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[RP ouvert] Dites "je le veux" et... priez !!!

Marie....
La petite marie ne cessait de poireauter devant l eglise comme d hebitude trop en avance en disant bonjour aux rares personnes déjà arrivées
-Bonjour Dame , Bpnjour sieur vous savez ou est actuelement Argawean ?Oui je suis sa fille !
Soren
[Bergerac, D-DAY, opération Chef suprême*]

Depuis le temps que j'en entends parler de cette cérémonie, il faut qu'elle arrive! Et le jour J est pour aujourd'hui! La première fois, Patt m'avait dit Avril. Puis Juin. Et c'est finalement au début de Aout qu'elle aura lieu. Oh ce n'est pas que cela me gêne vraiment. Non, en vérité, ce qui me gêne, c'est qu'elle arrive! Elle fait une erreur et je lui ai dit. Il fait une bévue monstre et il ne sera pas compte. Mais for fanden, sont-ils tous les deux aussi niais que les jeunes damoiseaux pour ne pas comprendre cela? C'est déjà écrit. Noir sur blanc! Ils vont se marier, vont vivre deux semaines virevoltantes et ensuite tout s'effritera. Il ne sentira plus le besoin de la séduire puisqu'elle sera à lui. Elle n'aura plus le désir de se faire désirable puisqu'il sera à elle. Elle lui demandera des enfants. Elle deviendra grosse et ne parlera plus que de ça. Lui ira trouver son plaisir en parlant course de lévriers avec ses amis à la taverne et ils finiront par se quitter. Patt for fanden! Mon expérience ne t'a pas ouvert les yeux? Dis-moi donc la vindicative, à quoi ça te sert de te marier? Tu crois qu'il sera plus à toi qu'il ne l'est déjà? Tu te trompes. Il ne le sera ni plus, ni moins. Tu cherches quoi en l'épousant hum? Dis-moi donc la vindicative : à quoi sert le mariage? Et ne pars surtout pas dans les discours grandiloquents et romantiques genre : cela concrétise l'amour que nous ressentons l'un pour l'autre. Et Bla bla bla! Tout ça, c'est de la foutaise. Je vais te dire à quoi ça sert un mariage. Ça sert à s'échanger des titres de noblesse...et à rien d'autre que ça. Ça sert de raison pour faire une grosse fête et réunir les amis qu'on n'a plus vu depuis des lustres et dont on a du mal parfois à retrouver le nom. Et puis, ça sert de faire-valoir à l'église. Je te l'ai dit Patt mais tu ne veux pas m'écouter. Ne viens pas te plaindre le jour où l'ours voudra faire sa vie dans une autre tanière. Ce sera juste le cours logique des choses.

Ça, il n'y a pas à dire, le mariage et l'église ne sont pas vraiment fait pour me mettre de bonne humeur!


- Dis-moi Anne, crois-tu que ça ferait vraiment mauvais genre si on arrivait juste au moment du banquet?

Ça serait au moins ça de pris si je pouvais éviter les sermons à l'eau de rose du prêtre. Non, franchement, aujourd'hui, je ne suis vraiment pas de bonne humeur! N'eut été de Patt, j'aurais volontiers décliné l'invitation!

- En plus, je suis sur qu'il y aurait un tas de personnes que je ne connais pas, que je n'ai jamais croisé et que je ne croiserai jamais plus. Et vu les antécédents de la mariée, j'imagine qu'il y aura là plein de têtes couronnées et de personnes aux titres ronflants, chacun rivalisant d'orgueil de porter la plus belle des toilettes! Tu sais, je ne suis vraiment pas à l'aise d'assister à ce mariage. J'ai l'impression d'être un goret gambadant et grognant au plein milieu d'une horde de cerfs...

Enfin! J'espère au moins que la nourriture sera de qualité tout autant que la bière et que la musique permettra quelques agréables pas de danse.

- Les cheveux ça va? Je n'ai pas de faux plis sur la chemise? Ni de tâche de vin sur les manches?

Ça, quand vous mettez votre danois dans tous ses états, il faut assumer les conséquences qui en découlent. Tiens, ça me fait subitement penser que je n'ai pas eu de crise noire ou rouge depuis un moment... Genou en terre, je viens déposer mes lèvres sur la main d'albâtre de la blonde d'Evrecy.

- Anne, j'ai une demande solennel à te faire : au nom de l'amour qui nous unit, veux-tu ne jamais m'épouser?

