, il rentra en compagnie de Niky et il s'avança jusqu'à l'autel de la cathédrale.
Tout semblait fin prêt, les gens étaient entré, il ne manquait plus que Rose pour commencer la cérémonie.

[HRP: On laisse jusqu'à demain pour que les gens puissent faire rentrer leurs perso dans la cathédrale. Donc suite du RP demain midi. Bonne journée à tous]

Claptons54

aujourd hui était un grand jour pour ma sœur rose et mon ami pheo ils allaient se mariaient.claptons accompagne de son épouse se rend al église pour le mariage .claptons souriait car il y a une semaine c est lui qui se mariait.ils arrivèrent main dans la main a l église.il alla bisouiller son amie tama salue calicee et jada.claptons s assoit auprès de son épouse .

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Tamacha

Installée au côté de Rose, Tam' vit arriver charm' et alla le saluer.

Contente de vous retrouver ici. Je pense que je vais devoir rester près de la mariée un moment, ensuite je viendrais m'installer à vos côtés si vous le souhaitez.

Elle lui sourit puis retourna prendre place. Les Argonnais commençaient à arriver...

Niky20

Niky entra dans l'église

S'avança vers Pheonix le sourire aux lèvres le bise et lui dit doucement
Tu es charmant,je suis heureuse d'être ton témoin
Tend son bras a Pheonix et le mène jusqu'a l'autel en souriant toute heureuse
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Ines

&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&& MARIAGE DE ROSE ET DE PHEONIX LE 09/04/1459 &&&&&&&&&&&&&&&&&&

Kristal59

Kristal arriva devant le parvis de la cathédrale au bras de Lapistrie afin d'assister à la cérémonie de mariage qui unira son ami Phoenix à Rose.

Ils rentrèrent et s'avancèrent dans l'allée en saluant les invités déjà installer et prirent place aux coté de leurs amis Clatpons et Tayla...

Lauriane.

Angy arriva vêtue de la magnifique robe confectionnée à son attention par Rose, elle était la deuxième demoiselle d'honneur.

Une véritable joie pour elle, touchée et émue, elle se présenta à l'église un peu en avance, pour voir si on avait besoin d'aide.

Angy entra discrètement, trempa son doigt dans l'eau bénite et fit son signe de croix.

Bonjour vous tous ! dit-elle discrètement

Angy alla faire un tour de baiser à tous ses amis

Rose16

Rose qui avait le cœur qui battait très fort ne sassait de s'agiter dans tout les sens devant la grande porte close de la cathédrale. Tout les invités l'attendaient. Elle fit les cent pas suivit de ses belles demoiselles d'honneur qui la suivait portant sa traine et la priant d'arrêter de bouger dans tout les sens. La jeune fille se décida enfin a glisser sa petite main au bras de son oncle Ereon qui remplaçait sa mère en ce jour. Il était bien beau pour l'occasion. La jeune fille jeta un coup d'œil sur celui ci et chercha en lui un moyen de se rassurer. Elle tremblait beaucoup... Les grandes portes s'ouvrirent enfin, noyant l'église dans la lumière printanière. La musique jouer par les troubadours lui parvint, et Rose fit son entrée doucement.

Tayla

La donzelle était entrée au bras de Claptons le sourire aux lèvres et salua tout le monde. Une semaine seulement et pour elle s'etait comme si c'etait hier. Regard brillent vers son époux et la main resserre la sienne...
Avec les demoiselles d’honneur elle guettait l’arriver de rose pour fait un cortège.
Tu es magnifique Rose...Elle la bise chaleureusement avant qu'Ereon l'amene à l'autel.
Elles la virent et les demoiselles d’honneurs suivirent l’oncle et la future mariée, Tayla fermé la marche.
La mariée était superbe ainsi que tous, Tayla se signe et se mit au coté de Rose.

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Thydrius

Thydrius de Grimmaurd entra en la cathédrale et vit les jolis futurs mariés. Le matin même, sa paresse l'avait conduit à s'interroger sur l'éventualité de rester étendu de tout son long à ne rien faire au beau milieu du Bosquet de Grimmaurd. Mais l'on entendait les cloches de Reims depuis Argonne, alors finalement il se dit qu'il devrait bien y aller, quand même. Il avait déjà raté le mariage de Messire Claptons avec comme seule excuse des études improductives sur le droit champenois. Alors oui, il était venu, et beau il s'était fait.
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Maviste

Arrivant par une porte dérobée, Maviste s'installa sur un banc et observa le sourire aux lèvres le bonheur de son ami de devenir époux. De loin ,il leur fit un sourire afin de les saluer.

Ainsi donc celui qui fut procureur , bourgmestre et qui avait tant donné pour son duché , allait pouvoir fonder une famille et vivre enfin un peu pour lui.
Enjoué par cette idée , maviste ne pouvait qu'en être admiratif .

Yut

Le jeune Prélat avait reçu une ''invitation'', pour le mariage qui aurait lieu. C'était sa Cathédrale -enfin, ce l'était pour l'instant-, donc pas vraiment besoin d'invitation, mais bon... Il était vêtu très simplement. Une soutane noire, une calotte violette dû à son rang, et c'était tout. Il salua toutes les personnes présentes, puis, s'aprochant de Maviste en souriant:

En espérant que votre mariage sera pour bientôt aussi.

Il se dirigea vers l'officiante.

Moi, ainsi que tous présents ici, espérons que vous saurez faire de cette journée la plus mémorable pour les deux mariés.

Il fit un léger signe de tête, et se dirigea vers son fauteuil, à côté de l'Autel.
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Lylla

Elle l'avait promis... Et elle tenait toujours ses promesses !

Pressant le pas pour tenter de rattraper ce qui ne devait être qu'un léger retard, la blonde monta à la hâte les quelques marches du parvis et gagna la Cathédrale. Sa petite course dans les rues doucement caressaient par le soleil printanier avait joliment rosi ses pommettes et c'est un peu essoufflée que Lylla poussa un des battants qui bien évidement manquait suffisamment d'huile pour grincer et faire se retourner quelques têtes vers la retardataire.

Et zut ! Elle qui voulait être discrète et se faire oublier, c'était bel et bien râté !

Joues cette fois écarlates, parfaitement assorties à sa toilette, sourire de circonstance, mais menton fièrement relevé malgré tout, la jeune femme adressa un chaleureux sourire en guise de salutations aux superbes jeunes gens qui allaient unir leur destinée avant de gagner le banc le plus proche, écrasant au passage le pied de l'impudent qui prenait toute la place.

Finissant par se poser, elle releva le regard vers celui qui devait être un invité tout comme elle, quand elle vit luire un crane chauve soigneusement astiqué au dessus de deux yeux franchement amusé de son entrée quelque peu intempestive.

Mav! L'exclamation lui avait échappé, haut et fort évidement, pourquoi ne pas se faire remarquer encore un peu plus tant qu'on y était ! Petit sourire d'excuse auprès des autres invités avant de se pencher quelque peu vers son voisin et de reprendre à voix basse cette fois.

Contente de te voir, je vais me sentir moins seule.

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Merlin_dit_dozilus

dozi rentra un peu en retard comme a son habitude il rejoint angelyna et regarda phoe et rose il etait vraiment beau tout les deux l'un regarder l'autre en se devorent des yeux il soupira de voire autent de marige mais il etait quand meme heureux car sans amour dans ce monde tout serait pitoyable....
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.charmeur.

charm' vit arrive tam' vers lui et l accueilla avec le sourire

Citation:

Contente de vous retrouver ici. Je pense que je vais devoir rester près de la mariée un moment, ensuite je viendrais m'installer à vos côtés si vous le souhaitez.

il lui repondit

bien sur serais un honneur de vous avoir pres de moi en un si beau jour

puis la laisse repartir rejoindre les maries , prend place sur un banc et ecoute

Ines

&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&& MARIAGE DE ROSE ET DE PHEONIX LE 09/04/1459 &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&

La Cathédrale était pleine et pas n'importe qui était venu même le duché c’était déplacer, je saluais chacun d'eux d'un signe de la tête, mains jointent sur le cœur avec le sourire même la belle et gracieuse Lylla était là, procureur, juge, prévôt, tien donc même le Maire est là!.. normal c'est un ami..Mon filleul d'ailleurs..
Je demandais aux témoins d'aller s'assoir ainsi que que les damoiselles d'honneurs, je les vis partir s'assoir au premier rangs en faisant bien attention de ne pas froissé leur belle robes, les chœurs avaient commencés a chanter l’Alléluia!..

Bonjour, Monseigneur, Yut, Je ne fais rien d'autre que mon devoir de religieuse, Monseigneur, merci d'être venu, j'espère que ma cérémonie vous plaira avec l'aide du très haut bien sur!....

Après avoir saluer respectueusement Monseigneur, Yut je repris la parole pour invité mes Amis a récité la confession..

Mes Amis récitons tous ensemble la confession pour purifier notre Âme et nous faire pardonner de nos péchés passé et présent que le Seigneur nous vienne en aide et nous pardonne!..
Pour bien débuter ce Mariage, si les futurs Mariés veulent répéter après moi..

Ereon

Ereon arriva tranquillement dans la cathédrale et prit la première place a côté de lylla.

Ereon observa les invités et ne dit rien. Il espérait que le mariage allait bien se passer.
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Ines

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MARIAGE DE ROSE ET DE PHEONIX LE 09 et 10/ 04/1459

Nos Ami(es) son des enfants D'Argonne ou chacun d'eux a sa place, Pheonix et un homme de grande classe comme on dit, Pheonix Érudit de Champagne, il a eu plusieurs postes importante au Duché, plusieurs fois bourgmestre d'Argonne, gentils le coeur sur la main, après plusieurs semaines de fiançailles, il épouse sa promise celle qu'il attendait depuis toujours, Pheonix est près a avoir une grande famille, je suppose même qu'il a déjà commencé!.. à savoir Dieu seul le sais!..
Notre Amie Rose est jeune mais elle sais ce qu'elle veux!.. gentille attentive, la première a rendre service, travailleuse, Rose bergère d'Argonne, Rose est plein de projet pour l'avenir, nous lui souhaitons bonne chance, elle va en avoir besoin ihihihi !..robuste se sera une bonne Mère, j'espère que bientôt nous verrons leurs enfants dans la cours de l'église.

Mes Ami(es) le moment est venu de réciter le Crédo comme tout bon disciple d'Aristote et de notre sauveur Christos..

Le Crédo

Yut

Le Prélat récita la confession.

Puis, le Credo.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Tayla

La donzelle pris place sur les bancs avec les demoiselles d’honneur.
Bien du monde était présent et la journée promettait d’être merveilleuse.
Elle glisse sa main dans celle de Claptons et récite la confession et enchaine avec le crédo.

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée,
En parole, en action et par omission.
Oui, j'ai vraiment péché.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Amen

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l’heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Pbaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l’Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin di Paradis.
C’est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l’attendait Aristote à la droite du Très-Haut .

Je crois en l’Action Divine ;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés
En la vie Eternelle.
Amen…
_________________

Claptons54

la cérémonie avait commencer claptons tenait la main de son épouse et citait le credo avec elle.

e confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée,
En parole, en action et par omission.
Oui, j'ai vraiment péché.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Amen

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l’heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Pbaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l’Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin di Paradis.
C’est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l’attendait Aristote à la droite du Très-Haut .

Je crois en l’Action Divine ;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés
En la vie Eternelle.
Amen…

il lui murmura a son oreille
tu es très belle et très élégante tu es en beauté dans cette robe
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Pheonix44

Pheonix était devant l'autel quand il vit Rose arriver au bras de Ereon. Rose était d'une beauté sans précédent, ces yeux, son visage, son corp, son sourire... Tout était parfait!
Beaucoup de personnes importantes à ces yeux avaient répondu présent à son invitation et il en était très fier, même Yut profitait de la cérémonie et à sa vue, il se dit qu'il irait le remercier en personne de l'accueil à la fin de la cérémonie.

Il ne quitta pas Rose des yeux pendant tout son déplacement jusqu'à l'autel et il lui fit son plus beau sourire. Quand elle arriva enfin à sa hauteur, il se pencha vers son oreille et lui murmura:

Tu es magnifique ma douce! Tu es mon rayon de soleil!

Les deux futurs époux se retournèrent vers Calice pour l'écouter. Pheonix se mit à rougir lors de l'éloge touchant de Calice. Il lui fit son plus beau sourire.
Cette journée tournait à la perfection!
A la fin de son discourt, il remercia Calice d'un sourire entendu puis se mit à réciter le crédo à son tour.

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée,
En parole, en action et par omission.
Oui, j'ai vraiment péché.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Amen

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l’heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Pbaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l’Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin di Paradis.
C’est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l’attendait Aristote à la droite du Très-Haut .

Je crois en l’Action Divine ;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés
En la vie Eternelle.
Amen…

A la fin de la récitation du crédo, il se tourna vers Rose et lui fit un sourire radieux. Il avait hate de lui dire "oui" pour la vie.

Lauriane.

Angy salua les invités au fur et à mesure. Puis Rose entra, plus belle que jamais, elle rayonnait de bonheur. Elle était seulement magnifique. Elle contempla ce beau couple . L'amour reflétait sur leurs visages
Elle se concentra la cérémonie allait commencer.
Calicee nous invitait à nous confesser
Elle confessa très vite ses péchés :

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Puis enchaina avec le credo

Yunab

En retard, forcément...
Pouvait-il en être autrement?

Elle ne le faisait pourtant pas exprès, quoi que, peut être était-ce son ressentit a propos du mariage qui l'amenait a ne jamais y arriver a l'heure?

Pourtant celui-ci au cours des derniers mois avait tendance a évoluer, rien a voir avec un homme non, voilà déjà un long moment que la brune goutait a la quiétude que d'être seule, enfin, c'était du moins ce qu'elle avait espérer...

C'est d'un pas rapide que la jeune femme avait monter les escaliers afin de rejoindre la cathédrale. Elle ouvrit le plus discrètement possible la porte avant de s'installer sur un banc et récita a son tour le crédo a voix basse.

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée,
En parole, en action et par omission.
Oui, j'ai vraiment péché.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Amen

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l’heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Pbaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l’Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin di Paradis.
C’est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l’attendait Aristote à la droite du Très-Haut .

Je crois en l’Action Divine ;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés
En la vie Eternelle.
Amen…

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Ines

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&&&&&&&&&&&&&&&MARIAGE DE ROSE ET DE PHEONIX LE 09 et 10 et 11/04/1459 &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&

aujourd'hui est un grand jour!...
Le Mariage de nos Amis.
Nous voici tous réuni pour Célébré cette union.
-Aujourd'hui, mes amis, vous aller vous unir, dans l'union sacré du Mariage, nul ne peu désunir ce que Dieu a unis pour la vie.
Le très haut va Bénir cette union et vous protéger ainsi que vos descendant. Prions mes Amis, Prions, seul la prière et notre salut.
Nous allons lire un passage du livre des Vertus, un très beau chapitre
pour cette grande occasion qui est le Mariage de nos Amis Pheonix et Rose.

Pheonix, Rose
L'amour fait partie intégrante de notre vie, nous somme né grâce à cet amour que le très haut avait pour ses créatures.
Cette union spirituelle avec tous les baptisés s'exprime plus particulièrement entre l'époux et l'épouse dans le cadre du mariage. Les époux, par un amour pur et désinteréssé, sont appellés à former cette amitié parfaite qui est le gage de la sainteté aristotélicienne. A travers cette union si belle des époux c'est Dieu lui-même, source de tout amour, qui est glorifié.
Ainsi l'amitié aristotélicienne s'incarne particulièrement dans le mariage et y trouve une authentique réalisation.
Le mariage est indispensable à l'amour incarné, car il fonde une communauté de vie qui débouchera sur la mise au monde d'enfants et la fondation d'une famille, afin de rendre présente la fécondité de l'amour. C'est un engagement ferme et fort, dans lequel les époux se promettent de lutter ensemble contre les germes de haine et de désordre, par delà les difficultés de la vie quotidienne.

la sexualité.
Cette dimension du mariage comme union spirituelle ne doit pas faire oublier que l'union des corps est aussi primordiale, en vertu de l'amour qu'elle exprime. La sexualité est le moyen choisi par Dieu pour rendre présente sur terre la fécondité de l'amour, pour assurer la fondation d'une famille unie et pour souder par les gestes intimes l'affection des époux.
Cette sexualité ordonnée ne doit pas aboutir à des dérèglements ou la satisfaction bestiale des sens prendrait le pas sur la volonté d'exprimer l'amour commun et de le transmettre à une possible descendance. Le premier but du mariage reste donc de participer à la création divine par la mise au monde d'enfants. Contrevenir à cela serait saper les fondements mêmes de l'amitié aristotélicienne dans le mariage.

Puis la Vicaire Diocésain de Reims s'avance et lit un passage de la vie d'Aristote:

Pheonix, Rose et vous aussi mes Amis, pour le mariage c'est Christos qui en parle voici ce qu'il dit :

Citation:

Natchiachia versa le vin de sa cruche dans la corne de Christos, et lui demanda :
" Maître, je suis en proie à un profond tourment de l’âme. Je voudrais te suivre dans tes enseignements, mais j’aime un homme qui habite ici et qui se nomme Yhonny,
je l’aime d’un amour pur comme le diamant…

Que dit Aristote sur cette question que dois-je faire ? ..

Christos lui répondit: " Lorsque deux êtres s’aiment d’un amour pur et qu’ils souhaitent perpétuer notre espèce par la procréation, Dieu leur permet,
par le sacrement du mariage,
de vivre leur amour. Cet amour si pur, vécu dans la vertu, glorifie Dieu, parce qu’Il est amour et que l’amour que les humains partagent est le plus
bel hommage qui puisse lui être fait.
Mais, comme le baptême, le mariage est un engagement à vie, aussi, Natchiatchia, choisis judicieusement, car une foi que tu auras épousé Yhonny,
vous ne pourrez plus vous y soustraire. "
Comme cette dernière parole frappa d’étonnement l’assemblée, car l’époque était à l’inconstance… Natchiatchia reprit :

" Mais, Maître, serons-nous assez forts pour respecter ce choix et vivre sans pécher ? "

Alors, Christos répondit :
" Sachez que l’humain doute par nature, que l’amour qu’il éprouve pour Dieu et pour son prochain peut connaître autant d’aléas que la vie comporte d’épisodes.
Mais la vie vertueuse est un idéal vers lequel l’homme doit tendre.
Et, dans son chemin, il peut s’aider de la prière. La prière peut en effet être le moyen pour tous de renforcer cet amour lorsque cela est nécessaire. N’oubliez pas non plus
la puissance de la miséricorde, qui est accordée grâce à la repentance. "

Le mariage est la bénédiction de Dieu sur un amour. L'amour de deux êtres honore Dieu à lui tout seul.
Le but de notre vie est de tendre vers la vertu, le mariage en fait parti. Maintenant la repentance sincère de ses péchés amène aussi à la vertu.
Je pourrais conclure se sermon sur ce conseil : si vous vous aimez vraiment, mariez vous. Si pour quelque raison que se soit cela n'est pas possible confessez vous afin
d'obtenir le pardon de Dieu.
Le chemin vers la vertu est difficile mais à vous de l'approcher du mieux que vous pouvez.

Tamacha

Tam' installée aux côtés de Charm' suivait la cérémonie avec attention, le moment venu elle récita le crédo :

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée,
En parole, en action et par omission.
Oui, j'ai vraiment péché.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Amen

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l’heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Pbaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l’Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin di Paradis.
C’est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l’attendait Aristote à la droite du Très-Haut .

Je crois en l’Action Divine ;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés
En la vie Eternelle.
Amen…

Rose16

Rose en entrant dans l'église essaya d'afficher un sourire serai. Elle jetait de petits coups d'œil par ci par là pour repérer quelques visages qu'elle connaissait parmi le monde impressionnant réunis en ce lieu et qui la regardait. L’adolescente adressa un grand sourire à plusieurs personne tandis que sa main autour du bras mine de rien se cramponnait à Ereon. Ses yeux bleus se posèrent enfin sur Pheonix debout près de l'autel. Rose s'empourpra d'un coup de le voir si beau à l'attendre elle. La demoiselle sentait le bras de son oncle la retenir avec un peu de force pour la retenir car sans s'en rendre compte elle avait accéléré le pas, voulant rejoindre rapidement son fiancé. Rose n'avait maintenant d'yeux que pour Pheo. Une fois arrivé à ses côtés elle remercia son oncle et porta de nouveau son attention sur Pheo avec air timide devant tant de beauté, elle le vit s'approcher d'elle et lui murmurer d'un ton doux :

Citation:

Tu es magnifique ma douce! Tu es mon rayon de soleil!

La jeune Rose lui souriait, incapable de dire un mot à son tour. Elle profita du fait qu'il se soit baissé pour lui parler et lui déposa un léger baiser au creux de sa bouche. Enfin le couple se tourna vers Calicee.
Celle-ci fit un majestueux éloge de Pheonix et fit rire Rose lorsqu'elle entendit ce que Calicee disait sur elle.
La jeune fille écouta attentivement Calicee et récita doucement la confession puis le credo :

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée,
En parole, en action et par omission.
Oui, j'ai vraiment péché.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Amen

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l’heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Pbaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l’Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin di Paradis.
C’est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l’attendait Aristote à la droite du Très-Haut .

Je crois en l’Action Divine ;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés
En la vie Eternelle.
Amen…

*bombadil*

Citation:

Congrégation de la Sainte Inquisition
Avis d’excommunication

Moi, Clodeweck de Montfort-Toxandrie, cardinal camerlongue, cardinal-archevêque de Tours, Cardinal Chancelier de la Congrégation de la Saincte Inquisition, duc de Montforzh, par la grâce de Dieu, devant le Très Haut, sous le regard d’Aristote et au nom de notre Sainte Mère l’Eglise,

Ce dernier est jugé obstiné, apostat et fauteur d'hérésie. L'interdit qui le frappait jusque la est commué en excommunication latae sentencia.

Ad Claram et Sanctam Veritatem

Fait à Rome le XIème du mois d'Avril de l’an MCDLVIX de la saincte eglise aristotélicienne

Pheonix44

Pheonix écouta Calice avec la plus grande attention. C'était un très grand moment pour lui et pas question d'en louper une miette! Il buvait les paroles de Calice comme si ces mots sortaient de la bouche d'Aristote lui même!
Pheonix tournait régulièrement la tête vers Rose pour lui accorder un sourire. Il était si heureux de pouvoir enfin prendre la femme de ces rêves devant les yeux du tout puissant. Encore quelques minutes et il se sentirait s'en aucun doute, l'homme le plus heureux de la terre.
Il eu une pensé pour tout ceux qui lui avait fait l'honneur de se déplacer et de s'habiller grandement pour lui faire plaisir. Que demander de plus!

Ines

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&&&&&&&&&&&&&&&MARIAGE DE ROSE ET DE PHEONIX LE 09 et 10 et 11/04/1459 &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&

Rose, Pheonix, le mariage est la bénédiction de Dieu sur un amour. L'amour de deux êtres, Le but de notre vie est de tendre vers la vertu, le mariage en fait parti. Maintenant la repentance sincère de ses péchés amène aussi à la vertu. Le mariage suppose que les deux époux s'engagent l'un vers l'autre librement et sans contrainte, qu'ils se promettent amour mutuel et respect pour toute la vie, qu'ils accueillent les enfants que Dieu leur donne, et les éduquent selon les écrits d'Aristote et la pensée de Christos. Pheonix et Rose, est-ce bien ainsi que vous voulez vivre dans le mariage ?

Je me retournais vers l’insistance et je dit tout haut !..

Mes Amis, je m'adresse à vous au paroissiens d'Argonne et d'ailleurs, celui qui a quel que chose à dire pour empêcher ce Mariage qui le dise maintenant ou qu'il se taise à jamais.!....

Pheonix44

A cet instant précis, Pheonix se retourna vers l'assistance, espérant quand même que personne ne s'oppose à leur union. Il adressa un grand sourire radieux et profita de cet instant pour regarder sa splendide témoin Niky puis tout les invités de l'église, tous plus beau les uns que les autres.
Il tenait rose d'un main, de l'autre il ne pu s'empêcher de mettre sa main sur son cœur, le sentant battre aussi fort que lors des combats qu'il menait pendant la sainte guerre de Bretagne. De brefs souvenirs lui vinrent en tête, mais ils semblaient pour une fois adoucis pour le bonheur régnant autour de lui, comme un souvenir dans un vieux rêve.
Il savait à présent pourquoi il avait survécu, c'était sa destiné de vivre cet instant de bonheur pur et simple.

Rose16

Citation:

Rose, Pheonix, le mariage est la bénédiction de Dieu sur un amour. L'amour de deux êtres, Le but de notre vie est de tendre vers la vertu, le mariage en fait parti. Maintenant la repentance sincère de ses péchés amène aussi à la vertu. Le mariage suppose que les deux époux s'engagent l'un vers l'autre librement et sans contrainte, qu'ils se promettent amour mutuel et respect pour toute la vie, qu'ils accueillent les enfants que Dieu leur donne, et les éduquent selon les écrits d'Aristote et la pensée de Christos. Pheonix et Rose, est-ce bien ainsi que vous voulez vivre dans le mariage ?

Rose qui écoutait Calicee regarda Pheonix et lui sourit puis hocha la tête avec conviction.Son cœur battait si fort ...

Citation:

Mes Amis, je m'adresse à vous au paroissiens d'Argonne et d'ailleurs, celui qui a quel que chose à dire pour empêcher ce Mariage qui le dise maintenant ou qu'il se taise à jamais.!...

Rose ferma quelque instant les yeux, écoutant le silence présent et espérant que personne ne s'opposerait.

Ines

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&&&&&&&&&&&&&&&MARIAGE DE ROSE ET DE PHEONIX LE 09 et 10 et 11 et 12/04/1459 &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&

J'attendais, en regardant tout le monde, avec dans l'espoir que personne n'avais rien à dire et que je puisse continuer a Marier
mon Amie ainsi que son futur époux, tout le monde retenait son souffle, moment le plus épineux de cette Cérémonie
et si quel qu'un avait des chose a dire pour arrêter le Mariage, je ne m'en remettrais pas...

Je vois que personne n'a rien a dire et c'est temps mieux su été dommage d'arrêter et de détruire un si beau couple...
Mes chers sœur et frère nous allons vous mariés, vous le seraient quand les mots sacrés du mariage serons prononcer
qui est le oui je le veux!...
êtes vous prêt tout les deux pour prononcer ce mot qui vous unira à jamais, alors répéter après moi, si vous le voulaient bien!...
-Le mariage suppose que les deux époux s'engagent l'un vers l'autre librement et sans contrainte, qu'ils se promettent amour mutuel et respect pour toute la vie,
qu'ils accueillent les enfants que Dieu leur donne, et les éduquent selon les écrits d'Aristote et la pensée de Christos.

- Rose et Pheonix

-Est-ce bien ainsi que vous voulez vivre dans le mariage ?
-Répéter après moi !..

- Rose, Oui

- Pheonix , Oui

Pheonix regarda, Rose, dans les yeux toute en lui prenant la main,
veux-tu être ma femme ?

- Rose, regarda et avec un sourire émus jusqu'au larmes,
-Oui, je le veux et toi

- Pheonix veux - tu être mon mari ?
des larmes ruisselaient sur son visage l'émotion été a sont comble.

- Pheonix - Oui, je le veux

- Oui Moi, Pheonix , je serais ton époux.
Je promets de t'aimer fidèlement dans le bonheur et dans les épreuves tout au long de notre vie.

- Moi, Rose, je te reçois comme époux et je serais ton épouse. Je promets de t'aimer fidèlement dans le bonheur et dans les épreuves tout au long de notre vie.

- Rose, reçois cette alliance, signe de mon amour et de ma fidélité.

- Pheonix, reçois cette alliance, signe de mon amour et de ma fidélité. snif snif snif

- Pheonix , Oui

- Rose, Oui

-Je vous déclare maintenant unis par les liens sacrés du mariage. Ce que Dieu a uni, nul ne pourras le désunir."

A peine avais je dit ces mots qu'ils avaient échangés un long baiser, plein de promesse pour l'Avenir, des sanglots de souvenir surgissaient de part et d'autre, le bonheur, était pour tout le monde..

Nous allons communiez tous ensemble, approchés les Mariés en premier ..

(marche nuptial)
http://perso.wanadoo.fr/garry.holding/music/midi/mendel/wedding.mid

Les cloches sonnaient la sortie des jeune mariés elles raisonnaient a travers toute la Champagne, avec des crient VIVE LES MARIES.

DING , DONG, DING, DONG, DING, DONG, DING, DONG.

VIVE LES MARIES, VIVE LES MARIES, VIVE LES MARIES, VIVE LES MARIES,

Avant de sortir les Témoins ainsi que les Mariés doivent signer le livre D'OR

Mes Amis il vous faut signer le livre D'OR de votre Mariage que je vous remettrais après la Cérémonie de votre Mariage..
Si vous voulez !.. bien signer le livre du Mariage, tien ma plume, Pheonix!..prend cette plume là Rose!..les Témoins, Niky et Tayla, prendrons celle de leur Amis (ie)

Allez en paix dans la paix du Seigneur qu'il mène sur le chemin de a Vertus , que Dieu Bénisse votre Mariage et qu'il vous accompagne tout au longt de votre vie dans l'Amitié et L’Amour!..
ALLEZ EN PAIX !..

"Ils sortirent main dans la main de l'église alors que des enfants leur jetaient des pétales de rose"

Tamacha

Tam' accompagnée de Charm' suivirent le cortège qui se dirigeait vers la sortie.
Lorsque les mariés s'arrêtèrent pour saluer la foule à l'extérieur, Tam' s'avança pour les embrasser et les féliciter

Je vous souhaite beaucoup de bonheur et de beaux enfants !

Elle les embrassa et ajouta

Je ne pourrais rester plus longtemps à Argonne, et je vais prendre la route ce soir. Je vous enverrais des nouvelles par pigeon et j'espère que vous ferez de même ! Elle plaisanta Je reviendrai pour le baptême de votre premier enfant .. Arrangez-vous pour le faire en même temps que Clap et Tayla, je n'aurais qu'un seul voyage à faire comme ça
Qu'Aristote vous protège et vous fasse la vie belle surtout !

Puis après de nouvelles embrassades elle s'en alla préparer ses bagages.

Ereon

Ereon alla voir rose et Phéonix et attendit que Tamacha termine. Une fois que cette derniere eu fini ereon parla.

Je vous souhaite beaucoup de bonheur et accepte mes excuses pour l'absence de ma cousine Morganee.

Ereon regarda ensuite Phéonix dans les yeux.

Prend soin de ma nièce sinon ...

Ereon donna un sourire, chose qui était très rare chez lui.
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Ines

Certificat de Mariage de Pheonix et Rose16, qui vous porte bonheur, garder le vous pourriez en avoir besoin..

Lauriane.

Angy écoutait l’échange des serments.
Toujours à les regarder, sourit de joie de les voir si mignon tout les deux.
La cérémonie était magnifique, tout se déroulait à merveille l'échange des anneaux représentait un moment important.
Bientôt, ils allaient être unis…
Que de moments émouvants
Angy sourit
Ils venaient d'unir leur destin et elle était très fière de partager ce moment de joie avec eux.

Elle attendit de pouvoir les serrer un à un dans ses bras.
Elle leurs murmura ; Que votre union reste à jamais vivante et joyeuse ! Gardez précieusement cette jolie lumière en vous pour éclairer votre chemin.

Maviste

Maviste, ému, ne put s'empêcher de s'approcher et de dire aux 2 époux:

"Mes meilleurs voeux de bonheurs pour vous 2...que votre vie soit faite que de bonheurs..Pheonix tu sais où me trouver...il est bien entendu que la présence de madame sera obligatoire...." rajouta le chauve en souriant

Cerberos

En retard ? Hum... Simplement une "impression" très présente. Les cloches sonnaient... Cela signifiait.. Hum ? La fin de la cérémonie ? Tss... Comme quoi, les mariages étaient bien trop libéré des protocoles habituels et qu'il faudrait bien un Prélat droit et amoureux de son Église pour alourdir encore le système d'une tonne de paperasse et de coutumes qui sauraient faire de ce moment le plus long de toute votre vie ! Cela aurait pour bienfait de vous le faire retenir et vous mettrait au défi de demander une séparation quelques années après au risque de devoir subir un tourment supplémentaire...

Bref... Le Vicomte s'introduisit dans l'Église au moment des félicitations... S'approchant alors avec discrétion, il fit rester ses gardes à la sortie, se dirigeant prestement vers les mariés, patientant la venue de son tour afin d'adresser à l'époux tout du moins, les paroles qui s'imposaient en cet instant d'allégresse...
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Pheonix44

Citation:

Je vois que personne n'a rien a dire et c'est temps mieux su été dommage d'arrêter et de détruire un si beau couple...

A cet instant précis, Pheonix se retourna vers Calice et l'écouta de nouveau. L'instant solennel approchait, il le sentait.

Citation:

Mes chers sœur et frère nous allons vous mariés, vous le seraient quand les mots sacrés du mariage serons prononcer
qui est le oui je le veux!...
êtes vous prêt tout les deux pour prononcer ce mot qui vous unira à jamais, alors répéter après moi, si vous le voulaient bien!...
-Le mariage suppose que les deux époux s'engagent l'un vers l'autre librement et sans contrainte, qu'ils se promettent amour mutuel et respect pour toute la vie,
qu'ils accueillent les enfants que Dieu leur donne, et les éduquent selon les écrits d'Aristote et la pensée de Christos.

Il ne s'était pas trompé, le moment était venu, il se tourna vers Rose et plongea avec plaisir dans ces beaux yeux bleu.

Citation:

- Rose et Pheonix

-Est-ce bien ainsi que vous voulez vivre dans le mariage ?
-Répéter après moi !..

Pheonix, sans quitter un instant des yeux sa tendre, répondit:

Oui je le veux

Il entendit Rose en faire de même avec soulagement. Puis toujours sans quitter Rose des yeux, il posa un genou à terre et dit avec force pour être entendu de tous.

Rose, veux-tu être ma femme jusqu'à ce que la mort nous sépare?

Fort heureuse, sa réponse positive ne se fit pas attendre, mais son coeur battait encore la chamade.

Quand elle lui posa à son tour la question, il se releva et dit avec la meme ferveur:

Oui Moi, Pheonix , je serais ton époux.
Je promets de t'aimer fidèlement dans le bonheur comme dans les épreuves et ce tout au long de notre vie jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Avec plaisir, il l'entendit prononcer des paroles similaires. L'instant tant attendu était arrivé! Il se tourna vers Niky, qui d'un simple regard compris immédiatement ce qu'il voulait. Il tendit la main et se tourna de nouveau vers Rose. Il lui pris avec douceur sa main gauche et y glissa doucement une magnifique bague en or sur son annulaire. L'instant était magique et les yeux de Rose brillait autant que les petits diamants incrustés dans l'or.

Rose, reçois cette alliance, signe de mon amour et de ma fidélité.

Puis il reçu à son tour l'alliance qui les unissait pour l'éternité.

Citation:

Je vous déclare maintenant unis par les liens sacrés du mariage. Ce que Dieu a uni, nul ne pourras le désunir.

Il n'avait pas encore entendu le célèbre "Vous pouvez vous embrasser" mais peut importait, l'envie était trop grande.
Pheonix s'approcha des levres de Rose et l'embrassa passionnément. Son bonheur était à son comble. Pheonix étincelait comme jamais!
Pheonix accorda un sourire à l'église entière, agitant un peu bêtement la main.

Il signa le livre d'or et se dirigea vers la sortie de l'église, main dans la main avec Rose.

Ils restèrent là assez longtemps à écoutez les félicitations des uns et des autres. Pheonix accueillait chaque invité un grand sourire aux lèvres, avec un plaisir inestimable.

Enfin il éleva la voix et dit:

Pour ceux que ça interresse la fête continue ici: (un petit clic ici)

Je vous remercie tous d'être venu!

Claptons54

claptons accompagner de son épouse alla féliciter les heureux maries.

félicitations a vous deux et tous mes vœux de bonheur

claptons bis ouilla la mariée et serra la main au marie.
_________________

*bombadil*

Citation:

Nomination de Thomas d'Azayes au siège archiépiscopal de Reims

Nous, Cyril Kad d'Azayes, vice-primat de France, cardinal de la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine, évêque in Partibus de Tibériade, chevalier d'Isenduil, préfet des Vidames, comte du Forez et vicomte de Brantôme, devant le Très Haut et sous le regard d’Aristote, au nom de l’assemblée épiscopale de France,

Reims

Thomas d'Azayes

Ad Majorem Dei Gloriam

Donné à Rome le dimanche 17 avril de l’an de grâce MCDLIX

Pour l'assemblée épiscopale de France,
Cyril Kad cardinal d'Azayes, Vice Primat.

Dandolo

Citation:

Nomination de Tully de Nivellus-Sparte au poste d’évêque in Partibus d'Égée

Nous, Aaron de Nagan, Cardinal de la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine et Archevêque de Césarée, Chancelier de la Congrégation des Affaires du Siècle, Vicomte d’Ivry, devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote, au nom de l’ensemble des cardinaux réunis en Sacré Collège,

Avons statué et ordonné, et par notre présent édit perpétuel et définitif, statuons et ordonnons la nomination de son éminence Tully de Nivellus-Sparte, ancien archevêque de Reims, au trône épiscopal in Partibus d'Égée pour services rendu à la grandeur de l'Eglise.

Ad Majorem Dei Gloriam

Fait à Rome le XVII avril, le lundi, de l’an de grâce MCDLIX de Notre Seigneur

Pour le collège des Cardinaux, Aaron de Nagan,
Cardinal.

_________________

*bombadil*

Citation:

Recrutement de l'archevêché de Reims
Recrutement d'avril 1459

Nous, Thomas d'Azayes, fait Cardinal-Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Annonçons que pour assurer un bon fonctionnement de l'archidiocèse de Reims, les postes suivants sont à pourvoir. Ils sont ouverts à tous les fidèles, sous certaines conditions :

Des curés pour les paroisses de Argonne et Varennes :
Le curé est en charge de la gestion religieuse d'une paroisse. Sous l'autorité de son évêque, il veille au bon déroulement des offices, et amène les fidèles sur le chemin de la vraie foi, tout en s'approchant lui-même de la vérité divine.

Conditions : poste ouvert à tous les fidèles érudit de la voie de l'Église, résidant dans ces villes. Le curé devra prononcer ses voeux lors de sa nomination. La formation sera assurée par l'archevêque.
Des diacres/vicaires pour les paroisses de Reims, de Varennes, de Sainte Ménéhould, d'Argonne et de Compiègne :
Le diacre est en charge de tous les sacrements de l’Eglise Aristotélicienne hormis celui de l’ordination. Il assiste le curé dans la réalisation des messes. Il sera formé et aidé dans sa tâche par l'archevêque de Reims.

Conditions : poste ouvert à tous les fidèles, sans exception résidant dans ces villes. Le diacre n'a pas le droit de port d'arme.
Des prêcheurs, pour l'archidiocèse de Reims :
Les prêcheurs sont des personnes chargées de porter la bonne parole directement aux fidèles, et de leurs donner des éléments nécessaires à la compréhension du monde. Ils vont sur les marchés, devant les tavernes, pour prêcher la bonne parole, et transmettre les enseignements des prophètes à tout à chacun.

Conditions : poste ouvert à tous les théologiens [niveau 3, voie de l’église] ayant des idées claires sur les éléments à prêcher sur l'archidiocèse de Reims.
Un procureur ecclésiastique :
Le procureur est en charge de la bonne gestion de tout ce qui concerne la justice d'église sur le diocèse. Il travaille en étroite collaboration avec la Congrégation de la Sainte Inquisition et son évêque.

Conditions : poste ouvert à tous les fidèles ayant de bonnes connaissances dans le Droit Canon, et aimant le Droit en général. Une personne érudite de la voie de l'Eglise [niveau 3] pourra de plus, tenir ce poste In Gratibus.
Un responsable du Trésor :
Le responsable du Trésor est en charge du suivi de la trésorerie de l'archevêché. Il travaillera à trouver les financements et surveiller les recettes et les dépenses de l'archevêché.

Conditions : poste ouvert à tous les théologiens [niveau 3, voie de l’église] ayant de bonnes compétences économiques et ayant des qualités relationnelles afin de traiter avec les partenaires de l'Eglise aristotélicienne
Des gardes épiscopaux :
Les gardes épiscopaux sont en charge de la sécurité de l’évêque, et plus généralement des clercs du diocèse. Ils servent d’escorte lors des déplacements. Des carrières sont envisageables dans cette branche armée de l’Eglise.

Conditions : postes ouverts à tous les fidèles résidants sur l'archevêché de Reims et sachant manier une arme.

Toutes les personnes intéressées par l'un de ces postes, ou voulant plus généralement se mettre au service de l'Eglise est prié de contacter l'archevêque de Reims, Monseigneur Thomas d'Azayes ou un membre du clergé de son choix qui relaiera la demande, ou se rendre à l'archevêché de Reims.

Nous comptons sur toutes les bonnes volontés possibles afin de porter le message du Très-Haut et la vérité divine.

Que les paroles d'Aristote nous guident.

Fait à Reims, le vingt-cinquième jour du mois d'avril, de l’an de Grasce 1459.

Son Eminence Thomas d'Azayes,
Cardinal-Archevêque de Reims.

Yut

Le Prélat entra dans l’Église, envoyant un bedeau sonner les cloches. Il alla attendre les fidèles sur le parvis.

Lorsque l’Église fut remplie, il entra, se dirigeant vers l’Autel.

Mes enfants, je vous souhaite la bienvenue en ce jour, dans la Maison de Dieu. Si nous sommes réunis en ce jour, c'est pour célébrer le baptême de Belius Confessons nos péchés pour débuter la cérémonie.

Maintenant, j'inviterais la Marraine à réciter le Credo avec moi.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Belius

Belius mit ses plus beaux vetements ce jour la.
Il était plus qu'impatient , il allait enfin devenir un aristotelicien.
Il avait l'impression qu'un nouveau monde pouvait s'offrir à , tout exité , il se redit a la cathédrale.
Il était la des le petit matin et attendit toute la journée l'heure fatidique.

Malgré la longue attente , il ne fût pas déçu, lorsqu'il entendit les cloches sonner.

Ne sachant , pas ou aller , il se positionna au premier rang et regarda l'assemblé.

écoutant le début avec attention, un grand calme l'envahit.
Il en était sur , quelque c chose allait changé en lui. et il l'attendait sereinement.

Ines

Je regardais mon futur Filleul qui traquait un peu!.. je lui pris la mains et le rassurais, il s'était fait beau, j’étais fière de lui..

Bientôt je serais sa Marraine..L 'Evêque m'invitais a réciter le Crédo ce que je fis de suite ..Sans quitter mon futur filleul des yeux...Je me mis face au invités et récitais la prière Aristotélicienne..

le Crédo
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l’heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Pbaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l’Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin di Paradis.
C’est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l’attendait Aristote à la droite du Très-Haut .

Je crois en l’Action Divine ;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés
En la vie Eternelle.
Amen…

Yut

Il prit son livre des Vertus pour faire une lecture sur le baptême.

Citation:

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Cirdec

Cirdec arriva pour le Bapteme de Belius, il se mit dans un coin du saint lieu et ecouta la celebration
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Yut

J'inviterais maintenant le futur baptisé à se rendre au baptistère, pour réciter son serment d'allégeance à l'Église Aristotélicienne.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Ines

Je me tenais non loin de mon futur filleul, son Baptême avait lieux dans ce belle édifice plein de joli tableau. Avec des sourire, je l'encourageai
à chaque parole bonne parole je lui faisais des signe de tête..
Quand il vint près de moi je lui dit!..
Bientôt je serais ta Marraine, se sera a moi de te montrer le droit chemin
Récite comme te le demande Monseigneur,Yut le sermon D’Allégeance
Ce qui fera de toi mon filleul..

Belius

Belius approchat a la demande de Monseigneur Yut.
il avait le tract , était un peu nerveux. il n'avait pas l'habitude que otut le monde le regarde ...

Citation:

Bientôt je serais ta Marraine, se sera a moi de te montrer le droit chemin
Récite comme te le demande Monseigneur,Yut le sermon D’Allégeance
Ce qui fera de toi mon filleul..

Ces paroles le réchauffèrent. et lui donnèrent de l'assurance.
il se tourna alors vers sa marraine .

Et mon devoir de filleul sera de te rendre fière. que jamais tu ne puisses rougir de tes enseignements.
je suis heureux de t'avoir a mes coté , et que tu ai accepté de m'accompagner sur le chemin de l'aristoteliscisme.
Oui , calice , je vais prononcer ce sermont avec tout mon coeur et ma foy.
Car je crois ...

Il se retourna alors vers l'officiant et prit une voix haute et clair

Je reconnais en dieu le moteur du monde, la pensée suprême et la cause efficient et finale du monde.je reconnais l'Eglise aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'a son autorité, seule représentante sur terre de l'etre divin
Il marqua un pause a la fin de cette longue phrase , pour que chacun puisse en réaliser chaque passage

j'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de sa beauté.
je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de dieu tout puissant.

Lorsqu'il s'arrêta , il eut envie de rajouter une phrase , une annonce qu'il avait à faire. un choix dans son cœur , arrête qu'il souhaitait annoncé a tous ces amis.
Pourtant , il décida de suivre sobrement la cérémonie et de ne l'annoncer qu'a la fin.
Il regarda tout de même sa marraine droit dans les yeux , le regard pétillant, il en était sur , elle serait surprise..mais fière.

Yut

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Belius

l'eau ruisselait sur son visage. le prêtre ne l'avait pas asperger a moitié.*il redressat le visage et cherchait du regard un linge
qui aurait pu lui permettre de s'essuyer. malheureusement, il n'en vit aucun.
il oublia alors sa face mouillé et tendit les mains , prêt a recevoir la chandelle et la médaille.

Yut

Maintenant, je te remet ce médaillon. Sois-en fier, ça prouve ton appartenance à la communauté des fidèles.

Et voici un cierge, qu'il puisse te guider et t'illuminer tout au long de ta vie.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Ines

Je regardais mon filleul et je le félicitais chaudement en le bisant sur le front
et en lui disant ces quel que mots..Je me promis de faire le tour de l'édifice avant de rentré chez moi!..

Tu sais que tu pourra toujours compter sur moi, je suis ta Marraine et je le
serais pour toujours, alors si tu a besoin d'un conseil n'hésite pas !..

Que Dieu te garde mon cher Filleul !..Dès que l'on sorts on va fêter ça ..

Belius

Fier comme artaban , belius , se rendait compte de la richesse du cadeau.
Lorsque sa marraine l'eu felicité ,Belius avait besoin d'annoncer sa grande nouvelle

Mes amis,
Merci d'être venus. merci de m'avoir soutenus.
Je dois vous annoncer une chose.
Ce baptème n'est que mes premiers pas. Comme tout enfant , ce sont les premiers pas les plus important ... et je voudrais vous annoncer ma route.
Bien qu'elle soit encore longue et que je ne suis point encore érudit,
ma voie est celle de l'église. J'y souhaite progresser et m'y affirmé.
et le jour ou l'on me donnera l'occasion , j'espère pouvoir prononcer mes voeux et , qui sait , servir une paroisse.

Ce chemin aristotelicien est encore long , mais je suis déterminé a le suivre

se tournant vers calice il la regardat
et marraine , j'espère que tu m'y accompagnera

Yut

Le Prélat toussota, puis demanda aux fidèles de venir communier.

Il se tourna ensuite vers le baptisé, lui serra la main et dit:

Mes félicitations, mon fils!
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

*bombadil*

Citation:

Nomination d'un Responsable du Trésor
Le Père Nono devient Responsable du Trésor du diocèse de Reims

Nous, Thomas d'Azayes, fait Cardinal-Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Annonçons la nomination de Nono18 de la charge de Responsable du Trésor. Il sera donc en charge du suivi des finances du diocèse de Reims et de la mise en place et du développement des actions de charité au sein du diocèse.

Que les paroles d'Aristote nous guide.

Fait à Sainte-Ménéhould, le vingt-neuvième jour d'avril de l’an de Grasce 1459.

Son Eminence Thomas d'Azayes,
Cardinal-Archevêque de Reims.

*bombadil*

Citation:

Nomination d'un diacre à Argonne
Frère Belius devient diacre de la paroisse d'Argonne

Nous, Thomas d'Azayes, fait Cardinal-Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Annonçons la nomination de Belius de la charge de diacre d'Argonne. Il devra donc veiller à la destinée spirituelle de la paroisse aux côtés de Mère Calicee et devra procéder aux sacrements et cérémonies telles que définis dans le Droit Canon.

Que les paroles d'Aristote nous guide.

Fait à Sainte-Ménéhould, le vingt-neuvième jour d'avril de l’an de Grasce 1459.

Son Eminence Thomas d'Azayes,
Cardinal-Archevêque de Reims.

Le_viel_alfred

Ben mazette de vieille biquette!!! se dit il.

Non mais son maitre était... Il trouva pas le mot. le jour du mariage et il lui avait dit;
Mon Alfred j'ai bien peur d'avoir fait une terrible gaffe que dame Pauline me pardonne. Aller au village à l'église et publier ces bans!!! et afficher en dessous mon acte de contrition, puisse ma belle me pardonner et vouloir encore m'épouser je vais chez sa tante la revoir.. Pensez vous que des fleurs soit de bon usage

L'Alfred avait rien dit, mais il pensait qu'il lui faudrait plus que des fleurs, bien que son maitre soit un lunatique notoire, il se signa, il savait que ce dernier aimait dame Pauline plus que tout et que celle ci lui pardonnerait..

Ahh!! ces deux la me front tourner bourrique!!

