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[RP ouvert] Dites "je le veux" et... priez !!!

Henry_de_silly
    Une invitation ?
    Etrange !

    L'homme s'était retiré depuis plusieurs mois déjà.
    Rares étaient encore les personnes se manifestant à lui, se rappelant à sa mémoire.

    Brisant le sceau, sans même prendre le temps de chercher à identifier l'auteur de la lettre, nul doute qu'à la lecture de la missive toute la lumière allait se faire sur ce mystérieux envoi ...

    Rapidement, les yeux de Ryry parcoururent les lignes du texte ...


    L'Ours et la Vindicative ?
    Ca y est c'est bon ? Elle a enfin réussi ?
    Mais c'est merveilleux ...

    Depuis le temps, ce n'est pas trop tôt !
    Finalement, il semblerait que cet été soit porteur de bonnes nouvelles ...



    Ayant fêté l'annonce du mariage prochain, le sarladais prit soin d'être disponible pour le jour J.
    Et lorsque le fameux jour arriva, c'est tout heureux qu'Henry se rendit à l'église.



    Pour rien au monde il ne comptait rater cette cérémonie !

    Comment la mariée sera-t-elle vêtue ?
    Cotte de mailles ou robe longue ?

    En admettant qu'elle portera une robe ... déjà rien que ça, cela vaut de l'or !

    Robe blanche virginale ?
    Non mais parce qu'avec ses marmots, charmants au demeurant, personne n'y croirait.

    Bon alors il se passe quoi là ???

    Derniers pas avant d'entrer dans l'église.



    Je crois qu'on sera vite fixé ...
    Pfiou, y a foule !
    Bon saluons, saluons ...


    Et le brun d'entrer dans l'église en sifflotant une mélodie entrainante ... tout en prenant le temps de saluer les présents qu'il connaissait.
Elio
[Entre ici et ailleurs...Pour enfin pointer son nez là où il faut.]

Dès l‘aube, les yeux sombres de l’italien venaient à s’ouvrir lentement, son corps se tourner vers son autre, un sourire venait s’inscrire sur son visage alors qu’il dessinait du regard les courbes voisines.

Le voyage débuta sur des paupières closent dont il imaginait sans peine l’azur se dissimulant derrière elles et de poursuivre sur l’arrête de son nez fin puis de descendre sur ses lèvres entrouvertes sans pouvoir retenir une légère envie se matérialisant dans un baiser fantôme.

La vision de cette peau laiteuse, d’un blanc immaculé à la douceur indescriptible, c’était un matin comme il les aimait, tous deux dans un calme serein. Sa course oculaire se poursuivait, glissant le long de son cou pour être stoppée par le drap de satin couleur d’une nuit bleutée, dessin d’une légère grimace italienne vite transformée en sourire malicieux alors que de sa paume l’occultant se fait chasser lentement. L’apparition de galbes merveilleux faisant qu’un frisson lui transperce le corps alors que la vague s’enfuit comme à la marée descendante, les hanches se font péninsule et là, il fixe l’île grandissante, celle dissimulant leur trésor, perle de leur amour.

Comment ne pas en être fou ? Il ne le savait pas et ne voulait pas savoir.

Matin débutant sur une journée bien remplie, oui, c’était aujourd’hui qu’une autre rousse allait sauter dans le vide vers l’inconnu de sa destinée, vers une folie annoncée…Un mariage.

D’un chapelet de tendres baisers sur ce corps découvert entremêlés de murmures légers il voulait la voir s’éveiller avant d’aller lui-même se préparer. Son souhait fut rapidement exhaussé, ce qu’ils ont fait ou se sont dit par la suite restera confidentiel, instant vécu, invisible des autres et pourtant si précieux.

Si l’Italien était parfois bourru, il savait tout de même mettre son charme latin en valeur, d’une tenue d’un éclat somptueux lui donnant l’allure d’un seigneur, le sourire ensorcelé, il était divinement beau. Le plus éclatant des joyaux à son bras, ils prirent le chemin du saint lieu, là où celle qu’il aimait chatouiller de mots acérés allait en être l’actrice principale du jour et pour une fois il n’avait nulle envie de lui faucher la vedette.
Germaine...
Germaine soupire ostensiblement, tourne et retourne dans une main le triskell qu'elle porte en pendentif, se demandant pourquoi elle arbore un symbole breton. Elle n'en connaît aucun.

Mais qu'esseuh j'fous dans cette galère ? Il fait chaud, il y a trop de monde, l'air est trop chargé d'odeurs acides, capiteuses, fleuries ou musquées, provoque un début de migraine que la genevoise s'apprête à affronter avec courage.


T'crois qu'on peut grailler pendant que l'curé caus'ra ? Ça m'évit'ra d' m'énerver...
demande-t-elle à Musartine, sans vraiment attendre de réponse.

De toute façon, qu'on le puisse ou pas n'est pas important : Germaine a prévu une collation, espérant être placée dans un endroit tranquille, près d'un pilier de préférence, histoire de s'y appuyer et qui sait , peut-être y graver quelques vers de la pointe d'un stylet ?


D'où qu'on s'assit ? Tu l' sais, toi ?
Gourry
Après avoir fait le chêne le temps d´un instant et d´avoir suivi la scène d´air faussement discret,il s´était rapproché de Patt comme le suggérait son signe de la main.Sans s´approcher trop près non plus.Il yavait des choses qui avaient l´air de devoir se règler et c´est ce qui se passait.