* Overlord
_________________
Elisa.malemort
En retard ? Non... ! En tout cas pas encore. C'est ainsi que la Duchesse avait quitté son bureau : En courant ! relevant ses jupons aussi possible, tenant son ventre prêt à donner la vie, la Malemort avait couru pour rejoindre la voiture où l'attendait son fiancé et sa fille chérie. S'installant dans la voiture, les joues rougies par l'effort qu'elle venait de mener, elle tente de reprendre son souffle, difficilement évidemment.
Venant s'installer tout contre son fiancé, sa main glissant dans la sienne, sa fille vient s'installer sur le bout de ses genoux encore libre. Le voyage est long et sûrement pas des plus agréables. Comme par habitude, la jeune femme ne peut s'empêcher de sortir quelques dossiers pour traiter des dernières affaires de sa province.

Entre travail et repos, la route défile devant eux. Une pause dans les terres limousines de la Malemort et le Périgord dévoile enfin ses portes. L'auberge est réservée, les malles sont déposés et le rafraîchissement du voyage ne fait pas de mal. Une malade à trois dans le village, la nuit doit être bénéfique alors c'est tôt qu'ils vont se coucher pour être en forme le lendemain pour le mariage.

L'aurore est là, l'heure de se préparer après une tendresse maternelle. La Duchesse s'habille pour faire honneur à son cousin, si seulement cela peut être possible malgré son ventre près à offrir délivrance. Une magnifique robe de la couleur verte de l'espoir, le décolleté, largement mit en valeur par les montées de lait déjà présente, est bordé de perles sur tout son pourtour. Les cheveux lachés, sa couronne de Duchesse sur la tête, la Malemort est enfin prête comme sa fille portant une robe du même vert que sa mère.

Le couple prend alors le chemin de la Cathédrale. Il est l'heure de célébrer un mariage aujourd'hui... Il est l'heure de retrouver un vieil ours.


    Allez mon tendre, allons y avant que nous ne finissions par être en retard.


Le chemin est court et la petite famille ne tarde pas à se retrouver face au parvis. Descendant de la voiture, la duchesse attrape le bras de son fiancé, pendant que sa fille marche à côté d'elle en tenant la main de sa Mère. Petit à petit, ils avancent vers la Cathédrale, essayant de trouver le vieil ours Malemort.


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Argawaen
[Cosnac, départ]

Voilà qu'ils arrivaient enfin, l'homme commençait à désespérer.
Kayte... Qui était-ce déjà... Kayte... Oui Kayte ! Une autre folle du groupe !
L'homme inclina la tête légèrement en guise de réponse et souriait en voyant Germaine prendre les devants et s'installer dans le carrosse.
Le vieil homme ne prêtait pas attention aux remarques de la Muse, il ne pouvait la changer, elle serait toujours en quête d'or et de beuveries, elle aurait du faire pirate tient...


Sage comme des images... C'est là que je m'inquiète justement ! Et pour répondre à ta prime question, je vais bien, pas trop nerveux, mais inquiet de te savoir derrière des personnes riches !

Le vieil ours souriait doucement et grimpa à son tour dans le carrosse.
Il s'installa confortablement et une fois tout le monde à l'intérieur fit donner le départ.


Mon homme de main a prit la tête de notre petit convoi, vois-tu, je voulais y aller à dos de canasson au départ, mais Aarhon m'a gentiment rappelé qu'il ne fallait abîmer ma tenue. Alors me voici avec vous, une vieille chouette, une amie fidèle mais peu fiable, et un homme que je ne connais pas. C'est un réel plaisir de partager ce carrosse avec vous !

[Eglise de Sarlat, enfin...]

Le carrosse et sa garde s'arrêtèrent enfin devant l'église, regardant par la petite ouverture il vit qu'il y avait déjà pas mal de monde. Soudainement il fut prit d'un stress inexplicable, fermant les yeux, calmant sa respiration il prit une grande inspiration et regardait Muse.

Nous y sommes... Descendez d'abord, je sortirais le dernier...

Il entendit son homme de main s'approcher, toquer contre la porte et demandait s'il était prêt.
Répondant affirmativement Aarhon ouvrit la porte et une fois que les autres furent sortit, il descendit à son tour...
Sa main posée sur son épée de cérémonie, sa cape soulevée par Aarhon afin de ne pas trop la salir, il était face à l'église...




Aarhon resta en retrait, le suivant, et le futur marié s'approchait du parvis et des invités, son regard fut interpellé par une silhouette connue, Valeryane... Et un jeune homme était à ses côtés... Alistaïr...
Quittant sa trajectoire initiale le vieux vétéran s'approcha de son fils aîné et le serra dans ses bras de toutes ses forces.


Fils... Quelle joie... Mais quelle joie !

Il se recula un instant afin de l'admirer, il avait fière allure, sa carrure imposante le faisait sourire, il était plus grand que lui...
Le Dehuit de Malemort se tourna en direction de Valeryane, il la prit dans ses bras à son tour et lui fit une bise sur la joue.


Tu es ravissante, je ne puis tarder, mais promis, après la cérémonie vous aurez toute mon attention ! Earnan et Alcimane viendront j'espère ?