Il accrocha l'acte de contrition de son maitre à contre cœur.

Très chers invités,

Le juge étant un rêveur patenté, il en a omis de regarder la plus importante des affaires en cours le concernant: celle de son mariage

C'est ainsi qu'avec un effroi et une stupeur, caractérisant l'homme en robe qu'il est devant ,le cumul d'infractions à la législation qu'il voit, il s'est malencontreusement fourvoyé et en a oublié les bans....

Le mariage aura donc lieu mais dans 15 jours comme il est de coutume

Pardonnez ce fâcheux oubli n'étant point un habitué des mariages

Maviste
Juge et accessoirement amoureux et rêveur fou

*bombadil*

Citation:

Nomination d'un Procureur ecclésiastique
Elriol devient Procureur Ecclésiastique de Reims

Nous, Thomas d'Azayes, fait Cardinal-Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Annonçons la nomination de Elriol de la charge de Procureur Ecclésiastique de Reims. Il veillera au respect à la fois du dogme et du Droit Canon sur le territoire de Reims, et veillera au bon fonctionnement de l'Officialité Épiscopale.
Nous le remercions de l'aide qu'il apporte au diocèse de Reims.

Que les paroles d'Aristote nous guide.

Fait à Sainte-Ménéhould, le trentième jour d'avril de l’an de Grasce 1459.

Son Eminence Thomas d'Azayes,
Cardinal-Archevêque de Reims.

Paulinedeklervie

C'était jour de mariage.

Il s'était levé au aux aurores et avait fait un brin de toilette, sa Gertrude lui avait dit: c'est un grand jour pour Maviste et Pauline, soit propre et soit sobre!

Alors il lui avait obéit. Il avait mis sa chemise du dimanche et avait attelé la vielle jument à la carriole. Mis une couverture pour pas que dame Pauline soit salie. C'est que Maviste ne plaisantait pas avec les attentions du a sa future. Même si la plupart du temps il avait la tête ailleurs.

C'est donc en ce jour couvert de nuages que lui allait conduire la carriole pour emporter la promise et sa Gertrude à l'église.
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Le_viel_alfred

le_viel_alfred a écrit:

Maviste

C'était le jour J , celui qu'il ne fallait pas louper...Maviste était arrivé sur la place de la cathédrale stressé comme à son habitude mais cette fois ci : c'était le grand jour.

Attendant que sa promise soit là ainsi que le prélat , il patientait devant la cathédrale, espérant ne point se retrouver seul dans ce jour de fête.Se marier seul....le cauchemar assuré...

Rien que d'y penser, il en eut un frisson d'effroi..
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Hersent

[La Demeure, GM Bourmont]

Hersent avait reçu de longue date une invitation pour venir assister au mariage de Maviste.

Elle avait pu se libérer de ses obligations, le temps de la cérémonie. Elle avait galopé jusqu'à la Demeure pour troquer son uniforme contre une tenue plus appropriée.

Elle s'était rafraîchie et enfilait sa robe avant de s'occuper de sa coiffure. Elle avait emballé le cadeau qu'elle destinait aux futurs époux.
Après plusieurs essais infructueux, elle décida de nouer ses cheveux en tresse très lâche, quelques mèches laissées en liberté. Sa robe était en coton rouge foncé sous une veste parsementée d'arabesques brodées.
Elle se regarda dans un miroir...la fatigue de la route s'était atténuée, elle était présentable et pouvait partir pour St-Himerius.
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Dame_calamittix

Cala était venue de Blois, avec une amie Celena, pour assister au mariage de son ami, Maviste ... quand elle arriva devant la Cathédrale elle l'aperçu, elle s'approcha de lui pour le saluer.

"Pas trop nerveux ?? ... En tout cas c'est une superbe journée pour un très beau mariage"

Après l'échange de quelques mots avec le marié et en attendant les autres invités, elle s'ecarta quelque peu afin de laisser la place aux autres venant le saluer.
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Les amis sont des anges silencieux qui nous remettent sur pieds
quand nos ailes ne se rappellent pas comment voler

Robin

[le perron de la Cathédrale ]

Robin avait fait voyage tôt le matin pour Reims en compagnie de Chpiot et comme promis à sa filleule .
Il serait la à son arrivé devant le parvis pour qu'il puisse avoir le plaisir et l'honneur de la conduire jusqu’à l'autel , jusqu’à son futur époux et avenir .
C'est qu'il c'était fait beau l'archer , c’était pas tout les jour qu'il mariait une filleule , surtout avec un ami .
Alors il était venu en se jour de fête et de joie, en arborant sa plus belle chemise blanche, sous lequel tranchait sa plus belle ceinture sur son kilt , aux couleurs de son clan .
Maviste était arrivé , pour une fois à l'heure !! Sa filleule allait elle arriver à rendre son ami ponctuel .. Voila qui serait à voir !! Ça et la futur venu d'un petiot .. ou déjà les paris allaient bon train " avec ou sans cheveux , avec ou sans barbichette " ...
Robin sourit amusé en le voyant et l’étreint avec force en le remerciant de l'honneur qu'il lui faisait . Il était témoin de sa filleule et veillerai sur eux , il l'avait promis .
Puis saluant les autres personnes qui arrivaient doucement , il patientât prés de la marraine de Pauline en lui souriant tendrement .
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*bombadil*

Citation:

Nomination d'un curé
Père Nono devient curé de Sainte-Ménéhould

Nous, Thomas d'Azayes, fait Cardinal-Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Annonçons la nomination du Père Nono de la charge de curé de Sainte-Ménéhould, à la suite de son ordination intervenue ce jour. Il devra donc veiller à la destinée spirituelle de la paroisse. Il pourra procéder aux sacrements et cérémonies telles que définis dans le Droit Canon.

Que les paroles d'Aristote nous guide.

Fait à Sainte-Ménéhould, le treizième jour du mois de mai de l’an de Grasce 1459.
Son Eminence Thomas d'Azayes,
Cardinal-Archevêque de Reims.

Maviste

Saluant son ami Cala et la remerciant d'avoir fait son déplacement,et ne sachant que faire d'autres il la présenta à Robin et à Chpiot

"Voilà Cala , et voilà mes amis, et que dis- je ma future famille, *petit sourire de connivence* Robin et Chpiot les parrains et marraine de ma moitié.."

Bref maviste se demandait si la cathédrale allait s'ouvrir, ou s'il devait aller d'un pas rapide vars l'archevêché quémander la clef de l'édifice. Ainsi,donc, la journée promettait d'être longue....
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Aalanna

Bon elle n'aimait pas trop les église..qui lui rappelait trop son progéniteur mais elle ne pouvait manqué le mariage de Maviste. Ainsi donc, elle c'était levée de bon matin afin de se préparer décemment. Il n'était guerre avenue de se présenté à un mariage en braies. Elle mit sa jolie robe bleue ainsi que son chapeau..avec sa robe rose elle se serait trop vite fait remarquée..et puis c'était la mariée qui devait retenir l'attention.
Elle pénétra silencieusement dans la cathédrale et s'assit sur un banc dans un coin discret en attendant la cérémonie.
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Yut

Le Prélat entra dans la Cathédrale, pour le mariage de Maviste et de Pauline. Il salua les deux futurs mariés ainsi que les invités présents, et se dirigea vers la Sacristie. L'Évêque revêtit une soutane blanche et dorée, et mis sa chasuble d'une magnificence exceptionnelle. Il plaça ensuite sur sa tête une énorme Mitre dorée incrustée de plusieurs pierres précieuses.
Il rayonnait. Le jeune homme sortit de la Sacristie, et s'assit sur un fauteuil à côté de l'Autel, en attendant que tous les invités arrivent.
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Dame_calamittix

Cala n’étant pas fort loin, s'étaient rapprochée pour saluer Messire Robin et Dame Chpiot, qu'elle pense avoir déjà croisé ...

"Ravie de vous revoir Messire Robin et Dame Chpiot ... surtout pour être témoin d'un très grand bonheur ... Je vous laisse quelques instants vous avez surement beaucoup de choses a vous dire"

Cala se mis a l’écart pour les laisser passer Yut qui allait officier pour le mariage ... Après que le marié, les témoins suivirent pour entrer dans La Cathédrale ... Cala entra à son tour, fit un signe de croix et alla s'installer ... C'est la première fois depuis bien longtemps qu'elle entrait dans Cathédrale et c’était pour un événement heureux
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Les amis sont des anges silencieux qui nous remettent sur pieds
quand nos ailes ne se rappellent pas comment voler

Tutia...

Enfin Maviste et Pauline allaient se marier. Après cependant quelques sueurs froides comme la perte des invitations par le marié... Quoiqu'il en soit, tous les petits tracas seraient bientôt oublié. Elle espérait cependant que les tenues respectives des futurs époux plairaient à l'assemblée. Elle-même s'était faite faire une robe de cérémonie à l'atelier pour l'occasion. Cela changeait, la dernière cérémonie à laquelle elle avait assisté était un enterrement.

Aussi se dirigea t-elle vers l'église. Ne trouvant personne sur le perron elle crut qu'elle était arrivée en retard. Entrant dans le lieu saint, elle se signa et eut un soupir de soulagement, la cérémonie n'était pas commencée.

La brunette entra donc et alla saluer les personnes qu'elle connaissait, Chpiot, Robin et Maviste.

- Bonjour à vous trois !! dit elle en souriant, tout en parlant doucement. Puis elle leur fit la bise.

Alors Maviste, prêt pour ce grand jour ?!
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Atelier : cliquez sur la bannière ; Confrérie : http://silmarien.forumactif.net/

Kelso

[Demeure Bourmont]

Invitation reçue, il se prépara pour le fameux mariage de son ami juriste. Habits simples malgré la cérémonie. Chemise et braies ainsi que des chausses au vue du temps. Simple mais propre ! A force de travailler avec des animaux, ont finis souvent par ne plus sentir la puanteur. Il traversa le couloir pour se rendre vers la chambre de Hersent où il toqua pour ne pas dire bourriner à la porte.

Je suis prêt, t’es la ? On y va, on va finir en retard à force ! On nous attends en bas déjà, tes trop longue à la préparation … allez allez !
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Hersent

[Demeure Bourmont]

Des coups vifs à la porte lui indiquèrent, en plus du doux son de sa voix, que Kelso était prêt à partir et qu'il s'impatientait.

Voilà, voilà, je suis prête! Je prends le cadeau et j'arrive!

Hersent sortit dans le couloir où elle le retrouva:

Trop longue à me préparer, n'importe quoi! J'ai seulement hésité pour choisir ma tenue et ma coiffure. Bien, on peut partir maintenant!
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Paulinedeklervie

Sur le parvis

Pauline avait le cœur qui battait, Gertrude était à ses cotés et avait envoyé son vieux ronchon de mari voir si tout était prêt. Une roue de la carriole avait lâché, ce qui avait causé leur retard.

Pauline avait la gorge serré, elle retenais ses larmes, des larmes de joie, enfin elle épousait son promis. Gertrude lui arrangeait sa robe, dame Tutia avait fait des merveilles en lui présentant des tissus et en la recommandant pour faire sa robe a des doigts agiles. Pauline désirait que Maviste la trouve belle en ce jour. Un sentiment purement féminin et frivole.

Gertrude arrangeait les plis de sa robe. Vous êtes belle comme un coeur, il en a de la chance notre maitre de vous épouser, il vous rendra heureuse comme il vous rend heureuse! Gertrude lui passa la main sur la joue. Qu'Aristote vous bénisse Pauline

Voila elle était prête, mais les oreilles lui bourdonnaient, le cœur lui débattait, aujourd'hui en ce jour elle deviendrait aux yeux d'Aristote et de tous l'épouse de celui qu'elle aimait, à lui pour toute une vie et son cœur ne désirait pas autre chose. Comme elle aimait cet homme!

Elle se recueilli un moment, pria pour Maviste et pour tous les gens qui étaient venus assister à cette union..

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Maviste

Dans l'église devant l'autel

Les jambes tremblantes, la voix chevrotante, le chauve avait bien du prendre 10 ans d'un coup.Saluant tour à tour les invités d'un signe de la main , en les voyant habitué au prétoire, mais pas habitué à ce genre de chose qu'était un mariage surtout en public..

Portant avec élégance,l' habit conçu pour l'occasion

Il cherchait desespérément à voir l'entrée de sa promise et de l'ensemble des invités restant, ressentant ainsi la solitude de celui qui allait quitter son célibat.Fermant les yeux ,un court instant, il se mit à prier...d epeur sans doute de faillir..
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Claptons54

claptons prit le chemin de la cathédrale en compagnie de son épouse pour la célébration du mariage de son ami maviste .ils entrèrent dans la cathédrale salua tout le monde et s asseyais

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Wihlelm

Ah pour une fois il n'était pas en retard le Bry, cela était chose suffisamment remarquable pour être euh remarqué. D'un autre côté, le mariage de sa carotte préférée demandait ponctualité et précision. Bry ne savait pas s'il devait se réjouir du mariage ou plutôt pester contre le destin qui faisait que le Juge serait moins disponible pour lui maintenant ^^

Mais dans le doute, il se réjouissait, souhaitant que son ami soit le plus heureux des hommes, il le méritait bien. Il ne connaissait pas la future mariée, mais Bry s'était dit dans un élan dramatique que si elle faisait quelque chose de peu recommandable et faisait souffrir Mavou, il la trouverait et lui ferait comprendre qu'on ne fait pas souffrir une carotte!

Bon oki, Mavou avait du discernement, il n'avait sans doute pas choisi n'importe comment, mais bon... souriant un instant, songeant à une Calaisienne bien loin d'ici, il entra dans le bâtiment et reconnut des visages auxquels il sourit. Il prit une chaise et s'assit avec bonhomie: un peu de douceur dans ce monde de brutes serait bienvenue.

Marjo270496

Marjo se dirigea a pas pressé vers la cathédrale, et voila a tout les coups elle était en retard ! En plus elle ne rentrait déjà plus dans la plus part de ses robes mais en avait trouvé un petite jaune qu'elle avait enfilé vite elle tenait ésmé dans ses bras, habillé en lapin pour le mariage.
Finalement elle n'était pas si en retard, elle salua les gens de sa connaissance et s'assit a un endroit ou elle pouvait bien voir.

Tayla

Maviste etait la sur le parvis, Tayla le salue, contente de pouvoir etre presente...
La donzelle au bras de son époux entre dans la cathédrale saluant les personnes connu.
Quelques personnes etaient deja arrivé.
Ils prirent place et attendire l'arrivé de la marié...

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Legolas.

Le 14 mai est une date que Légolas avait retenu car il s’agit du mariage de Maviste et de Pauline, deux fiers Airainois et en tant que Membre de cette même mesnie, il se doit d’y aller mais notre cher ami, tellement débordé à cause de ses études de médecine et autres occupations, a carrément oublié que c’était ce jour-ci qu’a lieue la cérémonie nuptiale en la Cathédrale Saint Himérius.

Ben vu l’heure qu’il est maintenant, il se dit que la messe doit être terminée mais il va tout de même s’apprêter car il ne se souvient plus exactement de l’heure de la cérémonie. Pour cela, le garçon avait enfilé ses plus beaux habits, après s’être lavé. Ben oui, ce n’est pas un crado non plus. En fait, c’est la même tenue qu’il avait porté pour la cérémonie de vassalité de Chpiot. Hé oui, Légolas tient vraiment faire honneur à son ami.

Le voilà enfin préparé, qu’il sort de chez lui pour prendre sa monture et filer en direction de….ben de la Cathédrale Saint Himérius. C’est après avoir parcouru plusieurs kilomètres qu’il arrive enfin sur le parvis du grand édifice. Le jeune Premier Lieutenant descend de cheval, l’attache un peu plus loin de cette place car ça ne le ferait pas si il y a du crottin juste devant l’entrée de cette Cathédrale.

Le comble de l’ironie, c’est que cela aurait pu porté bonheur aux mariés si ils marcheraient dans ce crottin du pied gauche et justement on souhaite généralement tout le bonheur du monde à deux personnes qui s'unissent devant Dieu. Enfin, il n’y aura pas de risque que ça arrive puisque le cheval blanc de Légolas se trouve plus loin. L’adolescent entre à l’intérieur de la Cathédrale et fait un effort pour se signer. Voyant qu’il y a déjà pas mal de personnes, qu’il se met à sa place habituelle, c'est-à-dire dans le fond. Il salue celles et ceux qu’il connaît.

Je préfère le préciser, Légolas ne porte pas d'épée^^

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Chpiot

Il avait fallu se lever de bonne heure pour ne pas être en retard à l'office qui allait unir deux personnes a qui elle tenait beaucoup, deux amis, deux confidents. Elle s’était hâtée de se préparer et du coup, ils étaient arrivés sans encombre et dans les temps sur le parvis ou Maviste attendait déjà les invités.
Chpiot lissa sa robe puis se dirigea vers le futur marié et le serra dans ses bras et lui fit une grosse bise en lui murmurant quelques mots de réconfort.. c'est qu'il avait l'air sur les nerfs son Chouchou.
Tout comme son archer, la rouquine faisait partie des personnes qui seraient au premier rang pour cet événement, au titre de marraine de la mariée mais aussi de témoin de mariage. Que d’émotions en perspective.

De ce fait, elle souhaitait que tout soit impeccable et lançait des regards en tout sens afin de vérifier que rien ne clochait.
Le futur époux arriva avec une jeune femme que Chpiot avait déjà rencontré.. du moins c'est ce qu'il lui semblait. Elle laissa échapper un petit rire amusé en entendant Maviste dire que Robin et elle étaient sa future famille. Il est vrai que les quatre amis étaient très proche depuis longtemps.
La rouquine salua chaleureusement Cala.

Bonjour Cala, je suis heureuse de vous revoir pour cet heureux événement !

La jeune femme s’écarta pour laisser passer le prélat et fut happée dans le flot des invités qui se pressait pour entrer dans la Maison du Très Haut. Elle attrapa Maviste par le bras et alla avec lui devant l'autel, laissant Robin sur le parvis.

La rouquine salua au passage Tutia et les personnes qu'elle connaissait et qui avaient déjà prit place dans les rangs et alors commença le moment le plus difficile selon elle, du moins pour le futur époux : l'attente de la mariée.
Il est de notoriété publique que le jour de son mariage, la mariée doit se faire attendre. Elle ne savait pas trop d’où cette idée était sortie, mais le résultat était en tout cas inévitable : l'angoisse de l'époux.

Chpiot sentait "son" chauve sur les nerfs, peu sur de lui et impatient a la fois. Elle essaya de le réconforter tant bien que mal en lui glissant quelques mots a l'oreille

Hé Chouchou.. ça va aller, t'en fais pas. Elle va bientôt arriver, ne t’inquiètes pas... Puis vous ne serez pas tout seul, on est là hein. Tout va bien se passer, j'en suis persuadée. Vous êtes fait l'un pour l'autre. Aller, cesses de t'en faire tu veux ..

Elle lui adressa un petit clin d’œil complice et lui serra brièvement les doigts en lui souriant. Les invités continuaient d'arriver mais moins nombreux désormais. L'heure approchait et bientôt la cérémonie débuterait
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Kelso

Bien, oui, on y va. On va finir par être en retard. Tu es tout en beauté.

Une fois Hersent récupérée, il prit la direction du halle. Hersent était tout en beauté alors que lui, n’avait pas fait effort de s’habiller convenablement. Qu’importe, ce n’était qu’un mariage et il se terrerait surement dans le fond de la Cathédrale contre un pilier à écouter les ragots du village.

[Cathédrale Sainte Himérus]

Il grimpa les marches de la Cathédrale et se rendit compte que de nombreuses personnes étaient présentes. Normal dans le fond, Maviste et Pauline étaient appréciés et ils n’avaient pas lésiné sur les invitations. Il passa la grande porte et sourit au passage au gens qu’il connaissait.

Son regard se posa sur le chauve. Pas reconnaissable le Maviste. Il avait mit le paquet sur les toilettes. Kels n’osait imaginer le stress que devait faire un mariage. Une tappe amicale sur l'épaule sans rien dire. Il préféra aller rejoindre des personnes déjà assises.
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Hersent

Hersent remercia d'un sourire Kelso qui la complimentait sur sa toilette, puis le suivit. Diantre, il filait toujours aussi vite, comme si le temps lui courait aux basques. Même en tenue habillée, elle ne se laissa pas distancer et monta à sa suite les escaliers menant au parvis.

[Cathédrale St-Himerius]

Il y avait beaucoup de monde, elle en connaissait certains, d'autres pas du tout. Elle chercha du regard deux personnes qu'elle attendait, en vain...ne voulant pas être inconvenante, elle cessa sa recherche pour venir saluer le futur heureux époux:

Bonjour Maviste...tu es superbe dans cette tenue...fichtre, une cérémonie de mariage vous change un homme.

Doucement, elle posa sa main sur son bras, comme pour le rassurer, puis lui souffla:

Respire calmement, la mariée ne devrait pas tarder. Tout va bien se dérouler.

Elle s'éloigna, saluant au passage quelques connaissances: Claptons et sa délicieuse épouse Tayla, Bry, Légolas et Tutia. Elle rejoignit ensuite Kelso, déjà installé sur un banc.
Tout en s'asseyant, elle lui chuchota:

ça va être un très beau mariage!

Elle se tut, attendant la suite des évènements, ne pouvant s'empêcher de jouer avec l'anneau dont elle n'avait pas pu encore se séparer.
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Polibe

[Devant la Cathédrale, sur les marches]

Vous êtes seul Polibe ? Vous ne rentrez pas ? Vous allez bien ? Coxynel, si tu ne viens pas, je peux t’assurer que je fais te le faire regretter marmonna-t-il ! En retard, évidement qu’elle l’était avec son bourricot de cheval. Si ca se trouve, cet âne avait emmener Coxynel dans un pré. Idiot, tu aurais du venir avec elle, au moins, elle serait à l’heure et on aurait éviter toutes ces questions … questions qui ne daigna pas répondre, il en va de soi.

Il regardait les couples passaient, tous très bien habillés. Il reconnu quasiment toute la messine Airain, suivit de près par quelques Bourmont et d‘autre encore inconnu. Il jeta un petit coup d’œil rapide dans la Cathédrale et soupira de nouveau. Dans le fond, c’était peu être mieux qu’elle soit en retard, il ne serait pas obligé d’y entrer !

Il avait quand même fait un effort niveau habits et même qu’il était passer chez le barbier. Ouep, il portait des braies noires, une chemise blanche, une veste par-dessus noire, c’était relativement coiffé aussi. Une petit babiole sur la veste pour mettre de la couleur et il était près. Manquait plus la Madame mauvaise foi !

Coxynel

Essoufflée... C'est à bout de souffle qu'elle arriva sur le parvis de Saint Himerius. Il faut dire que la journée avait franchement mal commencé. Déjà il avait fallu qu'elle coiffe sa tignasse blonde! Détresser quelques mèches, ôter les quelques perles puis passer la brosse pour les nouer en un chignon bas sur la nuque... Un défi en soit qui l'avait occupé une bonne heure. Il avait fallu également s'habiller. Coxynel avait finalement opté pour une robe orangé. Pas que le choix soit cornélien, vu qu'elle n'avait que peu de robes mais enfiler une robe était pour elle... une véritable épreuve! Que voulez-vous quand on n'a pas l'habitude!

Puis il avait fallu monter sur le cheval... avec la robe... Pas pratique mais alors pas pratique du tout! Toujours est-il qu'elle y était finalement arrivée. Etait-ce pour autant élégant ? Du tout mais qu'importe, elle était finalement arrivée à bon port après avoir laissé Attila solidement attaché à un tronc d'arbre non loin de Saint Himerius... Pas envie de rentrer à pieds la blonde! Elle avait terminé les quelques mètres en courant pour ne pas être en retard.

Il était déjà là et au vu de son visage, pas forcément de bonne humeur. Mine de rien, elle lui prit la main puis l'embrassa sur la joue.

Tu es arrivé depuis longtemps ? Petit sourire... Il râlera peut-être moins comme ça! Et encore pas sûr... Elle enchaina donc rapidement.

On y va ?
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Libellules

Libe arrivais enfin au mariage de son ami , elle regardais autour d'elle et reconnu quelque personne .

Bonjour Maviste , je suis la hihihihhi, comment tu va ? J'espere que je suis po trop en retard ???? Libe était un peux perdue cela fesais un bon moment qu'elle n'était po venue a un mariage .
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Robin

[Toujours sur le Parvis]

L'archer saluait ses amis et ses connaissances qui arrivaient pour le grand jour de Mav' et Pauline et rentraient peu à peu dans la cathédrale .
Souriant en voyant la carriole de la mariée arriver enfin , il descendit à la rencontre de ces occupants. Âpres avoir laisser d'un dernier regard tendre et complice , sa belle emmener le Barbichu vers l'autel .
Robin s’arrêtât un instant contemplant sa filleule resplendissante , elle était superbe et sur que les invités n'auraient d'yeux que pour elle .
Alors doucement il tendit sa main à la jeune femme , en disant :

Pauline ma filleule ,vous êtes d'une grande beauté en ce jour , bien plus encore qu'à l'habitude !!
Nul doutes que c'est le bonheur qui rayonne sur votre visage qui en est la cause .

Petit sourire emplit de tendresse pour la jeune femme en l'aidant à descendre .
Puis Robin lui tendit son bras.

Prête à rejoindre votre futur, Damoiselle !!
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Jeanmerlin

C'est tout ou rien, songeait le Chambellan de Champagne. L'on pouvait passer des mois en sa demeure sans en sortir puis soudainement, les évènements mondains se multipliaient. Quoiqu'il en soit Jeanmerlin ne manquait jamais une occasion d'étrener une nouvelle toque et puis on ne mariait pas tous les jours le chauve le plus chauve mais également le plus mieux de Clermont !

Le Seigneur d'Epernay descendit donc de son carosse, salua la mariée d'une grascieuse révérence, salua le marié avec un sourire enjoué, procéda de même avec le reste de l'assemblée, tout en songeant qu'il ne connaissait plus personne, puis aperçu soudainement la flamboyante rouquine nommée Chpiounette, qu'il alla rejoindre en commentant :

Par Aristote, il y avait des lustres que je n'avais pas assisté au mariage d'un clermontois ! C'est à la fois joyeux et un peu triste, nous ne sommes que si peu nombreux de Clermont !

Paulinedeklervie

Pauline sentait la nervosité la gagner. Si son futur connaissait tout ce beau monde, elle elle ne connaissait pas grand monde, elle souriait et salua, mais sentait ses joues rougir. C'est donc avec un grand soulagement qu'elle vit arriver son parrain.

Elle lui prit le bras reconnaissante, il lui servait de rempart dans ce monde ou elle se sentait un peu isolée.

Elle sourit a ses paroles qui se voulaient rassurantes.

Je crois que.. c'est l'amour que j'ai pour cet homme fort étrange qu'est votre ami qui m'empêche de prendre mes jambes à mon cou et de me sauver. Mais merci pour votre présence mon parrain, sans vous j'aurais crains le pire.

Elle déposa sa main sur son avant bras, la nervosité étant a son comble.

Elle était assailli par toute sortes d'émotions, timidité, émoi, joie, et surtout l'amour, cet amour si fort qu'elle ressentait pour celui qui dans quelques temps deviendrait enfin son époux, devant Aristote et les hommes.

Elle emboita le pas a son parrain, un pas lent, elle sentait le regard des gens sur elle, mais elle avança car devant l'autel elle le voyait lui.. légèrement embrouiller certes par les larmes de joies, mais lui cet homme qui lui avait ouvert son cœur qui avait su au fil du temps prendre tellement de place dans sa vie que chaque regard amoureux qu'il posait sur elle faisait envolé son cœur vers le ciel.. oui en ce jour, encore plus que jamais elle savait qu'elle serait pour toujours présente a ses côtés car nulle part ailleurs son cœur ne désirait être que tout contre le sien.

Oui parrain, je suis prête à le rejoindre...
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Ereon

[sur le parvis]

Ereon arriva devant la grande cathédrale de Reims la grande. Il y avait beaucoup et des tête assez connu grâce à sa fonction ou ses fonctions passé.
Comme quoi, il y avait du bon parfois.

Le jeune Baron s'avança tranquillement et salua le plus de personne possible.
Ereon alla voir Paulinedeklervie qu'il salua et complimenta. Ereon ne voulait pas la déranger plus car elle semblait assez stress

Puis il rentra dans le monument à la gloire du très-haut

[dans la cathédrale ]

Ereon regarda rapidement qu'il pouvait avoir. Il vu Maviste et alla le rejoindre pour le salué

Bonjour mon ami, j’espère que tu vas bien ?

Ereon continuant de regarder autour de lui et ne trouver pas la belle Yunab mais vu sa niece.
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Maltea

Mais bon sang! A t-on idée de vouloir se marier deux fois? Déjà une fois c'est énorme et fou mais deux... et avec la même femme en plus... le suicide assuré! Fallait pas être normal, mais après tout c'était du Maviste... La duchesse ayant déjà participé au premier mariage se décida à se présenter au second. Bon c'est sur, elle trainait les pieds et bougonnait, mais bon on ne changeait pas une Maltea d'un coup de baguette magique, sinon ça aurait déjà été fait! Signe de tête à gauche, signe de tête à droite, fallait bien saluer les personnes présentes sous peine d'être encore taxée de malpolie. En fait elle s'en fichait de ça, mais ca lui permettait d'assouplir sa nuque et aussi de ne pas perdre la main pour dire non de la tête et ce sans se faire passer pour une folle. Et puis elle aurait eu l'air con de saluer de bas en haut les gens, et de toute façon, il était rare qu'elle acquiesce de la tête!
En regardant autour d'elle, elle sourit imperceptiblement. Ses couleurs étaient mises à l'honneur, beaucoup de noir ce qui était loin du lui déplaire. Bon ça n'allait pas à tout le monde, et puis c'était bien connu, la beauté de la blonde duchesse ne pouvait être égalée et encore moins surpassée, mais bon... après s'être signée, la blonde Wagner di Favara avança afin de rejoindre les places reservées aux nobles. Oui d'habitude elle restait dans le fond de l'édifice, mais là, elle avait un prélat à observer, bien plus intéressant que le mariage en lui même, mais ce n'était un secret pour personne le fait que la duchesse répugnait ce genre de cérémonie. Elle avait d'ailleurs fait un effort surhumain afin d'assister au sien. Non décidément, on pouvait bien dire qu'elle appréciait le juge pour se déplacer et deux fois en plus! Ou alors c'était pour parader et ainsi se faire admirer, ça c'était fort possible aussi!
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Polibe

Ah la voila. Hum, très belle mais ça, il se garderait de lui dire. Elle serait capable de penser qu’il se moque d’elle où pire encore, qu’il est des pensées malsaines … dans une Cathédrale, qu’elle idée ! Il lui rendit son baiser sur la joue et lui sourit. Voila, elle avait encore réussit à faire passer la pilule l’air de rien.

Non, je n’attends pas de puis longtemps, ne t’inquiètes pas. J’en ai profité pour saluer les gens.

Il pouffa de rire en s’entendant parler. Une bonne chose de faite, c’est que son mulet qui lui servait de cheval l’avait emmené à bon port sans la foutre par terre. Il glissa ces doigts entre les siens et l’entraina dans la Cathédrale. Il ne manqua pas de saluer les personnes connues, adresser quelques sourires de temps à autre. Il releva le nez en essayant de trouver une place. Pas question de ne retrouver tout devant, horreur.

Bon, tu veux t’installer à côté de qui ? Moi, je m’en fiche, je te laisse choisir et te suis.

Coxynel

Ah ben non, il n'avait pas râler! Finalement la méthode douce était moins drôle mais fonctionnait bien... Elle haussa les épaules pour chasser cette idée en le suivant dans la nef de l'église. Cette dernière était déjà bien remplie. Beaucoup de visages connus! Elle adressa un grand sourire à Chpiot, Robin, Tutia, Tayla, Clapton, Ereon mais aussi Légo qui se trouvait non loin de l'entrée... Signe de tête aux autres personnes pour les saluer.

Dans le choeur de l'Eglise, se trouvait le futur marié. Très élégant mais un brin angoissé à ce qu'il lui semblait. Coxynel lui fit un petit signe de la main agrémenté d'un sourire comme pour le soutenir psychologiquement! Sa future épouse le rejoignait, toute de bleu vêtue... Ils étaient magnifiques tous deux. Un très beau couple! Et la cérémonie risquait d'être riche en émotions.

Ils progressaient doucement dans la nef lorsqu'il lui demanda où elle voulait se mettre.

Là...

Sans réfléchir, elle rejoignit Hersent en entraînant son blond à sa suite. Une promesse était une promesse! Tenant toujours la main de Polibe, Coxynel prit place à côté de la Louve en lui souriant. Elle adressa également à Kelso un petit signe de tête.

Bonjour Hersent. Tu vas bien ? lui murmura-t-elle
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Tutia...

Tutia était plus ou moins au milieu de l'Eglise aussi n'avait elle pas vue les autres arrivées, qu'en tournant la tête en entendant des bruits de mouvements. Elle alla salué Hersent, Kelso, Légolas, Coxynel, Polibe, Ereon, Tayla, Clapton et Libellules qu'elle avait croisé lors de son périple vers la Chamapgne, ainsi que les autres personnes qu'elle ne connaissait pas.

Puis revint s'asseoir. A ce moment la mariée faisait son entrée. Elle était radieuse, l'amour sûrement ... Aussi la brunette sourit, les moments heureux étaient rares, aussi fallait il en profiter que se doit directement ou pas le procuration.
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Yut

Citation:

A l’Universalité des Fidèles,
Au duc et aux autorités du duché de Guyenne,
Aux Guyennais et Guyennaises,

A l’heure où le duché de Guyenne est sur le point de se choisir un nouveau dirigeant via des élections organisées à travers l’ensemble de son territoire, nous avons souhaité apporter tout notre soutient au duc et aux autorités du duché de Guyenne dans la situation précaire qui est la leur face à la candidature de plusieurs personnes indésirables à la charge d’administrateur du duché.

Les comtés et provinces avoisinantes, soutenues par l’Église Aristotélicienne et Romaine, ensemble, se joignent pour insuffler tout le courage nécessaire aux autorités et au duc afin que ceux-ci prennent une position claire et les mesures adéquates quant à l’inéligibilité de brigands et hérétiques notoires, dans le respect de la loi et des accords passés.

Il est primordial de préserver l’équilibre atteint par le duché de Guyenne en chassant et en annihilant toute forme de vilenie coulant dans les veines des cités aquitaines et menaçant sans cesse et à chaque élection le duché de sombrer à nouveau dans l’anarchie et le désarroi. Encore tout récemment, le comté de Toulouse servait d’exemple et montrait à la face du monde les réelles ambitions et projets de ces groupuscules sans foi ni loi.

Plus qu’un devoir, c’est un désir instinctif qui anime chacun des signataires, aucun d’eux ne souhaitant voir une province qui lui est voisine devenir le repère de personnes vils et sournoises qui apporteraient sans aucun doute le trouble et la discorde.

C’est de toute notre âme et d’une seule voix que nous supplions, implorons et admonestons les autorités du duché de Guyenne, et le duc lui-même, de réagir promptement et efficacement contre les futurs troubles qui s’annoncent. Car en tant que gouverneur de la province de Guyenne, c’est un devoir pour lui que de protéger les populations contre l’oppresseur, le chaos et l’hérésie. C’est unis derrière lui que l’Église et les comtés circonvoisins le soutienne.

Donné le mercredi 18 mai 1459.

Pour la Nonciature Apostolique,
Son Éminence le Vicomte Aaron de Nagan,
Cardinal-Chancelier de la Congrégation des Affaires du Siècle.

Pour l’Église de France,
Son Éminence Cyril Kad cardinal d'Azayes, Vice-Primat de France.

Pour le Comté de Périgord-Angoumois,
Sa Grandeur Brygh-Ailean McFadyen, Comtesse du Périgord Angoumois.

Pour le Duché de Gascogne,
Sa Grâce Kassandra du Champ Frisé Von Wittelsbach, Duchesse de Gascogne.

Pour le Comté de Rouergue,
Sa Grandeur Alexandre de Demessy, Comte du Rouergue.

Pour le Comté du Béarn,
Sa Grandeur Yolaine de Nay, Comtesse du Béarn.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Maviste

Etant concentré sur un moment de recueillement propice en ses lieux, le futur époux n'avait pas entendu les lourdes portes s'ouvrir.Commençant à trouver le temps long, et stressant comme à son habitude, il se retourna
et fut pris d'une surprise à nulle autre pareille..Diantre autant de monde dans les travées de cette cathédrale..Voyant chacun de ses amis, car d'amis il s'agissait, il les salua tous amicalement d'un regard et d'un salut de la main..En étant aussi concentré sur ses prières, il en avait complètement omis le monde qui l'entourait.

Puis portant son regard vers la lumière transperçant l'obscurité ambiante du lieu , il vit entrer son ange...Etait ce le moment tant attendu?
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Marco_castello

Citation:

Villa San Loyats recrute traducteurs

MOI!, Monseigneur Marco Amedeo Maria Castello de la Belletière Belleville , Magnifique Recteur de l'Ordre Thomiste, Préfet Romain de la Villa San Loyats, Eveque ipse facto,devant le Très-Haut et sous les yeux de Christos et sous l'Inspiration d'Aristote

se présenter à la place de la Villa San Loyats

Ad Majorem Dei Gloriam

Ecrit à Rome, XVII Mai, l'année de grâce MCDLVIX

Pour la Congregation pour Diffusion de la Foi,
Sa Magnificence Marco Amedeo Maria Castello
Préfet Romain,Eveque Ipse Facto
Magnifique Recteur de l'Ordre Thomiste

Yut

Le Prélat se demandais quand est-ce qu'on pouvait commencer... C'était long pour rien. Il se dirigea vers Maviste.

Peut-on commencer? Tous les invités sont là?
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Grosdan

Grosdan qui avait les idées brouillées par le départ de sa femme à la guerre, il avait complètement oublié le mariage de son grand ami. Soudain, il alluma.

Ahh non ! J'ai complètement oublié le mariage de Maviste.

Pris de panique, il demanda un cheval au village, alla chercher son plus bel habit et enfoucha l'animal, galoppant comme il ne l'avait jamais fait. Ce fût très certainement le déplacement le plus rapide Compiègne-Reims de toute l'histoire de la Champagne car pour rien au monde il aurait voulu manqué cet événement si important.

Arrivé au pied de la cathédrale,Grosdan s'empressa de monter les marches, quatres par quatres, il ouvrit la très grande porte qui grinça pour que tous l'entendre. Il salua de la main, Maviste et Pauline qui étaitent entrain de discuter avec le Prélat et alla s'assoir au fond sans faire de bruit.

Paulinedeklervie

Pauline était à coté de Maviste..

Le regard ému, elle sourit à son parrain qui lui prit la main pour la remettre sur celle de Maviste.

Elle lève sur son futur un époux un regard troublée. Elle presse doucement sa main comme pour se rattacher a lui. Elle tourna la tête et regarda monseigneur Yut.

Elle se concentra malgré les battements fous de son coeur, un mariage est un engagement et elle savait que Maviste était le seul avec qui elle désirait s'unir pour toujours, et cela elle le savait depuis qu'elle portait des nattes.
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*bombadil*

Citation:

Nomination d'un vicaire paroissial
Père Baztan devient vicaire paroissial de Compiègne

Nous, Thomas d'Azayes, fait Cardinal-Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Annonçons la nomination du Père Batzan à la charge de vicaire paroissial de Compiègne. Il devra donc veiller à la destinée spirituelle de la paroisse. Il pourra procéder aux sacrements et cérémonies telles que définis dans le Droit Canon.
Nous ne pouvons que nous réjouir de son retour, et viendront prochainement avec le plus grand plaisir en la paroisse de Compiègne afin de le réintégrer personnellement dans sa fonction de curé.

Que les paroles d'Aristote nous guide.

Fait à Argonne, le vingtième jour du mois de mai de l’an de Grasce 1459.

Son Eminence Thomas d'Azayes,
Cardinal-Archevêque de Reims.

Maviste

Yut

Citation:

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Chpiot

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Robin

Claptons54

la cérémonie du mariage de maviste avait commencer.claptons assit a cote de son epouse lui prit la main et confessa ses pêchés a voix basses

Citation:

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Dame_calamittix

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Les amis sont des anges silencieux qui nous remettent sur pieds
quand nos ailes ne se rappellent pas comment voler

Legolas.

Ines

Hersent

Tayla

Maviste

La tête basse le regard tourné vers le sol, le chauve dans un esprit de confessions et pensant très fort à tout ceux à qui il avait fait du tort commença à dire d'une voix grave:

Citation:

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Yut

Après que tous aient récité la confession, le Prélat dit:

Maintenant, je vous inviterais à réciter avec moi le Credo.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Grosdan

Paulinedeklervie

Robin

Robin comme les autres laissa sa voix se joindre aux autres :

Je crois en Dieu, le Très-Haut
tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux
hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr

pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à
la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Unie et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

Amen
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Tutia...

La cérémonie commençait, aussi sur invitation du père Yut, Tutia se confessa en murmurant la prière qu’il avait préalablement déclamé.

Je crois en Dieu, le Très-Haut
tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux
hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr

pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à
la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Unie et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

Amen

Puis elle attendit patiemment la suite de la cérémonie.
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Hersent

A la suite de la confession, elle récita, dans un souffle, le credo:

Je crois en Dieu, le Très-Haut
tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux
hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr

pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à
la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Unie et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

Amen

Elle se recueillit en attendant la suite de la cérémonie, l'échange des serments tant attendus.
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Claptons54

a la demande du prélat claptons récita le credo.

e crois en Dieu, le Très-Haut
tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux
hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr

pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à
la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Unie et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

Amen
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Tayla

Puis vint le Crédo...les murmures augmente et chacun récita la prière...

Je crois en Dieu, le Très-Haut
tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux
hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr

pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à
la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Unie et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

Amen

La donzelle glisse sa main dans celle de son époux et écoute la suite de la cérémonie...
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Maviste

Regardant avec bonheur le visage de sa promise, le coeurs épris et le sourire aux lèvres, maviste se mit à réciter le crédo entremêlant ces mots avec ceux de ses amis

Citation:

Je crois en Dieu, le Très-Haut
tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux
hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr

Pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à
la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Unie et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

Amen

L'émotion était à son comble et plus le mariage avancé plus il sentait son coeur battre

Legolas.

C'est en suivant tous les fidèles, que Légolas récite aussi le Credo, toujours en le murmurant.

Je crois en Dieu, le Très-Haut
tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux
hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr

pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à
la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Unie et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

Amen
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Coxynel

La cérémonie débuta et Monseigneur Yut commença par un passage du Livre des Vertus puis les invita à se confesser. Mais qu'avait-elle à confesser la blonde ? Pfff... quelques petites choses comme un pêché d'orgueil... oui mais bon ses nouveaux pinceaux étaient supers pratiques et elle avait fait des progrès! Pêché de gourmandise, elle s'était enfilée une douzaine de sablés sans aucun complexe la veille. Et quelques autres petites choses...

Elle baissa la tête et récita à voix basse et à l'unisson des autres sa confession.

Citation:

Puis vint le moment de réciter le Crédo, ce qu'elle fit en joignant ses mains une fois de plus.

Citation:

Je crois en Dieu, le Très-Haut
tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux
hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr

pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à
la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

AMEN

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Dame_calamittix

Cala enchaina a l'unisson de toutes les voix , après quelques mots du Prélat, le Crédo ...

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Les amis sont des anges silencieux qui nous remettent sur pieds
quand nos ailes ne se rappellent pas comment voler

Chpiot

La cérémonie se poursuivait sans heurt et après avoir confesser ses pechers, la rouquine récita le crédo avec l'ensemble des fidèles réunis en ce jour joyeux.
Joignant les mains par habitude, Chpiot courba l’échine et récita a mi voix les paroles qui rassemblaient chaque personne ici présente au sein de la grande famille aristotélicienne

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos, Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Unie et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

Amen
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Wihlelm

Bry alla afficher venant du Père Tadeus en gargote.

Citation:

La Nonciature Apostolique Romaine recrute

Au nom de Sa Sainteté, le très Saint père Eugène V et du Cardinal Chancelier de la Congrégation des affaires du siècle Aaron, Frère Roger Pronotaire Apostolique relance le recutement de personnel diplomatique religieux dans toutes les régions des RR. Ils auront la charge sous l'autorité du Cardinal Chancelier Aaron et du Conseil Supérieur en coordination avec le personnel de la Nonciature de s'assurer du renforcement des relations diplomatiques et fraternelles ainsi que du suivi des négociations concordataires.

La Nonciature Apostolique, également appelé 'Congrégation des Affaires du Siècle' est destinée à s’assurer des liens et échanges qui unissent les diverses provinces temporelles des Royaumes du monde connu au Saint-Siège. Le siège de la Nonciature Apostolique est le Palais de Saint-Nicolas situé à Rome. Là est décidé la politique étrangère romaine à adopter envers les différentes entités politiques plus ou moins autonomes. La Nonciature s'efforce de travailler dans la "compréhension et la satisfaction mutuelle" afin d'apporter sa modeste contribution à l'essor de la "Pax Christi" dans les Royaumes.

Une importante campagne de recrutement à travers les Royaumes est lançée. Tous les Comtés et Duchés doivent se munir d'un Ambassadeur (laïc) ou d'un Nonce (clerc), réel lien entre l'Eglise Aristotélicienne et le Pouvoir Temporel. La Nonciature recherche actuellement en priorité:
- des Ambassadeurs/Nonces Apostoliques (dans les nonciatures provinciales vacantes) qui est le représentant du Saint-Siège dans une province temporelle des Royaumes.
- des Vice-Ambassadeurs/Prononces Apostolique (quasi toutes les places sont libres) dont le rôle en tant que numéro deux consiste à assister le Nonce ou Ambassadeur de la province et cela de manière aussi efficace que discrète.
- des Ambassadeurs/Nonces Apostoliques bilingues(français et anglais ou toute autre langue présente dans les RR espagnol, bulgare, allemand, ...) pour faire rayonner l'église universellement.

Il est évident que pour le recrutement, préférence sera donnée à ceux ont de solides références ou qui sont des fidèles aristotéliciens de longue date. Nous vous demanderons de founir la preuve de 'parrainage' de dignitaire(s) écclésiastique(s) ainsi que de dignitaire(s) du pouvoir temporel provincial selon le poste envisagé. Motivé, alors n'hésitez pas, vous avez 7 jours pour postuler au sein de la Salle des admissions pour tenter votre chance. Lisez attentivement les formalités sur "Comment postuler à la Nonciature" ainsi que notre Règlement intérieur avant de postuler.

Par la grâce d'Aristote et de Christos, que Foi et Raison nous guident.

Yut

Poursuivons à présent. Nous sommes réunis en ce lieu, comme dit précédemment, pour unir deux êtres sous le lien sacré et inviolable du mariage. Deux personnes qui seront à tout jamais ensemble.

D'un côté nous avons Pauline de Klervie, jeune femme pleine d'entrein et de joie. Elle est une femme pieuse, cela ne fait nul doute.

De l'autre côté, nous avons Maviste, actuellement Juge du Duché, qui a été souvent au Conseil Ducal. Il a toujours mis en avant les intérêts de la Sainte Église.

Aujourd'hui, maintenant qu'ils saiment tous deux depuis quelques temps, nous officialisons cet amour, par le Saint-Sacrement, celui du Mariage.

Il posa son regard sur les deux futurs époux.

Le mariage suppose que les deux époux s'engagent l'un vers l'autre librement et sans contrainte, qu'ils se promettent amour mutuel et respect pour toute la vie, qu'ils accueillent les enfants que Dieu leur donne, et les éduquent selon les écrits d'Aristote et la pensée de Christos. Maviste et Pauline, est-ce bien ainsi que vous voulez vivre dans le mariage ?
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Paulinedeklervie

Pauline sentit Maviste prendre sa main et elle se tourna vers lui, les yeux remplit de ce bonheur et de cet amour que cet homme savait lui donné, peut importe ce qu'il faisait ce qui comptait à ses yeux était qui il était.

C'est avec un voix émue mais assurée que l'on entendit Pauline déclarer;

Maviste, c'est librement et sans contrainte que moi Pauline de Klervie désire devenir devant Aristote, Christos et les hommes ton épousée. Je t'assure de mon amour et de mon respect pour toute la vie. J' accueillerais avec joie les enfants issus de notre union et je les éduquerai selon les saintes écritures.

Pauline avait les yeux embués par les larmes de joie. Elle respira un temps puis serra doucement la main de Maviste.
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Maviste

Ayant écouté avec joie Pauline, maviste la regardant les yeux dans les yeux, rougit en l'entendant déclarer . La main dans la sienne ,frémissant comme jamais; il se mit à son tour à dire:

Pauline, c'est décidé et parfaitement conscient de tout ce que je te dois et devrais dans l'aventure de la vie, que je désire devenir devant l'ensemble de la communauté des hommes, devant Christos et Aristote, ton époux. Pour le meilleure comme pour le pire, je serais tien et jamais , je ne me défierais de cette tâche d'époux et de père de nos enfants.Je les éduquerais à tes côtés selon les sainte écritures

Voilà , c'était chose dite, et des trémolos dans la voix , ému , par le regard de Pauline, Conscient qu'il avait un but nouveau, il se tut attendant de savoir s'il avait dit ce qu'il fallait perclus de doutes. Homme ,il était devenu...il se devait de ne point la décevoir
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--Van

Un homme débarqua en claquant la porte.

Du fond il s'écria d'une vive voix :

Je m'y opppose! Cette femme appartient déjà à quelqu'un!

Maltea

La duchesse qui somnolait sur son banc se réveilla en sursaut...

Hein quoi? Qu'est ce qu'il y a? Le Roy est mort?!