La discussion terminé,Patt revint vers lui sans être aussi souriante que tout à l´heure même si ce sourire était légèrement feint vu qu´on sourit plus souvent à cause de la crispation dû à l´évènement.

C´est donc là que Gourry allait démontrer toute la bienveillance dont il était encore capable.Du moins,il ferait de son mieux.Il prit donc la parole.


Oublie toussa ma Pattouchinouninette,il est temps de te reconcentrer sur le plus jour de ta vie,enfin le deuxième vu que le premier c´est le jour de notre rencontre.Tu te souviens?C´était quand chuis viendu à sarlat pour aider l´armée à dégommer des vilains et que me suis fait tabasser par des brigands en arrivant,
Et qu´on s´est croisé en taverne,t´étais garde-pêche et notre amitié a prit forme.C´est beau hein?C´était la minute souvenir!Héhé!
Enfin,maintenant il est temps pour toi d´être heureuse pour le restant de tes jours avec cui que t´as choisi pour t´accompagner pour l´éternité.

Et peut te dire que c´est long une éternité,pfiouuuuu!!



Il posa sa main sur celle de Patt qui était lui-même posé sur son bras et lui déposa un bisou magique sur la joue.

Allons-y,ton futur mari t´attend et a hâte comme les invités de voir la mariée avec sa magnifique robe se présenter au bras du Poney rose.Aheum,enfin z´ont plus hâte de te voir que de me voir t´y déposer à l´autel hein.

Il prit l´inspiration,la regarda encore une fois,lui adressa un clignement des deux oeils dont il avait le secret.

On y va,tu es fin prête?
Pattricia
On lui avait fait perdre assez de temps, elle savait que l'archi-diaconesse avait une autre cérémonie dans l'après-midi, et en plus dans un autre village, donc plus question de la faire attendre. Quant à son futur époux, si elle ne voulait pas le voir débarquer et se rendre compte que Milo était ici, il valait mieux qu'elle rapplique vite fait à l'autel.

Elle avait gentiment souri aux retardataires, serré dans ses bras la jeune Cassandre dont elle faisait enfin la connaissance, mais ne s'était pas arrêtée pour faire la causette, ils auraient tous tout le temps qu'il faudrait pour cela après. Zeline et Lucie prirent place à l'arrière pour tenir la traîne, Doudou était à son bras et ses deux fils marchaient en tête avec chacun sur un coussin le bijou qui marquerait aux yeux du monde leur union, sa bague avec l'opale et l'anneau pour l'ours.

Evidemment, elle avait tout de même fait une pause pour rassurer les enfants, leur expliquer qu'ils n'avaient rien à craindre, que le mariage aurait bien lieu et que désormais tout se passerait comme prévu. Pour cette dernière affirmation, elle espérait juste ne pas être trop optimiste.
Quand Doudou lui fait tout son laïus sur leur rencontre et lui colle un bisou "soigneur", Patt ne peut s'empêcher d'éclater de rire, un truc un peu libérateur vous voyez.


- Tu sais que je t'aime mon Doudou d'amour qui est là dans presque tous les pires moments de ma vie, qui me soutient depuis si longtemps, même de loin quand je suis seule et prête à mourir. Aujourd'hui tu es là pour le deuxième plus beau jour de ma vie et c'est très important pour moi.
Merci...


Elle ne lui dira pas que le premier est la naissance de ses enfants, ça n'a aucun importance dans ce qu'ils sont en train de se dire, seul leur lien indéfectible compte.
Le moment est donc venu, les cloches carillonnent, sa main se crispe légèrement sur le bras de Doudou, mais son menton pointu se relève de défi quand elle ébauche le premier pas qui la conduit vers son futur époux. Inconsciemment, elle lisse une dernière fois le précieux tissu de sa robe et prend une inspiration, ses jades clignent quand elle pénètre dans la pénombre, mais elle continue d'avancer, le coeur un peu emballé tout de même.







Doudou... cette fois je suis enfin heureuse...

Elle ne voit pas les invités, pas qu'elle s'en fiche, elle n'a juste d'yeux que pour l'ours dans sa magnifique tenue flamboyante, elle sourit... niaisement... et ses jades brillant d'émotion ne le quittent pas d'un cil.
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RP fofo2 en cours avant le décès de la reine donc pas de deuil.
Argawaen
Cassandre venait jusqu'à lui et il lui fit signe de s'asseoir au premier rang, à côté de sa cousine Elisa. Le vieil homme commençait à se demander si les invités allaient finir par tous rappliquer. Voyant Souffre, Seurn, Aarhon s'afférer à la tâche il soupirait de soulagement lorsque tout le monde était enfin installé.
Le vieil homme retourna donc devant l'autel et fit face à l'entrée de l'église, son coeur battait la chamade, et encore plus lorsque les carillons se mirent à sonner...

Deux silhouettes apparaissaient au loin, il avait l'impression que sa future épouse était à dix lieues de lui, mais non...
Argawaen crispait sa main sur son épée de cérémonie, l'autre montrait un peu nervosité, mais il fallait qu'il se calme, qu'il se détende...
Il prit une grande inspiration et expira doucement afin de laisser son regard admirer sa vindicative.

L'homme avait les yeux brillants, elle avait espérée que sa robe lui plairait, et en effet, l'ours était sous le charme. Sa chevelure de feu si bien coiffée, cette robe mettant en valeur la moindre forme de sa douce, il était conquis.
Argawaen laissait s'approcher sa fiancée au bras de son " Doudou d'amour " comme elle disait si bien et une fois devant lui son regard se faisait tendre, émerveillé, heureux...

