[RP]Mariage de Héloïse du Val d'Haine et Elias de Cheroy

Elle perçut le regard noir que Gaïlen lui lança. Et se méprenant complètement sur sa cause, lui adressa son sourire le plus ingénu.

Elle avait naturellement conclu que le jeune homme était agacé d'être séparé de sa cavalière. En même temps, il pouvait pas deviner qu'elle avait quitté le dernier mariage auquel elle était invitée à dos de chameau.

Enfin là, sa belle-mère allait parler, elle avait intérêt à garder le silence.
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Assistant à la cérémonie en compagnie de son amour, mais aussi de sa fifille chérie, et oui elle était là aussi.
Mais en cette instant il eu une petite pensé pour son adorable amour, se remémorant son propre mariage.... Mariage qu'il ne regrettait en aucune façon, et puis, bientôt il y aurai un heureuse évènement de prévu... évènement qu'il attendant avec impatience.

Mais pour le quart d'heure, il avait un crédo à récité! manquait plus qu'il soit excommunier comme sa mère...

Il récita donc en chœur avec son épouse...

Je crois en Dieu, le Très Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen
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Fredy suivait la cérémonie de prêt et récita aussi son crédo


Je crois en Dieu, le Très Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen
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Fiancée de Artaban ,gouverneur et médaillé de Lotharingie

Coincé a l'avant loin de la place qu'il avait choisi Gaïlen récita le crédo. Quelques secondes de spiritualité pour lui permettre de se détendre et d'oublier la complexité d'adolescent proclamé homme sous la pression de titres prestigieux.
Il regardait son amie Héloïse, la jeune femme semblait stressée mais heureuse d'avoir trouvé époux. Pourtant, la chose semblait si complexe pour l'Arduilet. Amour et raisons étaient deux paramètres qu'il maitrisait bien mal.

Un chuchotement le ramena à la réalité. Ses voisines en parfaites filles, échangeaient des considérations vestimentaires. Dans son dos, il sentait le regard lourd de Cassandre qui devait le maudire de l'avoir abandonnée aux seules mains, certes agréables, mais inconnues de Léanore. la cérémonie allait être longue mais trouverait-il un moyen de s'en sortir une fois la fin venue ?
Pour l'instant, il se concentra sur le spirituel allant même dans sa grande foi à jeter un regard noir à sa malotrue voisine qui se permettait de chuchoter pendant la messe.
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Ceci est un jeu. . MP moi si je vous oublie.

Elle aperçut sa belle fille non loin d'eux, juste au moment où elle voulut lui faire signe de les rejoindre, après tout elle était autant de la famille que son époux et elle n'avait pas à rester à l'écart qu'elle aperçut un jeune freluquet la rejoindre.

Haussant un sourcil de mécontentement, quelle idée de s'afficher en public avec un jeune homme !!! elle observa le couple, notant la main d'alix sur le bras mais son amie faisait son entrée dans le lieu saint, il sera temps, plus tard d'en parler avec sa belle fille.

Son regard revint vers le couple qui allait unir leur vie dans les minutes suivantes, un sourire en pensant à son propre mariage célébré quelques mois avant, il lui semblait que cela n' était plus qu'un doux souvenir.

A l'invitation de l'officiant elle récita le credo

Je crois en Dieu, le Très Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen

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Non loin de Florianne, Isabella recita le crédo

Je crois en Dieu, le Très Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen

Cette fois la cérémonie débutait et c'est une ravissante mariée qui fit son apparition dans la cathédrale

Elle était éblouissante dans sa robe qui mettait en valeur sa silhouette et ne faisait qu'amplifier sa beauté naturelle, lentement elle remontait l'allée centrale au bras d'un homme qui devait être suffisament proche que pour remettre sa destinée entre les mains de son futur époux

Julie n'avait pas encore eu l'occasion de rencontrer le marié mais son nom seul suffisait à imposer le respect ... de Cheroy ... illustre famille reconnue dans tout le Royaume où elle vivait désormais

A la demande de la diaconnesse elle récita le crédo en communion avec l'assemblée priant pour le bonheur des époux
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Albine lui répondit la première avec la spontanéité et la décontraction qui étaient siennes. Il retint difficilement les éclats de rire qui menacaient de sortir de sa bouche en ce lieu saint devant le "oups" de la flaichère. Mais la Montestier enchaîna avec une verve qu'il ne lui connaissait pas.

Oh, il n'y à guère de surprise. J'ai fréquenté le collège ou j'ai rencontré damoiselle Albine mais ou Héloïse était, sans doutes, ma meilleure amie pour ne pas dire compagne de galère.

A la question suivante, il n'eut le temps de répondre :

Non je suis avec ...

Vous conaissez peut-être Gaïlen et ses grandes phrases inachevées devant les femmes.
Mais la cérémonie commençait et il fût obligé de prendre place aux cotés d'Alix pour ne pas se faire remarquer. depuis Notre-Dame et le mariage de Nébisa, il était terrorisé à l'idée de se faire remarquer en telle événement. Il lança un regard dépité à Cassandre et Léanore. Autant avait il confiance en l'ainée pour comprendre sa manoeuvre désespérée, autant il craignait les foudres de la blonde et son caractère parfois un peux trop franc et Luciesque à son goût.
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Ceci est un jeu. . MP moi si je vous oublie.

Fredy fit un grand sourire à Riese et à Grenwarrior qui étaient arrivés depuis peu d'Uzès et avaient eut la gentillesse d'accompagner son frère et celui de Cassy ,Anton1er, jusqu'à Ponta , puis fit un clin d'oeil à sa grande amie Kiri .

Du monde arrivait qu'elle ne connaissait pas

Puis vint le tour des futurs mariés qui étaient tout simplement splendides ,Héloise resplendissait ,elle était contente pour son amie et ferai connaissance de son mari un peu plus tard quand la cérémonie serait finie . Julie n'étais pas loin non plus .

Que de monde! se dit elle .
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Fiancée de Artaban ,gouverneur et médaillé de Lotharingie

Hadrian, entouré de quelques membres de la famille Chéroy au premier rang, assista à l'arrivé de son frère Elias et à la fabuleuse entrée dans la cathédrale de la future Chéroy, Héloïse qui était, bien évidement, accompagné d'une douce mélodie d'ambiance émise par l'orgue. Lorsque cette dernière avait à peine posé le pied sur les premières pierres de la cathédrale, tous les invités se levèrent pour faire ce que l'on appelle une haie d'honneur à la future mariée. Le petit blond admira d'abord la robe de la marié qui était très belle, comme la tenue de Elias, et il se leva ensuite comme tout le monde. Il passa sa main sur sa tenu pour ôter les quelques misérables plis qui avait pris forme sur la tenue qu'il portait avec fierté.



Lorsque la mariée fut arrivé à l'autel, qu'elle eu rejoint son compagnon et la personne qui officier le mariage, une femme, sans doute clerc... Il fallait avouer que Hadrian n'était pas très bon dans ce domaine, la religions. Il ne connaissait que les bases et un peu plus étant un bon croyant. Le dernier Chéroy eu le temps de croiser le regard de Elias et lui fit un sourire en signe de félicitation d'une part, malgré qu'il allait lui en refaire des félicitations, et d'autre part en signe d'encouragement, il parait qu'il en faut du courage pour se marier.

Voilà, la machine était lancé, le long discourt religieux des mariages allait commencer pour unir ces deux êtres pour le meilleur et pour le pire. Ou, certains disent, pour limité leurs libertés, à eux d'en juger ! Hadrian écouta sagement la dame parler, attendant secrètement le dernier et le plus important moment d'un mariage.
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La blondinette suit Alix... Au premier rang ! Point le temps de résister. Hop les voilà installées. Ceci étant c'était la place idéale pour ne rien rater.

Albine suit du regard les indications d'Alix.

non, je ne connais quasiment personne icelieu... Elle perçoit la gêne de son amie sans en comprendre la provenance.
Elle hésite un instant sur la conduite à tenir : poser des questions ou la laisser en paix ? Aucune réponse avant l'arrivée de Gailen.

La jeune fille se lève et sourit

oh quelle joie de te revoir ! Plein de trésors oui ! Elle rit, puis plaque ses mains sur sa bouche. Rhooo au sein d'une église... Rougissante, elle s'excuse.

Héloïse fait son entrée. Des murmures montent dans l'édifice.

vite assieds-toi ou cours t'installer, nous discuterons plus tard...

Tout le monde se lève, tous les regards convergent vers elle. Le temps passe trop vite, elles n'étaient au collège qu'hier ou presque...
La jeune fille regarde son amie passer, souriante. Un instant, elle part dans ses rêveries. Qu'allait être son propre avenir ? Ses parents accepteraient-ils ses désirs ?
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Le sourire s’accentua à la réponse de Gailen. Si la Blondinette voulait jouer son ado tortueuse, elle lui dirait qu’il n’avait qu’à dire que s’il avait perdu c’était la faute de sa mère. Mais son instinct de survie lui fit plutôt garder le silence lorsqu’elle croisa le regard amoureux qu’il lui lança. Les hommes et leur égo… que devrait-elle dire alors qu’elle est née femme et qu’elle savait que bien souvent on les résumait à des rôles bien ingrats. D’ailleurs, le Comte le lui rappela très vite en la plantant pour aller rejoindre deux donzelles. Le nez se tortilla sous la contrariété.