Argawaen observait son fils une dernière fois, à la fois ému et fier de le voir ici parmi eux. Cela faisait au moins cinq ans qu'ils ne s'étaient pas revus...
L'homme se dirigea jusqu'au parvis, le coeur battant la chamade, il salua les invités présents, puis reconnu sa cousine Elisa, s'approchant et écartant les bras il la prit dans ses bras et lui fit une grosse bise sur le front.


Ma cousine, mercé d'être venue et d'avoir acceptée d'être l'une de mes témoins. Le voyage fut bon ? Pas trop épuisée ? Vous êtes radieuse, comme toujours. Votre fille se porte bien ? Je suis désolé de vous poser tant de questions, mais il me tardait de vous revoir.

Puis voyons qu'elle était accompagnée il s'écarta légèrement et inclina le visage.

Messer, c'est un honneur de vous rencontrer. Navré de monopoliser votre épouse, mais ma cousine est une personne des plus précieuses à qui je tiens énormément.

Soudainement son regard fut interpellé par une enfant qui demandait si quelqu'un avait vu son père, il haussa les sourcils en entendant son nom...
S'excusant auprès de sa cousine et de son époux le Dehuit de Malemort s'approcha de la jeune fille et se mit à sa hauteur...


Tu dis chercher ton père... Tu dis qu'il se nomme Argawaen... Ma fille... Ma Cassandre...

Et ce fut un retour en arrière qui s'effectua dans sa tête, une séparation alors qu'elle était nourrisson, une histoire compliquée, une vie malsaine, et voilà qu'il avait sa fille en face de lui, elle ressemblait tant à Sylvianne... Argawaen, d'une douceur sans précédent attira la jeune fille contre lui, il libéra une légère larme...

Je suis désolé de t'avoir abandonné... De ne pas avoir insisté pour te retrouver... Sauras-tu me pardonner ?...

Le vieil homme la relâcha doucement et il contempla sa fille, il avait revu son fils aîné, maintenant sa fille enlevée, il ne manquait plus que son fils cadet et Alcimane... Cette journée, qui commençait sur les chapeaux de roues, se poursuivait avec beaucoup de joie...
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" L'histoire est bâtie sur de l'ironie, les actes des hommes par des jalousies, mais peu d'entre nous ont utilisés leur coeur pour faire ce qui était vraiment juste. "
--Alistair_
A l'approche de son père le fils aîné des Dehuit serra son vieil ours de père dans les bras aussi fort qu'il le pouvait.
Il avait une sacrée fière allure dans cette tenue, et il reconnaissait bien là le soldat qu'il était. Le jeune Dehuit fit une légère accolade à son père et souriait doucement.


Père, tu es splendide, mais s'il te plait... J'ai ma fierté, cesse donc de m'étouffer de la sorte ! Tu aurais été une femme, je n'aurais pas rechigner à te garder dans les bras mais là...

Le fils prodige riait doucement et se ravisa en le serrant de nouveau contre lui, il était amusé de voir qu'il était devenu plus grand que son père.
Il souriait également de le voir encore proche avec sa mère, décidément ces deux là, ils avaient toujours le don de l'étonner.
Voyant le tableau le jeune Dehuit eut un moment de nostalgie, mais comme son père lui avait appris, ne jamais rien montrer...


Tu nous abandonnes déjà père ? Après tout ce temps ? Je suis déçu... Mais je le comprends... Si tu ne viens pas après la cérémonie, je jure par par Thor de te provoquer en duel !

Plusieurs années en Germanie ne l'avait pas aider, et voilà qu'il se mettait à jurer par un Dieu Païen...
Feuilllle
... Elle a arrêtée sa discrète roulotte, d'apparence paysanne à l'extérieur pour ne point appeler le regard, et extrêmement raffinée à l'intérieur, dans une clairière près de la ville, avec ses lévriers Loup et Louvie, elle reste bien gardée.
Son faucon, celui-là même qu'elle a attrapé lors de la Grande Chasse au faucon organisée par le Vieux Roy Levan l'année passée est près de son pigeon voyageur VolDArbr, attaché à sa patère ; Beuhun et Boeudeux, les tracteurs de son véhicule élégant, broutent paisiblement en compagnie de Biche.
Squallow doit s'approvisionner de quelques fruits secs en forêt, et MessireCrapaudDeLaCave cuver un fond de bière dans un de ses tonnelets rangé sur l'herbe tendre de la sommière...