C'est alors qu'elle se rappela être dans une église, en plein mariage, que le Roi avait abdiqué remplacé par une Reine et que le cri qui l'avait réveillé n'était qu'un opposant au mariage... encore un mariolle qui devait s'ennuyer ferme pour agir de la sorte... comme si le prélat n'avait pas fait les vérifications d'usage! Ceci dit ça mettait un peu d'ambiance et la blonde duchesse se retourna pour mettre un visage sur la voix... inconnu au bataillon celui là...

C'est bon mon brave, pas très original, on a déjà fait le coup à mon mariage, enfin mon premier mariage qui n'a jamais abouti d'ailleurs... par contre déclinez nom, âge et profession, c'est pour vérifier votre crédibilité qui pour le moment est proche de zéro...

Petit sourire de la duchesse avant de se retourner et de glisser à l'oreille de son voisin « réveillez moi je vous prie si ça tourne au pugilat, j'adore ça.... »
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Ereon

Ereon avait prit place à côté de Aalanna et écouta le mariage silencieusement très ému pour son ami, quand soudain, un homme entra et proclama quelque chose de bizarre. Ereon avait presque envie de pouffé de rire, mais le moment était mal venu.

Le jeune baron se leva et parla rapidement

Duchesse, le roy ou la reyne n'est pas mort ou morte
Continué la cérémonie, je vais m'occuper de cette personne

Ereon partie donc en direction de cette personne.
A l'approche de cette personne, Ereon sentir une forte odeur d'alcool et regarda l'homme dans les yeux.

Vous êtes ivre, venait avec moi, on va prendre l'air et parler.

Ereon donna un sourit à l'homme puis sorti avec lui.

[vu avec les LJD Maviste et LJD Paulinedeklervie]

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Legolas.

Légolas était en train d’écouter la cérémonie comme toutes les personnes ici présentes. Il est émut d’entendre les mariés, ses amis, faire leur déclaration quand soudain un homme débarque dans le lieu saint pour s’opposer à ce mariage en hurlant. Tiens, en regardant bien cet abruti, le blondinet voit qu’il a bien picolé avant de venir ici. D’ailleurs, le garçon ne l’a pas vu dans la cathédrale depuis le début.

Il est vrai que cet homme pue l’alcool en plein nez et le jeune Elfe, qui se trouve dans le fond, a comme une envie de vomir. C’est que c’est tout de même désagréable. Mais heureusement qu’Ereon s’occupe du gus en l’invitant gentiment à sortir dehors. Légolas remercie intérieurement le Seigneur de Biercy de s’être débarrassé de lui. La cérémonie peut enfin reprendre son cours, en espérant que l’officiant ne tienne pas compte des dires d’un pauvre gars qui n’avait pas toute sa tête.
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Yut

Le Prélat soupira et fit un signe de tête à Ereon. Il saurait s'occuper de cet inopportun

Maintenant, si quelqu'un s'opppose à ce mariage, qu'il parle aujourd'hui ou se taise à jamais.
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Feuilllle

Elle sourit...
Que Monseigneur soit ici même ne l'étonnait point.

Elle était arrivée alors qu'un paltoquet ivre tentait de claquer vainement la lourde double-porte en bois sculpté, entraîné par un homme déterminé à le sortir fermement, quoique sans violence, du Lieu Saint.

C'était un mariage, elle s'installa donc tout au fond de l'église, discrètement afin d'éviter de déranger qui que ce fût.

* Quelle joie de pouvoir enfin prier dans cette cathédrale, d'être arrivés tous sans encombre jusqu'ici, malgré ce vilain contretemps de deux jours en pleine campagne.*

Pensa t-elle profondément heureuse.

Elle savait que le retour serait plus facile, elle savait qu'elle retrouverait avec joie ses amis, à qui qu'elle serait fière de leur présenter une Personne Précieuse, hautement respectable et attendue avec impatience.

Elle sourit encore, en voyant les épousailles en train.
Quoi de plus beau à voir dans une des Demeures Du Très-Haut?

Elle se concentra sur l'office et, sans chasser sa joie interne, ne fut plus que remerciement envers leur Créateur à tous.

... Au dehors, sur le parvis, ses compagnons de voyage l'attendaient calmement en surveillant leurs montures, liées au anneaux d'attache du mur ouest de Lieu Saint.

L'or des Cieux illuminait chacun des toits de la Cité, traversaient les vitraux qui se reflétaient sur le sol impeccablement dallé de la cathédrale, y peignant des images colorées de scènes du Dogme.

...................................................

Elle attendit tranquillement la fin de la cérémonie pour capter le regard de celui qui allait désormais les guider au mieux.
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Oldtimer

Oldtimer arrivait enfin à Compiègne. Quelle équipée. Il vit Feuilllle rentrer dans la cathédrale après avoir attaché son cheval. Il la vit disparaître dans l'édifice.
Il termina les futurs préparatifs de départ et rentra également dans la cathédrale. Il y vit qu'un mariage s'y célébra. Que de souvenirs il se rappela.
Il se signa et se mit au fond en se recueillant et en suivant la cérémonie.
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--Glasnikk

Un homme dormait au fond de la Cathédrale rêvant de choses interdites par l'église. Soudain il entendit

Citation:

Je m'y opppose! Cette femme appartient déjà à quelqu'un!

et se réveilla soupirant d'avoir quitter son rêve de chaire.
Il regarda l'homme avec curiosité avec comme un air de déjà vu, puis observa son escorte vers la sortie.
C'est alors que le curé ou le je sais pas quoi prononça ces paroles :

Yut a écrit:

Maintenant, si quelqu'un s'opppose à ce mariage, qu'il parle aujourd'hui ou se taise à jamais.

D'un bond il se leva et prit la parole :

Waow, waow ,waow ...wait a minute.
Mon nom est Glasnik. Je suis un messager du Royaume-Uni de Croatie et de Hongrie.
Je voudrais juste vous évitez à tous de commettre une erreur regrétable. Certes l'homme semblait avoir bu, mais un homme ivre n'a t'il pas le droit à l'écoute de Dieu? au sein même de sa maison qui plus est. On souhaite tous trouver une solution, mais l'ignorance est-elle la solution? Permettez moi d'en douter, Monseigneur. Avant d'unir cet homme Maviste à cette femme A..Pauline, moi, le Royaume et vous tous ici présent j'en suis certain, aimeraient clarifier la situation. Sur ces considérations, le Royaume aimerait demander à Maviste si ce dernier serait prêt à tout, donnerait sa vie, pour protèger Pauline ...

La parole est au marié.

Il se rassit et écouta.

Yut

Le Prélat sourit lorsqu'il vit Feuilllle arriver, mais son visage changea drastiquement lorsqu'un homme se leva prit la parole. Il le fusilla du regard.

Monsieur, vous croyez que je n'ai pas vérifié la situation des futurs époux avant qu'on publie les bans? Un mariage, ça se prépare, ce n'est pas fait en l'air. Si vous remettez en doute les compétence d'un honorable Prélat, alors vous êtes tombé bien bas. Je suis le représentant de Dieu ici. Maviste ne répondera pas à votre question stupide, il a déjà affirmé que pour le meilleur et pour le pire, il serait sien, à jamais. Ce n'est pas suffisant? Pour moi oui! Donc asseyez vous et taisez-vous pour le reste de la cérémonie.

Le Prélat fit un signe de tête aux futurs mariés, c'était à leur tour.

Maviste: Pauline veux-tu être ma femme ?
Pauline : Oui, je le veux et toi Maviste veux-tu être mon mari ?
Maviste : Oui, je le veux. Moi, Maviste, je te reçois comme épouse et je serai ton époux. Je promets de t'aimer fidèlement dans le bonheur et dans les épreuves tout au long de notre vie.
Pauline : Moi, Pauline, je te reçois comme époux et je serais ton épouse. Je promets de t'aimer fidèlement dans le bonheur et dans les épreuves tout au long de notre vie.

Puis, l'Évêque reprit.

Il est maintenant temps d'échanger les alliances.
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Paulinedeklervie

Pauline était perturbée par toutes ses intrusions dans la cérémonie. On le serait à moins.

Celui qu'elle aimait qui prenait sa main afin d'y passer les alliances était bousculé et on osait même lui demander si il était prêt a tout pour elle.

Elle le regarda amoureusement, elle savait que cet homme hors du commun, son époux avait déjà tout fait tout fait pour elle, il avait dit a ses amis qu'il préférait mourir que de lui causer du tord.

Ce que peu d'entre eux savaient par contre, c'est que Pauline, aurait elle même donné sa vie pour lui, il était tout; son air, la couleur du ciel, c'était avec lui qu'elle voulait vivre pour toujours et jamais elle ne supporterait que l'on fasse du tord à celui qu'elle aimait par dessus. Pour lui elle ne pourrait pas tuer cela n'était pas dans sa nature, mais pour lui elle pourrait se battre oui!

Voila ce que Monseigneur Yut avait senti chez eux, un lien plus fort que tout, qui résistait aux tempêtes, la preuve en était faite, ici même.

Elle était la première à passer une alliance au doigt de Maviste, elle plongea son regard dans le sien, oubliant tout autour d'eux. Elle glissa l'alliance, celle que Robin lui avait tendu en souriant, au doigt de son aimé, et lui dit:

Maviste par cette alliance je deviens ton épouse, celle qui sera là pour toi, dans la joie comme les peines, pour toujours à tes cotés, que cette alliance soit le symbole de mon amour pour toi, qu'a ton doigt elle reste tant et aussi longtemps que nous vivrons et te rappel l'amour que j'ai pour toi, un don de dieu.

Elle lui sourit au travers les larmes de joies qui coulaient sur visage. Son cœur, elle le savait battait maintenant au rythme de celui de son époux.
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Maviste

Etant absorbé par le regard éperdu et les larmes de Pauline, Maviste n'avait qu'une seule peur ; celle de ne pas être suffisamment digne de son amour.Il l'aimait follement , jamais il n'avait eu envie d'être autant à elle et avec elle.

Tout cela le rassurait.Visiblement c'était le moment tant attendu , celle où l'émotion était à son paroxysme.Celle où à jamais il serait à elle et avec elle.

La regardant, d'un regard épris , prenant une respiration pour se donner le courage de la chose, tant celle ci devenait importante à ses yeux, il dit alors d'une voix assurée et posée ,en prenant l'alliance tendue par son amie Chpiot, qui elle même semblait émue :

" Pauline par cette alliance, je deviens ton époux. Qu'elle te rappelle au quotidien que sur le chemin de nos vies, nous serons ensembles.Que l'amour qu'il symbolise à mes yeux pour toi , sera là pour t'accompagner dans les épreuves comme dans les joies.Le tout puissant m'a donné cette chance d'être tien, ce que je serais en toute circonstance"

Emu par ce moment, le chauve sentait son coeur s'affoler, et le monde autour de lui chanceler.Jamais il n'avait ressenti autant de sentiments pour celle qu'il avait appris à apprécier depuis sa tendre enfance.Elle était devenu une femme mais pas n'importe laquelle..sa femme.Celle avait qui il allait poursuivre l'aventure de la vie
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Yut

Le Prélat sourit. Quoi de mieux que de célébrer un mariage pour lui? C'était tellement beau, tellement pure.

Maviste, Pauline, vous êtes à présent mari et femme.

Il posa son regard sur Maviste.

Embrassez la mariée.
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Chpiot

Exaspérée par les personnes mal intentionnées qui s'appliquaient a mettre des bâtons dans les roues, la rouquine laissa échapper un petit soupire et secoua la tête. Pourquoi diable les gens prenaient un malin plaisir a vouloir gâcher la vie des autres ? Ce devait être une espèce de coutume tacite.

Toutefois, personne dans le chœur de l'édifice ne se laissa démonter et la cérémonie pu continuer son court.
Au moment convenu, la rouquine tendit au chauve l'alliance qu'il lui avait confié un peu plus tôt.
Le petit cercle de métal scintillait au creux de sa main et Chpiot esquissa un sourire en posant le regard sur l'anneau qui ornait sa propre main.

Elle leva les yeux vers Pauline et Robin, au moment ou Maviste glissait l'alliance a la main de sa belle, sa femme même puisque le prélat déclamait qu'il pouvait désormais embrasser la mariée.
Son sourire s’étira un peu plus encore. Qu'ils étaient beaux tous les deux, il émanait d'eux un sentiment d'amour et de complicité. Elle était heureuse et fière d'avoir pu assister a une place privilégiée à ce beau mariage.
Posant une main dans le dos de Maviste, elle leur chuchota
"Toutes mes félicitations les Zamoureux ! Longue vie à vous .."
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Wihlelm

Bry regardait la scène, attendant la déclaration de Monseigneur Yut. En l'entendant, un frisson le parcourut, lui rappelant que jamais il n'aurait cela sans aucun doute. Chassant des pensées s'annonçant négatives, il prit un sourire de circonstance et regarda Mavou afin de lui montrer sa joie pour lui.

Hersent

Voilà, les alliances avaient été échangées et les promis étaient devenus mari et femme devant Aristote. Elle essuya discrètement une petite larme: les mariages lui faisaient toujours cet effet surtout si par-dessus le marché il y avait un olibrius à venir gâcher la cérémonie en tenant des propos très déplacés.
Elle se pencha vers Coxynel et lui murmura:

Comme ils sont beaux de bonheur tous les deux! C'est merveilleux de les voir en complète harmonie, illuminés de joie et d'amour.
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Feuilllle

Elle ne les connaissait pas... Pourtant elle les observait avec émotion...
Cette cérémonie lui en rappelait une autre, puis une autre, puis tant d'autres...

Profondément sereine, elle sut qu'elle garderait en mémoire pour toujours ces deux êtres-là, Maviste et Pauline, simplement car ils représenteraient pour elle un nouveau départ, alors qu'eux-mêmes en débutaient un aussi, fait de concessions, de surprises et de joies, d'accompagnements divers et de peines, de bonheur surtout elle leur souhaitait.

Elle ne put s’empêcher de leur faire un cadeau, un simple petit grimoire rien que pour eux...

Elle chuchota à une damoiselle qui paraissait heureuse de leurs épousailles et de leur bonheur, et s'en approcha :

"- Damoiselle, je crois vous avoir entendu vous appeler Dame Hersent par un des habitants du coin, puis-je vous demander de faire parvenir aux heureux mariés ces deux prières?
Je dois repartir vous savez et je ne les connais point..
Mais ils me touchent...
C'est un petit cadeau pour eux deux."

............................................................

Puis, avant que la damoiselle ne fut revenue de sa surprise, elle avait déposé au creux de ses mains un livre enluminé, et s'en fut silencieusement mais rapidement, souriante, son regard de noisette pas mûre brillant, vers le parvis et sa monture, après lui avoir serré la main chaleureusement pour la remercier...
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Hersent

Citation:

"- Damoiselle, je crois vous avoir entendu vous appeler Dame Hersent par un des habitants du coin, puis-je vous demander de faire parvenir aux heureux mariés ces deux prières?
Je dois repartir vous savez et je ne les connais point..
Mais ils me touchent...
C'est un petit cadeau pour eux deux."

Une jeune femme lui demandait de déposer, de sa part, un présent pour Maviste et Pauline. Elle fut d'abord étonnée puis touchée par la bonté qui se dégageait de cette dernière. Elle sentit qu'on lui glissait dans la main un petit parchemin.

Ohhh! Je n'y manquerais point, Damoiselle. Quel est votre nom pour que je leur dise de qui le présent vient? Votre geste est très touchant et je suis certaine qu'il ira droit à leur coeur.
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Feuilllle

"- Je suis Feuilllle, simplement.
Que Le Très-Haut vous ait en Sa Sainte Garde Damoiselle Hersent."
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Claptons54

la ceremonie continuait apres un petit incident ils venaient de dire oui ils étaient maries pour le meilleur et pour le pire .claptons regardaient les maries leurs yeux etaient remplis de bonheur il s avança vers eux les felicitas et leur souhaitas tout leur voeux de bonheur pour cette occasion
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Robin

Robin essuya une larme au coin de son œil ,une poussière sans doute .. ou bien était ce , le stress qui redescendait d'avoir entendu, un inconnu mettre en péril , le mariage de ses amis .
Ou simplement l'instant qui se voulait beau et magique , de voir ses proches s'unir devant le très haut et tout leurs amis .
Il avait regardé l’échange des alliances ,touchant avec tendresse , après avoir tendu le cercle de métal à sa filleule , la broche qui ornait sa chemise blanche .
Lui aussi un jours... il en rêvait de ce moment , mais celui ci semblait si inaccessible pour l'instant .
Alors il sourit en reagardant Chipie félicité les jeunes marié et âpres que son Excellence , les déclara mari et femme .
Robin se pencha légèrement et leur dit :

Soyez heureux vous deux , puisse le très haut vous donner , la grande famille que vous souhaitez !
Tout mes vœux de bonheur !!
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Paulinedeklervie

Pauline avait sentit le tendre baiser de Maviste, celui qui scellait leur union devant Dieu et les hommes. Son coeur avait explosé de joie. Un long regard entre eux, elle pouvait sentir sa joie et son amour, elle était la femme la plus heureuse auprès de cet homme.

Les félicitations fusaient. Elle serait le bras de son époux heureuse et remerciait. Elle était tellement émue son coeur battait si vite qu'elle se sentait ailleurs, la présence rassurante de son époux la calmait.

Elle souriait tout en essuyant ses larmes.

Elle se tourna vers monseigneur Yut, lui offrit un large sourire et un regard de reconnaissance. Merci de tout coeur.

Puis messire Clapton vint les félicités et elle le remercia en souriant.

Elle leva les yeux et offrit un large un sourire à son parrain et spontanément lui bisa la joue Merci d'être la et elle lui murmura tout bas, moi aussi je serai émue quand.. et elle glissa un sourire de lui a sa marraine.

Puis Pauline alla embrasser a son tour son éblouissante marraine.
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Tayla

La cérémonie avait débuté quand un malandrin ce cru malin en intervenant. Celui-ci fut vite maitrisé et la cérémonie pu reprendre.
La donzelle suivait ému la cérémonie et applaudie à la fin de celle-ci.
Tayla emboite le pas à Claptons pour aller féliciter les jeunes mariées.
Félicitation a vous deux, que la joie, le bonheur et la santé soit de votre foyer.
La donzelle laissa la place aux autre invité et rejoignit son aimé…
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Paulinedeklervie

Pauline sourit et appréciait les félicitions..

Elle remercia chaleureusement Tayla qui elle aussi pouvait comprendre et partagé la joie d'être une épouse

Merci de tout cœur.
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Legolas.

Les mariés s’étaient enfin échangés les alliances, symbole de leur union devant Dieu et les Hommes. Légolas est très heureux pour Maviste mais aussi pour Pauline. Le blondinet se rappelle qu’il s’était trouvé lui aussi devant l’autel dans l’église d’Argonne mais la fin n’avait pas été aussi heureuse que celle des deux Airainois. C’est en fermant les yeux et en secouant la tête qu’il chasse vite ce mauvais souvenir.

Quoi qu’il en soit, le mariage est le plus beau jour de la vie pour deux Etres qui s’unissent. Comme tous les invités, l’adolescent s’avance vers les heureux mariés.

« Tous mes vœux de bonheur à tous les deux. Longue vie à vous », et leur sourit.

[Mode humour ON]
Légolas écoute la musique tout ému et sort un mouchoir pour essuyer les quelques larmes qui coulent sur ses joues puis finit par se moucher fortement le nez, d'où on a l'impression d'entendre un coup de clairon^^.
[Mode humour OFF]
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Maviste

Maviste remercia un à un tous ses amis d'être venu .C'était joyeux et heureux de tous les voir, qu'il continuait à les saluer. Une tape amicale pour son Légo, une accolade avec robin pour lui murmurer à l'oreille "un jour tu verras ,je serais là", une bise à tayla et à claptons pour les remercier d'avoir pu faire l'effort d'être venu, et un grand merci à monseigneur Yut , pour sa présence et son dévouement et la tristesse qu'il avait de le voir voguer vers d'autres cieux.
Près de Pauline , le regard perdu sur sa petite brune, le sourire aux lèvres pour ce jour de bonheur, maviste se sentait tous simplement bien et heureux et attendait avec sérénité.
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Hersent

Maviste et Pauline étaient unis devant le Très Haut et devant les hommes, pour le meilleur (et le pire qui ne pourrait être de mise pour ces deux êtres si bien assortis). Elle se leva pour venir les féliciter et surtout pour leur remettre le grimoire si joliment ouvragé de dame Feuilllle. Elle avait promis de le faire et elle tenait toujours ses promesses.
Elle passa devant Coxynel et Polibe puis se dirigea vers le nouveau couple.

Pauline, Maviste, je vous souhaite tout le bonheur du monde, que ce soit dans la joie ou dans l'adversité votre amour sera toujours là pour vous soutenir et vous guider, j'en suis sûre.
Tenez, une dame inconnue m'a chargée de vous remettre ce présent. Elle ne vous connaît pas mais vous l'avez émue au plus haut point. Elle tenait à vous faire ce présent et vous faire part de tous ses voeux de bonheur. Elle m'a dit qu'elle s'appelait Feuilllle.

Elle tendit le grimoire ouvragé aux jeunes mariés:

Longue vie à vous deux et toutes mes félicitations!

Elle recula pour laisser les invités exprimer leur joie devant le bonheur des jeunes mariés.
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Paulinedeklervie

Pauline remercia chaleureusement dame Hersent, puis surprise accepta le cadeau de dame feuille. Pauline accepta le petit grimoire, une travail d'une rare beauté, elle en fut touchée.

Merci pour vos paroles dame Hersent, j'en connais leur valeur.

Elle regarda Maviste tendrement, une carriole les attendaient sur le parvis tiré par le vieil Alfred. Ils partaient, Maviste lui avait promis un voyage de noces, peut importait où ils iraient Pauline savait qu'elle le suivrait maintenant et toujours, car il était du devoir d'une épouse de suivre son époux, elle sourit doucement en regardant Maviste se disant que le mot devoir n'avait jamais semblé si doux à son oreille.

Elle était déçue qu'il n'y ait pas de réception, mais les félicitations des amis et de Maviste lui réchauffait le coeur. Certes elle avait pris époux, mais elle sentait aussi que maintenant elle avait trouvé une famille.
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Lylla

Le teint pâle, les yeux cernés de mauve et la démarche raide, chaque pas tiraillant la plaie qu'elle portait au flanc, la blonde avait malgré la belle journée revêtue sur sa parure dont la simplicité ne gâchait point l'élégance, une cape qui si légère qu'elle soit, présenté l'avantage d'une ample capuche qui une fois rabattue sur ses mèches sagement disciplinées, dissimulée parfaitement son minois.

Certes elle se savait particulièrement en retard, mais elle avait tant et tant hésité avant de se décider qu'à ce rythme la cérémonie serait finie quand elle arriverait à la cathédrale !
Son pieds se posait d'ailleurs sur la première marche quand la blondeur du démon troyen se présenta devant les portes, si son regard était clair l'air sombre qu'il posa sur l'homme titubant qui l'accompagnait ne présageait rien de bon lui. Baissant la tête afin qu'il ne la reconnaisse pas, elle se hâta de prendre place au fin fond de l'édifice, se fondant entre colonnes et statues tel un caméléon.

Les mariés aller échanger leurs voeux.... Si la joie de voir son ami épouser enfin la femme de sa vie lui réchauffait le coeur, c'est non sans un pincement douloureux. Grrr pourquoi était elle venue ? Pourquoi vouloir tenir une promesse qui lui faisait mal ? Les mariages.... Elle en était venue à détester ces offices ! Et dire qu'une idiote avait osé lui dire qu'elle avait une vie parfaite et tout ce qu'elle pouvait désirer !
Quelle cruche, ou plutôt quelle hypocrite fallait il être pour justifier ses propres exactions par l'image illusoire que l'on pouvait avoir des autres.
C'est ce qui s'appelait égoïsme et égocentrisme.

Le regard embué se posa sur le couple pour qui allait s'ouvrir une vie qu'elle leur souhaitait riche, douce et emplie de bonheur, cela seul devait compter en ce jour si particulier. Tirant un carré de baptiste de sa bourse, Lylla essuya ses joues quand le prête scella l'avenir de Pauline et Maviste... Plus rien désormais ne pourrait les séparer. C'était ça le bonheur... L'amour se lisait sur leurs visages épanouis... Et cela suffit à arracher un sourire à la jeune femme.

Fermant les yeux alors que les invités s'avançaient les uns après les autres pour féliciter les nouveaux mariés, Lylla croisa ses doigts, ferma ses paupières et avec une intensité rare pria pour les deux jeunes gens, implorant le ciel de les protéger et de leur donner dans l'amour le bonheur d'une vie riche de promesses. Puis rajustant sa capuche, la blonde croisa durant un quart de seconde le regard de Maviste. Lui seul savait combien elle détestait ces cérémonies et lui seul sut ce jour la qu'elle avait tenait la promesse qu'elle lui avait faite avant qu'elle ne disparaisse aussi discrètement qu'elle était venue.
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Tutia...

Malgré les interventions intempestives de certains inconnus qui n’avaient même pas le courage de se présenter, Maviste et Pauline furent enfin unis devant le Très-Haut. Se levant à la suite des autres, elle alla féliciter les mariés.

- Bravo à vous deux, c’était une belle cérémonie malgré les quelques incidents, je vous souhaite à tous deux tous mes vœux de bonheur …

Puis elle laissa les autres invités félicité les jeunes mariés.
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Atelier : cliquez sur la bannière ; Confrérie : http://silmarien.forumactif.net/

Yut

Le Prélat toussota bruyamment. Non mais... La cérémonie n'était pas terminée.

Amis, venez communiez.

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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Claptons54

claptons alla de se pas communier
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Yut

Maintenant, je demanderais aux témoins de venir signer le registre.
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

Paulinedeklervie

Pauline alla communier, pour la première fois c'est en tant qu'épouse du sieur Maviste qu'elle posait ce geste.

Elle se recueilli un moment, laissant sa joie se transformer en prière pour tous ceux qui étaient venus, tous ceux qui étaient présents en ce moment si important dans sa vie, celui ou enfin elle était unie a celui qu'elle aimait.Elle en profita pour remercier Christos et Aristote pour leurs bienveillances à leur égards, et pour toutes les joies à venir.

Elle se releva et regarda Robin et Chpiot aller signer les registres. Elle tourna la tête et sourit amoureusement a Maviste les yeux brillants.

Elle avait vu la grande dame blonde saluer Maviste, avec élégance, elle lui demanderait plus tard qui était cette dame.

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Yut

L'Évêque se tourna vers les deux nouveaux mariés.

Mes félicitations à vous!
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »

{Russel}

[Petit nettoyage de la dernière intenvention du PNJ et des propos Hrp de Ljd Maltea.]

{Russel}

*bombadil*

Citation:

Suppléance et confirmation de Nanuccio
au poste de vicaire diocésain de Beauvais

Nous, Henri-Phillipe de Riveroy dict Thalor, fait Évêque de Beauvais, devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote,

Nanuccio

Vicaire diocésain de Beauvais

+ Je prie pour vous
Rédigé à Bertincourt le 24 mai de l’an de grâce 1459

*bombadil*

Citation:

Nomination d'un vicaire paroissial
Père Belius devient vicaire paroissial d'Argonne

Nous, Thomas d'Azayes, fait Cardinal-Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Annonçons la nomination du Père Belius de la charge de vicaire paroissial d'Argonne, à la suite de son ordination intervenue ce jour. Il devra donc veiller à la destinée spirituelle de la paroisse au côtés de Mère Calicee. Il pourra procéder aux sacrements et cérémonies telles que définis dans le Droit Canon.

Que les paroles d'Aristote nous guide.

Fait à Argonne, le vingt-huitième jour du mois de mai de l’an de Grasce 1459.

Son Eminence Thomas d'Azayes,
Cardinal-Archevêque de Reims.

Robin

Il avait signé le registre apres avoir communier en compagnie de Chpiot ,prenant la plume dans la main de la jeune femme , frôlant avec douceur ses doigts puis avait apposé sa signature près de la sienne , garante de leur devoir de rappel aux nouveau mariés .
Ils les aideraient du mieux qu'ils le pourraient afin que perdure leurs vœux devant le très haut et tout leur amis , pour qu'ils restent un couple à jamais .
Souriant à sa complice en se serrant un peu plus près d'elle , Robin se tourna une fois encore vers le couple , posant un regard bienveillant et chaleureux sur eux .
Et déjà les amis venaient leur souhaiter tout le bonheur du monde, se pressant près d'eux pour les congratuler .
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Chpiot

Elle était des plus émue à l'issue de la cérémonie. Son chouchou allait désormais devoir agir en bon père de famille. L'expression la fit sourire. C'est ainsi qu'on appelait les devoirs de l'époux, quand bien même aucune progéniture ne soit en cour de formation... pourtant, c’était tellement significatif.
Il lui faudrait prendre soin de leur filleule, tout comme elle, en épouse attentionnée veillera au bien être du chauve. C’était cela être un couple uni.

Après avoir communié, Chpiot se rendit derrière l'autel afin de signer les registres. Attrapant la plume blanche, elle en trempa la pointe dasn l'encrier et s'assura qu'il n'y avait pas de goutte traitresse, qui la connaissant, aurait terminé sa course en s’écrasant au beau milieu du document...
Elle signa de sa plus belle écriture et passa la plume a Robin en lui souriant.

Elle avait eu du flaire de féliciter les époux juste après que le prélat ait annoncé qu'ils étaient désormais unis par les liens du mariage. La foule des amis et connaissances se pressait autour du couple, chacun voulait y aller de son petit commentaire, quoi de plus normal. C’était un grand jour, c’était un jour heureux !
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*bombadil*

Citation:

Nomination d'un curé
Père Baztan devient curé de Compiègne

Nous, Thomas d'Azayes, fait Cardinal-Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Annonçons la nomination du Père Baztan de la charge de curé de Compiègne. Il devra donc veiller, comme il le fit par le passé, à la destinée spirituelle de la paroisse. Il pourra procéder aux sacrements et cérémonies telles que définis dans le Droit Canon.
Nous ne pouvons que nous réjouir de son retour, et nous espérons que les fidèles de Compiègne ne manqueront pas de célébrer cet évènement.

Que les paroles d'Aristote nous guide.

Fait à Compiègne, le deuxième jour du mois de juin de l’an de Grasce 1459.

Son Eminence Thomas d'Azayes,
Cardinal-Archevêque de Reims.

Nono18

Citation:

Oeuvres de charité pour l'Archidiocèse de Reims
Ou comment mettre en pratique l'Amitié Aristotélicienne

Moi, Nono18, en tant que responsable du Trésor du diocèse de Reims :

Annonce que le Diocèse de Reims ouvre ses œuvres de charité ce jour. Les fidèles de passage dans leur église pourront effectuer des dons au travers de l'achat de miches de pain (déposé par le prêtre de la paroisse) dont le prix est actuellement fixé à 11.95 écus ; soit un don d'environ six écus. Les dons, ainsi que les généreux donateurs seront recensés dans un registre tenu par moi-même.

Ces dons serviront à financer des projets de charité et assurer le bon fonctionnement des institutions du diocèse. Un projet de vente de pain à bas prix, en partenariat avec les mairies du Duché sera mis en place,

Je tiens à remercier toutes les mairies ainsi que le duché de Champagne, pour leur collaboration dans cette entreprise. Nous ne manquerons pas de travailler avec eux, et de leur tenir au courant de l'avancement de nos projets. Nous tenons également à remercier par avance tous les donateurs, qui permettront de donner vie à ce projet, et de mettre en pratique l'Amitié Aristotélicienne.

Je me tiens, tout comme le clergé local, à la disposition des fidèles pour répondre à toutes questions.

Que les paroles d'Aristote nous guident.

Fait à Sainte-Ménéhould, le quatorze jour de Juin de l’an de Grasce 1459.

Nono18,
Responsable du Trésor du diocèse de Reims
Curé de Sainte Ménéhould

Guy_de_dampierre

En passant par la Champagne, Guy fit ce qu'il faisait dans toutes les églises rencontrées sur sa route: il récitait le credo. Et la cathédrale Saint-Himerius ne faisait pas exception...

Credo in Deum,
Altissimum Omnipotentem,
Creatorem caeli et terrae,
Inferos et paradisi,
Ultima hora animae judicem nostrae

Et in Aristotelem, prophetam,
Nicomaqui Phaestique filium,
Missum ut sapientiam et universi
Divas leges errantibus hominibus erudiret

Credo etiam in Christum,
Natum ex Maria et Ioseph,
Vitam dedit ut nobis paradisi viam monstraret
Sic, postquam sub Pontio passus est
Propter salutem
Nostram martyr perivit
Consecutus est Solem
Ubi Aristoteles ad Altissimi dexteram eum expectabat

Credo in Divinam Actionem,
Sanctam Ecclesiam aristotelicianam, romanam, unam et indivisibilem
Sanctorum communionem,
Peccatorum remissionem,
Carnis resurrectionem
Vitam aeternam.

AMEN
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Armaury_de_thenac

Il entra dans la Cathédrale, lui qui n'y avais mis les pieds qu'une seule fois et priez le plus souvent dans l’église de Compiègne entra donc en priant.

Il s'assit, sorti son livre des prières et lu la liturgie qui lui venait de la famille de sa mère et qui daté de 1246; tout en étant ému par la foi et pensant à ses amis morts ou blessés contre les hérétiques.

Ensuite, il se leva avancé vers l'autel fit encore son signe de crois et alluma un cierge pour sa prière, il penser a cette heure à la Reyne de France qui l'avait aperçut et qui lui avait paru digne de porter ce titre, après tout, elle avait été victime d'un traquenard, sans doute organisé par des bandits au service d'hommes cupides et avides de pouvoir.
La bassesse l'avait une nouvelle fois de plus emporté sur la raison et la vertu, tout ce qu'il aimait et arboré en ce monde s'eteigner peu à peu. Peut être le Royaume de France courrait t'il à sa perte.
En y pensant une larme coula sur sa joue, tout en gardant la main sur le pommeau de l'épée de son père.

Puis il reparti et sorti de la Cathédrale.
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*bombadil*

HRP : Vidéo de présentation
Adresse du couvent : http://ordrelescurien-rr.goodbb.net/.

*bombadil*

Citation:

Recrutement de l'archevêché de Reims
Recrutement de juillet 1459

Nous, Thomas d'Azayes, fait Cardinal-Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Annonçons que pour assurer un bon fonctionnement de l'archidiocèse de Reims, les postes suivants sont à pourvoir. Ils sont ouverts à tous les fidèles, sous certaines conditions :

Des curés pour les paroisses de Argonne et Varennes :
Le curé est en charge de la gestion religieuse d'une paroisse. Sous l'autorité de son évêque, il veille au bon déroulement des offices, et amène les fidèles sur le chemin de la vraie foi, tout en s'approchant lui-même de la vérité divine.

Conditions : poste ouvert à tous les fidèles érudit de la voie de l'Église, résidant dans ces villes. Le curé devra prononcer ses voeux lors de sa nomination. La formation sera assurée par l'archevêque.
Des diacres/vicaires pour les paroisses de Reims, de Varennes, de Sainte Ménéhould, et de Compiègne :
Le diacre est en charge de tous les sacrements de l’Eglise Aristotélicienne hormis celui de l’ordination. Il assiste le curé dans la réalisation des messes. Il sera formé et aidé dans sa tâche par l'archevêque de Reims.

Conditions : poste ouvert à tous les fidèles, sans exception résidant dans ces villes. Le diacre n'a pas le droit de port d'arme.
Des prêcheurs, pour l'archidiocèse de Reims :
Les prêcheurs sont des personnes chargées de porter la bonne parole directement aux fidèles, et de leurs donner des éléments nécessaires à la compréhension du monde. Ils vont sur les marchés, devant les tavernes, pour prêcher la bonne parole, et transmettre les enseignements des prophètes à tout à chacun.

Conditions : poste ouvert à tous les théologiens [niveau 3, voie de l’église] ayant des idées claires sur les éléments à prêcher sur l'archidiocèse de Reims.
Un procureur ecclésiastique :
Le procureur est en charge de la bonne gestion de tout ce qui concerne la justice d'église sur le diocèse. Il travaille en étroite collaboration avec la Congrégation de la Sainte Inquisition et son évêque.

Conditions : poste ouvert à tous les fidèles ayant de bonnes connaissances dans le Droit Canon, et aimant le Droit en général. Une personne érudite de la voie de l'Eglise [niveau 3] pourra de plus, tenir ce poste In Gratibus.
Des gardes épiscopaux :
Les gardes épiscopaux sont en charge de la sécurité de l’évêque, et plus généralement des clercs du diocèse. Ils servent d’escorte lors des déplacements. Des carrières sont envisageables dans cette branche armée de l’Eglise.

Conditions : postes ouverts à tous les fidèles résidants sur l'archevêché de Reims et sachant manier une arme.

Toutes les personnes intéressées par l'un de ces postes, ou voulant plus généralement se mettre au service de l'Eglise est prié de contacter l'archevêque de Reims, Son Eminence Thomas d'Azayes ou un membre du clergé de son choix qui relaiera la demande, ou se rendre à l'archevêché de Reims.

Nous comptons sur toutes les bonnes volontés possibles afin de porter le message du Très-Haut et la vérité divine.

Que les paroles d'Aristote nous guident.

Fait à Reims, le douzième jour du mois de juillet, de l’an de Grasce 1459.

Son Eminence Thomas d'Azayes,
Cardinal-Archevêque de Reims.

Astaroth_jr

Le chemin était long depuis Langres, mais il savait qu’il devait venir dans cette cathédrale si magnifique qui pouvait accueillir tout les paroissiens du duché. D’un pas décidé,
il pénétra dans la maison du Très Haut par l’entrée somptueuse qui ornait le parvis. Astaroth s’arrêta sur le palier et admira comme à son habitude avec enchantement la construction divine intérieurement.
D’un roulement de nuque, il alla vers l’hôtel pour s’agenouiller devant celui-ci et tout en ferment les yeux, il prononça sa demande par la foy qu’il devait exercer, et coupa le silence à voix haute :

« Très Haut, divin souverain des terres sainctes et corrompu par le Sans Nom,
Faite en sorte que votre voix soit entendue de toutes et de tous en ce bas monde,
Posez votre divine main sur Langres pour que les habitants sortent de leurs léthargies profondes,
Donner au pauvre berger le pouvoir de rassemblée les brebis égarés qu’ils ne soient pas attirer par le vil,
Et bénissez ce duché pour qu’il soit exemplaire en tout lieu,
Et protéger mes parents dans leurs voyages,
Patrem omnipotentem factorem caeli et terrae…
Amen...»

Puis l’homme se relever en faisant son signe de croix sur la poitrine, le regard un peu lasse, il fit demi tour vers la sortie qu’il foula d’un pas sûr et serin.

Hersent

Dimanche...la messe n'était pas encore commencée, elle entra dans l'église, trempa le bout de ses doigts dans le bénitier, se signa puis s'installa sur un banc, dans un coin trnquille. Elle aimait la solitude dans ses moments de recueillement.

Elle commença par réciter les mots de la Confession:

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Puis enchaîna, à l'unisson avec les fidèles, avec le Credo:

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Elle pria pour le repos de feue la Reyne, pour le Royaume qui traversait bien des tourmentes et pour le duché. Une tendre pensée s'envola vers l'âme de son époux, elle parlait de lui à leur fils pour que ce dernier sache qui était son père. Ce serait son plus grand regret: qu'il n'ait pu voir le visage de leur fils, qu'il n'ait jamais pu le tenir dans ses bras.
Une paix intérieure vint la submerger, promesse d'une semaine de lumière et de sérénité.
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*bombadil*

Citation:

D'un Royaume en deuil

Nous, Cyril Kad d'Azayes, primat de France, cardinal de la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine, évêque in Partibus de Tibériade, chevalier d'Isenduil, préfet des Vidames, comte du Forez et vicomte de Brantôme, devant le Très Haut et sous le regard d’Aristote, au nom de l’assemblée épiscopale de France,

Ad Majorem Dei Gloriam

Fait à Nevers le lundi 18 juillet de l’an de grâce MCDLIX

Pour l'assemblée épiscopale de France,
Cyril Kad cardinal d'Azayes, Primat.

*bombadil*

Citation:

Nomination d'un nouveau Vicaire diocésain
Père Baztan est nommé vicaire diocésain de Reims

Nous, Thomas d'Azayes, fait Cardinal-Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Annonçons la nomination du Père Baztan à la charge de Vicaire Diocésain de Reims. Il aura la charge de nous assister dans la gestion quotidienne du diocèse, et portera notre voix en notre absence. Cette nomination fait suite à l'excellence de son travail sur la paroisse de Compiègne et à son implication pour la diffusion de la foi.

Il succède à ce poste à Mère Calicee que nous remercions du travail accompli et à qui nous renouvelons tout notre soutien pour la diffusion de la foi sur la paroisse d'Argonne.

Que les paroles d'Aristote nous guide.

Fait à Reims, le dix-neuvième jour du mois de juillet de l’an de Grasce 1459.

Son Eminence Thomas d'Azayes,
Cardinal-Archevêque de Reims.

Jeffeson

Encore ramassé en chemin, décidément, il finirait par croire qu’on lui en voulait personnellement et qu’on l’observait, épiait à chaque coin de rues. Alors qu’il marchait tranquillement sur un chemin sans mauvaise intention, pour une fois, bien c’était là qu’il se faisait brigander comme un bleu. Il n’avait rien vu venir. A deux contre un, c’était d’une faiblesse sans limite.

Il avait trouvé repos devant l’église et donc, lorsque les cloches sonnèrent, c’est le regard vaseux qu’il se réveilla alors qu’il était couché sur un banc de l’église. Il écarquilla les yeux en se recoiffant, regarda autour de lui en souriant. La bonne nouvelle c’était que cette incapable de Reyne avait trépassé. Pourquoi les gens étaient tristes ? Triste d’une personne qu’ils ne connaissent point, cela l’étonnera toujours.

Il s’assit et resta silencieux un moment. Puis, remuant la tête, il se leva d’un coup sec et déterminé avant de crier dans la cathédrale :

La Reine est morte, vive la Reine !

*bombadil*

Citation:

Nomination au Conseil diocésain de Reims
Sa Grâce Jézabel d'Appérault Von Frayner d'Azayes devient Procureur Ecclésiastique de Reims

Nous, Thomas d'Azayes, fait Cardinal-Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Annonçons la nomination de Sa Grâce Jézabel d'Appérault Von Frayner d'Azayes, dites Siva de la charge de Procureur Ecclésiastique de Reims. Elle s'assurera du strict respect à la fois du dogme et du Droit Canon sur le territoire de Reims, et veillera au bon fonctionnement de l'Officialité Épiscopale.
Nous la remercions de l'aide qu'elle apporte au diocèse de Reims.

Elle est nommée à ce poste avec l'aimable autorisation de Son Eminence Vincent Diftain, Cardinal-archevêque de Sens, en attendant son installation définitive sur une paroisse relevant du diocèse de Reims.

Que les paroles d'Aristote nous guide.

Fait à Reims, le vingt-septième jour de juillet de l’an de Grasce 1459.

Son Eminence Thomas d'Azayes,
Cardinal-Archevêque de Reims.

*bombadil*

Citation:

Annonce du décès de Monseigneur Thalor et Avis d'élection à l'Assemblée Épiscopale de France

Appel à candidature pour l'évêché de Beauvais.

Au nom de l'Assemblée Épiscopale de France, nous, Monseigneur Lyonis d'Appérault, membre de l'équipe primatale, Evêque de Périgueux annonçons:

-Le décès brutal de Monseigneur Thalor alors Evêque de Beauvais. Cette perte laissera un grand vide dans ce diocèse et les paroissiens auront perdu un grand homme. Nous demandons à ce qu'une prière en sa mémoire soit faite dans l'ensemble des Cathédrales afin d'honorer sa mémoire.

-L'ouverture du dépôt de candidatures pour le poste d'évêque de Beauvais, et ce pour une durée de sept jours à compter de la date d'affichage Place d'Aristote.

Les candidats sont priés de nous faire parvenir curriculum vitæ et lettre de motivation par courrier privé. Nous rappelons que les candidatures doivent respecter les statuts de l'assemblée épiscopale de France.

Aussi, seul un clerc théologien ayant exercé pendant au moins trois mois une charge lui conférant le pouvoir de célébrer et d’octroyer divers sacrements aristotéliciens peut postuler à la charge d'évêque ou d’archevêque suffragant. En outre, tout candidat doit être titulaire d’une licence en théologie obtenue dans un séminaire primaire reconnu par la Préfecture à l'Enseignement Aristotélicien. Il est demandé aux prétendants de mentionner leur situation au regard de ce diplôme dans leur candidature.
Précisons que nous nous tenons à disposition des candidats pour toute demande explicative.

Merci de diffuser cet avis dans les palais épiscopaux, cathédrales et gargotes.

Que les paroles d’Aristote nous guident,

Fait à Rome, le 5 août 1459 jour de septembre de l’an de grâce MCDLVIII

Pour le Primat empêché,
Monseigneur Lyonis.

(HRP : Envoyez votre candidature à p27kw sur le forum de Rome)

*bombadil*

Citation:

Nomination d'une diaconesse
Soeur Lacienda devient diaconesse de Varennes

Nous, Thomas d'Azayes, fait Cardinal-Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Annonçons la nomination de Soeur Lacienda de la charge de diaconesse de Varennes. Elle devra donc veiller à la destinée spirituelle de la paroisse. Elle pourra procéder aux sacrements et cérémonies telles que définis dans le Droit Canon.

Que les paroles d'Aristote la guide.

Fait à Varennes, le sixième jour du mois d'août de l’an de Grasce 1459.

Son Eminence Thomas d'Azayes,
Cardinal-Archevêque de Reims.

*bombadil*

Citation:

Recrutement de l'archevêché de Reims
Recrutement de août 1459

Nous, Thomas d'Azayes, fait Cardinal-Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Annonçons que pour assurer un bon fonctionnement de l'archidiocèse de Reims, les postes suivants sont à pourvoir. Ils sont ouverts à tous les fidèles, sous certaines conditions :

Des curés pour les paroisses de Reims, Argonne et Varennes :
Le curé est en charge de la gestion religieuse d'une paroisse. Sous l'autorité de son évêque, il veille au bon déroulement des offices, et amène les fidèles sur le chemin de la vraie foi, tout en s'approchant lui-même de la vérité divine.

Conditions : poste ouvert à tous les fidèles érudit de la voie de l'Église, résidant dans ces villes. Le curé devra prononcer ses voeux lors de sa nomination. La formation sera assurée par l'archevêque.
Des diacres/vicaires pour les paroisses de Reims, de Varennes, de Sainte Ménéhould, et de Compiègne :
Le diacre est en charge de tous les sacrements de l’Eglise Aristotélicienne hormis celui de l’ordination. Il assiste le curé dans la réalisation des messes. Il sera formé et aidé dans sa tâche par l'archevêque de Reims.

Conditions : poste ouvert à tous les fidèles, sans exception résidant dans ces villes. Le diacre n'a pas le droit de port d'arme.
Un chapelain pour la chapelle nobiliaire Sainte Galadrielle de Brienne :
Le chapelain est en charge des messes, des confessions, et des sacrements des titulaires du fief dans laquelle se trouve la chapelle au sein de laquelle ils officient.

Conditions : poste ouvert à tous les fidèles, sans exception résidant du diocèse de Reims. Le chapelain n'a pas le droit de port d'arme.
Des prêcheurs, pour l'archidiocèse de Reims :
Les prêcheurs sont des personnes chargées de porter la bonne parole directement aux fidèles, et de leurs donner des éléments nécessaires à la compréhension du monde. Ils vont sur les marchés, devant les tavernes, pour prêcher la bonne parole, et transmettre les enseignements des prophètes à tout à chacun.

Conditions : poste ouvert à tous les théologiens [niveau 3, voie de l’église] ayant des idées claires sur les éléments à prêcher sur l'archidiocèse de Reims.
Des gardes épiscopaux :
Les gardes épiscopaux sont en charge de la sécurité de l’évêque, et plus généralement des clercs du diocèse. Ils servent d’escorte lors des déplacements. Des carrières sont envisageables dans cette branche armée de l’Eglise.

Conditions : postes ouverts à tous les fidèles résidants sur l'archevêché de Reims et sachant manier une arme.

Toutes les personnes intéressées par l'un de ces postes, ou voulant plus généralement se mettre au service de l'Eglise est prié de contacter l'archevêque de Reims, Son Eminence Thomas d'Azayes ou un membre du clergé de son choix qui relaiera la demande, ou se rendre à l'archevêché de Reims.

Nous comptons sur toutes les bonnes volontés possibles afin de porter le message du Très-Haut et la vérité divine.

Que les paroles d'Aristote nous guident.

Fait à Reims, le dix-neuvième jour du mois d'août, de l’an de Grasce 1459.

Son Eminence Thomas d'Azayes,
Cardinal-Archevêque de Reims.

*bombadil*

Citation:

Festivités de la Sainte Boulasse
Manifestations organisées par le clergé pour fêter Sainte Boulasse

Nous, Thomas d'Azayes, fait Cardinal-Archevêque de Reims, par la Grâce du Très-Haut et la volonté de nos pairs, et noble successeur des apôtres de Christos :

Annonçons que le clergé de Reims organisera des manifestations afin de célébrer la Sainte Boulasse qui aura lieu le 22 septembre prochain. Ainsi les fidèles du diocèse de Reims, et les fidèles de Champagne en général sont invités à participer aux animations suivantes.