A cet instant il aurait aimé la serrer contre lui, menacer l'officiante de se dépêcher afin qu'il puisse l'emmener loin, mais ça, ça ne marchait que dans les pièces de théâtre. Il fallait tout de même être encore un petit peu patient et le vieux vétéran scellerait sa vie avec celle qu'il aime...

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" L'histoire est bâtie sur de l'ironie, les actes des hommes par des jalousies, mais peu d'entre nous ont utilisés leur coeur pour faire ce qui était vraiment juste. "
Musartine
t'as quoi à bouffer ?
du saucisson d'âne
ah ...
c'est tout ?

du pain, du beurre, des oignons
encore des oignons ?
...


Musartine regarde autour d'elle


ben j' t' ai dit c'est pour ma santé
bon ben j'ai trouvé que l'autre qui braillait, il disait n'importe quoi.
on va s'assoir sur un banc, derrière Arga, parce que s'assoir par ordre décroissant de taille, c'est n'importe quoi.
à côté d'un pillier, si tu veux

aaaaaah oui un pilier
t'crois qu'y sentira les oignons? avec tout c' parfum ça m'étonn' rait hein?

s'ils mettent autant de pue bon, c'est parce qu'ils prennent pas autant de bains que nous les helvètes
alors ils ne doivent pas avoir un très bon nez ...

ouaip ça c'est sûr, c'est qu'y z'ont l'hygiène sournoise les françois!
ouaip

Muse trouve un coin idéal pour gueuleton entre amis en milieu hostile.

hop on y va !

j'te suis

Musartine attrape Luc par la manche, et file s'installer. Germaine Landru s'installe, sourire béat et scrute à l'entour

ho dis Muse

t'as vu celle là ? c'est la mariée?
la rousse qu'Arga regarde avec la bave aux commissures ?
oui
ouaip, c'est elle
elle est un rien belle, faut avouer

Muse acquiesse.

mais j'aime pas leur mode
comment qu' tu veux qu'une femme active comme moi puisse faire avec des atours pareils?

ah ben en tenue de mariage ... c'est pas vraiment possible
ah ouais... moi j'me suis mariée chez les réformés...des tristes
arf...t'avais fait le plein de tristesse en un seul jour ?
s'tait un peu une assemblée d'bourgeois guindés, qui f'sait semblant d'êt' content pour nous, mais j'voyais bien qu'y s'en battaient les roubignolles
ah ben ça fait parti des incontournables des mariages ça ...
moi le mien, y avait Arga qui était pas content, il tirait la tronche, habillé tout en noir, et il avait bien fait comprendre à Ghell qu'il ne l'aimait pas


Musartine se marre


il avait raison nan?
Ghell qui est doué pour l'esbrouffe, il en menait pas si large que ça mine de rien, mais bon ... les apparences hein
Ouaip


Germaine ne connaît pas le passé de Muse.Muse plisse les yeux

me souvient plus s'il l'avait menacé ou pas, mais bien son genre à Arga en tout cas...peut être qu'il faut que je menace la mariée ?
tu crois que c'est ça que je dois faire ?

ah ben nan! tu crois qu'elle est comme ton ancien mari?

Musartine jette un oeil à la mariée

ben là comme ça en un regard, ça n'a pas l'air
maintenant, j'en sais rien en fait

ben abstiens toi alors, pis bois un coup

Germaine sort une bouteille de vin d'Anjou

bois au goulot va! j'ai pas pris d' gob'lets! r'marque y en a sur la tab' là bas


Musartine cherche une table du regard.

où ça ?

là bas, d'où que l' curé y va faire son cirque

Musartine éclate de rire, puis tente de se retenir vite fait, sourire innocent aux lèvres.

ben tu peux toujours demander à Arga qu'il te passe un godet !

Elle serre les lèvres de plus belles afin de contenir le rire, dédaignant les éventuels regards que certains peuvent lui jeter alentours.


nan mais tu m'prends vraiment pour une andouille? j'sais bien qu'il a pas d' gob'lets sur lui l'jour d'son mariage nan? l'peu d'ampleur qu'il a dans ses habits, faut qu'y l'garde pour l'oraison!
nan mais il est juste à côté de l'autel quoi ...
chui sure qu'il sera ravi de te passer un godet

un hôtel ?
la table s'appelle un autel
ah....

Germaine Landru se lève et s'apprête à tapoter l'épaule d'Argaouhaine, alors que Muse ne perd pas une miette de la scène, se tortillant le cou pour mieux voir.


t'es sûre qu'ça va pas l' déranger Tartine?
mais non, ça va pas le déranger !
chais pas... j'sens comme un titillement dans mon estomac... p'têt' que j'vais vomir... j'ai été patraque tout l' long d' la journée...
arf
vas pas vomir sur sa tenue alors, son épée est bien


Musartine hausse les épaules, puis boit une gorgée au goulot


ben si j'vomis sur le reste c'est pas grave alors?
mais non
la mariée sera peut être pas contente par contre
hmmm
pis Arga non plus
il a pas de hache sur lui hein ?


