Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 26, 27, 28, ..., 33, 34, 35   >   >>

[RP]Cathédrale Saint Himérius

Claptons54
le cure nono avait demander a ceux et celles qui le désiraient de venir témoigner je prit la parole

messire polibee que dire de vous que vous étiez un très bon capitaine se vouant sans cesse a la défense de notre duché .j ai servi sous vos ordres a sa était un honneur pour moi.je vous oublierais jamais et merci de m avoir aider a mieux défendre notre duché que Aristote vous protèges


claptons alla se rassoir et récitas dans sa tète le credos

Citation:
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

AMEN



_________________
Ines
Elle prononça cette phrase simplement mais qui voulait tout dire ..

Il est mort aujourd’hui un homme qui faisait honneur à l’homme.
Que Dieu te garde mon Ami . Que le Seigneur veille sur toi, tu as assez donné aux hommes
maintenant à toi de recevoir la protection du Très Haut !..
Repose en Paix dans la Paix du Seigneur, ainsi va la vie.


Puis en silence je récitais le Crédo

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

AMEN


Nono18
Nono fut touché par tout les témoignage.

Il attendit encore un peu pour voir si une dernière personne souhaitait dire quelque chose avant de poursuivre la cérémonie.

_________________
Francis_lefranc
Ayant enfin pu me libérer, je me rendit rendre hommage à une personne que je ne connaissait pas, mais qui avait rendu de si fières services à la Champagne et qui était un proche d'une de mes connaissances.

Par respect, je me devais de rendre hommage à cet homme qui à tant fait pour les Champenois et pour une amie.

Je m'étais installé au fond de la cathédrale et écoutais avec un émouvant respect tout le bien cité.

Je n'osais pas prendre la parole car je ne connaissait pas l'homme. Je restais donc en arrière, discret mais présent pour accompagner un deuil. Celui d'un Duché pour un homme d'arme, pour un être aimé d'une amie, pour un homme tout simplement.

Enfin, doucement, je chuchotais le Crédo :

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

AMEN


Je remarquais Coxy qui était bien triste et je la laissait seule face à son chagrin. Ce moment était le sien et celui de l'homme qui avait tant partagé sa vie.

Il était aussi le moment de bien d'autres qui l'avaient connu et apprécié. Chose que je n'aurais pas eu loisir de connaître, hélas.

J'assistais donc à la suite de la cérémonie.

_________________
Francis LEFRANC
Courrier Champenois Adjoint et ancien Maire de Conflans-lés-Sens.
Nono18
Nono, voyant que plus personne ne venaient devant, décida de poursuivre.
Il regarda le cercueil ouvert et dit:


Pour ceux qui souhaite, vous pouvez venir lui dire adieu en déposant à côté de Polibe des fleurs ou allumer un cierge à sa mémoire.

A ces mots, Nono voulut être le premier à déposer une bougie pour donner le mouvement.
Il alla sur le coté, prit un cierge, l'alluma et le plaça devant l'autel.



Il prit également une rose blanche et l'installa dans un des vases prévu à cette effet.




Il se mit sur le coté voyant que les villageois commençaient à l'imiter.

_________________
Suzette
Suzette se leva et déposa elle aussi une bougie au pied du cercueil de Polibe.
L'atmosphère était lourde, le silence pesant.
Le regard baissé, elle regagna son banc
.


_________________
Hersent
Nono avait déposé une bougie ainsi qu'une rose blanche près du cercueil de Polibe. Elle suivit Suzette et déposa également une bougie, elle n'avait pas de fleur pour accompagner la lumière qui guiderait l'âme de son Capitaine jusqu'au Royaume des Cieux, en pensée elle imagina une fleur de lotus *, cette fleur venue du lointain Orient, symbole de l'élévation de l'âme vers son épanouissement final.

Elle murmura à la dépouille de celui qu'elle aurait suivi jusqu'aux confins du monde: Que cette lumière te guide à jamais, qu'elle éclaire ton chemin et surtout qu'elle te dise, tout au long de ton éternité, combien nous t'aimions et te respections...et combien tu nous manques. Un jour, nous nous reverrons Polibe...

