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[RP ouvert] Dites "je le veux" et... priez !!!

Luaine
Le voyage entre Alençon et Sarlat fut interminable. Le soleil plombait chaque acre de terre, le rendant presque stérile tant les rayons étaient brûlants. Dans le carrosse la chaleur était presque étouffante et la brune n'avait qu'une envie, faire le chemin, habillée d'une simple chemise mais l'étiquette voulait qu'une Duchesse ne voyage pas en bras de chemise.

La canicule trop présente, obligea la Duchesse à laisser sa progéniture sur Alençon. Elle n'aimait pas laisser sa marmaille mais les températures bien trop hautes, seraient surement un danger pour amener deux enfants de sept ans et un nourrisson de huit mois dans une telle expédition.
Ils restèrent donc en domaine royal avec leurs domestiques et sous la surveillance de la mesnie von Strass.

Quelques jours au frais sur les terres poitevines que le couple possédait, fit le plus grand bien à la brune qui en profita pour régler quelques affaires d'intendance. Le fief se trouvait miraculeusement entre Alençon et Sarlat, un point de chute parfait. Il restait tout de même quatre jours de voyage avant d'arriver sur Sarlat....

Heimdal et Luaine, s'arrêtèrent à une demi lieue de la ville, dans une charmante hostellerie. Ils seraient ainsi frais et dispo pour le mariage qui avait lieu le lendemain. Il n'était pas question que la brune se présente au mariage de la vindicte comme une romanichelle.
Après une bonne nuit et un bain dans un baquet, elle se prépara.
Une résille de perle vint emprisonner sa longue chevelure ébène en chignon et une robe couleur lie de vin aux galons de brocart jaune vint habiller la von strass. Une ceinture en cordelette et ornée de pierres grenat venait souligner sa taille fine, enfin retrouvée après de long mois depuis sa grossesse.

Le Premier Secrétaire d'Etat était déjà prêt alors qu'il attendait son épouse, qui mettait les dernières touches à sa tenue.
Quand il la vit, il sourit....C'était tout ce qu'elle attendait comme à chaque fois, lui plaire à lui. Luaine l'embrassa tendrement.


Nous pouvons y aller mon cher époux mais tu es très élégant aussi....
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Hersent
[Parvis de l'église Jour J]

Une voix connue la fit sursauter: Messire Ricco!!! Quel diablotin ce GR quand il s'y mettait, au moins avait-il eu la bonne idée de la sortir de sa torpeur.

Misère, Messire Ricco, un peu plus et je tombais du banc.

Elle lui fit un grand sourire:

Ravie de vous retrouver à Sarlat et ce pour une occasion bien joyeuse: la mariage de votre Capitaine! Ce n'est pas rien!
Le voyage depuis la Champagne m'a un peu fatiguée, la chaleur m'endort un peu, du coup j'ai hâte d'être au frais dans l'église.


Elle tapota la pierre du banc près d'elle:

Venez vous asseoir, nous passerons le temps à papoter des histoires de GPF et de Curia en attendant l'arrivée des époux.

Elle fit signe à Jehan, jamais très loin, d'apporter de quoi boire:

Une tisane froide, ça vous dit?
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Chevalier du Guet Royal
Marie....
La petite marie arriva en courant au mirage de papa en plus c était pas facile dans la grosse robe bouffante qu elle détestait porter mais elle était bien obligée pour l occasion et pour papa .Elle avit donc aussi revetu un postiche des macarons sur les cotes !
le tout donnais ca :

La petite marie arruva dans l eglise et hural : PAPA !
puis elle vit tous les invites se retourner sur elle du coup elle alla discrètement s assoir devant et sourit a son papa malgré une petite dent en moins Elle avait evidemment revetu un chale sr sa cicatrice au cou
mariceleste, incarné par Pattricia



[Matin du jour J, toujours aux Mûres....]


Elles avaient passé la nuit a papoter, surtout Mari qui racontait son voyage, elles essayaient de garder les ouverts, mais la fatigue les avaient gagnées, et elles tombèrent de sommeil, Mari et Zeline la tête posée sur la table et Patt avait eut le temps d'aller dans sa chambre.

A l'aube elles fût réveillées par Patt qui faisait des va et vient dans la cuisine avec des seaux d'eau, La Rouquine et Mini-Rouquine immergent de leur sommeil pendant que Patt préparait le petit déjeuner......