Germaine se demande comment faire pour éviter l'épée... et se rend compte qu'elle n'a plus envie de gerber.Muse quant à elle regarde Arga, vérifiant qu'il n'a pas de hache.

ah ben ça va mieux! tiens, tu veux une rondelle?
ouaip
passes moi le pain aussi

mmmouaip...ch'est bon faut avouer

Musartine acquiesse

Pedro qu'y s'app'lait

Musartine sursaute

QOAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ??????????????????
ON BOUFFE PEDRO LA ?????????????????????????

ben crie pas comme ça
on lui rend hommache

t'as tué l'âne d'aqwa ?????????????????
ben il était plus bon à rien
complèt'ment déprimé

mais c'est parce qu'il a pas eu de relation avec Aqwa qu'il était tout déprimé !!!!!
ça serait reviendu quand Aqwa serait revenu !!!!
mais t'es complétement à côté de tes poulaines toi !!!! tuer l'âne d'Aqwa !!!!!!

...
ah...tu crois qu' j'ai fait une conn' rie?

ben plutôt oui !!!!
bon... ben...
j'y r'fil'rai ma mule

on verra si ça marche ...
si ça se trouve, Aqwa il ne voudra pas t'honorer du tout, son admiratrice que tu es en serais bien marrie !

pardon? kèce tu dis là? moi l'Aqwa y m' fait marrer... mais va pas t'imaginer des érotisseries hein

Musartine se marre

avec Aqwa, y a pas d'érotisseries à imaginer
il laisse peu de place à l'imagination


Germaine se renfrogne en mangeant rageusement une rondelle de Pedro,tandis que Muse n'ose plus rien dire ... pour le moment.

écris à 4 mains

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Zeline, incarné par Pattricia
La traîne à la main le regard hautain, fière de la mission qui lui était confiée, porter sans lâcher ce voile long de quelques mètres était pour elle un événement important dans sa vie.

Un sourire de bonheur s 'affichait au coin de ses lèvres, en lançant quelques oeillades à Lucie qui portait de façon altière le voile de la mariée.

Moment de silence sa tante marchait devant elles, le regard porté au loin pour son ours qui apparemment était ému de voir sa future femme entrer dans l 'église habillée de ses atours de mariée.

Oui elle était belle Patt, le bonheur rayonnait sur son visage, ses yeux pétillaient d'un éclat lumineux dont seuls les gens heureux véhiculent ce sentiment d 'allégresse.

Aucun faux pas occasionné par le moment présent, cependant l 'émotion transperçait le corps de Zeline qui pourtant essayait de garder son calme intérieur. Difficile pour la jeune adolescente habitée par la vigueur de la jeunesse, le feu coulait dans ses veines , un état volcanique sur le point de faire éruption.

Impossible de rester silencieuse, en articulant exagérément, elle finit par s 'adresser à Lucie :

- Trop belle la mariée....Quand je serai grande, si je me marie.... mon mariage sera aussi brillant que celui de ta mère ! La chance que tu as de pouvoir la conduire vers ton beau père.... J 'aimerais que mère soit heureuse comme Patt...
Plumenoire
La brune sourit un peu tendue à Val’ jetant par moment des regards en arrière. Visiblement, tout se passait bien … Pas de dague en vue, par d’expression agressive, pas de haussement de ton ...
Un sourire un peu plus rassurée à l’adresse de Valeryane,


Ils n’ont pas l’air de s’entretuer … je pense que vous pouvez être rassurée …

Levant le regard vers le portail, la brune sourit en voyant Anne.

B’jour Anne ! Comment vas-tu ? Prête pour ce mariage ?
Je ne sais pas si tu connais Valeryane ?


Un coup d’œil vers la mariée lui appris qu’elle arrivait.

Allons-nous asseoir ! La mariée arrive ! Valeryane ? Sybille aura surement gardé des places … allons y. Anne ? Nous nous verrons après la messe ?

Plume fit une bise à la blonde, puis entra, saluant l’ours, ou encore ceux qu’elle connaissait, entrainant la volcan jusqu’à Sybille.

Excellent travail Sybille ! Il n’est pas sorti …

La brune sourit amusée, lui faisant un clin d’œil

Il reste des places ? La mariée arrive …. Elle est magnifique ! Vraiment !

Se tassant un peu pour que tous puissent s’asseoir, elle se tourna ensuite vers l’entrée, pour voir la mariée arriver, jetant un regard à l’ours pour voir sa tête. Elle sourit doucement, heureuse pour ses amis. Oui, ce jour ne pouvait qu’être magnifique … Si certains se tenaient tranquilles !
Pattricia
Elle reste plantée là face à son promis, attendant que son Doudou la "donne" à l'ours, ses jades se noyant dans son regard bleuté. C'est que tant que son ami l'a pas confiée, elle est pas sensée dire un mot. Du coup elle sourit à Lena, inclinant la tête pour saluer l'Archi-diaconesse. Evidemment, le sourire est toujours aussi niais...

L'ours est admiratif devant elle, lorsqu'elle fut " lâchée " par le " Doudou d'amour " le vieil homme n'en fut que plus heureux. La voir au bras d'un autre homme avait tendance à le rendre irritable, mais là c'était différent, alors il fallait faire amende honorable.
Argawaen sourit en la voyant face à lui, ses yeux sont pétillants, le regard ardent.

Attendant que le Doudou fasse son laïus, une sorte de brouhaha, accompagné d'une agitation se déroule dans l'angle droit de vision de la vindicative. Ostensiblement, ses mirettes obliquent en direction des responsables, paupières légèrement fermées, et le sourire qui s'étire lentement en un rictus d'agacement. " 'tain c'est quoi ça encore ? " Mais le sourcil droit se hausse d'étonnement quand elle repère enfin les empêcheuses de se marier zenement...