Elle regagna le banc des Loups, le regard dans le lointain, esquissant un sourire au souvenir des moments joyeux qu'ils avaient partagés, ensemble, leurs colères réciproques comme leurs joies ou leurs peines.




*HRP: "Dans le bouddhisme la fleur de lotus est emblématique de Bouddha. Dans tout le monde indien on compte de très nombreuses peintures, sculptures et représentations de la fleur de lotus. Ceci est dû à la particularité unique du lotus qui est la seule plante aquatique dont la fleur est au-dessus de l'eau contrairement aux nénuphars et autres cousins dont la fleur flotte sur l'eau. Cette image, connotant la légèreté, de la fleur s'élevant au-dessus de la surface de l'eau rejoint celle de Bouddha si léger qu'il repose comme un chat au-dessus du sol.

La symbolique du lotus en bouddhisme relève encore du fait que la graine et la fleur apparaissent ensemble, il s'agit de la simultanéité de la cause (la graine) et de l'effet (la fleur) dans la loi de causalité de l'univers qui est l'un des concept majeur de la philosophie bouddhique. À cela il faut rajouter que le lotus puise sa substance vitale dans la boue pour s'épanouir, en effet, au-dessus de l'eau. Ainsi "la boue" représente les souffrances, les troubles, les désirs, qui sont le terreau même de notre épanouissement. Il est donc possible de transformer son karma par l'illumination, l'atteinte de la boddhéité, grâce à notre éveil à la loi de causalité." source Wikipedia

_________________
Ines



Elle avait célébré une messe d'Adieu chez les Loups mais cela ne l’empêchais pas de venir ici a son enterrement il avait etait son chef, Aimer, respecter par tous, une grande perte pour les Loups !. Mais sa filleule et Amie avait pris les rennes de la Caserne elle savait y faire ..

Adieu Polibe ..
Après avoir dit une prière sur le linceul de Polibe, je déposais un bouquet de roses blanc ainsi que trois bougies que j'allumais tour à tour...
Je pris du recul et regardais si tout était en harmonie. Satisfaite, je me rapprochais du linceul et je dis une autre prière dans le recueillement, mains jointent...




Coxynel
A l'invitation de Nono, elle se leva, rejoignant une nouvelle fois le cercueil de son Amour. D'autres fleurs avaient rejoint son perce-neige.
Une fois dans le choeur, elle prit un des petits cierges mis à disposition. Coxynel le passa sur la flamme des cierges plus gros et allumés qui se trouvaient à côté et éclairaient faiblement l'édifice.

La jeune femme le déposa ensuite sur le cercueil près des autres en murmurant quelques mots.


Tu resteras toujours dans mon coeur et dans celui de Manon. Je veillerai à ce que ta fille connaisse l'homme que tu étais... au moins jusqu'à ce que je te rejoigne.


Ces mots résonnaient dans la tête de la blonde comme une promesse.
_________________
Nono18
Après le long défilé émouvant, Nono fit un signe à six Loups.
Ils refermèrent le couvercle avec une extrême lenteur et sortirent de l'église sur invitation du prête en portant le cercueil.
On n'entendait que les pas sur la pierre de l'Eglise et quelque sanglots étouffé.

Le duché prenaient vraiment conscience qu'on perdait un homme cher .

Ils se dirigèrent jusqu'au cimetière attenant, toujours avec ce pas très lent, et au caveau familial, prêt à accueillir un nouveau corps.

Pendant qu'on attachait des cordes au cercueil pour le mettre en terre, le prêtre accompagna le recueillement des proches et des fidèles silencieux par quelques paroles.


Nous allons maintenant confier à la terre le corps de notre frère dans ce lieu où reposent déjà tant de défunts de nos familles. Le moment est venu de lui dire "Adieu".
C'est un moment de tristesse, mais il faut que l'espérance reste forte en nous car nous espérons revoir Polibe quand Dieu nous réunira, dans la joie de son Royaume.
Recueillons-nous une dernière fois tous ensemble.


Après une minute de silence, Nono invita les porteurs à descendre le cercueil à jamais.
Une bourrasque de vent vint toucher l'assistance comme un dernier "au revoir" du Capitaine.