La pauvre Leanore se retrouvait nounou d’une Cassandre qu’elle ne connaissait pas. Elle lui adressa un sourire avant de reporter ses émeraudes sur le trio un bref instant. Une fois dans la voiture au retour du mariage, elle lui fera vite sentir sa contrariété. C’est ça quand on a eu une mère qui a souvent choisi de faire le contraire de ce qu’on attendait d’elle, on prend vite le pli. Et la bienséance dans tout ça ? La jeunesse est bien faite pour la balayer quand ça nous arrange non ?

Les paris sur qui va donner la fessée à qui sont donc ouverts.
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Comme à chaque fois la rencontre avec Léanore était agréable. Cette dame rencontrée par le plus grand et le plus douloureux des hasards semblait amenée à devenir une vraie amie du lionceau. Si elle avait été un peu plus jeune il aurait même osé penser à une amitié plus intime, un peu comme Lucie en fait.
Un frisson le parcourut lorsqu'il croisa le regard de Cassandre. Se retrouver face à la fie quand son esprit d'ado lubrique fantasmait sur la mère le ramena vite sur terre.

Mais non, ma chère Léanore, je ne vous en veux pas. Certes tomber en lice à son premier duel et contre une jeune dame quelques peux dérangé mon égo.

Regard à Cassandre du genre : " N'en rajoute pas si tu ne veux pas une fessée"

Mais, elle est somme toutes logique et méritée au vu de ma prétention à m'aligner en lice alors que je savais à peine tenir une lance.

Mais la blondinette ne sut s'empêcher, et même si elle n'osa relever le sujet de son égo, elle se sentit obligée de prendre le parti de Léanore. Avec habilité il préféra user également de stratégie plutôt que de tomber dans le piège.

Les femmes sont, effectivement, de redoutables adversaires, c'est pourquoi j'avais demandé à votre mère de me conseiller et que je vais aller rejoindre damoiselle Erwelyn au Mans pour suivre son enseignement.

Les invitant à prendre place, il scruta une nouvelle fois l'assistance et apperçut la jeune Alix en compagnie d'Albine.

Veuillez m'excuser, je vous laisse un instant faire connaissance entre filles, j'ai des gens à saluer.

Rustre et manquant de la plus élémentaire des courtoisies, derrière ses apparentes bonnes manières le comte de Meymac ? C'est bien possible. Ces deux là en savaient quelque chose, quid des deux suivantes ? Ne se préoccupant pas de la cérémonie qui allait commencer avec l'entrée des futurs époux,il se leva et se dirigea vers les deux jeunes femmes.

Damoiselles, c'est grande joie de vous croiser ici. Ce magnifique édifice est rempli de trésors insoupçonnés.
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Ceci est un jeu. . MP moi si je vous oublie.

Distraite par l'arrivée de sa famille, elle en avait oublié de répondre à Albine que qui ne tentait rien, n'avait rien. Tant pis c'était trop tard maintenant.

Ils s'installaient aux premiers rangs, et Alix hésita à les rejoindre. Elle n'était rien pour la mariée après tout, et son père et sa belle-mère ne semblaient pas l'avoir remarqué. Elle essaya d'attirer discrètement leur attention pour les saluer, restant auprès d'Albine.
Voici mon père et ma belle-mère qui arrive. Vous les connaissez peut-être déjà?

Au passage, elle remarqua l'arrivée de Julie, qu'elle salua en la voyant passer.

Et de Gaïlen. Au bras d'une jeune demoiselle. Elle en conclu aussitôt qu'il avait finalement trouvé une fiancée. Et elle eu beau se convaincre que cela était prévisible et la laissait indifférente, elle ne pouvait s'empêcher d'éprouver une pointe de vexation mêlée de jalousie à cette vue. Essayant de faire bonne figure, elle préféra faire semblant de ne l'avoir pas remarqué.
S'il venait la voir, elle feindrait la surprise, et sinon, cela lui éviterait certainement une délicate explication.
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S’il savait le Brun. La Blondinette était un vrai moulin à paroles. Sauf pour les choses top secrètes bien sûr. Le Comte rejoignit la femme que Cassandre lui avait désignée. Visiblement, tous les deux se connaissaient depuis quelques temps déjà et la Blonde ne put que sourire lorsqu’il fit les présentations. Elle quitta le bras de Gailen et inclina légèrement le buste.

Le Bon jour Dame de Sennely, je suis ravie de vous rencontrer.

Elle lui adressa un sourire amical avant de poursuivre.

Je ne doute pas qu’au fil des ans il deviendra un jouteur redoutable. Toutefois, par solidarité féminine, j'espère que vous lui donnerez pendant encore longtemps du fil à retordre.

Sourire complice, avant de prendre un air innocent.
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Les réponses de Cassandre l'amusaient bien plus qu'elles ne le choquaient. la petite avait du chien et ce n'était pour lui déplaire. Comment aurait-il pu en être autrement venant de la fille de Lucie. Ce caractère, ce répondant, bien loin des gamines trop prétentieuses qu'il avait pu croiser au collège ou des filles trop timides qu'on lui présentait aujourd'hui faisaient qu'il appréciait la jeune blonde et qu'il la rangeait dans une catégorie d'amies habituellement bien plus âgées qu'elle. Par ses paroles, elle lui rappela qu'il connaissait bien mal sa nouvelle employée et plus généralement sa mère.

Il faudra que vous me parliez de votre famille. J'aime la généalogie et votre mère est, comment dire, plutôt taiseuse lorsqu'il faut parler de ce qui la touche de près ou de loin.

Il espérait que la blonde serait plus bavarde que la brune.Mais déjà ils étaient dans la nef. Il sourit à sa remarque sur le belle vue mais préféra la suivre quand elle lui indiqua une place. Il reconnut Léanore et lui fit un sourire amical en s’avançant vers elle. Tout en avançant il profitait d'être debout pour scruter les environs à la recherche d'autres têtes connues.

Cassandre, laissez moi vous présenter la dame de Sennely, Léanore , premier medecin Royal et redoutable jouteuse qui m'a appris le goût du sable de la lice.
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Ceci est un jeu. . MP moi si je vous oublie.

Un sourire naissait parfois sur son visage alors que Gailen tournait la tête. Elle avait senti son regard la dévisager et malgré elle, la Blondinette était satisfaite du trouble qu’elle provoquait chez lui. C’est que le pari d’être convenable était gagné. Et puis elle découvrait les sensations que provoquait un regard masculin tourné vers soi, vous percevant autrement que comme une petite fille. Le pouvoir féminin, proche du Sans Nom, diraient certains.

Je ne me souviens que de celui de mon oncle et bien évidemment celui de ma mère avec son Chevalier, il y a quelques années. Les cérémonies étaient intimes mais je trouve qu’on en ressent que mieux l’intensité du moment. Toutefois si l’occasion était de voir des noces princières, je crois que je ne louperais plus l’occasion d’y participer, par curiosité. On doit en prendre plein les mirettes.

Cassandre sourit en entendant parler d’une des Reynes de France. Et de lui répondre sur un ton confessionnal, amusée et complice.

Il semblerait que votre famille ait toujours un coup d’avance sur la mienne. Votre tante a été Reyne de France, tandis que ma cousine a épousé l’ancien Dauphin de France. Enfin sans vouloir vous paraître cavalière en comparant un bref instant nos deux familles.

Ou comment rappeler à "Mrj'aimeleprestige" qu’il ne va pas trainer à ces noces qu’avec la gueuse du coin. C’est sûr que d’habitude, il avait à son bras au moins une femme avec une prestance et une élégance qu’elle était loin d’égaler. Et on ne parlera même pas de l’expérience et de la réputation. Mais Cassandre dans son anonymat ne se défendait pas trop mal. Le bon sens lui faisait taire le fait que l’époux de la dite marraine était également plus ou moins de sa famille par alliance ou par adoption, fut une époque. C’était une partie de l’histoire familiale sur laquelle sa mère ne s’épanchait pas trop et qui restait donc très flou pour Cassandre. Parfois, la Blonde avait l’impression que Lucie avait honte de connaitre si bien la Haute Noblesse. Et ce détail du pourquoi du comment lui échappait totalement, trouvant presque cette attitude aberrante.

Elle remercia le Brun lorsqu’il l’aida à descendre de voiture. Elle était soulagée de ne pas s’être prise les pieds dans sa robe. Etre féminine c’est bien, c’est beau mais qu’est-ce que ce n’était pas pratique. Et avant qu’elle ne le voie venir, elle fut embarquée par le bras par le comte. On reste clame, on respire et on rit doucement à la réflexion du dernier rang. Parce qu'avec ce geste, c'est lui qui la trouble, et qui rend ses joues rosées.

Vous savez, c’est de là qu’on voit le mieux l’ensemble de ce qui nous entoure.