Entendant du bruit dans les premiers rangs de l'église le vieil homme suivit légèrement le regard de sa future épouse et celui-ci se posa sur Muse et Germaine. Fronçant les sourcils il se dit qu'elles n'avaient pas tenu longtemps... Argawaen grogna discrètement et fit un signe discret à Muse afin qu'elle se la ferme, mais connaissant cette barbare d’helvète il serait compliqué de la faire taire.
Il essayait de trouver une solution du regard, il y avait son homme de main, son fils aîné, peut-être pourraient-ils être persuasifs quant au fait de les " boucler ".

Le ventre de la rousse commence à gargouiller quand une bonne odeur de sauciflard et d'oignons vient lui chatouiller les narines. Les jades se fixent sur deux silhouettes féminines, au premier rang des invités de l'ours, l'une étant borgne et l'autre semblant quelque peu gênée par sa tenue. Au grognement d'Arga, la vindicative sourit légèrement et lui prend la main pour lui serrer. "La vache ! Elles se tapent un gueuleton pendant que je crève la dalle les garces !"


- Mon ange... ce sont des amies à toi ?

son regard se tourne sur celui de sa future épouse et il acquiesce lentement. Il était vrai que Pattricia ne connaissait pas la Muse et la Germaine, il était peut-être temps de lui présenter, bien que le moment n'était pas propice à cela. Jetant un regard en coin aux deux femmes l'homme sortit les crocs légèrement et reporta son attention sur sa rousse.

- La vieille frustrée c'est Germaine, et celle qui fait semblant d'être gênée c'est Musartine, une vieille amie, son fils est mon filleul.
C'est une barbare helvète, il faut s'en méfier comme de la peste ! Mais elle peut être adorable quand elle veut.


Le sourire de la vindicative devient carnassier au fur et à mesure des explications du brun. Mais c'était sans compter avec les deux donzelles... A peine l'explication de son homme avait détourné son attention de celles-ci qu'un hurlement se fait entendre.
La môme au loup réagit au quart de tour, passe sa main droite par une ouverture discrète dans sa jupe et en sort une de ses dagues qu'elle a toujours attachées à ses cuisses et se précipite sur les fouteuses de m...


- Qui a un problème avec ce mariage ?????

ouvrant de grands yeux le vieil homme n'arrivait pas à croire que sa future épouse venait de sortir sa dague...
Secouant la tête légèrement il s'approcha, prit le bras de la rousse et lentement lui prit la dague des doigts. Il la remit en place soigneusement puis fixait les deux femmes. Sa paluche gauche était en train de tapoter sur son épée de cérémonie et il fit appel à Aarhon.


- Aarhon, attache les au banc. Prends garde à la barbare helvète, c'est une carne quand elle s'y met.
Muse, mon amie, Germaine, je me ferais une joie de vous torturer après la cérémonie.


La môme au loup montre les crocs à son tour et récupère sa dague "nan mais est-ce que j'touche à tes armes moi naméo !!!". Se refaisant un visage moins mal aimable, tout en rangeant sa dague à sa place, elle fait un signe à Aarhon d'attendre et se penche en direction de la borgne.

- L'est à quoi ton sauciflard ?

L'homme fronçait les sourcils, voilà que la rousse s'y mettait également. Le vieil homme tourna les talons et retourna devant l'autel, après tout autant garder son calme. L'homme respira un grand coup, son mariage risquait d'être mouvementé, et voilà que cela commençait bien...
Argawaen croisa les bras et attendait que la vindicative se pointe enfin, déjà qu'il avait attendu des lustres son arrivée, voilà qu'elle était en train de faire la causette maintenant. Et en plus de cela elle était quelque peu ronchon. Soupirant discrètement, il décida de regarder sa fille Cassandre, bon sang qu'elle était belle après tout ce temps, elle avait fière allure dans sa robe. Il lui sourit doucement et inclina le visage légèrement.

Quand le brun fait demi-tour, la mine revêche de ses grands jours, Patt tourne légèrement la tête en direction de Lena, ne sachant trop si elle avait pu apercevoir la dague ou pas et lui sourit innocemment histoire de gagner un peu de temps.

C'est que le dilemme est grand pour la rousse, elle a faim, soif et en même temps elle est sensée bien se comporter, en femme du monde et tout et tout. " 'tain ! C'était plus simple quand je courais pieds nus en forêt et me faisais sécher en tenue d’Ève sur la pierre plate de la crique aux saules pfff ! " Elle se penche donc à nouveau en direction de la borgne et lui murmure


- Vous seriez fort aimable gente Dame de m'en garder un bout car j'ai un léger creux qui va s'agrandir au fur et à mesure du déroulement de la cérémonie.

Et d'incliner la tête et de lui balancer un gracieux sourire.

- Je suis forte aise d'avoir fait votre connaissance, mais je dois vous abandonner sous peine d'avoir la soupe à la grimace pour ma nuit de noces. Vous comprendrez que ça serait ballot...

Et oui, la rousse était tout à fait capable de passer d'une humeur à une autre en deux secondes et de s'adapter à tout terrain miné. Et foutre en rogne l'ours le jour de leur mariage était un sacré terrain miné...
Elle s'en retourne devant l'autel et balance un nouveau sourire angélique à l'ours et Lena qui l'attend pour officier...