Ensuite Nono asperge le cercueil d'eau bénite et dit :


"Cette eau, souvenir de ton baptême,
Nous rappelle que Dieu a fait de toi son enfant.
Qu'il te reçoive aujourd'hui dans sa Paix !"


La cérémonie était maintenant terminée. Il recula pour laisser la place aux amis et à la famille qui, un à un, vinrent jeter une poignée de terre dans la tombe.


Enfin, chacun sortit du cimetière, laissant le corps terrestre de Polibe dans sa dernière demeure.

_________________
--Vigiliae
Citation:




    A l'Universalité des fidèles
    Au Royaume de France,
    Aux séditieux,



    Alors qu’un nouveau monarque assoit son pouvoir à la tête du Royaume de France, quelques
    séditieux cherchent à braver la concorde aristotélicienne par la revendication illégitime du trône,
    attisent la division du territoire et des hommes pour de vaines questions de pouvoir et d’honneur,
    déguisées sous les oripeaux de l’égoïsme. Aussi entendons-nous rappeler quelques principes
    inviolables, solidement enracinés dans l'histoire et la tradition.

    C'est par l'intermédiaire du sacre que se manifeste le lien étroit entre Dieu et le roi, cette
    cérémonie conférant au Prince un caractère divin accroissant irrémédiablement sa légitimité à
    gouverner la destinée terrestre par l'affirmation de l'antique délégation de l'autorité politique,
    de l'impérium séculaire.

    Extrait de la masse des laïcs et hissé au rang de lieutenant de Dieu sur terre, fort d'une autorité
    empreinte de substance divine, le souverain sacré reçoit par le truchement de l’Église la
    puissance et la responsabilité de gouverner la collectivité des hommes selon l'intérêt commun,
    de rendre une justice équitable, de protéger la foi et l’Église, notamment en traquant ceux qui
    oseraient s'élever contre ses dogmes et doctrines.

    A l'instar de la corne d’huile renversée jadis sur la tête de David et déversant son contenu sur
    ses épaules, son dos, sa poitrine et ses bras, l'élévation sacrale issue de l'onction matérialise
    l'investissement de tous les sièges vitaux par la force d'en Haut, induisant cette même prise de
    possession de l'homme par Dieu. Par le saint chrême, de surcroît miraculeux, seul le roi sacré
    se voit érigé comme intermédiaire particulier entre Dieu et son peuple. Par la bénédiction de
    l'anneau du roi, signe de la foi, de la dignité royale, marque de la puissance portée au quatrième
    doigt de la main droite, par la remise du sceptre de commandement et de la verge, l’Église
    investit solennellement et spirituellement le seul et unique dépositaire de l'autorité.

    Nous voyons, dans l’actualité récente, ce qui nous amène à réaffirmer tel fondement inébranlable,
    tant nous souhaitons prémunir l'ordre temporel du chaos. L'initiative désespérée visant à contester
    la légitimité du détenteur du glaive temporel par la déliquescence des valeurs fondant l’autorité
    publique revêt un caractère burlesque et inénarrable. La paix des hommes ne peut subsister que
    dans l'ordre.

    Nul ne peut prétendre à l'exercice d'un pouvoir royal privé de toute substance divine, seul
    apanage du monarque sacré. Et quelle serait la légitimité d'un roi exempt de toute essence divine,
    si ce n'est de régner sur une basse-cour en perdition...

    En conséquence, nous invitons la poignée d'individus aux intentions belliqueuses à recouvrer la
    raison par l'intégration et la soumission aux principes fondant l’essence même de l’autorité
    politique, et ce avant qu'ils ne s'enferment irrémédiablement dans les méandres d'un labyrinthe
    qu'ils ont eux-même édifié et qui ne saurait les conduire qu'à leur perte.


    Bénédiction Apostolique.

    Cyril Kad cardinal d'Azayes,
    Cardinal & Evêque de Tibériade,
    Vice-Chancelier de la Congrégation des Affaires du Siècle.



    Rome, le X mai de l'an de grâce MCDLX, le mercredi.