- P'tain c'est le grand jour Patt vite faut se dépêcher et Mariette qui n'es pas encore là avec nos tenues, si elle arrive en retard elle va m'entendre, Pour l'heure prenons un bon petit dèj ça nous ferra du bien.

Elles s'installent à la table pour prendre leur petit déjeuner quand on frappe a la porte de la cuisine Mari se lève et va ouvrir car Patt était occupée, c'était Mariette avec les tenues.

- Mariette enfin tu es la, c'est pas trop tôt heinnn mais je suis contente de te voir.
- Mari calme toi.... on dirait que c'est toi qui te marie là.... tu n'es pas en retard, c'est encore très tôt, alors prend le temps pour le ptit dèj.
- D'accord mais faut se dépêcher quand même.

Tout le monde prend son petit déjeuner tranquillement puis commence a s’éparpiller dans la maison entre la salle d'eau et la chambre pour se préparer. Toilette puis habillage des filles, c'est le moment le plus long, Mari était dans la chambre de Patt, sa robe était posée sur le lit elle fait glisser ça main sur le tissus et sourit. Mariette était là avec elle pour l'aider a s'habiller et le coiffer.
Robe passée et coiffure réalisée soigneusement, elle était magnifique dans ça robe bleu et fin prête aussi, elle s’admira devant le miroir.



- C'est bien la première fois que je me trouve superbe, je suis fière de moi et j'ai choisi une couleur qui me va à ravir, quand penses-tu Mariette ?

- Je dois dire que tu es magnifique ça te va très bien, tu vas faire des jalouses.

Elles se regardent dans le miroir et se mettent à rire.

- Bon maintenant je vais rejoindre notre futur mariée pour l'aider a s'habiller et se coiffer, toi Mariette tu vas aider Zeline à se préparer et on se rejoint dans la salon.

Tout le monde allait être prêt et allait pouvoir partir pour l'église Sainte Lucie.


Lubna
[Dans la distillerie]

Habillée d'une robe légère par ce temps chaud il fallait maintenant qu'elle monte se changer pour le mariage de la rousse et son ours!

Elle sortit de la distillerie puis se rendit dans sa maison de Sarlat

Son époux alité ne sortait plus de sa chambre... Des mois qu'elle ne partageait plus le lit conjugal et avait fait construire entre la distillerie et la maison une dépendance.

La chaleur accablante épuisait ses dernières forces de son époux

Elle donna des consignes à sa dame de Compagnie

Faites lui boire de l'eau toutes les heures en mon absence

Puis se rendit dans son cabinet afin d'ajuster une robe de circonstance pour le jour

Deux heures plus tard elle était prête et à pied qu'elle se rendit en l’Église de Sainte Lucie
--Melie
[Domaine de La Force jour J...]



- Bon ma p'tite, vous veillez à ce que le jeune Cantor n'ait pas de bottes aux pieds et pas d'armes sur lui.
- Heu... d'armes ?
- Oui ma fille d'armes ! Faut que je vous l'épelle ?
- Nan mais vous fâchez pas Demoiselle Mélie, c'est juste que une arme chez un garçon de 10 ans...
- Il veut être un grand combattant plus tard et il voue une grande admiration à la carrière de son futur beau-père, alors bon, vous faites ce que je vous dis sans discuter et vous arrêtez de me faire perdre mon temps à me couper dans mes instructions.
- ...
- Bon j'en étais où ? Ah oui... Pour Lucie, vérifiez qu'elle n'aille pas tenter de se mettre du rose sur les lèvres ou que sais-je encore, cette gamine se prend pour la Reyne de France et surtout pour une adulte. Elle n'aura le droit qu'à une couronne de fleurs rien d'autres entendu ?
- Oui oui...
- Les garçons doivent être revêtus tous les deux de leurs tenues aux armes des La Canéda, bleues et argent, des chausses et éventuellement un couvre-chef, rien de plus, pas de bijoux, pas d'armes, pas de bottes !


Par cette matinée estivale qui aurait dû être des plus douces, la pauvre Linette écoute l'intendante du domaine lui donner ses instructions dès l'aube, et se décompose au fur et à mesure du flot d'informations sous lequel la Narbonnaise est en train de l'ensevelir.