... Elle descend de son cheval avec élégance, _ les bruits de la ville en sourdine l'abrutissent un peu, comme à chaque fois qu'elle s'est tenue cloitrée dans le silence des forêts, seulement percé de bruits naturels, puis se dirige doucement vers le mur EST de l'enceinte cléricale, un peu éloignée du parvis. Elle y attache Éclipse à un des anneaux fixés solidement dans la pierre.
Elle est en braies, mais sa malle l'attend déjà à l'auberge de la Place : elle en a bien pour un bon moment pour se préparer, mais elle sait que son Intendant, Loyis Du Fossé, à déjà fait préparer l'étuve individuelle dont elle ne se départ point, et que sa houppelande et son hennin d'été seront défroissés et nets à son arrivée.

Elle a encore le temps, car beaucoup de personnes attendent visiblement le début de la cérémonie.

Après les présentations d'usage et conventionnelle elle monte directement dans sa chambrée à l'auberge, afin de revenir habillée décemment et délassée de sa route.

Tout est prêt, et une légère collation se trouve sur une petite console, avec sa carafe emplie d'un liquide ambré qu'elle devine peu alcoolisé et désaltérant.

La vapeur du bain chaud sent le jasmin.
La toile de lin parfumée d'herbes provençales est bien étendue sur un valet, pour le séchage.
Un soleil gai strie le parquet merveilleusement ciré, là où i! n'est point recouvert de tapisseries "mille fleurs". Une coccinelle s'est posée sur le bouquet de Simples dont Lovis du Fossé a eu la délicatesse de faire garnir son Autel portatif, bien avant son arrivée.


C'est en souriant qu'elle se délasse dans l'eau puis qu'elle se vêt consciencieusement, pour enfin descendre à petits pas prudents l'escalier menant sur la Place de l’église. (Prudents, car elle s'est dernièrement déboité la cheville.)
Elle y rejoint les Invités au mariage de Frère Argawaen, de l'Ordre su Saint Sépulcre, où elle est encore Aumônière.

Elle le cherche du regard.
Sybille
Elle ne comptait plus les invités. C'était la deuxième fois qu'elle assistait à un mariage. Cela mettait toujours en joie tout le monde et comment ne pas se réjouir de voir deux personnes inviter leurs amis à faire la fête.

Cependant pour l'instant... Elle attendait de voir les mariés. Elle avait quelques difficultés à imaginer la vindicative s'adoucir pour un homme.

Du regard, elle chercha quelques personnes de sa connaissance. Beaucoup lui était inconnu.
Pattricia
[Les Mûres, des rousses, des brunes et un chevaucheur de poney... ]

Le truc sur sa tête la serre un peu, elle sait qu'elle se focalise sur des détails, mais elle craint toujours une de ces puissantes migraines qui vous attaquent par surprise et vous gâchent toute votre journée "surement pas aujourd'hui, dégage céphalée de mer.... !". Une légère montée de stress peut-être ? Ouais sans doute un peu, c'est que dès l'entrée de Zol, toujours aussi urbaine, elle avait su que l'ambiance allait passé à - 20 degrés Celcius, "elle est tellement meugnone grrr !" Ayant laissé les filles prendre les devant pour accueillir les nouveaux arrivants, la rousse prend une légère inspiration, toute timide de se montrer dans sa tenue, puis lentement, même pas pour faire genre, juste parce qu'elle a un peu les grelots d'un coup, elle avance, sort de la chambre et pénètre dans le salon.

Bonjour ma charmante filleule qui n'a plus qu'à enfiler une robe vite fait avant que je ne l'assomme si elle discute, je suis fort heureuse de te voir.

Alors jamais elle parle comme ça à la vierge, mais là, elle sent qu'elle doit la mâter direct sinon c'est mort. Devant sa mine défaite, Patt s'approche d'elle et la serre dans ces bras.

Nous partons dans cinq minuteq, alors presse-toi.

Mais déjà elle dépasse tout le monde et va pour sauter au coup de son Doudou d'Amour quand elle s'arrête net, un peu intimidée de se présenter en robe devant lui et toute coiffée.

Enfin tu es là ! Câlin ?

Ce qui s'en suit est un truc de Poney Rose Trucmachinchosiste, mais sans l'alcool pour une fois, car la rousse craint déjà la chaleur dans sa robe conçue au départ pour le printemps et non un été caniculaire, et boire risquait de lui tourner la tête, voire pire...

Les retrouvailles de chacune des personnes présentes terminées, la mal embouchée de filleule prête, tout le monde sort dans l'arrière cour pour retrouver les deux coches prévus pour le trajet. La répartition se fait évidemment à la militaire, la rousse ne pouvant se permettre d'arriver en retard à son propre mariage.


Mélie, Zeline, Zol et Mariette, vous montez dans le premier coche, Doudou, Mari et moi prendrons le deuxième, c'est que j'ai besoin d'une banquette à moi toute seule, à cause de la traîne...

Une fois tout le monde installé, commentaires en tous genres compris, la môme au loup regarde celui qui la conduirait à l'autel et une de ses témoins en souriant.