--Vigiliae
Citation:




    Congrégation de la Sainte Inquisition
    Convocation par devant la Congrégation de la Saincte Inquisition



    Moi, Clodeweck de Montfort-Toxandrie, cardinal-archevêque de Tours, Primat de Bretagne, Cardinal Chancelier de la Saincte Inquisition, duc de Montforzh, par la grâce de Dieu, devant le Très Haut, sous le regard d’Aristote et au nom de notre Sainte Mère l’Eglise,


    Ordonne, la comparution devant nous, Congrégation de la Saincte Inquisition, des personnes connues sous les noms de
    Llyr,
    P3r3v3rt
    LineXIV
    ,
    Afin de les entendre, suite aux diverses plaintes portées contre elles, aux différentes attaques de prélats commises sur le sol de Touraine et suite aux rapports et aux témoignes reçus à leur encontre.
    Ces derniers sont convaincus en outre, de crime de foy, au vu des éléments qui leur seront communiqués lors du procès inquisitorial.
    Le procès aura lieu, en place de Tours sous la haute autorité de Son Eminence Verty, cardinal vice chancelier de la Saincte inquisition. Dès qu’elle sera remise de ses blessures si Dieu veut qu’elle s’en remette et au minimum dans quarante cinq jours.

    Dépouillons toute officialité qui se connaîtrait déjà de la cause au profit de la seule juridiction d'exception.
    Appelons toute personne faisant l'objet d'une convocation à collaborer pleinement et sans délai aux investigations et procédures afférentes à la Justice d'Eglise. Rappelons que toute entreprise visant à nuire, de près ou de loin, aux travaux de l'inquisition, s’attireraient les foudres immédiates de notre Sainte Institution.


    A ce jour les trois personnes concernées sont frappées d’interdit conservatoire jusqu’à la tenue du procès, cet interdit n’ayant de limite dans le temps que le prononcé de la sentence.
    Il leur est donc interdit, toute cérémonie religieuse privée ou publique, baptêmes, mariages, célébrations, consécrations etc.


    Est convoquée, également, à titre de témoins

    Sa Grace Tayabrina duchesse de Touraine.

    Ad Claram et Sanctam Veritatem

    Fait à Rome le XIIIème du mois de Mai, de l’an MCDLVX de la Saincte Eglise aristotélicienne




Melisende
Et l'évêque de Beauvais d'afficher cette missive du primat de l'églyse de France :

Citation:



    À l’ensemble des fidèles du Royaume de France,
    À tous ceux liront, ou entendront,


    Nous prenons la plume en ce jour, le cœur empli de chagrin et d’inquiétude, suite aux récents évènements fort désolants qui se sont produits sur le territoire du Royaume de France, plus particulièrement en Bourgogne.

    Qu’il soit su que l’Assemblée Épiscopale de France désapprouve les récentes actions d’Eusaias Blanc-Combaz et de ses sbires, qui ont vicieusement attaqué le Château de Dijon, menaçant ainsi toute la stabilité du bon Duché de Bourgogne et semant peur et malaise au sein de la population. Ledit Eusaias avait proposé des négociations avec Sa Majesté Vonafred dans le but de régler pacifiquement ce conflit, sous notre propre patronage. Hélas, sa fourberie nous a bernés. Alors que nous espérions toujours pouvoir débuter des pourparlers éventuellement, il a sordidement décidé de prendre le Château de Dijon avec l’aide de quelques compatriotes.

    En écrivant ces quelques lignes, nous nous rappelons la crise dont le Royaume de France n’est même pas encore sortie, ce différend avec l’Alliance du Ponant. À peine le peuple a-t-il pansé ses blessures, aussi bien morales que physiques, que le Royaume retombe à nouveau dans une torpeur qui risque de causer bien des dégâts, et ce à cause de quelques séditieux qui osent défier la volonté de Dieu. Nous rappelons que Sa Majesté Vonafred a été sacré par notre Sainte Mère l’Église et Oint par le Tout Puissant. Se rebeller contre lui veut dire se rebeller contre Dieu lui-même. Nous espérons donc qu’Eusaias Blanc-Combaz ainsi que tous ceux qui le soutiennent réalisent la gravité de leurs actes. Quiconque se rallie à Eusaias se met en porte-à-faux avec le Très-Haut et, par le fait même, met en péril son Salut.