- Une dernière chose, vous me mettrez votre tenue du dimanche et vous accompagnerez les enfants dans le coche. Vous veillerez à ce qu'ils ne se froissent pas, que Lucie garde ses mains propres car elle va tenir la traîne de sa mère. Surtout que tout le monde soit prêt sur les marches du parvis de Ste Lucie quand le carrosse de Madame arrivera.

Laissant la jeune lingère bombardée nounou/femme de chambre pour l'occasion, la tête pleine et la mine légèrement crispée, Mélie quitte le palier de l'étage des appartements familiaux pour dévaler le grand escalier Renaissance du château. Elle fait signe à Souffre pour lui signifier son départ et enfourche sa monture déjà sellée à son intention. Talonnant sans ménagement son cheval, la brune sort en trombe de la grande cour, poursuivie par son escorte quelque peu prise au dépourvue...


[Quelques heures plus tard le même jour, Sarlat...]


Chez les La Canéda, on avait un profond respect pour les animaux, qu'ils soient domestiqués, ou qu'ils soient chassés et mangés, mais la pauvre monture qui s'arrête en eau dans la cour des Mûres, refuge de la tribu à Sarlat, pourrait bien témoigner que sa cavalière l'avait poussée jusqu'au bout de ses forces afin d'être arrivée à temps pour aider la rousse.

Un palefrenier prend en charge l'animal et l'échevelée entre en trombe par l'arrière cour dans la demeure bourgeoise. Le vestibule se voit affublé d'une paire de bottes jetée à la va-vite, la cape loupe la patère mais restera ainsi un bon moment, et les escaliers craquent sous une Mélie survoltée qui grimpe quatre à quatre les marches pour s’engouffrer dans sa chambre, et se ruer dans le petit boudoir attenant. Tout sourire, mais essoufflée, elle admire la robe de la future mariée, planquée là depuis des mois à l'insu de tous, ainsi que sa propre robe, couleur bleu et argent, pour rendre hommage à cette famille qui est devenue la sienne depuis toutes ces années.

La Narbonnaise attrape la robe de Patt avec délicatesse, quitte le boudoir, sort de la chambre, redescend les escaliers avec prudence "manquerait plus que je me gaufre et que je déchire la robe...", traverse le salon et entre dans la chambre de la rousse.


- J'suis arrivée, j'dépose la robe sur le lit et j'retourne chercher la traîne et les accessoires !
- Ahh Mélie !!! J'prends mon bain, je suis contente d'entendre le son de ta voix, j'ai quasi terminé !


La brune sourit, elle connait son amie quand elle est dans son cabinet de toilette. Celle-ci allait se rincer minutieusement, s'oindre d'huile d'Orient et ensuite seulement, elle se pointerait pour enfiler dessous et robe. Mélie sait qu'elle a le temps. C'est alors qu'elle va pour traverser à nouveau le salon, que du bruit se fait entendre dans la chambre d'à côté, celle de la petite Jade exilée à Cosnac le temps des festivités. Elle s'approche de la porte, l’entrouvre

Mari ! Zeline !!! Vous êtes arrivées à temps ! C'est merveilleux ! Wow ! Quelles robes ! Et Zeline comme tu as grandi, une vraie jeune fille !

Embrassades et retrouvailles sont à l'honneur, mais il y avait du boulot encore...

- Tu viens avec moi Mari, je dois encore prendre la traîne, et tous les accessoires ?

N'attendant pas sa réponse car elle la connait d'avance, la nounou file en direction de l'étage et de sa propre chambre histoire de ne pas perdre de temps...
Kayte
Cousons-nous la bouche
Sinon nous servirons d'amuse bouche,
A des Aristotéliciens,
Qui ne sont d'ailleurs pas miens.
Que faire, que dire ?
Pour ne point les faire rire.
Jaune certes.
Quelle galipette !
Que le Déos me pardonne,
De ne point participer à l Aumône .
Douce Chaperonne,
Qui bougonne, comme une bonbonne.
Point de robe pour un mariage,
Qui commence toujours sans nuage,
Et finit souvent avec des ombrages.

Plan de guerre ! Il fallait se venger ! On lui avait pas dit qu'ils étaient tous invité à un mariage....
Il fallait qu'elle aille à la rencontre de sa Chaperonnée. Kayte, fut horrifié de trouver Germaine dans un état de borgnattitude.
C'était quoi cette bande de fou, échappés de l'asile. Bien évidemment Kayte en remis une couche...


