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[RP ouvert] Dites "je le veux" et... priez !!!

Pattricia
Le reste de la cérémonie, bénédiction comprise, est un peu particulier, faut dire qu'entre l'envie pressante que l'on sent chez l'Archi et les multiples interruptions, la rousse était même surprise que les invités soient encore là.
Sur les dernières paroles de la brune, la nouvellement et officiellement mariée marmonne un "Ainsi soit-il..." et embrasse son nouvellement et officiellement époux avec tendresse et soulagement.

Acceptant avec avidité la bouteille de vodka, Patt remercie l'officiante "ouais par ordinaire ce mariage, comme mon baptême d'ailleurs... Au moins ça ne s'oublie pas !"
C'est alors qu'à peine le jupon de Lena disparu dans la sacristie on entendant deux jeunes voix s'exprimer, la première dans le soulagement et la deuxième dans la joie.

Amusée de la réaction de sa belle-fille, la encore très jeune Marie, la vindicative s'approche de la jeune Marie.


Hum... alors comme ça jeune fille on a trouvé que le mariage traînait en longueur ?

La nouvelle belle-maman sourit et colle un baiser sur le front de la gamine qui, malgré la longueur et les divers évènements, était restée sagement assise à sa place.

Je te comprends, et oui, nous allons enfin sortir d'ici pour aller faire la fête, danser, boire et s'amuser au bord du plus beau lac du monde, tu verras tu vas adorer !

Puis s'approchant de Mini-Rouquine qui a bien grandi, la "tante" la serre fort contre elle.

Merci ma belle, tu sais que tu es magnifique dans cette robe ! Je suis si heureuse que ta mère et toi vous ayez pu arriver à temps !
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RP fofo2 en cours avant le décès de la reine donc pas de deuil.
Anne.so
Sous un soleil réchauffant ses bras nus, une main tenant son coude opposé et remontant juste de quelques doigts sur le bras à la peau soyeuse. Elle regarda les dernières personnes rentrer dans l’édifice imposant, et ce dont l’heureuse élu du jour, magnifique dans sa robe. La scène entraperçut quelques secondes auparavant, fut aussitôt oubliée. Elle allait suivre et regagner sa place discrètement quand Søren, la rejoint. Relever son minois et plonger son regard dans le sien, y lire de pour la première fois de l’incompréhension. Regarder ensuite au sol, comme si elle même n'arrivait à comprendre ce mouvement d’humeur, rare chez Anne Sophie. Ne même pas savoir au fond pourquoi l’avait-elle eu. La tension qu’il avait, était sans doute passée d’elle à lui –Excuse certes un peu facile - de le voir aussi nerveux qu’on aurait pu le prendre pour le futur marié. Ou bien le fait qu’il évoque Syu, mais cela arrivait, peu, mais habituellement, elle ne réagissait nullement ainsi, son passé n’avait jamais été un mystère. Qu’il la confie à sa cousine comme une chose délicate ? Et puis ce froid ressentit dans l’église, le contraste avec la chaleur de cette chaude journée d’été. Sans doute un peu de tout, mis bout à bout. Ses yeux qui s’ancrent dans les siens, hésiter ne pas savoir quoi dire. Les femmes sont ainsi, souvent elles n’arrivent pas à mettre un mot sur quelques choses qui ne va pas, et les hommes aiment les faits concrets, leur esprit est sans doute moins alambiqué que le cerveau féminin. Là où elles peuvent voir une palette de déclinaison de jaune, en passant au doux de la pierre de pisé à celui éclatant d’un poussin venant de naître, eux ne voient que du jaune.

Seurn … Rien sans doute des humeurs de femme. Je… Cela va aller. Viens rentrons nous allons louper l’essentiel, et Patt serai déçue.