Petite tentative de le rassurer avant d’entrer dans la Chapelle bondée. Les émeraudes cherchaient une place, et rapidement, Cassandre s’aperçut qu’une dame brune et fortement élégante les fixaient un sourire aux lèvres. Petit salut de la tête avant de murmurer à Gailen, tout en faisant un petit signe de tête vers Léanore.

Regardez votre Grandeur, il y a de la place là-bas, vers cette Dame. Qu’en pensez-vous ?

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Et toi alors, ce nouveau départ?
Enfin... peut être en parlerons nous après la cérémonie...

A ces quelques mots Julie rougit légèrement ravie néanmoins de pouvoir échapper à répondre de suite, les mariés n'allaient plus tarder et du coup Jenah ne pouvait s'attarder à bavarder davantage

Nouveau départ qui jusque là ne lui avait apporté que satisfaction comme une renaissance mais la diaconesse comprendrait-elle si elle lui parlait de cet homme divorcé qui faisait battre son cœur et plus encore ? que penserait-elle de sa nouvelle vie et de cette aversion pour le mariage ?

Secouant ses boucles ébènes la jeune femme s'installait en tentant de fixer son attention sur autre chose, çà et là les gens prenaient place certains visages connus, croisés au hasard des routes où d'autres festivités voilà qui était mieux ... tenter de se concentrer et retrouver les noms des invités
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Riese fut surprise mais ravie de le voir venir se mettre avec elles pour la cérémonie. Elle sourit à son petit commentaire, il avait l'air un peu tête en l'air. Elle sourit à sa sollicitude et lui répondit.

Il fut différent de ce que j'imaginai mais le retour comme l'aller se sont passés sans aucun soucis ou mauvaise rencontre. Mon frère était de la partie donc j'étais rassurée.
Merci à vous de vous en inquiétez.
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...

Tout en remontant, l'Ours de Crosey apperçu Riese et Kiri. Une place était libre à leur côté. Il décida de s'y rendre. Se glissant entre les personnes déjà installée, il parvint non sans mal à la place, il faut dire qu'il avait décidé de remettre son uniforme de l'Ordre et que celui-ci n'était pas toujours aisé. Il regrettait un peu ses habit orientaux. Tout en s'installant il glissa:

J'espère que je ne suis pas arrivé en retard, j'ai failli me tromper de date.

Regardant Christine.

Pas trop difficile la sortie de chez les moines.

Puis se tournant vers Riese.

Le voyage de retour vers la Franche-Comté s'est-il bien passé?
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Riese qui était assisse à côté de Kiri, vit les invités les uns après les autres venir et faire de même. Fredy et les autres étaient tous ensemble. Puis une personne d'une large carrure fit son entrée. Étrangement, elle ne pensait pas le voir ici. Mais Diraak était bien présent en ce jour de fête pour Héloise.

Elle lui fit un signe de la main et lui sourit. Elle apprécié beaucoup le frère de son amie. Mais il était clair qu'il était souvent partie avec l'Ordre. Elle avait beaucoup aimé discuté avec lui. Espérons que cela se reproduira un jour.
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Les invités entraient et Jenah découvrit Julie, elle lui offrit un large sourire avant de donner réponse.
Bonjour à toi ma belle, et bien, quel plaisir de te revoir, cela fait si longtemps maintenant. Ma foi nous allons bien, Sarrasin et moi nous sommes remis de notre voyage chaotique et les enfants étaient bien heureux de nous retrouver, nous également d'ailleurs, c'est dur d'être éloignés. Et toi alors, ce nouveau départ?

Enfin... peut être en parlerons nous après la cérémonie...

Fredyanne vint les rejoindre, Bonjour, Sarrasin, Théo et Célia sont en bonne forme, dit-elle avec un doux sourire, et pour vous, les nouvelles sont bonnes? Il y a en effet bien du monde aujourd'hui, je doute même que tous soient déjà arrivés.

Tous entraient petit à petit, vint après le futur époux, revêtu d'un ensemble bleu clair du plus bel effet et surtout bien entouré. Celui-ci irait se placer devant l'autel pour y attendre celle qui entrerait dernière, celle qui faisait l'événement en ce précieux jour. La clerc, commença donc elle aussi à regagner l'autel.
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Avisant du regard une place tranquille la jeune femme entendit une voix douce et familière, son regard se posa alors sur Fredy

"Fredy ! quelle joie de te revoir ma belle je vais très bien et toi ? tu es resplendissante en tout les cas" elle lui sourit sincèrement ravie de la revoir

Tandis que les proches des mariés entraient Julie admira Flory rayonnante au bras de son époux et lui fit un petit clin d'oeil amical lorsqu'elle capta son sourire, elle aurait tout loisir de lui parler après la cérémonie cela faisait si longtemps qu'elles ne s'étaient pas vues

Fredy avait raison il était temps venu de s'installer afin de faire honneur aux jeune mariés à leur entrée aussi Julie la suivit saluant çà et là quelques personnes qu'elle avait déjà croisés lors de précédents mariages
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Et voila c'était parti .Bras dessus, bras dessous direction la cathédrale .La rue était tranquille, ils avançaient doucement la maison d'Aristote s’élevant devant eux.
Mais kali pensait et oui je vous l'ai déjà dit ça bouillonne chez elle.
Oh certes elle faisait un peu la moue s'efforçant de sourire .Car on fait pas la gueule au mariage de son fils .
Mais quand même, elle l'avait en travers de la gorge qu'il n'est rien dit.

Soudain Elias se penche à son oreille


Vous savez...si je ne vous ais rien dis au début c'était pour mieux vous connaitre ma mère, si vous voulez mon avis il aurait été bien inutile, vous êtes belle par nature, votre caractère vous donne un charme immense, ce caractère militaire et cette beauté si féminine, vous n'avez rien perdu de votre beauté avec les années, je suis honoré que ce soit vous qui ayez remplacé ma mère, Adela... Car à mes yeux vous êtes la seule à pouvoir prétendre être ma mère l'ayant connu...quand à votre coté vivant ma mère, c’est celui là que j'aime le plus chez vous, vous êtes merveilleusement vêtu ma mère...oui, mais plus que cela, votre personnalité, c’est elle qui est la plus belle, et en éclaireur de votre armée comme en tant que votre beau fils, c’est un honneur que vous m'accompagnez à l'église pour me marier, je vous en suis infiniment reconnaissant.

Tout en l’écoutant, au fil des mots son cœur se serre, bat la chamade .Les émotions affluent dans tous les sens, brouillant sa vue, jusqu’a ne pas pouvoir retenir la larme qui coule sur sa joue.
Kali était une femme fière masquant en permanence ses faiblesses et pourtant elle en avait .Que de sure qu'elle pouvait embrocher un homme sans que cela ne lui fasse le moindre effet .Que le sang afflue non pas ou bien des trippes à l'air sur un champ de bataille .Habituée à commander, elle se devait d'être maitresse femme.

Mais la ! Quand celui qu'elle avait adopté, fils de sa meilleure amie, lui ai dit tout cela.
Ben plus rien n'existait que celui d'une mère qui n'avait qu'une envie celle de le serrer fort dans ses bras .Lui dire qu'elle était fière de lui ,qu'elle l'aimait comme sa chair .

Mais pour rester fidèle à elle même et ne pas s'effondrer .Elle se contenta de serrez son avant bras et de lui dire tout au creux de l'oreille

Merci mon fils .Vos paroles m'ont ému .Je suis fière de vous avoir pour fils et de vous mener à l'autel pour votre mariage.

Les voila maintenant qui pénètrent dans la cathédrale .Elle salue ceux qui attende.
Prise tout d'abord par l’obscurité, elle avance dans la nef, découvrant la splendeur de l’endroit et dépose Elias devant l’autel.
Lui dépose un baiser sur la joue.
Puis vient prendre place avec la famille,
Un bonjour à Flory , Maximien, Morganenn

Hadrian étant déjà la .Tout naturellement, elle s'approcha de lui.
Elle l'embrassa avec tendresse.

Bonjour mon fils, voila ton frère est prêt .Tout à l'heure il sera marié.
Dis moi tu es bien beau dans ce costumes, encore quelques années et ce sera ton tour
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Ah ! enfin ! des heures et des heures que le comte poireautait dans le salon. Bas oui, il parait qu'il n'avait pas le droit d'entrée dans le salon ou l'on revétissait son épouse, et sa vassal, aussi appeler la mariée, mais bon, ce n'était qu'un détail...

Enfin voila, ça y était, ces dames était fin prête.
Glissant sa main dans celle de son amour, il l'accompagna dans la cathédrale...
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Le jeune orléannais sourit,il avait eu un stratagème sur sa mère qui avait bel et bien fonctionné,elle s'était énervé et c'est cela que le jeune homme voulait voir,sa mère avait une beauté spéciale et le jeune homme profita que sa belle mère soit à son bras pour lui murmurer à l'oreille ce qu'il pensait réellement,son suzerain à ses cotés la cathédrale à quelques centaines de mètres,heureusement la foule n'était pas encore là,seul eux trois étaient dans la ruelle le jeune orléannais en profita,c'était la première fois que le beau fils et la mère se rencontraient en privé.