Concours de sculpture : 15-22 septembre
Tout sculpteur du diocèse de Reims peut proposer une œuvre de sa composition représentant Sainte Boulasse*. Le clergé de Reims choisira la plus belle réalisation et cette œuvre viendra orner la chapelle dédiée à la Sainte dans la cathédrale de Reims. La sculpture gagnante sera présentée lors de la messe qui sera dites pour l'occasion en la cathédrale de Reims.
Concours de texte en hommage à la Sainte : 15-22 septembre
Tout fidèle du diocèse de Reims peut proposer une œuvre écrite de sa composition, sous la forme qui lui conviendra pour rendre hommage à la Sainte. Le clergé de Reims choisira la plus belle réalisation et le texte remportant les suffrages du clergé sera lu par son auteur lors de la messe qui sera dites pour l'occasion en la cathédrale de Reims.
Bénédiction des tavernes : 22 septembre
Tout tavernier qui en fera la demande au clergé paroissial verra son échoppe bénie afin de recevoir la bénédiction du Très-Haut.
note : tout établissement de mauvaise réputation ou tout établissement de morale douteuse ne pourra être concerné par les bénédictions.
Grand messe en la cathédrale de Reims : 22 septembre
Une grand messe sera dite en la cathédrale de Reims, afin de rassembler les fidèles, de prier pour la Sainte et pour l'âme des fidèles. Cette messe sera précédée d'une processions qui ira des portes de la ville jusqu'à la cathédrale de Reims, et qui escortera un tonneau de bière d'une abbaye proche. La bière ainsi convoyée sera bénie et servie aux fidèles lors de la communion.

Que les paroles d'Aristote nous guide.

Fait à Reims, le vingt-troisième jour du mois d'août de l’an de Grasce 1459.

Son Eminence Thomas d'Azayes,
Cardinal-Archevêque de Reims.

*la statue peut être une image, ou une description RP détaillée, au choix

*bombadil*

Citation:

A l'Universalité des Fidèles,
Aux autorités provinciales du Royaume de France,
A la Chancellerie de France,

Une fois n’est pas coutume, les événements semblent se répéter. Dans un récent
communiqué, la Chancellerie de France outrepasse son domaine de compétence et s’arroge
des droits qu’elle n’a pas, semant le trouble au sein des chancelleries locales et auprès des
corps diplomatiques quant aux relations que celles-ci pourraient avoir avec le Saint-Siège.

Nulle autorité temporelle ne saurait se substituer à la Sainte Église dans l’édiction de ses
Canons. Aussi, le communiqué du XVIII août émanant de la Chancellerie de France est nul
et non avenu en matière de Droit concordataire. Que cette nouvelle loi s’applique au seul
domaine diplomatique temporel, le Siège Apostolique ne saurait trouver à redire, mais elle ne
saurait s’appliquer aux traités engagés et signés par la Congrégation des Affaires du Siècle,
représentante diplomatique du Saint-Siège Romain.

Par ailleurs, l’argumentaire fallacieux, faux et erroné donné par la Chancellerie de France
ne fait que confirmer l’incompétence de cette dernière dans le domaine diplomatique
ecclésiastique, puisqu’elle réduit un concordat à un simple « traité particulier » signé entre
une province et le Saint-Siège. Hors de la portée législative et juridique de la Chancellerie de
France, cette dernière semble ignorer tout de la nature et de l’étendue canonique que recouvre
un concordat.

Rappelons aux fidèles, corps diplomatiques et autres ambassadeurs qu’un concordat n’est en
aucun cas « un traité particulier », mais un document à valeur canonique signé et reconnu par
l’Église et la province signataire. De ce fait, à l’instant même où le sceau de l’une et de l’autre
institution est imprimé dans la cire encore fondante du document, le « traité » devient une
extension du Droit Canon de la Sainte Église Aristotélicienne et Romaine, applicable et
appliquée à une portion du peuple de Dieu défini par ce même document dans le but de mettre
en place un cadre entre le spirituel et le temporel pour l'application de la loi divine. Ce « traité
particulier » recouvre alors un caractère canonique inviolable.

Au mois de juillet MCDLVII, nous rappelions déjà à l’ordre la Chancellerie de France qui
outrepassait ses droits en matière juridique concordataire. Ce que nous avons pu dire ce jour
de juillet est toujours applicable aujourd’hui : « La vanité est le trait le plus saillant du
caractère des hommes, dont l’esprit étriqué n’est que le reflet de leur manque de foi ; ils
croient pouvoir appliquer au spirituel ce qu’ils ont l’habitude de faire dans l’ordre temporel ;
c’est bien peu estimer le magistère de l’Église ».

En conséquence, nous apportons à la connaissance de tous que l’interprétation de la
Chancellerie de France en matière de droit concordataire est fausse et non avenue ; et que la
Nonciature Apostolique continuera de considérer dans son domaine diplomatique que « toute
clause d'un traité qui demande l'accord des deux parties pour la rupture dudit traité est et reste
applicable», lorsqu’il lie l’Institution Romaine à une autorité locale.

Profitant de cette lettre ouverte, nous rappelons que la rupture d’un concordat, qui par nature
s’inscrit dans le Droit Canon, est synonyme d’apostasie et passible de ce fait des tribunaux
ecclésiastiques et de la Justice d’Église. Dès lors, nous enjoignons les fidèles et autorités
compétentes à repousser de la plus vive des manières l’invitation insidieuse qui est faite par la
Chancellerie de France de faire acte d’apostasie et de sombrer dans l’hérésie en rompant les
accords passés entre une province et le Siège Apostolique, au gré des volontés et des humeurs
du temps et des personnes.

Nous remettons une nouvelle fois en garde la Chancellerie, et ceux qu’elle invite à prendre le
chemin du péché, contre toute déviance blasphématoire qui les conduiraient sur la voie de
l’hérésie en reconnaissant pour nul le Droit Canon dans lequel s’inscrit un concordat.
Invitions par ailleurs la Chancellerie de France et le Chancelier McLegrand à revenir sur ses
propos dans les plus brefs délais, afin de dissiper et corriger les erreurs dont son institution est
responsable.

Qu’il soit donc su et entendu que l’Église et la Congrégation des Affaires du Siècle par la voix
de la Nonciature Apostolique continueront d’appliquer cette clause d’unilatéralité, celle-ci
agissant telle une monition à l’endroit des autorités signataires.

Bénédiction Apostolique.

Vicomte Aaron de Nagan,
Cardinal & Archevêque de Césarée,
Chancelier de la Congrégation des Affaires du Siècle.

Rome, le XXIV août de l'an de grâce MCDLIX, le mercredi.

Onael_

Citation:

Rappel De Ecclesiae Dei Fondis
citant la bulle pontificale "des fondements de l'Eglise de Dieu"

Nous,Jezabel d'Appérault Von Frayner d'Azayes,Chanoine de l'Ordre de Sainct Rhemy et du Saint Chresme,Procureur Ecclesiastique de l'Archevesché de Reims,en nostre qualité de gardienne du Droit Canon,et en les temps troubles qui secouent nostre Duché,rappelons aux fideles de l'Archevesché Metropolitain de Reims les articles 3 et 4 de la Partie III du Preambule "De Ecclesiae Dei Fondis" :

Citation:

Article 3 : Est clerc celui qui occupe une charge religieuse séculière ; est regularis celui qui occupe une charge religieuse régulière ; est milites celui qui occupe une charge – définie comme telle dans l’article 3 ter ou dans le Droit Canon des Saintes Armées – au sein de la Congrégation des Saintes Armées ; par opposition au fidèle qui n'occupe aucune de ces trois charges.

N.B. La charge de clerc, et les règles qui lui sont afférentes, prennent le pas sur celle de regularis, et celle de regularis sur celles de milites.

- Article 3 bis: Sont considérés comme regularis de l'Eglise, les fidèles ayant embrassés une règle de vie monacale, les fidèles membres des ordres religieux aristotéliciens, ou de la branche religieuse d'un ordre militaire et religieux, et les fidèles rassemblés en communauté dans les abbayes In Gratebus.

- Article 3 ter: Sont considérés comme milites de l’Eglise, les fidèles membres des branches armées des ordres militaires faisant partie des effectifs des Saintes Armées aristotéliciennes, ainsi que les fidèles qui se place individuellement ou collectivement sous les ordres de l'Etat Major des Saintes Armées.

Article 4 : Hors dérogation de leur primat, ou avis contraire mentionné pour certaines charges dans les autres livres du Droit Canon ou dans les règlements intérieurs des dicastères Romains, les clercs et les regularis, qu'ils soient milites ou non, ne peuvent porter d’armes autres que celles d’apparats liées à leur rang social.

Ainsi,de par nos saintes lois,rappelons que nul clerc n'a le droit de porter une arme de quelques natures qu'elle soit,et qui ferait couler le sang d'un fidele d'Aristote,sans une dérogation de leur Primat.
Nous avons conscience,qu'en des temps aussi troubles,le desir de defendre et d'aider le Duché ou nous vivons se fait plus ardent,mais qu'il est contraire aux lois aristoteliciennes,et que son infraction,se devra d'estre traité par ma personne.
J'en appelle a la sagesse,la temperance,et la Paix,trois valeurs aristoteliciennes,et invite les Clercs de Reims à tenir compte de ce rappel et se mettre en vigueur.

Puisse le tres Haut entendre nos prieres et guider les fideles sur la voie de la Vertu.

Approuvé par Son Eminence Thomas d'Azayes,Archevesque de Reims,

Faict et scellé le dixiesme jour du mois de Septembre de l'An de Grace 1459,
Par nous mesme,et afin que nul doute ne soit,y apposons nostre scel.

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Heribert

Lit tranquillement la cathédrale, allume un cierge et pique discrétos les écus, lorgne sur un beau candélabre or et pierreries, écoute son histoire et prend la température de la champagne. Une fois l'histoire lut, il reprend la route. Sans faire un beau tag graver sur l'une des pierres toujours discrètos à côté d'un autre, il rajoute deux trois trucs et file. Souriant il a choper un écu or.

Annaell

La jeune mairesse de Langres venait de passer de longues heures à méditer sur les bancs de la cathédrale, inquiète de voir sa ville délaissée par l'Eglise... Cela faisait de trop longs mois que personne n'avait pu se confesser, qu'aucune messe n'avait été dite, et la petite chapelle était quasiment à l'abandon malgré le soin qu'y apportaient quelques vieillards. Le Malin pourrait bien s'adonner à quelques malices si personne ne venait les aider... et la mairesse, seule, bien que baptisée, n'avait ni les prérogatives ni les connaissances nécessaires pour assurer une messe.

Elle murmura, les yeux clos, espérant que quelqu'un entende sa supplique...

- Faites que Langres retrouve bientôt un curé... ou le Malin nous prendra tous !

Inquiète et fatiguée, les larmes aux yeux, elle se leva pour sortir et s'emmitoufla dans sa cape pour qu'on ne voie plus son visage.
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Envie d'un rp ? Contactez-moi. Skype : ljd.annaell

Clelia

Il était tard quand elle entra dans la cathédrale. Avait-elle seulement le droit d'y aller? d'entrer? de s'asseoir? de manger? Non mais parce qu'on ne sait jamais.

Elle fit un pas, puis un autre, puis un troisième et respira. Han, elle s'était pas désintégrée directement, a priori, elle n'était donc pas un être démoniaque. Miracle!

Rassurée, pour elle-même et pour la Champagne avec un grand C, elle continua sa progression dans l'édifice.
Levant les yeux, elle ne put qu'admirer la beauté de l'édifice. C'était comme toutes les cathédrales quoi, ça imposait le respect, l'admiration, la prière, toussa.
Pis, de toute façon, c'était pas tellement le lieu pour s'énerver, non, ce qu'elle recherchait c'était des réponses à des questions.

Que disait Aristote au sujet de la guerre? Quelle était la position de l'Eglise? Que disait l'Eglise des jugements à l'emporte-pièce que l'on pouvait faire? Les gens étaient-ils bêtes en Champagne? (ah non, pas celle-là.. celle-là, elle allait être pour la correspondance et pour ses quarts d'heure langue de vipère).
Qu'en était-il de l'amitié aristotélicienne en Champagne? Quelle était la place de l'Eglise tout court?

Pour l'heure, elle cherchait des yeux s'il y avait âme qui vive au sein de l'édifice. Elle appela, doucement, puis plus fort et attendit. Pas de réponse. Alors, elle se décida à s'asseoir et à attendre que quelqu'un pointe le bout de son nez. Elle avait le temps de toute façon, quelques heures devant elle.
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*bombadil*

Il était tard et le cardinal-archevêque de Reims était déjà affairé à d'autres tâches que celles auxquelles il aurait du être affairé. Bref, il sirotait un verre de vin dans son bureau au sein du palais épiscopal, jouxtant la cathédrale. Heureusement, comme il avait depuis le longtemps appris à le faire (l'expérience du vieil archevêque), il laissait un ou plusieurs acolyte veiller sur le bâtiment. Ceux-ci étaient chargés de le prévenir en cas d'arrivée d'un fidèle. Et d'ailleurs, ils s'acquittèrent parfaitement de leur tâche.

Le cardinal-archevêque de Reims entra donc dans la cathédrale par la porte close donnant sur le cloître et le palais épiscopal. Et vint à la rencontre de la jeune fidèle. Lorsqu'on lui avait dit qu'il s'agissait d'une jeune fille, il faillit s'étouffer avec le vin qu'il avait dans la bouche en pensant que la jeune Marine pourrait être revenue. Elle reviendrait sûrement un jour. Mais pour l'heure, c'était une autre personne qu'il aborda.

Bonjour Ma Fille. Je suis Thomas d'Azayes, le cardinal-archevêque de Reims. Puis-je quelque chose pour vous ?

Il s'était adressé à elle avec un sourire.

Clelia

Elle sursaute. Non, elle ne dormait pas, quand même pas, elle n'aurait pas osé.

Mais elle s'était un instant perdue dans ses pensées. Le calme du lieu incitait à une méditation à laquelle elle n'accordait que trop peu de temps.
Silencieuse, elle repensait, l'air grave, à tout le chemin qu'elle avait parcouru pour venir jusqu'ici. L'Anjou lui manquait, cela était sûr. Elle en connaissait chaque village comme sa poche, elle connaissait chaque personne influente et s'il y avait eu une personne qui avait pu avoir l'amitié quasi unanime des Angevins, c'était elle. Certains l'avait imaginée Duchesse d'Anjou. Pas elle.
Et puis, il y avait eu les élections, deuxième sur une liste pour les ducales et elle s'était rendue compte trop tard qu'elle n'avait été qu'un pantin entre les mains d'une trop savante double Vicomtesse et de celui qu'elle voulait faire devenir Duc. Un pantin bien sympathique qui avait réussi à casser les programmes des listes concurrentes en un claquement de doigt, un pantin qu'on appréciait et dont tous s'accordaient à reconnaître les qualités.
Le pantin se rebella, trahit sa tête de liste obsédée par le pouvoir et put constater avec un peu de surprise quand même le caractère versatile des gens.
Néanmoins, elle avait l'affection des « grands », de ceux qui avaient façonné son Duché et qui avaient su le gouverner avec justesse ainsi que des rares personnes qui avaient gardé une place dans son coeur.
Et puis, cerise sur le gâteau, il y eut un procès pour Haute Trahison qu'une procureur folle lui imposa. La justice devait lui servir à assouvir une vengeance toute personnelle mais, aux termes de tergiversations dont elle n'eut que les échos, le procès ayant choqué pas mal de monde, elle fut relaxée et partit sur le champ loin de l'Anjou.

Ce sont de ces sombres pensées que Thomas d'Azayes la délivre. A son sourire, elle répond par un autre sourire mais reste quand même impressionnée... le lieu, l'homme en lui-même... et elle, perdue au milieu de ses pensées faites de remords, d'incompréhension et d'un peu de mélancolie.

Mais très vite, elle se reprend et la vitalité de la jeune fille de 17 ans reprend le dessus.

Hum... si vous avez un peu de temps à m'accorder, cela serait avec.. beaucoup d'intérêt...

Je m'appelle Clelia. Je.. je suis angevine, enfin j'étais...

Petite pause, petit regard douloureux. Le « j'étais » a du mal à passer.

Alors voilà, j'ai souvent l'habitude de me référer aux préceptes de notre Sainte Eglise quand je me sens un peu perdue et c'est le cas actuellement.
Voyez-vous, du fait que je suis angevine, certains me considèrent ici comme un danger. Enfin.. un danger.. je ne sais pas très bien si c'est le cas, mais bref, on ne veut pas de moi.
Ajoutez à cela que je suis ici sous la protection d'une Duchesse, que je ne voudrais pas lui faire de tort et je lui avais dit que je serai discrète et sage... Je crois bien que c'est raté.
Donc à votre avis, qu'est-ce que je devrais faire pour racheter tout ça? Déjà, je suis Champenoise maintenant, j'ai racheté une partie de ce que je suis. Mais pour le reste?
Le Très-Haut doit y être pour quelque chose, je ne comprends pas ce déferlement de méchanceté à mon égard. Pourtant, j'ai fait la guerre une seule fois! Une toute petite fois, j'ai juste blessé quelqu'un et en pénitence, Aristote m'a envoyée sur un noeud.. enfin toute l'armée était en pénitence sur ce noeud en fait...
Mais c'était il y a longtemps, je pensais que la guerre c'était bien. Aujourd'hui, c'est différent. Donc je ne comprends pas, comment arranger cela?

Dans une conception assez naïve et simple de ce qu'étaient l'Eglise et les préceptes aristotéliciens, Clelia pensait qu'à chaque problème de la vie pouvait répondre d'une façon ou d'une autre un enseignement d'Aristote ou de Christos. Elle était également persuadée que les hommes d'Eglise avaient toujours une réponse juste et sage aux questionnements de tout un chacun, sentiment redoublé par le titre même du Cardinal-archevêque...

La classe totale... Respect!

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*bombadil*

C'était donc ça, une angevine. Ca n'avait pas l'air si terrible, bien moins en tout cas que ce qu'on avait pu lui raconter... Thomas en fut presque déçu. Il s'attendait à quelque chose de plus impressionnant.
Il aurait su qu'une angevine venait en Champagne, il lui aurait demandé de ramener quelques caisses de vin pour sa garnir sa cave. Mais visiblement, la discussion ne tournerait pas autour du vin, mais plutôt autour de l'incomparable sens de l'hospitalité et de l'amabilité champenois.

J'ai toujours du temps à accorder à un fidèle. D'autant plus à ceux qui ont besoin d'être guidé... Je suis enchanté de vous rencontrer Clelia

Il sentait un profond désarroi dans les paroles et l'attitude de Clelia. Un bon verre de poire lui ferait certainement le plus grand bien. Mais il allait tâcher de faire sans, au moins dans un premier temps. Il s'assit donc sur le banc à côté d'elle. A cette heure là, ils ne seraient pas dérangés.
Concernant le problème de Clelia, le cardinal-archevêque était un peu las de l'acceuil qui était fait aux voyageurs ou aux étrangers en Champagne. C'était usant de toujours avoir à s'excuser auprès de tel prélat ou tel fidèle en expliquant que l'acceuil déplorable en Champagne n'était pas dû à leur personne mais que tout le monde y avait droit... Ce n'était guère rassurant finalement...
De la même manière que pour les autres, la première chose à faire serait de rassurer la jeune femme.

Ma Fille, dans ce que vous me dites là, vous n'avez rien à racheter. Etre Angevin n'est pas un péché en soi. Si vous avez commis des fautes dans votre vie, durant la guerre à laquelle vous avez participé, ce n'est pas aux champenois de vous juger. Si vous ne l'avez pas encore fait, je ne pourrai que vous encourager à demander pardon à Notre Seigneur en confessant vos péchés et en vous repentant sincèrement. Mais cela ne regarde que vous et le Très-Haut, ainsi que le prêtre qui recevra votre confession.
Mais je vous le répète, en aucun cas votre statut d'Angevine ne peut être une faute en soi. Ceux qui vous font croire cela ne sont que de biens priêtres aristotéliciens.

La champagne était fervente aristotélicienne, et même si tout n'était parfait, Thomas avait foi en la plupart de ses habitants.

Je pense que ce dont vous avez besoin, pour le moment, c'est de conseil. Et il y a à ce sujet une chose que vous avez dites, et qui m'a interpellé. Vous avez parlé d'être "discrète et sage". J'entends en cela que vous essayé de vous cacher, de ne pas vous montrer... Or, je crois que c'est là votre erreur. Rappelez-vous de ce passage de la Vita d'Aristote où le prophète nous prouve avec le talent qui est le sien, que la vertu ne peut s'exprimer qu'au contact d'autrui ! Il faut donc, je le pense, afin de vous faire accepter dans notre duché, non pas être discrète et sage, mais plutôt chercher à ne pas être discrète. Je vous conseille de conserver la sagesse, ça, ça sert toujours.

Un petit rire échappa au prélat.

Ce qu'il vous faut donc, ce n'est donc pas vous cacher et rester dans votre coin. Allez vers les autres, faites un pas vers votre prochain et investissez-vous dans la vie de la Cité. Démontrez par vos actes et vos paroles que vous êtes une personne honnête et droite. Ce sera le meilleur moyen de faire mentir vos détracteurs. Vous avez fait le premier pas en venant me trouver. Si jamais vous chercher un moyen de vous investir dans la vie de la Cité, l'Eglise est un bon moyen de commencer et de prouver votre droiture...

Il avait l'occasion de faire d'une pierre deux coup : guider une fidèle et recruter. Il laissa Clelia faire part de ses remarques. Il avait déjà beaucoup parlé.

Clelia

A défaut de boire de la poire, elle buvait les paroles du Cardinal-archevêque.

Il parlait bien. Vraiment très très bien. Et elle avait toujours été assez sensible aux beaux discours. Pas les logorrhées interminables du bailli angevin, non non, là, c'était intéressant ce qu'il disait et juste. La dernière leçon qu'elle avait reçu d'un homme d'église, c'était de Navigius et il avait dit des mots qu'elle n'avait compris que bien plus tard. "Dans la vie, tu ne peux pas traiter beaucoup de choses comme des cas de vie ou de mort. Car tu mourras souvent". Un premier pas vers la sagesse que d'avoir réussi à comprendre ce qu'il signifiait là.

Cela l'avait confortée dans l'idée que la Vérité était dans l'Aristotélicisme.

Puis Thomas d'Azayes lui parla de s'investir au sein de l'Eglise.
A ce moment-là, deux solutions étaient possibles. Soit elle considérait cette proposition comme nulle et non avenue, un peu comme si le connétable lui proposait de.. d'entrer dans le groupe de ses douaniers, en gros. Soit elle considérait cette proposition avec tout l'intérêt que pouvait représenter un domaine totalement nouveau.

Ses yeux pétillaient déjà de curiosité pour la proposition. Il n'avait rien de comparable avec le connétable, il en imposait vraiment lui. Puis, il était Cardinal-archevêque. Puis, il parlait bien. Puis, il était intelligent. Tout ça, ça faisait pencher la balance déjà.

Hum.. euh.. vous savez.. je ne suis pas encore baptisée... Frère Bardieu, le Grand Prieur de l'ordre cistercien doit le faire mais malheureusement, ma marraine est très occupée. C'est Ingeburge et elle est actuellement très prise par son intronisation en tant que Roy d'armes. Ainsi je ne sais quand la cérémonie va enfin commencer... Mais j'ai fait la pastorale, auprès de Cassandres de Sigognac, qui est compagnon d'Aristote. J'ai même un certificat qui l'atteste!

Elle s'arrêta. Elle n'avait rien mélangé encore.. les noms, les fonctions des uns et des autres, c'était un peu compliqué.

Et je m'investis déjà pour le Duché, je fais marchand ambulant. Cela me permet de rencontrer les gens.
Mais si vous avez des tâches à me confier, je le ferai avec plaisir.

Elle n'ajouta pas qu'aider un homme d'église qui lui paraissait aussi charismatique et si sage, c'était à coup sûr avoir l'opportunité d'acquérir un peu de sagesse à ses côtés. Le charisme, elle s'en fichait un peu pour le moment. Fallait y aller par étapes et c'était la sagesse qui lui paraissait être la faille principale à combler chez elle, cette sagesse qui permettait aux gens de ne pas s'emporter inutilement, de considérer les choses de la vie avec recul, de savoir doser un peu les élans naturels de sa jeunesse.

Tourner sept fois sa langue dans sa bouche, penser avant et agir après, c'était plus la peine quand on avait un peu de sagesse, on était dans le droit chemin dès le début!
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*bombadil*

Pas baptisée ? Ah, là, ça ressemblait bien plus à la description de l'angevin tout d'un coup... Néanmois, elle avait prononcé le mot magique : "Ingeburge". Thomas garderait toujours à l'esprit, avec une certaine nostalgie, les moments à travailler sous les ordres de celle qui fut archevêque de Lyon. Son admiration pour la duchesse d'Auxerre était quasiment sans borne, et l'énoncé de son nom fit disparaitre la déception de l'absence de baptême de Clelia pour laisser la place à un sourire oscillant entre la béatitude et la nostalgie.

Bien sûr, sans le baptême, le champs des possibilités d'investissement au sein de l'Eglise se restreignait drastiquement. Nettoyer les sols de l'Eglise ? Préparer les tisanes de l'archevêque ? -quoique même pour cela, il préfererai que la personne soit baptisée - Assassiner l'archevêque de Malines ? -non, on n'en était pas encore là -
Ca allait être compliqué de lui trouver une tâche. Mais Thomas eut tout de même une idée. Même si elle n'était pas baptisée, elle avait mentionné le nom d'Ingeburge, et cela valait presque tous les baptêmes du monde pour le vieux prélat qui avait eu l'honneur de travailler avec elle.

Si vous n'êtes pas baptisée, il va être difficile de vous trouver une place au sein des institutions de notre Sainte Eglise. Cependant, si vous aimez voyager, peut-être pourriez-vous servir d'escorte... C'est l'une des seules possibilité que je vois...

Je devrais partir en voyage dans le courant du mois de février... si cela peut vous intéresser... Et qui sait, par la suite, si vous arriver à organiser votre baptême, je pourrais vous proposer d'autres tâches vous permettant à la fois d'élever votre âme et de vous intégrer dans notre beau duché...

Le voyage n'était peut être pas la meilleure façon de s'intégrer dans un duché. Mais au moins, ça permettait de voir du pays et de se changer les idées. Ca ne pouvait pas faire de mal...

Clelia

« GROUMPF », c'était à peu près ce qui résonnait dans la tête de Clélia à ce moment-là. Si elle avait pu deviner les pensées de Thomas, nul doute qu'un petit « mais euuuh! » indigné se serait juxtaposé au précédent « Groumpf ».
Bah c'était pas de la faute des angevins s'il n'y avait personne pour baptiser ou pour faire les mariages chez eux. Elle avait fait sa pastorale avec un compagnon d'Aristote, vassale de son père. M'enfin, ils en avaient un de diacre mais étant aussi maire de la capitale angevine, il envoyait ses ouailles piller les marchés des autres villes pour agrémenter son marché hors de prix. Cela avait valu de sacrées prises de bec et un froid pur et simple entre ledit maire pilleur et la mairesse qu'elle était à ce moment là. Ajoutez à cela que le diacre était un coureur de jupons invétéré qui vivait aux yeux de tous avec une gueuse alors qu'il était noble, non marié bien entendu et qu'il avait préféré cette femme à la mère de ses enfants qu'il avait du coup abandonnés... N'importe quel fidèle normalement constitué aurait pu être un peu perturbé.

Mais c'était sans compter sur Ingeburge qui avait fait forte impression sur la jeune fille dès leur première rencontre. Alors maréchal d'armes, elle était venue attester de la validité du testament de Fifounijoli, mère de Clelia, alors mourante après un combat avec les armées mainoises. Le testament dans lequel la mère léguait à sa fille deux Vicomtés et une Baronnie avait été remis en bonne et due forme et cela aurait pu s'arrêter là. Mais Ingeburge s'était alors agenouillée et avait prononcé quelques paroles, un dernier hommage, une dernière prière, réminiscence d'un passé religieux pas si loin que ça.
C'est ce jour-là que Clélia avait pris la décision de se faire baptiser, mue par un élan qu'elle ne comprenait pas elle-même mais qui depuis ne l'avait pas quittée.

Bref, de toute façon, elle ne pouvait pas lire les pensées de son interlocuteur alors... elle l'écouta, puis une idée jaillit de son esprit, pouf, comme ça. Des fois, ça arrivait. Le plus souvent, elle courrait à la catastrophe la mettant en pratique directement sans forcément en peser le pour et le contre mais bon.

Hum... Nous avons déjà convenu d'une date de baptême. Il devrait se faire incessamment sous peu... et...

Inspiration, expiration.. Il l'intimidait tout de même Thomas, faut pas croire, alors demander ce qu'elle allait demander, avec le risque de se prendre un « non » dans la figure, ça lui faisait peur. Niveau 10 sur l'échelle de l'intimidation qui allait de 1.. à 10 justement. Elle n'hésita pas bien longtemps et se jeta à l'eau.

Et si vous voulez bien que je vous aide, je vous escorterai avec grand plaisir, ayant toujours apprécié les voyages...

Raté, elle ne s'était pas jeté à l'eau et avait juste éludé la question qui lui brûlait les lèvres. Revenir donc au sujet principal.

Et... justement, je.. je n'ai pas de parrain.. tout du moins... mon parrain était...

Le diacre coureur de jupons, pilleur de marché, qui ne voulait plus lui parler (très aristotélicien d'ailleurs)? Non.. mauvaise idée...

Angevin. Mon parrain était angevin et l'Anjou, c'est loin.

Noyer le poisson, noyer le poisson mais rester concentrée sur l'objectif.. et finalement, elle y arriva...

Donc, vous pourriez être mon parrain? Comme ça, vous pourrez veiller aussi à ce que j'approfondisse les rudiments que l'on m'a enseignés lors de ma pastorale. Le baptême va avoir lieu chez l'ordre cistercien.

C'était dit.
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*bombadil*

Thomas commença par répondre au sujet le plus simple : l'escorte.

Si vous souhaitez m'accompagner, je vous donnerai donc les dates, et la destination de notre voyage. J'ai encore quelques éléments à plannifier, aussi, reviendrais-je vers vous très prochainement.

Cela réglé, il s'agissait à présent de répondre sur la demande de la jeune femme. Le cardinal ne s'y attendait pas. Etre parrain à un baptême célébré par les cistérciens...
L'ordre cistércien ? Et puis quoi encore ? Se faire tatouer la bible réformée sur la cuisse gauche ? Cette fois, le cardinal ne put réprimer une petite une moue. Il n'aimait pas les cistérciens. C'était ainsi...
Il balbutia donc un début de réponse, bien loin de la netteté et de l'assurance des précédentes.

Et bien... hum... je... c'est-à-dire que... hum...

Puis, il repensa au motif de la venue de la jeune femme. Elle n'arrivait pas à s'intégrer dans le duché de Champagne, et se sentait perdu loin de chez elle. Est-ce que cela ne l'achèverait pas de rejeter sa demande. Aussi changea-t-il sa réponse, se forçant à sourire.

hum... ce sera un plaisir que de vous accompagner sur le glorieux chemin de la vertu.

Au moins, là, ce n'était pas mentir. Après, dire que ce serait un plaisir d'aller chez les cistércien, c'était une autre paire de manche. Mais soit, il prendrait sur lui, et prendrait également une caisse d'eau de vie de poire pour tenir le coup. Le salut des fidèles était à ce prix.
Thomas espérait ainsi rassurer Clelia.

Clelia

Elle aurait osé, elle lui aurait sauté au cou tellement elle était contente qu'il accepte. Mais elle n'osa pas, bien entendu, ça ne se fait pas.
Elle avait remarqué une petite moue réprobatrice mais peu importait, il avait dit oui et ça, c'était chouette!

Grand sourire, sa joie n'était pas feinte et s'affichait très clairement sur son visage.

Merci! Le baptême sera célébré par Frère Bardieu. Il n'y aura que moi, ma marraine et vous. Je ne tiens pas à ce que cela devienne un évènement mondain où toute ma famille va se retrouver.. non.. il y a les mariages pour cela et la route pour me faire baptiser a été suffisamment longue et semée d'embûches pour que je veuille profiter pleinement de ce moment, sans fixer tous les gens présents dans la chapelle.

Elle lui tendit un petit bout de papier où était écrits l'heure et le lieu. Très improvisé que tout cela, mais c'était ce qu'elle aimait aussi, se fier à ses sentiments et foncer.

Forum2, Eglise Aristotélicienne, Ordre cistercien, http://forum2.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=571040

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Clelia

[Quelques semaines plus tard]

Fraîchement revenue de Lorraine cette fois-ci, Clelia se précipita à la cathédrale, non pas guidée par un farouche désir de prier Aristote mais plutôt pour s'enquérir des nouvelles et des dispositions prochaines de son parrain, Thomas d'Azayes.

Fière, elle lui avait aussi amené le certificat de baptême que Frère Bardieu lui avait remis, ce document tant espéré depuis quelques mois maintenant et qu'elle avait craint ne jamais acquérir tellement la cérémonie s'était déroulée étrangement. En effet, Bardieu avait oublié son nom pendant l'office et s'était après lui-même oublié dans le baptistère.

Enfin bref, le document était là, dans sa main et c'est le cœur léger qu'elle arriva dans la cathédrale et se mit à chercher le Cardinal-archevêque. Mais point de Cardinal-archevêque en ces lieux. On lui apprit qu'il était parti quelques jours auparavant.

Une petite moue de déception s'installa sur le visage de la filleule, un rien déçue de n'avoir pas été prévenue de ce départ, alors même qu'elle était pressentie pour l'accompagner et même l'escorter.

Elle devait lui parler, elle devait lui apprendre une nouvelle que les rondeurs de son ventre annonçaient toutes seules à présent. Seulement, elle craignait trop sa réaction pour attendre qu'il s'en aperçoive de lui-même. Elle soupira. Si elle avait été moins intimidée par Thomas, elle aurait très certainement campé dans la cathédrale jusqu'à ce qu'il y pointe le bout de son nez. Seulement, la peur que ses sourcils ne se froncent en voyant une filleule attendre de pied ferme pour une urgence somme toute pas si urgente que ça et demander des comptes pour une absence qui ne la regardait pas, ça, ça lui faisait bien plus peur que le reste.

Donc elle remit à plus tard la confession, les aveux et tout le reste avec un nouveau soupir qui pouvait passer pour de la lassitude.. ou du soulagement.

Ainsi, elle avait un peu de temps pour trouver toutes les parades pour faire passer la mauvaise nouvelle avec plus de douceur se doutant bien qu'un petit « c'est pas de ma faute » n'allait pas être vraiment crédible devant l'Homme d'Eglise. Elle avait imaginé d'autres variantes bien entendu, comme « je ne savais pas qu'il allait se passer ça », « j'ai fait ça sans réfléchir », « je ne pensais pas tomber enceinte » mais aucune ne convenait vraiment.

Elle tenta quand même une énième fois d'interroger le clerc qui était là.

Et vous êtes sûr que vous ne savez pas quand il rentre? Il ne va pas rentrer aujourd'hui hein?

Puis voyons le regard excédé de son interlocuteur plonger dans ses yeux comme pour lui intimer l'ordre de se taire, elle baissa piteusement la tête et s'en retourna silencieusement.
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--Paul.

Le jeune garçon vint afficher un parchemin qu'on lui avait confié.

Nono18

Nono était un peu stressé. Il avait reçu la demande de Dame Coxynel, qui était son amie, pour faire l'office de son compagnon. C'était la première fois qu'il devait préparer un enterrement et il voulait que les choses soient le mieux possible.
Il avait donc pris contact avec différentes personnes pour que l'organisation soit parfaite.

...

Il se leva très tôt le matin pour rejoindre la Cathédrale.
Il vérifia que les parchemins de chant soit prêt, que les fleurs soient bien disposé, que l'emplacement du corps soit prêt et alluma toutes les bougies.

Quand tout les préparatifs fût fini, Nono monta au clocher. Encore des escaliers... et encore plus nombreux que sa petite église : et PAF tout pour les fesses ; déjà qu'il se les faisait pincer par ses fidèles féminines : ces escaliers n'allaient pas arranger ses affaires...

Pour la première fois, il entendit un nouveau son de cloche : plus triste, calme. On pouvait dire que le son était lui aussi en deuil.
Il regarda la vallée et vit que les villageois commençaient à affluer. Ils attendaient visiblement ce moment pour venir à la célébration.
Nono redescendit tranquillement du clocher en pensant à son discours. Il avait le temps, les villageois mettraient un petit moment à se rassembler.

Arrivée en bas, il se prépara. Il enfila sa soutane et alla se placer devant l'édifice pour accueillir les fidèles.
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Claptons54

claptons entendit les cloches de l eglise sonnait il prit le chemin de l eglise accompagne de son épouse il arrive sur le parvit vit le pere nono le salua et dit

bonjour mon pere

il entra dans l eglise se signa alla pres du corps de son ami le defunt polibee pria et alla s assoir
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Chaplume

Les cloches sonnaient à la cathédrale et Chaplume, qui se trouvait à Reims, ne pouvait ne pas se rendre à la cérémonie en mémoire du Capitaine Polibe. Certes elle l'avait peu connu mais il était de Conflans lui aussi et surtout le compagnon de Coxynel.

Elle sortit de l’auberge où elle résidait dans la capitale, bien emmitouflée dans sa cape et rendit à la cathédrale. Elle salua Nono qui se trouvait sur le parvis puis pénétra dans l'église et s'installa sur un banc du fond, comme elle en avait l'habitude à Conflans.

Coxynel

19 février 1460 - Reims

Elle était partie la veille de Troyes après avoir laissé en ordre les rapports de la vigie et de l'Amirauté. Le nourrisson avait été confié à Brewen, sa nourrice homme... Ce n'était pas sa place ici et puisque le contact de sa mère le faisait pleurer sans arrêt, autant le laisser à sa nounou d'enfer qui saurait s'en occuper bien mieux qu'elle. Et de son père, l'enfant n'avait à connaitre que les souvenirs qui lui seraient comptés... et pas assister à son enterrement.

Après une nuit à l'auberge, elle avait revêtu une robe orangée, précédemment portée pour un mariage. Cette tenue pourrait étonner par sa couleur... Mais qu'importe, elle, elle savait pourquoi elle la portait. Elle se dirigea ensuite vers la cathédrale, doucement, emmitouflée dans sa cape, observant la nature qui se réveillait. Un écureuil traverse et rejoint l'arbre le plus proche pour se cacher. Un bout de mauvaise herbe émerge malgré la couche de neige.... pourtant même la mauvaise herbe peut mourir parfois...

Elle poussa la lourde porte alors que les cloches commençaient à résonner... le visage impassible mais le coeur serré. Son ange pourrait bientôt être accueilli par le Très Haut. Et quand bien même il n'était pas un fidèle forcené, Polibe était un homme bon qui avait toujours oeuvré pour le bien, prévenant avec ses Loups et avec elle et ce malgré son caractère parfois ombrageux.

Elle prit place sur un banc en silence après une génuflexion dans la nef, en face de l'autel, les larmes au bord des yeux... Mais elle s'était promise de ne pas pleurer... Pleurer était la marque des faibles. Et faible, elle l'avait été suffisamment été ses dernières semaines.
Puis après une courte prière, elle aperçut Nono et alla le saluer.

Bonjour Nono. Merci pour ce que tu fais. Sans toi et l'aide de son Eminence Bombadil, je crois que je serais encore embourbée dans des démarches infructueuses.

Puis elle le laissa accueillir les fidèles.
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Ptifou

les cloches avait sonner elle signifiait qu'il était l'heure un triste moment que de dire un dernier aurevoir a un CR ,un chef exemplaire un amis. il avait nettoyer ces vetement et avait nettoyer son épée ainsi que son bouclier, c'est le coeur lourd qu'il s'avait dans la cathedrale en entrant il y avait deja clapton 54 et nono18 et chaplume il les salua

bonjour a vous.

puis ce drirga sur un banc pour s'installer et priée pour Polibe en attendant que tous soit arriver.

Tayla

Elle ne l'avait pas cru dans un premier temps de l'annonce du décès, acceptant avec mal de le savoir disparu. La donzelle le connaissait peu mais de ce qu'elle en avait vue de lui avait suffit pour estimait le Capitaine qu'il fut.
C'est tout naturellement qu'au son des cloches ce matin là que Claptons et elle décidèrent de ce rendre à l’église pour apporté un dernier hommage au Capitaine Polibe.
Claptons avait secondé son épouse pour l'aider plus rapidement à se préparer et c'est d'un pas lent et d'une démarche de canard que Tayla prit la direction de l'église au bras de son époux.
Tayla salut également le père Nono et entre à la suite de Claptons, se signe et attend derrière lui qu'il fasse hommage au Capitaine.

Que le Très-haut veille sur votre âme...Vous nous manquerez...

La donzelle rejoins son époux qui l'aide à s'assoir, les mains se posent sur son gros bidon...
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Vabou

Vabou arriva a la Cathédrale Saint Himérius avec un air très triste, c'est sont amie général hersent qui lui avait dit qu'une cérémonie aurait lieux pour la mort du capitaine polibe. certes vabou n'été pas un proche mais il tenait a être présent car cette homme été une très grande personne. une fois arriver dans la Cathédrale il salua sont ami le curé nono qui allez sans doute célébré la messe vue qu'il est curé. en attendant le début de la cérémonie plein de souvenir remonta dans la tête de vabou surtout les plus proche quand le capitaine les mener pour défendre le duché courageusement, tout sa été si proche que vabou en avait les larme au yeux.

Maxdph

Arrivé à la Cathédrale, Max a son habitude pris place au fond de l"édifice.
Il venais faire ses adieux à son Capitaine.

Assis dans l'ombre, les yeux fermés, il revoyait son arrivée à la caserne.
C'était le 1 septembre dernier. Le Capitaine Royal Polibe l'avait accueilli et guider, avec bien vaillance, durant toute la campagne contre nos ennemis.

Il s'associait également à la douleur de ces proches.

Ysa

Le 19 février ... date que la Duchesse de Jouarre s'était promise de ne pas oublier. Elle se prépara donc pour ce triste jour et partie accompagnée par son époux jusqu'à la Cathédrale de Reims. Les suzerains connaissaient l'homme qui les avait quitté il y a peu, Amory le connaissait sans aucun doute bien mieux que son épouse, mais tout deux avait apprécié le Capitaine Royal qui n'avait pas compté ses heures durant le conflit.

Puis ... en tant que suzerains et surtout en tant qu'amis, ils se devaient d'être là pour Coxynel qu'Ysa ne pouvait que comprendre.

Vêtu assez modestement compte tenu de leur rang, le couple ducal entra dans la cathédrale et s'avança jusqu'à leur vassale de choc. Sans un mot, Ysa prit la main de Coxy dans la sienne et la serra doucement en signe de soutien et de réconfort. Que dire dans pareille situation ? Les mots étaient si peu comparés à la douleur ressentie.
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Maltea

[Matin du 19 février, Hôtel de la duchesse à Reims]

La matinée avait beau être plaisante niveau climat, l'hiver laissant doucement la place au printemps sur les terres champenoises, le coeur d'un grand nombre de champenois devait se confronter à une sombre annonce tombée il y avait peu... l'ancien CR s'était envolé vers d'autres cieux alors que rien n'avait pu prévoir ce cas de figure. En cette journée avait lieu les funérailles de cet homme qui avait laissé une future épouse et un mouflet peut-être même pas encore né... il faut dire que Maltea n'avait pas suivit la grossesse de sa chevaucheuse... elle avait déjà du mal avec les siennes alors avec celles des autres.....
C'est donc à Polibe, un homme qui n'avait pas hésité à dire merd* à un tyran en envoyant au diable son fief, qu'elle pensait... allongée sur sa couche les yeux fixés sur le plafond de la chambre.
Ses yeux finirent par s'en détacher et vinrent se poser sur le corps masculin reposant à ses côtés dont seule la respiration sereine prouvait la vie. Elle lui en avait fait voir de toutes les couleurs, il avait été patient, et elle avait finit par l'écouter et comprendre les paroles prononcées.... le cheminement n'était pas facile, elle le savait et lui aussi, mais le premier pas avait finalement été fait... elle espérait sincèrement que Coxynel trouverait une personne qui ferait pour elle, ce que l'homme à ses côtés avait fait pour la sortir de son tourment... la mort laissait toujours des séquelles dans l'entourage où elle frappait, c'était un fait et tout le monde y avait été ou y serait confronté, mais le plus difficile était de tourner la page d'une histoire et cela, c'était d'autant plus difficile quand c'était la vie de l'homme qu'on aimait qui s'éteignait en un claquement de doigt, surtout lorsque l'on ne s'y attendait pas, surtout si jeune... la mort... elle aussi faisait partie des risques de l'amour, voir peut-être le pire de tous. Les blessures laissées par une rupture étaient bien plus aisées à faire disparaitre que celle laissée par un ultime départ alors que tout était encore à construire.
Maltea avait mis des années avant de se rendre compte que se retourner sans cesse sur le passé lui avait caché la source de bonheur qui était pourtant là, à deux doigts... et oui après toutes ces années, elle avait finalement réussi à faire au lieu de dire sans pour autant agir... il lui avait fallu un déclic pour reprendre son avenir en main. Certes ce n'était qu'un petit pas, mais elle avait maintenant la volonté d'en faire de plus grands... tout comme Coxynel le ferait un jour, mais il faudrait que cela vienne de la bonne personne, de la seule et unique qui trouverait de par sa patience, la faille où insérer les bons mots... il faut que tu fasses ton deuil avant de penser à aimer de nouveau.
Mais aujourd'hui, personne ne pourrait le dire à Coxynel, non, c'était trop récent, trop frais, et même si elle se montrerait courageuse en cachant son chagrin, elle ne tromperait personne et surtout pas la jeune blonde qui pouvait comprendre ... pour une fois.
Elle se tourna de côté et le regarda un moment dormir avant de finir par se lever... il était temps qu'elle se prépare si elle voulait honorer la mémoire de Polibe.

[Plus tard, Cathédrale Saint-Himérius]

« Courage Favara, ce n'est qu'un mauvais moment à passer, tu peux le faire » se répétait inlassablement la duchesse pour se donner la force de pénétrer dans l'édifice. Les funérailles, déjà qu'elle n'avait jamais aimé ça au même titre que les mariages ou encore les baptêmes avant le trépas de son époux, lui était d'autant plus difficiles depuis.... sans parler de sa cousine.... dont la mort était encore inconnue de tous, la duchesse ayant pris soin de la cacher, du moins pour le moment, ayant ses raisons. Il faudrait qu'elle se décide d'ailleurs à trouver une histoire plausible pour expliquer sa disparition. La blonde duchesse finit par se décider et pénétra les lieux saints avant de prendre place dans le fond de l'édifice....
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Yunab

Elle fit une arrivée discrète au sein de la Cathédrale Saint-Himérius...c'était en général le genre d'endroit qu'elle évitait, enfin c'était, parce que ces derniers mois, il était plutôt fréquent de pouvoir l'y apercevoir, elle avait bien dut s'y résoudre pour son propre mariage, diverses cérémonies, les funérailles récentes de sa sœur ainée...non, elle n'avait jamais aimer les églises, c'était comme cela, trop de mauvais souvenirs, bien trop d'adieux qui lui laissait encore aujourd'hui, beaucoup de regrets et d’amertume.

Elle laissa son regard parcourir un instant l'édifice, cherchant du regard ereon, c'étant encore séparer la veille sur une dispute, elle n'avait pas eu le temps de lui demander si il y serait présent, ce qui était loin d'être sure, vu la façon dont elle lui avait annoncé qu'il allait être père, plus par peur que par colère...

La duchesse, se faufila jusqu'au premier banc qu'elle trouva de libre et s'y installa, aujourd'hui était encore un de ces jours ou la champagne pleurerait un grand homme.
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Hersent

[La caserne des Loups, le bureau du GEC]

Elle rangeait les divers papiers qui traînaient sur son bureau, elle les rangeait sans cesse et n'avançait pas, ses mains virevoltaient mais ne rangeaient rien car elle brassaient de l'air, car elles s'agitaient pour masquer la douleur qui l'étreignait en ce triste jour de février.

Elle finit par retrouver un semblant de calme et prit le parchemin où était écrit le discours qu'elle avait promis de dire en mémoire de Polibe...Polibe, SON SEUL et UNIQUE Capitaine Royal...son grand frère qu'elle ne pourrait, et ne voulait, jamais oublier.

Elle avait hésité sur la tenue à porter en ce jour de funérailles, elle n'avait eu l'idée de commander aux couturières un uniforme pour ce genre de funeste occasion.
Après avoir tergiversé, encore une bonne excuse pour ne pas penser à ce qui allait se dérouler à Saint-Himérius, elle choisit son uniforme de cérémonie vert, celui avec la houppelande fourrée...le vert couleur de l'espérance, espoir en une vie meilleure loin de toutes les souffrances pour l'homme qu'elle aimait d'amour fraternel et qu'elle admirait.

Elle ceignit son baudrier dans lequel était glissé le fourreau de son épée gravé à l'effigie des Loups de Champagne, sortit de son bureau puis de la caserne pour se rendre, à pieds...encore un subterfuge pour retarder l'inéluctable.
Elle avait pris soin de faire déposer à la chapelle de caserne un paquet soigneusement emballé...la tenue d"hiver que les Loups avaient commandée aux Doigts d'Or, tenue que son Capitaine ne porterait jamais mais qui l'accompagnerait dans sa dernière demeure.

[Saint-Himérius]

La solennité du lieu était toujours émouvante, elle entra, trempa le bout de ses doigts dans le bénitier, fit un signe de croix et s'avança vers le choeur, vers le cercueil où reposait Polibe.