Nous avons attendu ce moment si longtemps, parfois même au bord de la rupture, toutes ces guerres et ces séparations nous rendant à moitié dingues, que j'ai du mal à réaliser que c'est le grand jour...
Voilà comment cela va se passer, Argawaen et les invités vont entrer s'installer dans l'église. Mari, tu rejoindras Ricco à l'intérieur, car vous êtes tous les deux mes témoins, les garçons porteront chacun un écrin, Cantor ma bague et Floris l'anneau de mariage de l'ours. Lucie et Zeline tiendront ma traîne jusqu'à l'autel que je rejoindrai au bras de Doudou. A sa charge de me confier à mon futur mari devant l'Archidiaconesse qui attendra pour la célébration.

Si d'autres personnes traînent à attendre, Souffre et Aarhon, les hommes de confiance de notre famille recomposée, se chargeront de faire entrer tout ce petit monde, personne ne doit me voir avant que je n'ai mis le pied dans l'église.


Devant leurs têtes, la vindicative a un sourire un peu crispé.

Désolée on dirait un général avant la bataille...
C'est que j'ai eu tellement de mal à planquer ma tenue devant la curiosité de chacun que j'aimerais bien garder la surprise jusqu'au bout. En plus il fait chaud, au mieux c'est organisé, au plus vite on sera à la fraîche dans l'église...


Et de sourire à nouveau pour avoir l'air d'être zen, ce qu'elle n'était plus du tout désormais...
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RP fofo2 en cours avant le décès de la reine donc pas de deuil.
Anne.so
“All you need is love
All you need is love, love.
Love is all you need.”*



Une chambre qui ressemblait plus à un atelier de Tisserand qu’à un endroit pour dormir ou s’ébattre, voilà à quoi ressemblait celle des blonds à Moinous. Anne Sophie pourtant déjà habillé d’une robe qu’elle avait fait faire en urgence, cherchait une ceinture, que dis-je « La ceinture ». La coquette ne pouvant se permettre de porter une toilette déjà mise pour ce genre de cérémonie. Elle avait donc asticoté son tailleur depuis la réception de l’invitation et avec patience, dextérité et surtout rapidité, elle avait réussi à obtenir de lui, ce qu’elle souhaitait. Un petit regard dans le miroir, la robe de soie ivoire tombait merveilleusement bien, seulement deux pans de tissus recouvraient le haut de son buste, dévoilant ainsi la douce rondeur de ses épaules et la naissance d’un décolleté. Elle était légèrement plus courte devant révélant ses fines chevilles et des escarpins en peau également ivoire. L’ensemble était harmonieux, vaporeux et suffisamment léger pour cette chaude journée d’été.

Mais pour l’heure il lui manquait, la ceinture qui devait ceindre le dessous de son buste, pour apporter « La touche » et ne pas la faire ressembler à une vestale. Mais par le Sans Nom, ou elle était passée, les coffres se vidaient, au fur et à mesure, cherchant celle en satin bleu azur. L’objet de sa quête était orné de motifs brodés en fil d’argent dessinant des arabesques se voulant florales, et en chaque cœur se trouvait une pierreries, des simples bouts de verre polies de couleur verte, assortie à la parure d’Emeraudes qu’elle avait fait venir du Château d’Evrecy, appartement à sa mère.
Elle sursauta en entendant Søren, entrer dans la chambre, tandis qu’elle apercevait enfin sous un tas de carré de dentelles, l’objet tant désiré. L’avantage du Danois c’est qu’il n’était pas regardant sur le rangement et pour l’heure semblait d’humeur un brin maussade. Et tandis qu’elle se parait de la ceinture, se redressant et le regardant, elle leva les yeux au ciel en entendant ses propos, tout en souriant amusée.


Oui Seurn, cela ferait Pique assiette de ne venir qu’au moment du banquet et puis Patt est une amie, non ? Je doute qu’elle soit heureuse de nous voir arriver, en ayant loupé son échange de vœux qui l’unira à son Ours.

Elle ne put s’empêcher de sourire, « rivaliser de toilette ». Oui, et bien c’était le jeu, si toutes sortaient les belles robes c’était bien pour ce genre de cérémonie, et puis elle en était le parfait exemple. Tandis qu’elle se regardait dans un miroir, remontant un mèche rebelle qui était déjà sortie de son chignon. Ses cheveux blond comme les blés mûrs, tirés ainsi en arrière faisant ressortir ses yeux pers encore plus surement, surtout avec le léger hale qu’avait pris sa peau.
Elle se détourna vers lui et s’avança, passant ses doigts délicats dans sa blonde chevelure, pour ensuite les laisser enlever un grain de poussière imaginaire sur sa chemise.