Vous savez...si je ne vous ais rien dis au début c'était pour mieux vous connaitre ma mère,si vous voulez mon avis il aurait été bien inutile,vous êtes belle par nature,votre caractère vous donne un charme immense,ce caractère militaire et cette beauté si féminine,vous n'avez rien perdu de votre beauté avec les années,je suis honoré que ce soit vous qui ayez remplacé ma mère,Adela... Car à mes yeux vous êtes la seule à pouvoir prétendre être ma mère l'ayant connu...quand à votre coté vivant ma mère,c'est celui là que j'aime le plus chez vous,vous êtes merveilleusement vêtu ma mère...oui,mais plus que cela,votre personnalité,c'est elle qui est la plus belle,et en éclaireur de votre armée comme en tant que votre beau fils,c'est un honneur que vous m'accompagnez à l'église pour me marier,je vous en suis infiniment reconnaissant.

Le jeune homme avait enfin dit à sa belle mère tout ce qu'il avait sur le cœur en tendresse pour elle,il se doutait que ce n'était pas facile pour elle de deviner ses ressentiments,sa meilleure amie avait eu un fils dont elle était morte en couche,est ce qu'elle pouvait être cette mère de substitut? Ce n'était pas facile pour elle...elle avait eu 2 autres enfants depuis,ils étaient de sa chair,de son sang,contrairement à lui qui n'était que le fils héritier,mais elias avait développé une idée,les liens n'étaient vrais ou faux non pas par le sang mais par les actes et la personnalité,sa belle mère était magnifique,elle était ravissante,tant par son amour pour la vie que son courage à la tête des troupes royales,ça n'avait pas été facile pour elias de reconnaître qu'elle était sa mère au début dans son enfance,mais avec les années il avait mûrit,et aujourd'hui cette dame avoisinant la quarantaine tenait réellement pour lui. Et il ne se plaignait pas de lui avoir exposé tout ce qu'il avait sur le cœur envers elle,non ce ne serait peut être jamais aussi fort que ses véritables enfants,mais ça pourrait toujours être un réel lien filial,entre un fils et sa mère.
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Elias Juliani Fauville Cheroy, Seigneur d'Avanne-Aveney.

[3 juillet toujours dans la matinée, départ la cathédrale]

CLOCHES

Les voila l’un en face de l’autre lui bouche bée s’étant relevé et elle attendant qu’un compliment sorte de la bouche de son fils.
Vous voyez le genre" mère vous êtes tres belle ou cette robe vous va à ravir, l’harmonie des couleurs est parfaite avec votre teint et vos cheveux ou bien alors Waouh vous êtes méconnaissable" .Mais non rien, rien de rien ... juste un gamin ben oui l’ai pas vieux Helias qui la regarde sans piper mot.

La Cheroy commençait à se demander ce qui le tétanisait .Non !! Il n’était pas entrain d’avoir la trouille ou de se demandait comment il allait faire pour honorer son épouse le soir venu.
En tout cas heureusement qu’il ne lui avait pas posé la question, car la rouquine aurait bien été dans l’impasse pour expliquer la chose.

Heureusement que le suzerain mit fin à cette attente


Excusez-moi de vous déranger, mais je pense qu'il est l'heure de se rendre à la cathédrale. Ne faisons pas attendre les invités ...

Reprenant ses esprits et démarrant comme à son habitude au quart de tour. Un volte face et ……

Heu !! Heu !! ….Effectivement Leonin .Vous permettez que je vous appelle ainsi ?

Ah oui j’allais oublier, La Cheroy et le protocole cela fait deux .Aussi bien souvent elle allait à l’essentiel sans tambour ,ni trompette .En gros sans tout le bla ,bla que veut la noblesse . Courbettes et ronds de jambe que nenni
Mais revenons à nos moutons .

Helias ! Helias ! Allez mon fils .Il est temps de se mettre en route

Prenez mon bras que je vous mène à l’autel. . Nous devons arriver avant la mariée
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La comète était a peine sortie du couvant qu'elle jeta un oeil dans ses missives qui débordait de la boite, il fallait avouer que sa retraite devait normalement durer quelques jours et ses quelques jours c'était transformer en quelques semaines...Des invitations ...Des nouvelles des un et des autres puis les annonces de mariage.

Durant quelques secondes elle eu l'impression d'être partie des années mais non enfin en général les missives était bonne donc que demander de plus!

Quelques jours avant la date du mariage de la jeune Val d'Haine Clarysse demanda à ce qu'on prépare ses affaires puis un carrosse pour qu'elle puisse faire la route tranquillement.

Jour de la cérémonie

La comète ce prépara de bon matin pour être à l'heure vue qu'elle avait une sainte horreur d'être en retard après quelques hurlements pour la coiffure étape que la jeune Von Dumb n'aimait toujours pas la robe était parfaite la coiffure aussi il ne restait plus cas partir pour la cathédrale ni une ni deux et hop partie sous bonne garde.

Sursautant, et voulant par réflexe se jeter sur l'épée offerte par sa mère posé sur son lit, Héloïse fronça les sourcils en voyant Green rentrer ainsi.

- Parrain ! Vous avez défoncer la porte de ma chambre !

Soupirant la jeune femme se dit qu'il n'y avait pas mieux pour finir de tuer son pauvre père que de lui annoncer une porte à payer.

Souriant à Floriane et Hellina elle déclara.

- Bien il n'y a plus qu'à aller chercher papa pour filer à la Cathédrale.

Filant dans la chambre d'à côté, elle alla voir son père, vérifiant sa tenue, elle l'aida à se lever malgré qu'elle soit en tenu de mariage.

Puis elle fila avec Green, Hellina et son père en direction de la Cathédrale tandis que Floriane filait rejoindre son époux.

[Le 3 Juillet 1461, dans le coche en direction de Aix-la-chapelle en compagnie de son père, son parrain et Hellina sa confidente]

Se tournant vers Green, elle se dit que lui il lui dirait tiens...

- Green, cher parrain, vous qui savez tout. Vous pouvez m'expliquer ce qui va m'arriver ce soir ?
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Elina s'en sortait mieux qu'elle dans ses explications, Flo espérait que cela suffirait à Héloise car vraiment elle était à court d'arguments.

Un regard à la robe de la future

Heloise, l'heure approche, tu es vraiment magnifique, les Cheroy auront une perle de plus au sein de la famille, attends que mon cher cousin te voit, il ne pourra que tomber éperdument amoureux de toi.

Son ton se voulait rassurant, non qu'elle s’inquiétait pour Heloise mais plus pour son cousin qu'elle adorait, leur union promettait de ne point être un "long fleuve tranquille" tous les jours en se souvenant de l’accueil qu'helo avait réservé à Elias lors de son arrivé à Dole.

Une bise sur la joue de son amie.

Nous nous retrouverons à la cathedrale.

Il était l'heure pour elle d'aller se préparer tandis que la porte s'ouvrait en force, regard surpris à la vue de Greenwarrior, elle avait oublié que c'était lui qui emmenait son amie, en riant elle se sauva, ce mariage risquait de devenir ma foi, fort intéressant .
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sur le aprvis

Rassures-toi, je n'ai pas l'intention de te laisser non plus. Pour ma part, j'étais au collège Saint Louis avec Héloïse.

Puis elle rit.

Tu te doutes bien qu'Hélène m'a fait la même proposition, mais pour le moment j'ai déjà bien trop d'occupations, je ne le peux malheureusement. Mais rien de définitif rassures-toi, je débarquerai tôt ou tard...

La très jolie rouquine apparait sur le parvis, immédiatement en grande discussion avec un jeune inconnu. Albine lui fait un petit signe de la main, elles se retrouveraient bien à un moment donné, paillant comme à leur habitude.
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[ 3 juillet dans la matinée ]

L’homme dénommé Leonin se recula faisait place à un Elias beau comme un pape.
La Cheroy le regarda, il portait les couleurs Orléanaise , et il avait des traits de sa mère .

Elias n’était plus l’enfant mais un homme et voila que soudain elle se met à penser à Hadrian .Lui aussi allait grandir .Lui aussi allait se marier.
Du coup voila qu’elle se pose la question de où sont ses enfants .Hadrian et Garance étaient ils venus ensemble ? Garance surement toujours accompagnée du petit monstre qu’était le prince Godrick_de_varenne et Felix ou donc était Felix ?
Voila, voila elle n’avait pas pris en compte ses enfants trop occupée à sa tenue à emmener ce fils à l’autel.
Pour quoi dans la tête à Kali tout défile si vite et qu’en un quart de tour son esprit reprend sa place pour continuer ce pourquoi elle était la.

Comment me trouvez-vous?

La question était restait en suspend, tout autant que sa bouche ouverte devant l’homme.

Et bien mon fils, je n’irai pas par quatre chemins.

Petit sourire moqueur et yeux pétillants

Vous êtes beau !! Allons approchez que je vous embrasse.
Notre Heloise sera surement aussi tout en beauté.
Et pour moi pas le moindre compliment.