Chasser le naturel d’une femme, il revient au galop. Ne pas dire, le laisser deviner, ne pas évoquer ses conclusions hâtives qui n’étaient que broutilles, ou bien seulement attendre de faire ce que tout homme fait dans ces cas-là. Acter le « Cela va aller » car après tout si elle le dit c’est que cela va. Et tout de suite, cela n’allait-il pas mieux ? Il était là à ses côtés. Elle glissa son bras dans le sien, tout en le faisant, lui adressa un sourire.
Ils rejoignirent leur place. L’échange des vœux étaient intenses dans les mots. Aucun doute, ces deux-là étaient amoureux et leurs mots dit avec, on le sentait, une sincérité touchante, émue la blonde Normande. Elle était heureuse pour eux, le bonheur des autres est toujours un plaisir à voir, et réchauffe les cœurs, même des plus fermés.

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Zeline, incarné par Pattricia
Emue au contact de sa tante, les larmes lui montèrent dans le conduit lacrymal, d 'une main maladroite, elle s 'essuya le coin de ses yeux en disant, au final, comme sa mère :

- J 'ai juste les yeux irrités, saleté de vent !


Ses lèvres se posèrent sur les joues de sa tante pour accentuer la tendresse de ses sentiments qu 'elle avait pour cette femme, qui depuis le jour de sa venue à Sarlat, l 'avait choyé et aimé comme une deuxième mère.

- Tu sais Patt, j e t'aime de tout mon coeur et j 'espère que l 'ours sera à la hauteur d 'être ton mari, car tu mérites ton bonheur tant attendu.

Puis ses pas la menèrent vers l 'ours rabougri, car vieux qu 'il était. Un élan de tendresse la fit se blottir dans ses bras puissants.

- Félicitations mon nouveau tonton, prends soin de Patt c 'est quelqu 'un de bien.

Un baiser furtif sur sa joue lui fut donner en signe de reconnaissance affective, car Zeline ne rigole pas avec la fibre familiale.
Argawaen
Le jeune-vieux marié souriait en voyant faire sa nouvelle épouse face à sa fille.
L'homme se tourna ensuite en direction de la mini-rouquine qui approchait, bon sang qu'elle avait grandit cette petite.
Le vieil homme se baissa et la souleva afin de lui rendre son baiser et de la serrer contre lui.


Ne t'en fais pas pour ça mini-rousse, je ferais de mon mieux.
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" L'histoire est bâtie sur de l'ironie, les actes des hommes par des jalousies, mais peu d'entre nous ont utilisés leur coeur pour faire ce qui était vraiment juste. "
Erwelyn
Voilà, c'était fini. Ils s'étaient dit oui, s'étaient fait un câlin, certains avaient applaudi - dont elle - et pour finir, tout le monde était content. La foule commençait doucement à quitter l'église, mais Lynette resta non loin du couple, attendant que leurs proches aillent les féliciter. De son côté, la duchesse avait un présent à remettre au marié, dont indirectement, la mariée bénéficierait aussi. Il lui était donc important de les voir tous les deux ensemble pour leur en faire part. Une fois que les effusions d'après mariage furent passées, la Corleone s'approcha des nouveaux époux.

Argavaven, Pattricia, recevez toutes mes félicitations. Je vous souhaite tout le bonheur du monde et tout plein de bébés roses. Oui parce que quand ils sont bleus, c'est très mauvais signe vous savez.

Il faut savoir rester pragmatique quelque fois.

J'ai promis à Argavaven de lui offrir un présent pour son mariage, et voici qu'il attend depuis bien longtemps de savoir ce que c'est. Mais j'aime ménager mes surprises, il le sait ! Seulement, je ne vais pas le laisser ronger son frein plus longtemps...

Un sourire en coin, un clin d’œil au marié, avant d'enfin lâcher le morceau.