Les Loups étaient là, dignes, droits comme s'ils étaient au garde à vous, ils avaient le regard voilé de ceux qui perdent un des leurs, un frère d'armes.
Les civils qui avaient combattus sous les ordres de Polibe, dans Hypérion, la belle, la sublime armée Hypérion, étaient là, fidèles, pour lui rendre un dernier hommage.
Les Orléanais étaient aussi avec eux, en pensées qui volaient vers Polibe comme autant de messages de respecteuses amitiés.

Les duchesses Ysa, Yunab et Maltea étaient présentes aussi et cela lui fit chaud au coeur que Coxynel soit si bien entourée.

Elle avançait dans la nef, le regard fixé sur le cercueil, sa vue se brouillait de temps en temps, un léger clignement de ses iris faisait refluer l'humidité salée des perles du chagrin.

Ses pas la dirigèrent vers Coxynel et Nono qu'elle salua amicalement, se disant, de manière fort incongrue, qu'elle aurait bien pris quelques lampées de vin de messe pour se donner du courage.

Bonjour Nono, et merci encore pour tout ce que tu as fait afin que nous puissions accompagner Polibe dans son dernier voyage. Coxynel m'a raconté que sans toi et Son Eminence Bombadil, l'hommage religieux n'aurait pu se tenir en ces lieux.

Puis elle s'approcha de son amie Coxynel, lui serra doucement le bras pour lui dire combien elle partageait sa peine. Elle lui chuchota quelques mots avant d'aller rejoindre, au premier rang, à gauche du cercueil, les Loups, la Famille du Capitaine.

Coxynel, nous sommes là, pas loin de toi, nous t'épaulerons sans faille. Je.. j'ai...préparé un discours, enfin quelques mots...pour tout à l'heure. Je..je rejoins mes Loups.

Un léger salut militaire vers ses soldats puis elle prit place parmi eux, droite et douloureusement triste.
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Legolas.

C’est à Jouarre que Légolas a appris la funeste nouvelle concernant Polibe et qui dit décès, dit forcément enterrement. On peut dire que ça change d’un baptême ou d’un mariage mais le jeune Elfe a horreur des messes funèbres. D’ailleurs, qui aime assister à ce genre de cérémonie ? Pourtant, il se doit d’y aller afin de montrer à Coxynel qu’il est là pour la soutenir dans cette douloureuse épreuve.

Le blondinet avait chevauché depuis Compiègne et c’est au bout de 2 jours de voyage qu’il arrive à Reims et plus précisément à la cathédrale Saint-Himérius, guidé le son triste des cloches. L’adolescent rentre dans le grand édifice et se place dans le fond comme à l’accoutumé, aux côtés de Maxdph et de Maltea. Petit signe de la tête en guise de salut aux personnes qui se trouvent à côté de lui.

Déjà qu’il n’aime pas les enterrements et les cérémonies religieuses en général qu’il trouve très ennuyeux mais il tenait à être présent pour Coxynel et rendre un dernier hommage au Capitaine Royal qui s’est beaucoup investi pour les défenses du duché.
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Suzette

Suzette était d'humeur maussade.

Elle s'était préparée avec nonchalance, ayant l'impression que chaque seconde durait des heures, ayant tenté de se dire que tout cela n'était qu'un mauvais rêve mais en vain.
La réalité était bien là ; douloureuse et définitive. Polibe s'en était retourné vers le Très Haut.
Elle enfila son uniforme des Loups, la gorge serrée.

Dans sa tête défilaient les images de sa première rencontre avec le défunt.
L'auvergnate avait fait ses débuts sous ses ordres. Elle n'avait alors jamais brandit les armes, n'y connaissait rien à la guerre et ne savait même pas faire un salut correct mais Polibe avait su la guider, l'aider et lui donner confiance. Ce capitaine avec des qualités humaines remarquables.
Sa disparition laissait un grand vide.
Ses pensées allaient aussi à sa compagne et à l'enfant né de leur union.

Elle se rendit à la cathédrale.
En entrant dans la bâtisse austère, elle se signa et remonta la nef pour se placer près des Loups déjà présents. Elle salua les personnes présentes d'un léger signe de la tête.
Les visages étaient fermés, l'heure au recueillement.

Son regard se posa sur le cercueil et sa gorge se serra d'avantage.
Elle baissa la tête et récita le credo.
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Kelso

Et encore un ami rappelait bien trop vite. Sans prévenir, sans un mot, sans rien, même pas un signe, un geste pour l’avertir, non cette fois encore, elle frappa sans rien dire sur un homme de qualité. Polibe avait été un des meilleurs, voir même le meilleur des CR que la Champagne connu depuis bien longtemps. Il avait gérer la caserne, ces hommes, cette guerre sans relâche. Prendre des décisions qui font peur à certain, lui, il n’en avait jamais eu peur.

La consécration fut simplement la remise de fief au Consort. Il aurait prétendre à bien plus qu’une seigneurie, mais non, sachant pertinemment que sans cette noblesse, il ne pourrait épouser la femme qu’il aimait, il avait tout de même rendu cette couronne qui lui polluer le haut du crâne. Montant les marches en suivant la cadences des cloches, il se signa devant le parvis, salua rapidement Nono et entra.

La Cathédrale se remplissait, ce qui le rassura au fond de lui. Il ne manquerait plus que certaine personne ne daigne venir faire une dernier hommage. Il fila s’installer à côté de son amie, Champagne sans rien dire et attendit la suite.
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Alienor_vastel

Les cloches qui sonnaient dans l'air encore froid qui recouvrait la capitale champenoise accompagnaient leurs pas à mesure qu'ils gravissaient les marches de la cathédrale. Dieu, qu'Aliénor aurait voulu être ailleurs à cet instant présent, elle qui répugnait aux cérémonies quelles qu'elles soient, et a fortiori lorsqu'il s'agissait d'un enterrement.
Pensées qui reviennent presqu'un an en arrière, lorsqu'elle avait franchi les grilles de Châlons, la première fois qu'elle avait rencontré Polibe, cet homme bourru et peu disert auquel hommage était rendu ce jour. Si par après, lors de la guerre, elle lui en avait voulu pour le peu de cas qu'il avait fait des civils qu'il envoyait au front, qui y avaient été blessés sans que quiconque ou presque ne s'en émeuve, elle ne pouvait oublier que son courage, et celui de Lanna, avait sauvé la blondinette d'un sort peu envieux lors de cette soirée dans les bas fonds rémois lorsqu'ils s'étaient trouvés mélés à une bagarre d'ivrognes au printemps de l'année précédente.

C'était peu après ça d'ailleurs qu'elle s'était rendue compte de son erreur d'avoir rejoint la GM d'Armantia et qu'elle en avait claqué la porte. Il avait fallu davantage de temps à Polibe pour l'imiter, mais, si elle n'avait rien eu à perdre pour ce qui la concernait, ne récoltant que le mépris de celui qui n'était encore que vicomte, un mépris dont elle se fichait comme de sa première chainse, le CR quant à lui, avait perdu tout espoir immédiat de lier sa vie à celle qu'il aimait...
Coxynel... c'était pour elle qu'elle était là, par amitié et affection envers la jeune femme. Aliénor savait combien il est douloureux de perdre ceux qu'on aime, et combien le deuil peut être long et difficile. Et combien d'être entourée, soutenue, peut aider... un peu... elle ne pouvait que le lui souhaiter, du fond du coeur.

La blonde adolescente glissa en frissonant son bras sous celui d'Aimelin alors qu'ils pénétraient dans l'édifice. Un clignement de paupière, le temps de laisser ses yeux s'habituer à la semi pénombre qui contrastait avec la luminosité extérieure.
Avant d'entraîner le jeune seigneur pour aller prendre place en silence aux côtés de sa suzeraine.
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Au ralenti cause vacances

Cedmisc

[Le 19 février au matin, dans une chambre]

Les rayons de soleil qui passaient au travers des carreaux de la chambre l'avaient réveillé. Seul dans la pièce, étendu sur le lit, le regard fixé sur le plafond, perdu dans ses pensées. Elles se tournaient vers les personnes disparues, qu'elles aient œuvré pour la Champagne ou soient des connaissances, des amis voir plus...

Son regard se tourna vers le costume qui trônait sur une table. Comme bien trop souvent il lui faudrait à nouveau l'enfiler et affronter l'ambiance froide d'une église. Quoique cette fois ce serait plutôt une cathédrale, Polibe de par son engagement ne méritait pas moins que ça. Un de plus qui avait quitté la terre champenoise. Un de plus...

Il s'étira et se mit debout. Il était temps de se préparer s'il ne voulait pas être en retard.

[Cathédrale Saint-Himérius]

Le majestueux bâtiment se dressait devant lui en cette douce journée d'hiver. Ils pénétrèrent dans l'édifice. Du beau monde était déjà présent. Cedmisc savait que la cérémonie serait difficile pour la duchesse de Brienne, qu'il accompagnait. Elle lui rappelait à lui aussi de mauvais souvenirs mais il se devait d'être présent pour Coxynel. Elle allait traverser des moments difficiles et si la présence des personnes en la cathédrale n'atténuerait pas la douleur, ce serait un premier pas vers le deuil et le renouveau de la jeune femme.

Il s'installa à côté de Maltéa, en retrait. Quelques instant plus tard, il salua Aliénor et Aimelin qui venaient prendre place à leurs côtés.

Aimelin

Des cérémonies, des mariages, des enterrements.. combien en avait il fait dans sa jeune vie. Le dernier enterrement auquel il avait voulu assister, avait eu lieu dans la plus simple des églises pour finir dans ce petit cimetière à l'orée d'un bois. Il détestait ces lieux de mort préférant se rappeler de ceux qu'il aimait lorsqu'ils étaient en vie et souriant.

Il serra l'anneau qui pendait à son cou et gravit les marches de l'église avec Aliénor. S'il était là ça n'était pas pour l'homme qu'il ne connaissait pas et qu'il n'appréciait que très peu vu son attitude, les faux semblants, ça n'était pas pour lui. Il était venu pour Coxynel parce qu'elle était une jeune femme pleine de qualités, dont il avait fait connaissance durant leur séjour au sein de l'armée Toujours bleu, et qu'il avait fini d'apprécier alors qu'elle était porte parole et qu'ils travaillaient ensemble au sein du conseil ducal. Il savait ce que c'était de perdre l'être auquel on tient le plus. Tout s'écroulait et si personne n'était là, le vide nous attirait. Il lui faudrait du courage et du soutien.

Il s'installa et salua déjà ceux présents avant de partir doucement dans ses pensées.
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Merci aux merveilleuses rpistes avec qui je joue

Xilon

N'y va pas... tu t'en fiches, tu fais comme si tu ne savais pas!

Vas-y! Pour elle...

Mais tu le connaissais pas, qu'est ce que ça peut bien faire, personne ne s'en rendra compte si tu n'es pas là.

Elle, elle le saura. Elle l'aimait, tu dois y aller. En plus, elle t'a parlé de lui à plusieurs reprises, et tu sais bien quels étaient leurs projets.

Elle n'est même pas venue te voir avant alors qu'elle a bien dû résider à Reims cette nuit. Elle est ingrate.

Non, elle ne voulait pas déranger. Vas-y, tu es sa famille.

N'y va pas! Regarder chialer des gens sur un cercueil, tu as mieux à faire, non ? Regarder ta vigne pousser par exemple.

Dixit l'ange et le Démon qui siègent dans ma tête.
Que faire ?
Les enterrements, c'pas ma tasse de tisane puis me rendre à l'Eglise non plus. J'suis pas une bigote moi! Enfin un bigot plutôt. Mais c'ma tante et j'l'aime. Puis c'tait un homme bien, il parait, son Capitaine. Alors j'y vais, c'est décidé.

Dans ma tenue barriolée – j'aime la couleur, ca pose un problème ? – me voilà en route vers l'église. J'm'engoufre dans le lieu saint. Mazette, y a foule déjà. J'file m'installer près de ma tante, passant ma main dans la sienne, un signe de tête en guise de bonjour au couple qui est à ses côtés.

Hersent

Un éclair très coloré passe dans son champ de vision...un oiseau des Isles se serait-il échappé d'une noble volière? Petit regard du coin de l'oeil qui tombe sur un drôle de loustic vêtu de manière invraisemblable tant l'harmonie des couleurs ne semble pas être le souci de celui qui est dans les vêtements.

Elle dresse légèrement un sourcil, étonné quand elle remarque que l'oiseau en question glisse sa main dans celle de Coxy. Qui peut-il être??? Puis, c'est l'illumination: mais oui c'est bien sûr...son neveu, Xilon! Diantre, brrrr quel festival de couleurs...elle lui avait toujours écrit, elle ne l'avait jamais vu...elle ne l'imaginait pas si...si...de style bariolé, un peu comme un fou du roi ou un saltimbanque. M'enfin, l'avait l'air bien sympathique ce très jeune homme.
Elle était contente qu'un membre de sa famille soit aux côtés de son amie Coxynel en ces douloureux moments.

Elle replongea dans ses prières, la rétine encore empreinte d'images colorées...et cela ne venait pas des vitraux!
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Antonin_

Père et mère lui avait dit que le chéri de Cochy avait rejoint Papi. Ca voulait peut être dire qu’il serait sur le nuage avec lui. Il n’avait pas très bien compris cette notion de départ, chose qu’il refusait de croire à tout jamais. Il avait d’ailleurs demandé au Môsieur qui vivait tout la haut de ne plus le faire grandir pour ne jamais partir à son tour. Il suivit ces parents sans rien dire, c’était rare les moments de répit pour les parents avec ce gosse. Il ne comprenait pas donc il ne comprenait pas pourquoi il ne devait pas faire de bruit dans la Cathédrale.

Il entra en suivant sa mère de très près. Les gens étaient triste … pourquoi ? Il n’aimait pas du tout cette Grande Maison. Il faisait froid en plus. Maman alla s’assoir à côté de sa Cochy et lui resta au milieu de l’allée, paniqué. Vite, un visage connu pour le rassurer et … voila. La jolie dame était là aussi, derrière lui. Il fit un signe des plus étranges à sa mère pour l’interpeller mais elle ne devait pas le voir donc, il fit ce qui lui semblait bon :

Maman ! Je vais avec Maty !

Et up, petite course pour se frayer une place à travers les jambes et il lui tira sur la main pour signaler sa position d’un large et grand sourire. Mais voila, il n’y avait plus de place pour lui. Une dame ici, et un homme la, il irait où lui ? Sur les genoux pardi.

Il lui tendit les bras en commençant déjà à se faire une place.

*bombadil*

{A la bourre, mais juste un peu}

Le cardinal revenait de voyage. C'est la raison pour laquelle il avait confié la tenue de la cérémonie au Père Nono en qui il avait toute confiance. S'il avait été sûr d'être présent à temps, il aurait bien entendu officier en personne pour rendre un dernier hommage à l'ancien capitaine royal.
Il avait bien fait, puisque finalement, son carrosse passa les portes de la ville de Reims lorsque les cloches finissaient de sonner.
La cérémonie débutait à peine quand il entra dans la cathédrale aussi discrètement que le pouvait un cardinal pénétrant dans une cathédrale.

C'était bizarre de la voir sous cette angle, finalement. Il était habitué à la voir depuis la place de l'officiant. Est-ce qu'il avait l'air si petit que Nono le paraissait derrière l'autel ?

Le cardinal s'installa dans les rangées du fond, pas très loin de Brienne, afin de ne pas troubler la cérémonie.

Maltea

Sus à Malty aurait-on pu crier au sein de l'édifice religieux.... à croire que la place qu'elle avait choisie était celle de roi, car plusieurs champenois vinrent l'y rejoindre. C'était d'ailleurs tout juste si le pauvre Cedmisc ne se faisait pas écraser. Pauvre amour, il en voyait avec elle, et même quand ce n'était pas de sa faute, les autres s'en chargeaient.
Signe de tête à Légolas qui s'installait près d'eux, suivi de près par un Kelso silencieux qui devait en avoir gros sur le coeur et à qui elle tenta d'offrir un sourire, mais la situation était difficile pour elle et le sourire ne vint pas. Autant elle n'avait pas peur de la mort en ce qui la concernait autant voir partir ses connaissances et ses amis lui mettait la trouille au ventre... La jeune blonde couronnée glissa sa main dans celle de Cedmisc entrelaçant ses doigts aux siens et la serra.... il était en quelque sorte son roc, un océan de tranquillité alors qu'elle était le volcan en éternelle fusion explosant pour un oui ou pour un non. Aliénor et Aimelin vinrent les rejoindre. Le silence était des plus lourd à supporter et le regard de la duchesse fut accaparé par une silhouette colorée qui termina son chemin en se glissant à côté de la « veuve ». alors qu'elle se demandait qui pouvait être cette personne qui pourtant lui disait quelque chose, elle sentit que l'on tirait sur sa main libre.... Alors qu'elle allait houspiller Kelso, se demandant ce qu'il lui prenait, son regard tomba sur un grand et large sourire affiché sur une bouille qu'elle ne pouvait pas oublier... Anthonin... c'était donc lui le responsable! En fait c'est le petit homme qui avait trouvé la place du roi et qui le faisait clairement comprendre en lui tendant les bras et s'imposant pour grimper sur ses genoux.... elle répondit donc à son appel, lâchant la main de Ced afin de hisser le mini duc sur elle, déposant un léger baiser sur sa tête, l'enserrant à la taille d'un bras pour ne pas qu'il glisse, son autre main, venant rejoindre celle du seigneur de Septmonts. C'est ce moment là que choisit le Cardinal Bombadil pour prendre place, lui aussi non loin d'elle.
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Nono18

A force d'attente devant les portes de la Cathédrale, Nono commença à voir arriver les Champenois.
Il vit beaucoup de monde affluer pour ce dernier "au revoir". Évidemment, il était content de voir cela, pour Coxy, mais la pression commençait à monter pour lui... Il n'avait jamais fait d'enterrement et n'y avait, par chance, jamais assisté.
Rappel toi l'Homme qu'il était et surtout pour qui et pourquoi tu le fais.

Il salua tout le monde qui rentrait dans l'office avec une légère révérence, même pour les personnes qui ne l'avait point vu devant les portes.
Il échangea des mots avec Coxy et Hersent, qui visiblement était content que je sois présent pour faire la cérémonie.

Au bout d'un moment, Nono regarda le soleil qui était déjà bien haut dans le ciel. Il était temps de commencer.

Il passa les portes de la Cathédrale grande ouverte et commença à remonter l'allée. Il vit que beaucoup de monde était au fond , cela était dommage car la famille devait se sentir un peu seul. Il invita les personnes à s'asseoir plus en avant s'ils le souhaitaient.
Il poursuivit sa remontée lentement. L'orgue commença à jouer un morceau magnifique mais également triste : parfait pour ce moment.
En poursuivant son parcours, il vit qu'il y avait également du monde devant... Il n'avait pas imaginé que la Cathédrale soit pleine à craquer à ce point. Il avait pourtant vu rentrer tout ce monde : incroyable.

Il arriva devant le corps de l'ex-Capitaine. Il s'agenouilla devant et murmura une prière que seul lui pouvait entendre.
Il se releva, monta les quelques marches et se retourna vers l'assistance. Il fit un signe de tête aux enfants de cœur pour qu'ils referment les portes mais les latéraux restèrent ouvertes pour les retardataires.... car la Champagne était connu pour cela.
Argf, j'ai pas pris de vin de messe pour la route....heureusement, dans une petite heure, je vais me faire "un cul sec" sauf si..... ah ba oui, Son Eminence est là! J'espère qu'il m'en laissera un peu....
Nono rit intérieurement de sa bêtise, tout cela pour se détendre ; qu'est ce qu'il ne devait pas faire...
Est ce que Bombadil va me rejoindre?
...
Visiblement non.
Et bien, c'est parti!

Mes chers Amis,
Si nous sommes tous réuni ici, c'est pour entourer de notre amitié une famille qui est dans la peine ; évidement, nos premières pensées vont vers elle mais également, à la Champagne, qui a perdu un grand homme.
C'est aussi l'occasion pour nous de nous remémorer son souvenir, avec toutes ses bonnes actions et permettre au Très Haut de l'accueillir prêt de lui.

Nono alla à coté du cercueil et plaça une main au-dessus et commença sa prière :

Je confesse à Dieu Tout puissant, à tous les Saints, ainsi qu'à vous, ici réunis, parce que j'ai pêché, en parole, en pensée, en action. Je supplie tous les Saints et vous mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde son pardon, l'absolution et la rémission de tous nos pêchés.

Nono se remis à sa place d'origine, regarda les villageois.

Je vous invite à réciter le crédo d'une même voix.

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Hersent

Les bancs se garnissent rapidement, Nono revient vers le choeur devant lequel se trouve le cercueil où repose l'homme qu'elle a tant aimé et admiré. Ohhh, ils se sont maintes fois disputés, pour ne pas dire pire, portes de bureau claquées, verbe haut, petites phrases assassines, bouderies...comme dans les vieux couples ou les fratries unies malgré leurs coups de gueule.... Pourquoi ne lui a-t-il pas dit combien il souffrait, pourquoi est-t-il parti sans lui laisser le moindre mot??? Pourquoi, pourquoi? Elle lui en voudrait presque si elle ne lui avait pas déjà pardonné le silence dont il avait choisi d'entourer son départ vers un ailleurs plus doux.
Elle fixe le cercueil et reprend le début de la prière, ces mots qui apaisent et consolent:

Je confesse à Dieu Tout puissant, à tous les Saints, ainsi qu'à vous, ici réunis, parce que j'ai pêché, en parole, en pensée, en action. Je supplie tous les Saints et vous mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde son pardon, l'absolution et la rémission de tous nos pêchés.

Puis c'est le Credo, cette prière qui soulage tant de maux, ceux que l'on peut dire comme ceux que l'on tait.... Polibe, puisses-tu nous entendre de là où tu es! Puisque tu pars....et que nous n'avons pas su te retenir*:

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

AMEN

hrp:* Puisque tu pars de JJ.Goldman

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Cortes_

'Tain, il était en r'tard, lui qui détestait ça. Tssss....tout ça à cause, ou grâce?, à la donzelle gironde qui l'avait accueilli dans sa couche.
'Tain, il est l'dernier, fait ch****.

Hop, hop, un ti coup sur l'uniforme pour le lisser, enfin...faire en sorte qu'il soit présentable ...et m**** y a un trou sur l'genou. Pffff. Les gens vont finir par croire que l'Ost est une armée de gueux en guenilles se battant à mains nues...héhéhé mais collant des raclées quand même aux nuisibles.Aahhh, le bon cureton a laissé les portes latérales ouvertes...
il se glisse par l'une d'elles, trempouille le bout des doigts dans le premier bénitier venu et cherche du regard ses frères et soeurs d'arme. Il hallucine...ces c*** sont tous devant...'Tain pour la discrétion, on r'pass'ra.
Petite inspiration...Mon Cortès, t'es couillu, 'c'pas, donc t'y vas, la tête haute en plus. Petits regards à droite et à gauche de la nef: y a du beau linge, ça fleure bon le nobliau en parade...y a même que ça on dirait. Tiens...l'ducaillon est là...humpf et à une bonne place en plus...par Aristote, Elle est là l'Apparition et à côté de ce pécore de ducaillon! Aucun goût cette femelle!Bon, Cortès, t'arrête là un peu tes c****neries, et t'avances sinon l'autre harpie de GEC va encore t'engueuler et te coller la corvée de latrines ou encore pire...elle t'enverras au baquet d'eau chaude chaque jour! Tiens, d'ailleurs où t'est-ce qu'elle est?
regard d'acier courant vers le choeur...la voilà le GEC et toujours impeccable, pffff...c'est qu'elle est sexy en plus...pour une brune typée.Il s'avance en silence, le regard fixé vers le banc des Loups, puis magistral, se glisse à leurs côtés, saluant légèrement de la tête le GEC qui le foudroie de ses noirs iris. Il sourit intérieurement...il adore quand elle le regarde comme ça, avec l'envie de lui secouer les plumes...il ne sait pas pourquoi mais il adore ça, la faire râler.
Dernier regard vers le banc d'en face...'Tain, la fiancée du Cap'taine...elle n'a plus son gros ventre, le p'tit est né? 'Tain, c'est con quand même, il ne verra jamais son fils...ou sa fille...l'Cap'taine.
Cette prise de conscience lui fait monter une brillance dans les yeux...nan mais ho, Cortès, tu vas pas t'mettre à chialer en plus...bordel! un peu de tenue.Pour se donner une contenance, il récite tout bas le Credo:

Je confesse à Dieu Tout puissant, à tous les Saints, ainsi qu'à vous, ici réunis, parce que j'ai pêché, en parole, en pensée, en action. Je supplie tous les Saints et vous mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde son pardon, l'absolution et la rémission de tous nos pêchés.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

AMEN

Coxynel

Depuis combien de temps était-elle installée en silence, occupée à prier pour celui qu'elle aime et à maudire le cercueil qui se trouvait sous ses yeux ?
Elle ne le savait pas, mais tout ce que savait Coxynel, c'est qu'elle en voulait à la terre entière, elle en voulait à la Mort, elle en voulait même au Très-Haut qui lui avait repris celui qu'il avait mis sur son chemin quelques années auparavant. Il venait de lui reprendre ce qu'elle avait de plus cher, le seul qui avait su l'aimer comme elle était avec son caractère à la noix, ses goûts particuliers et sans chercher à la changer.
Ah oui, pourtant assez pieuse, elle maudissait le Très-Haut. Polibe était encore jeune, ils avaient prévus de se marier, ils allaient être parents et puis ils souhaitaient voyager...

Et puis rien... plus rien...

Sa première réaction avait été de le rejoindre. Le bébé pas encore né, elle, dans la Marne glacée... mais c'était sans compter la curiosité d'un intendant puis la dextérité d'un GEC et d'un herboriste de renommée. Ces deux amis n'avaient même pas été fichus de la laisser mourir en couche, elle aurait bien aimé pourtant. Quand tu es mort, tu ne souffres plus. Et mourir était toujours moins pire que souffrir toute sa vie.
Après l'accouchement, Coxynel s'était dit que peut-être, elle mourrait d'une infection liée à l'opération pour l'accoucher! Même pas... Rien à faire, la vie s'accrochait dur comme fer à elle telle une tique sur le peau d'un chien.

Triste vie... alors elle continuerait de vivre avec l'image de celui qu'elle aimait, parti bien trop vite, à cause d'une saleté de guerre où il s'était investi corps et âme, y perdant son envie, sa gaieté, son moral et sa santé. La guerre, la Champagne... oui parce que la Grande Dame était-elle aussi responsable. Il s'était battu pour son Duché et c'est ce qui l'avait usé... Coxynel en voulait à la Champagne. Elle aussi lui avait volé son Ange.
Mais peut-être qu'elle même n'avait pas été suffisamment à l'écoute des soucis de l'ancien Capitaine ? Peut-être...

Son coeur se déchirait, ses yeux piquaient de plus en plus, son corps s'agitait de quelques tremblements quand elle entendit du bruit près d'elle, et qu'une main se saisit de la sienne. Il fallait ça pour ne pas qu'elle éclate en sanglots une nouvelle fois. Il était bien de se promettre quelque chose mais il était parfois compliqué de s'y tenir. Ses suzerains puis une autre main qui se saisit de l'autre, son neveu. Pas un mot ne sortit de sa bouche. A quoi bon, elle n'aurait pas été capable d'articuler quoi que ce soit.

Puis Nono commença la cérémonie et les invita à réciter le Crédo ce qu'elle fit intérieurement :

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

AMEN

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Nono18

Une fois le Crédo récité, Nono s'avança vers le chevalet et ouvrit le Livre des Vertus. Il lut un des passages d'une voix lente, qui raisonna dans la Cathédrale.

Citation:

Livre des Vertus, Livre 1, La fin des temps, V

Je Lui demandai: “Quand serons-nous jugés? Quelles seront les peines et les récompenses que nous aurons?” Il me répondit: “J’ai décidé, lorsque J’ai fait des humains Mes enfants, de leur faire le plus beau des cadeaux: J’ai fait de tous vos esprits des âmes, vous permettant de gagner le Paradis si vous suivez les enseignements d’Aristote et de Christos, mais vous punissant des Enfers si vous vous détournez du chemin qu’ils ont tracé. Vous êtes en cours de jugement tout au long de votre vie. Chaque pensée, chaque parole et chaque action influent sur Ma décision finale. Lorsque chacun de vous meurt, Je décide de votre destination éternelle. Selon que vous avez été vertueux ou pécheur, vous rejoignez les rangs des élus ou des damnés.”

Je Lui demandai ensuite: “Mais à quoi ressembleront les humains qui accéderont au soleil ou à la lune? Ne serons-nous que de purs esprits? Que deviendront nos corps? Que sont ces anges et ces démons?” Il me répondit: “Le corps ne peut vivre sans l’esprit et l’esprit sans le corps, car J’ai fait de la vie l’union de ces deux états. Lorsqu’un humain accède au Paradis ou à l’Enfer, le corps qu’il avait sur le monde est abandonné pour nourrir la vie et un nouveau corps lui est donné en échange. Celui-ci est à l’image de l’esprit de l’humain: il en représente soit la beauté soit la laideur. Les anges sont ceux qui, par leur sainteté, ont obtenu un corps si parfait qu’ils me secondent dans le soleil. Les démons sont ceux qui ont tant vécu dans l’erreur que leur corps n’est qu’horreur et bestialité.”

Chers fidèles,
comme nous l'enseigne cet extrait, la vie entière de notre frère, son baptême, son engagement au sein de l'Eglise, ses confessions, essentielles pour être pardonné des péchés que tout un chacun peut commettre, ses actions, pensées et paroles, ont été jugées par le Très-Haut lors de sa mort.
Nous connaissons tous une partie de sa vie, et, malgré son austérité, ses efforts pour se conformer aux préceptes aristotéliciens. Sans doute Dieu lui a-t-il permis de rejoindre Aristote, Christos, et les sept archanges au soleil, en tant qu'élue, et qu'il lui a épargné les affres d'un des Sept Enfers, et d'être suppliciée éternellement par les Princes-Démons, en tant que damnée.

Après une minute de silence, Nono enchaina.

Pour que chacun puisse savoir qui était Polibe, qu'il a connu longtemps ou très peu de temps, je vous invite à venir prêt de moi et à nous raconter sa vie, pour que personne ne l'oublie.

Nono savait que certaines personnes souhaitaient dire un mot sur l'homme qui était allongé dans cette Cathédrale. Le plus dur serait de faire le premier pas selon lui mais il attendrait quelques minutes avant de poursuivre... au cas ou.
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Suzette

Suzette écoutait, le regard fixé sur le cercueil.
Sur invitation de nono, elle récita le credo à voix basse, les yeux baissés.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

AMEN

Elle releva la tête et, bien que perdue dans de sombres pensées, son oeil fut attiré par des couleurs vives, un peu plus loin.
De dos, elle reconnut sans peine Xilon, il se tenait auprès de sa tante.
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Chaplume

Au fond, à l'écart de tous, elle récita le crédo

Puis écouta la suite de la cérémonie

Ysa

Les yeux de la brunette s'agrandirent quand elle entendit Anthonin crier dans la nef. Mais qui avait éduqué ce petit démon ?? Qui ? C'était à se demander ce que faisaiten les parents d'un tel enfant. Plus les jours passaient, et plus il était difficile pour la Duchesse de Jouarre de constater les dégâts de leur manque de présence. Anthonin pouvait être un ange, puis dans la minute qui suivait un vrai démon ... tout lui était du, et il ne supportait pas le non. Il s'arrangeait toujours pour avoir ce qu'il voulait ... maman ... papa ... Cochy ... Légo ... Aaron ... toute la mesnie pouvait y passer. Au moins, il faisait preuve de patience et de persévérance, qualité qui n'était pas négligeable.

Enfin, a presque colère fit rapidement place à un tendre sourire quand elle aperçut son ange tirer la main de Maltea. Certes la blonde girouette n'avait pas eu l'instinct maternel avec ses enfants, mais Ysa savait qu'elle pouvait compter sur la Duchesse de Rethel ... tout du moins pour la durée d'une cérémonie. Le couple de Jouarre continua donc son chemin afin de rejoindre leur vassale ...

Amory et Ysa s'assirent non loin de Coxy, sans toutefois la déranger dans son mutisme et son recueillement. Il se devait d'être présent mais point trop. Ils étaient là, non loin si elle en avait besoin ...

La cérémonie débuta, brisant le silence glacial qui s'était installé dans la Cathédrale. Un homme, jeune ... bien trop jeune pour réunir cette assemblée aujourd'hui pour un tel événement, s'était investi durant de longs mois pour la Champagne. S'oubliant, commettant des erreurs mais se relevant et faisant face encore et toujours malgré l'adversité. Mais aujourd'hui il n'était plus ou presque. Un petit bout de lui grandissait dans le ventre de la Dame d'Ussy.
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Nono18

Nono regarda l'assemblée en espérant voir quelques personnes se lever pour s'exprimer sur Polibee.
Il commença à trouver le temps long cependant mais resta patient.
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Hersent

Nono invita ceux qui souhaitaient dire quelque chose pour honorer la mémoire du Capitaine Royal Polibe, à venir près du cercueil.
Un grand silence s'installa dans la cathédrale, l'émotion était à son comble.
Hersent, qui avait soupiré d'agacement à l'arrivée peu discrète de l'ingérable Cortès, prit son courage à deux mains, quitta son banc pour venir près du cercueil.
C'est un peu la gorge nouée qu'elle commença son discours:

C'est toujours difficile de dire combien on tient à un être cher. Il est toujours difficile de se dire que plus jamais on ne le verra, que plus jamais on ne l'entendra rire, râler, pleurer...vivre tout simplement. Et il est toujours aussi difficile de mettre des mots sur les ressentis, les émotions lorsqu'on accompagne un être cher jusqu'à sa dernière demeure.

Polibe est entré peu de temps avant moi chez les Loups, où il a gravi les échelons au fil des missions. Il est devenu rapidement commandant Elle esquisse un sourire avant de continuer et je peux vous dire que dejà se dessinait le meneur d'hommes qu'il deviendrait.
Plus tard, il devint CR, au grand étonnement de beaucoup...mais très vite il prit en main la caserne, la réorganisa après la tempête qui l'avait un peu mise sans dessus-dessous.

Sous sa poigne, les Loups reprirent des couleurs ainsi que le goût de vivre et de se battre envers et contre tout. Peu à peu se dévoilait l'étoffe d'un grand Capitaine, l'étoffe d'un Grand Homme.

Ohhhh...notre Grand Homme, notre grand Capitaine, était loin d'être parfait...diantre non! Les murs de la caserne résonnent encore de ses rouspétances, de ses colères homériques, flamboyantes qui agitaient ses boucles blondes en autant de flammèches rebelles! Rebelles étaient ses boucles comme pouvait être rebelle l'homme.

Rappelez-vous ...la marche des Loups sur Reims pour réclamer leurs soldes! C'était lui...j'étais son lieutenant et avec les autres officiers et soldats nous l'aurions suivi jusqu'en enfer si cela s'était avéré nécessaire.

Polibe m'a un jour nommée au poste de GES et peu à peu des liens très forts se sont tissés entre nous...il fut le frère que je n'ai jamais eu, il fut celui qui m'a guidée, qui m'a aidée à grandir, à m'affirmer...sans lui, je ne serais pas devenue celle que je suis maintenant.

Polibe avait ses détracteurs...comme tous les Grands Hommes..parce qu'il avait la particularité de dire tout haut ce que le plus grand nombre pensait tout bas. D'aucun le trouvait rustre, sans beaucoup de bonnes manières, à la limite de l'impoli...je puis assurer qu'il était tout sauf cela. Polibe c'était le courage, le coeur au sens le plus noble du terme, la franchise, le sens de l'Honneur, la Force, la bonté, la gentillesse et... chose qui pourra étonner beaucoup... la tendresse.

Polibe fut le meilleur Capitaine Royal que j'ai jamais connu...il sera toujours Notre Capitaine à la caserne, un homme dont on se souviendra longtemps et que l'on prendra en modèle.

Elle déglutit, la gorge sèche à force d'être nouée, puis reprend la voix presque rauque

Polibe a succombé des suites de ses graves blessures reçues lors que son dernier combat contre l'Artois, il fut un brave entre les braves... il est allé jusqu'au bout de ses convictions avec Force et Honneur...et c'est avec Force et Honneur, qu'au nom de tous les Loups, je rends hommage à celui que nous n'oublierons jamais, à celui qui restera toujours au fond de notre coeur.

Polibe, que ton âme vogue en paix jusqu'aux rivages bienheureux du repos éternel. Nos prières t'accompagneront avec Force et Honneur.

Elle regarda vers ses Loups,, d'un signe de tête elle leur intima l'ordre de se mettre au garde à vous afin de rendre les honneurs à leur Capitaine. Droite comme un I, elle fit un dernier salut militaire à celui qui avait tant partagé avec elle, les rires comme les larmes, les joies comme les peines.
La minute de silence écoulée, elle rompit les rangs et revint aux côtés de ses Loups.
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Coxynel

La cérémonie se poursuivait et le coeur de Coxynel se serrait un peu plus à chaque instant. La jeune femme comprenait que dés lors que tout cela serait terminé, Polibe et elle seraient séparés définitivement. Son corps retournerait à la Terre et redeviendrait poussière alors que son âme rejoindrait le Très Haut.

Elle écouta le discours de Hersent avec beaucoup d'émotion. Il reflétait bien l'homme qu'elle avait aimé et aimerait toujours. Emouvant, fut aussi le dernier adieu des Loups à leur ancien Capitaine Royal.
Parler lui était difficile...
Pourtant, elle lâcha la main de son neveu pour se rendre près du cercueil.

La main posée sur le cercueil, elle déposa un perce-neige. Coxynel prit une inspiration et serra le poing jusqu'à s'en faire blanchir les phalanges. La douleur physique l'empêcherait de trop penser et de pleurer. Et c'est d'une voix peu assurée, le regard dans le vide, qu'elle déclara :

Polibe a d'abord été un ami et un frère d'arme avant d'être celui avec qui...

Impossible de terminer sa phrase.

Il n'était pas diplomate, ça non...
Il était souvent maladroit dans ses propos, ce qui lui causait parfois du tort. Pour autant, il avait grand coeur tant pour son Duché que pour ceux qu'il aimait. Il était toujours prêt à rendre service.

Mais il était aussi drôle et taquin.

Elle se souvint de la fois où ils avaient rencontré un drôle d'énergumène, éleveur de puces, en taverne, aux soirées d'ivresse ou de moqueries pour un peu tout et n'importe quoi.

Et, il savait se montrer attentionné, doux et rassurant.
Je n'oublierais jamais la façon dont il s'est comporté durant ses derniers mois. Il a su littéralement me porter alors que je doutais.

Les mois de grossesse avaient été compliqués à vivre pour Coxynel, le déni tout d'abord, le refus de cette grossesse, les doutes. Il avait été là, Polibe l'avait soutenu sans défaillir, avait réussi à lui faire oublier ses peurs, mettant de côté ses propres peurs. Sans lui, jamais, elle n'y serait arrivée.

Polibe était sans conteste un homme bon, courageux et aimant...

Coxynel se tourna quelques instants vers le cercueil où reposait son aimé et lui murmura.

Tu me manques mon Ange...

Une larme coula.

C'est une fille. Tu nous manques tellement...
... et je t'aimerai toujours.

Voilà, ce qu'elle n'avait jamais vraiment réussi à lui dire venait d'être prononcé et elle regagna sa place, essuyant rapidement ses yeux glissant à nouveau sa main dans celle de son neveu.
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Kelso

Bon et bien, tout ceci était bien touchant, très réaliste et pourtant, ça sonné bien trop creux. Une fois que Coxy eut terminé son discours, Kels se leva à son tour. Après tout, ils se connaissaient de bien avant la Champagne. Le destin avait fait qu'ils s'étaient séparés un moment mais retrouvé par la force des choses. En marchant dans l'allée pour rejoindre le cercueil, il sourit bêtement, se rappelant l'histoire de la nonne qui en fait était un homme et dont Polibe avait la cour. C'était le bon temps, la jeunesse, le passé quoi.

Il stoppa devant la dépouille.

Tu vois, j'aurai encore gagné mon paris sauf que cette fois j'aurais préféré le perdre et être à ta place ce jour. Je crois que ta belle à accouché de ton marmot, on espère tous qu'il ne soit pas comme toi.

Il soupira et baissa la tête un instant puis leva la main droite face au cercueil.

Je jure solennellement de toujours servir
mon duché, de me dévouer pour le Duché de toutes
mes forces sacrifiant, si nécessaire, ma vie pour sa défense.
Je jure de servir fidèlement, loyalement, et de bonne
foi l'État-major de Champagne, commandement des
forces armées dont sont membres : le Duc,
le Connétable, le Prévôt et le Capitaine royal.

Je jure de respecter la hiérarchie militaire et
d'obéir aux ordres donnés par mes supérieurs.
Je jure solennellement que, sauf autorisation
régulièrement donnée, je ne révélerai ni ne
communiquerai à quiconque
qui n'y a pas légitimement droit, les renseignements
qui viennent
à ma connaissance ou que j'obtiens en raison de mes fonctions dans l'armée du Duché de Champagne.

Il resta un instant sans bouger puis se rassit à la première place qu'il trouva de libre.
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Cortes_

Bon ben v'la que ça chouine de partout. Lui, ben il regardait les femmes autour de lui. C'était peut être pas l'bon moment mais alors quoi, fallait bien faire quelque chose Puis voila, l'herboriste se lève, c'touchant tout ça. Il espère qu'à sa mort, il sera aussi pleuré. C'vrai qu'il ne l'aura que trop connu mais son passage en caserne restera mémorable. C'était ça le vrai homme, celui qu'on respecte même quand il dit rien, ben c'était l'Capitaine.

La veuve se leva, son discours le toucha encore plus. Surtout d'la voir ainsi puis v'la que le ducaillon se lève. Cortes tendit l'oreille et bien sur quoi, il entendit le serment que faisait les Loups avant de rentrer dans la Famille. Up, il s'en fiche, il se lève puis il lève la main en cherchant du regard les autres Loups et pourquoi pas les autres, les civils.

Un hommage, ça se fait en groupe et ça se fait pas. S'il voulait pleurnicher, fallait rester chez eux. Polibe aurait pas voulu qu'on pleure, il aurait voulu de la fierté et de l'honneur.

Il se mit bien droit, la main droite levée, le regard lointain, les jambes serrées.

A vous mon Capitaine,

Je jure solennellement de toujours servir
mon duché, de me dévouer pour le Duché de toutes
mes forces sacrifiant, si nécessaire, ma vie pour sa défense.
Je jure de servir fidèlement, loyalement, et de bonne
foi l'État-major de Champagne, commandement des
forces armées dont sont membres : le Duc,
le Connétable, le Prévôt et le Capitaine royal.

Je jure de respecter la hiérarchie militaire et
d'obéir aux ordres donnés par mes supérieurs.
Je jure solennellement que, sauf autorisation
régulièrement donnée, je ne révélerai ni ne
communiquerai à quiconque
qui n'y a pas légitimement droit, les renseignements
qui viennent
à ma connaissance ou que j'obtiens en raison de mes fonctions dans l'armée du Duché de Champagne.

Claptons54

le cure nono avait demander a ceux et celles qui le désiraient de venir témoigner je prit la parole

messire polibee que dire de vous que vous étiez un très bon capitaine se vouant sans cesse a la défense de notre duché .j ai servi sous vos ordres a sa était un honneur pour moi.je vous oublierais jamais et merci de m avoir aider a mieux défendre notre duché que Aristote vous protèges

claptons alla se rassoir et récitas dans sa tète le credos

Citation:

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

AMEN

_________________

Ines

Elle prononça cette phrase simplement mais qui voulait tout dire ..

Il est mort aujourd’hui un homme qui faisait honneur à l’homme.
Que Dieu te garde mon Ami . Que le Seigneur veille sur toi, tu as assez donné aux hommes
maintenant à toi de recevoir la protection du Très Haut !..
Repose en Paix dans la Paix du Seigneur, ainsi va la vie.

Puis en silence je récitais le Crédo

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

AMEN

Nono18

Nono fut touché par tout les témoignage.

Il attendit encore un peu pour voir si une dernière personne souhaitait dire quelque chose avant de poursuivre la cérémonie.
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Francis_lefranc

Ayant enfin pu me libérer, je me rendit rendre hommage à une personne que je ne connaissait pas, mais qui avait rendu de si fières services à la Champagne et qui était un proche d'une de mes connaissances.

Par respect, je me devais de rendre hommage à cet homme qui à tant fait pour les Champenois et pour une amie.

Je m'étais installé au fond de la cathédrale et écoutais avec un émouvant respect tout le bien cité.

Je n'osais pas prendre la parole car je ne connaissait pas l'homme. Je restais donc en arrière, discret mais présent pour accompagner un deuil. Celui d'un Duché pour un homme d'arme, pour un être aimé d'une amie, pour un homme tout simplement.

Enfin, doucement, je chuchotais le Crédo :

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

AMEN

Je remarquais Coxy qui était bien triste et je la laissait seule face à son chagrin. Ce moment était le sien et celui de l'homme qui avait tant partagé sa vie.

Il était aussi le moment de bien d'autres qui l'avaient connu et apprécié. Chose que je n'aurais pas eu loisir de connaître, hélas.

J'assistais donc à la suite de la cérémonie.
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Francis LEFRANC
Courrier Champenois Adjoint et ancien Maire de Conflans-lés-Sens.

Nono18

Nono, voyant que plus personne ne venaient devant, décida de poursuivre.
Il regarda le cercueil ouvert et dit:

Pour ceux qui souhaite, vous pouvez venir lui dire adieu en déposant à côté de Polibe des fleurs ou allumer un cierge à sa mémoire.

A ces mots, Nono voulut être le premier à déposer une bougie pour donner le mouvement.
Il alla sur le coté, prit un cierge, l'alluma et le plaça devant l'autel.

Il prit également une rose blanche et l'installa dans un des vases prévu à cette effet.

Il se mit sur le coté voyant que les villageois commençaient à l'imiter.
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Suzette

Suzette se leva et déposa elle aussi une bougie au pied du cercueil de Polibe.
L'atmosphère était lourde, le silence pesant.
Le regard baissé, elle regagna son banc.

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Hersent

Nono avait déposé une bougie ainsi qu'une rose blanche près du cercueil de Polibe. Elle suivit Suzette et déposa également une bougie, elle n'avait pas de fleur pour accompagner la lumière qui guiderait l'âme de son Capitaine jusqu'au Royaume des Cieux, en pensée elle imagina une fleur de lotus *, cette fleur venue du lointain Orient, symbole de l'élévation de l'âme vers son épanouissement final.

Elle murmura à la dépouille de celui qu'elle aurait suivi jusqu'aux confins du monde: Que cette lumière te guide à jamais, qu'elle éclaire ton chemin et surtout qu'elle te dise, tout au long de ton éternité, combien nous t'aimions et te respections...et combien tu nous manques. Un jour, nous nous reverrons Polibe...

Elle regagna le banc des Loups, le regard dans le lointain, esquissant un sourire au souvenir des moments joyeux qu'ils avaient partagés, ensemble, leurs colères réciproques comme leurs joies ou leurs peines.

*HRP: "Dans le bouddhisme la fleur de lotus est emblématique de Bouddha. Dans tout le monde indien on compte de très nombreuses peintures, sculptures et représentations de la fleur de lotus. Ceci est dû à la particularité unique du lotus qui est la seule plante aquatique dont la fleur est au-dessus de l'eau contrairement aux nénuphars et autres cousins dont la fleur flotte sur l'eau. Cette image, connotant la légèreté, de la fleur s'élevant au-dessus de la surface de l'eau rejoint celle de Bouddha si léger qu'il repose comme un chat au-dessus du sol.

La symbolique du lotus en bouddhisme relève encore du fait que la graine et la fleur apparaissent ensemble, il s'agit de la simultanéité de la cause (la graine) et de l'effet (la fleur) dans la loi de causalité de l'univers qui est l'un des concept majeur de la philosophie bouddhique. À cela il faut rajouter que le lotus puise sa substance vitale dans la boue pour s'épanouir, en effet, au-dessus de l'eau. Ainsi "la boue" représente les souffrances, les troubles, les désirs, qui sont le terreau même de notre épanouissement. Il est donc possible de transformer son karma par l'illumination, l'atteinte de la boddhéité, grâce à notre éveil à la loi de causalité." source Wikipedia

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Ines

Elle avait célébré une messe d'Adieu chez les Loups mais cela ne l’empêchais pas de venir ici a son enterrement il avait etait son chef, Aimer, respecter par tous, une grande perte pour les Loups !. Mais sa filleule et Amie avait pris les rennes de la Caserne elle savait y faire ..

Adieu Polibe ..
Après avoir dit une prière sur le linceul de Polibe, je déposais un bouquet de roses blanc ainsi que trois bougies que j'allumais tour à tour...
Je pris du recul et regardais si tout était en harmonie. Satisfaite, je me rapprochais du linceul et je dis une autre prière dans le recueillement, mains jointent...

Coxynel

A l'invitation de Nono, elle se leva, rejoignant une nouvelle fois le cercueil de son Amour. D'autres fleurs avaient rejoint son perce-neige.
Une fois dans le choeur, elle prit un des petits cierges mis à disposition. Coxynel le passa sur la flamme des cierges plus gros et allumés qui se trouvaient à côté et éclairaient faiblement l'édifice.

La jeune femme le déposa ensuite sur le cercueil près des autres en murmurant quelques mots.

Tu resteras toujours dans mon coeur et dans celui de Manon. Je veillerai à ce que ta fille connaisse l'homme que tu étais... au moins jusqu'à ce que je te rejoigne.