Tu es parfait ainsi ! Et oui il y aura certainement tout un tas de personnes que nous ne connaîtrons pas, et moi encore moins que toi. Et en parlant de toilette, la mienne te va ?

A peine ses mots finies qu’elle le vit mette un genou à terre et de prendre un ton cérémonieux, en lui prenant la main. Abasourdie un court instant mais quand elle comprit sa requête, elle laissa perler un rire cristallin, pour ensuite se pencher vers lui et prendre son visage entre ses mains.

Oui Seurn, je le veux !! Et je te rappelle que le premier qui osera un jour demandé l’autre en mariage, nous savons ce que cela voudra dire. Qu’il ne souhaite plus vivre avec lui. Donc oui j’accepte de ne jamais t’épouser, pour rester à tes côtés le plus longtemps possible…
Dis-moi ? Nous devrions peut être nous hâter si nous ne voulons pas arriver que pour le banquet, même si j’imagine que cela te ravirait.



http://www.youtube.com/watch?v=CLEtGRUrtJo
All You Need Is Love

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Jessienigma, incarné par Pattricia
[Curiosis Aenigmate, pas en avance]

*Les jumeaux avaient choisi le pire jour pour être impossibles et insupportables. Nathanaël avait tiré les cheveux de Karine, qui lui avait rendu en le griffant et c'était parti en grand n'importe quoi plutôt qu'en bataille rangée. Les deux diablotins avaient décidé de rendre la jeune maman complètement tarée. ils avaient même réussi à balancer de la confiture sur la robe qu'elle comptait mettre.*

Bon maintenant ça suffit vous deux ! Vous allez vous calmer ou on va arriver très en retard au mariage de Patt et elle ne sera pas contente du tout ! Alors maintenant, vous restez sages ! Je vous habille et vous le laissez me préparer !

*Grommelant sur la journée mal commencée, elle essaya de rattraper les taches sur la robe mais c'était évidemment peine perdue. Soupirant, elle se résigna à devoir sortir une magnifique robe qu'elle avait décidé de ne jamais mettre, bien qu'elle lui ai été offerte de bon coeur. Elle serra les dents en repensant à sa défunte amie mais passa au-delà.*

Albanne... si tu savais comme tu me sauves la vie aujourd'hui ...

*Elle n'avait pas tout à fait fini de se préparer qu'elle vit Edouardo arriver depuis la fenêtre de l'étage.*

Entre Edouardo, je descends les enfants, le temps d'achever de me préparer !


A vot' aise mam'zelle Enigma. Chuis pas pressé moi ! Et vot' carrosse est avancé.

*Elle descendit les deux monstres en roulée dans un drap et laissa les jumeaux au vieux bucheron.*

Tu me sauves une fois encore ! J'en ai pour une dizaine de minutes ! Fais attention, ils sont remontés aujourd'hui.

*Elle remonta quatre à quatre et acheva de se coiffer et se préparer avant d'enfiler sa robe et de descendre les escaliers pour enfin se rendre à l'église.

Les enfants s’arrêtèrent de se batailler lorsqu'elle descendit en la regardant et même Edouardo avait le sourire aux lèvres.*


Z'êtes ravissante mam'zelle Enigma. J'vous accompagne là-bas et j'viendrai rechercher les ptiots pas trop tard.


[Arrivée à l'Eglise]

*Edouardo avait conduit la jeune maman et ses deux enfants en charrette jusque l'église et Enigma en était descendue la première avant de sortir les enfants. pour se diriger vers l'église. Il semblait y avoir déjà énormément de monde.*

Rotule.baccard
"tu me fait tourner la tête, mon manège à moi c'est toi"
Charles Dumont


Ralalala Putain de bestiaux ! Voilà que le Baccard devait jouer la nourrice à bêtes bêtes comme bailli, et cela commençait sérieusement à lui sortir par les yeux au point qu’il les aurait bien fait nourrir a grand coups de fourches plus qu’à grands coups de sacs de blé et de maïs par les fermiers de son Duché …. Alors pour sur quand sa duchesse de fiancée dont il était éperdument amoureux lui demanda de l’accompagner au mariage de l’un des cousins que composait la grande famille des Malemort, c’est certain que là l’Impatient ne demanda pas son reste et que c’est avec enthousiasme qu’il accepta pour profiter intimement le temps d’un cours séjour, de son aimée et de la petite Emelyne qui grandissait aussi vite que le ventre d’Elisa grossissait.

Alors ce matin-là pas besoin d’être balloter en tous sens pour que le duc de Clermont en Viennois, libère son bras protecteur enlacer à sa douce pour se lever de leur confortable couche, et prendre son bain pour passer les vêts pour le voyage entre le Lyonnais Dauphiné et le lieu où serait célébrer le mariage d’un ours.