Effectue une petite ronde, laissant sa robe la suivre



Cela me change de mes tenues habituelles …

J’espère mon fils que je vous fais honneur
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[ Sur le parvis de la cathédrale ]

La jeune tête blonde était en train d'observer, d'admirer, la cathédrale tant pour sa grandeur , que pour sa subtilités, ou encore pour ses immenses fenêtres, ou bien son fabuleux clocher ! Enfin, nul besoin d'être un Chéroy pour comprendre que cette cathédrale était des plus remarquable et symbolique, simplement par le fait que, à ce que l'on raconte, certains empereurs ont été couronnés ici même. Et, il se dit également que le roy mémorable que fut Charlemagne, avait choisit ce bâtiment comme son propre palais. Enfin, revenons à notre époque, à notre événement !

Hadrian, prit par la solitude, commençait à écouter les discutions des personnes qui l’entouraient, toutes plus intéressantes les unes que les autres... Il avait de ce fait appris, d'une charmante demoiselle, qu'il y avait des sœurs qui séquestré des gens venus trouver la paix et des réponses dans leurs monastères, quelle honte !*

Alors qu'il commençait à rêvasser, le jeune Chéroy fut interpellait par une fabuleuse et merveilleuse rousse. C'était Morganenn, sa chère Morganenn, sa cousine et sa future marraine lorsque Dieu l'aura voulu...

Morganenn ! Quel plaisir de te voir ici ! Et bien comme tu le vois, je me porte à merveille et toi comment vas-tu, tu n'es pas trop angoissé pour la semaine prochaine ?!

Il lui fit un grand sourire, car il savait que la semaine prochaine, il y avait encore un mariage et que, cette fois ci, c'était le sien, celui de Morganenn et de Arthur. Et que, même, Hadrian aurait le rôle de damoiseaux d'honneur, ce qui est exclusif ! Pendant que Morganenn répondait, le petit Chéroy en profita pour contempler la magnifique robe que portait sa cousine. Il lui fit d'ailleurs un sourire en hochant la tête, en signe d'admiration.

En regardant autour d'eux, ils ne mirent pas longtemps à s'apercevoir que la foule, enfin, une majorité de personne, commençait à entrer et prendre place dans la cathédrale. Hadrian proposa alors son bras à Morganenn afin qu'ils puissent, eux aussi, rentrer et prendre place. Mais pas n'importe qu'elles places, les places de devant, les meilleures places, étant de la famille du marié elles leurs étaient accessibles et même réservées.


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Seigneur de Falmagne

[Quelques jours auparavant]

Une visite en Flandres, une décision prise, un tournant d’une vie. Voilà comment la Blondinette se retrouvait dans une voiture à parler de tout et de rien avec un Comte qui semblait s’être soudainement durci. Mais Cassandre n’y prêtait pas attention, pas plus que le fait qu’il puisse la prendre pour ce mariage pour une potiche qu’il présenterait bien comme il voudrait. Elle était nettement plus perturbée par la gifle qu’elle avait reçue la veille par sa mère. La première en quatorze ans. Elle lui chauffait encore la joue droite, bien que la marque ne soit plus visible. Mais la Blonde lui avait tenu tête et avait fini par assumer sa décision. Peut-être qu’elle le regretterait, l’avenir lui dirait bien. Quoi qu’il en soit, elle n’avait pas bien compris la réaction de sa mère. A trop la couver, Cassandre ne pourrait apprendre. Toutefois, peut-être que sa mère voulait éviter que sa fille ne devienne ce que Gailen projetait d’en faire.

Elle retint un soupir et se contenta de sourire au Comte lorsqu’il lui promit une sortie moins protocolaire. Puis elle enchaina sur le fait qu’en réalité, elle aspirait à pouvoir marcher sur les traces de sa mère. A savoir rester maitresse de ses choix tout en gardant une certaine liberté que certaines charges ne pouvaient pas permettre. Parce que oui, aujourd’hui elle pourrait être la fille d’un Duc ou d’un Comte, mais Lucie avait tout envoyé balader chaque fois qu’on avait tenté de l’enchaîner, se fichant éperdument du prestige des titres. Idem dans les charges qu’elle avait choisies pour servir son pays. Une fois de plus, la Blonde était peut-être dans l’erreur d’admirer cette partie de la personnalité maternelle, mais combien de femmes pouvaient se vanter d’avoir toujours fait ce qu’elles désiraient d’un bout à l’autre de leur vie ? Et est-ce que le Brun pouvait le comprendre, ou est-ce que la notion lui échapperait complètement ?

La réflexion ne pouvait aller plus loin, déjà ils arrivaient devant l’auberge qui serait un de leur lieu de vie pour quelques jours. S’assurant que l’Arduilet n’avait besoin de rien de particulier et par conséquent plus besoin d’elle, elle se retira pour prendre plume et parchemin.



[Jour des noces]

On l’avait prévenu que Sa Grandeur l’attendait à l’entrée. Dans ses souvenirs, on lui avait toujours dit qu’un homme il fallait savoir le faire poireauter un peu. A l’époque la Blondinette n’avait pas pensé à demander si ce conseil valait également pour son employeur. Avec le recul, elle supposait bien que non, c’est pourquoi elle accéléra un peu le rythme pour se préparer. Elle avait opté pour une robe aux couleurs clairs et printanières, évitant soigneusement le rouge, sa mère lui rabâchant constamment aux oreilles que lors de mariage, cette couleur était réservée à la mariée. Elle avait même fait l’effort de mettre un bustier histoire de faire ressortir les avantages de son corps pas encore tout à fait femme. Ses cheveux blonds étaient soigneusement coiffés et mis en place, légèrement bouclés aux pointes. Elle le faisait déjà pour elle mais également pour ne pas faire honte au Comte. Lorsqu’elle fut prête, elle rejoignit Gailen, qui sembla apprécier l’effort fourni. Elle lui adressa un sourire.

Je vous remercie, Votre Grandeur. Vous êtes également très élégant.

Elle évita soigneusement la dernière question et se laissa guider par le Brun, restant imperceptiblement en retrait, le temps qu’il se décide sur le rôle qu’elle tiendrait ce jour.

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C'est une nouvelle fois complètement affolée que la rousse se préparait à se rendre à un mariage qu'elle ne devait rater sous aucun prétexte. Mais quelle idée de se marier à aix la chapelle c'est super loin de Limoge ce bordel ! Mais la rousse lui avait promis et puis c'était de sa famille tout de même, enfin la vie reprenait de plus belle avec ce mariage s'annonçant sous les meilleurs auspices. Héloise elle la connaissait depuis pfiooouuuu un sacré bout de temps puisqu'elle avait même été sa hmm on va dire baby-sitter à la principauté. Et puisque cette amie de longue date se mariait avec son cousin elles allaient devenir cousines, selon toute logique quoique non elias est le cousin de sa mère donc le grand cousin de la rousse, elles sera donc sa grande cousine, enfin bref c'est trop compliqué les arbres généalogiques.

La rousse se trouvait donc à aix la chapelle et pas trop en retard lui semblait-il, par confort elle avait choisie de passer la nuit dans une auberge de la ville et une fois la cérémonie finie elle rentrerait au plus vite finir les préparatifs de son propre mariage, eh oui elle n'avait vraiment pas finie de courir ! Comme son fiancé était en mission elle se trouvait donc seule au milieu de cette foule ce qui était loin de la mettre à l'aise. De droite à gauche elle regardait furtivement autour d'elle en quête d'une tête connue pouvant la mettre en confiance quand son regard s’arrêta sur une crevette, sa crevette ! D'un pas léger elle s'approcha de son petit cousin et futur filleul si Dieu le veut un jour et se sort les doigts du nez pour donner un petit coup de pouce à ce baptême très attendu.

-Hadrian ! Mon chou ! Comment vas-tu dis moi ? Je suis très contente de te voir ici !

Oui elle lui épargnera le fameux "que tu aaaas grandiii !" Qu'elle trouvait elle même extrêmement agaçant à son âge. Affectueusement elle lui fit une bise sur le front.

D'un regard elle en profita pour jeter un oeuil à l'assemblée et découvrit un peu plus loin son amie albine, aaah elle aussi il fallait qu'elle la voit !
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[ les jours précédant, à Bordeaux ]

Parce que il faut toujours si prendre à l'avance, le plus petit des Chéroy, pour l'heure, avez remplis ses malles de vêtements et de paperasses. Il les avait, ensuite, fait charger dans un carrosse qu'il avait trouvé à Bordeaux. Près à partir pour, quasiment, l’extrême opposé de Bordeaux, Aix-la-chapelle, accompagné de quelques domestiques embauchés et escorté par des gardes pour assurer sa sécurité sur les routes.

Le voyage fut long, fastidieux mais calme. Aucune interruption par des brigands, aucun problème avec le carrosse, aucune maladie... Bien évidement, il fallut faire moult arrêt pour changer les chevaux, se restaurer, dormir. Ce voyage... Enfin, cette expédition les fut traverser plusieurs duché, comté jusqu'à arriver en Empire, une terre que le jeune Chéroy n'avait encore jamais exploré, dont le paysage miraculeux défilait au fur et à mesure que les chevaux avançaient vers Aix-la-Chapelle.

Le convois arriva en cette ville le deux juillet au soir. Juste avant que débute le mariage, ce grand jour pour son demi frère, qu'il préférait appeler son frère, et cette charmante Héloïse, ainsi que les festivités de ce mariage. Hadrian eu le temps de réserver une chambre spacieuse et luxueuse dans un hôtel où il fit monter ses affaires et où il s’installa pour la nuit.

