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[RP] Corleone vs Corleone

Elwenn
Ô Gabriele.
Ô Eliza.


Eliza, ma princesse.
Non, elle n'avait pas le droit de l'appeler ainsi.
Pourtant c'était seulement une preuve d'affection mais la petite brune avait méchamment affirmé qu'elle ne voulait plus entendre la rousse la surnommer de la sorte.
Elle n'était pas sa mère lui avait elle dit à plusieurs reprises, ce n'était pas l'intention de la roussette qui portant pourtant la vie en elle avait du mal à se voir en tant que mère.
Elle s'en tiendrait à Eliza donc.
Bien que l'envie de l'effacer de sa mémoire lui avait frôlé l'esprit la raison ne lui permettait pas.
Gosse du brun ...
Elwenn était tranchante dans ses choix, on l'aimait ou pas, elle aimait ou elle détestait mais elle ne connaissait pas d'autres alternatives.
Mais elle avait du apprendre à faire avec, supporter, un entre deux.
Et durant un certain temps il en avait été ainsi, la Colombe en tampon, toujours assassinant sa frangine, la rouquine toujours en riant.
Et derrière ses froides façades se cachaient pourtant ce que l'on ne pouvait imaginer, de l'amour.
Un, deux, trois et quatre, Elwenn avait vu les gosses parsemés de sa moitié au grés de son vent rappliquer.
Arsène.
Eliza.
Agnesina.
Gabriele ...

Trois filles oui, a se demander si son apollon savait faire des mâles jusqu'à lui.
Gabriele.
Enfin un garçon.
La Corleone n'avait pas manqué de râler en apprenant la nouvelle.
De faire la gueule, de pourrir un peu plus la vie d'Amalio qui n'en avait très certainement pas besoin, Rodrielle malade occupant tout son temps.
Elwenn était insupportable naturellement mais depuis qu'elle était enceinte cela frôlait l'inimaginable.
Mais c'était sans compter sur cette rencontre.
Gabriele vs Elwenn.
Enfermés dans une même cage ils se seraient sûrement entretués jusqu'à ce qu'il ne reste plus que des os rongés jusqu'à la moelle.
Non, là avait été une taverne.
Lui et sa grande bouche.
Lui et ses airs supérieurs.
Comme ci elle prenait les gens de haut depuis qu'elle portait un Corleone sang pour sang.
Fallait il encore la connaitre avant de dire quoi que ce soit.
Il était en somme son reflet.
Non elle ne lâcherait pas le morceau comme elle avait pu le faire avec Eliza, bien trop jeune.
Non elle ne le laisserait pas dire de sôtises sans tentait de rectifier la vérité.

Et même si la rouquine avait mal pris l'annonce de bâtards.
Et même si à sa grande surprise , il en arrivait encore et encore.
Elle n'avait rien contre eux, jamais, elle aimait plus que tout Arsene, sa douce Colombe.
Elle aimait bizarrement Eliza sa princesse qui l'avait rejeté.
Elle aimait par dessus tout Amalio et ne pouvait lui en vouloir d'avoir vécu et profité avant elle.
Mais il ne lui était pas facile de prendre de pleine face son passé sulfureux en pleine poire lorsque l'un de ses rejetons rappliqué.
Elle était à lui, il était à elle.
Dans l'esprit de la rousse ils ne formaient qu'un et Gabriele mettait à mal cette utopie.

Elle ne méprisait en aucun les enfants du brun parce qu'elle était enceinte.
Savait il seulement qu'Arsene, sa demi soeur, quelques temps plus tôt était sensée l'avorter?!
Il parlait sans savoir et chacune de ses paroles lui transperçait le cœur.
Était ce seulement parce qu'elle était avec leur père ou parce qu'au final elle n'avait pas la carrure d'être une Corleone et que la progéniture de sa moitié la ferait tomber?
Gabriele effritait la bulle de la rousse avec ses paroles.

_________________
Eliza
"Ôde à l'amour"

La brunette n'avait jamais supportée cette rousse que son père s'était choisi.
Elle ne pouvait l'encaisser dans ses manières et ses allures.
Surtout quand elle essayait d'être maternelle avec elle, la brune ne supportait pas cette manie là oui, un petit "Ma Princesse" avait tué sauvagement le peu d'affection qu'elle avait pour la rousse.

Puis il y avait eu son père, ce père qui ne savait comment agir avec elle et qui n'avait pas la patience nécessaire à l'éducation d'une jeune fille.
Ce père qui, lorsqu'il perdait patience n'hésitait pas à la gifler, laissant la petite en général s'enfuir pour digérer ça.
Mais ce soir là c'en avait été trop.
La petite en avait eu marre de ce cercle vicieux ou à chaque action qu'elle faisait elle se retrouvait punie par la main du Père.
Cet homme, Edouard, l'intriguait, elle voulait apprendre à le connaître, ce que refusait catégoriquement son père pour des histoire obscures.
La petite n'avait pas peur, elle ressemblait encore trop à une enfant malgré son sang qui était venu, la faisant femme.