La belle Malemort, sa promise fiancée, était tant coquette qu’elle avait souhaitée à ce que Rotule soit comme la petite princesse, assortie dans leurs teintes de vêts… Et lui qui durant longtemps fut nommé l’Affreux pour son caractère sanguin, craquait comme un gamin à voir ainsi c'elle qui faisait qu’il était homme comblé et heureux,d' être aussi précieuse. Par ailleurs il n’y avait pas de miracle, seul Elisa savait tempérer le Baccard et faire qu’il était plus calme, aussi doux qu' un agneau avec elle, qui pour le coup avait accepté pas moins que cinq grands coffres de voyage soient du voyage… Ya pas à dire ! quand il faut il faut nanmého !

D’ailleur l’agneau aux armes familiales de tête de loups arraché, avait appris que s’était au mariage d’un Ours dans les terres périgourdine qui faisaient qu’Emelyne, Elisa, et Rotule se rendaient et que pour le jours J de la cérémonie tout trois seraient vêtu d’un vert tendre… Hé bien ainsi soit-il de toute façon lui était tellement heureux de pouvoir se retrouver tout trois… Enfin non ! tous trois et demi en famille vue le ventre D'Elisa, qu’il aurait même accepté de porter une chemise rose brodée de fil d’or.

Entre les moments complices partagés le temps du trajet, le temps passer a rire avec sa petite de cœur, le Baccard lors de moment plus calme, sa main poser sur le ventre rebondi et la petite puce maintenu contre son tors, se laissait aller, abandonant son esprit vagabonder au grès de ses pensées parfois saugrenu, parfois enjoué sur ce que serait le jour de leur futur mariage, ou une lune et un loup viendrait à tout jamais s’unir l’un à l’autre devant le très haut.



[En Périgord jour j]

La nuit fut douce, et emprunte de tendresse, le calme actuel contraste tellement avec les jours passés qu’il voudrait que le temps s’arrête, et pouvoir rester la tête nicher au creux sensuel du cou de la Malemort à respirer l’effluve parfumé de sa délicate peau.

Mais que nenni, l’heure est au préparatif, et rien n’est laissé au hasard, chaque détaille compte, c’est qu’il s’agit de faire honneur aux futurs mariés.

L’inspection faite d’Emelyne et de Rotule finit, le couple reprend la voiture allégé des malles laissé a l’appartement de l’auberge louer pour l’occasion.
A cette instant le Baccard, à l’âme légère, voudrait dire à son aimée… « Allez viens, j't'emmène au vent, je t'emmène au-dessus des gens, et je voudrais que tu te rappelles, notre amour est éternel et pas artificiel » Oui lulu comme le nomme la petite Emelyne du haut de ses un an et demi, bien qu’il est heureux de rencontrer un nouveau membre de la famille de son aimée, à cet instant, préfèrerait encore bénéficier d’un peu de temps d’être en intimité avec celles qui font battre la chamade a son cœur.

Mais pas le temps pour l’Impatient de continuer a se perdre dans les songes son regard captiver par l’échancrure du décolleté bordés de perles, frémissant intérieurement aux caresses virevoltantes des mèches d’ébènes de son amour contre son visage, que la voiture fait grincer les fers pour ralentir jusqu’a se figer devant l’édifice religieux.


Allez mon tendre, allons y avant que nous ne finissions par être en retard.
Oui mon Eden…

La portière s’ouvre, le marchepied se déploie, Rotule aussi du coup, et sorti de la voiture tend son avant-bras invitant mère et fille à le rejoindre au sol.

Le Baccard replace son épée de cérémonie à son sénestre et tend à nouveau son bras, que sa tendre enlace, pour petit à petit, au rythme des pas d’Emelyne avec sa main tendrement enlacer à celle de sa mère, s’avancent rejoindre ceux qui ce jours seront sous peu unis par les liens sacrées du mariage.
Marie....
Tu dis chercher ton père... Tu dis qu'il se nomme Argawaen... Ma fille... Ma Cassandre...

La jeune Marie regarda Argawean dans les yeux ...


-Pa ...Papa ? Est ce bien vous ?

Marie le regarda dans sa tenue de mariage et du haut de ses six ne put que le voir comme quelqu'un de puissant et d imoortant



Je suis desolé de t'avoir abandonné... De ne pas avoir insisté pour te retrouver... Sauras-tu me pardonner ?...

-Oh mais père vous etes pardonné depuis que j ai l age de comprendre mon histoire la foi me fait pardonner voyez vous ! Comment s appelle la mariée donc ma .. Belle mere ?