-Pas touche au cureton ! Faut d'abord qu'il me dise où est sa gnôle, pour que je le dévalise !
Sérieux, personne ne sait qu'ils ont la meilleure gnôle ces culs bénis ? Y a qu'moi qui suis au courant ?
Secouant la tête d'exaspération avec un "ttttttt" . Il font les pauvrettes, mais ils sont plus riche que le Roy lui même. A coté le Roy est un clochard ! J'suis sérieuse, hein !

Quel Amour, quel Piétée, quel Altruisme, quel merveilleuse femme était-elle !

- Vous croyez qu'on a le temps ? Car j'ai pas décrottée mes bottes. Au pire j'pourrais l'faire la bas, ils ont des espèces de... Elle fit le geste pour mimer une vasque. Vous savez là où ils mettent de l'eau là ?!!!! De l'eau Bénédicte !
_________________
Pattricia
[Même jour, même lieu, une demi-heure plus tard...]



En tenue plus que légère, Patt observe la meute de femelles en train de s'agiter autour d'elle comme détachée. Elle se laisse faire, sage comme une image, ailleurs... Bizarrement, elle est sereine, apaisée et s'étonne à chaque seconde de ne pas trouver sa bague et sa magnifique opale à son doigt, ne pouvant s'empêcher de caresser l'endroit où elle se trouve d'ordinaire. Elle avait refuser de porter un anneau, pour elle sa bague de fiançailles ferait une parfaite bague de mariage, elle n'avait jamais été bijoux de toutes façons.

Pendant qu'on lui tire le bras ou encore lui arrache à moitié la tête en lui passant un vêtement, la fiancée se remémore les deux demandes en mariage de l'ours. La première alors qu'elle était encore Capitaine de la Garde Royale, que la guerre faisait rage et qu'ils n'étaient pas sûrs de pouvoir vivre l'un près de l'autre un jour. La deuxième, la plus inattendue, un matin en taverne, alors qu'elle avait plusieurs de ses amis les plus chers autour d'elle, qu'Argawaen avait emménagé récemment, il avait posé genoux à terre sans crier gare et lui avait refait sa demande. On aurait entendu une mouche voler tellement toutes les personnes présentes étaient sous le choc, y compris la mariée d'ailleurs. Alors elle avait accepté pour la deuxième fois, émue... Mais le présent reprit ses droits.


- Aïeuh !!!!
- Fait pas ta chochotte...
- Nan mais que tu fixes l'anneau avec le voile d'accord, mais évite mon cuir chevelu s'il te plait !
- Oups ! Pardon... Excès de zèle...
- Mélie... je t'aime de tout mon coeur mais là c'est bon, pas une épingle de plus ça suffit !


Quand la vindicative hausse le ton, soit on rigole, soit on file droit, et là en l'occurrence, pas question de la mettre en rogne le jour de son mariage. Donc les filles cessent immédiatement de s'agiter et la future mariée se regarde dans le miroir, un sourire niais sur le visage.

Les filles... je vais me marier...

C'est alors que

Toc!Toc!Toc!!!!
_________________

RP fofo2 en cours avant le décès de la reine donc pas de deuil.
Argawaen
[Cosnac, sur le départ]

Le futur marié était fin prêt, il allait être temps de prendre la route, mais tout d'abord il fallait rameuter ses hommes et la troupe de Muse.
Le vieil homme se rendit dans la Cour, ses hommes étaient à côté de leur monture, Aarhon terminait quelques détails, et le carrosse pour Muse et compagnie était avancé. Lui ? Et bien comme tout bon soldat, il serait en tête, sur sa monture blanche, sauf que cela risquait de ne pas se passer comme prévu...


Aarhon : - Seigneur ! Votre tenue de marié ! N'allez pas la froisser !
C'est mon mariage mon ami, je fais ce qui me plais...
Aarhon : - J'insiste... Montez dans le carrosse avec vos amis.
Garde : Si je puis me permettre Seigneur, Aarhon a raison.
Vous n'allez pas tous vous y mettre non ? Et ma belle monture blanche ? Laissez moi être César ! Monture que son neveu Octave lui avait offert en Gaule !
Aarhon : - Cesar est mort...
Toi tu ne vas pas tarder à le rejoindre si tu continues...
Aarhon : Evidemment...