Ce soir là elle était restée muette toute la soirée avant de relever la tête pour dire à son frère :


-" Gab", tu vas être content, ta catin va pouvoir monter sur tes genoux, je pars."

Oui, elle part. Elwenn était montée au créneau, pour la dissuader avec tous les arguments possibles et imaginables.
Mais la brunette était claire, son idée elle y avait réfléchi toute la soirée, elle partirait dès que le plan de son père serait exécuté concernant la politique.

Puis elle rentrerait chez elle, son champ, sa petite maisonnette à Lectoure, et elle pourrait le revoir librement cet homme qui l'intrigue, peut-être même qu'elle pourrait le suivre.

Elle partira, parole de Corleone.

_________________
Gabriele.
Je déteste les femmes, sûrement autant que je les aime, c‘est dire. Je déteste ces sœurs qui n’en font qu’à leur tête, qui me prennent pour un idiot juste parce que je suis un homme, foutue supériorité féminine dès lors qu’elles sont en groupe. Je déteste cette femme qui se pense supérieure parce que mon père l’a mise en cloque et qui méprise les autres enfants de celui-ci sous prétexte qu’ils seront moins bien que le sien. Un Corleone est un Corleone, peu importe le pourcentage de ce sang en lui.
Mais ça, elle veut pas le comprendre. Pas plus qu’elle ne veut voir le bâtard que je suis, le seul masculin (du moins pour l’instant), comme un allié plutôt qu’un ennemi.
Dès la première fois où je l’ai rencontré, elle m’a méprisé. Elle m’a regardé de haut comme si je n’étais pas un vrai Corleone, comme si je n’étais pas le fils de mon père juste parce que je venais d’arriver. Pourtant à ma ressemblance flagrante avec son compagnon, personne ne pouvait se permettre de nier le lien entre nous.
Mais cette Elwenn, cette Corleone, elle ne me veut pas dans sa vie, et elle s’affaire à me le faire comprendre à chaque nouvelle rencontre.

J’ai décidé de ne plus me laisser faire. Par égard pour mon père, je n’avais rien dis la première fois, je l’avais laissé se montrer « grande », me parler comme on parle à un gamin que je ne suis plus depuis longtemps. Ce temps là est révolu maintenant, il est hors de question que je m’amuse à nouveau à m’écraser devant un bout de femme bien plus menue que moi, Corleone ou pas. J’ai ma place dans cette famille, et je compte bien le prouver, que ça plaise ou non. J’emmerde cordialement ceux qui crient le contraire.
La rousse, là, je lui ai dis carrément « Tes humeurs de femme enceinte, tu les gardes pour mon père. », c’était quand même pas ma faute si elle est en cloque, non ? Une autre sorella, même si j’espère secrètement que ce soit un petit gars, pour lui apprendre comment faire plaisir à une femme. Je suis doué dans ce domaine. Et puis, on ne sera pas trop de deux bonhommes face à toute cette horde de gonzesses de mauvais poil même quand elles n'ont pas leurs menstrues. Déjà qu’il faut être au moins deux pour espérer pouvoir faire fermer sa gueule à la sœur rouquine…

Voilà qu’elle s’énervait. Putainnnnn, les gonzesses sont vraiment bonnes qu’à gémir entre mes mains, pour tout le reste, je préfère ne pas être là. Elles avaient le don de me faire chier rien qu’en l’ouvrant, et elles l’ouvraient. Beaucoup. Beaucoup trop.
Elle comprend rien. Pourtant je parle de mon ton habituellement calme, toujours supérieur bien entendu. Je ne suis pas le fils de mon père pour rien. Elle croit que je l’insulte, que je me fous de sa gueule, que je ne la crois pas à la hauteur. Au contraire, je voulais lui montrer combien mon père l’aime, combien ça ne change rien qu’il y ait un, deux ou dix bâtards, mais elle a pris ça comme une insulte presque.
Même Catherina s’y met en m’engueulant.
Eliza n’aime pas la compagne du Père, moi je m’en fous complétement de tout ça, ça ne me regarde pas et je le sais. Elle porte un Corleone, et fait donc parti de la famille, de toute façon c‘est une Corleone. Mais à force de vouloir expliquer et de me retrouver face à un mur de mépris, je me suis lassé, et je me suis tiré.

Je me suis retrouvé dans l’établissement à côté. Un coup de poing dans le mur, une chaise qui vole. Je n’exprime jamais mes émotions, je me force à garder cet air neutre et arrogant en toutes circonstances, pourtant cette fois je me laisse aller.
Cette famille me rend fou. Je comprends ce que doit endurer le paternel maintenant.
Catherina me rejoint rapidement, en colère alors que toute cette histoire ne la concerne en rien. Une remarque de ma part et un « Fermez là vous » qui fuse, suivit immédiatement de ma main qui vient s’écraser sur sa joue avec violence. On ne parle pas de cette façon à Gabriele Corleone, et elle le comprend vite, s’agenouillant pour éponger le sang qui suinte de ma main après le coup que j’ai donné dans le mur.
J’aurais pu me calmer, mais ça c’était avant que la gosse ne me rejoigne et m’annonce son départ du Clan, son départ de la famille. Qu’est-ce qu’elle m’agace quand elle se comporte comme une gamine ! Mais je n’ai rien le temps de dire, elle est déjà repartie.