Marie l appelait père mais elle appelait quelqu'un d autre père aussi mais elle le garda au fond d elle
Valet de marie, incarné par Marie....
Le valet de la petite marie s affairait partout pour repondre a ses souhaits ! Mais il n était pas malheureux de servir une charmante damoiselle !Aller chercher ceci cela , acheter la perruque , le maquillage aller la chercher la robe fin prete , Ranger les braies de mademoiselle , aller faure graver l epee et il en oubliait des tonnes ! Donc le gentil et patient valet avec un bon saliare permettant de se faire plaisir eh bien s est fait plaisir avec cette tenue ! [url] http://www.bing.com/images/search?q=tenue+valet+&qs=n&form=QBIR&pq=tenue+valet+&sc=0-0&sp=-1&sk=#view=detail&id=2F6C0F5B9082716E35DA1E6D0D8A2C2208468450&selectedIndex=37[/url]
Et puis apres tout il pouvait se faire plaisir alors il le fesait ! Il patientati avec sa cithare jouant un air gai devant l eglise en attendant que marie ai fini de discutayer avec papa
Maxine..
[La veille sur les routes]

Le coeur léger, l'âme en fête, La Blonde accompagne son fiancé au mariage de son Amie, sans même râler de devoir encore faire route à cheval. Ce mois et demi de ban lui avait un peu émoussé le plaisir de monter son Bel Alezan blanc. Crin-blanc ne semblait pas s'en offenser et conduisait docilement sa cavalière à sa destination.
La Blonde fut tout de même soulagée de gagner sa chambre à l'auberge périgourdine afin de se reposer et prendre un bain aux aurores. Sa robe, savamment emballée par Nortimer, était aussi fraîche et prête à être portée que lors de sa sortie des mains de la lingère.

[Le Jour J, Sarlat]

Après un bain parfumé aux fleurs de violette, elle avait enfilé sa robe et s'était coiffée sans trop de complexité. Quelques boucles, quelques épingles...et la voilà prête juste quand on vient la prévenir que son fiancé la fait mander.

Dernier regard dans la psyché pour s'assurer de sa mise et elle descend au rez de chaussé. Dés les premières marches son regard accroche la silhouette tant aimée et l'admire. Il est si beau en grande tenue...il a beau l'avoir séduite en simple mise, elle le trouvait magnifique dans ces habits qui en plus faisaient ressortir sa Noblesse naturelle.
La Baronne rougit au compliment de son fiancé ensorcelé.

"Et vous Vous êtes Divin Mon Adoré!"

Elle le suit à l'extérieur, il l'aide à monter sur le dos de Crin-blanc.

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Consort
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Erwelyn
Elle était viendue. Pile poil à l'heure, mais elle était là. Il faut dire que la route Maine-Périgord n'était pas des plus courtes, mais heureusement le temps avait passé relativement vite vu la personne qui l'avait accompagnée. Évidemment, les deux roses avaient pris le temps de s'arrêter dans une auberge la veille au soir afin que de se rafraîchir et d'enfiler LA tenue obligégatoire de mariage, rose bien sûr. Enfin en tout cas pour Maine, c'était la couleur qu'elle arborerait ce jour là.
Jour d'ailleurs auquel elle ne s'attendait pas du tout et c'est avec surprise que la duchesse avait reçu l'invitation de l'ours quelque temps auparavant. Se marier, quelle idée ! Dire qu'elle avait presque réussi à faire dissoudre son mariage, que ce n'était plus qu'une question de jours, voilà que l'ours, lui, retombait dans les filets des épousailles. Enfin, s'il était heureux, c'était le principal. Et puis, chaque mariage ne finissait pas en eau de boudin, c'est ce qu'il fallait se dire.

Alors que le coche faisait route vers l'église de Sarlat, Lynette se remémorait les moments vécus dans cette ville. Pour elle, ce comté était avant tout celui des poneys roses. Poneys roses qui étaient aujourd'hui disséminés un peu partout et avec une Sainte Boulasse qui avait rendu l'âme. Le temps des poneys était révolu et ça, ça lui collait le moral dans les chausses. Ou plutôt dans les poulaines. Soupirant, elle porta son regard vers Rosa.


Bon sang, ce bourg me colle le bourdon ! Même pas une statue à l’effigie des poneys roses, vous vous rendez compte Rosa ? Heureusement, maintenant que mon magnifique fils est Roy, j'espère qu'il va remédier ça. Je pensais à une statue de poney par ville, vous croyez que ça va faire assez ? Ville du Royaume j'entends hein, pas que du Périgord !

Cahin-caha, la duchesse attendait réponse de Rosa, alors même que le coche ralentissait en vue de l'église où un paquet de monde s’agglutinait déjà sur le parvis.

Mais bon, je suis tout de même contente d'être là, un mariage ça se fête ! Et puis je lui souhaite d'être heureux, au grognon, il le mérite le bougre.

Elle eut alors un sourire malicieux ainsi qu'un clin d’œil en direction de sa vis-à-vis.

Et puis, s'il savait la surprise que je lui réserve, il n'en reviendrait pas !
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