Ces mots résonnaient dans la tête de la blonde comme une promesse.
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Nono18

Après le long défilé émouvant, Nono fit un signe à six Loups.
Ils refermèrent le couvercle avec une extrême lenteur et sortirent de l'église sur invitation du prête en portant le cercueil.
On n'entendait que les pas sur la pierre de l'Eglise et quelque sanglots étouffé.

Le duché prenaient vraiment conscience qu'on perdait un homme cher .

Ils se dirigèrent jusqu'au cimetière attenant, toujours avec ce pas très lent, et au caveau familial, prêt à accueillir un nouveau corps.

Pendant qu'on attachait des cordes au cercueil pour le mettre en terre, le prêtre accompagna le recueillement des proches et des fidèles silencieux par quelques paroles.

Nous allons maintenant confier à la terre le corps de notre frère dans ce lieu où reposent déjà tant de défunts de nos familles. Le moment est venu de lui dire "Adieu".
C'est un moment de tristesse, mais il faut que l'espérance reste forte en nous car nous espérons revoir Polibe quand Dieu nous réunira, dans la joie de son Royaume.
Recueillons-nous une dernière fois tous ensemble.

Après une minute de silence, Nono invita les porteurs à descendre le cercueil à jamais.
Une bourrasque de vent vint toucher l'assistance comme un dernier "au revoir" du Capitaine.

Ensuite Nono asperge le cercueil d'eau bénite et dit :

"Cette eau, souvenir de ton baptême,
Nous rappelle que Dieu a fait de toi son enfant.
Qu'il te reçoive aujourd'hui dans sa Paix !"

La cérémonie était maintenant terminée. Il recula pour laisser la place aux amis et à la famille qui, un à un, vinrent jeter une poignée de terre dans la tombe.

Enfin, chacun sortit du cimetière, laissant le corps terrestre de Polibe dans sa dernière demeure.
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--Vigiliae

Citation:

A l'Universalité des fidèles
Au Royaume de France,
Aux séditieux,

Alors qu’un nouveau monarque assoit son pouvoir à la tête du Royaume de France, quelques
séditieux cherchent à braver la concorde aristotélicienne par la revendication illégitime du trône,
attisent la division du territoire et des hommes pour de vaines questions de pouvoir et d’honneur,
déguisées sous les oripeaux de l’égoïsme. Aussi entendons-nous rappeler quelques principes
inviolables, solidement enracinés dans l'histoire et la tradition.

C'est par l'intermédiaire du sacre que se manifeste le lien étroit entre Dieu et le roi, cette
cérémonie conférant au Prince un caractère divin accroissant irrémédiablement sa légitimité à
gouverner la destinée terrestre par l'affirmation de l'antique délégation de l'autorité politique,
de l'impérium séculaire.

Extrait de la masse des laïcs et hissé au rang de lieutenant de Dieu sur terre, fort d'une autorité
empreinte de substance divine, le souverain sacré reçoit par le truchement de l’Église la
puissance et la responsabilité de gouverner la collectivité des hommes selon l'intérêt commun,
de rendre une justice équitable, de protéger la foi et l’Église, notamment en traquant ceux qui
oseraient s'élever contre ses dogmes et doctrines.

A l'instar de la corne d’huile renversée jadis sur la tête de David et déversant son contenu sur
ses épaules, son dos, sa poitrine et ses bras, l'élévation sacrale issue de l'onction matérialise
l'investissement de tous les sièges vitaux par la force d'en Haut, induisant cette même prise de
possession de l'homme par Dieu. Par le saint chrême, de surcroît miraculeux, seul le roi sacré
se voit érigé comme intermédiaire particulier entre Dieu et son peuple. Par la bénédiction de
l'anneau du roi, signe de la foi, de la dignité royale, marque de la puissance portée au quatrième
doigt de la main droite, par la remise du sceptre de commandement et de la verge, l’Église
investit solennellement et spirituellement le seul et unique dépositaire de l'autorité.

Nous voyons, dans l’actualité récente, ce qui nous amène à réaffirmer tel fondement inébranlable,
tant nous souhaitons prémunir l'ordre temporel du chaos. L'initiative désespérée visant à contester
la légitimité du détenteur du glaive temporel par la déliquescence des valeurs fondant l’autorité
publique revêt un caractère burlesque et inénarrable. La paix des hommes ne peut subsister que
dans l'ordre.

Nul ne peut prétendre à l'exercice d'un pouvoir royal privé de toute substance divine, seul
apanage du monarque sacré. Et quelle serait la légitimité d'un roi exempt de toute essence divine,
si ce n'est de régner sur une basse-cour en perdition...

En conséquence, nous invitons la poignée d'individus aux intentions belliqueuses à recouvrer la
raison par l'intégration et la soumission aux principes fondant l’essence même de l’autorité
politique, et ce avant qu'ils ne s'enferment irrémédiablement dans les méandres d'un labyrinthe
qu'ils ont eux-même édifié et qui ne saurait les conduire qu'à leur perte.

Bénédiction Apostolique.

Cyril Kad cardinal d'Azayes,
Cardinal & Evêque de Tibériade,
Vice-Chancelier de la Congrégation des Affaires du Siècle.

Rome, le X mai de l'an de grâce MCDLX, le mercredi.

--Vigiliae

Citation:

Congrégation de la Sainte Inquisition
Convocation par devant la Congrégation de la Saincte Inquisition

Moi, Clodeweck de Montfort-Toxandrie, cardinal-archevêque de Tours, Primat de Bretagne, Cardinal Chancelier de la Saincte Inquisition, duc de Montforzh, par la grâce de Dieu, devant le Très Haut, sous le regard d’Aristote et au nom de notre Sainte Mère l’Eglise,

Ordonne, la comparution devant nous, Congrégation de la Saincte Inquisition, des personnes connues sous les noms de
Llyr,
P3r3v3rt
LineXIV ,
Afin de les entendre, suite aux diverses plaintes portées contre elles, aux différentes attaques de prélats commises sur le sol de Touraine et suite aux rapports et aux témoignes reçus à leur encontre.
Ces derniers sont convaincus en outre, de crime de foy, au vu des éléments qui leur seront communiqués lors du procès inquisitorial.
Le procès aura lieu, en place de Tours sous la haute autorité de Son Eminence Verty, cardinal vice chancelier de la Saincte inquisition. Dès qu’elle sera remise de ses blessures si Dieu veut qu’elle s’en remette et au minimum dans quarante cinq jours.

Dépouillons toute officialité qui se connaîtrait déjà de la cause au profit de la seule juridiction d'exception.
Appelons toute personne faisant l'objet d'une convocation à collaborer pleinement et sans délai aux investigations et procédures afférentes à la Justice d'Eglise. Rappelons que toute entreprise visant à nuire, de près ou de loin, aux travaux de l'inquisition, s’attireraient les foudres immédiates de notre Sainte Institution.

A ce jour les trois personnes concernées sont frappées d’interdit conservatoire jusqu’à la tenue du procès, cet interdit n’ayant de limite dans le temps que le prononcé de la sentence.
Il leur est donc interdit, toute cérémonie religieuse privée ou publique, baptêmes, mariages, célébrations, consécrations etc.

Ad Claram et Sanctam Veritatem

Fait à Rome le XIIIème du mois de Mai, de l’an MCDLVX de la Saincte Eglise aristotélicienne

Melisende

Et l'évêque de Beauvais d'afficher cette missive du primat de l'églyse de France :

Citation:

À l’ensemble des fidèles du Royaume de France,
À tous ceux liront, ou entendront,

Nous prenons la plume en ce jour, le cœur empli de chagrin et d’inquiétude, suite aux récents évènements fort désolants qui se sont produits sur le territoire du Royaume de France, plus particulièrement en Bourgogne.

Qu’il soit su que l’Assemblée Épiscopale de France désapprouve les récentes actions d’Eusaias Blanc-Combaz et de ses sbires, qui ont vicieusement attaqué le Château de Dijon, menaçant ainsi toute la stabilité du bon Duché de Bourgogne et semant peur et malaise au sein de la population. Ledit Eusaias avait proposé des négociations avec Sa Majesté Vonafred dans le but de régler pacifiquement ce conflit, sous notre propre patronage. Hélas, sa fourberie nous a bernés. Alors que nous espérions toujours pouvoir débuter des pourparlers éventuellement, il a sordidement décidé de prendre le Château de Dijon avec l’aide de quelques compatriotes.

En écrivant ces quelques lignes, nous nous rappelons la crise dont le Royaume de France n’est même pas encore sortie, ce différend avec l’Alliance du Ponant. À peine le peuple a-t-il pansé ses blessures, aussi bien morales que physiques, que le Royaume retombe à nouveau dans une torpeur qui risque de causer bien des dégâts, et ce à cause de quelques séditieux qui osent défier la volonté de Dieu. Nous rappelons que Sa Majesté Vonafred a été sacré par notre Sainte Mère l’Église et Oint par le Tout Puissant. Se rebeller contre lui veut dire se rebeller contre Dieu lui-même. Nous espérons donc qu’Eusaias Blanc-Combaz ainsi que tous ceux qui le soutiennent réalisent la gravité de leurs actes. Quiconque se rallie à Eusaias se met en porte-à-faux avec le Très-Haut et, par le fait même, met en péril son Salut.

Nous requérons à Eusaias Blanc Combaz et à ses alliés de cesser aux plus vite leurs actions de perturbations et de remettre les clefs du Château de Dijon à Sa Grâce François Delamark, Duc légitime de Bourgogne. Évitons que du sang ne soit versé pour rien et réglons cette crise en bons aristotéliciens.

En outre, nous rappelons à titre informatif que le Dimanche est jour consacré au Très-Haut, et demandons à toute personne impliqué dans ce conflit d’observer avec piété cette journée de paix. (La trêve dominicale couvre les actions entamées le dimanche et résolues le lundi matin). Toute violation de la trêve dominicale constitue un lourd péché qui ne saurait demeurer impuni et serait porté devant la Sainte-Inquisition sans détour.

Nous prions ardemment pour que le Très-Haut fasse en sorte de ramener un climat de paix au plus vite en ces temps troubles.
Avec cette supplication dans le cœur et sur les lèvres, nous accordons au peuple de Bourgogne et de toute la France, comme gage du secours divin, comme soutien durant cette période difficile, notre Bénédiction Primatiale.

Paix et Bénédictions,

Monseigneur Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d’Embussy-Taschereau,
Primat de France,
Archevêque de Lyon,
Protonotaire Apostolique.

Fait à Rome, le XVIe jour du mois de mai de l'an de grâce MCDLX de Notre Seigneur.

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Sandyrousse

Au pied de la Cathédrale, s’étiraient vers l’ouest des champs de blé et de mais,
qui alternaient en parcelles de même taille jusqu’à la lisière de la forêt de Troyes.

Vers le sud, les bois récemment amputés de leurs arbres,
offraient un couloir de terre retournée sur laquelle reposaient les cadavres de vieux chênes en attente d’être débités.

En ce début de matinée, la lumière perçait difficilement au travers des lourds nuages orageux,
plombant le lieu de culte encore endormi et accentuant la teinte de ses pierres.

Sur la pleine couraient de fantasmagoriques lueurs argentées,
balayant les blés mûrs sur le point d’être fauchés.

La rouquine, épuisée de son voyage, poussa l’immense porte de bois ciselé de la bâtisse et s’installa tranquillement
sur le dernier des bancs de ce magnifique endroit.

Fermant les yeux, elle commença à prier Aristote,
pour que ce que son ami sir Grosdan avait découvert soit la réalité.

Son époux Cyrille 22 serait toujours en vie, il aurait tout simplement changé de nom,
persuadé que sa rouquine avait rejoint le tout puissant.

Après des années de recherche, elle était enfin sur le point de le retrouver,
encore fallait ‘il qu’elle réussisse à le contacter en ce beau duché.

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La sagesse est d'être fou lorsque les circonstances en valent la peine.

Cyrille_du_lys_noir

Par une petite soirée tres aroser, le maire de Troyes décida en cachette de sortir de sa ville, il avait un besoin de ballade, un courrier reçus depuis quelque temps le rendais songeur, pouvait il être vrais que son passé si agréable a ses pensées lui revienne aujourd'hui.

Lui qui avait changé de nom a la mort de son épouse venais de recevoir un bien étrange courrier d’un messire ,comment avez t’il su qui il étais, âpres bien des heure de balade a cheval il releva la tête et vi un endroit qu’il affectionnais, il descendis de son cheval, l’attacha puis mis sa cape sur lui pour ne pas qu’il puisse être reconnue ,quitter sa ville pourrait lui valoir un procès âpres tous, mais qu’importe l’ivresse dit l’ivrogne le principale est d’éponger sa soif.

Il regardait la cathédrale avec nostalgie, il monta les marches une a une tout en restent songeur, il poussa la porte, lourde d’un passé, le grincement étais très auditible, c’est dans une obscurité et un silence majestueux qu’il mit le pied dans cette endroits si magique.

Il fut surpris de voir qu’une personne étais assise sur un ban a prié et c’est sans faire de bruit qu’il alla se mettre a l’écart pour ne pas la déranger et ne pas être reconnue au cas où

Simple_habitant

Citation:

Cérémonie de récompense post Croisade

Noi, S.E. Rev.ma Monsignor Filippo Benedetto Spadalfieri Borgia da Pontiregi

rimate degli degli Stati Pontifici e del Regno Duosiciliano
Cardinale Romano Elettore
Vice Cancelliere della Congregazione per la Diffusione della Fede
Grand Ufficiale dell'ordine di merito della Stella di Aristotele
Vicarius Urbis
Prefetto dei vidami della Guardia Episcopale

Faisons annonce de:

l'ouverture de la Cérémonie de récompense post Croisade qui, verra protagonistes tous les soldats qui ont combattu pour la foi aristotélicienne et le mot de Dieu dans le territoire vénitien.

La cérémonie d'ouverture aura lieu le 3 Septembre 1460 dans la Cappella Milites Dei près la Basilique de Saint Titus.

Sont invités à ce grand et joyeux événement, tout le fidèles aristotélicienne qui veulent rendre hommage aux soldats de Dieu.

Deverte A Malo

Fait à Rome, le XXXIème jour de Août de l'année de notre Seigneur MCDLX

Anne_claire

Pouilloux vient enfin de poser le pied sur le sol champenois, ..., pas de la meilleure façon certe, un brigand de grand chemin à pris la délicatesse de le soulager de tout fardeau. C'est en humble, les poches vides qu'il arrive sur le parvis de la cathédrale.

Heureusement pour lui, le brigand n'a pas pris tous les documents qu'il transporte avec lui, s'emparant seulement du bagage avec ses provisions, et de sa bourse.

Il peut ainsi annoncer la nouvelle aux fidéles et aux croyants, le diocèse de Langres a de nouveau un évêque.

Citation:

Nomination d'un nouvel évêque
Monseigneur Pouilloux Fouquet, au poste d’Evêque suffragant de Langres.

Nous, Monseigneur Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d’Embussy-Taschereau, Primat de France, au nom de l'Assemblée Episcopale, faisons annonce de :

La nomination de Monseigneur Pouilloux Fouquet , au poste d'd'Evêque suffragant de Langres. Nous lui souhaitons par la-même tous nos vœux de réussite dans sa nouvelle affectation. Puisse-t-il, en tant que digne successeur des apôtres, diffuser la foi, mener ses ouailles vers le Salut, et demeurer un modèle pour ceux qui l'écoute.

Puisse Aristote le guider dans la tâche qui est à présent la sienne,

Fait à Rome, le XXVe jour du mois d'Aout de l’an de grâce MCDLX.

Il regarde l'affiche, il lui reste encore deux jours de voyage pour atteindre Langres. Deux étapes qu'il espère plus calme que la dernière.
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Ryan

Ryan gravit le perron de pierre de la majestueuse cathédrale, se signant avant de pénétrer dans le lieu saint.

Rapide coup d'oeil aux pierres centenaires et aux vitraux colorés, le compiégnois déambula jusqu'à l'autel, à la recherche d'un clerc.

Bonjour,

Y a t-il quelqu'un en la demeure du tout puissant ? Je souhaiterais me faire baptiser...
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Ryan de Beaufort, héritier de la maison de Beaufort-en-Champagne

Onael_

Elle etait là,dans un coin de la Cathedrale,sur un Prie Dieu a prier.Chaque jour,elle passait la,pour faire entendre sa voix aux cieux,et au Createur,et peut etre,qui sait,un jour croiserait elle enfin l'Archeveque de Reims,qui n'avait pas donné signe de vie depuis le lendemain de sa nomination.
Desesperée,elle l'etait...Depitée,et decouragée,presque aussi.Mais elle venait,encore et encore,en ce lieu paisible et lui rappelant son Oncle.Faute de pouvoir y officier,elle appreciait sa serenité.

Elle entendit une voix s'elever,et quand elle releva la tete,le Procureur Ecclesiastique de Reims vit une silhouette.Un jeune homme,qui helait en vain,un prelat,par trop absent.
Toutefois,il etait de son devoir de l'aider,aussi se leva t elle,et s'approcha t elle de lui,le saluant d'une inclinaison courtoise de la tete,avant de parler d'une voix douce,en ces lieux sacrés

Bonjour a vous.Je suis Jezabel d'Appérault Von Frayner d'Azayes,Diacre Sacristain de Reims...Vous mandez le bapteme,j'en suis bien aise et je pense etre en mesure de vous aider.Ou vivez vous?Que je sache qui sera en charge de votre bapteme.

Elle lui sourit doucement,pour le rassurer,et attendit la reponse
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Ryan

Siva a écrit:

Bonjour a vous.Je suis Jezabel d'Appérault Von Frayner d'Azayes,Diacre Sacristain de Reims...Vous mandez le bapteme,j'en suis bien aise et je pense etre en mesure de vous aider.Ou vivez vous?Que je sache qui sera en charge de votre bapteme.

Ryan se retourna à l'entente de ses mots, heureux que les lieux semblaient moins vides que l'apparence le laissait supposer. Le garçon fit une révérence respectueuse devant la femme pieuse qui s'était adressée à lui.

Bonjour dame,

Je m'appelle Ryan, Ryan de Beaufort, résident de la douce cité de Compiègne. Je vous remercie de votre diligence et de votre promptitude à répondre à ma requête.
Je vous donc laisse me guider dans la suite des évènements.
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Ryan de Beaufort, héritier de la maison de Beaufort-en-Champagne

Onael_

Elle l'ecouta et le regarda,avant de regarder une voute,prenant le temps de reflechir,l'index posé sur le menton.Le souvenir lui revint,et son regard de jais se reposa sur le jeune homme

Compiegne,oui,une bien belle ville...Il vous faudra contacter le Pere Baztan,qui est le Curé de cette paroisse...Vous pourrez aussi vous rendre a l'Archeveché,qui se trouve dans une aile du Palais du Tau.N'importe quel remois saura vous l'indiquer,et il n'est guere loin de la Cathedrale,en toute logique...En fait,je pense meme que vous saurez le reconnaitre,tant il est imposant...

Elle lui sourit de plus belle et repris

Si jamais vous rencontriez le moindre obstacle,surtout n'hesitez pas a me contacter la bas...
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Ryan

Le Sieur de Beaufort s'inclina.

Merci pour votre sollicitude, Dame d'Appérault Von Frayner d'Azayes. Je vous tiens bien entendu au courant.
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Ryan de Beaufort, héritier de la maison de Beaufort-en-Champagne

Baphomet

Paul VERLAINE (1844-1896)

Bon chevalier masqué qui chevauche en silence,
Le Malheur a percé mon vieux cœur de sa lance.

Le sang de mon vieux cœur n'a fait qu'un jet vermeil,
Puis s'est évaporé sur les fleurs, au soleil.

L'ombre éteignit mes yeux, un cri vint à ma bouche
Et mon vieux cœur est mort dans un frisson farouche.

Alors le chevalier Malheur s'est rapproché,
Il a mis pied à terre et sa main m'a touché.

Son doigt ganté de fer entra dans ma blessure
Tandis qu'il attestait sa loi d'une voix dure.

Et voici qu'au contact glacé du doigt de fer
Un cœur me renaissait, tout un cœur pur et fier

Et voici que, fervent d'une candeur divine,
Tout un cœur jeune et bon battit dans ma poitrine !

Or je restais tremblant, ivre, incrédule un peu,
Comme un homme qui voit des visions de Dieu.

Mais le bon chevalier, remonté sur sa bête,
En s'éloignant, me fit un signe de la tête

Et me cria (j'entends encore cette voix) :
" Au moins, prudence ! Car c'est bon pour une fois. "

D'un pas décidé, Pons franchit les portes de la cathédrale. Depuis son retour, Reims lui avait donné un répit dans une vie très tumultueuse où il n'avait fait que batailler contre les Turcopoles. Au Nom de Dieu et de l’Église, s'était-il croisé il y a plus de vingt ans pour prendre le chemin de l'Orient et ses plaines poussiéreuses où bien des preux aristotéliciens étaient tombés contre les infidèles. Là-bas aussi, il avait mordu la poussière et dans la débâcle il avait renié sa foi pour celle des païens. Mais aujourd'hui, de retour parmi les siens, le chevalier voulait laver ses péchés. Seul le baptême lui permettrait d'être confessé du sang qu'il avait fait couler jusqu'alors. Et après en avoir discuté avec la diaconesse de sa ville, Jezabel, et avec son futur parrain, Amory, le renégat était au rendez-vous avec Dieu et les hommes pour expier. En pénitence humble et sincère, il s'était revêtu d'une simple robe blanche et, pieds nus, avait traversé la capitale en tenant un cierge allumé entre ses mains pour rejoindre la Maison du Seigneur. Là, il avait remonté la nef lentement sous le regard des saints pour rejoindre le sacré-cœur où il s'agenouilla finalement devant l'autel et le Christos en gloire, attendant en prières les deux principaux protagonistes de la cérémonie.
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Amory

Amory avait pris la direction de la Cathédrale pour le baptême de Pons. Il ne regrettais pas lui avoir accordé sa confiance. Ce jour était important pour le vieux chevalier. Cet homme en avait connu des champs de bataille, c'est surement ce qui avait touché le blond qui lui aussi en avait fait des guerres avec les croisés étant de toutes les croisades. Sa vie était plus calme maintenant qu'il avait laché la GE et le poste de haut dignitaire qu'il avait occupé la plus grande partie de sa jeunesse.
Il montat le parvis de la cathédrale puis se dirigea vers Pons. Il se contenta de déposer sa main noueuse sur l'épaule de l'homme. Pas de mots échangés juste un regard pour lui dire qu'il était à le soutenir.

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Duc de Jouare
Vicomte de Choisy au bac
Baron de Coulommiers
Seigneur de Brainville

Prévôt de Paris
Maréchal de France

Onael_

Elle l'attendait.Depuis des jours,elle attendait Pons dans sa petite eglise paroissiale.Ils avaient rapidement parlé du desir de Pons de se voir revenir dans le droit chemin,apres des années d'errance,et le Diacre Sacristain se rejouissait toujours de telles decisions.
Alors qu'elle relisait l'Hagiographie de Sainte Jeanne,la pucelle dont elle affectionnait particulierement la vie,un de ses accolytes entra en catastrophe.L'air affolé il balbutiait quelques mots.
Le Procureur Ecclesiastique,habituée aux crises de panique de ses messagers,posa l'ouvrage pres d'elle,et le regarda en lui parlant d'une voix posée,contrastant grandement avec le ton du jeune clerc

Et bien mon Frere...Prenez le temps mais dites clairement les choses,sinon on n'y arrivera pas...

Et le jeune accolyte de repondre

Ma..Ma Soeur,on vient de voir passer un homme en robe de penitence,il semblerait...enfin en robe blanche,portant un cierge et qui se dirigeait vers la Cathedrale.Je suis presque sur que c'etait Pons ma Soeur.

Son sourcil droit se haussa,trahissant son etonnement.Voila qui la laissait perplexe.Ils avaient pourtant convenu de se voir et de parler ici meme,et non a la Cathedrale,ou il etait bien connu que le Diacre Sacristain n'officiait pas sans derogation episcopale,et surement pas pour un bapteme.C'etait le lieu reservé aux messes de l'Archeveque,voire meme et surtout au Sacre royal.
Elle soupira.Il fallait dire que la soirée ou ils avaient echangées etaient arrosée et l'ambiance bruyante,de par le nombre de clients en taverne.
Siva se leva et saisit sa canne,tout en attrapant sa cape.

Reste ici,je vais voir de quoi il retourne...

Son pas etait alerte,malgré le leger handicap dont elle souffrait.Elle connaissait Reims a present,et surtout ce chemin qui la menait dans un lieu de priere qui lui etait privilegié.Aussi ne mit elle pas longtemps a arriver.Quand elle entra,elle percu deux silhouette.Une penchée sur un cierge,et l'autre a ses cotés.
Les deux lui etaient familiere....La premiere correspondait a Pons.Une robe blanche,il portait vraiment une robe blanche.Elle ne comprendrait jamais d'ou venait cette obsession pour porter la couleur du deuil,dans des moments de rejouissances.Comme ces jeunes,qui souhaitait se marier dans cette couleur.Idée assez etonnante,mais dont la Duchesse ne se formalisait pas.Elle etait tres tolerante,en fait,malgré les apparences.

Le seconde etait un homme en canne,frais...enfin,aussi frais que peut l'etre un Duc en exercice...

Quand le Diacre arriva a leur hauteur,elle s'inclina respectueusement,saluant le Duc d'une inclinaison de la tete plus appuyée,pour reporter son attention sur Pons,sourire aux levres

Le bon jour a vous,mes Freres...Un de mes accolytes m'a dit vous avoir apercu,aussi ai je accouru...Je ne vous attendais pas en ce saint lieu.A mon grand regret,je n'en ai pas la charge,ni la garde,bien que je l'affectionne,de par son architecture touchante...

Elle secoua la tete furtivement,comme pour se sortir d'un songe auquel l'appelait les hautes colonnes

Quoiqu'il en soit,je vais vous guider jusque la bonne eglise...Je ne sais si vous m'aviez compris,le soir ou nous avons parlé,avec le bruit,ce n'etait guere aisé...Mais il me faut vous entendre en confession,et discuter a "coeur ouvert",afin de percevoir votre desir de revenir dans le cercle des fideles,mon Frere...Aussi,je vous invite a me suivre...Nous ferons appeler votre parrain,des que vous serez pret a recevoir votre bapteme,pour laver vos pechés...

Elle se tourna vers Amory et lui sourit

Je crois que votre futur filleul est impatiemment de crier sa foi,et je m'en rejouis,soyez en certain...Toutefois,il n'est guere encore l'heure.toute personne s'etant ecarté du droit chemin,faute de suivre une nouvelle pastorale,doit assurer l'Eglise de ce desir...
Je vous ferais querir des que le moment sera venu.Je gage que je saurais ou vous trouver...

Nouvelle inclinaison de tete envers le Duc,avant de faire un signe a Pons pour l'inviter a la suivre jusque l'Eglise Paroissiale
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Amory

Il saluat la Duchesse Siva, l'écouta en souriant. Lui aussi voulait voir Pons rapidement baptisé et avait mis la charue avant les boeufs.

"Merci Duchesse, je suis désolé de mon empressement. Je voulais moi aussi voir Pons baptisé mais je comprend la démarche. Je serais la bien entendu quand vous me ferez demander. Qu'aristote vous protège tous les deux."

Il s'inclina puis partit appuyé sur sa canne.
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Duc de Jouare
Vicomte de Choisy au bac
Baron de Coulommiers
Seigneur de Brainville

Prévôt de Paris
Maréchal de France

Baztan

Le père Baztan placarda sur la porte de la cathédrale de Reims l'affiche annonçant le baptême de poppa. Comme à son habitude, il avait soigné le moindre détail du document, se faisant même aidé par des moines spécialisés dans le domaine de l'écriture.

Il espérait que les fidèles viendraient nombreux, assister à une messe dans un tel lieu devrait en motiver plus d'un.
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Poppa

Le grand jour était arrivée, depuis qu'elle attendait ce moment... mais en même temps elle l'appréhendait, en effet n'était-ce pas un signe si elle n'avait jusqu'alors pas réussit à être baptisée ? Et si Baztan devait lui aussi trépasser avant d'avoir terminé de la baptisée ?

Elle tenta de chasser ses sombres pensée tout en finissant de se préparer puis une fois prête elle rejoignit la Cathédrale.

La jeune femme pu voir le vélin placardé à la porte et de nouveau elle imagina que ce simple parchemin pourrait être l'indication de la personne qui était à l'origine de grand malheur si de nouveau un incident se produisit pendant le baptême...

Poppa entra et se dirigea vers l'autel tout en pensant, pauvre Baztan, savait il seulement ou il mettait les pieds en acceptant de procéder à son baptême ?

Personne n'était encore présent, elle en profita pour tenter de se calmer et de prier pour qu'il n'arriva pas malheur à son ami.
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A venir

Thomas.charles

C'est un petit garçon que personne ne connaissait ici qui se glissa dans l'Eglise derrière la jeune dame, un petit cheval de bois à la main... Il se faufila sur le côté pour aller s'assoir dans un petit coin. Il était venu faire son curieux, n'ayant jamais assisté à un baptême pour de vrai (ou alors si, mais il était trop petit pour s'en souvenir). La dame semblait nerveuse et il la regarda avec attention. Ca faisait mal, un baptême ?
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Legolas.

Légolas avait assisté au premier baptême de Poppa à l’église de Varennes mais la cérémonie n’avait pas pu se poursuivre car l’officiant, Son Eminence Thomas d’Azayes, s’était effondré en plein office, victime d’une crise cardiaque. Le blondinet revoit cette tragique scène, ses efforts pour le réanimer. Enfin, il préfère chasser ces mauvais souvenirs car ce jour du 24 octobre 1460, est un jour de fête.

C’est donc en tant que Parrain de la future baptisée, que le jeune Seigneur de Beautheil se rend à la cathédrale de Reims. L’adolescent est très heureux et honoré que Poppa, son amie et ancienne Apprentie Archère, l’ait choisi pour Parrain. Ayant un rôle important pour la jeune femme, Légolas va carrément rejoindre l’autel où il retrouve….Poppa en train de prier. Il aperçoit un petit garçon installé non loin de son amie. Le blondinet sourit au môme puis reporte son attention sur l’Airainoise. Il toussote pour indiquer sa présence.

« Bonjour Poppa. Pas trop stressée ? »
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Baztan

l'église se remplissait peu à peu mais pas assez au goût du curé mais il décida de lancer la cérémonie, poppa et legolas. étant présents.

Il encouragea poppa qui avait l'air bien stressée pour ce jour de fête.

Bonjour poppa, ne t'inquiète pas tout va bien se passer dans quelques heures tu seras baptisée.

Il salua legolas. qu'il n'avait pas vu depuis la fin du tournoi de beautheil

Bonjour legolas. merci encore pour la médaille et les écus gagnés lors de ce tournoi, j'espère que nous aurons d'autres tournois pour nous affronter.

Chers fidèles,

je vous ai réunis aujourd'hui pour accueillir parmi nous Poppa. Cette jeune Varennoise qui à mis son énergie au service de sa ville tout d'abord puis du duché.

Elle a passé sa pastorale il y a quelques mois mais sa première cérémonie de baptême a été annulée puisque c'est pendant celle ci que l'archevêque de Reims Thomas d'Azayes a trouvé la mort que le très haut le garde en sa sainte garde.Je vous demande à tous d'avoir une pensée pour lui pendant cette messe.

Je vous demande de bien vouloir réciter le credo

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
AMEN
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Poppa

Absorbée par sa prière la jeune femme n'avait pas vu le petit garçon entrer, ce fut le toussotement de Légolas qui la fit reprendre conscience de ce qui l'entourait.

Elle adressa un sourire un peu crispé à son ami et futur parrain.

Bonjour Légo, ravie que tu sois la et pour tout t'avouer au vu de ce qui c'est passé la fois dernière je suis un peu stressée...

C'est alors que Baztan fit son entrée à son tour, la jeune femme s'étant retourné vers celui ci elle pu apercevoir le garçonnet, elle leva un sourcil puis ramena son regard sur le père qui voulut la rassurer, son inquiétude devait être bien visible...

Bonjour Baztan,

J'espère bien oui.

La cérémonie débuta des qu'il eu fini de saluer Légolas, Poppa écouta donc Baztan qui les invita à avoir une pensée pour l'Archevêque, chose qui était déjà fait la concernant, comment en aurait il pu être autrement en ce jour ?

Elle récita le credo comme chacun s'y employé.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN
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A venir

Legolas.

Une fois la jeune femme retournée, Légolas remarque ce sourire crispé et il comprend que son amie doit être angoissée. Mais malgré cela, Poppa est ravie de le voir. Arrive ensuite Baztan qui rassure aussitôt la baptisée. L’homme d’église s’adresse au blondinet afin de le remercier pour la médaille et la récompense en écus du Tournoi d’Archerie de Beautheil. Lorsque l’Airainois évoque d’autres tournois, le jeune Grand Maître Archer répond.

« Bonjour Baztan. Il n'y a pas de quoi. Pour les tournois, il y en a d’autres de prévus dans peu de temps »

Ce n’est pas le moment ni l’endroit pour parler d’archerie mais Légolas faisait référence aux intervillages mais aussi à la Ligue des Grandes Maisons. L’adolescent est ravi de pouvoir y participer même si il n’a plus rien à prouver. Mais si il y participe, c’est pour s’amuser mais aussi tenter de battre son record. Bah en fait, voilà la raison ^^.

Bien, il est temps de passer aux choses sérieuses. Légolas prend place sur l’un des bancs, non loin de l’autel. Mais avant que la messe débute, Baztan demande d’avoir une petite pensée pour Thomas d’Azayes. Dès que Poppa lui avait parlé de son baptême, l’adolescent n’a pas pu s’empêcher d’avoir une pensée pour le Cardinal Archevêque de Reims. Tout comme le Curé de Compiègne et son amie, le jeune Seigneur de Beautheil récite le Crédo.

« Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN »

....Chaussée aux moines ^^.

Légolas sourit en repensant à cette fameuse chanson mais il se doit de se concentrer sur la cérémonie.
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Legohan

C'est en retard que Legohan arrive à la cathédrale pour soutenir Poppa dans cette épreuve.

Même si il n'est pas aristotélicien, cela ne l'empêche pas de se signer à l'entrée.

Il s'avance discrètement pour ne pas gêner les fidèles qui sont en train de prier et s'installe.

Gohan joint ses mains à plat devant son torse, ferme les yeux et prie à son tour.

Notre Bière qui êtes en fût
Que notre demi soit versé
Que ton règne vienne
Que ta distribution soit faite
Au bar comme au comptoir
Donne nous aujourd'hui
Notre houblon quotidien
Pardonnes nous nos gueules de bois
Comme nous pardonnons aussi
A ceux qui boivent de la tisane
Et soumets-nous aux demi-pressions
Et délivre nous de la soif
Car c'est à toi qu'appartiennent
Les bulles, l'arôme et la fraicheur
Pour les siècles des siècles
Amen

Il pense.

*Ouais ben maintenant amène la bière car ça donne soif de prier*
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Eloise_de_lucas

En retard... en retard... en retard...

Préfigurant le lapin blanc d'alice qui un jour comme elle se mettrait à courir de toutes ses petits pattes, Eloise se hâtait vers la Cathédrale. C'était le jour du baptême de Poppa, et elle voulait absolument y assister. La jeune femme semblait un peu anxieuse, et il était important que la grande famille airainoise soit là pour la soutenir.

Eloise poussa la grande porte de bois, attentive à ne pas la faire grincer, et se glissa dans l'imposant édifice. Remontant le plus silencieusement possible la travée latérale, elle se fraya un chemin jusqu'au baptistère.

La cérémonie avait déjà commencé. La brunette fit un petit signe en souriant à Poppa, Baztan et légolas, puis alla se placer aux côtés de Légohan qui comme toute l'assistance récitait déjà le credo.

Elle joignit sa voix aux leurs, murmurant
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
AMEN
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Amory

Appuyé sur sa canne, le ronchon arriva en retard dans la chapelle ou se déroulait le baptême de sa nièce Poppa. Il se fit tout piti en rentrant dans l'église et rejoignit Elo qui récitait le crédo. Il prit la prière en cours de route et eu juste le temps de la terminer.

"... mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
AMEN"

Une fois fait il regarda sa soeurette et lui murmura : "Tout ce passe bien? J'espères que ça va pas durer deux siècles, j'ai pas trop de temps. Tu peux me rendre un service. A la fin de la cérémonie occupe Baztan je suis sur que le bougre cache ses jambons ici au lieu d'Airain. Je veux en avoir le coeur net."
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Duc de Jouare
Vicomte de Choisy au bac
Baron de Coulommiers
Seigneur de Brainville

Prévôt de Paris
Maréchal de France

Maxdph

Max entre dans la Cathédrale et, se place sur les bancs du fond.
Le baptême, de Dame Poppa, est commencé.
Max, un peu gêné par son ignorance, a du mal à suivre la cérémonie. D'autres membres de la Grande Maison entourez Poppa, ce petit avait l'air heureux.
Ne sachant pas de prières, Max demande simplement à Aristote d’accueillir Poppa dans la communauté des croyants.
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Baztan

L'église se remplissait peu à peu grâce aux retardataires mais le curé leur pardonna car c'était pour la plupart des conseillers ducaux qui étaient très occupés part leur tâche, il fit un signe à poppa et legolas pour qu'ils se présentent devant lui puis s'adressant au parrain

Legolas. tu as accepté de devenir parrain de poppa, de la mener vers la Communauté des Fidèles, de la guider et de la protéger sur les chemins qui conduisent jusqu’ au Très-Haut.
Confirmes tu aujourd'hui devant le Très haut ce solennel engagement ?

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Legolas.

En entendant la lourde porte grincer, Légolas se retourne et voit d’autres Airainois arriver. Il reporte ensuite son attention sur Baztan et Poppa. En voyant l’homme d’église lui faire signe de s’avancer, le blondinet se lève et se place devant l’officiant puis écoute ce dernier. Il réfléchit quelques secondes et répond.

« Oui, je le confirme »

Il attend la suite car il sait qu’il doit lire un passage du Livre des Vertus.
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Poppa

Ses amis et son Oncle finirent par arriver également, elle aperçu le signe de Eloise et lui souriat puis Baztan posa une question à Légo auquel il répondit par l'affirmative.

La jeune femme lui fut reconnaissante et attendit la suite.
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A venir

Baztan

Tout le monde était suspendu aux lèvres de lego pour savoir si oui ou non il deviendrait parrain de poppa, ce dernier répondit clairement

« Oui, je le confirme »

Le curé s'adressa alors à Poppa

Poppa, il est temps pour toi de prêter serment en répétant le serment suivant :

Baztan lui tendit le livre des vertus en lui indiquant où lire

Citation:

"Je reconnais en Dieu le moteur du monde, la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.

Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Etre divin.

J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu, dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.

Je désire que mon nom apparaisse comme baptisée et serviteur de Dieu tout puissant."

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Poppa

Ce fut désormais à son tour de prendre la parole, elle pris le livre des vertus que lui tendait Baztan et lu ce qu'il lui indiqua.

Je reconnais en Dieu le moteur du monde, la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.

Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Etre divin.

J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu, dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.

Je désire que mon nom apparaisse comme baptisée et serviteur de Dieu tout puissant

La jeune femme referme le livre et le redonne à Baztan.
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A venir

Philios

Philios arriva un peu en retard la cérémonie de Baptême était commencée, il entra donc discrètement en tachant de ne pas se faire remarquer.

Il s'assit dans le fond pas très loin de Légohan qui semblait absorbé dans sa prière...

Baztan

Le curé écouta poppa faire son serment puis il invita legolas. à le rejoindre au lutrin. Le Curé chercha un passage qu'il avait choisi dans le Livre des vertus pour que le parrain le lise. Il lui montra ce qu'il devait lire.

Legolas. va nous lire un extrait du Livre des vertus.

Puis s'adressant à lego lis bien fort que tout le monde t'entende bien.
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Legolas.

Comme tout le monde, Légolas écoute son Amie prononcer son serment de baptisé. D’ailleurs, cela lui fait tout drôle d’être Parrain. Enfin non puisqu’il a déjà eu l’occasion de l’être pour une ex petite amie, Angelfly, à Orléans. Il se rappelle encore le jour du 23 juin 1456 où il avait été baptisé au bord de la Loire et qu’il avait terminé dans l’eau, poussé par le Curé. Même si ce baptême n’était pas valide car n’ayant pas reçu de certificat, le blondinet n’oubliera jamais ce jour.

Et puis ce fameux jour du 18 juillet 1457, jour où il s’était fait baptisé à l’abbaye de Noirlac, et cette fois-ci dans les règles de l’art. Ce baptême là aura marqué tous les esprits car Légolas s’était pointé à la chapelle, vêtu….que d’un simple caleçon. Il sourit en y repensant car la personne qui avait officié n’était qu’une femme. Le jeune Seigneur de Beautheil sort de ses pensées quand Baztan lui fait signe de se diriger vers le lutrin.

Il laisse le Curé chercher un passage du Livre des Vertus. L’adolescent reste silencieux tout en lisant le texte. Il écoute le conseil de l’homme d’église, celui de lire bien fort. Il pose ses mains sur le lutrin et se racle la gorge : « Françaises, Français, mes Chers Compatriotes…. ». Non, non, Légolas n’a pas prononcé ce début-là. Il pensait à le faire mais le baptême est une cérémonie qui se doit d’être sérieuse.

« Alors, le tribun ordonna au centurion de se saisir de Jeshua, et l’officier, à la mine féroce s’approcha de nous d’un pas lent. Je respirais au rythme de la cadence de ses pas, essayant de calmer mon cœur qui s’affolait. Lorsqu’il se trouva face à Christos, le Centurion le regarda dans les yeux, intensément et assez longuement. Lorsque soudain, il ôta son casque et s’agenouilla en embrassant la robe de notre messie.

" Maître, supplia-t-il, à la plus grande surprise du Tribun, je voudrais vous suivre et faire partie de cette communauté de fidèles. Comment dois-je faire ? Je sais que je suis pécheur et que j’ai servi un mauvais maître, mais je t’en prie dis-moi comment me faire pardonner ! "

Alors Christos le releva et sous le regard médusé des romains, il prononça ces mots :
" Pêcheur, je te le dis, tu viens de faire la première chose que les fidèles devront faire ; se montrer humble et confesser leurs pêchés. Ainsi, si ton repentir est sincère, Dieu te pardonnera. "

Christos se tourna vers ses apôtres, et continua :
" Et vous, que les fautes commises par vos ouailles leurs soient pardonnées si elles viennent les confesser à vos oreilles, et qu’elles sont prêtes à en faire pénitence."

Alors, Christos s’approcha de la fontaine, et dit encore au Centurion :
" Par la grâce de l’éternel, je vais te laver de tes péchés, te ceignant d’eau, source de vie. "

Et Christos plongea ses mains jointes sous le jet de la fontaine. Il aspergea la figure du Centurion de cette eau en chuchotant ces paroles :

" Seigneur, daigne laver cet homme de ses péchés, et lui donner ainsi une nouvelle naissance parmi les croyants ! Au nom du Très Haut. Amen »

….Chaussée au moines^^. Légolas avait même mis le ton lorsqu’il devait lire les paroles des protagonistes. Le ton avait changé quand il lisait la narration.
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Baztan

Le curé n'en cru pas ses oreilles lorsque legolas. se mit à lire à haute voix le texte, il y mettait du coeur et ça faisait plaisir au curé de l'entendre.

une fois la lecture terminée, le curé décida de dire quelques mots, un petit sermon ça faisait jamais de mal à personne. il invita legolas. d'un geste à rejoindre sa place.

Chers fidèles,

Par les temps qui courent, nombreux sont les villageois qui se détournent de la religion, pour x raisons mais heureusement il existe encore de jeunes croyants comme poppa qui décident de nous rejoindre tels le centurion qui demande à christos de le baptiser là le curé se dit que tout le monde va penser qu'il se prend pour christos ces jeunes font le bon choix, accompagnés de leurs parrains et marraines ainsi que de leurs communautés ils seront plus forts pour affronter la vie et les tentations du sans nom. Je vous demande à tous de passer le message autour de vous, vous connaissez forcément des non-baptisés, invitez les à venir nous rejoindre

Il se tut, préférant un discours bref et concis plutôt qu'une longue litanie qui endormirait tout le monde

Maintenant Veuillez me suivre jusqu'au baptistère où nous procéderons au rituel de l'eau.

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Poppa

Le Baptême se poursuivait sans encombre jusqu'à présent, espérant que cela se finisse rapidement non pas que le baptême l'ennuyer mais bien parce qu'elle ne pu croire qu'il se finassa comme il se devait...

Légolas fut appelé à récité un passage indiqué par le curé, il y mis tout son sérieux ce qui fit plaisir et étonna Poppa.

Quand il eu finis elle lui adressa un sourire de reconnaissance puis après quelques mots de Baztan, elle fut invité à se rendre jusqu'au baptistère, la jeune femme s'approcha puis attendit la suite.
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A venir

Baztan

Dès que les fidèles se furent approchés, le père Baztan appela Poppa puis lui arrosa le crâne en déclamant le texte habituel:

"Par cette eau, je te purifie de tes fautes passées, Poppa!

Je te baptise, au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité."

Puis Baztan lui tendit une bougie et lui donna une médaille.

Ma fille reçoit cette bougie et cette médaille symboles de ta foi aristotélicienne. Arbore cette médaille fièrement car elle montrera au yeux de tous que tu as choisi de suivre la voie qui te conduira au Soleil.

Puis il l'embrassa chaleureusement

Poppa tu es maintenant une fidèle de l'église Aristotélicienne, j'inscrirai ton nom au registre des baptisés de l'église de Varennes

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Poppa

Après avoir reçu le baptême, elle reçu une bougie et la médaille puis Baztan l'embrassa, elle soupira de soulagement, tout c'était passé sans encombre et en plus le baptême avait enfin eu lieu.

Elle sourit ravie d'avoir enfin été baptisé puis s'adressant à Baztan.

Merci infiniment Baztan pour ce baptême.

Enfin elle se retourna vers Légolas.

Légo, je te remercie d'avoir accepté d'être mon parrain.
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A venir

Legolas.

L’homme d’église ainsi que la baptisée semblaient très surpris mais aussi émus en écoutant la lecture de Légolas. Il est vrai que le blondinet aime bien faire le pitre mais là, il avait pris très à cœur son rôle de Parrain, pour Poppa. Le jeune Seigneur de Beautheil regagne sa place lorsque Baztan l’invite à le faire.

Après avoir fait un discours ou plutôt un sermon, le Curé invite les fidèles à se rapprocher du baptistère afin d’assister au sacrement du baptême de la jeune femme. Tout comme chaque baptisé, Poppa se fait rincer la tête pour ensuite recevoir une bougie et une médaille, symbole Aristotélicien.

Voilà, la cérémonie s’est terminée et sans encombres, ce qui ravi le blondinet. Ce dernier incline la tête tout en souriant à son Amie qui l’avait remercié.

« Bienvenue dans la Communauté Aristotélicienne, Poppa », et s’adresse à Baztan.

« C’était une très belle cérémonie, Baztan », et lui sourit.
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Coxynel

Citation:

Confirmes tu aujourd'hui devant le Très haut ce solennel engagement ?

C'est à ce moment que la blonde pénétra dans l'édifice sacrée. Elle n'y avait plus mis les pieds depuis... depuis très longtemps, trop longtemps peut-être... en fait, elle n'y avait pas mis les pieds depuis qu'elle s'était fachée avec le Très Haut, depuis qu'il le lui avait enlevé... Mais là c'était pour Poppa, alors elle pouvait bien faire un effort.
Et c'est sur cette question du Père Baztan posée à Légolas que Coxynel entra...
Mazette !
C'était bien pour un baptême qu'elle venait ?!
Là ca lui faisait penser à une question posée pour des épousailles.
Ahn !!!
Bouche entrouverte, yeux ronds...
On lui aurait menti ?
Légolas et Poppa allait se marier ?!

Citation:

« Oui, je le confirme »

Ah nan mais oui ! Ces deux amis se mariaient en fait...

A côté de la plaque, la blonde ? Un peu, beaucoup, passionnément même à côté de ses chausses en ce moment...

Le discours de Poppa la rassura. Non c'était bien son baptême. Un sourire sur les lèvres, Coxynel posa son séant sur le banc non loin de l'entrée pour ne pas faire plus de bruits qu'elle n'en avait déjà fait et ne pas gêner le déroulé de la cérémonie. Et c'est dans le calme que la bonbonnière observa la suite de la cérémonie.
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--Le_pere_lustucru

Il replaça les plis de sa robe de bure. Pour l'occasion, il avait revêtu celle de crains gris, bordée de bande en tissus grossier blanche très sale. Au bras de sa robe se trouvé cousu une médaille d‘Aristote en tissus, il s'avança jusqu'à l'avant puis prit place dans le banc de prière
Il salua les fidèles d'un signe de tête et d'un sourire.

Il était venu de loin, le diocèse du Mans pour difuser, recruter et prier en ce jour de joie, pour rien au monde Il n'aurait manqué cette occasion...la joie d‘être là pour les fidèles. En ce Jour de paix et d'amour

Seigneur, pense à la fragile protection du rocher. Tes enfants ont besoin de toi!

Merci seigneur de m’avoir donné la force de devenir ce que je suis aujourd’hui.

Merci seigneur de me permettre d’aider les fidèles de tous les pays!

Merci seigneur de tes bontés envers moi et envers tes autres enfants.

Merci seigneur de leur pardonné de se trompé et de vouloir toujours faire autrement que les autres juste pour dire qu’ils sont des rebelle.

Merci seigneur de pardonné à tes enfants-adultes de se comporter comme des enfants-enfants.

Merci seigneur de voir que certain essaye d t’utiliser juste pour faire croire qu’ils sont plus marrant et intéressant que les autres en colportant de fausse rumeur sur l’un ou l’autre.