    Nous requérons à Eusaias Blanc Combaz et à ses alliés de cesser aux plus vite leurs actions de perturbations et de remettre les clefs du Château de Dijon à Sa Grâce François Delamark, Duc légitime de Bourgogne. Évitons que du sang ne soit versé pour rien et réglons cette crise en bons aristotéliciens.

    En outre, nous rappelons à titre informatif que le Dimanche est jour consacré au Très-Haut, et demandons à toute personne impliqué dans ce conflit d’observer avec piété cette journée de paix. (La trêve dominicale couvre les actions entamées le dimanche et résolues le lundi matin). Toute violation de la trêve dominicale constitue un lourd péché qui ne saurait demeurer impuni et serait porté devant la Sainte-Inquisition sans détour.


    Nous prions ardemment pour que le Très-Haut fasse en sorte de ramener un climat de paix au plus vite en ces temps troubles.
    Avec cette supplication dans le cœur et sur les lèvres, nous accordons au peuple de Bourgogne et de toute la France, comme gage du secours divin, comme soutien durant cette période difficile, notre Bénédiction Primatiale.




    Paix et Bénédictions,


    Monseigneur Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d’Embussy-Taschereau,
    Primat de France,
    Archevêque de Lyon,
    Protonotaire Apostolique.



    Fait à Rome, le XVIe jour du mois de mai de l'an de grâce MCDLX de Notre Seigneur.

_________________
Sandyrousse
    Au pied de la Cathédrale, s’étiraient vers l’ouest des champs de blé et de mais,
    qui alternaient en parcelles de même taille jusqu’à la lisière de la forêt de Troyes.

    Vers le sud, les bois récemment amputés de leurs arbres,
    offraient un couloir de terre retournée sur laquelle reposaient les cadavres de vieux chênes en attente d’être débités.

    En ce début de matinée, la lumière perçait difficilement au travers des lourds nuages orageux,
    plombant le lieu de culte encore endormi et accentuant la teinte de ses pierres.

    Sur la pleine couraient de fantasmagoriques lueurs argentées,
    balayant les blés mûrs sur le point d’être fauchés.

    La rouquine, épuisée de son voyage, poussa l’immense porte de bois ciselé de la bâtisse et s’installa tranquillement
    sur le dernier des bancs de ce magnifique endroit.

    Fermant les yeux, elle commença à prier Aristote,
    pour que ce que son ami sir Grosdan avait découvert soit la réalité.

    Son époux Cyrille 22 serait toujours en vie, il aurait tout simplement changé de nom,
    persuadé que sa rouquine avait rejoint le tout puissant.

    Après des années de recherche, elle était enfin sur le point de le retrouver,
    encore fallait ‘il qu’elle réussisse à le contacter en ce beau duché.

_________________

La sagesse est d'être fou lorsque les circonstances en valent la peine.
Cyrille_du_lys_noir
Par une petite soirée tres aroser, le maire de Troyes décida en cachette de sortir de sa ville, il avait un besoin de ballade, un courrier reçus depuis quelque temps le rendais songeur, pouvait il être vrais que son passé si agréable a ses pensées lui revienne aujourd'hui.

Lui qui avait changé de nom a la mort de son épouse venais de recevoir un bien étrange courrier d’un messire ,comment avez t’il su qui il étais, âpres bien des heure de balade a cheval il releva la tête et vi un endroit qu’il affectionnais, il descendis de son cheval, l’attacha puis mis sa cape sur lui pour ne pas qu’il puisse être reconnue ,quitter sa ville pourrait lui valoir un procès âpres tous, mais qu’importe l’ivresse dit l’ivrogne le principale est d’éponger sa soif.

Il regardait la cathédrale avec nostalgie, il monta les marches une a une tout en restent songeur, il poussa la porte, lourde d’un passé, le grincement étais très auditible, c’est dans une obscurité et un silence majestueux qu’il mit le pied dans cette endroits si magique.

Il fut surpris de voir qu’une personne étais assise sur un ban a prié et c’est sans faire de bruit qu’il alla se mettre a l’écart pour ne pas la déranger et ne pas être reconnue au cas où
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 26, 27, 28, ..., 33, 34, 35   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)