Le regard de l'ours est impartial, froid et les sourcils sont froncés.
Il secoua la tête dépité, son regard se tourna vers l'officiante et il prit la parole.


- Je pense que nous pouvons commencer, si la rousse ici présente parvient à se tenir cinq minutes.

L'homme inclina le visage de nouveau, relâcha la pression et essayait d'avoir un regard plus doux. Après tout ce n'était pas le moment de faire une orgie de cadavres... Il allait prendre sur lui et essayer d'oublier ce moment.

- Voulez-vous que je l'attache ? Histoire d'être certain que toute son attention soit bien sur moi ? C'est sensé être solennel quand même.

Il souriait légèrement, après tout, elle l'avait envoyé bouler, à son tour d'être quelque peu désagréable. C'était un échange de bons procédés qui terminerait certainement en une nuit des plus passionnées.
Le Dehuit de Malemort fixait la rousse, un air satisfait sur le visage, il était temps de passer aux choses sérieuses maintenant.

Le sourire de la fiancée reste neutre, juste un peu figé de dépit, "gna gna gna...", mais c'est de bonne guerre entre ces deux là, et la journée ne faisait que commencer. Si l'ours avait parfois du mal à gérer les provocations et moqueries de sa fiancée, il savait très bien renvoyer la balle. Il était clair dans l'esprit de la vindicative que c'était aussi ce qu'elle aimait chez lui, sa capacité à la fiche autant en rogne qu'elle ne le faisait elle-même avec lui. Une chose était sure, ce couple là ne s'ennuyait jamais... Néanmoins, elle ferait profil bas, "momentanément... rêve pas non plus !", car il fallait laisser Lena officier et les invités se détendre de cette attente qui avait dû mettre les nerfs de certains en pelote.

Mais avant de répondre, elle se paie malgré tout le culot de tourner sur elle-même et de regarder l'assemblée. Elle sourit à Doudou, Ricco et Mari, fait un clin d'oeil à la fratrie et Zeline qui se tiennent bien droit l'air solennel, puis les jades glissent sur la masse impressionnante des invités, l'émotion l'étreignant soudain. "Plus tard, car ça n'est pas le moment, mais même si je ne peux le dire maintenant, votre présence me touche beaucoup... vraiment..." Gardant pour elle ses pensées, Patt se tourne vers Lena et incline la tête.


- Nous sommes à vous...

Voilà une excellente initiative, le vétéran regarde donc l'officiante afin qu'elle puisse commencer. Un air victorieux est toujours présent sur son visage, même s'il savait déjà d'avance que cela ne durerait pas éternellement. La vindicative avait le don de l'enquiquiner, en fait c'était un peu l'amour vache entre eux deux quand ils s'y mettaient. Et dire qu'il allait l'épouser... Il était encore temps de faire marche arrière, mais il ne le ferait pas. Le vieil homme désirait l'épouser, après tout, n'avaient-ils pas attendu deux ans ? A chaque fois c'était repoussé, à chaque fois quelque chose se mettait en travers de leur route, et maintenant qu'ils y étaient enfin il ne comptait pas lâcher prise aussi facilement.

- Nous sommes à vous...

Il sourit à la rousse et lui fit un léger clin d'oeil.

Les jades pétillent quand ils croisent les saphirs, mais le menton relevé en dit long sur la note qui serait présentée au fiancé... plus tard...



Parce que copiter c'est aussi jouer... Fait à 4 mains
Spéciale dédicace à deux joueuses qui m'ont bien fait rire.

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RP fofo2 en cours avant le décès de la reine donc pas de deuil.
Eloane..ambre
[ Un matin, comme il y en a plein ]

L'aube se levait doucement sur le Périgord Angoumois et les premières lueurs du Soleil perçaient à peine la maisonnée du fin fond de la forêt bergeracoise où le couple Italiano-Irlandais avait élu domicile. De fins liserais dorés s’immisçaient au travers du volet de la chambre où seul le calme régnait. Ce n'était autre qu'un matin que tout le monde rêve : un mélange de douceurs, de caresses, de mots soufflés pour mieux s'éveiller avec pour première vision le visage de son Autre.
Voilà un moment déjà qu'elle avait remarqué que cette petite expression faciale dure, celle qui caractérisait de manière générale son brun et qu'il aimait se donner, avait quitté son visage, et en échange, elle ne pouvait que lire dans ses yeux ébènes une douceur infinie, divinement appréciable. Chaque être décelait un trésor et si celui de la jeune rousse était enfoui dans les méandres de son être, celui de son Italien se distinguait chaque jour un peu plus alors qu'il posait les yeux sur elle.

Mais l'heure n'est pas à la contemplation ce matin, puisqu'ils se doivent d'être là, pour Pattricia. L'Automnale n'avait même pas répondu à l'invitation, mais il était tellement évident qu'elle viendrait. Qu'ils viendraient... tous.
Chacun affairait à se préparer de son côté, elle retenant de plus en plus sa respiration lorsqu'il s'agissait de nouer les liens de son corsage. Bientôt, cette robe sublime d'un bleuté couleur nuit ne la siérait plus, bientôt...
Les pensées se mélangèrent pour mieux se stopper lorsqu'elle le découvrit. Un sourire en coin, une allure magistrale, il serait surement de ceux que l'on remarque. En tout cas, elle n'aurait d'yeux que pour lui... Et pour les mariés aussi !


Cela te va... Tu es très beau. J'ai presque finit pour ma part, encore juste..