[ Le jour tant attendu au matin, Aix-la-Chapelle ]

Hadrian s'était réveillé avec le sourire et avec le soleil, alors que ce dernier se levait également. À peine avait il engloutit le déjeuner qu'avait préparé les cuisiniers de l'hôtel, qu'il commença à se vêtir. Une fois fait il se dirigea vers cette fameuse cathédrale qui célébrait ce mariage.

La monde affluait sur le parvis de la cathédrale d'Aix-la-Chapelle, il salua quelques personnes et s'enfonça dans cette foule. Il espérait voir tous les membres de sa famille, des Chéroy, présent pour l'événement. Hadrian était près. Près à voir se dérouler ce mariage.
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Elle avait traîné autant qu'elle avait pu. D'abord parce qu'à 13 ans, on fait la grasse mat, et ensuite, parce qu'elle n'avait aucune envie de venir.

Elle aurait voulu s'enfermer dans la chambre de l'auberge pour bouder. C'est vrai quoi, elle ne connaissait personne! Elle allait rester toute seule à s'ennuyer, sans cavalier, sans amis. La loose.

Elle avait finalement décidé de se taire et d'obéir gentiment - comme toujours. Sa belle-mère et elle avait trouvé un fragile terrain d'entente. La marier au plus vite. Une solution qui ravirait tout le monde.

Il y avait bon espoir que quelques partis convenables soient invités à ce mariage, et elles avaient donc toutes les deux grand intérêt à ce que la gamine quitte le domicile familial au plus vite.

Après sa longue grasse matinée, elle avait enfilé sa robe, affiché son plus beau sourire, et était finalement arrivé sur le parvis de la cathédrale sans encombre et sa tenue indemne.


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Ah enfin une tête connue ! Albine sourit et s'approche.

Le bonjour Alix. et de lui faire une grosse bise.

Contente de te voir. Tu es splendide ! Me laisses pas hein, je ne connais personne hormis la mariée... Elle lui fait un clin d'oeil.
et bravo pour le cynodrome, une vrai réussite !
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Elle était tellement ravie de la voir qu'elle ne put s'empêcher de la prendre dans ces bras pour lui faire une accolade.
Que le temps avait coulé, mais elle ne put s'empêcher de rire aux souvenirs de la prévôté. D'ailleurs en y regardant bien, la prévôté devrait être là vu qu'Héloise à fait tellement de temps là bas, qu'elle ne serait pas surprise d'en voir arriver d'autre.

En effet, je ne te le fait pas dire, cela ne vous rajeunit pas. Tu reprends des forces, mais que t'es t il arrivée ma belle? Rien de grave j'espère.
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[Sur le parvis de la cathédrale]

Kristine rit de bon coeur à la réflexion de Fredy, sur le port des uniformes, elle ne se rappelait pas la dernière fois qu'elle avait porté une robe...
Un messire vint vers elles deux, reconnaissant Gwenael qu'elle avait aperçu à l'époque comme prévôt, mais laissa son amie la présenter, bien que ce ne soit pas tout à fait exact.
Le voyant s'incliner vers elle, lui fit une légère révérence, en lui répondant

Ce n'est pas vraiment l'Ost, à moins que cela ait changé durant mon absence, mais plutôt un Ordre de chevalerie.

Elle sourit, en entendant la proposition. Puis, du coin de l'oeil vit, Riese, la joie s'empara d'elle.

Riese ! Quel plaisir de te revoir ! Cela me rajeunit guère...Oui en effet, c'était à la prévôté...

Les souvenirs affluaient à sa mémoire, puis lui répondit,

Je vais bien, je reprends des forces... et oui je suis toujours dans l'ordre, et pour une fois pas en uniforme.

Rit en disant cela.
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La tornade Lorraine ne put que rire devant les questions de la future mariée. Mais dans ses moments là qu'elle femme ne s'en posaient pas? Mais aussi comment expliquer ce qui allait se passer. Le jour de son mariage cela ne l'avait pas perturber, il fallait avouer qu'avec son fiançais ils n'avaient pas réellement été sage, mais cela c'était une autre histoire, et qu'Héloïse soit si naïve à se sujet la rassurait grandement.

Discrètement elle essaya de cacher son ventre rebondis – certes avec beaucoup de mal – qui était les résultats justement des après mariage. Autant pas là faire paniquer tout de suite.
La Talleyrand se mordilla légèrement la lèvre cherchant quoi dire, et jeta un regard d'appel au secourt à Floriane. Non mais vraiment quoi dire...

Humm... Que tu es prêtes oui je pense que tu as la maturité pour l'être. Mais si tu veux reculer..c'est le moment!

Dernière tentative pitoyable pour garder SON Heloïse. Non mais vraiment vous croyez qu'elle allait laisser comme ça, sa presque fille de coeur au bras d'un homme. Illusion!

Mais pour ce soir, évite de te poser trop de question à se sujet là, ton futur mari saura en principe quoi faire, c'est à lui de... t'apprendre. Le plus important est que tu sois détendue, sinon cela sera doulou... hum agaçant.

Oui bon on allait pas lui dire maintenant qu'elle allait peut être se tordre de douleur la première fois. Autant ne pas l'affoler.

Ne t'inquiète pas, vous allez seulement... sceller votre mariage par un des plus bel acte qu'il soit.

Oui enfin bel acte tout dépendait.. Pour elle cela l'était car elle était folle amoureuse de son époux, mais pour Heloïse c'était un peu différent...

Bien finis les questions ! Il est maintenant temps pour toi d'affronter ton destin. Tout se passera bien Helo, et nous somme là.

Un doux sourire lui fut adresser pour la rassurer. Et très sincèrement l'excuse de l'heure tombé à pique!
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Fredy rit aux commentaires de son amie Kiri car elle aussi portait son uniforme constamment ou était en braies pour préparer ses potions .

A qui le dis tu ma belle! ,oui c'est vrai que le port de nos uniformes ne nous habituent pas à porter des choses aussi féminines mais on va s'y faire tu verras ! lui dit elle en lui faisant un clin d'oeil complice

Fredy vit arriver avec bonheur son ami de toujours Gwen ,elle l'embrassa sur les deux joues il était vraiment charmant dans sa tenue vert bouleille et chemise blanche qui le changeait lui aussi de l'uniforme .
Quel bonheur Gwen !,merci pour ton gentil compliment mais j'éssaies de ne pas me casser la figure vois tu ? mais tu es absolument charmant ça change de nos uniforme hein !on va se retrouver nonbreux de la caserne me semble t'il ! je te présente mon amie Kirikette qui fait parti de l'OST aussi ainsi que Métaxasv notre aide de camp que tu dois connaître! et toi comment vas tu Gwen ?
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Fiancée de Artaban ,gouverneur et médaillé de Lotharingie

Elias sourit,il était depuis un moment habitué aux longues insistances de son suzerain sur le décuissage de son vassal,malheureusement pour lui il était trop tard et c'était tant mieux ainsi,sa promise avait conservé sa virginité jusqu'au bout,il était normal qu'il lui rende la pareille,seulement son léo était toujours très à cheval sur son union,mais après tout...son père était le premier concerné par l'affaire,le jeune homme s'était effectivement posé la question de comment il ferait,le soir de la nuit de noce pour s'en sortir face à sa peur et son jeune age,mais il s'est rappelé une chose. Le sentiment de faire son devoir lui donnerait l'assurance suffisante pour qu'il y arrive. Il n'avait pas besoin qu'une femme s'abandonne à ses bras,d'ailleurs cela se ressentait dans son attitude,il était très calme extérieurement bien que parcouru par encore quelques doutes à l'intérieur,mais quand bien même cela était encore présent en lui il ne pouvait plus reculer,son mariage était à l'ordre du jour il y irait donc en cheroy.

Il sourit à la tendresse que lui portait son suzerain,il y avait toujours entre nous une fausse filiation qui en faisait quelqu'un de très important pour lui,il savait que Léonin était de ces nobles qui avaient l'âme pure,qui ne cherchaient ni les titres,ni la fausse reconnaissance,mais qui méritaient de loin ce qu'ils recevaient et possédaient. C'était dans l'esprit du jeune homme,il détestait plus que tout la déloyauté et la corruption,chose qui pourrissait une partie des français et même des impériaux...heureusement ce cas était bien minoritaire encore,et les gentilshommes signalés présents étaient tous des personnes extraordinaires,tant par leurs amours de la vie que par leur honnêteté et leur simplicité,c'était essentiel pour le jeune homme.

Alors que les deux hommes étaient en train de discuter dans la pièce,un garde portant les écus de l'Orléannais frappa à la porte,c'était apparament un messager venu de Blois...que pouvait t-il faire ici à des centaines de lieux de sa caserne?

Messire Elias de Cheroy je viens vous porter la nouvelle que votre mère dame Kalimalice de Cheroy désire vous accompagner jusqu'à la cathédrale,elle vous fait part de cette missive en attendant plus que passivement votre réponse.