Non, vraiment, les gonzesses ne comprennent rien.

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Ocatherine
"Quitte à partir, autant le faire avec lui, même si..."
de Catherine

Catherine avait décidé de fuir, une lettre envoyée à son amie de toujours Aude Elisa, sa colombe, sa frêle, sa douce. Une lettre laissée pour sa mère aussi et la voila partie pour le Berry. Pourquoi le Berry? Peu être à cause du nombre de souvenirs qu'elle à la bas, en tout les cas, telle était sa destination principale. Rendue mauvaise par le manque de sommeil, de plus en plus folle à mesure que les jours avançaient, elle aurait surement pu retomber dans les bras du Sidjeno. Oui, elle aurait pu si elle n'avait pas fait la rencontre d'un étrange Italien.

Au détour d'une taverne, puis près d'un lac ou les sens de la Belle se sont éveillés pour laisser place à Catherina, cet autre " Moi" comme elle le dit si facilement. Au contact de cette famille étrange les Corleone, la Flamboyante à laissé de côté tous ses préceptes. Plus de douceur, plus de parcimonie, elle à même accepté de brigander avec eux. Que ne ferait-on pas pour un homme lorsque l'on à que 17ans?


La Rouquine c’était même remise à tenir un journal, peu être que quelqu’un pourra le lire un jour, qui sait. Elle n' était plus la même, le savait très bien Catherina prenait de plus en plus de la place et la Candide n'avait plus la force de la repousser. Le Mal attirant le Mal, les deux amants s'amusant avec leurs vices et supplices. Égal des dieux, le fruit de leur amour charnel était de mise chaque jours. Et dans tout ça la Frêle se perdait. Elle ne savait plus ou donner de la tête, lorsqu'elle tentait de faire comprendre à cet Italien qu'il préférait Catherina, cette " Autre" , il niait en bloc et la séduisait un peu plus. Tant et si bien que les sentiments de la Catherine se sont embrouillés. N'envisageant plus son avenir sans cet homme elle à accepté nombres de choses. Lui céder son corps, lui donner sa main pour l'armer et combattre à ses côtés. Manipulée, envoutée par cet Adonis à la verbe efficace. Jolie Pantine qu'il manipule avec soin, oui pas de doute la Catherine de Trévière n'est plus qu'une amoureuse transie et dévouée à souhait.

Ce soir la, elle s'en souviendra toujours, c'est le soir ou il à levé la main sur elle. La sœur de celui-ci Eliza n'a jamais aimé Catherine, ce qui semble logique puisqu'elle à fait la rencontre fortuite avec Catherina la Sombre, ça n'aide pas avouons le. Des querelles de famille, ça parle de bâtard, de fuite, ça crie, ça hurle ça cogne. Tant et si bien que le sublime Italien s'enfuit telle une biche effarouchée et fila dans la taverne attenante. La, on se dit que la logique eu été que la Sublime le laisse se calmer, oui mais ça c'est en omettant un détail primordial, c'est une FEMME. Et les femmes, font tout ce qu'elles veulent sisi.


Une fois rejoints dans cette taverne, le ton est monté et la il l'a giflé. Ça aurait dut choquer n'importe qui mais pas elle. Tant de douleurs passé, les coups, les cris, le sang ont toujours fait partie intégrante de la vie de la Rousse. A défaut de hurler, le quitter , faire un scandale Berrichon comme lui à appris à le faire la Duchesse d' Ambroise. Catherine c'est agenouillée sur le sol, aux pieds de son Amant, Ami, Amour, et la soigné, oui oui vous ne rêvez pas. Elle c’est faites frappé et n'a rien trouvé de mieux à faire que le rassurer et le soigner, n'est pas Catherine qui veux.

La gamine est revenue, elle voulait annoncer à son frère qu'elle partait, seule sur les routes. Exaspérée la Belle ne prononça pas un mot, se contentant de continuer à s'occuper de sa Bête. Il lui rendit alors la pareil, proposition licencieuse, tentative de débauchage en pleine taverne. Réconciliation sur l'oreiller, à l’étage et sur un petit bout de papier, dans un journal posé sur une table de chevet, une petite phrase écrite à la va vite sous un portrait de l' Italien. Message offert aux yeux de tous...

Citation:
" Bref je me tape Gabriele Corleone!"


Bien entendu signé non pas d'un petit Catherine en de belles écritures rondes et bien faites. Non, le nom est tranché, vif, sec, il est signé Catherina.
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**Merci mon Loup*Un rp , un mp !
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