La dextre se perdit alors dans la chevelure rousse, qu'elle attacha rapidement. Quelques boucles rousses s’échappèrent ça et là, mais elle ne souhaitait pas être tirée à quatre épingles, et le flamboyant de ses cheveux tranchait aussi bien avec sa peau claire, qu'avec le bleu profond du satin qu'elle portait.

Tu aimes ...? Je me suis dit que tu ne serais pas contre du satin bleu.

Seul son sourire trahissait l'envie criante qui se dissimulait dans le regard doux qu'elle lui accorda, avant de glisser son bras au sien, direction le mariage.

[ Destination atteinte ! ]

Elio, tu as vu tout ce monde ?! Ne me lâche pas surtout.. je n'ai pas spécialement envie de me perdre, et avec le sens de l'orientation que j'ai...
Mais j'y pense.. Tu t'es préparé à boire pour deux j'espère ?! Non car, comme rien ne se voit encore, autant faire durer le suspense ne crois-tu pas ? J'accepterais donc chaque verre que l'on me tendra au banquet.


Le regard azur vint se plonger dans celui de son fiancé, cherchant son approbation. Il n'avait jamais été contre boire un petit verre, alors deux... Bien qu'elle aurait certainement énormément de mal à tous les lui donner sans remords.
Le bras se resserre autour de son jumeau italien alors qu'ils avancent pour prendre place.


Je n'aurais jamais cru qu'il y aurait eu tant de monde... Tiens, ce n'est pas Anne là bas ?! Et.. et... Oh oui... il y a vraiment plein de monde...
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Germaine...
Hmmm c'était bon ce sauciflard

Musartine sourire empli d'innocence offert à Arga qui fait semblant de grogner, comme d'habitude


t'en as laissé pour la mariée quand même ?
bah ouaip, chuis pas une sauvage
elle a l'air pas mal, elle va à son propre mariage avec une dague
ouais al' m' plaît bien
t'es pas du DR toi...
faut que je le dise à Arga, si je remet ça a plus tard, je risque d'oublier

ARGAAAAAAAAAAAAA
l'es pas mal la mariée ! je t'avais pourtant dit de mettre une tenue de combat !


Germaine la regarde brailler
t'es un rien tarée toi
qui ? moi? pourquoi ?
c'était pas maintenant qu'il fallait le dire ?

pourquoi qu'tu gueules comme un putois d'abord ? ça fait pas classe
nan mais c'est pour éviter que tout le monde s'endorme sinon on entend ronfler de partout ... c'est pénible
ben suffit d'allier rigolade et discrétion
tiens, r'gard' moi

rigolade et quoi ?
discrétion...
t'as parlé avec Kayte toi ? nan ?


Germaine soulève légèrement son fessier et lâche quelques perles


t'vois, c'est discret

Musartine s'évente

ça pue ! tu parles d'une discrétion !
ça pue et on peut accuser le marié

Musartine pointe Germaine du doigt avant qu'Arga ne la foudroye du regard

taratata t'es vraiment une couille molle toi... une caf'teuse
nan j'ai de l'avance sur toi, il doit déjà me planter une dague dans le ventre
et aussi m'empoisonner
je crois que pour me hâcher, doit y avoir prescription, chui plus très sure

bah ça pour t'empoissonner y a pas b'soin d'lui hein
j'ai deux truites un peu faites dans mon sac
...
nan mais Luc a fini par fortement me déconseiller de bouffer autre chose que ce que lui préparait
même ce que moi je cuisine, c'est déconseillé, ché pas pourquoi

ben il est un peu tâtillon j'crois
mais non il est pas tâtillon, il déconne pas avec la bouffe
tu veux les offrir aux mariés les truites ?

ben c'est qu'est ce que j' voulais faire oui
ah !


Musartine regarde Arga, un brin inquiète

nan mais je l'aime bien Arga, va pas le tuer hein
d' la truite pêchée à G'nève
y a...

Germaine Landru compte sur ses doigts
ah la vache !
longtemps
tu veux pas la donner à quelqu'un d'autre la truite ?
aux dauphinois s'tu veux
z'ont une tête qui m' revient pas


Musartine se marre

Tutule, ça va encore
y a pire comme dauphinois

ben sa morue j' la sens pas, alors une truite c'est bien pour la sentir


Musartine se marre, encore... et regarde autour d'elle.


c'est quand que ça finit ?
j'en sais rien... j' crois qu' c'est pas commencé encore
...
l'es là le cureton ?
j'ai des fourmis dans les jambes
chais pas, j' sens pas l'odeur d' la soutane encore

bon
r'marque j'ai l'odeur des truites dans l' nez
ben moi ce que je propose, c'est qu'on accélère un peu la cérémonie alors sinon dans 3 siècles, on est encore là, transformés en squelettes
ah bah non hein, j' veux pas faire d'figuration dans les catacombes moi
ah tu vois !
bon c'est qui qui le fait ce mariage ? toi ou moi ?

ah ben moi les mariaches, ça s' termine en guerre mondiale
alors j' préfère éviter hein

Musartine sourit de toutes ses dents

ben c'est sympa les guerres mondiales ... c'est festif
ben ouais mais les chefs y sont pas là
arf
tiens l' roy des borgnes y aurait pu v'nir quand même nan?
c'est un gros malpoli
j' crois que j'vais me r'mett' mon œil d'équerre moi