Merci seigneur de me rendre aussi fort et de ne jamais me permettre que la haine s’empare de moi!

--Le_pere_lustucru

Quelques heures plus tard, juste avant de continuer sa route vers le recrutement, Il revenait prier.

D'un pas décidé, pénètre dans l'édifice et va adresser sa prière de remerciement pour ce long voyage qu'était sa vie.
Demandant directement à Aristote de soutenir Minlawa dans la tache d'évêque du Mans en cas de route favorable. Il se dit en lui- même qu'il valait peut- être mieux recourir directement à Dieu.
Montrant son attachement à Christos et Aristote et le Très Haut.

Le chasseur de félin Aristotélicien n'était pas désespéré, mais Il était fatigué par le périple, Il aimerait tant que le peuple écoute.

Saint parmis les saint, grand Aristote,

Entend ma prière, écoute mes demandes,

Protège et inspire chaque habitant de De Champagne, et bien sur du Mans en entier en ces heures sombres que vit que la France,

Fais que les femmes, du moins certaines, arrêtent de réfléchir comme des moutons, suivant leur homme sans voir le défaut qu'ils peuvent avoir. Ces femmes qui défendent leur homme infâme jusqu'au jour ou il découvre, le coeur en miette, qui ils sont.

Fais aussi que les Fidèles et non fidèles soit moins ingrat. Je sais que c'est mon sacerdoce, mais certain pense encore que je suis leur esclave, seigneur, pardonne les comme je leur pardonne.

Je prie aussi pour tous les morts qui sont, qui vont arrivé devant toi pour être jugé!

Je prie aussi pour le salut de mes frères et Soeurs qui se font agressé et pillé sur les routes!

Il resta encore un long temps recueillit dans le silence en prière pour que soient sauvées toutes les âmes des Habitant de cette ville finissant par le crédo Aristotélicien, puis Il e résolu à quitter ce lieu de plénitude pour retourner veiller sur la Foy Aristotélicienne Romaine, se dirigea vers le reste du village, espérant voir des amis, des frères, des soeurs, des fidèles en taverne.

Makcimus.

[À l'aube le 3 decembre]

La monture était équipée de "gants de cuirs " placés sous les sabots afin de ne pas ameuter tous les habitants du quartier. Il avait montré patte blanche en entrant en ville et maintenant c'est à proximité de la Cathédrale Saint Himerius que le Ritter (Chevalier) Teutonique attacha son compagnon de route.

Malgré la faible luminosité, l'on pouvait apercevoir un homme de grande taille les cheveux en bataille et une barbe fournie tout aussi mal taillée que longue, s'affairer non loin d'un Frison fatigué par un long voyage. L'homme était vêtu à l'habitude d'une épaisse tunique blanche qui recouvrait une cote de mailles. Un bijou d'une valeur certaine pendait à son cou et un amateur de bel ouvrage aurait reconnu la croix des chevaliers Teutoniques. Sur ses épaules, une cape qui jadis fut blanche, mais jaunie par le temps et les intempéries. De toute évidence... Un membre de l'Ordre Teutonique venait d'entrer en Reims et s'apprêtait à visiter le lieu de culte.

Makcimus franchit sans difficultés et rapidement le parvis. Une génuflexion et un signe de croix plutard, l'homme avança vers l'autel. Il faisait frais en la bâtisse et les cierges allumés pourtant en nombre réchauffaient difficilement le lieu. Il s'installa sur un prie-Dieu tout en joignant les mains. Il laissa le silence alors envahir les lieux et il profita du levé du jour pour laisser son regard vagabonder et admirer statue et vitraux. Il prit le temps de laisser monter en lui l'envie de fermer les yeux et de louer le Tout-Puissant. Après un long moment de silence... La voix s'éleva et il récita la prière Teutonique...

Rendons grâce au Très-Haut!

Nous sommes Tes humbles serviteurs spirituels.
Nous sommes Ton bras armé et intransigeant.
Ô Toi notre Juge et notre Créateur,
En Toi nous croyons et à Toi nous nous soumettons.

Nous nous en remettons à Ta sainte volonté,
Pour la Paix et la Justice, la Vérité et le Bien,
Pour la Foi et l'Espérance, la Vertu et la Tempérance,
Par le verbe ou par le fer, accorde-nous la victoire!

Déploie Ton bras divin au-dessus de nous,
Rends-nous forts et valeureux d'esprit et de corps,
Permets-nous d'éclairer les ténèbres du Sans-nom,
Sois le témoin de notre loyauté à Ton service.

Pour notre sacrifice accepte-nous en Ton sein,
Ne détournes pas le regard de nos âmes fidèles,
Et le jour venu délivre-nous de nos enveloppes sur Terre
Pour que de là-haut nous T'aidions dans Ta lourde tâche
Ainsi que nous le faisons de notre vivant.
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Hec_desbaumes

Très Haut,

Tu scrutes nos cœur, tu examines les reins, oui pour rendre à chacun selon ses voies, selon le fruit de ses manières d’agir.
Je pense aux nécessiteux, aux veuves, aux malades, à tout ceux qui souffre en ce jour.
Benis les, protège les, donne leur la foi pour remplir leur coeur d'amour.
Oh toi Très Haut, créateur de la terre, du ciel et de tout ce que nous connaissons, Oh toi Très Haut qui pardonne tout, don le pouvoir n'est qu'amour et miséricorde, permet moi d'avoir le coeur un peu plus pur et d'ainsi me rapprocher de toi.
Toi Très Haut qui me connais, donne moi ta miséricorde et ton esprit saint. Pardonne ceux de la grande Babylone, ceux qui ton offensé.
Ne laisse pas le sans nom prendre nos gens. Un étrange fléau ronge nos terres. Les gens on des plaques sur le corps, toussent, la maladie est à nos porte.
Ais ce Harmaguédon qui est à nos portes?
Très Haut, donne moi la force d'affronter la vie, bennis mes amis et ma famille, je te remercie de les avoirs mit sur ma route:

-ma Sysley, pour l'amour immense qu'elle me donne chaque jour, pour son sourire qui illumine mes journée, sa douceur qui me réjouis tant
-Jean Beldurian, mon ami que j'admire par son charisme, ses gentils mots et son insupportable petite moustache qui bouge lorqu'il parle
-Asphodelle, pour ses mots juste, sa parole d'amour et le réconfort qu'elle m'apporte
-Wouchi, ma soeur qui est trop souvent en retraite ces derniers temps mais qui m'apporte toujours sur le bon chemin quand j'exagere.
-Cindy, ma soeur hysterique qui ma malheureusement abandonné dans un moi interieur et toutes ses histoires de chacra Oo rien compris!
-Faith parcequ'elle m'appelle papounet et quelle fait un très joli couple avec Emma. Vivement que nous passions plus de temps ensemble.
-Floralise, qui est toujours aux petits soins même si elle est souvent en desaccord avec moi.
-Aigle_blanc qui malgré ses centaines de demandes d'augmentation est très éfficace et gentil.
-Claire, qui malgré la distance ne nous a pas oublié et que nous allons vite rejoindre. Ma confidente fétiche, de la première heure.
-Jenjitai et Tiphaine, avec qui je partage beaucoup de douleur et que j'aime beaucoup
-Anna_clara, car j'adore quand elle me met hors de moi, une épreuve à elle seule, mais qui sait etre là quand j'ai besoin.
-Lilin, qui m'apprend beaucoup de chose et toujours disponible
-Shadow, qui est la seule femme qui dit des grossieretés et me fait rire.
-Aupyl et gribouille, faite qu'Aupyl soit moins grippe sous par pitié ^^
-Ephemeride,Alka, Alberic, Charpente, Medso, Kanti, Matouminou, Stromboli et leur enfants, et Sakopi, tout ceux que j'aime profondément mais aussi Aegidius, Deedee et les autres.

Très Haut, tu es là chaque jour pour moi et ma famille, nous espérons t'honorer au maximum.
Même si je faute beaucoup, j'essai de suivre ton chemin, celui que tu nous traces au travers de tes écritures.
C'est très difficile et je me trompe souvent, je le sais et tente chaque jour de m'améliorer car je ne suis d'impure et imperfection.
J'espere un jour rejoindre ton royaume.
Par ta grace,

Amen

Sysley_desbaumes

Sysley savait qu'elle retrouverait son époux en ces lieux..Ses pas résonnaient dans la vaste cathédrale. Elle aperçu Hec de dos, la tête légèrement et se dirigea vers lui...
Une main posée sur son épaule, il se retourna et son visage s'illumina.
Pour respecter ce lieu Saint,ils ne se laisserent pas aller à la joie des retrouvailles. Ils se prirent la main et échangèrent des regards chargés d’émotion et d'amour..

Dune voix basse, Sysley récita

Citation:

Sur le bonheur

Le Bonheur est complet quand tout transparaît
De votre joie en celle de vos amis
Transmettez la toujours avec optimiste
Distribuez souvent des compliments
Donnez avec conviction toute votre affection
A vos amis et aussi dans la vie aux moins proches
Car quoi de mieux qu'un sourire distribué
Cà fait toujours plaisir et ça ne vous prend rien
Que d'en vous être heureux d'avoir donné avec coeur
Dans un bonheur inégalé et d'une vrai amitié
Patience , écoute, empathie et compassion
A répandre inlassablemnt autour de soi
Cela emplit de joie tout un chacun en soi
Qu'Aristote soit avec vous, nous mes soeurs et frères
Pour qu'il nous guide de son savoir Etre et Faire.

Amen
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[

Tullia

Une annonce fut placardée sur les portes de la cathédrale...

Citation:

Eusaias Super Anathemus Pugna Haeresis

Par sa bulle du 5 janvier, Sa Sainteté le Pape Innocent VIII, notre Très Saint Père, représentant du Très-Haut sur Terre, a reconnu officiellement Eusaias de Blanc-Combas comme Anti-Roy et Sicaire démoniaque au service du Sans-Nom, lui déniant tout droit à régner sur le peuple aristotélicien du Très Aristotélicien Royaume de France.

Par conséquent, la Sainte Église Aristotélicienne et Romaine se refuse à reconnaitre à Eusaias de Blanc-Combaz un quelconque pouvoir et ne reconnait aucune de ses décisions ni aucun de ses actes comme ayant une quelconque valeur. De fait, tout aristotélicien ayant un devoir contractuel, quel qu'il soit, avec Eusaias, s'en trouve désormais libéré. A contrario, toute personne lui apportant son concours le fera de sa propre volonté en se mettant en situation de parjure envers son serment de baptême.

La Sainte Eglise Aristotélicienne regrette profondément qu'a aucun moment, Eusaias n'ait accepté de saisir la main de multiples fois tendu par l'Eglise, et qu'il ait préféré s'enfermer dans une spirale d'attaques contre l'aristotélisme, se rendant par là indigne du rang qu'il prétendait avoir.

Non content d'avoir été excommunié pour son comportement à l'encontre du Roy Sacré Vonafred de Salmo Salar, Eusais le fol a choisi de s'associer à l'hérétique Falco, réformé et brigand notoire dont la liste des exactions n'est plus à faire.

Non content d'avoir fait mettre aux fers le Primat de France, le pieux et pacifique Navigius de Carrenza, et d'avoir fait menacer de mort le doyen des cardinaux, Son Éminence Aaron de Nagan, il a pris la décision d'autoriser les hérésies en royaume de France tout en prétendant usurper les prérogatives de l’Église.

Eusaias s'est ainsi rendu a nos grand dam coupable à la fois d'excommunication, d'apostasie, de schisme et d'hérésie.

En ce jour, alors qu'a nouveau le Saint Père lui proposait d'abjurer ses fautes, Eusaias a décidé d'ajouter à cette longue liste le fait de répandre la mort envers ceux qu'il considérait prétendument comme ses sujets - en s'attaquant au peuple bourguignon qui à choisi, à travers son Duc légitime Alexandre Olund, de refuser de prêter allégeance à un anti-roy mécréant - et son intention de se faire sacrer de manière illégale par quelques sbires illégitimes.

Il devient donc évident qu'Eusaias n'a jamais eu l'intention de discuter avec les représentants de l'Eglise, comme en témoigne son refus d'accepter la médiation proposée par l'Empereur du Saint Empire Romain Germanique, et que son intention est d'apporter l'hérésie en Royaume de France. Il est désormais du devoir de l'Eglise de protéger les aristotéliciens.

Aussi, dans la continuité de l'annonce de notre Très Saint Père et en réponse à l'ensemble ces actes, la Sainte Église Aristotélicienne se voit contrainte de frapper en ce jour Eusaias de Blanc-Combas d'anathème. L'anathème est l'excommunication dite «majeure», excluant l’intéressé de manière définitive tant de l’Église militante, d’ici-bas, que du corps mystique de l’Église, à savoir de l’Église Triomphante, auprès de Dieu.

Qu'il soit su que toute personne se mettant au service actif ou passif du Sicaire démoniaque où lui prêtant quelconque serment sera ipso facto frappé d'excommunication. Nous invitions d'ailleurs les personnes en plein doute quant à la meilleure marche à suivre à prendre contact avec leur évêque ou l’administration ecclésiastique.

Nous appelons en ce jour tous les aristotéliciens de France à s'unir et se rassembler afin de lutter, par tous les moyens à leur disposition, y compris par les armes, contre l'Anti-roi, dans le cadre de la Guerre Sainte visant à empêcher définitivement cet individu de nuire. Le faux règne d'Eusaias le fol ne durera qu'un temps, là ou l’Église, elle, est éternelle.

Dans les tout prochains jours, la Sainte Église Aristotélicienne et Romaine annoncera les prochaines initiatives visant à soutenir les Justes contre les affres de la Bête Sans Nom.

Ad Majorem Dei Gloriam

Pour le collège des Cardinaux,
Raniero Borgia dict "Quarion", Cardinal Camerlingue.

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Aurelien87

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Aristominus

Le Secrétaire particulier de Monseigneur Aurélien se rendit dans la Cathédrale. L'archevêque allait célébrer l'office pour la saint valentin, il fallait que tout soit prêt à temps. Aristominus alla donc fleurir la cathédrale, prépara tous les objets du culte, et, une fois l'heure dite, alla sonner les cloches. Une fois cela fait, il retourna dans la sacristie pour attendre l'arrivée de l'Archevêque.

Aleen_de_pastre

Et bien ce n'était pas courant ces derniers temps un office religieux ! Aussi de bon matin elle se prépara soigneusement, fit mander sa voiture.

La route n'était pas très longue de Sainte à Reims, durant le trajet elle repensait à son installation en champagne, Deliriuma devant prendre ses fonctions de Diacre à la Cure de Sainte Ménéhould,et Monseigneur Aurélien son poste à l'Archevêché, ils avaient voyagé de conserve . Monseigneur s'était montré plus que discret d'ailleurs.

Puis le découragement de Deli devant l'absence et le silence de ses supérieurs le menant jusqu'à la mort.

Elle poussa un soupir

Si le peuple devient mécréant c'est en partie de la faute à ces hommes acceptant de porter dans les foyers la voix Divine, mais se cantonnent à engranger des titres, et à rester bien à l'abri de leurs murs

Enfin elle arrivait, la voiture s'arrêta devant le parvis, la jeune femme descendit, d'un pas ferme pénétra dans l'édifice, se prosterna, puis alla prendre place dans un coin discret de la cathédrale, là elle s'abima dans la prière demandant à ce que la raison reviennent, la foy et la sagesse reviennent en ce Royaume
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Bertuccio

Rares, bien rares sont les opportunités d'assouvir les soifs de sainteté. L'annonce d'un office pour la Saint Valentin tombait à pique. Alors que sa pastorale fut stoppée nette par le départ de Monseigneur Tullia, se rendre, pour la première fois, en cathédrale de Reims avait quelque chose de grandiose et de majestueux.

Bien qu'encore loin d'être érudit, son choix était déjà fait quand aux études qu'il mènerait. Langres avait besoin d'un peu de Soleil, de royaume solaire ! Il essayerait de donner ce qu'il pourrait, comme il avait toujours essayé de faire jusqu'alors. Prendre une bonne leçon, son but était donc en partie là aujourd'hui.

Il espérait que le monde viendrait en masse assister à l'office. Il serait dommage de rater une si belle occasion...

Slagigue

Afin d'honorer le Très-Haut, il semblait logique à Slagigue de faire le déplacement afin d'assister à l'office. En ces temps de tensions religieuses, il fallait que les vrais Aristotéliciens se serrent les coudes, les mains jointes cela va sans dire. Bien que non officiellement baptisé, notre petit bonhomme se pensais comme un bon aristotélicien, craignant les flammes de la colère du Très-Haut et respectueux de sa volonté.

Il trottinait donc en direction de la Cathédrale, espérant arriver à temps.

Parce qu'arriver en retard, à coups sûr, IL ne serait pas content.

Melisende

Perdue dans les contrées clermontoises, Mgr Mélisende avait cependant eut vent d'une célébration à Reims. Depuis qu'elle avait quitté son poste d'évêque de Beauvais, ou tout du moins le titre, elle n'était plus aussi au fait de tout se qui se passait du point de vue religieux, notamment en Champagne. Aussi, elle ne s'offusqua nullement qu'on ne l'eusse prévenûe officiellement ou même qu'on ne l'eusse pas invitée à participer à l'office.

Elle avait pris son âne et avait donc voyagé de Clermont jusqu'à Reims, en prenant grand soin sur le chemin, car par les temps qui courraient, elle se méfiait de tout le monde. À Reims, elle s'arrêta dans un couvent qu'elle connaissait et où elle put ainsi se restaurer et se loger la veille de la célébration.

Le jour J, à savoir le jour de la saint-valentin, Mgr Mélisende revêtit ses habits de prêtre et se dirigea à pied jusqu'à la cathédrale. Admirant cette cathédrale (cependant bien moins belle que celle de Beauvais...) elle parcouru la nef afin de s'installer dans le coeur, dans les places réservées au clergé.
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Slagigue

Slagigue pénétra dans l'édifice en même temps qu'une membre du clergé, vêtue en prêtre aristotélicien. Il salua profondément cette représentante de la vraie foi qui sembla ne pas le voir car elle se dirigea droit aux places réservées aux membres du culte.

Notre petit homme chercha alors lui aussi une place qui lui permettrait de suivre l'office de manière plus ou moins confortable.

-"Très-Haut, je te rends grâce" Murmura-t-il comme pour lui-même.

Aurelien87

Ce jour étant celui de la Saint Valentin, Mgr Aurélien avait fait sonner les cloches à toute volée pour appeler les fidèles à le rejoindre à la prière dominicale. a l'heure dite, il se rendit dans la sacristie pour se revétir de ses vêtements sacerdotaux. Une fois tous les préparatifs achevés, Aurélien, alla jusqu’à l’autel, fit une génuflexion, récita une prière à voix basse.

Citation:

Dieu tout puissant, et vous Aristote et Christos, pardonnez mes péchés, et donnez moi la force de bien vous servir en cet office dominical. Que mes paroles sachent atteindre le cœur de mes frères et sœurs.

Il fit un petit signe discret à la Soeur Melisende qui était dans le choeur. Puis se tourna vers l’assistance assemblée dans l’église.

Bonjour mes frères et mes soeurs,
Nous sommes réunis en ce jour de la Saint Valentin, pour marcher ensemble sur le chemin de la vertu et de l’amour entre les hommes.
Toutefois avant d’écouter la lecture d’aujourd’hui, nous avons besoin de nous faire pardonner pour nos péchés.
Demandons pardon au Très-Haut !

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Charles_antoine

Charles-Antoine avait pris la route de Reims le 13 au soir afin d'arriver la veille de la grande messe que donnerait l'archevêque de Reims. Ainsi, ce dernier existait bel et bien. Depuis le temps qu'il habitait à Reims, il n'avait encore jamais eu l'occasion de le voir. Ce serait donc une grande première pour le fils du duc, qui passait à présent le plus clair de son temps à Sainte-Ménéhould.
Lorsque les cloches de la cathédrale retentirent, il quitta son appartement rémois tout proche pour se rendre, vêtu de ses plus beaux habits, vers le lieu de la cérémonie. Il s'installa dans les premiers rang pour mieux suivre et participer à la cérémonie, non sans avoir salué les personnes qu'il connaissait parmi l'assistance.
En ces temps où le royaume de France était troublé, il lui semblait important de pouvoir écouter un homme d'église. Il attendait beaucoup de réponses durant cette messe.

Il découvrit l'archevêque de Reims lorsque celui-ci se présenta devant l'assemblée des fidèles. Alors, c'est donc à cela qu'il ressemblait...

Lorsque vint le moment de la confession, Charles-Antoine y prit part avec beaucoup de conviction. Non pas qu'il pensait avoir forcément grand chose à se reprocher, mais plutôt parce qu'il mettait beaucoup de conviction dans ce qu'il entreprenait.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes amis, parce que j'ai beaucoup péché en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très-Haut vous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de vos péchés.
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Aurelien87

Mes frères et mes sœurs, il ne suffit pas d’espérer le pardon de Dieu par le simple acte de contrition. Nous devons tous les jours réfléchir à nos actes, nos paroles et nos pensées. Tout ce que nous avons pu faire de contraire à la loi divine, nous devons en demander pardon à Dieu. Il nous faut aller nous confesser régulièrement si nous voulons avoir l’indulgence de Dieu au moment du jugement dernier.
Professons ensemble notre Foi :

Puis Aurélien fit un signe à la Maîtrise qui entonna un très beau chant de Victoria

Pendant ce temps, Aurélien se dirigea ensuite vers l’ambon où il ouvrit le Livre des Vertus

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Aleen_de_pastre

Aleen dit l'acte de contrition non pas qu'elle avait grandement péché, non elle ne le pensait pas,

Puis elle écouta Monseigneur, et reprit la profession de foi avec ferveur et sincérité

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN
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Ademar

Retenu par sa charge de sergent de la maréchaussée, Adémar ne pouvait pas quitter les remparts de Conflans à sa guise. Cela l’empêchait parfois de se rendre aux cérémonies religieuses. Ce fut le cas lors de l’office du mercredi et de la messe de la Saint-Valentin auxquelles il ne put assister, comme cela le sera lors de la célébration de dimanche.

Néanmoins ses prières accompagnaient chaque jour celles des Aristotéliciens. Dans la brume du petit matin ou dans la pénombre du crépuscule, le même rituel se répétait quotidiennement. Il dénouait les lanières de son fourreau et le déposait sur le sol, épée en son sein. Puis il mettait genou à terme et dévoilait son âme au Très-Haut.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action. Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

C’était seulement après cette courte litanie qu’il se sentait en communion avec ses frères et sœurs. Il pouvait alors proclamer sa foi, uni à eux dans la prière :

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés ;
En la Vie Eternelle.

Amen
_________________

Aurelien87

Une fois le chant terminé, Aurélien lut le passage du Livre des vertu qu’il avait choisi pour ce jour :

Citation:

C'est en cette année qu'arriva à la tête de l'Empire Romain un nouvel Empereur dénommé Claude II. Or, ce rude militaire païen avait édicté une loi inique et barbare : sous prétexte de ménager les forces vives des jeunes gens en âge de combattre, il leur avait interdit le mariage. L'Empereur se justifiait en prétendant que les hommes qui étaient engagés dans une vie maritale et familiale devenaient de bien mauvais soldats car ils avaient alors des intérêts familiaux qu'ils ne pouvaient laisser derrière eux.

Or, le prêtre Valentin avait gravement contrevenu à cette prescription antinataliste. En effet, il bafouait ouvertement l'édit impérial en mariant à tour de bras tous les jeunes gens qui lui en faisaient la demande, son église étant envahie de couples d'amoureux...

Aux jeunes gens amoureux qui venaient voir Valentin, celui ci leur disait :

Citation:

Dieu a créé l'homme et la femme pour qu'ils forment un couple.
Or, le Bonheur ressenti par les couples amoureux est divin, car il vient de Dieu.
Si vous avez conscience que l’amour que vous vivez a sa source en Dieu, que vous vous aimez de l’Amour de Dieu, par l’Amour de Dieu, quoi de plus normal de Lui dire votre reconnaissance, en vous unissant devant lui, dans son Eglise par le sacrement du Mariage.
Dès lors, le jour de votre mariage, votre passage à l’église sera une action de grâce à Dieu : car votre amour a sa source en Dieu et ce sera Lui qui sera le centre de la célébration religieuse.

Aurélien referma le livre après s’être signé, puis il le commenta :

Mes enfants, voila un texte très instructif. En effet, Saint Valentin nous montre, à la suite de Christos, quel est le vrai sens de la vie à deux. Le vrai sens de la vie de couple. Seul l'amour sanctifié par le Très Haut vous permet de mener une vie vertueuse. Certes, vous qui, parmi nous, êtes mariés, savez que le chemin d'un couple est loin d'être facile. C'est un chemin tortueux, semé d'embuches diverses. Certes, votre couple peut traverser les épreuves de la jalousie, de l'incompréhension, des rigueurs financières. Mais si cet amour est béni par le Très Haut, si vous suivez les vertus qui nous sont enseignées, au lieu de succomber sans réagir, aux vices, alors votre couple sera fort. D'autant plus fort que vous n'oublierez jamais qu'il ne vit que parce que vous dialoguez, vous vous écoutez, vous vous faites confiance. C'est là le vrai sens des paroles de Saint Valentin.

Mais le sens des paroles de Saint Valentin recèle un sens plus caché. Tout au long de ce texte, on y voit passer les sentiments les plus divers que la nature humaine connaisse. Appliquez ces sentiments aux hommes entre eux, indépendamment de la notion de couple. Nous y voila donc. Le vrai sens de la vie c'est l'amour. Saint Valentin nous rappelle là les paroles mêmes de Christos: aimez-vous les uns les autres. C'est un chemin semé d'embuches, et nous le voyons, et le vivons cruellement en ces temps plus que troublés. La bonne entente qui devrait régner entre tous, subit les affres de la jalousie, de l'envie, de l’incompréhension. Ce dialogue que Saint Valentin prone pour la survie du couple, c'est ce que je pourrais proner pour la bonne entente entre les hommes. Quel que soit leur statut dans ce Royaume.... du Roy au simple paysan, du jeune enfant au Cardinal le plus puissant, c'est uniquement par le dialogue, par l'écoute que l'amour pourra soutendre les rapports. Voila bien une leçon que nos puissants de ce monde devraient méditer.

Et vous qui m'écoutez aujourd'hui, ne les oubliez jamais. Amen

Aurélien prit quelque temps de silence, puis il alla à l’autel préparer l’offrande pour la communion.

Mes frères et mes sœurs, comme l’ont fait avant nous les hommes autour du tombeau d’Oane, partageons ensemble et communions :

Une fois la communion terminée, Aurélien rangea les objets du culte. Pendant ce temps là, la Maîtrise chanta un très beau chant grégorien

Puis Aurélien revint à l’ambon pour une dernière prière :

Prions encore. Unissons nos voix pour prier le Très Haut de nous ouvrir l’esprit et nous aider à savoir mieux être à l’écoute de nos conjoints, de nos semblables. Qu'il souffle son esprit dans le cerveau des puissants de ce monde, et les amène à plus de réflexion, de modestie, et de vrai désir du bien d'autrui. Qu’il nous aide à savoir donner comme recevoir l'amour et l'amitié chaque jour, comme un cadeau qui nous est fait pour mieux avancer sur le chemin qu’Il nous a tracé..

Seigneur, Toi qui voit tout, Toi qui peux tout, aide nous à marcher dans le chemin que nous ont tracé Aristote et Christos, comme de vrais Enfants de Dieu. Amen.

Aurélien s’agenouilla devant l’autel, puis gagna la sacristie pour ôter ses habits sacerdotaux, non sans avoir bien observé qui était venu et qui s'était abstenu .
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Aleen_de_pastre

Elle écouta le passage du livre des vertus, puis le prêche de Monseigneur.

C'est avec ferveur qu'elle partagea le pain et le vin, puis alla s'agenouiller et pria pour que la paix revienne en ce Royaume déchiré et divisé par la folie d'un homme
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Aleen_de_pastre

Bien qu'encore très faible, la jeune femme se fit conduire à la cathédrale, aidée par sa fidèle Barberine elle pénétra dans l'édifice, donna quelques écus pour l'achat de cierges, les fit allumer, Barberine s'éloigna afin de laisser sa jeune maîtresse se recueillir et prier

Je prie pour mes amis qui ne sont plus, ma chère Suzette, le Duc Tristan et son épouse Siva, Adémar...et les autres dont j'ai oublié le nom

Je prie pour la Champagne réduite en cendre et malmenée par une bande d'assassins

Elle passa une main lasse sur son visage appela Barberine, puis pris le chemin de la sortie en murmurant

Ubi solitudinem faciunt, pacem appellant*

(où ils font un désert, ils disent qu'ils ont donné la paix - Tacite)
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Enfant_de_choeur

Aristominus

Vereboten

Vere Boten le Commissionnaire de Genève était tout excité.
Non qu'il fut particulièrement porté sur la chose.
Enfin, pas consciemment.
Il avait des envies et des excitations comme tout un chacun, mais prétendait toucher à la chasteté et à une idée de la pureté complètement idiote (en particulier quand il allait se délester les intestins).
Pensait qu'on pouvait essayer de se passer du corps. Encore qu'il était bien obligé de faire avec, ça l'ennuyait profondément. Il était très ennuyé quand il devait se moucher, rotait ou se gratter. Je vous dit pas quand pétait ou qu'il avait une érection (forcément involontaire !), sans parler des pollutions nocturnes, incontournables quand on prétend n'avoir ni corps ni sexualité. Il faisait beaucoup rire dans sa famille ou à Genève en général.
Mais bon, je ne suis pas son médicastre, revenons à nos moutons...

S'il était tout excité, c'était parce qu'après sa grande dépression suite aux nouvelles des catastrophes qui s'abattaient sur Genève alors même qu'il ne pouvait y être pour s'offrir au martyr, il avait reçu des courriers à placarder en Champagne où il se trouvait en voyage d'affaires.
Il n'avait jamais eu l'occasion de le faire lors des cinq croisades honteusement raccompagnées hors d'Helvétie, vue qu'il y résidait et avait avec succès réussit à ne pas finir martyre.

Disons-le tout-de-suite, il ne s'arrêtait pas à la contradiction de souhaiter être présent pour le martyr ce jour et de ne pas y avoir réussit avant. C'est comme ça, faut faire avec. Les contradictions font les créatures de Deos, et ça Lui fait un sacré boulot.

Alors là, tout-de-suite, maintenant, sans attendre davantage, il faisait le pied de grue en attendant que l'église, peut-être une cathédrale (il était à ce point persuadé de la mission de la réforme aristotélicienne qu'il refusait d’admettre qu'il connaissait la différence. Puisqu'une cathédrale désigne le siège social d'un évêque, donc d'une aristotélicien romain, c'était le mal, donc il ne fallait pas le savoir. Oui, c'est un cron d'un format assez conséquent), se vide.
Il allait placarder le placard et se donner ainsi à peu de frais l'impression d'être un grand résistant.
Certes, pour une fois, l'assaut contre Genève n'avait rien de strictement religieux.
Mais bon, Vere Botten était aristotélicien réformé et avait un mal de chien à comprendre qu'on puisse s'étriper sans qu'il y ait un rapport avec la religion.
Y'a des crons partout...
Mais certains le sont davantage...

Ne serait-ce que parce que les armées des condottieres qui venaient de prendre Langres après Dijon arboraient le pavillon helvète, ce qui risquait quelque peu de rendre délicat le message envers les habitants.
Bref, c'était mal barré...

Tant pis, c'est encore plus beau lorsqu'on est incompris !

Oups, une érection...
Vite, se repentir...

Genève, le Phare de l'Aristotélicité, le Phallus de Deos, l'Ombilicus des Royaumes, voyait l'Empire déferler dans la Confédération et tenter de la démembrer !
Certes, Genève subissait un avis de tempête -force beaucoup à pas mal-, venait de se prendre une branlée, subissait une attraction méchamment centrifuge qui tendait à l'envoyer vers les pénombres périphériques des duchés corrompus où les potentats locaux régnaient.

Mais Vere Botten avait été à Genève durant cinq croisades. Toutes réexpédiées assez rapidement dans l'Enfer des Profondeurs.
Car la Confédération Helvétique avait des caractéristiques qu'on ne retrouvait que vaguement ailleurs.
Le patriotisme, certes, car personne n'aime les missionnaires armés. Banal, mais toujours agréable.
Par contre, chaque canton, chaque ville était et reste indépendant et autonome. Même s'il y a Confédération, chacun a ses lois.
Et nul n'y paye d'impôt.
Vous avez déjà essayé de faire payer des impôts à un Helvète ? Non ? Normal, aucun risque que cela fonctionne. Les helvètes ont un rapport particulier à l'argent.
Comme disait un auteur français : "Si vous voyez un Helvète sauter par la fenêtre, suivez-le. Il y a sûrement de l'argent à faire"*.

Oh, l'Empire avait gagné la première manche, indiscutablement.
Restait les suivantes.
Et là, Vere Botte se sentait tout excité. Brr, s'il ne se retenait pas, il en aurait même eu une érection qui lui aurait donné de merveilleux remords ultérieurement. Passons...

Car enfin, outre les éléments précédents, il y avait encore et toujours ce qui fait que l'Helvète se pose comme original et différent.
L'Helvète est lent, certes, et a parfois l'esprit fond de vallée.
Mais surtout, l'Helvète est fier.
Certains disent que le peuplement corse est issue des montagnes alpines.
C'est pas forcément faux...**

Citation:

objet: Il n'y a pas de paix !

Salvé !
C'est officiel ! Le grand tournois de Genève aura lieu plus tôt que prévu et il se passera sur nos remparts !

L'Empire nous déclare la guerre. Vous pouvez voir sa déclaration en halle ou bien ouvrir les fenêtres et voir les armées à nos portes.
Une armée a envahie Solothurn avec l'autorisation de la fille de joie de l'Empereur, la mairesse. Elle se dirige vers Fribourg afin de prendre le château. Genève ne bougera pas et laissera les autres cantons helvètes s'en occuper.
Nous... Nous devons nous servir nos invités et préparer le plus grand tournoi jamais organisé.

Je ne veux plus rien voir sur le marché à moins que le prix soit au maximum.
Viande, poissons, légumes, pains et maïs. Ni sur le marché, ni dans les tavernes.
AFFAMEZ L'ENVAHISSEUR ! FAÎTES EN SORTE QU'IL S'ENDETTE POUR PLUSIEURS ANNÉES !

Offrez le calvaire pour les 6 prochains mois au petit Lorrain dont personne ne se souviendra !

J'en appelle à tous les brigands de France, tous les reclus de l'Empire.
J'en appelle à tous les impôsés du monde !
A tous les tournoyeurs qui vont du coup être à la bourre parce que nous commençons déjà !

Mettez moi l'Empire à feu et à sang ! Brigandez sur les routes !
Profitez en ! Nous tenons leurs armées ! Pillez !

De l'intervention de l'Empire sur nos terres va naître la nouvelle Genève, la première citée brigande ad vitam.
Nous avions de la retenue, nous n'en aurons plus.

Genevois, l'Empire va vous imposer, ne cédez pas à la menace !
Ne payez rien ! Un Genevois n'a jamais payé l'impôt.
L'Empire va vous taxer, n'achetez rien sur les marchés.
La taxe est l'arme du faible qui ne sait gérer ses finances.

Le jour des Humbles est suspendu. C'est aujourd'hui le mois des Humbles !
Tous aux armes et bottez moi ces culs terreux !
Esclandres, maire de Genève

* Citation de mémoire : Il s'agit de Voltaire^^
** Hommage à Gosciny

Eudes_de_sully

L'endroit semblait vide et désert et ne pas avoir servi depuis de nombreuses semaines quand le Légat de l'évêque de Langres y parvint en compagnie d'une partie des moines de l'abbaye saint-Martin de Langres qui étaient aussi les chantres de la cathédrale.
Frère Eudes avait pris la route il y a quelques jours sur ordre de son évêque, afin de réaffirmer la présence du Très-Haut et de sa seule et véritable Eglise, l'Eglise de Rome, dans toute la Champagne à l'heure où surgissaient de nul part des prélats schismatiques qui n'avaient pas l'air d'être très actifs d'ailleurs.
Il avisa un homme étrangement bossu et qu'on lui dit être le sonneur de cloches; il le pria de se mettre à l'ouvrage et tandis que les notes commençaient à s'élever dans les airs à la volée, le choeur se mit en place et entonna un hymne à la gloire de la colère divine, Dies Irae
S'intallant à l'autel, il s'agenouilla aux pieds de celui-ci, en prières.

Eudes_de_sully

Quand le chant fut achevé, toujours tourné vers l'Orient du monde, berceau de l'Aristotélisme, il leva les bras au Ciel et se mit à réciter à haute et intelligible voix, afin que les fidèles la répètent, la prière du Pardon

Citation:

Je confesse à Dieu tout puissant, à tous les saints, et à vous aussi, mes amis, que j'ai beaucoup péché en pensées, en paroles et en actions.
Je supplie tous les saints, et vous aussi, mes amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très-Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés,
Amen.

Aleen_pastre

Aleen, suite à une invitation, était revenue sur Reims, comme elle en avait pris l'habitude elle se rendit à la cathédrale et fut surprise d'entendre un chant Grégorien, et de voir qu'un prêtre s'apprêtait à célébrer un office

Elle s'agenouilla , reprit après lui, d'une voix claire, la prière du pardon

Je confesse à Dieu tout puissant, à tous les saints, et à vous aussi, mes amis, que j'ai beaucoup péché en pensées, en paroles et en actions.
Je supplie tous les saints, et vous aussi, mes amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très-Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés,
Amen.

Eudes_de_sully

La prière terminée, le légat se tourna vers l'assemblée

Mes amis,

peut-être le savez-vous, la Champagne a trahi le serment de foi et de fidélité qu'elle avait juré à l'Eglise aristotélicienne en destituant de son poste, sans aucune raison, Monseigneur Aurélien, archevêque de Reims, prélat modéré et fort éloigné des positions extrêmistes de la Curie, accomplissant le premier acte de la prophétie

Citation:

Elle niait la puissance de l’amour comme sens de la vie et détestait Oane pour la pureté de sa foi. Elle fut la seule à s’être rappelé qu’il avait été enterré au centre de la cité. Pour le défier, elle alla sur sa tombe et en renversa la pierre tombale. Elle déterra le cadavre d’Oane et dansa une nuit entière, piétinant son corps, en chantant sa joie d’avoir détruit son oeuvre.

Profitant de la disproportion des forces entre un prélat seul, sans armes et sans armées n'ayant pour toute défense que l'auguste fonction dont Dieu l'avait revêtu et le lin blanc de sa probité et de son honnêteté, elle fit lâchement envahir le palais archiépiscopal par une armée de mercenaires et de ruffians commandée par un quarteron de généraux en retraite prêts à tous les pronunciamiento militaires afin de chasser l'homme de Dieu.
Et voici l'Eglise bafouée, le peuple champenois défié, sa puissance ébranlée, son prestige international abaissé, sa place et son rôle à Rome compromis. Et par qui ? Hélas ! hélas ! par une soldatesque dont c'était le devoir, l'honneur, la raison d'être de servir et protéger Dieu et l'Eglise.
Ainsi, la Champagne accomplit le deuxième acte de la prophétie

Citation:

Le fort se mit à mépriser le faible. Comme la Créature Sans Nom, ils pensaient maintenant que le rôle des forts était de dominer les faibles.
La Créature Sans Nom exultait de joie, car elle sentait l’heure de sa gloire arriver.
Elle vint à nouveau près de ceux qui l’écoutaient et leur dit que la violence et la haine leur permettraient dorénavant de dominer leur prochain.

Enfin, elle plaça sur le siège archiépiscopal un prélat ultra-royaliste, adversaire de toute paix, accomplissant le troisième acte de la prophétie

Citation:

Mais la Créature Sans Nom trouva sept humains dont le goût pour le péché était si prononcé qu’ils en incarnaient chacun un.
Suivant les conseils de la Créature Sans Nom, ils prêchèrent la rébellion contre Dieu, affirmant que seule la jalousie Le motivait dans sa décision de punir les humains.

Jouant des moyens extraordinaires que confèrent le pouvoir temporel et les impôts et taxes prélevées sur l'ensemble de la population quand l'Eglise ne dispose qu'aucun de ces secours, la Champagne accomplit le quatrième acte de la prophétie

Citation:

Ils ajoutaient qu’Il était faible et ne pourrait jamais mettre Sa menace à exécution. Nombre d’humains les écoutaient avec attention.

Ecartant les mains qu'il avait jointes à la fin de son intervention, frère Eudes conclut

Aujourd'hui, peuple de Champagne, et vous, Rémois, que comptez-vous faire face à cette situation ? Vous plier au fort ou réagir ?

Aleen_pastre

Aleen écoutait le Prélat

La domination, le pouvoir, la trahison, le meurtre, la lâcheté voilà ce qu'était devenu certains aujourd'hui des moutons serviles et veules.

Ils pouvaient être fiers oui, après l'assassinat d'un conseil, maintenant la mise à la porte manu militari de Monseigneur Aurélien et demain ce sera quoi ?

Citation:

Aujourd'hui, peuple de Champagne, et vous, Rémois, que comptez-vous faire face à cette situation ? Vous plier au fort ou réagir ?

Réagir ? oui mais comment ? le peuple champenois se terre, ou prend le chemin de l'exode écoeuré par la mauvaise foi et les agissements du pouvoir en place

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Eudes_de_sully

Le légat voyant surtout des visages amorphes essaya d'enflammer la salle comme à un meeting

Champenois, Champenoises, je n'ai pas de conseils à vous donner, mais

Grand Dieu ! Par des mains enchaînées
Vos fronts sous le joug se ploierait
De vils despotes deviendraient
Les maîtres de vos destinées ?

Dans 37 jours auront lieu les prochaines élections ducales. Il n'est que temps de les préparer et de réunir toutes les bonnes volontés sous le signe d'un Front de Libération de la Champagne (FLC) qui rétablira Monseigneur Aurélien sur son siège; 37 jours pour bâtir un programme, trouver 12 candidats, rassembler les compétences ! Champenois, Champenoises, ne me dites pas que ce n'est pas à votre portée !

Aux urnes, citoyens ! Que toutes vos voix soient votre plus sûr carquois pour retrouver la liberté !

Eudes_de_sully

Je reviendrai pour une nouvelle messe dans les jours prochains jours, tant que Monseigneur Aurélien n'aura pas récupéré la place que seule la force brute a pu lui arracher.

Il récita ensuite le Credo et invita à partager le pain et le vin

Aleen_pastre

Aleen reprit à la suite du prélat le Crédo

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

puis elle se leva et alla vers l'officiant afin de partager le pain et le vin. Il n'y avait personne d'autre quelle pour ce moment de partage et elle en fut attristée,

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Aristominus

Confirmation de Baptême de Charles Antoine

Aristominus arriva assez tôt pour mettre en place la cathédrale. La confirmation du baptême de Sa Grâce Charles Antoine d'Apperault Von Frayner d'Azayes devait avoir lieu dans moins d’une heure et tout devait être prêt à temps pour la cérémonie avant que son archevêque n'arrive ainsi que le jeune Charles Antoine.
Il fleurit l’édifice et alla mettre de l’eau dans la cuve baptismale ainsi qu’un pupitre sur lequel il posa le Livre des vertus..

L’heure étant arrivée, il alla sonner les cloches, puis accueillit le jeune homme à l’entrée de l’église.

Charles_antoine

Charles-Antoine était heureux et fier de se présenter à la cathédrale de Reims en ce dimanche. Il avait demandé à Monseigneur Aurélien de confirmer les voeux qu'il avait prononcé lors de son baptême. En ces temps troublés, il lui semblait important de prêter le serment à l'Eglise qu'il n'avait pas pu faire encore de sa pleine volonté puisqu'il avait été baptisé dès sa naissance par le cardinal d'Azayes.
Cependant, il avait fait sien, sur les conseils et l'enseignement de ses parents, les précepts de l'Eglise Aristotélicienne Romaine.

Il se rendit donc à la cathédrale, afin de s'y faire confirmer et d'y retrouver les fidèles aristotéliciens -romains, s'il était utile de le préciser- qui souhaiterait l'accompagner dans cette étape importante de sa vie.
Il y trouva le sympathique Aristominus, l'homme un-peu-à-tout-faire de l'archevêque.

Bonjour, Mon Père. Me voilà.

Le jeune homme avait particulièrement soigné sa toilette en ce jour. Il portait les couleurs de sa famille sur des vêtements de toile fine et brodée. Cette attention n'était pas tant pour lui-même que pour rendre grâce au Très-Haut de l’accueillir en Sa maison et de lui renouveler sa place au sein de la communauté aristotélicienne.
Nul doute qu'ami et fidèles ne tarderaient pas...
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Aleen_pastre

Aleen avait reçu un parchemin l'invitant a la confirmation du Baptême du jeune Duc.

Elle avait passé une robe de grand faiseur dans les tons de vert mettant en valeur sa flamboyante chevelure, et pour tout bijou un collier de perles au très bel orient.

Elle arriva devant la cathédrale, gravit d'un pas léger les degrés, Charles Antoine était déjà là devisant avec un prêtre.

La jeune femme s'inclina respectueusement

Monseigneur,
vôtre Grâce, soyez remercié de m'avoir conviée à ce moment important qu'est la confirmation et en outre je suis ravie et fière de clamer haut et fort mon attachement sans faille à l'Eglise Aristotélicienne Romaine

Elle recula de quelques pas

Aristominus

Aristominus attendait le jeune Charles Antoine. il le salua dès son arrivée.

Le bonjour votre grâce. Monseigneur Aurélien est déjà dans la sacristie. Nous commencerons dès que vous le souhaiterez.

Une jeune femme qu'Aristominus avait déjà aperçue aux offices de son archevêque arriva à son tour. Aristominus sourit à sà salutation.

Le bonjour, Damoiselle. Je ne suis pas évêque, le monseigneur est un peu excessif me concernant. Je ne suis qu'un prêtre au service de Monseigneur Aurélien et fier d'être au service d'un tel prélat..

Aleen_pastre

Aleen éclata de rire puis répondit à ce sympathique prêtre

J'anticipe un peu, mais un jour viendra où l'on vous donnera du "Monseigneur".

J'ai également beaucoup d'estime pour Monseigneur Aurélien.

Elle ne l'avait revu qu'une ou deux fois après l'avoir escorté jusqu'à Reims

Eudes_de_sully

Le légat de l'évêque de Langres était encore en ville quand il entendit les cloches de la cathédrale sonner. Il s'y rendit alors, se demandant ce qui se passait. Il pénétra dans l'édifice, se demandant qui étaient tous ces gens avant de reconnaître une personne qu'il avait vu à la messe qu'il avait faite ce qui le rassura sur les bonnes intentions des présents.
Son esprit s'apaisa d'ailleurs tout à fait quand il entendit parler avec estime de Monseigneur Aurélien.

Bonjour, je suis confus; désolé de vous avoir dérangé, j'ai cru un moment que des hérétiques s'étaient introduits dans la cathédrale.

Baphomet

La Cathédrale, rien que ça. Alors que le commun des mortels n'aurait l'onction qu'en l'église paroissiale, l'évêque la lui donnait dans le sacro-saint lieu du diocèse et pas n'importe quel évêque : celui descendu de sa chaire par les sicaires de Champagne. Pour le jeune duc qui avait enterré en ces lieux ses parents, l'édifice représentait bien des choses. Aussi, avait-il revêtu pour lui des habits dignes de l'instant. Le bourgeois avait abandonné des couleurs qui lui auraient rappelé la précédente cérémonie. Sa houppelande noire qu'il chérissait d'alors fut troquée pour un riche pourpoint de soie écarlate brodé de fils dorés. Des chausses brunes retenues à la taille par des lacets du même tissu étaient recouvertes par des bottes de cuir montant à mi-cuisse. Un bonnet de feutre noir sur la tête, il s'était ceint d'une épée d'apparat pour l'occasion. Alors que Pons gravissait les marches du parvis, il salua les personnes déjà présentes : la dame de La Tour Blanche, deux suisses et le principal intéressé dont il s'était pris d'affection après la mort tragique de ses parents. Il ne manquait plus que l'archevêque de Reims pour officier enfin en ce dimanche béni de Dieu.

« Monseigneur, s'adressa-t-il en premier à Charles-Antoine. Dame, Messires, salut et paix. »

Le vieux capitaine s'était incliné poliment pour chacun. Il n'était pas avare de bienséance, bien qu'il se présentait rarement. Le bourgeois n'aimait pas s'affubler du particule Maître malgré son état. On lui avait longtemps donné du Seigneur en Orient. Et revenu au pays, l'étiquette absurde dont s'affublaient certains le déroutait beaucoup comme si son langage était étranger, inapproprié. Il se laissait souvent corriger et ne bronchait guère là-dessus. Parfois il échangeait avec quelque lettré sur la sémantique dont il était érudit lui-même.
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Chaplume

Elle n'était pas revenue à Reims depuis les funérailles. Elle contemplait l'imposante cathédrale du bout de la rue et après quelques instant d'hésitation, elle se décida enfin à terminer le chemin et à gravir les marches de l'édifice.

Elle était tendue et espérait que tout se passerait bien. La demande de Charles-Antoine l'avait touché mais néanmoins, ses dernières erreurs la mettait à présent bien en difficulté. Enfin, elle verrait bien si elle était refoulée.

Elle était vêtu de sa robe fétiche, d'un rouge sombre et délicat. Elle avait également changé la cape noire qu'elle ne quittait plus en une plus ouvragé, blanche et doré. Elle n'arborait qu'un seul bijou, sa médaille de baptême qu'elle chérissait car elle lui rappelait son engagement d'alors et les jours heureux passés avec sa marraine.

