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[RP] Saint-Aignan ? 1515 ?

Elwenn
Vous avez demandé une rousse? En voilà une.
Vous avez demandé une donzelle qui en avait plein les jambes? Z'avez pioché le bon numéro.
Vous avez demandé une rousse, enceinte qui est fatiguée et Qui a mal aux jambes au point de finir par poser son cul n'importe où, quitte à ce que ce soit un siège de maire? Verreux en plus ? Pourri jusqu'à la moelle à s'en mettre plein les fouilles par dessus tout ? Vous avez La personne qui répond à tout ces critères sous vos yeux!

Bingo! Jackpot! Tirez sur la manette, attendez que les trois symboles identiques s'affichent et ... Tadam!
Vous avez perdu.
You're a looser!
Pas un rond qui tombe, quel dommage, vous avez juste gagné le droit de rejouer.
Oui, quand on joue face aux Corleone et touuut leurs amis on finit forcement perdant, cherchez pas.
Et la mairie qu'ils avaient décidé de se faire allait subir le même sort que toutes les autres, vidée.
Quitte a finir avec un procès débile sans preuve à l'appui au derche autant y aller à fond.
Non ils ne laisseraient même pas un jeton dans la machine, on a la gniak ou pas hein.

C'est donc le dict soir de la prise que la rouquine avait suivi le mouvement, qui était parti d'une simple proposition de son Appolon, qui même si très occupé par ses fonctions au sein du clan, on passera les détails, sont trop longs à énumérer, avait réussi a trouver que la ville était fade, le temps long et l'ennui bien plus pesant ainsi avait été soulevé la possibilité de s'amuser tout en réveillant les morts du village.
Piller SA.
Elle était en arrière des troupes la rousse et pourtant pour la seule et sûrement unique fois, elle allait finir en premier plan.
Dague affutée en cas qu'un pleutre se relèverait après le passage des siens, elle avait atteint la mairie dont la porte avait été défoncée.
Les gardes neutralisés, tour à tour chacun s'y était engouffré, pour la plupart et Elwenn dans l'un de ses mauvais jours avait râlé, ce qui n'avait pas vraiment changé de d'habitude sauf que là son ventre qui s'arrondissait doucement appuyait ses dires.
Elle était crevée à cette heure si matinale, elle qui ces derniers temps dormait comme un loire d'accoutumé.
Ainsi la Corleone dans la bâtisse municipale avait eu le privilège de poser son séant dans le fauteuil du maire.

Et étrangement par on ne sait quel moyen, sûrement un pecno du coin ne comprenant rien à rien, quelques heures plus tard avait cloué une pancarte où était inscrit une belle connerie.


Citation:
Révolte à Saint-Aignan ! Elwenn prend le pouvoir


Il y avait une grosse erreur.
Jamais il n'y aurait du y avoir inscrit Elwenn, - le plouc en question était il tombé sous le charme de sa rousseur?- , mais Les Corleone sont au pouvoir.
Ah qu'il devait être simplet celui là ...
Toujours est il que la roussette ne perdit pas le Nord pour autant, non elle contempla les coffres emplis d'écus et tout le matériel poussiéreux entreposé voyant là soit une utilité soit un revenu supplémentaire.
Ils resteraient le temps nécessaire a extraire tout ce qui était entre ces quatre murs mais ne laisseraient rien derrière eux.
Sans pitié, aucune!

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Arsene
    « J'vais tous les crever. » Arsène Corleone.

    La gamine suivait d'un pas serein et résigné sa famille. Elle était prête à en découdre, prête à trouer la peau à qui s'interpose entre elle et les richesses et prête à piller allègrement. Cette fois-ci, elle ne passerait pas la moitié du combat, cachée derrière un colosse à attendre qu'il dégrossisse le travail. Non, cette nuit, elle mettrait sa pierre à l'édifice Corleonien !

    Elle voulait du sang, de la chique et du mollard !

    La dague est dégainée, dans un chuintement de métal, elle s'avance et lorsque l'assaut est donné, elle se jette dans le tas, avec la ferme intention d'en ressortir vivante et riche. Surtout riche en fait.
    Arsène se retrouve rapidement confrontée à un adversaire qu'elle ne prend même pas le temps détailler. Elle n'est pas là pour faire des rencontres, après tout. Vous pourriez rencontrer l'homme de votre vie dans cette mêlée sauf s'il se fait tuer avant.

    Elle ne prend pas le temps de réfléchir non plus, et plante son arme machinalement dans le ventre de la personne qui fait face. Un air sadique se peint sur son visage tandis qu'elle prend un malin plaisir à tourner la lame dans la blessure. Elle aime remuer le couteau dans la plaie et dans tout les sens du terme. Le sang couvre la garde de sa dague, se glisse insidieusement jusqu'à sa main, narguant ses narines de son odeur. L'homme est repoussé d'un coup sec d'épaule et elle se tourne, un rictus planté sur les lèvres, une lueur dangereuse au fond des yeux, à gauche.

    Next, poussez pas, il y en aura pour tout le monde !

    Les pupilles vertes parcourent rapidement les assaillants et les défenseurs. Elle repère son père, ses sœurs, son frère. La mioche s'attarde sur lui et heureusement. Un soldat profitant de la non-expérience de Gabriele en matière de combat armé, s'approche, dardant de son épée le dos de celui-ci. Les yeux se plissent, elle évite d'un geste souple un coup et parcourt rapidement la distance qui la sépare de son frangin.

    En moins de temps qu'il faut pour le dire, Arsène s'était interposée. Elle avait glissé souplement entre la rapière dressée et la silhouette du jeune Italien. Enfin c'était ce qu'elle croyait. Une vive douleur se fit ressentir, tandis que les mains de la Corleone se portent contre son ventre. Elle n'était pas passée entre non, ou tout du moins, pas sans y laisser un bout de peau au passage.

    Les sens se troublent, l'odeur écœurante du sang monte jusqu'à ces narines, elle titube un instant avant de tomber sur les fesses, au sol. Elle ne se soucie plus de rien la mioche, juste du sang qui s'écoule de sa blessure.

    Elle a mal.
    Elle a envie de chouiner.
    Elle a envie d’appeler sa mère, ou même son père.
    Elle a envie de pleurer... d'ailleurs elle pleure, un peu.

    La garçonne ne voulait pas mourir. Pas ici et pas maintenant, sur un quelconque parvis de mairie, dans une ville anonyme. Non, elle voulait une mort qui en emmerde plus d'un ! Elle désirait en embarquer plusieurs avec elle, histoire de ne pas finir seule en Enfer. Elle souhaitait une mort grandiose, et elle l'aurait !



    Aujourd'hui, en voulant sauver la peau de mon frère et alors que je m’apprêtais à piller allègrement une mairie, je me suis fait percée le bide. Vie De Merde.

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