Secouant la tête il attendit donc que Muse, Germaine et Luc arrivent afin qu'ils puissent prendre place dans le carrosse, et puis après tout, autant être raisonnable... Autant ne pas abîmer sa tenue de mariage...

Aarhon, prends la tête, je vais suivre tes conseils pour une fois. Je veux les couleurs hautes ! Visibles et fièrement au vent !

Il regardait son homme de main prendre la monture blanche qui lui était destinée et fit une légère moue, après tout, il pouvait bien laisser cet honneur à son vieil ami...

Aarhon : - Allez les filles ! En selle !
Garde 1 : Te la pètes pas Aarhon, tu restes un idiot
Garde 2 : Haha ! Il a prit du grade le Aarhon !
Aarhon : - Fermez là ! Allez exécution !
Garde 3 : Vous avez entendu les gars ? Notre nounou a parlée !
Aarhon : - Grrrrr....

L'avantage, c'est qu'avec ces gugusses là il était plus que protégé...

MUSE ! GERMAINE ! LUC ! ON VOUS ATTENDS !!!!
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" L'histoire est bâtie sur de l'ironie, les actes des hommes par des jalousies, mais peu d'entre nous ont utilisés leur coeur pour faire ce qui était vraiment juste. "
Germaine...
C'est toute émotionnée que Germaine arrive, en compagnie de ses potes, devant le carosse. Quelques larmichettes perlent même au coin de son œil gauche, légèrement irrité par les aiguilles piquées dans la paupière.

Mazette, c'est du lusque ! J'ai jamais posé mon popotin dans un carosse, moi !

Elle se tient bien raide, genre balai dans le séant, parce que Muse lui a rabâché qu'il fallait bien se tenir, comme si Germaine se conduisait habituellement comme la dernière des ribaudes...

Bonjour, Argahouaine ! Z'êtes tout joli tout endimanché, ça vous rajeunit, même que...

Elle se tait soudain, avant de commettre un impair, tire sur sa robe noire, tripatouille le triskell qu'elle porte en pendentif, sourit, essuie une larme qui risque de détruire son savant maquillage puis, à bout d'idées, grimpe sans plus attendre dans le carosse et s'installe avant tout le monde.

Sont un peu durs les sièges, quand même, finit-elle par marmonner en s'éventant.
L'éventail de combat bien entendu, on ne sait jamais, dans une assemblée pareille...
Musartine
MUSE ! GERMAINE ! LUC ! ON VOUS ATTENDS !!!!

Oui ben on est là hein !
et y a même Kayte ! tu te souviens d'elle au moins ?


Muse, toujours aussi espiègle quand elle est de bonne humeur, sourit de toutes ses dents.

Elle joue les Chaperonnes, parait que je suis pas toujours très discrète ... j'sais pas pourquoi elle s'est mit un truc pareil en tête.

Tirant Luc par la manche, faudrait pas qu'il rate la fête, elle ne tarde pas à monter dans le carosse.

Ouaip mon Fada, on se rapproche du plan. Ca serait bien aussi de repérer les familles les plus riches ... au cas où on peut dénicher une rançon. Scrat devrait pouvoir nous servir à quelque chose s'il se fait pas trop discret.

Sourire innocent à Argawaen.

Ca va Arga ? pas trop nerveux ? faut pas hein ! on sera sages comme des images ! tu me connais !

Changement de sujet, toujours aussi rapide, Muse, experte en "je saute du coq à l'âne", cette fois-ci, elle s'adresse à Germaine.

Ben nous Gertrude, on a une calèche ! mais on la laisse au moulin, ça fait pas très professionnel. Je l'ai eue quand Léa m'a envoyé à Fribernbourg enquiquiner les marmottes.

Moment de se la pêter un peu, une calèche, c'est fait pour ça.

Dis voir Arga ... t'avais pas l'intention d'y aller à dos de canasson ? hein ?

Une fois montée dans le carrosse, elle jette un oeil noir à Germaine.

Pousses toi ! tu prends toute la place !

Et à nouveau au futur jeune vieux marié :

Et sinon, c'est qui la mariée ? elle a une bonne dot ? C'est pas une pleurnicheuse au moins ? hein ?

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Zoltem
[Devant les Mûres, derrière l'homme au poney]



La brune qui arrive à pied avec un baluchon miteux est un paradoxe. Maigre comme un clou, aimable comme une porte de prison, vierge et fière de l'être, haïssant toute forme de fornication et d'alcoolisme -notez que pour elle être alcoolique c'est boire de l'alcool, que ce soit un dé à coudre ou un jéroboam, elle en a rien à cirer, et pourtant la rousse pouvait lui demander n'importe quoi elle s'exécutait immédiatement.