Ainsi elle était venue jusque ici...le regard surpris tourné vers Léonin je répondit à l'envoyé:

Ce sera avec grand honneur que ma bien chère mère m'accompagne jusqu'à l'office,faites lui savoir que j'accepte de tout mon coeur sa proposition.

Le messager reparti mon vieil ami et valet finissait de retoucher mon costume,il avait été tissé avec les soins d'une dame de la région...elle avait véritablement des doigts de fée son ouvrage était incroyable,je me sentais comme un prince,ces habits me semblaient si soyeux que je me demandais si j'avais le droit de les porter,je me sentais gêné,j'avais envie de venir avec une tenue plus sobre,plus classique,mais mon père et ma famille ne me pardonnerait pas que je ne leur fasse pas honneur,restait t-il encore à mon juge et confident de me dire si j'avais raison d'être vêtu ainsi.

Pense tu que ce n'est pas un peu trop Léonin?

Se retournant sur les cotés alors que son ami-valet poursuivait ses retouches à l'aiguille,il essaya de lui montrer son vêtement fini afin que celui ci puisse juger.
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Elias Juliani Fauville Cheroy, Seigneur d'Avanne-Aveney.

Kiri aperçut Fredy qui vint l'aider, et lui sourit, sa mauvaise humeur s'évanouit.

M'en parle pas Fredy, je hais les robes... j'en ai pas l'habitude surtout, je suis toujours en uniforme en général. Mais comme c'est le mariage d'Héloise, j'ai fait l'effort.

S'apercevant qu'elle ne l'avait pas salué, fit la bise à son amie et la remercia chaleureusement de son aide. Reprenant, un minimum de dignité, s'avança vers les personnes qui étaient sur le parvis, la plupart lui était inconnu, un autre lui disait vaguement quelque chose, mais elle était bien incapable de remettre un nom, un lieu sur ce messire accompagné de sa femme et ce qui semblait être ses enfants.
Par conséquent, ne sachant pas qui il était, s'abstint d'aller le voir, non sans saluer tout le monde d'un signe de tête.
Puis se plaça, dans un coin et attendit, l'arrivée des futurs mariés.
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[ Les jours précédents]

C'est avec joie qu'il avait reçu l'invitation pour les noces. Le temps passait l'éloignement était avéré mais Hélo ne l'oubliait pas et cette amitié née au collège Saint Louis perdurait au moins de façon épisodique et épistolaire. Il avait donc fait préparer équipage léger mais assez conséquent pour assumer la distance et la sécurité dans ces contrées lointaines et inconnues. Gaïlen ne connaissait pas grand choses de l'Empire. L'endroit lui semblait très en vogue et vivant au regard des nombreuses offres d'épousailles qu'il avait reçu de familles des saintes provinces.
Pour ce voyage, une nouvelle tête faisait partie de la délégation Arduilet. La jeune Cassandre l'accompagnait pour " découvrir le monde". Lucie avait passé son tour, sans que Gaïlen ne sache exactement pourquoi. Ayant peur d'avoir commis un impair avec la mère il se garda bien d'interroger la progéniture sur les raisons de son apparente détresse.
La route avait été mise à profit pour faire connaissance, le sujet de la fauconnerie devenant un peu trop monotone pour un si long voyage. Le jeune comte avait donc profité des heures passées ensembles dans sa voiture pour en apprendre plus sur les goûts et intérêts de la jeune femme et lui en dire plus sur son amie Héloïse du Val d'Haine. Il lui avait aussi promis que leur prochaine sortie serait moins protocolaire car il préférait largement parcourir les routes au sein d'un petit groupe de cavaliers en armes que dans un coche tel une vieille femme qu'on mène à sa dernière demeure. Il voulait aussi en savoir un peu plus sur elle afin de décider ce qu'il en ferait sur place. Remplacerait-elle sa mère dans le rôle de cavalière pour ces noces ou la présenterait-il comme son bras droit. La jeune femme avait tous les atouts d'une cavalière pouvant faire des jaloux parmi les jeunes coqs qu'il croiserait (voir parmi les vieux pervers en quête de chaire fraîche.) Mais on sait Gaïlen attaché au prestige de l'étiquette et était il opportun de se présenter au bras d'une inconnue alors qu'on revendique prestigieuse épouse. Il n'avait pas encore la réponse. Héloïse allait épouser un Cheroy et il croiserait donc des gens de cette famille avec qui il était en négociation.

[Jour J le matin]

Il s'était levé, fait habiller de circonstance. Au moins ici le deuil était moins présent et il avait pu revêtir ses couleurs sans se faire attraper par la sainte tutrice. Il avait pris un petit déjeuner léger et avait fait savoir à Cassandre qu'il la retrouverait devant l'entrée. A l'arrivée de la jeune femme, il avait pu apprécier sa tenue.

Ma chère, vous êtes très en beauté, sans doutes attirerez vous le regard en ces mondanités. Prête pour le saut dans la fosse aux lions ?
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Ceci est un jeu. . MP moi si je vous oublie.

[Le 3 juillet 1461 au matin]

Metaxas n'avait pas vu l'heure passée, arrivé à Aix il en avait profité pour visiter la ville et flâner sur le marché.
Le soleil commençait à être haut dans le ciel quand il se rendit compte qu'il allait être en retard.
Il demanda à un marchande de lui indiquer le chemin pour se rendre à l'hôtel afin de se changer et s'y rendit au pas de course.

Rafraîchit et paré de ses plus beaux atours il se rendit sur la place de l'Eglise au pas de course.
Arrivé sur le parvis il aperçu d'autres personnes qui patientait également, heureux de ne pas être en retard il s'assit sur un banc de pierre scrutant les gens arrivant au fur et à mesure .
Il guettait également l'arrivé de sa belle en souriant

Tu es finalement venu vil renard...

Voila ce que Léonin venait d'entendre alors que le jeune homme l'enlaçait. Il était pas content, non, ce n'était un renard et encore moins vil. C'était un lion ! Non mais ! Mais en fait, ça ne le dérangeait pas qu'il l'appelle ainsi. Renard, Lion. La proximité entre les deux hommes était telle que même les surnoms qu'ils pouvaient se donner ne prêtaient pas à conséquence. Ils s'appréciaient trop l'un l'autre pour ne prendre ces surnoms que pour des taquineries, rien de plus, rien de moins.
Léonin entoura le jeune homme dans ses bras. Il avait plus l'habitude de cajoler des demoiselles, sa nièce Mélodie en première ligne, qu'il considérait un peu comme sa fille. Mais, pour une fois, c'était un jeune homme, Elias, son vassal, presque son fils. Il en profite pour le cajoler, faire un long câlin entre hommes. Il sent Elias avoir peur, une peur sourde, qu'il ne montre pas. Il connait ça, il l'a lui aussi vécu, il y a bien longtemps.

Mettant fin à ce moment d'intimité, presque à regrets, il se recula un peu et il le regarda, posant une main sur l'épaule du jeune homme pour lui donner du courage. Il lui sourit, il le soutient, il doit savoir que le vieux Vicomte sera là, qu'il l'accompagnera jusqu'au bout, jusqu'à l'autel.
C'est pour le vieux lion, ou le vil renard selon Elias, un honneur, une immense fierté qu'il l'ait choisi comme parrain de baptême. Toutefois, il ne s'attendait pas à être aussi son témoin pour son mariage. Qu'il soit invité, oui, évidemment, c'est le suzerain, mais être le témoin, non, c'était plus qu'un honneur, bien au-delà. Mais léonin en tirait une fierté non feinte, une vraie joie.

C'était à lui de le suivre de l'accompagner et surtout, de lui expliquer ce qu'il allait se passer et lui donner les conseils de dernière minute.

Et bien mon p'tit Elias ... Vil renard, hein ? J'aurais préféré que tu m'appelle le sage lion ou un truc comme ça ... Recommence et je te destitue ! Non mais !
Mais en fait, il ne le pensait pas un seul instant et il éclata de rire. Il le rassura.
Allez, rassure-toi, je plaisante. Je vais pas te destituer pour si peu, surtout que je sais que c'est une petite taquinerie sans conséquence.
Mais, dis-moi, est-tu prêt ?
Sois franc, n'aie pas peur, tout se passera bien, j'en suis certain. Pour la cérémonie de mariage, tu n'as qu'à te laisser guider, je ne serais pas bien loin, au pire, je te soufflerait ce qu'il faut faire. Et puis ce soir, après ... Bah, on avisera, si tu veux, je peux rapidement te donner quelques conseils, ou au pire, on attendra après, juste avant ta nuit de noces.

Il lui sourit et lui fit un clin d'oeil qui voulait tout dire. Pas besoin de long discours entre eux, il se comprennent presque à demi-mot.
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Héloïse écouta les réponses de Floriane qui ne ressemblait en rien à des explications sur ses interrogations. La brune fixa sa future cousine, son amie, sa suzeraine en fronçant les sourcils. C'était quoi cette réponse à la mort moelle noeud?

Heureusement pour la rousse, la brune n°1 fit son entrée. D'un immense sourire stressé, Héloïse l'accueillit.