Musartine se marre

meno male
j'sais pas pourquoi qu' tu dis toujours ça
j' comprends même pas c' que ça veut dire

hmmm... moindre mal
c'est Luc qui le dit toujours

ouais c'est c' que j' pensais mais avec moi
...
j'ai des interprétations fantasmagoriques des fois

des fois ? tu veux rire ??
ben oui des fois, qu'est ce t'insinues encore?
que c'est tout le temps !
tssssss...t'as vraiment une méconnaissance crasse de la classe toi


Musartine retient un rire.

t'es bien placée pour dire ça toi
ben atta
je sais me battre avec une houp moi !
j'suis quand même la plus classe du monde


Musartine toussote


j'suis sûre qu'Aqwa y s'rait d'accord
...
même Fernand j' suis sûre

pas sure qu'ils soient des références hein
ben si c'en est
nan
j' crois qu' t'es jalouse
qu'est-ce qu'il faut pas entendre ...je risque pas d'être jalouse d'une femme qui se met des aiguilles dans les yeux ...


Germaine Landru se dresse sur son quant à soi, s'évente classieusement, envoyant des effluves de truites avariées un peu partout
Musartine grimace


vaut mieux avoir des aiguilles dans les yeux qu' dans l' cul !
dans le cas présent ... chui pas sure
t'veux essayer? m'en reste un peu...
non ...t'es complétement tarée toi
nan chuis gen'voise


Musartine se marre

le genevois style, à nul autre incomparable
voilà
bon j'vais accélèrer cette cérémonie
vas y je te regarde


Musartine se lève, sourire angélique adressé à Argawaen, et se place derrière l'autel


bon les loulous, j'en ai marre d'attendre, j'ai hâte d'arriver au moment des tortures, alors c'est moi qui fait le mariage


Toujours quatre mains, graisseuses mais gracieuses... un peu, quand même ^^
Marie....
Marie voit la mariée sortir sa dague et se dit qu elle va l adorer !
Gourry
Il ne manquait plus qu´à déposer Patt auprès de son promis et de ses promesses et c´est ce qu´il avait l´intention de faire.Et sa mission si on pouvait dire ca comme ca était accomplie avec mention-ultra-bien.

Sans un mot et sans un coucou de main aux invités parce que c´était pas lui qu´on devait voir et que de toute facon,vu comment était magnifique la mariée,personne ne faisait vraiment attention à lui.Il arrivèrent devant cet "ours" qu´elle avait choisit et il la lâcha avec grâce et délicatesse puis ne sachant pas trop il devait se mettre,il se mit en retrait derrière Mari et Ricco.Il était trop tard pour demander et il y avait déjà pas mal de brouhaha pour en rajouter davantage.En plus ca discutait sauciflard et personne ne lui en avait proposer un bout.Une honte!Ca lui donnait faim en plus.

Il ne manquerait pas de se plaindre après la cérémonie!Mais place enfin au meilleur moment de la cérémonie.
Gabriyelle
Le « cureton » était là depuis un moment. La brunette avait été la première à entrer dans l’Eglise. Et on la voyait bien. Très bien même.

Derrière l’autel, Lena regardait avec exaspération les invités se conduire comme des sauvages. Le brouhaha incessant de ces gens la fatiguait et l’agaçait au plus haut point. Les odeurs de bouffe lui filaient la nausée. Elle commençait à avoir un sacré mal de casque. Sa patience s’amenuisait un peu plus à chaque minute et elle menaçait de partir en claquant la porte. Oui, oui, elle était à deux doigts de le faire lorsque les mariés firent leur entrée. Elle leur balança un regard sévère, ne les quittant plus des yeux.


’tin… dépêchez-vous… Marmonna-t-elle entre ses dents, un brin agacé par le comportement de certains. Tout ce qu’elle voulait, c’était en finir au plus vite pour retourner à Périgueux. Oui, mais non, c’eut été trop facile. En plus d’être en retard, la mariée se donnait en spectacle. L’archidiaconesse avait vu la dague. Elle avait suivi toute la scène.
C’était vraiment du foutage de gueule… Cependant, Lena ne dit rien et attendit que les futurs époux daignent la rejoindre pour commencer la cérémonie. Et ils vinrent.


C’pas trop tôt…

Et soudain, elle écarquilla les yeux, un sourire gênée aux lèvres et s’excusa avant de s’éclipser quelques minutes pour cause du trop plein de sa vessie qui, visiblement, menaçait de lâcher à tout moment. C’aurait été con qu’elle se fasse dessus en plein milieu du truc. Remarquez, les odeurs de poisson et de viande auraient couvert la chose. M’enfin ! Ca faisait mauvais genre quand même.
Lorsque la brune revint, des poissons volèrent dans l’église. Puis une femme se leva et vint prendre SA place. Enervée, Lena se planta devant elle, les poings serrés, avec l’envie de la mettre à terre et de l’assommer.


Nan mais c’pas bientôt fini ?
Maint’nant, tu t’casses d’mon autel et d’mon église même !
Vous vous croyez où, hein ? V’savez pas respecter les lieux saints ? On est ni au marché, ni dans un tripot d’bas étage !


Et s’adressant aux futurs mariés :

J’suis désolée mais j’peux pas officier dans ces conditions. Si vos invités nettoient pas l’bordel qu’ils ont foutus, j’annule tout et j’rentre.

Et de se poser, jambes et bras croisés. Non, non, elle ne bougerait pas tant qu’il y aurait du poisson par terre, des odeurs de bouffe qui commençaient à être franchement désagréables et une abrutie derrière son autel.
Walà, c’était dit !
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