Dans son esprit étriqué, vous faites forcément partie de la lie de la société cherchez pas. Ses yeux clairs plutôt hypnotiques posent sur le monde dans son ensemble un regard méprisant et la moue est dégoûtée du levé jusqu'au couché. Allez savoir, elle fait sans doute la gueule même en dormant, sauf que personne n'est vivant pour en témoigner.

Zoltema, dicte Zoltem, arrive donc juste après Gourry et son poney à la porte des Mûres. "C'est quoi encore ça ? Laissez-moi deviner, un poney, donc un alcoolique. J'parie qu'il est tellement bourré qu'il a pas su trouver le bordel ce c... !" Et de s'approcher avec sa tronche des mauvais jours -comprenez de tous les jours en fait.


B'jour, vous êtes perdu ? Pour aller au lupanar c'était tout droit, fallait pas tourner à gauche mon gars. Allez circulez, ici vous êtes chez les La Canéda !

Sans plus de manières, elle dépasse le pauvre Gourry et ouvre la porte.

Marraiiiine j'suis lààààààà !!!!
Ricco
Ricco s'assit sur le banc à coté de Hersent et lui fit un grand sourire !
- Moi foi, une boisson fraiche n'est pas de refus !

Ricco regarda autour de lui à la recherche de quelques boissons qui pourraient tomber du ciel.

- Je me posais une question, Dame Hersent. Etes-vous accompagnée pour ce mariage ? car voyez vous, je n'ai point de cavalière et je ne voulais pas assister à ce mariage seul...


Puis laissant une petite pause avant de commencer.

- D'ailleurs avec moi, vous serez aux premières loges au sens propre comme au figuré !
_________________
Heimdal
La voilà enfin se disait-il. Son regard toujours plonger sur son épouse et il rajouta
dans ses pensées qu'elle est plus belle de jour en jour. Il l'aida à mettre la dernière
touche et savoura le baiser de son épouse.


Oui, nous pouvons prendre la route, le cocher nous attends.

Il allait à un mariage dont il ne connaissait probablement personne quoi que son épouse
il l'a connaissait mieux que personne. Durant le trajet en direction de l'église, le duc
était sous le charme de son épouse. La bâtisse réligieuse était maintenant à vue.
Heimdal aimait descendre en premier pour tendre sa main afin qu'elle puisse descendre
du carrosse sans encombre.

Nous sommes à l'heure. Je pense que nous pouvons entrer dans l'église en attendant
_________________
En deuil
Gourry
[Devant les Mûres,devant la porte,devant quelqu´un et bientôt derrière]

Le chauve attendait devant cette porte après avoir toquer comme à son habitude,trois fois.Manquait plus qu´on lui ouvre et forcément,ca arriverait vite.
De toute facon,avec tous les arrêts qu´il avait fait sur la route,il n´avait surement plus besoin d´aller au petit coin avant un bon moment.Mais pendant qu´il patientait,une voix se fît entendre derrière lui.


B'jour, vous êtes perdu ? Pour aller au lupanar c'était tout droit, fallait pas tourner à gauche mon gars. Allez circulez, ici vous êtes chez les La Canéda !

Il se retourna hâtivement,vit juste une petite silhouette le dépasser et lui passer devant.Et avant de réaliser,il réagit aux paroles.

Y a un lupanar à Sarlat?Et personne m´en avait rien dit...c´est pas très beaucoup gentil de me l´avoir cacher!Toute facon,j´y suis jamais allé,chuis trop fleur bleue pour fréquenter ce genre d´endroit moi.

Se reprenant après ca.

Héééééééééééé!!!!Mais dis donc,m´avez juste dit ca pour me passer devant!Me suis fait avoir...

Et la voilà qu´après avoir crié à tout rompre "marraine",elle ouvre la porte.

Ben voyons,c´était bien la peine de toquer et d´attendre pour voir une petite brune me passer sous le nez.On entre comme dans un moulin.

Mais il n´allait pas en rester là.Non,non,non.

Patt!!!!!C´est Doudou!!!!Chuis là aussi et la tite dame est mal-élevée!

Et toc,dans les gencives!
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