- Hellina ! Je suis contente de te voir, comme tu peux le voir je fini de me faire arnacher pour la cérémonie...

Jetant un coup d'oeil à Floriane, la brune retenta ses questions.

- Hellina tu es sur que je suis prête à me marier ? Et le soir comment je vais faire ?! Dis moi ce qui va se passer.

Elle songea d'ailleurs un instant à la belle-mère d'Elias, allait-elle passer la voir ? Elle n'en savait rien...
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Slicer arriva sur les lieux du mariage. On l'avait convié à ce mariage, mais il craignait de ne connaitre personne, si ce n'est la mariée.

Accompagné de son épouse et de sa ribambelle d'enfants, ils patientèrent sur le parvis.

Ils avaient trouvé de quoi se loger et se nourrir, et après une longue attente, de quoi se vétir.

Il regardait de droite et de gauche, pour voir s'il reconnaissait quelqu'un.
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Slicer Strandhögg,

au service de tous, serviteur de Breizh

[3 Juillet, quelque part aussi]

Alexandre qui d'ordinaire ne prenait que peu de plaisir aux mondanités et autres cérémonies interminables prennait gout à ces dernières depuis quelques temps. A vrai dire depuis qu'il avait eu l'occasion de voir en Kalimalice, la femme qu'elle était.

La cavalière se transformait pour ces occasions en une femme resplandissante.
Il l'avait épousé pour son caractère fort mais il fut tout autant comblé par la douceur de cette dernière.

Aujourd'hui, Adela, la mère d'Elias ne serait pas là pour le conduire à l'autel. Alexandre se demanda si il avait été prévu que Kalimalice le fasse ou si les coutumes locales ne prévoyaient rien de tel. Et si ce n'était pas le cas, il aurait le plaisir de garder sa dame à son bras et pour le luxe de ses yeux.


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[3 Juillet, dans la matinée]

Elle n'était que belle mère ,certes mais quand on épouse un homme on épouse ses enfants et c'est ce qu'elle avait fait .Ce mêlant le moins possible de leur éducation d'ailleurs Alexandre ne lui avait laissé s'occuper de leurs propres enfants que quand ils étaient mioches .

Pour cette occasion ,elle avait suivit sans rechigné le maitre de maison ,laissant pour une fois son sale caractères de côtés .
Décidément la rouquine était dans une passe de renonciation ,d'acceptation et de soumission .
Par sure qu'Alexandre s'en aperçoive ,il venait de refaire surface ,pour le plus grand plaisir de kali .A moins qu'une idée lui trotte par la tête et que comme à chaque fois il la mette enceinte .

Elle aurait bien aimé participé à l'habillage de la future mariée après tout elle allait devenir sa belle mère ....... Mais une fille de plus ,déjà une femme elle aurait pas dit non.

En attendant elle profitait qu'on eut mis à sa disposition quelques servante .Et pour une fois elle se fit dorloter baigner ,habiller .Sur que c'était bien mieux qu'une tente sur un champs de bataille
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[3 Juillet, tôt le matin]

Héloïse entendit la voix de Floriane et tenta de mieux se cacher, mais évidemment c'était peine perdu. Elle se retrouva donc couché sur le dos sur le matelas. Soupirant, elle fini par se lever, après tout elle devait le faire.

Elle se laissa laver et préparer. Puis enfiler la robe. La tenue ne lui permettait pas de porter la pince offerte par sa mère il y a bientot 2 ans. Elle avait donc fait installer une cache afin d'y glisser la pince.

Héloïse suivait vaguement les préparations de sa tenue. Autre chose la perturbait.

- Floriane tu es sur que je suis prête à me marier ? Et le soir comment je vais faire ?! Dis moi ce qui va se passer.
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[Au départ du domaine de Laviron]

Kiri, qui était sortie de force du monastère, fortement amaigrie, et au teint blafard, ayant reçu un message de sa nièce annonçant son mariage. Elle ne pouvait décemment pas rater cet événement, bien que malheureusement, elle n'ait pas pu assisté à son baptême.
Au matin, persuadée d'être en retard, la tante d'Héloïse, vêtue d'une robe, ce qui est exceptionnelle pour elle, montée sur son cheval, maugréant quelque peu, sa robe la gênant, se mit en route pour le mariage de sa nièce.
Après sa longue absence, enfermée dans une cellule, Kiri se rendit compte qu'elle ne se rappelait plus de la route pour aller à Aix-la-Chapelle, au bout d'un moment, elle se retrouva sur le parvis de la Cathédrale de Besançon, pas du tout au bon endroit...

- Ah mais non !!! C'est Besançon ça... bon sang mais c'est pas possible que je me perde ainsi !!! Grrrrr

La tante de la mariée dû sortir sa carte et repéra la route, qui, selon elle, menait au bonne endroit, et s'y engagea, croisant les doigts, qu'elle ne se soit pas à nouveau trompée. Les heures défilaient, s'arrêtant de temps à autres pour faire des pauses. En effet , son cheval et elle-même, s'était vieillit...
L'espoir revenait à elle quand elle aperçu au loin la Cathédrale, et ralentit quelques peu l'allure de son cheval, soulagée, malgré la torture que sa robe lui faisait subir...
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[3 juillet 1461, plus tard le matin]


Le Duc² Alexandre était prêt. Voici que le premier de ses enfant allait se marier. La lignée des Chéroy aurait ainsi l'occasion de perdurer et de s'inscrire plus encore dans l'histoire.

Retiré du monde pour bien des aspects, il avait fait le nécessaire que pour être présent ce jour pour unir son aîné avec l'aînée des Val d'Haine.
C'était là un bon mariage. Certes pas prestigieux de par les titres personnels des mariés mais bien par leur caractère et les faits de leurs lignées.
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[3 Juillet 1461, tôt le matin]

La veille, la brune avait fait le voyage de Montbarrey à Aix-La-Chapelle tranquillement pour son père malade, car demain se serait plus activement qu'ils devraient y retourner afin de célébrer les épousailles.

Après une nuit de sommeille apaisée, la brune fut tiré de sa léthargie par une domestique venu ouvrir les rideaux. Un grognement, un drap qui se tire par dessus la tête, la voilà qui refuse de sortir de son lit.
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C'était son tour, elle serra la main de son époux avant de se lever, un regard aux presque mariés.

Héloise est une personne, une femme attachante, tôt elle a été liée aux Cheroy en devenant Dame de Compagnie de feue la Princesse de Montmorency, Clemence de Carpadant/Cheroy, Nous nous sommes rencontrées elle et moi, il y a quelques années et au fil du temps passant, nous sommes devenues des amies intimes, quand on en voyait une, on voyait l'autre passant des soirées à parler de choses parfois futiles, Heloise a été le témoin de ma rencontre avec mon époux, son charme et sa gaité lors d'une de ses visites ont attiré le regard d'Alexandre de Cheroy qui ensuite a souhaité une union entre nos deux familles.

Heloise, je te souhaite beaucoup de bonheur avec mon cousin Elias et des tas d'enfants pour perpétuer la lignée.

Un sourire à son amie de toujours avant de retourner s'assoir sur le banc familial.
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Héloïse écouta attentivement la suite de la cérémonie après un léger regard pour son fiancé afin de le saluer malgré tout. Elle écouta le sermon et fort heureusement l'assistance hormis les personnes proches et bien placé purent voir le sourire amusé qui eut pu germer sur ses lèvres. Amour, Amour de Dieu, elle aimait Dieu et croyait en lui, mais non elle n'aimait pas Elias et cela lui convenait parfaitement. L'amour serait venir en temps et en heure, mais aujourd'hui cela ne l'importait guère elle allait pouvoir rompre la malédiction familiale.

Tandis que Jenah finissait son sermon, comme un seul homme, la cathédrale mugit des fredonnements, des récitations à haute voix des invités répétant à leur tour le credo. Héloïse quand à elle préférait le recueillement, tête baissé, main jointe devant sa robe, elle le récita doucement de façon quasi inaudible.

Je crois en Dieu, le Très Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen

Le "Amen" fut quand à lui dis à hauteur de voix audible, mais celui de Green résonna dans les pierres. Sursautant, la brune se tourna vers lui mi-surprise, mi-amusé. Après tout qui connaissait Green savait que lui et la religion faisait 2. Et pour une fois la brune n'aurait pu lui en vouloir elle avait besoin de se détendre, de relâcher un peu de pression qu'elle accumulait en cette grande journée. C'est ainsi que son parrain du avoir l'air plus surpris qu'elle envoyant sa fillote sourire et non le foudroyé du regard. Que voulez-vous la pression fait avoir de drôle de réaction parfois.

Mais un regard insistant l'a mit mal à l'aise, détournant finalement ses yeux de son parrain, elle jeta un coup d'oeil à Elias, oui effectivement c'était bien lui qui semblait étudier sa tenue et ses atours. Tentant d'ignorer ce regard persistant,

La brune écouta Léonin qui venait prendre la parole, en effet compliqué pour lui que de parler d'Elias alors qu'il ne le connaissait pas tant que cela. Mais elle tacha de retenir les informations. Quand ce fut au tour de Floriane, son amie, sa suzeraine, elle l'écouta également et lui sourit en remerciement.
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