Arrivée sur le parvis , elle salua d'un simple signe de tête les personnes déjà présentes et s'inclina devant Charles Antoine

Votre Grâce, je vous remercie de m'avoir convié à cette célébration. J'ose espérer qu'elle vous laissera un souvenir impérissable comme cela a été le cas pour moi.

Anthelme_

il avait mis ses habits du dimanche, la confirmation des vœux du jeune duc le ramenait inexorablement a une époque ou il avait assisté au baptême des deux enfants du couple ducal.

les années passaient donc inexorablement, il n'en était pas moins fier de servir cette famille qui valait bien mieux que cette noblesse d'intérêt. il arriva donc dans la cathédrale, admirant l'édifice qui était régulièrement souillés ses derniers temps, même une duchesse avait souillé ce lieu de paix par un acte honteux.

il s'installa en retrait commençant a prié pour les âmes disparues par la folie de quelques hommes

Charles_antoine

Les amis, invités et fidèles arrivaient. Charles-Antoine les salua, heureux de les avoir à ses côtés.

A Aleen, avec qui il avait depuis bien longtemps échangé sur la religion :
Bonjour Aleen. Tout le plaisir est pour moi de vous avoir à mes côtés.

Au pendant langrois d'Aristominus, avec le sourire :
Je vous rassure, cette cérémonie est tout ce qu'il peut y avoir de réellement aristotélicien. Vous y êtes évidemment le bienvenu.

Au Capitaine, envers qui le jeune homme nourrissait quelque profonde admiration :
Pons, je vous remercie d'être là.

A Chaplume, la vassale de longue date de ses parents à qui il avait demandé d'être sa marraine :
Je ne doute point de me souvenir de ce jour toute ma vie. Et je suis heureux de pouvoir compter sur vous pour m'accompagner.

A Anthelme, le serviteur de son père qui avait souhaité rester au service de la Maison :
Soyez le bienvenu Anthelme.

Puis, revenant à prêtre.
Je pense que nous pouvons y aller. Je suis prêt.
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Aleen_de_pastre

Le jeune Duc accueillait les invités, adressant un petit mot à chacun. Aleen s'éloigna de quelques pas après avoir gratifié Chaplume d'un grand sourire, et se dirigea vers Anthelme.

Bonjour Anthelme, je suis bien aise de vous voir

Depuis toujours elle éprouvait de la sympathie pour ce jeune serviteur, il possédait une noblesse d'âme que beaucoup de nobles n'avait pas

Je pense que la cérémonie ne devrait plus tarder maintenant, qu'en pensez-vous ?
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Aristominus

Tout le monde semblant arrivé, et le jeune Duc ayant donné son accord, Aristominus ordonna la procession d'entrée.

Parfait, entrons dans la maison de Dieu, et vous, Charles Antoine, préparez vous à recevoir ce sacrement fondamental de notre église

Aristominus entra dans la cathédrale, suivi du jeune Duc et de ses invités. Il mena out le monde devant le baptistère, où devait le rejoindre l'Archevêque de Reims.

Aurelien87

La procession entra dans l'église, Aristominus menant le jeune Duc et ses invités.
Pendant qu’ils entraient dans l’église, la maitrise de la Cathédrale chanta un chant d’accueil de palestrina

Une fois tout le monde arrivé à sa place, devant le baptistère, il fit le signe d'Aristote :

Mes enfants, nous sommes réunis aujourd’hui dans la maison du Père, pour entourer le Duc Charles Antoine, venu faire sa confirmation de baptême. Reconnaissons tout d’abord nos faiblesses humaines et demandons à Dieu de nous pardonner.

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Charles_antoine

Charles-Antoine entra et se dirigea d'un pas modéré jusqu'au baptistère. Bien entendu, il était familier de la cathédrale, mais là, le fait d'être l'objet de la cérémonie, entouré de ses amis, cela lui faisait quelque chose.
Le chant du choeur de la cathédrale ajoutait encore à la majesté du lieu.

Installé devant la baptistère, il se confessa à l'invitation de l'archevêque de Reims.

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole et en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très-Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
_________________

Aleen_de_pastre

Aleen prit la suite du cortège, le soleil éclairait les vitraux d'une douce lumière, du choeur s'élevait un chant sacré, la jeune femme ferma les yeux, joignit ses mains pour dire l'acte de contrition

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole et en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très-Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
_________________

Chaplume

Chaplume suivit le cortège jusque dans la cathédrale et récita avec les autres l'acte de contrition

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole et en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très-Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Baphomet

Les fidèles présents s'étaient aussitôt pressés dans l'église à l'invitation de l'archevêque. Un chœur d'enfants les avaient accueillis. Le baptistère était le lieu de la petite réunion où Aurélien devait confirmer le jeune Duc. Mais tandis que ces derniers encadraient les fonts baptismaux, les invités se confessèrent pieusement pour expier leurs péchés. Pons n'y manqua point et s'y prêta bien volontiers, lui dont l'âme était bien sombre. Avant de s'installer à Reims, sur la route, le vieux capitaine avait fait sa pénitence. S'arrêtant dans chaque église et chapelle dont il croisait le chemin, il s'était livré pendant des heures à la prière. Aujourd'hui, c'était le cœur plus léger qu'il expiait ses fautes. Bientôt une année entière, il n'avait tué personne, pas même un animal. Les mains jointes durant sa prière silencieuse, ses yeux étaient baissés vers le sol, attendant patiemment la suite tout en réfléchissant à l'avenir. Il pensa au sien tout d'abord, puis à celui de Charles Antoine, à qui il dirait quelques mots à la fin de la cérémonie. Pour l'heure il n'était entouré que d'amis, de gens plein de bonne volonté. Qu'en serait-il plus tard ? Le bourgeois s'en inquiétait naturellement, paternaliste... Protège-le, Seigneur !
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Pieii

Pour une fois qu'une église était pleine, le légat de l'évêque de Langres ne bouda pas son plaisir de réciter la prière dirigée par Monseigneur de Reims. C'est l'une des plus belles réponses à la duchesse de Champagne qui avait honteusement chassé Aurélien de son poste au profit d'un prélat fantomatique qui n'avait la confiance de personne.

Citation:

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les saints, et à vous aussi, mes Amis, que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole et en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très-Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Amen.

Bertuccio

Bertuccio arriva bien tard, et, de ce fait, se fit discret en entrant. Il venait en la cathédrale pour le jeune Von Frayner, digne héritier d'une belle et grande famille. Il pria avec les autres, partageant avec ceux que cela intéressait encore - et ils semblaient nombreux - la foy qui était la sienne.

Aurelien87

Aurélien se dirigea vers l’ambon où il ouvrit le Livre des Vertus

Aujourd'ui est un jour un peu particulier. La confirmation d'un baptème est un acte de foy important, et surtout, fait en pleine conscience. Il implique l'adhésion au Credo de l'Eglise. Il m'a donc paru judicieux de vous relire ce Credo en y apportant quelques commentaires:

Citation:

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Dieu est tout puissant car sans lui rien ne peut exister. Dieu est la source de toute chose, de la matière comme du vide, si bien qu’avant la création du monde, il n’existait même pas de vide car même le vide est quelque chose.
Enfin, le Très-Haut, par son statut de divin, de source de la Création, est infini et éternel.Par Lui tout s’est fait, et rien de ce qui s’est fait ne s’est fait sans Lui. Il est l'Alpha et Omega, ce qui signifie « le premier et le dernier ».
Créateur de l'ensemble de toute chose, celle que nous connaissons de notre passage terrestre, les astres, la terre ou nous vivons, et celles qui n ous attendent plus tard, le séjour des délices ou le gouffre terrifiant. Nous reconnaissons ainsi que Lui seul, créateur de tout, est apte à nous juger, mais que ce jugement, contrairement à celui des hommes, est infiniment plus dangereux pour celui qui ne suis pas le chemin de la vertu.

Ce chemin qu'il nous a fait expliqué par le premier prophète qu'Il nous envoya: Aristote. En reconnaissant cela, nous reconnaissons l'importance et la véracité des écrits d'Aristote, ceux qui sont dans le ivre des Vertu que je viens d'ouvrir.

Citation:

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Voila la deuxième affirmation importante. elle consacre le statut particulier de Christos. Il vient APRES Aristote; Il confirme donc les écrits d'Aristote et re-précise certains points. La base de l'enseignement de Christos, c'est l'amour. Il a délivré son message jusqu'au don de soi le plus extrême, celui de sa propre vie. Faisant cela, il confirme son statut de prophète privilégié, puisqu'il siège à la droite du Très Haut, y rejoignant Aristote. Il donne sa vie, après avoir organisé sa succèsstion, c'est à dire l'organisation de son Eglise, Eglise à laquelle nous appartenons. Nous ne pouvons pas être ailleurs, sans devenir hérétique, puisque nous nous séparerions de l'enseignement ultime de Christos, deuxième et dernier prophète.

Citation:

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Voila la troisième affirmation fondamentale. L’Action Divine, c’est l’espoir et la Foi, insufflée par Dieu aux hommes à travers l’Eglise qui canalise et centralise celle-ci pour la redistribuer à l’ensemble des fidèles, animant et inspirant cette volonté de se rapprocher toujours plus du divin à travers les sacrements donnés par la Sainte Institution de Dieu sur Terre elle-même.
La Sainte Eglise Aristotélicienne trouve ses racines à la fois en Terre Hellénique et en Terre Sainte. C’est l’union entre les deux enseignements des prophètes Aristote et Christos qui donna naissance à la Sainte Institution. Ils sont le fondement même de la parole divine et sans lesquels l’Eglise n’existerait pas.

Cependant, c’est à Christos que l’on doit la création institutionnelle de l’Eglise de Dieu. En effet, lors d’un repas il interpella Titus, l’un des ses apôtres préférés, et le chargea de l’aider à construire l’Eglise pour la plus grande gloire des Cieux. A ses autres disciples, il confia la lourde tâche de porter la bonne parole à travers l’empire romain qui pourchassait à cette époque tous ceux qui se revendiquaient de la philosophie aristotélicienne.

Aujourd’hui, les évêques sont les successeurs des apôtres de Christos, et le premier d’entre eux est le successeur de Titus, l’évêque de la Ville Eternelle, voilà pourquoi on la nomme « Romaine », c'est également pour cela qu'elle est apostolique.

En outre, Elle est « Sainte » car Institution de Dieu. Elle est « Une » car les fidèles ne forment qu’une seule et même famille dont le père est le Créateur Lui-même. Elle est donc « Indivisible » car « Une ». Dieu étant Un, la foi étant basée sur l’Amitié Unitive, tout schisme est donc considéré comme un reniement de l’Eglise primaire fondée par Christos, et un reniement d’une partie de la famille à laquelle on appartient, sinon de l’autorité ou de la légitime succession du premier représentant de Dieu sur terre.

Enfin, par son statut d’institution de Dieu par laquelle Il fait entendre sa voix, la Sainte et Immuable Eglise Aristotélicienne est seule qualifiée pour interpréter l'enseignement divin. Elle veillera ainsi en bon pasteur, comme le fut Christos, au maintien de l'unité de la Foi, de l'harmonie de la doctrine, et de la concorde entre les croyants. L'Eglise est UNE et INDIVISIBLE. Voila une affirmation que je vous invite à méditer. En effet, comment être DANS l'Eglise, si on décide d'en couper un bout, pour son simple petit plaisir. Chacun voit ici ce que je veux dire. L'Eglise que notre Souverain voudrait mettre en place ne PEUT PAS être aristotélicienne. Elle veut se situer hors l'Eglise et cela constitue une hérésie. Certes, rien n'est parfait en ce monde, et le Très Haut nous a laissé ce libre arbitre de pouvoir aller du coté du bien comme du coté du mal. Mais même si l'on reconnait des erreurs, on ne quitte pas. On agit dedans, et pas autrement. Ainsi donc, vous tous qui avez prété votre serment de baptisé, vous tous qui récitez ce Credo, songez à chaque terme prononcé et veillez à ne pas vous mettre en défaut face au Très Haut, car le jour où le jugement viendra, il sera terrible.

Aurélien prit quelques instants de silence pendant que la Maitrise chantait un motet, puis il reprit la parole:

Je vous invite donc, avec moi à réciter, en pleine conscience, votre Credo:

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

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Chaplume

La cérémonie continuait à se dérouler et Monseigneur Aurélien expliqua le crédo puis invita les fidèles à le réciter à leur tour. Reprenant avec les autres, elle le récita avec un nouvel éclairage

Sorianne

Depuis combien de temps n'avait-elle pas mis un pied dans une église? Les cheveux sombres noués grâce à un filin de cuir, une robe écrue, sobre et humble. La noiraude avait fait la route dans l'unique but d'assister à une messe et pourtant, elle restait plantée là, devant la lourde porte, à se demander si elle y serait bienvenue... Si elle pouvait se permettre d'y entrer quand en plus elle était déjà commencé.

Rien dans sa vie n'allait dans le sens enseigné par l’Église... Elle serrait nerveusement ses mains qu'elle avait croisé, avant de se décidé à faire ces quelques pas qui la séparaient de la nef. La porte grinça sur ses gonds quand la jeune femme l'ouvrit. A peine une petite ouverture par laquelle se faufiler pour aller, claudicante, jusqu'à l'arrière. Si elle fut surprise du monde présent, elle n'en montra rien, et reprit le crédo qui était énoncé, avant de chercher à bouger...

C'était sans compter cette maladresse légendaire qui la caractérisait, même dans les pires moments de sa vie. Ses jupes avaient eu le malheur de se coincer dans les pieds des hauts candélabres sur lequels étaient allumées les bougies qui éclairaient l'intérieur de la cathédrale... Un grincement retentit, le fer du chandelier se déplaçant sur les pierres au sol... Tombera? Ne tombera pas?
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Charles_antoine

Charles-Antoine écouta religieusement -c'était le cas de le dire- le credo commenté par l'archevêque de Reims. A sa suite, il le récita.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Après l'entrée discrète et appréciée de Bertuccio, c'était à présent une femme brune qui faisait son entrée dans la cathédrale. Son entrée fut certainement plus remarquée dans la mesure où elle fit grincer l'un des grands chandeliers qui servait à éclairer le saint édifice. Charles-Antoine, malgré la concentration et le recueillement dont il faisait montre en ces instants ne put s'empêcher de se retourner. Il vit le chandelier tanguer. Cependant, placé près du baptistère, il n'était rien qu'il ne puisse faire pour empêcher une éventuelle chute...
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Aleen_de_pastre

Aleen écouta les explications de Monseigneur Aurélien, elle reprit le crédo

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Elle se retourna au bruit que faisait la porte en grinçant, une jeune femme se dirigeait maladroitement accrochant un des candélabres par le pan de sa robe, comme dans un rêve où tout est au ralenti, elle vit le candélabre osciller, elle porta la main à sa bouche
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Eudes_de_sully

Le légat récita à son tour le Credo après que l'archevêque de Reims ait expliqué à l'assemblée pourquoi le roi moribond était dans l'erreur.

Citation:

Il n'eut pas le temps d'achever, interrompu par un bruit incongru qui le fit se retourner en un bond.

Aurelien87

Des bruits dans la Cathédrale, Aurélien en avait entendu pas mal. Il craignait surtout le bruit des bottes des hommes d'armes, mais l'heure n'était pas encore arrivée où on le délogerait par les armes. Il continua l'air de rien la cérémonie et fit signe au jeune Duc de se mettre à ses coté.

Charles Antoine, tu viens aujourd'hui renouveller le baptême que tes parents ont fait pour toi. A ce moment, ils ont prononcé pour toi ce serment fondamental de notre Eglise. Il est temps pour toi, maintenant, d'affirmer ici, comme tu le fais ailleurs, ta fidélité à la foy de tes parents. Prononce donc ton serment de baptême.

Aurélien tendit au jeune Duc le parchemin ou était inscrit le serment.

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Charles_antoine

La cérémonie se poursuivit. Le moment solennel de la prestation du serment aristotélicien était venu.
Charles-Antoine prit le parchemin tendu par l'archevêque de Reims, mais ne le regarda à peine. Il attendait ce moment avec impatience, aussi s'y était-il préparé et connaissait par coeur les mots qu'il devait prononcer.

Je reconnais en Dieu le moteur du monde, la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde. Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne romaine comme mon guide dans la connaissance de Dieu et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Etre divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.
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Aurelien87

Le jeune Duc venait de prononcer son serment. Aurélien prit un peu d'huile sainte et traça sur le front du jeune Duc le signe d'Aristote.

Par le signe d'Aristote, je te confirme dans ton baptême, Charles Alexandre. Que ton coeur, ton âme et ton bras soient toujours fidèles au serment que tu viens de prononcer. Que le Très Haut te garde toujours dans la foy de tes ancètres, la seule vrai foy.

Aurélien se retourna vers l'assemblée.

Et vous tous, qui venez d'assister à cette cérémonie importante dans la vie de notre jeune Duc, que le Très Haut soit avec vous pour vous guider dans tous les actes de votre vie. N'oubliez jamais que chacun de vos actes seront jugés par le Très Haut .

Aurélie bénit la foule avant de quitter le choeur, pendant que la maitrise de la cathédrale chantait un chant de sortie.
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Aleen_de_pastre

Aleen, très émue, regardait le jeune héritier prononcer son serment de foi avec une grande ferveur..

La cérémonie s'achevait, Monseigneur Aurélien quittait le choeur de la cathédrale, la jeune femme se dirigea vers le jeune Duc, elle s'inclina respectueusement devant lui, lui glissant un petit présent dans le creux de sa main, elle murmura juste pour lui

Votre Grâce, cet écrin contient le portrait de vos parents, qu'ils veillent sur vous et vous protège.

Elle sourit puis se retira, une page se tournait
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Baphomet

Adossé contre une colonne de plusieurs siècles, supportant la travée, Pons assistait silencieusement la cérémonie de baptême. La scène était de toute beauté, on n'en voyait guère ces temps-ci d'hérésie. Ce jour, les trois ordres de Champagne étaient réunis pour célébrer le passage du jeune Duc dans un nouveau monde : s'il était croyant, il devenait fidèle désormais et entrait pleinement dans la communauté aristotélicienne devant Dieu et les hommes. L'assemblée s'était confessée dès son entrée pour purifier l'endroit. Deux personnes s'étaient jointes encore pour participer ; tard certes, mais mieux vaut tard que jamais. Un jouvenceau – peut-être de l'âge de Charles-Antoine – et une femme de son âge avaient donc rejoint le baptistère. Si la brunette s'était faite plus discrète, le capitaine aurait serré naturellement la garde de son épée s'attendant à quelque acte irrationnel mais prémédité. Il n'en fut rien et l'attention lui fut portée, tous observant si le candélabre lourdement chargé de cierges allait frapper le sol avec grand bruit, souffle coupé de peur que cela ne l'y aida. Pons se pinça les lèvres l'air mauvais à l'attention de la vilaine qui venait troubler l'instant. Puis récitant le credo avec les autres, il croyait le bourgeois. Oui, il croyait... Du moins son vieux cœur se réchauffait doucement en voyant ça. Il récita avec le jeune Duc sur lequel ses yeux avaient fini par reporter son attention le serment d'allégeance, silencieusement, pour lui, comme pour se rappeler celui qu'il a récité il y a fort longtemps en des temps plus pieux mais aussi troublés. Mais déjà l'archevêque de Reims les invitait à se retirer, non sans leur faire un sermon particulier. Il sentait depuis bien longtemps le regard de Dieu sur lui, sur ses actes et sa destinée. Naturellement le capitaine s'avança vers Charles-Antoine, déjà rejoint par une jeune femme avec la même idée que lui. Attendant qu'elle ne se retira aussi, Pons retira solennellement son épée de son fourreau et la tendit au jeune homme.

« Jeune Duc, il y a bien longtemps que j'attends cet instant. Depuis mon retour au pays, je porte à la ceinture un lourd héritage oublié de bien des nobles : un devoir envers l’Église, au delà même de la croisade contre les païens. Mon père a jadis, malgré ses engagements pour le Roy de France, dû se plier à cette coutume comme son père, et le père de son père... »

Pliant le genou, génuflexion devenu difficile avec le temps autant par orgueil que par âge, le gentilhomme tendit son épée à l'horizontale dans ses mains ouvertes dirigées vers Charles-Antoine. Ce dernier pouvait lire sur la lame présentée une inscription en latin héritée du premier Empereur aristotélicien de l'Histoire : in hoc signo vinces ; par ce signe tu vaincras. L'arme était de la plus simple manufacture, courte et large, à peine décorée si ce n'était de petites croix sculptées en borne de la citation et sur le pommeau doré.

« Il fut avoué de Bourges et j'en ai hérité. Mais vous êtes plus jeune et plus déterminé que moi, entouré d'amis et certain de votre foi en Dieu et en ses enfants. Aussi, acceptez-vous cette lourde charge ? Acceptez-vous de vous faire l'avoué de Reims et de défendre l’Église, son évêque et ses fidèles envers et contre tous ? Si oui, prenez cette épée et portez-la à votre ceinture jusqu'à la fin de votre vie et que vous trouviez un digne successeur ! »
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Charles_antoine

Charles-Antoine se laissa signer par l'archevêque de Reims. En cet instant, il sentit l'amour du Seigneur sur lui. Il se sentait grand et fort. Cette force, il la tirait autant de sa foi, que de la présence de ses amis autour de lui en ce jour si important.
A la fin de la cérémonie, il remercia l'archevêque de Reims de sa belle prestation. C'est ainsi qu'il voyait l'Eglise et qu'il voulait continuer à la voir. Il espérait que cette cérémonie aura été l'occasion pour certains de se rapprocher du Très-Haut et de voir de quoi le duché de Champagne et le royaume de France se coupait peu à peu.
Puis, il alla rejoindre les fidèles présents dans la cathédrale tandis que le choeur entamait un chant.

La première personne a venir à sa rencontre fût Aleen. C'était également l'une des première personne avec qui il avait parlé religion, bien avant les évènements tragiques s'étant joué en Champagne, bien avant même son départ pour Sainte-Ménéhould.
Il lui glissa un écrin au creux de la main. Il posa son regard dessus, écoutant en même temps les mots qu'elle lui glissait à l'oreille. Emu, il remercia la jeune femme.

Aleen, merci. C'est là une délicate attention. Aujourd'hui, plus que jamais, mes parents sont avec moi, avec nous.

Puis, c'est Pons qui s'avança. Comme pour le geste d'Aleen, rien n'avait préparé le jeune héritier à ce qui allait se passer. Il tira son épée du fourreau, mais la confiance du jeune homme envers l'ancien capitaine était totale. Il n'y vit nulle menace. Ce dernier présenta une épée de simple facture au pommeau doré. Ce n'est lorsque Pons plia le genoux que Charles-Antoine put y lire l'inscription en latin qui y était gravée. Par ce signe, tu vaincras... C'est tout ce que pouvait espérer le jeune homme, vaincre par la foi. L'arme, malgré sa simplicité avait quelque chose d'envoûtante. Les yeux du jeune homme se perdirent le temps de quelques secondes dans le reflet de la lame. Sa main se tendit timidement vers le pommeau dorée de l'épée. Sa main droite se plaça sous le pommeau, tandis que la gauche vint se placer sous la lame, afin de soulever l'épée et de décharger Pons de son poids.

Pons, relevez-vous. Ma foi est forte et mon désir de servir l'Eglise, comme celle de voir un royaume puissant et juste est intact. Vous connaissez cependant mes projets, nous en avons discuté. Vous savez que d'ici peu, je ne serai plus rémois, et que même si le destin de la Champagne m'importe au plus haut point, je m'en éloignerai. Cette lame que vous me présentez est un trésor et la charge que vous me confiez par là même est bien lourde. Je ne sais si je pourrais m'en montrer digne...

La lame était toujours tenue à l'horizontal, mais par le jeune homme à présent. Empli de doute et de fierté à la fois, son regard se perdit une nouvelle fois dans le reflet de la lame qui ne manquait pas d'attirer le garçon, avant de se reporter sur Pons.
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Sorianne

Oh bigre! Non! So essaya vainement de rattraper cette chose qu'elle avait agrippé avec ses jupons, mais c'était sans compter sur son poids et le fait que le pied fit remonter le bas de ses jupes. Autant dire que ce ne fut pas le candélabre qu'elle chercha à sauver en voyant ceci.

Elle l'avait senti. Oui oui elle l'avait senti quand elle avait voulu s'éloigner. Quelque chose de lourd accroché à elle. Mais elle voulait faire bonne figure et se rapprocher un peu sans chercher à regarder ce qui gênait son avancée. Elle avait bien l'air fine maintenant, les deux mains plaquées sur ses jupes déchirée au bas, par ce maudit bougeoir, tombé sur le dallage en un bruit infernal, les cierges étalés et roulant sur le sol...

Décomposée, elle ne put que voir les visages tournés vers elle et salua l'évêque de passer outre sans se formaliser de rien. Sans doutes devait-il voir des ânes maladroits à chaque messe. Croiser le regard d'un homme en arme, vous lançant un regard menaçant n'était pas pour plaire à la noiraude qui fit la moue tout en piquant un fard. Elle irait s'excuser... Ou pas... Devait-elle fuir maintenant? Oh ils récitaient le crédo... Fût un temps pas si lointain elle aurait été punie pour sa maladresse, pour sûr...

S'aidant du banc devant elle, So se redressa. Elle irait chercher les bougies plus tard. Le feu aux joues toujours, la jeune femme préféra clore ses paupières afin de ne plus voir personne et rattrapa le reste des fidèles... Ce n'est qu'en voyant la suite, qu'elle réalisa que ce n'était pas une messe ordinaire... Arf... Tout raté...
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Corneillie

Beaucoup de cérémonies en la grande cathédrale de Reims ces temps, bien que celle-ci soient bien plus heureuse que la dernière. La cérémonie de confirmation de baptême du seigneur de Beynac s’entame par la lecture d’un texte de repentance. En ces temps troublé, tous et toutes ont été animé par diverses émotions et on été pour beaucoup en proie aux doutes dans leur propre foy. Il est toujours bon de retrouver le chemin du repentis et de se faire pardonner par le très haut. C’est ainsi que non sans une certaine ferveur, Corneillis récite cette petite prière. Pour elle et ses pécher, mais aussi pour ceux et celle de son entourage, du peuple Champenois, qui se serait détourné du chemin de la foy, dans une période ou la confusion règne et nourri le sans nom.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Puis s’ensuis la récitation du crédo, que Corneillie connais a présent sur le bout des doigts,
Bien que l’archevèque j’ai agrémenté d’explication, une sorte de rappel nécessaire parfois.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Enfin, Charles Antoine termine par la lecture d’un troisième texte, puis le voila déclaré baptisé …
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La parodie écrite des royaumes renaissants ???
Les royaumes redondants
La version audio

Baphomet

Soulagé du lourd fardeau, ses poings se resserrèrent aussitôt. Puis ses bras retombèrent le long de son corps au repos. Sans rien laisser paraître, Pons avait accusé le coup. Il comprenait. Il savait au plus profond de lui-même qu'il demandait au jeune homme une chose que lui-même refuserait s'il avait son âge. N'avait-il pas fui ses responsabilités ? Il y a des années de cela, sergent d'armes au sein de la Commanderie d'Arles, son père était venu à lui pour le ramener chez lui, dans leurs terres de Berry. Mais il ne l'avait pas entendu comme cela. La nuit qui avait suivi tourna une page de son histoire. Scellant un cheval dans l'écurie des Hospitaliers, recouvert de la cape brune de l'ordre, il avait éperonné sa bête vers l'horizon blanc. Cette lumière qui vient d'Orient, là était son destin et le but de sa chevauchée à travers la Provence, puis l'Italie jusqu'en des contrées extraordinaires pour un jouvenceau. Il se prêta à sourire en y pensant. Un soupir bruyant vint mettre un terme à son silence, et ses lèvres se resserrèrent avant de s'entrouvrir, la voix grave d'un père qu'il n'était pas envers un enfant qui ne l'était plus.

« Jeune Duc, déglutit-il, prenez-la. Faites-moi ce plaisir et cet honneur, aussi. Si vous préférez l'errance, je comprendrais. Ce chemin, je l'ai pris jadis pour combattre les infidèles... »

Se relevant enfin, le ton changea et regardant désormais de haut Charles-Antoine il le frappa sur chaque épaule en même temps de ses mains. Sa poigne se referma sur lui, sans étreinte futile et d'autres mots sortirent de sa bouche comme un message de salut.

« Tenez-vous donc debout, avec la Vérité comme ceinture, la Justice pour cuirasse, et pour chaussures le Zèle à les propager au nom de Dieu ; ayez toujours en main le bouclier de la Foi, si lourd parfois à tenir haut, comme ce glaive si léger pour pourfendre les ennemis... si facile à lever... Tenez-le-vous pour dit ! En définitive, rendez-vous puissant dans le Seigneur et la vigueur de Sa force. Revêtez Son armure pour pouvoir résister aux manœuvres du Diable. Car ce n'est pas contre les adversaires de chair et de sang que nous avons à lutter, mais contre les Principautés, contre les Puissances, contre les Régisseurs de ce monde de ténèbres, contre les Esprits du Mal. C'est pour cela qu'il vous faut endosser l'armure de Dieu, afin qu'au jour mauvais vous puissiez résister et, après avoir tout mis en œuvre, rester ferme. Allez en paix, mon fils, et que le Très-Haut vous garde. »

Le vieux capitaine s'écarta enfin, le libérant de son sermon digne d'un épître adressé par un apôtre à quelques païens. S'inclinant derechef pour saluer une dernière fois le jouvenceau, Pons tourna les talons et remonta le transept. La maladresse d'une femme avait éparpillé les cierges alors plantés au sommet. La main sur le manche de la seule miséricorde qu'il lui restait, attaché à la ceinture, il se pencha pour aider à relever d'abord le chandelier qui n'était – il peut vous l'assurer – léger, un de ces ouvrages que l'on sait reconnaître. Puis ce fut au tour des bougies qui traînaient sur le dallage de pierre, pavant le lieu.
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Charles_antoine

Charles-Antoine écouta l'ancien capitaine, appréhendant sa réponse. D'un côté, il mesurait l'inestimable don qui lui était fait ; de l'autre, il craignait de ne point s'en montrer digne et surtout de ne pas répondre à ce que Pons attendait de lui.
Ses projets futurs le mènerait loin de la capitale champenoise, et protéger l'archevêque dans ces conditions serait difficile, même si l'héritier garderait toujours un oeil en Champagne.
Au ton de la voix, il savait que son doute n'était pas apprécié. Mais il préférait être honnête sur ses projets.
Il écouta le sermont. Tout ce que disait Pons réflétait pourtant l'envie et le désir du jeune homme : Celui de concilier la foi avec la vie que lui avait préparé ses parents. Maintenant que son baptême était confirmé, il était certain de suivre cette voie.
Les paroles de Pons étaient très inspirantes, et l'admiration qu'avait pour lui le jeune homme s'en trouvait encore renforcée.

Avant qu'il ne prenne congés, le jeune homme répondit au sermon. Charles-Antoine empoigna la garde de l'épée.

Pons, je vous promets de me montrer digne de ce présent que vous me faites ce jour. Cette lame sera l'instrument de la défense de la vraie foi et me suivra où que j'aille afin de l'y défendre, à Reims ou ailleurs.

Il leva l'épée, pour la présenter aux fidèles présents, ainsi qu'au Très-Haut. Il reprit l'inscription gravée.

In hoc signo vinces !
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Sorianne

Et pendant que discours se faisait, l'esprit de la petite brune avait pris un autre chemin. Une pensée pour un Corbeau disparu. Si elle devait s'en réjouir, une petite partie d'elle s'en désolait. Il avait beau avoir été odieux et méprisable... Il avait toutefois su se montrer gentil et attentionné derrière ses menaces, quand elle avait presque oublié ce que c'était... Et au grand dam de la noiraude, cela devançait ce qu'il avait pu lui faire... Qui pourrait le comprendre...? Si elle priait en cet instant, ce n'était pas pour elle, mais pour l'âme sans doutes damnée de celui qui avait fait trembler le Royaume dans son entier.

Elle réouvrit les paupières, le visage éteint et le regard levé sur la voûte. Prier pour un hérétique honni... Redevable d'un Démon et fiancée à Achim... Craindre une confession, par peur de la punition... Elle n'avait plus rien à faire dans la famille Aristotélicienne... L'épée passait de mains en mains, et la So souffla doucement, le regard dans le vague et ses doigts jouant distraitement avec la chevalière portée en pendentif. Plus rien à faire là....

La petite brune se baissa avec quelques difficultés afin de ramasser l'un des cierges roulé à ses pieds, puis un autre un peu plus loin quand sa main rencontra celle d'un homme inconnu. Elle l'ôta comme si elle s'était brûlée et leva le museau vers lui.

Oh non, non laissez, je les ai fais tomber, c'est à moi de les ramasser... Un léger rire, discret et gêné tout en ramassant une nouvelle bougie. Je suis distraite... Je ne vous ai pas vu venir là, je vous ai vu auprès du jeune homme... Un baptême?
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Baphomet

Un sourire s'esquissa sur son visage. Un de ces sourires qu'il affectionnait, involontairement... Nerveux, diront ceux qui le connaissent. Ils apparaissaient jadis peu. Mais force était de le reconnaître, avec l'âge, ils se faisaient légion. Combien de fois, participant à une bataille, ce rictus amer s'affichait quand il comprenait que la défaite était inéluctable en voyant l'ennemi toujours plus nombreux s'empaler sur son épée. Auquel cas, Pons ne souriait pas en temps normal. Son regard restait froid quand il se posait sur une personne comme la vilaine, se confondant en excuses et lui adressant la parole futilement. Quelques années plutôt, en d'autres contrées, le capitaine lui aurait soufflé la joue du revers de son gantelet de fer pour lui apprendre le silence qui avait cours pour les petites gens. Mais il avait bien changé : l'Orient lui avait appris l'humilité qu'il lui aurait alors enseigné. Ne se serait-il abaissé sinon à l'aider... Sans plus lui répondre, une chevalière suspendue au cou de la brune par une chaîne dorée l'intrigua. Puis il croisa les yeux émeraudes, aussi brillants que l'or qui avait attiré les siens plutôt. Une question éludée pour une autre...

« Seriez-vous Grecque ? »

Il avait vécu parmi bien des peuples. Certaines langues ne lui étaient pas inconnues bien qu'il ne les maîtrisait pas toutes. Mais ce qui était gravé sur l'anneau sigillaire de Sorianne, il savait le lire. Quelle surprise de le trouver sur un bijou plutôt que sur un livre, voilà son questionnement. L'un des sept péchés capitaux inscrit là plutôt qu'une vertu ou un nom. Sa main n'avait pas quitté la garde de son arme de poing. Attentif et prudent, ses sourcils s'étaient froncés devant l'énigme que la brune représentait pour lui...
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Sorianne

A genoux, deux cierges en mains, la question posée laissa la jeune femme perplexe, et So ne réalisa même pas qu'elle dévisageait sans comprendre l'homme auquel elle faisait face.

Grecque?

Oh elle ne manqua pas noter le léger changement d'attitude et rassemblant les bougies contre elle, se pencha pour se saisir d'une nouvelle grâce à sa main devenue libre, tout en esquivant le regard braqué sur elle.

Non... Je suis née et ai toujours vécue dans ce Royaume. Je ne sais même pas où se trouve ce pays.

Cela s'échauffait sous la crinière sombre. Pourquoi telle question? Du coin de l’œil, la noiraude, mal à l'aise soudain, lui jetait des regards curieux sans pour autant voir sa langue se délier pour satisfaire ses interrogations, la chevalière totalement exclue de ses pensées pour l'heure.

Il lui fallut prendre appui sur le banc auprès duquel elle se trouvait afin de se relever sans trop de mal, et la nouvelle petite bourgeoise dressée sur la pointe de ses pieds tenta de remettre en place les bougies tombées. Toutefois, un déclic se fit et la jeune femme baissa les yeux sur son corsage, pour voir que ce qui était habituellement caché, avait prit place au dehors des tissus. Une main se porta sur le pendant retenu à la fine chaine d'or et gênée, Sorianne se retourna vers l'homme.

Vous savez lire cette langue?
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Baphomet

Pons se releva aussi, suivant le mouvement sans plus répondre à ses interrogations. En fait, il avait même tendance à poser plus de questions qu'il ne répondait à celles de ses interlocuteurs. Mais aujourd'hui, la brune l'intéressait. Son regard inquisiteur se reposa sur elle. Si l'habit ne faisait pas le moine, l'imposante stature trahissait son ancien état martial. Une main de fer dans un gant de velours, ainsi était le capitaine. Il avait abandonné l'armure pour un riche pourpoint... Détournant néanmoins les yeux, prude, il songea : les lettres gravées dans l'or ne faisaient plus de doute mais pourquoi cette langue et ce péché en particulier ? Sorianne se donnait des airs de paysanne mais n'en était certainement pas une, les mains trahissaient les habitudes des gens.

« Celle-ci, et d'autres... »

Enfin avait-il répondu. Mais son propos laconique ne traduisait guère ses pensées les plus profondes. Plongé dans ses réflexions, le bourgeois ne remarqua même pas qu'il caressait machinalement l'émeraude surmontant la bague en or à son annulaire gauche. Pour qui aurait pu l'étudier, la pierre précieuse était taillée en forme d'étoile à six branches dont les reliefs travaillés mettaient en évidence deux triangles équilatéraux entrecroisés. Le sigillaire traduisait alors à lui-seul un concentré de croyances et de traditions hermétiques, aussi anciennes que le monde. On l'appelait le sceau de Salomon. Il estimait son pouvoir et sa protection.

« Mais je manque à tous mes devoirs : je suis Pons, enchanté ! »

Ses doigts cessèrent leur activité étonnante, et il croisa les bras dans son dos observant la femme devant lui. Un nouveau et long silence s'installa. Il ne savait quoi dire. Croisant fort peu de personnes en temps normal, comment pouvait-il être agréable ?
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Sorianne

La So crispa légèrement les mâchoires quand il répondit savoir lire la langue qu'il avait vu gravée dans l'anneau. Le regard perdu dans le vague et la tête basse, elle rangea nerveusement la chevalière qu'elle avait omis de remettre à l'abri de son corsage après avoir joué avec. Oh elle se laissa jauger, ayant l'habitude maintenant, néanmoins elle ne manqua pas prendre quelques couleurs sous le regard curieux et insistant.

Le manège de l'homme sur son anneau à lui ne lui échappa pas, mais elle n'était point calée en la matière, aussi ne releva rien de spécial... A part le fait qu'il ne semblait pas être un pauvre hère de campagne.

Sorianne... Je suis Sorianne... Ou So...

Le museau toujours aussi bas, la noiraude releva toutefois le regard, pour observer à la dérobée... Et le voir la regarder de nouveau. Yeux détournés aussitôt et la jeune femme gigotait, mal à l'aise, passant d'un pied sur l'autre. Où était donc passée la jeune femme sûre d'elle qu'elle était il y avait encore quelques années...?

Je suis désolée pour le candélabre... Il s'est accroché à mes jupes... Et je suis maladroite.

Un soupir, et elle finit par se reprendre, se redressant et accroche le regard de Pons. L'assurance lui fait défaut, mais au moins elle ne détourne plus la tête! Le blanc s'était installé entre eux, et vu le regard qu'il lui lançait, elle se doutait qu'il devait se poser des questions... Pourtant ce n'était qu'une chevalière...

A quoi pensez vous Sieur Pons?
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Baphomet

De ses lèvres pincées, un éclat de rire s'échappa mais il se reprit aussitôt. Le bourgeois ne se laissait que très rarement aller à de telles profusions. Sorianne l'avait rendu hilare en se confondant en excuses. Faisait-il si peur que cela ? Son visage s'était néanmoins décontracté, amusé. Désormais, il observait la brune avec une certaine douceur. Elle lui rappelait celle qu'il aimait : à la fois timide, empotée ou très sûre d'elle, pleine d'entrain et d'enthousiasme. Leur couple détonnait parfois et étonnait souvent. D'ailleurs elle devait s'inquiéter de ne pas le voir revenir et ses pas le conduisirent naturellement vers la porte de la cathédrale. La lumière naturellement commençait à estomper de la majesté du lieu. A quoi pensait-il en voyant un tel spectacle ? Ou à quoi songer quand une vilaine portait un tel bijou à son cou, vite mise à l'abri de son corsage ?

« Sorianne, vous êtes une femme pleine de mystères, dit-il se frottant le menton entre son pouce et son index. Peut-être me diriez-vous qui vous a donné une telle chose ? Je recherche des objets sans valeur au premier abord, comme le vôtre en fait. »

Il y avait des boutiques sur Paris, de véritables capharnaüms : un paradis pour des personnes comme lui. Des étagères pleines de codex poussiéreux, de statuettes antiques et de crânes d'animaux exotiques, ces cabinets de curiosités n'étaient pas accessibles au néophyte. Celui qui savait quoi chercher trouvait son plaisir. L'or parfois n'était pas suffisant pour acquérir ce que l'on souhaitait. D'autres garanties étaient souhaitables, pas toujours honnêtes. La Halle de Paris* était concurrencée par des marchés plus souterrains, moins fréquentables. Certaines arrières-boutiques étaient alors plus richement pourvues que l'étale public. Encore fallait-il les connaître...

« Les cours des miracles de la capitale ne vous sont peut-être pas inconnues. Je vous imagine mal en Champenoise, plutôt en Parisienne, allez savoir pourquoi. Peut-être à force d'explorer son dédale de rues, en ai-je appris sur son peuple. »

* : ce que nous appelons aujourd'hui Les Halles.

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Sorianne

Même si le large chaton de la chevalière était usé au point que les armes gravées dessus soient pour ainsi dire invisibles, le lourd bijou n'était point dépourvu de valeur, du moins aux yeux de la noiraude qui tiqua sans chercher à le cacher. Les lèvres pincées, elle baissa le museau et du bout des doigts alla chercher l'anneau dans son corsage. Le tournant doucement, elle porta le regard dessus et un sourire nostalgique apparu.

Machinalement, elle avait emboité le pas à Pons, claudicant auprès de lui jusqu'à la grande porte. Les yeux verts lâchèrent leur centre d'intérêt pour observer l'homme qu'elle accompagnait. Il semblait sévère au premier abord, mais plus tant maintenant qu'il s'était amusé de ce qu'elle avait bien pu dire.

La suite la laissa coite, et la cloua sur place. Elle plissa le nez tandis qu'elle relevait la tête en direction de la lumière qui s'était fait plus insistante à mesure qu'ils arrivaient à la sortie. Le choc passé, elle le rattrapa et mesura la distance qui les séparaient du parvis. Elle attendrait qu'ils y soient arrivés.

Je ne suis pas Champenoise... Mais ne suis pas Parisienne. Je n'ai mis en tout et pour tout, que deux fois les pieds à Paris. Et j'ai interdiction d'aller dans cette Cour, je l'ai promis. Je n'ai aucune idée de ce à quoi elle ressemble.

Il savait. Il savait, il le sous entendait lui même. Elle n'était pas née de la dernière pluie, et la naïveté se faisait moindre avec l'âge. Il savait, il le disait... Elle avait promis à Achim de ne pas s'y rendre, mais on l'y avait invité pour rendre la chevalière quand sa promesse aurait été réalisée.
Aveuglée un instant par la lumière agressive, maintenant arrivés sur le parvis, So ferma les paupières avant de relever le nez vers Pons.

Pourquoi me parlez vous de Paris et de ses Miracles?

Elle ne pouvait se décider à le dire, mais il devait se douter sinon il n'aurait pas orienté ainsi la conversation. Le lèvres de la jeune femme se repincèrent un peu l'espace d'un instant, les yeux revenus à la bague. Il n'avait pu manqué son désarroi quand il avait touché juste.

Dites le...
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Baphomet

« Une interdiction, comme c'est touchant, se moqua le capitaine. Eh bien, transmettez à qui de droit : le sieur Pons souhaite marchander quelque savoir occulte. Vous me trouverez encore à Reims pour les jours à venir. »

Le savoir n'amenait-il pas au pouvoir à cette époque, encore aujourd'hui ? Relevant sa main droite, son index pointa vers un chapiteau du lieu saint. Un diable hideux narguait les Aristotéliciens qui venaient se recueillir. Chaque église était un livre ouvert, un bestiaire du terrifiant bas-monde. Si les cathédrales s'élevaient orgueilleusement jusqu'à Dieu, la lumière solaire inondant sa maison. Le Grand Architecte de l'Univers cédait le pas la nuit à un autre empire, celui de la Lune. Les princes-démons pouvaient alors descendre de leur froide demeure et jouirent des pécheurs, leurs fidèles. Il y avait bien des ducs et des barons dans ce royaume de ténèbres. Mais le bourgeois savait qu'il y avait des démons de chair et sang qui gouvernaient les hommes. Ils se paraient de bonnes intentions, d'atours somptueux, de pourpre et de noir, d'or et d'azur...

« Paris et ses miracles, oui, pensa-t-il tout haut en observant la brune. Dommage que vous ne connaissiez point. Le Louvre jalouse cette pétaudière. D'ailleurs il s'y murmure qu'elle aura bientôt un Roy. Je m'y rendrais volontiers pour assister à son sacre. »

En somme, un État dans l’État et dans sa propre capitale, du moins le fief d'origine des Roys de France. Car ces derniers allaient de château en château et là où était leur cour était leur capitale. Mais les pauvres hères, sujets de ces mêmes Roys, souvent oubliés, ne trônaient point dans ces cours. Ils avaient les leurs, moins fastes et aussi conviviales pour qui en connaissait les codes... et les bonnes gens pour y entrer.
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Sorianne

So fit la moue alors qu'il se moquait ouvertement de ce qu'elle avait dit. Si Achim lui avait interdit d'y aller ça ne devait pas être pour rien, et se connaissant, elle ne voyait pas la raison de ne pas écouter le chirurgien... Même si elle comptait y aller un jour, ne serait-ce que pour rendre la chevalière. Le reste de la phrase prononcée lui fit froncer les sourcils.

Savoir occulte? Vous êtes... Sorcier?

La noiraude observait maintenant l'homme, sans gêne, perplexe face à ce qu'il lui avait dit. Il semblait si droit et carré qu'il était étonnant qu'il pratique la sorcellerie. Elle s'imaginait plutôt ces derniers comme... Un peu comme la vieille femme qui lui avait sauvé la vie une fois... Mais point comme un bourgeois si sûr que semblait l'être le Maître Pons.

Et... A qui de droit? Mon Promis? C'est lui qui m'a déconseillé de ne jamais aller à la Cour des Miracles... Ce n'est pas risible. C'est dangereux, un coupe gorge.

Un Roi? Aux Miracles? Oh comme cela s'échauffait dans la tête brune. Elle n'avait aucune idée de la vie là bas, seulement des on-dit qui lui arrivaient aux oreilles. Elle avait entraperçu l'un des Démon y vivant, peut-être même lui avait-il sauvé la vie, plus que ce qu'il pourrait le penser du moins...

Mais il ne peut y avoir qu'un roi... Comment peut-on en sacrer deux...? C'est folie... Et y aller pour voir ce Sacre, c'est tout aussi fou.

N'avait-elle pas assisté en premières loges au faux sacre d'Eusaias? N'avait-elle pas pensé qu'il s'agissait de folie que d'aller à ce point à l'encontre de l'église et de ses saints? ... Les sourcils se froncèrent... Et sa main vint retrouver la chevalière alors qu'elle imaginait quelques scénarios... Et le regard qu'elle avait dans le vague pendant que son imagination travaillait, revint se fixer sur le bourgeois.

Vous savez qui m'a confié l'anneau... Comment? ... Vous voulez le rencontrer...

Petite noiraude se rendit compte qu'ils étaient toujours sur le parvis. Oh comme c'était mal. Elle s'en échappa prestement. Aussi rapidement que le lui permettait sa hanche abîmée. Revenue sur la terre battue constituant le chemin, elle s'éventa nerveusement, la chaleur se faisant oppressante.

C'est plus que de la folie, c'est...

Il ne lui avait rien fait à elle... Il l'avait fait se sentir vivante. Il l'avait ramené et lui avait redonné envie de vivre. Elle s'était sentie à l'abri, protégée, au creux de la sombre bure qui l'avait enlacé et fait tourner*... Mais les paroles du Père Scopolie au sujet de ces Princes lui revenaient, et ne faisait que la conforter dans l'idée qu'elle avait eu grande chance et qu'elle ne devait être qu'une exception, pour elle ne savait quelle raison.

Ce sont... Des Démons, ils sont dangereux. Personne ne les affronte, personne ne sait qui ils sont... Ils sont craints... Et vous voudriez... Elle lâcha un rire nerveux tout en le pointant du doigt. Cet homme devait être suicidaire... Au même titre qu'elle l'était. Vous êtes fou. Vous l'êtes! Et je ne dois y retourner que quand j'aurai tenu promesse, rendre la chevalière, pas...

Un geste de la main, elle ne savait plus que penser. Achim... Achim, il savait pour la chevalière, elle la lui avait montré, lui avait même dit qu'avec elle, il pourrait sûrement entrer dans leur Antre sans se faire massacrer, pour sauver une Fourmi téméraire. Il savait comme ils étaient... Et n'était-il pas en la Cour avant d'être ici? Le prévôt de Paris le lui avait bien signifié quand elle était arrivée en Champagne, avec toute la délicatesse du monde.

La jeune femme avait déjà fait quelques pas, afin de s'éloigner de Pons, mais demi tour fut rapidement effectué.

Vous. A vous de venir à Troyes. Venez voir mon Promis, il sait. Il sait comment ils sont. Il vous les racontera.
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[RP]Cathédrale Saint Himérius