Mon cher ours, vous m'avez été d'une aide bien utile lorsque vous étiez en Maine. Vous avez été présent durant ces longues semaines de mobilisation, m'aidant à tenir en cet hiver glacial que nous avons connu. Je l'avoue, le Mans a été bien vide après votre départ, mais la correspondance que nous avons entretenue ensuite m'a permis de comprendre que, quoi qu'il arrive, vous serez toujours là pour moi, en véritable ami que vous êtes devenu.

Fallait bien choisir ses mots tout de même, histoire que la mariée ne lui fasse pas une crise de jalousie ici-même, alors même qu'ils venaient de se dire oui. Elle espérait en tout cas que le sentiment que ressentirait Pattricia ne serait pas la jalousie, mais plutôt la fierté d'avoir épousé un homme qui avait su gagner la confiance de la Corleone. Ce qui, franchement, n'était pas gagné d'avance. Regardant le couple, elle balança enfin l'info que l'ours attendait depuis des mois.

Me feriez-vous l'honneur, Argawaen – yeah, en plus Lynette avait réussi à bien prononcé son prénom ! - de devenir mon vassal sur mes terres mainoises ?

Et de toute façon si tu dis non, je te boude pour la vie, na.
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Argawaen
Alors que le couple remerciait les invités, le vieil homme se demandait si son fils ainé et Valeryane allaient attendre un peu avant de partir. Il voulait s'entretenir un peu avec eux, et également profiter d'Alistaïr.
Le vieux vétéran regardait son épouse, heureux, après tout ce qu'ils avaient traversés ils étaient enfin mariés, et ce couple n'était pas prêt de se séparer. Il en était satisfait.

Le Dehuit de Malemort fut attiré par la poney rose qui s'approchait d'eux, comme à son habitude il lui fit un baise-main et s'inclina légèrement face à elle. Ils avaient passés de sacrés bons moments en Maine, à picoler, à se raconter leurs histoires, ils étaient comme deux vieux, en même temps ils avaient le même âge, alors autant dire que les soirées étaient fournies en discussion.

Le vieil homme écoutait attentivement ce qu'elle avait à dire, souriant ému à ses paroles, puis il écarquilla les yeux à sa proposition. Il resta silencieux un instant, bouche bée. Elle avait également réussie à prononcer son prénom correctement ! C'est que ça devait lui tenir sacrément à coeur.


Ma rose... Que dire de plus à part que c'est un immense honneur que vous me faite ? Non pas seulement pour moi, mais également pour mon épouse qui en sera également Donà.

L'homme se passa la main sur le visage, il était encore sur le séant de cette proposition, il ne s'attendait pas à cela, mais à un poney rose senteur poire, ou alors à une caisse d'alcool, mais une seigneurie... Pas du tout...
Il regardait la poney rose et rajouta.


Et puis comment refuser ? Vous avez prononcée mon prénom avec perfection !

L'homme souriait amusé.
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" L'histoire est bâtie sur de l'ironie, les actes des hommes par des jalousies, mais peu d'entre nous ont utilisés leur coeur pour faire ce qui était vraiment juste. "
Erwelyn
Ah, un Argavaven bouche bée, c'était pas souvent que ça arrivait. Savourant le visage de son futur vassal devant la nouvelle, Lynette le regardait avec un petit sourire en coin. Et en plus, sa réponse ne faisait maintenant plus l'ombre d'un doute sur le fait qu'il acceptait sa proposition.

L'honneur et le plaisir sont partagés ! Je gage que vous serez un parfait vassal, et j'accueillerai également avec plaisir en Maine votre femme.

Et, chose assez rare chez elle pour le souligner, elle ne put s'empêcher de le prendre dans ses bras pour sceller ce qui venait d'être échangé, prémices du futur serment que la suzeraine et son vassal auraient à faire un jour prochain. La baronne lui colla une bise sur la joue avant de se reculer, amusée par sa remarque sur son prénom.

Je me suis beaucoup entrainée sur la route figurez-vous ! Mais ne vous attendez pas à ce que ça arrive souvent, je crois que j'ai déjà oublié l'exacte prononciation...
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